Immobilier

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 Immobilier : optimisme chez les nouveaux acheteurs    Posted: Sat, 20 Jun 2009 09:58:32 PDT

Selon un sondage mené pour le compte de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SHL), 70% des nouveaux acheteurs croient que c’est le bon moment pour faire l’acquisition d’une maison dans leur voisinage. Le sondage de la SCHL démontre que les nouveaux acheteurs sont relativement bien éduqués face à la question du financement. À titre d'exemple, 86% des répondants ont affirmé que la balance des paiements reliés à leur nouvelle propriété ne devait pas dépasser 40% de leur revenu brut, un consensus généralement reconnu dans l'industrie. De plus, près de 75% des répondants ont affirmé viser un remboursement complet de leur hypothèque avant la fin de leur délai d'amortissement initial. En fait, 20 % des acheteurs récents ont mentionné avoir fait un remboursement anticipé du capital de leur prêt hypothécaire.

« Dans les conditions économiques actuelles, ce sondage démontre que les Canadiens continuent à être optimistes face à l'accès à la propriété en plus d'être des consommateurs d'hypothèque avertis », soutient François Blouin, directeur des produits d'assurance et de la direction stratégique à la SCHL. « Nos résultats confirment ce que nous avons déjà constaté par le passé, en matière d'hypothèque, les Canadiens sont informés et gèrent leurs dettes prudemment », ajoute-t-il. Le sondage est mené de façon annuelle par la SCHL depuis 1999. Cette année il a rejoint auprès de 2 500 consommateurs via Internet de la mi-mars à la mi-avril. •

 Le Canada est devenu une nation de propriétaires   

Posted: Thu, 18 Jun 2009 14:32:33 PDT

Un nombre record de ménages canadiens, soit 68,4%, étaient propriétaires de leur résidence en 2006, d'après un nouveau rapport de la Banque Scotia. Et ce nombre a probablement augmenté en 2007. Il s'agit d'une hausse importante puisqu'on comptait, une décennie plus tôt, 63,6% de ménages propriétaires. Par ailleurs, 9% des ménages canadiens possèdent une deuxième résidence, comme un chalet, un condo ou une autre maison pour les vacances. Il s'agit d'une hausse de sept% comparativement à 1999. Selon l'analyste Adrienne Warren, de la Banque Scotia, ces données s'expliquent en partie par le fait que la génération des baby-boomers sont maintenant âgés de 45 à 64 ans, le groupe d'âge le plus porté à acheter des maisons. Elle a toutefois ajouté que d'autres groupes d'âge ont aussi enregistré une hausse du nombre de propriétaires. •

 Les jours de la récession sont comptés !    Posted: Wed, 17 Jun 2009 06:08:52 PDT

Les économistes de l’American Bankers Association (ABA) considèrent que la recession prendra fin aux Etats-Unis durant le troisième trimestre de 2009. Cela étant, tout n’ira pas au mieux, car des problèmes perdureront, comme le chômage élevé et le risque d’inflation… «L’économie américaine retrouvera la croissance, mais pas forcément la santé», illustre Bruce Kasman, président du comité d’économistes de l’ABA et économiste en chef de JP Morgan Chase. Tout dépend de l’immobilier Ainsi, les dépenses des consommateurs semblent s’être stabilisées durant le premier semestre de 2009. Et pendant ce temps, les entreprises en ont profité pour liquider une partie de leurs stocks et réduire leurs coûts. Résultat : la situation est favorable à une reprise de l’activité et de la consommation, surtout que les incitations gouvernementales devraient propulser le mouvement, selon les experts de l’ABA. Quant aux marchés financiers, l’amélioration de ces dernières semaines concerne de plus en plus de secteurs, y compris le crédit. En conséquence, les investisseurs devraient voir leur moral remonter de

