Ayoub Joey Conscience La pensée d’un grain de sable Entouré d’une couronne blanche, L’ange me dit : « sois aimable » Et je réponds : « Oui, Mon Ange ». Echappe toi de cette pensée, Qui te frappe pour te laisser, Endormi au bord de celui, Qui te montre la vie. Cette feuille solitaire, Guidée par les nuits éternelles Une goutte perdue en mer Rempli de l’amour du ciel. Ignoré dans une foule joyeuse Apprécié chez ma mère nature, Ta joie m’est précieuse Tu me dis « la vie est dure ». Ton passé est sombre, je le sais Je te dis : « réveille-toi, Le monde est à tes pieds Si tu te comportes comme un roi. Ne te laisse pas emporté, Vers l’oubli creusé dans l’ennui L’ignorance sera tuée, Si seulement tes lèvres sourient. Tes yeux noyés dans la tristesse, Contemplant les perles du monde » « Est-ce que je laisse, Mon passé devenir ma tombe ? J’ai compris que c’est dur de vivre avec des regrets Que c’est dur d’oublier Que la vie est faite de souvenirs Mais qu’il faut sans cesse penser à l’avenir Dérobe moi de ce chagrin criminel, Je veux soupirer un dernier soupir ! Mais je crains que je ne sois celle, Qui pourra changer mon avenir. » « Une passion envolée Par la fenêtre fermée, Repêche cette passion Qui se noie au fond. »
« Je vous en supplie Dompter moi, pour Que la nuit devienne jour Que la mort devienne vie » « Ne me supplie pas ma chère, Je ne suis pas née d’une lampe Que périssent mes ailes ! Si la trahison me manque. Si je suis un ange, ma belle C’est pour te guider, Non pour t’obliger D’avoir des sentiments mortels. » « Le miroir de mes fautes Remplit le vide de l’univers, Et pourtant, vous voici à ma porte Vous ne me laissez pas derrière. Mes actions étaient horribles Contre mes voisins et cousins, Le monde était ma cible Et moi j’étais Robin. Le symbole du saint et sacré Ne semble pas être en colère, Je croyais que vous ne viendrez jamais Je croyais que j’étais percé. Et c’est pour cette raison Que je suis confuse, Un ange dans ma maison Semble être une ruse. Pardonnez ma confusion Mais je crains que tu ne sois pas, Un ange si bon Que je ne mérite pas. » « Voilà, tu commences à deviner Sarah, ma belle, je ne suis ni saint ni sacré, Regarde mon dos, Aller ! Vois-tu des ailes blanches se lever ? » « Quoi ? Que se passe-t-il ? C’est toi O diable, Satan ? Tes ailes sont rouges de sang Pitié je ne suis qu’une fille ! » « Pitié ? Le monde te rend ce que tu as créé Tel est la loi de Karma, Ta conscience n’est plus respectée Je ne suis plus rien pour toi.
A cause de toi ta sœur est en silence Malgré sa pureté et son innocence, Bouddha, Jésus, Mahomet Aucun ne te pardonnerait. Tu as brisé sa confiance A être caché dans un rêve, Tel Adam et Eve Face a l’éternelle conscience. » «Voici son message: Avec toi je me sentais écouter, Pendant ces années j’étais enchaînée Et toi tu es venu et tu m’as libéré. Mais pourquoi ? Pour me faire saigner ? J’aurai préféré rester dans l'ombre et continuer d'espérer, Au lieu de ça je me suis dévoilé et tu m’a si vite oubliée, Aujourd'hui je suis désespérée, Désespéré parce que je me suis laissé submerger, Submergé par ce bonheur que tu m’avais donné. Maintenant je continus d'espérer, A ce bateau qui ne cesse de couler, Au fond de la rivière enchantée, Enchantée de mal désespéré. Peux-tu imaginer, Ce que je vis a cause de toi, Ou m’ignore-tu, a moi ! Ta propre sœur adoré ? » « Mes intentions étaient bonnes C’est moi l’idiote, la coupable, Arrête ! Ne me regarde Que quand les cloches du pardon sonnent. » « La liberté, c’est l’empire que nous avons sur nous-même Construit ton empire avec pour seul titre, Aime Une promesse provenant de ta voix, Et tes péchés seront pardonnés, Au nom de moi ! » « Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde. Hier, l’esprit pur l’a dit Et moi j’ai traduit cette phrase comme une femme immonde Mais un pas à la fois suffit. Je t’offre ma promesse En échange de ton nom, Je détruirai ma paresse Je rouvrirai mes yeux les plus profonds. » « Tu es, tel un agneau perdu Guidée par son berger, Suivant son maître pour trouver Tel un aveugle sans vue.
Ta dernière chance se présente Pardonne-toi auprès de l’innocente, Ta sœur, si tu peux la faire rire Tu pourras soupirer un dernier soupir. J’ai peur maintenant Car tu es si fragile, Ta force, l’oubliant Tu te tiens sur le bout d’un fil. Réveille toi, Sarah Je n’existe que dans toi, Ouvre tes yeux oublie moi Réveille toi. »