Article Maxime Et David Agression Bus

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Lepachelet Maxim David Chasco 2nd i libération Le figaro Date : 10/04/2009 L’article du figaro est paru deux jours après celui de Libération Titre de l’article : une vidéo d’agression diffusée sur le web crée la polémique Le titre est centré sur la polémique qu’à engendré la vidéo

Chapeau : Le policier soupçonné d'être à l'origine de la diffusion de cette vidéo, qui montre une agression dans un bus, a été suspendu. Il doit prochainement passer en conseil de discipline. Le chapeau est un résumé de l’article : donc l’article va aborder le sujet du policier suspendu pour avoir diffusé une vidéo et qu’il passera en conseil de discipline.

Date : 08/04/2009 L’article de Libération est paru deux jours avant celui du Figaro Titre de l’article : Un policier soupçonné d'avoir diffusé la vidéo de l'agression dans un bus Le titre est centré par le fait que la vidéo aurait été diffusée par un policier Intertitre : POUR MÉMOIRE L’intertitre nous annonce le sujet qui va être abordé dans cette partie : ici il s’agit de rappeler aux lecteurs pourquoi le policier est soupçonné Chapeau : Une vidéo apparue sur Internet lundi, et filmée par une caméra de surveillance en décembre, montre un groupe s'en prendre violemment à un jeune homme dans un Noctilien. Un policier, soupçonné de la fuite, a été placé en garde à vue. L’article va d’abord relater le contenu de la vidéo puis parler du policier qui est soupçonné d’avoir diffusé la vidéo.

Accroche : Un policier a été placé en garde vue ce mercredi Accroche : Après avoir enflammé le web français toute la matin à l'Inspection générale des services (IGS, police des semaine, la vidéo d'une agression dans un bus RATP polices) dans le cadre de l'enquête sur la diffusion sur internet continue de provoquer des remous, mais cette fois au d'une vidéo montrant une agression commise dans un autobus sein de la police. de la RATP à Paris en décembre 2008. Ce fonctionnaire entendu par les policiers de l'IGS appartient au service régional de la police des transports (SRPT). L’accroche porte sur le même fait que le titre celui qu’une vidéo puisse créer une polémique sur internet et même chez la police. Qui : au sein de la police donc le policier Quoi : la vidéo d’une agression Où : dans un bus RATP Quand : toute la semaine Comment : le web français donc par internet Pourquoi : car la vidéo à crée la polémique sur internet puis au sein de la police.

*Première partie : Mercredi, un policier, membre du Service régional de la police des transports, a été placé en garde à vue puis relâché au bout de quelques heures. Si ce dernier a reconnu avoir été en possession de la vidéo, il affirme en revanche ne pas l'avoir envoyé aux sites qui l'ont diffusée. Jeudi, sa hiérarchie a tout de même décidé de le suspendre. Une mesure prise à titre conservatoire dans l'attente de son passage devant le conseil de discipline. Mais revenons en arrière. Lundi, plusieurs sites et blogs, dont un certain nombre proches de l'extrême-droite, mais aussi beaucoup spécialisés dans le «buzz», les vidéos et autres informations virales, affichent une vidéo où de jeunes hommes en casquette et survêtements agressent violemment un homme en manteau et écharpe dans un bus de nuit RATP pour lui voler son portefeuille.

L’accroche reprend le titre et le complète, étant donné qu’il parle du policier mais en donnant plus de précisions sur lui. Qui : un policier au service régional des transports Quoi : sur la diffusion sur internet d’une vidéo montrant une agression/la garde à vue du policier Où : dans un autobus de la RATP à Paris/ l’inspection générale des services Quand : en décembre 2008/ ce mercredi matin Comment : par l’enquête sur la diffusion Pourquoi : car le policier a été placé en garde à vue suite à l’enquête lancé sur la diffusion d’une vidéo d’agression. *Première partie : La préfecture de police (PP) a annoncé un peu plus tôt avoir saisi l’Inspection générale des services (IGS, police des polices) pour mener une enquête administrative après la diffusion de cette vidéo.

