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La newsletter pour décideurs
[ 11 JUIN
2009 – N° 22
]
Le travail difficile peut commencer Dans ce contexte, les employeurs demandent
consentis à quel endroit. Dans cette optique,
que l’efficacité des pouvoirs publics soit une
nous devrons abandonner un certain nombre de
préoccupation centrale.
postulats qui sont encore considérés aujour-
Il est évident que la tâche devient extrême-
d’hui par beaucoup comme allant de soi.
ment complexe, car il ne s’agit pas en
Songeons notamment aux mécanismes qui font
l’espèce de redistribuer d’abondants flux de
augmenter les dépenses publiques de façon
richesse, mais plutôt d’assigner des pro-
totalement indépendante de la croissance,
blèmes. C’est pourquoi il est essentiel que de
comme la norme de croissance réelle de 4,5%
Comme si la crise économique et le gouffre
part et d’autre de la frontière linguistique, l’on
applicable aux soins de santé.
budgétaire ne constituaient pas encore des
s’abstienne, maintenant et dans les prochaines
défis suffisants, l’électeur a mélangé les
semaines, de toute joute verbale, et que l’on
cartes d’une manière qui ne facilite réelle-
s’efforce au contraire de convenir de schémas
ment ni la formation des gouvernements régio-
de travail réalistes. Un minimum de confiance
naux et communautaires, ni le dialogue
réciproque et d’empathie sera indispensable si
communautaire. Mais l’électeur s’est pronon-
nous voulons donner une nouvelle chance au
cé et il revient maintenant au monde politique
dialogue. Faire preuve de discrétion dans
Ou l’idée que notre tissu économique puisse
de mettre sur pied, sans perdre de temps, des
l’approche s’avère aussi crucial. Ne fût-ce que
continuer à supporter des augmentations sala-
gouvernements qui s’attèlent aux problèmes
parce que nous devons absolument nous abs-
riales continuelles, et l’indifférence avec
prioritaires, de manière réaliste mais éner-
tenir de donner à nouveau de la Belgique une
laquelle nous laissons notre marché du travail
gique. Et s’agissant du gouvernement fédéral,
image externe de failed state et d'un pays
se vider de nombreux talents.
le temps de se réfugier derrière la fièvre élec-
étroit d’esprit. Nos entreprises tournées vers
Une mission peu enviable attend donc nos
torale intense pour justifier son attitude hési-
les exportations en ont ras-le-bol de devoir fai-
élus. Ceux qui ont demandé les faveurs de
tante et prudente est révolu.
re du damage control sur la scène internatio-
l’électeur doivent maintenant être prêts à
Même si le vote de la grande majorité des
nale en raison d’hommes politiques intempestifs
prendre leurs responsabilités.
électeurs procède sans aucun doute d'un
et de médias polarisants.
Face à la crise économique la plus grave que
réflexe socio-économique, une relance du dia-
Une politique de relance efficace ainsi qu’un
nous ayons dû affronter depuis 75 ans, il faut
logue communautaire s’avère inéluctable.
retour progressif à l’équilibre des finances
maintenant garder son sang-froid et faire les
Celui-ci doit se concentrer sur une révision
publiques constitueront sans doute un défi
bons choix. Toutes celles et tous ceux qui
réfléchie de la loi de financement, étant don-
encore plus important. Les transferts de com-
feront montre de la capacité à aborder les pro-
né que les mécanismes actuels de finance-
pétences et de flux financiers ne résoudront
blèmes avec courage et lucidité pourront comp-
ment des Régions et Communautés seront
pas en soi les problèmes mais fourniront le
ter sur le soutien du monde des entreprises.
intenables à court terme pour l’État fédéral.
cadre pour indiquer quels efforts doivent être
A EPINGLER
Une relance du dialogue communautaire s’avère inéluctable et doit se concentrer sur une révision réfléchie de la loi de financement.
