DELHALLE Mariette AFANYAN Margaux Première ES B
TD 2 – LES DIFFERENTES THEORIES DE LA CULTURE 17/20 UN TRES BON TP EXPLICITE QUI ARTICULE BIEN COURS ET DOC UNE BONNE UTILISATION DU DOSSIER LES ANALYSES ET DEMARCHES VUES E COURS SONT MAITRISEES LES DOCS STATS BIEN DOMINES ATTENTION A L’UTILISATIONDE STATS VOUS OFONDEZ ILS ONT UNE PROBA PLUS REDUITE ET ILS VONT MOINS A , APPUYEZ VOS AFFIRMATIONS SUR DES EXEMPLES , DES DEMONSTRATIONS 16/20 UNE TRES BONNNE QS EXPLICITEE ET STRUCTUREE , UNE BONNE REPRISE DU TP , UNE ARTICULATION COURS DOC CONVAINCANTE PAR CONTRE PEU DE REFERENCES AUX DOCS STATISTIQUES TROP D’AFFIRMATION TROP PEU DE CONSTATS ET DE DEMONSTRATIONS COMPLETEMENT EXPLICITES
Trav ail préparato
ire
1. ▪ En France, en octobre 2000, sur 100 personnes de 15 ans et plus issues du premier quartile de la population (correspondant aux 25% de la population ayant le niveau de vie le plus faible), 46 avaient lu au moins un livre au cours des douze derniers mois. Mode de calcul : nombre de personnes de 15 ans et plus issues du premier quartile de la population ayant lu au moins un livre au cours des douze derniers mois / nombre total de personnes de quinze ans et plus issues du premier quartile de la population française x 100 BIEN ▪ En France, en octobre 2000, sur cent enfants d’ouvriers sans pratique culturelle pendant l’enfance, environ 58 ont au moins une pratique culturelle à l’âge adulte. Mode de calcul : nombre d’enfants d’ouvriers sans pratique culturelle pendant l’enfance et ayant au moins une pratique culturelle à l’âge adulte / total d’enfants d’ouvriers sans pratique culturelle pendant l’enfance x 100 BIEN ▪ En France, octobre 2000, sur 100 habitants d’une commune rurale, 48 avaient lu au moins un livre au cours des douze derniers mois. Mode de calcul : nombre d’habitants d’une commune rurale ayant lu au moins un livre au cours des douze derniers mois / nombre total d’habitants d’une commune rurale x 100 BIEN
2. Les caractéristiques sociales des individus depuis leur enfance déterminent leurs chances de pratiquer ou non des activités culturelles à l'âge adulte. Si l'on part de l'enfance des individus : un enfant d'ouvrier sans pratique culturelle pendant l'enfance a 3 fois moins de chances d'en pratiquer à l'âge adulte qu'un enfant de cadre qui en a pratiqué pendant son enfance. tb Ensuite, son niveau de diplôme a aussi une influence. Le chiffre le plus parlant concerne les sorties au théâtre ou au concert : les individus sans diplôme ont environ 5 fois moins de chances d'y aller que ceux qui ont un diplôme d'études supérieures.JUSTE
Ce niveau de diplôme a évidemment une influence sur la CSP des individus, on retrouve donc des rapports similaires : les cadres ou profession libérale vont environ 6 fois plus FAUX EN PROBA ILS ONT au cinéma que les agriculteurs exploitants. La CSP détermine le niveau de vie des individus, Ainsi plus celui ci est élevé, plus les chances de pratiquer des activités culturelles légitimes le sont aussi. La population du premier quartile (25% de français les plus pauvres) vont 3 fois moins NON SA PROBA D’ALLER C’est DIFFERENT au théâtre ou à des concerts que la population du quatrième quartile (25% les plus riches). Enfin, le lieu de résidence des individus influe également sur les pratiques culturelles. Un habitant de commune rurale a deux fois moins de chances d'aller au théâtre ou à des concerts qu'un habitant d'une unité urbaine de Paris. Tous ces facteurs sont étroitement liés, puisque les uns déterminent les autres.ET QU’ILS SE CUMULENT Les déterminants les plus importants sont l'origine sociale et le niveau de diplôme, ce qui montre que le passé de l'individu influe beaucoup sur ses pratiques culturelles.