La RATP a de son côté déclenché une enquête administrative et a déposé porter plainte contre X pour «atteinte à l'image de l'entreprise». Pour Pierre Mongin, PDG de la RATP, «c'est plus qu'une fuite, c'est une manipulation d'un document de type policier et judiciaire à des fins de communication externe». La vidéo dure 6 minutes, avec une coupure apparente, visiblement un raccord d'une caméra à une autre. Retirée dès qu'elle réapparaît sur Dailymotion et Youtube, mais encore visible mercredi sur plusieurs sites, elle montre l’agression

[Du fait de son caractère choquant et de ce que les visages des protagonistes sont identifiables, lefigaro.fr a choisi de ne pas diffuser cette vidéo]

violente d’un jeune homme par quatre autres jeunes qui lui volent son portefeuille avant de le rouer de coups de pieds et de poings aux cris de «fils de pute» et de «sale Français».

Le premier paragraphe relate l’histoire du policier qui reconnaît avoir été en possession de la vidéo et de l’enquête de la police qui a suivie. Le deuxième paragraphe parle de la diffusion de cette vidéo sur de nombreux sites en décrivant les images. Le figaro précise que cette vidéo est tellement choquante qu’ils ont refusé de la diffuser sur leur site.

La première partie insiste sur les enquêtes administratives lancées par la préfecture de police et de la RATP à propos de la diffusion de cette vidéo. De plus l’article défends la RATP en citant le PDG de l’entreprise. L’article décrit la vidéo et annonce qu’elle n’est plus visible sur Dailymotion et Youtube mais encore sur d’autres sites.

*deuxième partie : Intertitre : Course à l'information L’intertitre nous informe sur le contenu de la deuxième partie ici sur la course à l’information à propos de la vidéo.

*deuxième partie : Intertitre : Diffusée sur Facebook La vidéo aurait été diffusée sur Facebook

Le jeune homme est roué de coup et insulté, traité de «Français de merde» et de «fils de pute». Les quelques passagers qui tentent de s'interposer sont également frappés, sans que le chauffeur ne réagisse. Baptisée «racailles qui agressent des Français», le film semble avoir été tourné par une caméra de surveillance au milieu de la nuit. Alors que la vidéo, qui circule sur plusieurs blogs, a déjà des dizaines de milliers de visionnages au compteur, quelques blogueurs vont malgré eux contribuer à apporter une visibilité médiatique au phénomène. C'est notamment le cas de Nicolas Vanbreemersch. Après avoir visionné la vidéo, qu'il a apparemment trouvé sur le réseau de microblogging Twitter, il publie sur son blog, Meilcour, un article dans lequel il s'interroge sur la véracité ou non de cette vidéo, s'interroge sur le pourquoi de cette diffusion rapide et demande, via Twitter, si quelqu'un a des renseignements à propos de ce film. La question, qui va donner le départ d'une course à l'information entre blogueurs, mais aussi le «buzz» autour de la vidéo, conduisent les journalistes web à s'intéresser au sujet. Le site 20minutes.fr finit par trouver une réponse, qui confirme celle que plusieurs blogueurs avaient évoquée : la vidéo est authentique et provient du réseau social Facebook, où elle a été postée par un jeune policier de l'Essonne, avant d'être reprise par un autre internaute sur un forum de jeuxvideo.com. L’article devient plus objectif en insistant sur le fait que l’agression serait de type racial en citant les propos des agresseurs et aussi le titre qui a été donné à la vidéo. De plus il critique le comportement du chauffeur. Puis l’article met en cause la curiosité des blogueurs qui recherchent des informations sur la vidéo et vont la rendre médiatique. Reprise de l’intertitre qui nous indique que se sont les blogueurs qui se sont lancés dans une course à l’information sur cette vidéo qui fini par être donné par un site journalistique qui répond aux questions que se posaient les blogueurs.

Des passagers qui tentent d’intervenir sont également frappés. Le chauffeur, lui, ne bouge pas de son siège. «Il a déclenché une "alarme discrète"», indique-t-on à la RATP. Soit un bouton qui a pour effet de prévenir l'équipe mobile du GPSR (groupement de prévention et de sécurisation des réseaux) et le PC de sécurité, qui peut alors écouter en direct le son des caméras de surveillance, dont tous les bus sont équipés, et géolocaliser le bus pour transmettre sa position à la police. Les images, sur lesquelles les visages sont reconnaissables, ont fait leur apparition sur la Toile en début de semaine et ont circulé notamment via Twitter. Elles proviendraient de la caméra d’un autobus de nuit Noctilien de la RATP, datée du 7 décembre 2008 vers 3h45 du matin. La scène se passe dans le XVIIIe arrondissement selon les inscriptions portées sur la vidéo. C'est un policier qui aurait diffusé les images sur sa page Facebook, fermée depuis. Les enquêtes en cours à la RATP et à l’IGS devront déterminer comment cette vidéo a pu se retrouver sur le Net et si les fuites sont le fait d’employés de la régie ou de policiers. «Les images ont été transmises à la police peu de temps après les faits, souligne-t-on à la RATP. A partir de là, la RATP n'en a plus trace.» Autrement dit, la fuite viendrait plutôt de la police.