plus en plus. Par exemple, le secteur des logements résidentiels devrait voir rapidement la fin de la crise qui le secoue depuis trois années. «Le secteur de l’immobilier va être un acteur important de la reprise, vu les prix peu élevés et les taux d’emprunt bas», souligne M. Kasman. Fortes tensions inflationnistes Mais tous les problèmes ne vont pas se résoudre d’un coup de baguette magique. L’emploi, entre autres, va rester une épine dans l’économie américaine. Le taux de chômage devrait atteindre les 10%, et y rester un bon bout de temps, peut-être jusqu’en 2011. Autre ennui de taille en perspective : le risque d’inflation. La dette fédérale s’alourdissant, les experts de l’ABA craignent des tensions inflationnistes à partir de 2010. Pour éviter la surchauffe, ils considèrent que la Réserve fédérale devra maintenir bas ses taux directeurs. •

 Immobilier: Montréal épargnée par les baisses de prix    Posted: Wed, 17 Jun 2009 05:39:06 PDT

C'est ce qu'a fait valoir Hélène Bégin, économiste principale au Mouvement Desjardins, à la lumière des données encourageantes publiées hier pour le mois de mai. Le nombre de transactions a grimpé de 8% dans le Grand Montréal par rapport à l'an dernier, et le prix moyen a progressé de 3%, ce qui augure bien selon elle pour les mois à venir. «Je dirais qu'il y a d'excellentes chances qu'on réussisse à éviter complètement une baisse des prix», a affirmé Mme Bégin en entrevue à La Presse Affaires. Le prix médian des unifamiliales a atteint 238 000$ en mai (+3%), celui des condos, 192 750$ (+3%) et celui des immeubles de deux à cinq logements, 350 000$ (+2%), selon les données de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). La progression a été soutenue au cours des cinq premiers mois de 2009 dans la métropole, tandis que les prix continuaient à décliner dans l'ensemble du Canada. La valeur de revente moyenne a ainsi

grimpé de 3,6% depuis janvier à Montréal, comparativement à une baisse de 3% à Toronto, 10% à Calgary et 9% à Vancouver. Le recul atteint 4,2% au pays. Pourquoi Montréal et le Québec font-ils si bonne figure? D'abord parce que les prix y ont grimpé moins vite qu'ailleurs au Canada, réduisant les risques d'une baisse abrupte, souligne Hélène Bégin. Mais aussi parce que la confiance des consommateurs a fait un retour en force le mois dernier, pour atteindre son plus haut niveau depuis juillet 2008. «En mai, 55% des Québécois jugeaient que les conditions actuelles étaient favorables à l'achat d'un bien important tel qu'une propriété, comparativement à 38% en avril», a indiqué Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM, dans un communiqué. Taux d'intérêt Les taux d'intérêt historiquement bas ont aussi contribué à cette relance. Plusieurs acheteurs aux moyens limités ont pu acquérir une résidence au cours des derniers mois, tandis que d'autres ont pu acheter une propriété plus spacieuse que ce qu'ils croyaient pouvoir se permettre. Delphine Saint-Marcoux, gestionnaire à Radio-Canada, a ainsi profité de son faible taux hypothécaire - 3,6% sur cinq ans - pour acheter un plus grand appartement que prévu dans Rosemont, le mois dernier. «Ça a beaucoup influencé ma décision», a-t-elle confié. Les agents immobiliers, pour leur part, se frottent les mains. Ils avaient craint d'assister à une grande dépression du marché immobilier montréalais quand la crise financière a éclaté en septembre dernier. Leur inquiétude semble maintenant dissipée. «Le regain que j'ai constaté en mai, c'est par rapport à l'automne dernier, où ç'a été pourri, a dit Carl Poulin, agent à La Capitale du Mont-Royal. Je n'ai pas senti la crise depuis le début de 2009.» La légère création d'emplois des deux derniers mois à Montréal a aussi contribué au regain du marché de l'habitation, croient les experts. Les nombreuses mises à pied récentes dans le secteur manufacturier

