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La newsletter pour décideurs
[
9 AVRIL 2009 – N° 14
]
Les syndicats s’opposent au chômage économique des employés
Du sang, de la sueur et des larmes, mais pas encore de fumée blanche dit-temps, un système qui n’est toutefois pas
rain. Procédures très longues, coïncidant par
conçu pour faire face à de fortes fluctuations
hasard avec la concertation sectorielle actuelle-
conjoncturelles.
ment en cours, et conditions ayant pour effet
Le 2 avril dernier, le Groupe des 10 se réunissait
d’augmenter les coûts pour les entreprises en
pour la neuvième fois autour de ce thème. Ces
cas de restructuration, voilà précisément ce qu’il
négociations intensives n’ayant jusque-là pas
convient d’éviter en cette période de récession
permis de faire avancer les choses de manière
économique. Les employeurs n’ont pas eu
significative en dépit de la nécessité urgente
d’autre choix que de se retirer.
Nous avions déjà mis le sujet sur le tapis au
d’une solution, les employeurs ont demandé,
début du mois de janvier de cette année. A
jeudi dernier, que la situation soit clarifiée. Une
l’époque, les entreprises belges émettaient des
proposition concrète était sur la table, tenant
signaux clairs indiquant qu’elles commençaient
compte des quatre principes suivants :
à ne plus savoir à quel saint se vouer, arrivant
1. Introduction rapide de la mesure sur le terrain
progressivement au bout des possibilités qui leur
2. Limitation du champ d’application de la
La proposition était porteuse d’un équilibre : elle répondait au besoin urgent des employeurs de trouver une solution rapide et efficace.
étaient offertes pour traverser la crise. Ainsi, par
mesure, tant dans le temps (nombre maximal
manque de travail, ont-elles eu largement
de semaines de chômage temporaire) que
Les syndicats manquent ici une occasion de lan-
recours au chômage technique pour les ouvriers.
pour des raisons budgétaires
cer une bouée de sauvetage supplémentaire per-
La fin de la crise est cependant encore loin
3. Volonté de prévoir une indemnité complémen-
mettant aux employés d’échapper à des
d’être en vue. Une solution doit donc également
taire venant en sus de l’allocation de chôma-
licenciements secs et aux employeurs de garder
se faire jour pour les entreprises qui souhaitent
ge, afin de limiter les pertes de revenu
le savoir-faire au sein de l’entreprise en vue du
garder leurs employés. 85% des CEO interrogés par le magazine Trends estiment qu’une mesure temporaire permettant
4. Mesure temporaire valable un an, sans porter
moment où la situation économique se normali-
préjudice à une éventuelle solution définitive
sera. Cela est très regrettable… Immédiatement
dans le cadre de la discussion ouvriers-employés.
après l’échec des négociations, nous avons pu
la mise au chômage temporaire des employés, à
La proposition était porteuse d’un équilibre : elle
exposer au Premier ministre la gravité de la
l’instar de ce qui se fait pour les ouvriers, devrait
répondait au besoin urgent des employeurs de
situation ainsi que le contenu concret de notre
être possible. Ils ne peuvent se résoudre à lais-
trouver une solution rapide et efficace, tout en
proposition. Nous lui avons demandé d’examiner
ser partir leur capital humain, ceux qu’ils ont eu
tenant compte des inquiétudes des syndicats
comment rendre le recours à cet instrument pos-
tant de mal à recruter sur un marché du travail
relatives à une éventuelle atteinte au débat sur
sible pour les entreprises et les employés. Une
marqué par la pénurie. La concertation sociale
le statut des ouvriers et des employés.