THOMAS LEYSEN, PRÉSIDENT
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE
> FAST TRACK > Vers une procédure d’urgence pour attirer des travailleurs étrangers L’E-GOUVERNEMENT DANS LA SÉCURITÉ SOCIALE
>
Déclaration d'emploi et de risque social ONSS
> Chèques-repas et restaurant d’entreprise
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
-19%
La Belgique attire moins
Selon Ernst & Young, les investissements étrangers en Belgique ont, en 2008, baissé de 19% par rapport à 2007. Aux Pays-Bas, en Allemagne et en France – nos principaux concurrents en termes d’attrait de projets d’investissements étrangers –, ce pourcentage était de respectivement -6%, +28% et -3%. Plus d’infos : www.feb.be> publications > chiffres et faits
[ INFOR FEB 22 — 11 JUIN 2009 ]
>
L’E-GOUVERNEMENT DANS LA SÉCURITÉ SOCIALE
d’un travailleur. À partir du 1er avril 2010,
>
ONSS
tous les employeurs devront appliquer ce nou-
Chèques-repas et restaurant d’entreprise
Déclaration d'emploi et de risque social
veau système moyennant une période transi-
Une avancée considérable en matière d’e-gou-
de travail, chômage temporaire, maladie,…)
Le prix coûtant d’un repas sera fixé à 5,41
vernement : le projet "reengeneering DIMO-
réalise lui aussi une percée. Employeurs, syn-
EUR en 2010 et à 5,91 EUR en 2011. Pour
NA". Celui-ci – qui consiste à faire de
dicats, prestataires de services et pouvoirs
rappel, le cumul entre le chèque-repas et le
l’ancienne application DIMONA un système
publics souscrivent tous au plan de développe-
repas à un prix inférieur au prix coûtant dans
moderne et efficace répondant aux besoins
ment avancé par la FEB et l’Union des secré-
le restaurant d’entreprise est interdit. Deux
actuels des employeurs, des prestataires de
tariats sociaux agréés. Ce plan définit un trajet
hypothèses se présentent. Si le prix du repas
services et des pouvoirs publics – entre dans
réaliste pour le développement de l’e-DRS dans
est au moins égal au prix coûtant, il n’y a pas
une phase test. Pour rappel, la DIMONA per-
les secteurs du chômage et des allocations (voir
de problème de cumul. Le travailleur n’est pas
met de notifier en temps utile chaque début,
Infor n° 13). Le Comité de gestion de l’ONEM
obligé de payer avec un chèque-repas et, s’il le
modification, annulation ou fin d’embauche
a déjà approuvé ce plan, ce que feront bientôt
fait, la différence entre le prix du repas et la
aussi le Conseil national du travail et le
valeur faciale du chèque-repas peut lui être
comité de gestion de l’INAMI.
remboursée. En revanche, si le prix du repas
toire de 6 mois. Le projet d’e-DRS (déclaration électronique d’un risque social : fin d’un contrat
La FEB se réjouit des progrès réalisés
est inférieur au prix coûtant, il y a cumul inter-
dans ce dossier. Avec l’ONSS, elle va informer
dit. Le travailleur doit payer son repas au
les entreprises des possibilités offertes par la
moyen d’un chèque-repas et la différence ne
DIMONA et l’e-DRS. Elle entend encoura-
peut pas lui être remboursée.
ger une utilisation maximale de l’e-DRS,
Le comité de gestion de l’ONSS considère le
tout en respectant les intérêts des
prix coûtant d’un repas comme étant égal au
employeurs et l’objectif de simplification
montant maximum de l’intervention patronale
administrative. Quant à la suppression des
dans le chèque-repas. Dans le cadre de l'AIP
déclarations sur papier et au passage à la
2009-2010, ce montant maximum a été por-
seule e-DRS, ils ne peuvent être décidés
té de 4,91 à 5,91 EUR par chèque-repas à par-
qu’en concertation avec les partenaires
tir du 1er janvier 2009. Malgré l’alignement de
sociaux.
principe, le comité de gestion a estimé nécesAnneleen Bettens –
[email protected]
saire de laisser aux entreprises une période de
Bart Buysse –
[email protected]
transition pour adapter les prix dans les res-
ACTION FEB
> La 98e Conférence internationale du travail se penche sur la crise
tés y commentent tous les aspects socio-économiques de la crise dans le cadre de sessions
> Class Action: tu quoque Europa ?