montréalais pourraient toutefois entraîner un certain impact négatif au cours de l'été, estime Hélène Bégin, du Mouvement Desjardins. Gains généralisés Le volume total de ventes immobilières a atteint 1,31 milliard de dollars dans le Montréal métropolitain en mai, un bond de 11% par rapport à l'an dernier. Ainsi, 4839 propriétés ont changé de main, 8% de plus qu'il y a un an. C'est la première hausse mensuelle depuis sept mois. Toutes les régions de la métropole ont enregistré des gains, tant au chapitre du prix qu'à celui du nombre de transactions. L'île de Montréal a vu ses ventes progresser de 7%, Laval, de 4%, la Rive-Nord, de 8%, la Rive-Sud, de 13% et Vaudreuil-Soulanges, de 5%. Le nombre d'inscriptions en vigueur - les propriétés sur le marché - a grimpé de 6% en mai dans le Grand Montréal, à 25 826 unités. Les nouvelles inscriptions ont pour leur part diminué de 12%, à 5701. Le délai de vente s'est par ailleurs allongé dans toutes les catégories d'habitations. Il a fallu 79 jours en moyenne pour vendre une maison unifamiliale (64 l'an dernier), 89 jours pour un condo (83 l'an dernier) et 92 pour un plex (72 l'an dernier). Dans l'ensemble du pays, l'activité du marché de la revente a retrouvé son niveau «prérécession» le mois dernier, a déclaré lundi l'Association canadienne de l'immeuble. Le nombre de transactions a grimpé de 3,1% par rapport à mai 2008, et le prix moyen, de 0,3%. UN MARCHÉ PLUS ACTIF Région métropolitaine de Montréal Mai 2009 versus mai 2008 Inscriptions actuelles 25 826 +6% Nouvelles inscriptions 5701 -12%

Ventes totales 4839 +8% - Maisons unifamiliales 2959 +13% - Copropriétés 1350 +2% - Plex 529 +3% Prix médian - Maison unifamiliale 238 000$ +3% - Copropriété 192 750$ +3% - Plex 350 000$ +2% Le Québec résiste Prix moyen des cinq premiers mois 2009 contre la même période en 2008 Montréal : 260 312$ +2,6% Toronto : 377 091$ - 3% Vancouver : 558 893$ - 9,2% Calgary : 373 835$ -10% Québec : 204 400$ +5,9% Canada : 26 682$ - 4,2% Source: Association canadienne de l'immeuble •

 Les taux hypothécaires vont remonter... un peu    Posted: Wed, 17 Jun 2009 05:31:00 PDT

(Montréal) Les taux hypothécaires ont amorcé le mois dernier une remontée qui va sans doute se poursuivre tout au long de l'année et de l'an prochain, sans atteindre des sommets vertigineux pour autant. Les taux consentis par les institutions aux épargnants vont aussi augmenter, mais ils resteront anémiques. Telles sont les hypothèses formulées par l'équipe d'économistes de Desjardins. Cela n'a rien de surprenant, si on considère que les taux sur les prêts hypothécaires de cinq ans avaient atteint leur creux historique de 5,25% au début du printemps. Ils se négocient ces jours-ci autour de 5,85% et pourraient grimper jusqu'à 7,05%, à la fin de l'an prochain. Ils pourraient aussi limiter leur remontée à 6,55% En décembre dernier, le taux s'élevait à 6,75% Le terme d'un an qui est présentement à son taux plancher de 3,75% devrait se négocier entre 4,4% et 4,9% à la fin de l'an prochain. Dans ce cas, le haut de la fourchette reste bien en deçà des 5,45% qui prévalaient encore en fin d'année dernière. Le terme de trois ans va adopter un comportement mitoyen. Il a gagné un demi-point de pourcentage depuis son creux de 4,15% et il se négociera à l'intérieur d'une fourchette de 5,4% et 5,9% à la fin de 2010, estime l'institution lévisienne. Cela reste inférieur aux 6,2% exigés encore en décembre dernier. «Les taux hypothécaires devraient ainsi demeurer près des niveaux actuels pour plusieurs mois, quoique l'on ne puisse exclure d'autres légères hausses», estiment les auteurs. Taux directeur Ce scénario est fondé sur les hypothèses que la reprise attendue en fin d'année sera molle et que la Banque du Canada devra garder très faible son taux directeur, car les risques que le taux d'inflation revienne bientôt à sa cible de 2,0% sont très faibles.

