Revue de presse concernant le scandale du concours de l’Ecole doctorale de l’Architecture
Les Médias suivent de très près l’affaire p. 02
YEZZY…Barakat
Sortie prochaine du film de Francis Ford Coppola « Le Parrain II»… Edition du 29 novembre 2008. N° 01. Ceci n’est pas une revue Scientifique… Assemblée Générale des Enseignants de la Faculté d’Architecture et de Génie Plume Libre Civil
Quand atteindrons-nous le fond ?
On maintiendra la pression sur l’administration jusqu’à ce que sanctions s’en suivent.
De jour en jour, de nouveaux scandales sur les concours de magister ou d’écoles doctorales sont portés à la connaissance de l’opinion publique à travers les colonnes des journaux. Cette année, le bal a été ouvert, à partir de l’université de Sidi Bel Abbes,.
Suite à l’assemblée générale qui s’est déroulée le Mercredi 26-11-2008 au sein du campus de Bir El Djir concernant le problème du scandale de Magister au sein de la faculté, du problème du CSF et de la gestion dictatoriale du doyen de la faculté il a été décidé:
Suite P. 02
Les élections se sont déroulées sans pression ou presque, savezvous pourquoi? Le Scandale de l’Ecole doctorale y a eu un rôle primordial. Khaled nous a répondu.
« Ils vous ont eu !! »
ENTRETIEN
Voici le texte de la déclaration
Premièrement, de poursuivre la pression sur l’administration, que ce soit au niveau local ou national, jusqu’à voir se dérouler une enquête transparente et impartiale. Deuxièmement, l’AG décide de demander aux membres du CSF (représentants d’enseignants. membres de l’administration. président de CSD. directeur de laboratoire de boycotter la réunion du CSF en qui les enseignants déclarent ne plus se reconnaître jusqu’à ce que l’on revienne à une situation d’avant les manipulations orchestrées par le Doyen. Troisièmement, il a été décidé d’alerter de nouveau le ministre de l’enseignement supérieur. la présidence de la république, l’UNESCO si nécessaire et d’étudier la possibilité de déposer une plainte pour la sauvegarde de notre métier. L’AG a demandé à ce que contact soit pris avec ceux qui avaient postulé au concours de Magister et qui voient tous leur efforts annulés du fait du scandale qui a éclaté, scandale qui a obligé l’administration a annulé le concours sans prendre les sanctions qui s’imposent. P /CNES-USTO
MEKKAOUI Mohamed (exCoordonnateur de la section) : La lutte continuera et le responsable paiera !! P. 04
L’EDITORIAL Voici venu le moment pour la section d’avoir une publication d’un nouveau genre. Mi imprimée mi électronique, cette version en PDF se veut être différente, divertissante tout en étant informative. La communication « efficace » étant devenue de nos jours, elle aussi « un nerf de guerre ». Bref, les raisons qui nous ont poussés à fournir cet effort ne manquent pas. Idem concernant les entraves qui sont de tout ordre. Espérons tout simplement que LE CANARD dure autant que possible...et qu’il vous plaise, bien sur…
Photomontages : Les images qui accompagnent l’action P. 03
Le Site de la section CNES-USTO existe depuis Juin 2006
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LE CANARD DU CNES___________________________________________________________________
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Revue de presse concernant le scandale du concours de l’Ecole doctorale de l’Architecture
Les Médias suivent de très près l’affaire « Monsieur
Quand atteindronsnous le fond ? De jour en jour, de nouveaux scandales sur les concours de magister ou d’écoles doctorales sont portés à la connaissance de l’opinion publique à travers les colonnes des journaux. Cette année, le bal a été ouvert, à partir de l’université de Sidi Bel Abbes, par le scandale d’une école doctorale d’électronique où figuraient en très bonnes places dans les résultats du concours deux frères du doyen de la faculté des sciences de l’ingénieur, qui sont de formation informatique. Si ce scandale avait ému la ville de Sidi Bel Abbès, le recteur a adopté un profil bas et aucune explication n’a été donnée sur cette mystérieuse