thématiques suivies de débats. La semaine
La FEB a invité à sa tribune, le 2 juin dernier,
La 98e Conférence internationale du travail a
prochaine, quelques personnalités politiques
Harrie Temmink, membre du Cabinet de la
débuté la semaine dernière à Genève. Il s’agit
de haut niveau y feront également leur appari-
Commissaire Kuneva, en charge de la protec-
de la rencontre annuelle de l’Organisation
tion. Parallèlement, deux commissions ‘ordi-
tion des consommateurs. Il a fait le point sur
internationale du travail (OIT), une institution
naires’ sont actives. La première tient un débat
les récentes évolutions en matière de recours
spécialisée des Nations unies. Quelque 4.000
général sur l’égalité de traitement entre
collectifs des consommateurs au niveau euro-
représentants des gouvernements, employeurs
hommes et femmes sur le marché du travail et
péen. A la suite du Livre Vert de M. Kuneva –
et syndicats de 183 États membres y discutent
la seconde a pour objectif la formulation d’une
qui a recueilli 180 réponses dont celles de la
de dossiers d’actualité dans le monde du tra-
recommandation relative à l’approche du sida
FEB –, la DG SANCO a lancé une nouvelle
vail. Cette année, une commission spéciale est
dans le monde du travail.
consultation. De plus, elle procède à une éva-
consacrée à la crise. Plusieurs orateurs répu-
Comme chaque année, une attention particu-
luation du coût des options politiques préco-
lière est accordée à la commission rela-
nisées par le Livre Vert, dont l’introduction
tive à l’application des normes, qui
d’un recours collectif (voir http://ec.europa.eu/
discute d’une série de cas de non-appli-
consumers/redress_cons/collective_redress_en.
cation ou d’infraction aux normes inter-
htm). La session fut suivie d’un débat animé,
nationales
sur
notamment sur le lien avec la directive proje-
l’application des normes spécifiques en
tée de N. Kroes visant à introduire une class
matière de sécurité et de santé au tra-
action en cas d’infraction au droit des
vail. Une forte délégation de la FEB est
ententes. La FEB a rappelé son opposition à
présente sur place et participe active-
une class action du type américain.
(g. à dr.) Kris De Meester (FEB), Jan Denys (Randstad), Jacques Da Costa (ancien directeur de la Fédération pétrolière belge), Marie-Louise Storm (Agoria) et Ivo Van Damme (FEB).
et
d’un
rapport
ment aux débats. Kris De Meester –
[email protected]
Diane Struyven –
[email protected]
FAST TRACK
Vers une procédure d’urgence pour attirer des travailleurs étrangers Les résultats du projet Fast Track, dont le but est de donner aux tra-
d’information pour les entreprises belges est le Service de migration éco-
vailleurs et investisseurs étrangers un accès plus aisé à l’économie bel-
nomique (SMEDEM). Il a été érigé le 15 septembre 2008 au sein de
ge, ont été présentés le 2 juin dernier par le SPF Affaires étrangères.
l’Office des étrangers, mais est toujours relativement peu connu. Ses
Le projet pilote consistait à assister activement des investisseurs poten-
principales missions sont un meilleur encadrement des travailleurs
tiels en Chine et en Inde au départ des postes diplomatiques et consu-
étrangers dans le dédale administratif de la délivrance d’un visa
laires belges. Désormais, les demandes de visa prioritaires pour des
d’affaires et de travail, l’inscription au registre des étrangers et la remi-
hommes d’affaires sont traitées dans la semaine et les ambassades
se d’un titre de séjour pour la main-d’œuvre étrangère.
prennent sérieusement en compte les intérêts pour l’économie belge lors
Pour la FEB, un projet tel que Fast Track peut contribuer à inté-
de l’octroi d’un visa.
grer plus facilement, dans le monde des affaires, des travailleurs étran-
L’autorité compétente pour agir comme point de contact et centre
gers dotés d’une importante valeur économique. Mais cette procédure d’urgence ne peut représenter un véritable avantage concurrentiel en vue
de
revaloriser
le
climat
d’investissement belge que si le
Désormais, les demandes de visa prioritaires pour des hommes d’affaires sont traitées dans la semaine.