mesure temporaire visant à éviter les licencie-
tirant en longueur, les entreprises se trouvent
En réponse, les syndicats se sont engagés dans
ments s’inscrit en effet parfaitement dans le
dans une situation où elles ne peuvent plus
une logique de rapport de force et de sanctions,
cadre d’un plan de relance. À suivre, donc…
attendre. Elles cherchent une issue en ayant
exigeant des contreparties qui auraient rendu de
PIETER TIMMERMANS,
recours à des systèmes existants comme le cré-
facto la mesure proposée impraticable sur le ter-
ADMINISTRATEUR-DIRECTEUR GÉNÉRAL
A EPINGLER
>
SOMMET DU G20
> Les leaders mondiaux ne nous déçoivent pas (encore)
>
PRÉVENTION EN MATIÈRE D'ALCOOL ET DE DROGUES
>
SERVICES DE PAIEMENT
>
> Les partenaires sociaux concluent la CCT n°100
> La CBFA consulte
[ HEBDOMADAIRE —
BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
]
[ INFOR FEB 14 — 9 AVRIL 2009 ]
>
PRÉVENTION EN MATIÈRE D'ALCOOL ET DE DROGUES
Les partenaires sociaux concluent la CCT n°100
ou d'intention. Dans une deuxième phase, des
>
SERVICES DE PAIEMENT
règles et procédures plus détaillées peuvent être rédigées concernant la disponibilité et la
La CBFA consulte
consommation d'alcool et de drogues au travail, la constatation d'un dysfonctionnement et
On connaît l'espace unique de paiement en
la marche à suivre en cas d'incapacité de tra-
euros (SEPA – Single European Payments
Le 1er avril 2009, les employeurs et les syn-
vailler. Soumettre des travailleurs à des tests
Area), dont l’objectif est de rendre les paie-
dicats ont signé, au Conseil national du travail,
de dépistage d'alcool ou de drogues peut faire
ments électroniques réalisés au sein de la zone
la CCT n°100 concernant la mise en œuvre
partie de la politique en matière d'alcool et de
euro – par exemple par carte de crédit, carte de
d'une politique préventive en matière d'alcool
drogues mise en œuvre dans l'entreprise si
débit, virement bancaire ou prélèvement – aus-
et de drogues dans l'entreprise. L’objectif de la
l'employeur a pris certaines mesures.
si simples que les paiements nationaux, effec-
La CCT n°100 est nova-
tués à l'intérieur d'un même pays. La directive
trice en ce sens qu’elle lève les
sur les services de paiement, adoptée en
tabous sur la question de
novembre 2007, fournit le cadre juridique
l’alcool et des drogues sur le
nécessaire à la création de cet espace unique
lieu de travail et clarifie la poli-
de paiement en euros. Elle vise à instaurer un
tique que les entreprises peu-
ensemble complet et détaillé de règles appli-
vent mener. Elle préconise une
cables à tous les services de paiement dans
approche collective et préventi-
l'Union européenne. Son but est de rendre les
ve. Les travailleurs ayant un pro-
paiements transfrontaliers aussi aisés, effi-
blème d'alcool ou de drogue
caces et sûrs que les paiements effectués à
pourront ainsi être détectés et
l'intérieur d'un État membre. La directive vise
aidés plus rapidement, ce qui
également à renforcer la concurrence en
est une bonne chose tant pour
ouvrant les marchés des paiements aux nou-
CCT est de prévenir le dysfonctionnement au
les travailleurs concernés que pour leur
veaux venus, ce qui permet d'accroître
travail dû à la consommation d'alcool ou de
employeur. La FEB mènera une campagne de
l'efficacité et de réduire les coûts.
drogues et d’y remédier. L’employeur est tenu
sensibilisation auprès des entreprises et enca-
La directive sur les services de paiement doit
à cet effet d’élaborer une politique. Dans une
drera celles-ci activement dans l’application
être mise en œuvre par tous les Etats membres
première phase, l’employeur détermine les
de la CCT. Plusieurs séances d’information
avant le 1er novembre 2009. La CBFA a éta-
points de départ et les objectifs de la politique
seront organisées à court terme.
bli un avant-projet de loi ayant pour objet
en matière d'alcool et de drogues dans son
Kris De Meester –
[email protected]
d’assurer la transposition partielle en droit bel-
entreprise. Les grandes lignes de la politique
ge de la directive. Cet avant-projet instaure le
sont fixées dans une déclaration de politique
statut d’établissement de paiement et règle
ACTION FEB
> La loi sur la continuité des entreprises en vigueur !
facilement. La FEB, associée dès le début des
Lors d’une conférence organisée fin mars à la
concordat, espère aujourd’hui que les entre-
FEB, Stefaan De Clerck s’était porté fort d’une
prises en difficultés, avec ce nouvel instrument
entrée en vigueur rapide de la loi relative à la
juridique, seront enclines à se réorganiser bien
travaux de réforme de l’ancienne loi sur le
avant de se retrouver en état de faillite. Charles Gheur –
[email protected]
> La Commission PME invite Caroline Ven
(de g. à dr) : Philip Verstraete (FEB), Jean-Louis Bremer (président de la Commission PME), Caroline Ven (Cabinet du Premier ministre), Rudi Thomaes (FEB) et Isabelle Callens (FEB).