Desjardins attribue la remontée récente des coûts hypothécaires à moyen et long terme à la poussée équivalente des taux obligataires sur les marchés financiers, en particulier ceux des États-Unis. Les investisseurs manifestent des inquiétudes devant les besoins de Washington pour financer un déficit qui équivaut cette année à 13% de la taille de la première économie du monde. Les rentiers de toute taille ne doivent pas se laisser leurrer par le nouveau compte d'épargne libre d'impôt (CELI). Un certificat de placement garanti d'un an rapporte à peine 0,4% maintenant, soit à peu près l'équivalent du taux d'inflation au cours de la prochaine année. Fin 2010, selon Desjardins, il rapportera au mieux 1,55%, alors que la Banque du Canada prévoit que les prix à la consommation progresseront plus près de sa cible de 2,0%. Bref, même sans impôt et sans risque, le capital réel n'est pas protégé avec de tels rendements. Les CPG de trois et cinq ans seront à peine plus prometteurs avec des rendements escomptés jusqu'à 2,75% et 3,35% à la fin de l'an prochain. •

 Les ventes sont en hausse pour la première fois depuis les sept derniers mois    Posted: Tue, 16 Jun 2009 14:19:02 PDT

Selon les données du système MLS ® , la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) indique que le nombre de transactions conclues dans la région métropolitaine de Montréal a augmenté de 8 % en mai 2009 comparativement à mai 2008, la maison unifamiliale menant le bal avec une hausse des ventes de 13 %. Le prix des propriétés a également continué de progresser avec une croissance du prix médian d’une maison unifamiliale de 3 %. « La confiance des consommateurs qui a atteint son plus haut niveau depuis juillet 2008 explique en grande partie cette croissance des ventes. En mai, 55 % des Québécois jugeaient que les conditions actuelles étaient favorables à l’achat d’un bien important tel qu’une propriété comparativement à 38 % en avril », indique Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM. « Trois facteurs influencent le marché immobilier : la confiance des consommateurs, les taux d’intérêt, qui sont à un niveau historiquement bas, et la création d’emplois. » Toutes les catégories de propriété ont enregistré une hausse des ventes en mai 2009 par rapport à mai 2008. L’unifamiliale a connu la

croissance la plus marquée, avec 2 959 transactions, une hausse de 13 %. Les ventes de plex ont progressé de 3 %, alors que celles de copropriétés ont augmenté de 2 %. Au chapitre des prix, l’unifamiliale et la copropriété ont enregistré une hausse de leur prix médian de 3 % en mai 2009 par rapport au même mois l’an dernier. Le prix médian des plex a, quant à lui, augmenté de 2 %. « Il s’agit d’une bonne nouvelle, car non seulement le marché est plus actif, mais les prix continuent également d’augmenter, ce qui confirme que l’immobilier à Montréal demeure un bon investissement et ce qui a certainement collaboré à la hausse de confiance des consommateurs », ajoute Michel Beauséjour. Sur le plan géographique, tous les secteurs ont vu leurs ventes augmenter en mai 2009 comparativement au même mois l’an dernier. La Rive-Sud a été le secteur le plus dynamique avec une hausse des transactions de 13 %. Le nombre de ventes conclues sur la Rive-Nord a augmenté de 8 %, alors que l’île de Montréal, le secteur de Vaudreuil-Soulanges et Laval ont affiché une croissance de respectivement 7 %, 5 % et 4 %. Au 31 mai 2009, le nombre d’inscriptions en vigueur était en hausse de 6 % par rapport à la même date l’an dernier.