3. Certaines données permettent de relativiser cette homogénéité culturelle : un enfant d'ouvrier ayant eu une pratique culturelle pendant l'enfance ont plus de chances de visiter des musées, des expositions, ou des monuments historiques que les enfants de cadre n'ayant pas eu de pratique culturelle pendant l'enfance (38% contre 36%). TB De plus, les activités dites « populaires » ne sont pas forcément réservées aux classes du même nom. Ainsi, 68% des individus du quatrième quartile de population, 80% des diplômés supérieurs et 71% des cadres vont au cinéma, qui est considéré comme une pratique culturelle « populaire ».TB Toutes ces données permettent de déduire que les individus ne sont pas totalement déterminés par leur appartenance sociale, et qu'il n'y a pas de pratiques strictement réservées à une certaine partie de la population. 4. Selon Bourdieu, le capital culturel se transmet entre les générations, ce qui permet aux classes sociales de se reproduire et de se fermer. En effet, la noblesse, en transmettant à ses enfants la culture qui fait d’eux des individus distingués, crée des barrières invisibles qu’un individu qui souhaiterait intégrer cette classe ne pourrait franchir puisqu’il n’a pas, dès sa naissance, bénéficié de cette culture. TB DONNEZ UN EXEMPLE L’analyse de Bourdieu est valable pour la société française car il existe des « anciens riches LA RICHESSE FINANCIERE N’EST PAS SYNONYME DE CULTURE » qui connaissent les codes culturels de leur classe sociale, et qui sont capables de distinguer les individus qui ne sont pas issus de cette classe et qui tenteraient de s’y intégrer en développant des goûts (musicaux, vestimentaires…) qu’ils croient « chics » mais qui ne sont qu’une imitation de la vraie culture noble. Selon Veblen, il est possible pour les individus issus de classes populaires d’accéder aux « classes de loisirs », c'est-à-dire aux classes plus élevées car ils peuvent se donner les moyens d’atteindre ces classes s’ils le désirent vraiment. Leur origine sociale n’est pas, comme le pense Bourdieu, une « frontière hermétique » infranchissable.TB Veblen étant américain, on peut expliquer son raisonnement par le fait que les Etats-Unis, au XIXème siècle, était un pays nouveau, où il n’y avait donc pas « d’anciens riches » dont la culture était très ancienne et codifiée et qui dominait les autres cultures. Les riches étaient
donc nouvellement riches et tout le monde pouvait intégrer les classes supérieures sans avoir auparavant intégré une culture spécifique. 5. Dans les années 60, les pratiques culturelles étaient réellement différentes selon les classes sociales. Les pratiques qui avaient une valeur supérieureON DIRA PLUTOT DISTINCTIVES AU SENS DE BOURDIEU aux autres comme le théâtre et l’opéra étaient réservées aux classes supérieures, et les classes populaires n’y avaient pas accès. Les évolutions observées depuis les années 60 qui relativisent l’analyse de Bourdieu sont que contrairement à ce que l’on pourrait penser, seule une minorité des individus des classes supérieures ne pratique QUE des activités culturelles « légitimes ». En réalité la majorité ne pratique qu’un mélange de pratiques culturelles légitimes et peu légitimesDONNEZ DES EXEMPLES. On sait également qu’une partie des individus de classes populaires pratique aujourd’hui des activités culturelles à valeur supérieure.BIEN DONNEZ LA AUSSI UN EXEMPLE 6. Cette phrase signifie que les individus sont aujourd’hui, hormis les agents de socialisation primaireEXPLIQUEZ LE ROLE DE LA SOCIALISATION PRIMAIRE CHEZ BOURDIEU (école, famille) soumis à l’influence d’agents de socialisation secondaires comme les médias, les pairs et amis, qui ont chacun des influences différentes, voire contradictoires. Par exemple, alors que l’agent de socialisation primaire « école » favorisera la lecture de livres, l’agent de socialisation secondaire « amis » encouragera des pratiques culturelles différentesLESQUELLES ?. L’individu qui est un HSA aura donc le choix entre plusieurs modèles de pratiques culturelles, et selon son objectif, il déterminera celle qui lui sera favorable, générant ou un effet positif, ou