Jeudi dernier, la Commission PME de la FEB
sante pour les deux parties, Rudi Thomaes,
a accueilli un hôte de haut niveau : Caroline
administrateur délégué de la FEB, a fait un
Ven, directeur de coordination de la politique
exposé sur les nouvelles opportunités et les
générale du Premier ministre. C. Ven a procé-
nouveaux pôles d’avenir de l’économie belge
continuité des entreprises. Le ministre de la
dé à un échange de vues avec 18 dirigeants de
d’après la crise. La réunion s’est clôturée par
Justice a tenu parole puisque la nouvelle légis-
PME (issus de tous les secteurs et toutes les
une réflexion sur les améliorations qui pour-
lation est d’application depuis le 1er avril der-
régions de Belgique) et 7 ‘permanents’ de nos
raient être apportées à la loi belge relative aux
nier. Il était en effet urgent, dans le contexte de
fédérations sectorielles, concernant l’impact
arriérés de paiement, à la lumière de la toute
crise que nous connaissons, que les entreprises
spécifique sur les PME de la crise actuelle et
nouvelle loi française et de la législation euro-
disposent d’un instrument efficace et flexible
des mesures politiques adoptées ou à adopter.
péenne en préparation.
pour leur permettre de redresser la barre plus
Après une discussion très ouverte et enrichis-
Le 25 mars à la FEB, Philippe Lambrecht (Administrateur – Secrétaire général de la FEB), Stefaan De Clerck (Ministre de la Justice) et Ivan Verougstraete (Président de la Cour de cassation) présentaient la nouvelle loi.
Philip Verstraete –
[email protected]
SOMMET DU G20
Les leaders mondiaux ne nous déçoivent pas (encore) Le 2 avril dernier a eu lieu à Londres le très médiatisé sommet du G20.
additionnelle de 100 milliards de dollars aux pays les plus pauvres. Enfin,
Les pays participants représentent environ 90% du PIB mondial, 80%
des accords ont encore été conclus ou sont prévus dans le domaine de
des échanges internationaux et les deux tiers de la population mondia-
la surveillance internationale des institutions financières transfronta-
le. Pour un certain nombre de thèmes cruciaux, tels que la lutte contre
lières, des paradis fiscaux, des fonds à levier, des bureaux de rating, …
le protectionnisme et la suppression des produits toxiques des banques,
Le but de ces accords est d’éviter à l’avenir, dans toute la mesure du pos-
le G20 n’est pas parvenu à un accord, ou alors très minime. Dans
sible, la répétition de la crise financière actuelle.
d’autres domaines, il a réalisé d’importantes percées. Citons par exemple
La plupart des accords conclus devront encore être concrétisés
le relèvement des moyens disponibles pour le FMI d’un montant de 500
au cours des prochains mois. Le résultat dépendra donc largement de
milliards de dollars, le soutien du financement des échanges interna-
la manière dont les dirigeants des principales économies du monde tien-
tionaux à concurrence de 250 milliards de dollars et l’octroi d’une aide
dront effectivement parole. A la veille du G20, l’OCDE a publié ses nouvelles prévisions. En ce moment, elle craint une baisse de l’activité économique dans les pays industrialisés,
Pour un certain nombre de thèmes cruciaux, le G20 n’est pas parvenu à un accord, ou alors très minime.
baisse estimée à 4,3% en 2009 et à 0,1% en 2010. Dans l’ensemble, les conclusions du G20 sont positives, ce qui devrait permettre d’éviter à l’avenir des scénarios pires encore que ceux prévus par l’OCDE. Geert Vancronenburg –
[email protected]
l’accès à l’activité de prestataire de services de
baisse sur le niveau des prix à
paiement ainsi que l’accès aux systèmes de
moyen terme, justifiant ainsi la
paiement.