 Les ventes de maisons grimpent à Montréal    Posted: Tue, 16 Jun 2009 06:01:43 PDT (Montréal) Pour la première fois depuis sept mois, les ventes de propriétés résidentielles sont en hausse dans la région métropolitaine de Montréal. Le nombre de transactions conclues dans la région a augmenté de 8% en mai 2009 comparativement à mai 2008. Ce sont les ventes de maisons unifamiliales qui ont mené le bal avec une bond de 13%, pour atteindre 2959 propriétés vendues. «La confiance des consommateurs qui a atteint son plus haut niveau depuis juillet 2008 explique en grande partie cette croissance des ventes. En mai, 55 % des Québécois jugeaient que les conditions actuelles étaient favorables à l'achat d'un bien important tel qu'une propriété comparativement à 38 % en avril», souligne Michel Beauséjour, directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal. Selon lui, trois facteurs influencent le marché immobilier : «la confiance des consommateurs, les taux d'intérêt, qui sont à un niveau historiquement bas, et la création d'emplois.» Moins impressionantes que pour les maisons unifamiliales, les ventes de plex ont tout de même progressé de 3%, alors que celles de copropriétés ont augmenté de 2%. Le prix de vente médian des maisons unifamiliales a progressé de 3% pour s'établir à 238 000$. Celui des plex a progressé de 2% à un prix médian de 350 000$, et celui des copropriétés de 3% à 192 750$. C'est une bonne nouvelle selon Michel Beauséjour qui soutient qu'une hausse de l'activité du marché immobilier, soutenue par une hausse de prix, «confirme que l'immobilier à Montréal demeure un bon investissement».

C'est la Rive-Sud qui a été le secteur le plus actif avec une hausse des transactions de 13%. Le nombre de ventes sur la Rive-Nord a augmenté de 8%, alors que l'île de Montréal, le secteur de Vaudreuil-Soulanges et Laval ont affiché une croissance de respectivement 7%, 5% et 4%. Au 31 mai 2009, le nombre d'inscriptions en vigueur sur MLS était en hausse de 6% par rapport à l'an dernier. Le nombre des nouvelles inscriptions a cependant chuté de 12% au cours de cette même période.



 Le résidentiel reprend des forces    Posted: Mon, 15 Jun 2009 12:19:15 PDT L’activité résidentielle canadienne de la revente est revenue aux niveaux atteints avant la recession. La reprise est attribuable à l’augmentation des marchés les plus dispendieux au pays, faisant du coup gonfler le prix moyen à l’échelle nationale. En mai, les ventes résidentielles réelles s’élevaient à un peu moins de 50 000 logements, ce qui représente un écart de moins de 1% par rapport à l’an dernier, selon les statistiques de l’Association canadienne de l’Immeuble (ACI). Ce sont les gains mensuels enregistrés à Toronto (9 %), Calgary (25 %), Montréal (10%), Vancouver (8 %), et Edmonton (12 %) qui sont en grande partie responsables de la hausse de l’activité mensuelle. Le prix moyen des ventes résidentielles a atteint un niveau mensuel sans précédent en mai 2009. Il se situait à 319 757 $, ce qui représente une hausse de quatre dixièmes de point de pourcentage par rapport au record précédent atteint en mai 2008. Depuis quatre mois, le prix moyen résidentiel a repris 16,4%, comparativement au bas niveau enregistré au mois de janvier. Par ailleurs, le stock de maisons mises en vente a continué de diminuer en mai. Compte tenu de la hausse importante des ventes et de la tendance des inscriptions à la baisse, l’équilibre entre l’offre et la demande se rétablit en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan, en Ontario et au Québec. Le chiffre d’affaires résidentiel des ventes a haussé de 10 % en mai, comparativement au mois précédent, s’immobilisant à 11,4 milliards de dollars, soit plus de 50 % supérieur au mois de janvier, alors qu’il n’atteignait que 7,5 milliards. « Les ventes se rapprochent plus des niveaux atteints avant la récession que du point bas atteint récemment en janvier », affirme le président de l’Association canadienne de l’immeuble, Dale Ripplinger, un courtier de Regina.