Service de migration économique y participe activement. C’est pourquoi la FEB insiste pour que ce service clarifie ses compétences et les rende plus accessibles aux entreprises belges. Stefaan Verhamme –
[email protected]
taurants d'entreprise. Il a dès lors décidé de
de nombreux établissements financiers est
maintenir le montant du prix coûtant du repas
transfrontalière.
d’un système de surveillance destiné à pro-
au restaurant d'entreprise à 4,91 EUR en
Le nouveau dispositif de surveillance finan-
mouvoir la stabilité et la sécurité financières.
2009, de le fixer à 5,41 EUR à partir du 1er
cière devrait comporter deux piliers.
Il est indispensable que chacun des acteurs
janvier 2010 et à 5,91 EUR à partir du 1er jan-
• Un Conseil européen du risque systémique
joue son rôle sous peine de créer de nouvelles
vier 2011.
(CESR), qui serait chargé d’évaluer en per-
La FEB plaide pour la mise en place
institutions inefficaces.
Vu l’adaptation progressive des prix
manence la stabilité du système financier
décidée par le comité de gestion de l’ONSS, en
dans son ensemble (surveillance macropru-
2010, un repas pour lequel le travailleur paie
dentielle). En cas de risques systémiques
La communication est soumise à une consulta-
au moins la somme de 5,41 EUR sera censé
prévisibles, il devrait émettre des alertes et
tion publique jusqu’au 15 juillet
être offert au prix coûtant et n'entraînera pas
formuler des recommandations. Il serait aus-
http://ec.europa.eu/internal_market/consultations/
de problème de cumul. Ce montant passera à
si chargé d’assurer le contrôle des suites don-
2009/fin_supervision_may_en.htm
5,91 EUR en 2011. Il s’agit d’un repas stan-
nées à ces alertes et à ces recommandations.
dard, c’est-à-dire un repas composé d’un pota-
• Un Système européen de surveillance finan-
ge ou d’une entrée légère, d’un plat chaud,
cière (SESF), chargé de la surveillance
d’un dessert et d’une boisson.
microprudentielle et composé de trois nou-
Catherine Vermeersch –
[email protected]
velles autorités européennes de surveillance. Ce système serait basé sur une collaboration
>
MARCHÉS FINANCIERS EUROPÉENS
Vers un nouveau système de surveillance
Christine Darville –
[email protected]
>
ASSURANCE CRÉDIT
Accord du gouvernement sur BELGACAP
étroite entre ces autorités et les autorités
Le 29 mai dernier, le gouvernement est parve-
nationales de surveillance financière. Le
nu à un accord sur l’introduction du système
SESF combinerait la surveillance des entre-
baptisé BELGACAP. Dans ce cadre, l’État assu-
prises à l’échelon national avec la réalisation
me, contre paiement d’une prime, une partie
de missions spécifiques à l’échelon euro-
de la diminution de couverture que les assu-
péen. Ainsi, les autorités européennes
reurs crédit signifient à leurs clients. Faisant
La Commission européenne vient d’adopter
seraient chargées de surveiller exclusivement
suite au nombre croissant de faillites, les assu-
une communication sur la surveillance finan-
certaines entités spécifiques, comme les
reurs crédit ont tendance, depuis octobre
cière en Europe. En effet, les systèmes actuels
agences de notation du crédit, ou encore
2008, à diminuer, voire supprimer, leurs garan-
de surveillance, ayant une base nationale, se
d’agréger toutes les informations micropru-
ties lorsqu’un client représente un risque trop
sont avérés dépassés par rapport à des mar-
dentielles émanant des autorités nationales
important. Cette diminution de couverture
chés financiers interconnectés et où l’activité
de surveillance.
hypothèque les transactions commerciales.
[ INFOR FEB 22 — 11 JUIN 2009 ]
>
AGENDA
24 JUIN 2009 de 9h45 à 12h30
LIEU :
FEB, Bruxelles
INFO :
Daisy Marits T 02 515 09 11
Séminaire organisé par la FEB
F 02 515 09 15
Le 23 avril 2009, la Cour de justice des Communautés européennes a rendu un important arrêt à propos de la réglementation belge sur les offres conjointes. L’interdiction de principe des offres conjointes a été jugée non conforme à la directive sur les pratiques commerciales déloyales. Et maintenant ? La loi sur les pratiques du commerce doit être réécrite.