L’article défend encore une fois la RATP en la citant encore car celle-ci annonce que le chauffeur a déclenché une alarme qui permet au PC de sécurité d’avoir accès aux caméras de surveillance et permettre à la police d’agir. Puis la vidéo authentique (date et lieu indiqué sur la vidéo) serait apparu sur internet par un policier qui la diffusé sur sa page Facebook. Des enquêtes sont ouvertes pour savoir qui a pu mettre la vidéo sur le net, sachant que la RATP a indiqué qu’elle avait transmise la vidéo à la police, le journal dit clairement que cette erreur c’est produise du côté de la police.

*troisième partie : Intertitre : «Si l'IGS est au courant, je perds mon emploi» L’intertitre est une citation du policier qui vise à nous émouvoir sur sa situation. 20minutes et Le Post sont parvenus lundi à avoir le fonctionnaire de police au téléphone. Il leur confia la même chose : « J'ai fait cela pour faire voir à mes amis dans quelles conditions on travaillait et ça a fuité ». «Je ne pensais pas qu'autant de monde verrait la vidéo. Elle était juste destinée à mes amis». Inquiet, il expliquait «je vais retirer tout de suite la vidéo. Si l'IGS est au courant, je perds mon emploi». Aujourd'hui, rien n'est moins sur. La préfecture de police confirme par la suite au site Le Post que la vidéo est bien authentique et date du 7 décembre 2008. Et qu'elle n'aurait jamais due se retrouver sur le web. Les images des caméras de la RATP «sont transmises sur réquisitions à des policiers qui les placent sous scellés», car ils font «partie du secret de l'enquête». Or, «tout policier qui viole le secret de l'enquête s'expose à des poursuites pénales et disciplinaires». Des sites journalistiques ont contactés le policier qui leur avoue que la vidéo était destinée à ses amis et il ne pensait pas que la vidéo aurait été reprise et visionné par autant de monde, à cause de cela il a peur de perdre son emploi. Après, la préfecture de police confirme aux sites que la vidéo est authentique, qu’elle a été transmise par la RATP puis placé sous scellés et donc d’après la citation de la préfecture de police, le policier a violé le règlement et s’expose alors à des poursuites pénales et disciplinaires.

Chute : Les agresseurs du jeune homme, eux, ont bien été arrêtés, selon la préfecture de police. Deux l'ont été immédiatement après les faits suite à l'alerte de la RATP, un troisième grâce à la vidéo. Le quatrième agresseur n'a pas été retrouvé. Finalement 3 des 4 agresseurs ont été retrouvé dont un grâce à la vidéo et 2 après l’alerte lancé par la RATP

*troisième partie : Intertitre : Interpellations La troisième partie s’intéresse aux interpellations qui ont suivi après la diffusion de la vidéo. A la préfecture de Paris, on confirme que les images de la RATP «sont transmises sur réquisitions à des policiers qui les placent sous scellés», ces éléments «faisant partie du secret de l’enquête». Les investigations de l’IGS visent à déterminer si dans cette affaire «des fautes ont été commises par des fonctionnaires de police», ajoute la préfecture, rappelant «que tout policier qui viole le secret de l’enquête s’expose à des poursuites pénales et disciplinaires».

La préfecture a affirmé que les images ont été transmises par la RATP. Et rappelle que dans cette affaire si la faute a été commise par un policier il s’expose à des poursuites pénales et disciplinaires. on ne parle pas de l’erreur du policier mais on émet l’hypothèse.