 (Montréal) Un gros coup de frein se confirme dans la construction résidentielle    Posted: Fri, 12 Jun 2009 12:47:45 PDT Les mises en chantier rechutent fortement ce printemps par rapport aux années précédentes, montrent les dernières données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).

Mais ces années précédentes furent aussi celles de niveaux d'activités records, tempèrent des économistes et des représentants de l'industrie de la construction.

Par conséquent, le ressac observé des mises en chantier résidentielles, même d'environ 20% en nombre d'unités, ne serait pas encore du niveau de «crise» subie dans certains autres secteurs de l'économie.

«On s'attendait à une baisse d'au moins 15% des mises en chantier cette année, après de très bonnes années. La plupart des entrepreneurs ont ajusté leur niveau d'activité afin d'éviter des surplus de stocks de maisons et de condos neufs», a dit hier Bruno Nantel, directeur à l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ).

Constat semblable de la part de Marc Pinsonneault, économiste principal en immobilier à la Banque Nationale. «La construction résidentielle au Québec subit une correction un peu normale après des années records. Par ailleurs, l'offre de l'industrie s'est ajustée plutôt bien à la baisse de la demande», note-t-il.

«Jusqu'à maintenant, les constructeurs ont évité de se retrouver avec des surplus de stocks qui nuiraient aux valeurs dans l'immobilier résidentiel, comme on le voit aux États-Unis.»

Cela dit, est-ce que la baisse des mises en chantier risque de s'accentuer? Ou au contraire, le pire est-il passé, comme le suggèrent des statistiques publiées hier par la SCHL?

Ainsi, le taux annualisé de mises en chantier résidentielles dans les principales localités (10 000 résidants et ") au Canada a rebondi de 11% en mai par rapport au mois précédent.

Autrement dit, la construction résidentielle au Canada en mai avait accéléré au rythme de 128 400 logements en 12 mois, alors qu'elle cotait à 117 600 logements le mois précédent.

Au Québec, toutefois, ce regain de vigueur de la construction résidentielle en mai serait moins prononcé, de l'ordre de 3% seulement.

Selon la SCHL, ce gain correspond à 34 200 logements construits en 12 mois dans les principales localités au Québec, comparativement à 33 100 anticipés le mois précédent.

Mais avec l'économie en récession, ces attentes se confirmeront-elles?

«Ces chiffres reflètent une tendance immédiate du marché, en excluant les facteurs saisonniers comme la relance de la construction au printemps. Toutefois, d'autres facteurs économiques ou financiers pourraient les influencer beaucoup au cours des prochains mois», admet Kevin Hughes, économiste principal de la SCHL pour le marché québécois.

Au Mouvement Desjardins, l'économiste Benoît Durocher estime très «temporaire» le léger regain de la construction résidentielle en mai, tel que mesuré par la SCHL.

«Je ne suis pas convaincu que le pire est passé, surtout avec ce qui se dégrade ailleurs dans l'économie, comme le taux de chômage», a indiqué M. Durocher.

«Malgré le léger rebond observé en mai par la SCHL, la tendance demeure à la baisse des mises en chantier résidentielles au cours des prochains mois.»

Jusqu'à quel niveau? Peut-être aussi bas que 110 000 logements sur une base annualisée pour l'ensemble du Canada, appréhende l'économiste de Desjardins.

S'il s'avère, un nombre aussi faible signifierait le pire marché de construction résidentielle au Canada et au Québec depuis la crise immobilière du milieu des années 1990.

Observation semblable du côté de la Banque Toronto-Dominion, qui est très impliquée dans le marché hypothécaire de l'Ontario, le plus gros an Canada.

Selon l'économiste Millan Mulraine, «en dépit du léger regain observé en mai par la SCHL, la construction résidentielle au Canada demeure atrophiée de 42% par rapport à l'an dernier, à pareille date. Elle est aussi en recul majeur de 53% par rapport au sommet atteint en septembre 2007».