[email protected]
Que va-t-il se passer dans l’intervalle ? Autant de questions ouvertes auxquelles ce séminaire tentera de répondre.
Le pour et le contre du Contrat de solidarité entre générations
10 SEPTEMBRE 2009 de 8h30 à 17h00
LIEU :
FEB, Bruxelles
INFO :
Nathalie Petit T 02 515 09 64
Colloque FEB
F 02 515 09 15
La loi du 23 décembre 2005 et de nombreux arrêtés royaux ont donné exécution au Contrat de solidarité entre générations. Quatre ans plus tard, la FEB dresse le bilan. Ce colloque aborde la matière en 3 grandes parties : les principales mesures du Contrat de solidarité, des témoignages d’entreprises et, enfin, un débat. Après les conclusions de cette journée d’étude, le Premier ministre Herman Van Rompuy communiquera sa propre vision de la problématique.
[email protected]
Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations
Aussi, la FEB plaide-t-elle, depuis le début de cette année déjà, pour l’introduction d’un système de Complément d’assurance crédit public (CAP), inspiré du modèle en vigueur en France depuis l’an dernier. La FEB se réjouit que le gouvernement se montre disposé à mettre ce mécanisme en œuvre. Un éventuel système BELGACAP ne pouvant être disponible que si les assureurs crédit le distribuent effectivement sur le marché, la FEB espère qu’un accord complet et définitif sera rapidement atteint avec le secteur concernant sa concrétisation dans notre pays. Les perspectives les plus récentes à cet égard sont prudemment positives. Frederic Teerlynck –
[email protected]
>
SIMPLIFICATION ADMINISTRATIVE
Votre avis d’entrepreneur compte, plus que jamais ! Le Bureau fédéral du plan procède actuellement à l'envoi, à la demande de l’Agence pour la simplification administrative (ASA), de questionnaires à un échantillon représentatif d’entreprises et d’indépendants. Le but : évaluer les charges administratives dans trois grands domaines législatifs : la fiscalité, l’environnement et l’emploi. L’objectif poursuivi par le premier volet de l’enquête consiste à calculer, en utilisant exactement la même méthodologie qu’en 2000, 2002, 2004 et
2006, le coût global des formalités administratives en 2008, et ce tant en chiffres absolus qu’en pourcentage du PIB. Dans la deuxième partie du questionnaire, les entreprises et indépendants peuvent, sur la base d’un certain nombre de propositions, donner leur avis au sujet de la qualité de la réglementation et de son application par les pouvoirs publics. Enfin, une dernière question ouverte leur permet de formuler des suggestions de simplifications administratives urgentes. Cette enquête est soutenue par toutes les organisations d’entreprises représentées au sein du comité d’orientation de l’ASA, à savoir la FEB, UNIZO, l’UCM, AGORIA et la Confédération Construction. Les premiers résultats de cette enquête seront disponibles en octobre 2009, et le rapport
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final sera publié au mois de décembre. La FEB insiste pour que les entreprises qui reçoivent ce questionnaire y répondent. En effet, la suppression du handicap de la Belgique en termes de coûts administratifs fait plus que jamais partie des priorités de la
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL
RÉDACTION
:
FEB. Dans cette perspective, des chiffres offi-
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
ciels et comparables, ainsi qu’une apprécia-
Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 –
[email protected]
tion qualitative et des suggestions concrètes,
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 –
[email protected] ÉDITEUR RESPONSABLE
:
Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: ANNEXES PUBLICITAIRES
Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 –
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L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de l'écosystème forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est responsable d'un point de vue économique.
sont essentiels pour continuer à contraindre les responsables politiques et administratifs à imposer moins de procédures administratives et de meilleure qualité. Philip Verstraete –
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[ INFOR FEB 22 — 11 JUIN 2009 ]
La loi sur les pratiques du commerce après l’arrêt du 23 avril 2009 de la Cour de justice européenne