décision qui a été prise. Les éco-
6
La CBFA organise en ce moment une
nomistes avaient toutefois tablé
5
consultation ouverte sur cet avant-projet de
sur une baisse de 50 points de
4
loi. La consultation ouverte a pour but de per-
base. En effet, au mois de mars, le
3
mettre à toute personne intéressée de prendre
chiffre de l’inflation (HICP) était
2
connaissance du texte en projet et de commu-
retombé à 0,6% sur une base
1
niquer ses remarques éventuelles. La procé-
annuelle, soit bien en-dessous de
0
dure de consultation court jusqu’au 24 avril
l’objectif de 2%. Néanmoins, cet-
2009.
te baisse est essentiellement
>
Evolution des taux d'intérêt du marché
1-10-08 15-10-08 29-10-08 12-11-08 26-11-08 10-12-08 24-12-08 7-01-09 21-01-09 4-02-09 18-02-09 4-03-09 18-03-09 1-04-09
Taux de refinancement de base
EONIA
Eribor 3m
www.cbfa.be
imputable à la baisse des prix des matières
cement alternatif et pour réduire les coûts de
Charles Gheur –
[email protected]
premières et les prévisions à moyen terme en
financement élevés. C’est pourquoi nous déplo-
matière d’inflation restent, selon la BCE, à un
rons que la décision relative à des mesures
niveau acceptable. De plus, une diminution
importantes ait été reportée au mois de mai.
CONJONCTURE
La Banque centrale européenne baisse les taux d’intérêt
du taux d’intérêt de base de 50 points de base
Frederic Teerlynck –
[email protected]
aurait signifié que le taux de dépôt des banques – qui est traditionnellement de 100 points de base inférieur au taux d’intérêt de base – aurait été de 0%, ce qui peut, de l’avis
>
CHARGES SOCIALES 2009
Un niveau qui reste élevé
La semaine dernière, la Banque centrale euro-
de certains observateurs, avoir des effets indé-
péenne (BCE) a décidé de diminuer son taux
sirables. Enfin, toute décision concernant des
Chaque année, la FEB analyse les charges
d’intérêt officiel de 25 points de base, le rame-
mesures moins conventionnelles est reportée
sociales sur les salaires que les entreprises
nant ainsi à 1,25%. Depuis le 8 octobre 2008,
jusqu’en mai.
paient en contrepartie du travail effectif des
le taux d’intérêt européen a ainsi baissé de
La FEB reste convaincue de la nécessi-
travailleurs. Il s’agit des cotisations et primes
300 points de base. Tant les perspectives éco-
té, pour la BCE, tout comme pour la FED, la
de sécurité sociale (cotisations ONSS et
nomiques que la croissance de la masse moné-
Banque du Japon et la Bank of England,
charges comparables, par exemple la prime
taire – les deux piliers sur lesquels la BCE se
d’acheter directement des actifs financiers
'accidents du travail'), mais aussi des salaires
fonde pour prendre ses décisions relatives aux
d’entreprises saines et solvables. C’est essen-
de remplacement ou salaires différés (par ex.
taux d’intérêt – indiquent une pression à la
tiel pour donner un nouveau souffle au finan-
maladie, vacances annuelles) et des charges
[ INFOR FEB 14 — 9 AVRIL 2009 ]
>
AGENDA
23 AVRIL 2009
Politique préventive en matière d’alcool et de drogue
8 MAI 2009
LIEU: INFO:
LIEU: INFO:
Quels sont les défis posés par le paquet TVA aux entreprises ?