À la Banque Nationale, l'économiste Marc Pinsonneault est moins pessimiste. «Je m'attends à une année de construction résidentielle encore dans la bonne moyenne, malgré l'ampleur de la baisse après des années records.»

Au Québec seulement, ça signifierait environ 40 000 mises en chantier comparativement à 47 900 l'an dernier, toutes localités incluses, urbaines et rurales.

«Autour de 40 000 unités, ça serait encore mieux que le creux de 27 800 unités atteint en 2001», a relaté M. Pinsonneault.

Quant à l'impact du recul des mises en chantier résidentielles sur la main-d'oeuvre en construction? Encore très minimal, selon Benoît Nantel, de l'APCHQ, parce que les travailleurs de la construction sont «très mobiles» d'un type de chantier à un autre.

«Le nombre d'heures travaillées en construction n'a pas encore vraiment diminué au Québec. S'il y a moins de travailleurs dans le résidentiel, ils sont plus nombreux du côté des chantiers institutionnels et d'infrastructures. La rénovation résidentielle se porte bien, aussi.»

CULBUTE DE LA CONSTRUCTION RÉSIDENTIELLE

Québec (localités de 10 000 résidants et "), mises en chantier résidentielles totales de janvier à mai inclusivement.

2009 - 12631

2008 - 16716



 Un des plus grands mystères du monde financier: combien vaut le magnat américain   de ...   Posted: Fri, 12 Jun 2009 12:40:49 PDT Dans un livre publié en 2005, Trump Nation: the Art of being the Donlad, l'auteur Timothy O'Brien, un éditeur au New York Times, affirmait, selon des sources anonymes, que sa fortune s'élevait entre 150 et 250 millions de dollars US. Pas plus.

Trump, de son côté, estime que son empire vaut au moins 4 milliards de dollars. Il a alors poursuivi en cour l'auteur du bouquin pour diffamation, rappelle le Wall Street Journal. La star du petit écran, qui a animé The Apprentice, a avancé que de tels propos avaient nui à sa réputation et lui ont fait perdre des contrats aux États-unis et sur le marché international.

L'affaire s'est poursuivie lundi, à la cour de justice de Camden, au New Jersey. Pour se défendre, Trump s'est appuyé sur des déclarations légales, publiées en 2007, concernant ses propriétés.

En novembre 2007, Trump affirmait au Wall Street Journal qu'il avait vendu ses 1282 lots de l'ensemble immobilier Trump International Hotel and Tower, lancé à Las Vegas avec le magnat des jeux Phil Ruffin. Un mois plus tard, il déclarait officiellement posséder encore 900 lots. Les avocats se demandent donc s'il ment ou pas sur ses comptes.

Exagérations ?

Lors de son témoignage en 2007, on lui a demandé s'il avait déjà exagéré sur la valeur de ses propriétés. «Je crois que tout le monde fait ça. Qui ne le ferait pas? », avait-il alors répondu.

Le célèbre promotteur immobilier avoue ne pas être habile en comptabilité. Mais les comptables sont là pour ça, avait-il lancé.

Et la Trump Tower, sur la chic 5ème avenue à Manhattan ? Elle rapporterait un revenu opérationnel de 4 millions de dollars. Trump rappelle qu'il occupe deux étages et demi du bâtiment et ne paie donc pas de loyer. Ce fait doit inclus dans le calcul du revenu, souligne-t-il.

L'homme d'affaires possède-t-il un ordinateur ont demandé les avocats ? Ni ordinateur, ni PDA, a répondu le principal intéressé. Il préfère le classique papier et stylo et n'utilise même pas le courriel.

Malgré la crise économique, Trump nie vivre des moments difficiles. « Nous avons beaucoup d'argent en ce moment, nous commençons à acheter de nouvelles choses», a-t-il affirmé dans une entrevue accordée dimanche au Wall Street Journal.

Selon le magazine Forbes, la fortune de Donald Trump est estimée à 1,6 milliard de dollars.

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