affaire où, en plus de considérations éthiques et déontologiques, plusieurs défaillances ont été relevées. En ce moment, les dépassements dans les concours se sont généralisés, comme au niveau de la faculté des sciences où les copies d’examens ont erré pendant plusieurs semaines avant que l’anonymat ne soit opéré sur ces copies et leurs corrections entamées. La deuxième grande casserole rapportée, toujours par la presse, est le concours de magister à l’USTO, où la folie a atteint le seuil de l’intolérable pour qu’une poignée de personnes use de leurs pouvoir et faire réussir des enfants de « la famille ». Quand on croit atteindre le fond, on commence à creuser. Telle est la réalité de notre université. Un autre scandale de magister est rapporté par la presse, impliquant même un représentant du peuple ! Dans les commentaires des lecteurs, on trouve l’idée d’organiser un procès virtuel de l’enseignant. De loin, on ne peut pas faire de différence entre l’honnête et le malhonnête et si on ne réagira pas promptement et on n’agira pas correctement pour faire cesser ces scandales, la sentence de ce tribunal est claire : Coupable. CNES-SBA
le Doyen vous nous faites honte !! »
Il faut être vraiment benêt pour ne pas se rendre à l’évidence. La crise qui secoue notre université est gravissime. Preuve s’il en est, depuis l’éclatement du scandale, il y a presque un mois, par le biais d’« El Khabar », il ne se passe pas un jour sans que l’on n’évoque les « Magisters » de la honte. Le scandale en relation avec notre établissement, pouvons-nous le dire y tient un rôle central. En plus des articles parus dans la presse les jours passés (au minimum 7: El Khabar, Echorouk, Liberté, L’Expression, Djazair News, Sada Wahran, etc.), la journée de jeudi passé (28 Novembre) a vu la publication de trois papiers au moins (parus in El Khabar, L’Expression et Djazair News). L’Assemblée Générale tenue le Mercredi passé y a été pour beaucoup. Bref, il est évident maintenant que c’est par notre mobilisation que nous allons créer l’évènement et par conséquent mettre un terme aux agissements « irresponsables » de nos soi-disant « responsables ». Soyons vigilants. Si on se tait, l’arbitraire et l’impunité feront légion. Pour conclure, voici sans tarder les différentes coupures de presse parues dans la journée de jeudi passé (liens et textes). . http://cnes-usto.awardspace.com/spip.php?article52
http://elkhabar.com/quotidien/?ida=133474&idc=34&date_insert=20081126&key=5 PLUSIEURS GRÈVES OBSERVÉES À TRAVERS LE PAYS
L’Université dans la tourmente Le Cnes de l’université d’Oran décide d’« alerter de nouveau le ministre de l’Enseignement supérieur, le président de la République et l’Unesco », concernant le scandale du Magister. Tel un canard sans tête qui continue de courir sans trop savoir vers quoi, l’Université algérienne végète dans une situation aux lendemains incertains. A peine deux mois après l’ouverture officielle de l’année en cours, plusieurs universités ont été paralysées. Cette dégradation du climat universitaire a fait sortir les syndicats de leurs gonds. Dans un communiqué parvenu, hier, à notre rédaction, le Cnes réagit à propos du scandale du Magister au sein de l’université des sciences et de la technologie d’Oran (Usto). Cette section syndicale a décidé notamment, d’« alerter, de nouveau, le ministre de l’Enseignement supérieur, le président de la République ainsi que l’Unesco... » Le constat est comme suit : d’une part, la tutelle rassure. De l’autre, des mouvements de protestation sont entamés, des cours gelés...et de la violence, verbale et physique, échangée entre professeurs et étudiants. Comme si ces spectacles quotidiens se suffisaient à eux- mêmes, sans qu’il soit nécessaire de les commenter davantage. Logique d’épuisement, logique d’affrontement. Ainsi, va l’Université algérienne. Cette situation nuisible est due « au manque de concertation entre les membres de la famille universitaire », soutient Abdelmalik Rahmani, coordonnateur national du Cnes, contacté hier, par