un effet pervers du à leur rationalité limitée. Cela démontre aussi que l’individu n’est pas essentiellement déterminé par sa classe sociale (agent de socialisation primaire « famille ») comme le pensait Bourdieu. QUESTION DE SYNTHESE Intro : « Marcel, retraité des PTT et son voisin de caravane Jean-Michel également retraité sont en vacances dans le sud de la France au camping des Moules Marinières. Tous les après-midi, vers 17h ils se retrouvent au terrain de pétanque afin de disputer une partie acharnée avec les autres soixantenaires mordus de ce sport de vacances. Ils ne manqueront pas de se désaltérer avec un petit verre de pastis sous les yeux vigilants de leurs femmes respectives Jacqueline et Marie-Paule. » Cette scène semble exagérée, pourtant elle est le fruit des préjugés qu’ont les français sur une activité culturelle populaire. En effet, on imagine mal Charles-Alexis de la Haute Bavière jouer à la pétanque avec ses amis nobles. La culture est aujourd’hui représentative d’un peuple. Son patrimoine culturel, plus ou moins important et ancré dans la société peut être un déterminant des pratiques culturelles, des rites, des valeurs et des normes de ce peuple. Def des termes du sujet : La culture est tout d’abord le propre de l’homme, c'est-à-dire qu’elle s’oppose à la nature et n’est pas innée. La culture est aussi dans certains cas un héritage culturel qui donne lieu à des pratiques culturelles. Ces pratiques sont des activités que l’individu fait et qui ont un but culturel comme la lecture de livre, les visites de musées ou de galeries d’art, la lecture de livres… Elles varient selon les individus et peuvent parfois être un critère de "classement". Les pratiques culturelles sont-elles déterminées par la classe sociale de l’individu ou sont-elles le résultat d’un choix individuel de celui-ci ? IL MANQUE UNE COHERENCE D’ENSEMBLE A VOTRE INTRO L’ACCROCHE EST PAR CONTRE EXCELLENTE I – Des pratiques culturelles différentes qui assurent une homogénéité et une fermeture des groupes sociaux comme le démontre Pierre Bourdieu
a) Constat : Des pratiques culturelles différentes selon les milieux sociaux Les sondages réalisés en octobre 2000 par l’INSEE démontrent que les pratiques culturelles des français sont fortement influencées par des critères sociaux. Pour effectuer ces sondages, l’INSEE a interrogé des français de toutes les classes sociales sur leurs activités culturelles pratiquées (la lecture de livres, le cinéma, la visite de musées, d’expositions ou de monuments historiques, les sorties au théâtre ou au concert, et les pratiques en amateur). Il a ensuite classé la population selon plusieurs critères sociaux, qui sont la PCS, le lieu de résidence, le niveau de vie, le niveau de diplôme, les pratiques pendant l’enfance et l’origine sociale. Après recensement de ces statistiques, on s’aperçoit que quel que soit le critère social, les individus d’une même catégorie pratiquent les mêmes activités culturelles. Il y a des pratiques culturelles dites « légitimes », c'est-à-dire qu’elles ont une valeur reconnue supérieure aux autres (ici, ce sont les visites de musées, d’expositions ou de monuments historiques et les sorties au théâtre). Elles sont pratiquées par les classes supérieures. Les autres pratiques culturelles dites « populaires » sont pratiquées en majorité par les classes populaires. Par exemple, les cadres et professions libérales vont 3 fois plus VOUS NE CITEZ QU’UN CHIFFRE ET MALHEUREUSEMENT IL EST FAUX C’EST DOMMAGE CAR CE QUE VOUS DITES EST COHERENT ET TOUT A FAIT DANS LE SUJET PAR CONTRE IL FAUT S’APPUYER SUR LES DONNEES CHIFFREESau musée, visiter des expositions ou des monuments historiques que les agriculteurs exploitants. On peut donc dire que chaque catégorie s’oriente vers certaines pratiques culturelles et non pas vers d’autres, donc les pratiques culturelles sont différentes selon les milieux sociaux. b) Conséquences : Une homogénéité et une fermeture des groupes sociaux : Ces différences de pratiques donnent lieu à des groupes sociaux très fermés et homogènes. Homogènes, c'est-à-dire, comme constaté précédemment, que la majorité des individus