Chute : Quant aux agresseurs, deux auraient été interpellés dans les minutes suivant la fin de la scène visible sur la vidéo, et un troisième quelque jour plus tard, sur la ligne 14. Quelques jours plus tard, une patrouille du SRPT (police des transports), ayant visionné la vidéo de l'agression, a identifié et interpellé une troisième personne sur la ligne 14 du métro à la station Saint-Lazare. «La vidéo surgit ces jours-ci, mais l'affaire en elle-même a été traitée immédiatement», insiste la RATP, tandis qu'à la préfecture on commente simplement que «l'enquête est en cours». La chute insiste sur l’efficacité de la RATP car 2 agresseurs ont été arrêtés juste après la fin de la vidéo et un troisième dans les jours suivants et grâce à la vidéo une autre personne aurait été interpellée par la police. Il y a un contraste entre la RATP qui a immédiatement traité l’affaire alors que l’enquête de la police est toujours en cours.

Le Figaro a un titre et une accroche plus percutante que celui de Libération. C’est deux journaux traitent du même sujet pourtant les articles sont très différents, celui du Figaro est accès sur le « buzz » et sur le policier (ils ont pu interroger le policier) tandis que celui de Libération porte intérêt sur l’enquête et oriente le lecteur sur le fait que la RATP (interroger le PDG de la RATP) soit hors de cause, tout au long de l’article jusqu’à la chute

.Polémique autour d’une vidéo d’agression diffusée par un policier Une vidéo qui montre une agression dans un bus est apparue sur internet lundi. Un policier soupçonné d’avoir diffusé cette vidéo doit bientôt passer en conseil de discipline. La diffusion d’une vidéo montrant une agression dans un bus RATP sur internet, à crée la polémique sur le net et commence au sein de la police car ce mercredi matin un fonctionnaire de police a été placé en garde à vue. La vidéo dure 6 minutes et rend compte d’une agression dans un bus de nuit RATP où des jeunes hommes portant casquette et survêtement volent à un jeune homme vêtue d’un manteau et d’une écharpe son portefeuille puis le roue de coup et le traite notamment de « français de merde ». Les passagers qui tentent de s’interposer sont également frappés. Le chauffeur qui ne bouge pas de son siège aurait déclenché une « alarme discrète ». Ces images semblent être filmé par une caméra de surveillance d’un bus de nuit, et d’après les inscriptions inscrites sur la vidéo, cette agression a eu lieu dans le XVIIIe arrondissement le 7 décembre 2008 à 3h45 du matin. « Le buzz »

Lundi de nombreux sites et blogs comme Dailymotion ou Youtube ont diffusé cette vidéo mais celle-ci a été retirée, cependant elle est encore visible sur des sites proches de l’extrêmedroite. Du fait qu’elle circule sur la toile via twitter et autre blog personnel, la vidéo a été visionnée des milliers de fois et la polémique va accroitre par la curiosité infinie des bloggeurs qui s’interrogent sur la vidéo surtout sur son authenticité et partent à la recherche d’information. L’affaire devient médiatique, et les web journalistes se préoccupent du sujet et c’est finalement le site 20minutes.fr qui finit par confirmer que la vidéo est authentique. C’est un policier qui aurait posté la vidéo sur sa page Facebook, celle-ci fermée depuis. Mais cette vidéo a était reprise par un autre internaute sur un forum de jeuxvideo.com. L’enquête La préfecture de police et la RATP ont toutes deux lancés une enquête administrative après la diffusion de la vidéo. Après la mise en garde à vue d’un policier membre du service régional des transports à affirmer détenir la vidéo mais nie de l’avoir envoyé aux sites qui l’ont diffusé. En effet il voulait juste montrer la vidéo à ses amis ses conditions de travail. A cause de la fuite le policier risque de perdre son emploi Tandis que la préfecture de police confirme que la vidéo a été transmise par la RATP dans le cadre de l’enquête et qui la place sous scellés, car elle fait partie du secret de l’enquête et la préfecture précise «Que tout policier qui viole le secret de l’enquête s’expose à des poursuites pénales et disciplinaires».Le fonctionnaire de police a été suspendu en attendant son passage devant le conseil de discipline. Deux des agresseurs auraient été interpellés immédiatement après l’agression suite à l’alerte déclenché de la RATP, un troisième quelque jour plus tard grâce à la vidéo. Le quatrième agresseur n’a pas encore été retrouvé l’enquête est en cours.

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