L’Expression. Les problèmes sont également mal posés. Si le débat sur le système LMD a été tranché, « des lacunes énormes sont constatées dans la mise en application de ce système d’enseignement », explique notre vis-à-vis. Ce sentiment de frustration généralisé, qui se répand comme une gangrène au sein de plusieurs universités, « peut naître d’un manque d’information et de communication de la part de la tutelle », a-t-il souligné. Ce manque flagrant, conjugué à une gestion défaillante des oeuvres sociales, pousse la communauté estudiantine à recourir à la grève, chaque fois que se présente l’occasion. « Le budget de 5300 milliards de centimes alloué par le gouvernement aux oeuvres sociales universitaires, aurait suffi largement pour mettre l’étudiant dans de meilleures conditions », enchaîne le coordonnateur du Cnes en guise d’argument. Or, les étudiants souffrent. A la Fac comme au niveau des résidences universitaires. Sans boussole, ils n’ont d’autre choix que deux solutions envisageables. Soit un « rêve traditionnel », geler les cours, soit s’« adapter » à une « misère » qui commence à toucher les Instituts et écoles qui, jadis, ont formé de hauts cadres, parmi eux ceux qui nous gouvernent. L’année scolaire en cours a connu un début laborieux. Sur fond de tiraillements. Il a fallu une semaine seulement pour voir les étudiants de la faculté de médecine de l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, entamer une grève qui a fait couler beaucoup d’encre. Le maintien du système de rachat et l’abrogation de la note éliminatoire pour les étudiants ayant une moyenne générale supérieure à 10 sur 20, sont les principales revendications transmises au doyen de la faculté. La prise en charge effective des périodes de stage au niveau du CHU Nedir-Mohamed de Tizi Ouzou, a été également mise en avant dans ces revendications. Exaspérés par la « non-vie » qu’ils vivent dans leur faculté, les étudiants du département de langue et littérature françaises sont passés à la grève... illimitée. Les portes menant aux facultés de l’université de Boumerdès ont été complètement fermées. Pas d’accès à l’intérieur. Dans un autre contexte, M.Rahmani est revenu sur la question qui a trait aux salaires des enseignants du supérieur. « La commission des indemnités doit être réactivée », insiste-t-il. Et d’appeler les pouvoirs publics à changer « leur politique d’autisme » et ouvrir le dialogue avec tous les syndicats.
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Photomontages : Les images qui accompagnent l’action SI CHOUICHA EST PASSE PREMIER DANS LE VOTE C’EST QU’IL A PROBABLEMENT FAIT UNE BONNE CAMPAGNE MEDIATIQUE…
Chouicha élu coordonnateur de la Section
LE CANARD DU CNES___________________________________________________________________ Entretien MEKKAOUI Mohamed (ex-Coordonnateur de la section) :
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La lutte continuera et le responsable paiera !! Dans un entretien accordé par l’ex-coordonnateur au journaliste du CANARD, M. Mekkaoui a affirmé : « La lutte continuera et le responsable paiera !». Il avait ajouté aussi que maintenant les données ont changé. Il illustra ses propos en ajoutant : « Maintenant, TOUTE l’Algérie sait ce qu’a fait celui qui prétendait qu’il savait TOUT ce que les enseignants faisaient ». Actuellement membre du bureau syndical chargé de l’organique, l’hydraulicien demeure optimiste quant au futur du syndicat. « Ces dernières élections ont démontré que le CNES est une force vive de notre université. La participation massive au vote du 17 novembre démontre que les enseignants font toujours confiance au CNES», avait-il ajouté. Publicité
Sortie prochaine du film de Francis Ford Coppola « Le Parrain II»…
En attendant « le parrain III »…to be continued
Un film où il y a manipulation, orchestration, pression, tension, violence morale et physique, dictature mais surtout tricherie… Don Corléone cède sa place, à son descendant direct qui a le même goût prononcé pour le pouvoir absolu…A ne pas confondre avec la réalité.