14 MAI 2009
>
ELECTIONS EUROPÉENNES 2009
FEB, Bruxelles Nathalie Petit T 02 515 09 64
[email protected] FEB, Bruxelles Laurent Sempot T 02 515 09 83
[email protected]
COMMERCE INTERNATIONAL
Les signes de protectionnisme se multiplient
Europe ? Europe ! Vous trouverez en annexe le Mémorandum de la FEB en vue des élections européennes du 7 juin prochain. En cette période de crise économique
En raison de la situation économique diffici-
aiguë, la FEB souligne dans ce document la nécessité d’une Europe forte,
le, certains pays sont tentés de fermer leurs
dotée d’un véritable marché intérieur des produits et des services et qui condamne toute forme de protectionnisme. Eu égard à l’impact considé-
marchés aux produits et prestataires de ser-
rable qu’ont les décisions européennes sur la vie des entreprises, et ce
vices étrangers. Jusqu’au début de cette
qu’elles relèvent du secteur de l’industrie ou de celui des services, la FEB invite les futurs eurodé-
année, la plupart d’entre eux y ont relative-
putés belges à être à leur écoute. Dans cette perspective, elle formule une série de demandes con-
ment bien résisté. Mais, depuis quelques
crètes concernant des dossiers spécifiques. Elles concernent tant le court terme – pour faire face
mois, l’Organisation mondiale du commerce
à la crise actuelle – que le plus long terme. Bonne lecture !
(OMC) constate une multiplication du nombre Diane Struyven –
[email protected]
de mesures entraînant des distorsions ou des restrictions du commerce. Heureusement, il
OUVRIER
EMPLOYÉ
n’est pas encore question d’un recours géné-
2000
74,91
67,67
ralisé à des mesures protectionnistes. La vigi-
2007
75,08
68,50
lance est toutefois de mise, d’autant plus que
2008
75,30
68,66
certains plans de relance – certes indispen-
2009
75,15
68,55
sables – contiennent des éléments visant à
sociales y afférentes. En effet, les employeurs
ANNÉE
paient plus que le salaire proprement dit des périodes de travail effectif. En comparaison avec 2008, on observe une très légère baisse des charges sociales, imputable à la diminu-
privilégier les produits et prestataires de ser-
tion des taux de cotisation au Fonds de fermeture, que la FEB a obtenue (de 0,15% à
Ces chiffres généraux ne prennent pas
0,10% pour les missions classiques et de
vices nationaux par rapport aux importations.
en compte toutes les charges (par exemple
Le protectionnisme risque d’approfon-
0,15% à 0,14% pour le chômage temporaire).
13e mois, assurances de groupe, chèques
dir et de prolonger la crise économique. C’est
Par ailleurs, il a été convenu, en juin 2008
repas, frais de transport, voiture de société),
pourquoi l’OMC doit suivre la situation acti-
déjà, de réduire la cotisation pour le congé-
ni les réductions de charges. Ils doivent donc
vement. Les pays du G20 doivent tenir leur
éducation payé de 0,08% à 0,06% jusqu’au
être corrigés en fonction de la situation spé-
promesse consistant à ne pas instaurer de
troisième trimestre 2009. Comme l’année der-
cifique de chaque secteur ou entreprise.
nouvelles entraves aux échanges et aux inves-
nière, on note, tant pour les ouvriers que pour
Malgré la légère baisse, les charges moyennes
tissements transfrontaliers en biens et en
les employés, une hausse du nombre de jours
que supportent nos entreprises pour chaque
services, ne pas appliquer de nouvelles res-
d’absence indemnisés par l’assurance mala-
heure prestée restent très élevées.
trictions aux exportations et ne pas adopter de mesures incompatibles avec les règles de
die-invalidité. Le nombre de jours d’absence couverts par le salaire garanti hebdomadaire ou mensuel est resté constant.
www.feb.be > Publications/chiffres et faits
l’OMC en vue de stimuler leurs exportations.
Anneleen Bettens –
[email protected]
Cette promesse a initialement été faite à la fin de l’année dernière lors du sommet de Washington et elle a été reconfirmée la semaine dernière à Londres. Pour le reste, les négociations relatives au Doha Development Agenda doivent être poursuivies en vue d’un résultat équilibré et axé sur l’avenir. Pour démontrer que le multilatéralisme fonctionne, les membres de l’OMC pourraient en outre
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15 RÉDACTION
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Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 –
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ANNEXES PUBLICITAIRES
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à la facilitation des échanges et de mettre l’accord en œuvre anticipativement.
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CHANGEMENTS D’ADRESSE COPYRIGHT
décider d’accélérer les discussions ayant trait
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L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de l'écosystème forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est responsable d'un point de vue économique.
Le prochain Infor FEB paraîtra le 23 avril 2009
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 –
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[ INFOR FEB 14 — 9 AVRIL 2009 ]
FEB Social Academy 2009 Comment informer les travailleurs à propos de matières délicates ?