d’un même groupe social pratique les mêmes activités culturelles tandis qu’au contraire elle s’interdit d’exercer d’autres pratiques. C’est le cas surtout des classes supérieures qui ont des pratiques qui leur sont presque « réservées » comme l’opéra ou le théâtre alors que les classes populaires doivent se contenter de pratiques culturelles « dégriffées » comme des œuvres « légères » en musique ou des revues de vulgarisation plutôt que des revues savantes. On dit alors que les groupes sont « fermés » car il est difficile, voir impossible, pour les individus de classes populaires de passer dans un classe supérieure à la leur, et les individus de l’élite on peu de chance de régresser dans la hiérarchie sociale, puisque leur « bon goût » culturel permet de les distinguer et de leur assurer une place élevée.UN BON RAISONNEMENT MAIS IL FAUT SEPARE DAVANTAGE HOMOGENEITE ET FERMETURE DU GROUPE c) Démonstration théorique : théorie de Pierre Bourdieu La fermeture et l’homogénéité des groupes sociaux s’expliquent pour Pierre Bourdieu par la transmission du patrimoine culturel de génération en génération. En effet, comme il démontre, les enfants conservent adultes les pratiques qu’ils avaient l’habitude d’exercer avec leurs famille étant enfant.D’OU L’IMPORTANCE DE LA SOCIALISATION PRIMAIRE Dans les classes hautes surtout, comme les classes bourgeoises et nobles, on apprend aux enfants dès leur plus jeune âge les « bonnes manières », le « bon goût », les valeurs et modèles de comportements qu’ils vont intérioriser et qui vont leur permettre d’être acceptés et reconnus par leur classe sociale.HABITUS Les individus issus des classes populaires n’ayant pas reçu de leurs parents ce patrimoine culturel auront des difficultés à s’intégrer dans les classes supérieures malgré leurs efforts à copier le bon goût de l’élite. A l’inverse, une personne noble serait mal vue si elle tentait de s’intégrer à une classe populaire. Pierre Bourdieu utilise le terme de « un plafond de verre » pour qualifier la fermeture des groupes. Sa théorie est valable en France car les patrimoines culturels sont très anciens et ont une grande importance dans notre société, séparant depuis plusieurs siècles les différentes classes. Il n’en est pas de même aux Etats-Unis où les classes supérieures sont souvent constituées de « nouveaux riches » et accordent
beaucoup moins d’importance à l’origine sociale, car le patrimoine culturel est moins important est surtout moins ancrées dans la société qu’en France.CELA VA EN PARTIE II OU ALORS PEUT SERVIR A LA LIMITE DE TRANSITION Il y a donc une réelle homogénéité des classes sociales, qui s’explique en particulier par la place importante que les classes ont toujours eues dans la société. II – Des pratiques culturelles beaucoup moins homogènes que par le passé dues aux évolutions de la société comme le démontrent les sociologues interactionnistes a) Constat : Des pratiques culturelles beaucoup moins homogènes que par le passé Dans les sociétés traditionnelles, les différences de pratiques culturelles selon les classes étaient très marquées. Les individus des classes populaires étaient (auto)exclus de certaines formes de pratiques, comme l’opéra ou autres que les classes supérieures s’étaient appropriées. Dans la société d’aujourd’hui on constate tout de même une évolution de cette homogénéité des pratiques culturelles, même si les inégalités face à la culture restent nombreuses. On constate plusieurs changements qui relativisent la théorie du « plafond de verre » : (Question 5) Contrairement à ce que l’on pourrait penser, seule une minorité des individus des classes supérieures ne pratique QUE des activités culturelles « légitimes ». En réalité la majorité ne pratique qu’un mélange de pratiques culturelles légitimes et peu légitimes.EXEMPLES On sait également qu’une partie des individus de classes populaires pratique aujourd’hui des activités culturelles à valeur supérieure.IL FAUT S’APPUYER ABSOLUMET SUR LA Q3 ET CITER EXPLICITEMENT DES STATS b) Cause : Les évolutions de la société Le fait que les pratiques culturelles soient moins homogènes que par le passé s’explique par l’évolution de la société. En effet depuis 1960, les inégalités face à la culture légitime sont toujours visibles, mais la culture est en constante construction et les pratiques évoluent sans cesse.IL FAUT QUE VOUS ENDONNIEZ DES EX Ce qu’il était légitime de pratiquer pour une catégorie ne l’est plus forcément avec le temps, les valeurs et les normes ne sont pas éternellement figées. De plus la culture de masse se développe, on assiste à la montée en puissance de nouvelles industries culturelles, de nouveaux moyens de communication ou encore de nouveaux genres musicaux qui modifient le paysage culturel.PROUVEZ LE EX c) Explication : Démarche des sociologues interactionnistes Les sociologues interactionnistes expliquent cette évolution par le fait que les individus contemporains sont soumis à des influences diverses et parfois contradictoire. En effet il semble y avoir dans certains cas une absence de correspondance entre hiérarchie sociales et hiérarchie des pratiques, c'est-à-dire qu’un certain nombre d’individus n’ont pas des pratiques culturelles qui « correspondent » à leur milieu social. Dans les sociétés anciennes, les individus n’étaient soumis qu’à un seul type d’agent de socialisation : les agents de socialisation primaires, c'est-à-dire l’école et le milieu familialCeux-ci imposaient aux individus des modèles de comportement qui correspondaient à leur classe sociale et qu’ils intégraient, n’ayant pas d’autre modèle, donc pas d’autre choix de sous culture. C’est comme cela que les groupes sociaux restaient très fermés. . CELA DEVRAIT ETRE EN PARTIE I Dorénavant, les agents de socialisation primaires existent toujours, mais il s’est développé d’autres agents, les agents de socialisation secondaires, qui sont les groupes de pairs, les amis, les médias, le travail… qui proposent aux individus d’autres modèles culturels que celui des normes sociales. L’individu, en tant qu’HSA, a alors le choix entre plusieurs modèles, et il peut choisir le modèle imposé par sa classe sociale, ou une autre sous culture proposée par un agent de socialisation secondaire, ou bien choisir deux modèles de comportements qu’il combinera selon la personne ou le
groupe avec lequel il se trouve. BIEN MAIS DONNEZ EN DES EXEMPLES PRECIS C’est comme ça que de plus en plus d’individus, notamment des classes supérieures, se retrouvent à pratiquer toutes sortes d’activités culturelles, qu’elles soient « légitimes » ou « non légitimes ». Donc selon les sociologues interactionnistes dont la démarche est valable pour les sociétés contemporaines, IL AURAIT FALLU METTRE ICI VEBLEN les individus opèrent bien des choix, et contrairement à ce que pense Bourdieu, ils ne sont pas entièrement déterminésATTENTION BOURDIEU N’EST PAS AUSSI DETERMINISTE QUE DURKHEIM par leur classe sociale mais par leurs interactions. Conclusion : L’analyse des pratiques culturelles démontre que dans les sociétés traditionnelles ET MEME JUSQU’AUX ANNEES 60, les pratiques étaient réellement déterminées par la classe sociale de l’individu et qu’il y avait de très grandes différences de pratiques entre les classes.PLUTOT LES SOUS CULTURES Aujourd’hui, ces différences tendent à disparaîtreS’ESTOMPER et l’on s’aperçoit que les pratiques culturelles résultent beaucoup plus du choix de l’individu, comme le démontrent les sociologues interactionnistes. Cela s’explique par l’évolution de la société, qui a amenée de nouveaux modèles culturels et par la multiplication des agents de socialisations qui ont sur les individus des influences diverses et qui permettent une diversification des pratiques culturelles.ET L’INDIVIDUALISATION CROISSANTE DE NOTRE SOCIETE Partout, la culture joue un rôle et a une place importante. En Europe, par exemple tous les pays ont une culture différente et le sentiment nationaliste prédominant chez la majorité des européens pose parfois problème. Doit-on privilégier une culture européenne, basée sur une histoire commune ou l’addition des cultures nationales, toutes différentes qui forment un patrimoine culturel européen certes divisé mais aussi riche et diversifié ?IL FAUT QUE L’OUVERTURE SOIT PLUS RATTACHEE AU SUJET