Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 01
Introduction
Les Les réseaux réseaux informatiques informatiques
RÉSEAUX: RÉSEAUX: Quelques Quelques définitions... définitions...
• INFORMATIQUE : – Ensemble de moyens et de techniques de transmission utilisés pour permettre la mise en commun de ressources.
3
Qu Qu ’est-ce ’est-ce qu qu ’un ’un réseau réseau ?? • Il est conçu pour permettre la circulation… – Des véhicules : Le réseau routier – Des trains : le réseau ferré – De l’électricité : le réseau électrique – De la voix : le réseau téléphonique
… Et des données :
Le réseau informatique 4
Exemples Exemples de de réseaux réseaux informatiques informatiques
Réseau local
Réseau local
INTERNET PLANETAIRE
Réseau étendu Réseau local
Réseau téléphonique
Réseau local Réseau métropolitain
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Exemple Exemple réel réel :: Renater Renater
REseau REseau NATional NATional pour pour ll ’Enseignement ’Enseignement et et la la Recherche Recherche NorOpale Lille VikmanCaen
Pir2 Syrhano Champaitre Compiègne Rouen Reims
Bretagne
OR
Paris
PaysNantes de Loire
Metz
Strasbourg
Lothaire Nancy
RERIF
Rennes
Russie Osiris
Orléans
RenaCentre
Dijon Clonys Besançon
Etats Unis
Poitiers
Poitou-Charentes
EBelin
RNI Limoges
Bordeaux
Europe
ClermontFerrand
Cratère
Lyon
Aramis Grenoble
AQUAREL REMIP
3RLR Montpellier
Toulouse .
La Réunion, Antilles, Guyane
R3T2
Nice / Sophia
Marseille
OCTARES Retecor
Pays méditerranéens 6
De De la la diversité diversité des des informations informations à à échanger échanger !! INFORMATIONS
NUMÉRIQUE
ALPHA NUM.
standard
entier
Exponentiel
GRAPHIQUE
étendu
SONORE
voix
dessin
image
fixe
AUTRES
musique
3D
analogique numérique
animée
fixe
animée
Et de la variété des contraintes qui s ’y rapportent ! 7
La La transfert transfert des des informations informations :: Les Les problèmes problèmes généraux généraux
• Réduire les débits binaires – Comprimer sans pertes (ex : Méthode Huffmann) – Compressions avec pertes (Méthodes JPEG,MPEG)
• Assurer la fiabilité : – Codes de détection d ’erreurs (ex : Parité, CRC) – Codes de correction (ex : FRCS, code de Hamming)
• Préserver la sécurité : – Algorithmes de chiffrement – Méthodes d’authentification 8
Les Les différents différents »MONDES »MONDES » » réseaux réseaux ... ... • TÉLÉPHONE • TÉLÉINFORMATIQUE • TÉLÉMATIQUE • RADIO & TÉLÉVISION
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Le Le téléphone téléphone • Parole – Non fiable – Connecté
• Commutation de circuits • Analogique
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La La téléinformatique téléinformatique • Données – – – –
Fiabilité Intégrité Confidentialité Connecté
• Commutation de paquets • Numérique
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La La télématique télématique • Téléinformatique grand public • Application communiquantes – Interface graphique – Normalisées – Client/serveur
• Grand développement : – Minitel en France – Internet planétaire
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L L ’Internet ’Internet • Réseau de réseaux • Connectivité universelle • Services de haut niveau – Courrier – Transfert fichier – Forums – WWW
• Applications basées sur ces services
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Radio Radio // télévision télévision • Images et sons – Non fiable – Non connecté – Fort débit
• Mode diffusion – Évoluant vers l ’interactif
• Analogique – Évoluant vers le numérique – Connexion avec l ’informatique
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Types Types de de réseaux réseaux • PAN
Personal Area Network
Réseau individuel – Ensemble d ’équipements domestiques interconnectés, au sein d ’un même foyer
• LAN
Local Area Network
Réseau Local – RLE Réseau Local d ’Entreprise Ensemble d ’équipements informatiques interconnectés, situés sur un même site géographique
– RLI
Réseau Local Industriel
Idem, mais en environnement de production
• MAN
Metropolitan Area Network
Réseau Métropolitain (de Campus) – Ensemble d ’équipements informatiques interconnectés, dispersés sur un territoire restreint.
• WAN
Wide Area Network
Réseau Étendu – Ensemble d’équipements informatiques interconnectés, couvrant un domaine étendu, voire planétaire
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PAN PAN
Personal Personal Area Area Network Network
Réseau Privé ou Domestique • Ensemble d’équipements domestiques et informatiques localisé dans la même proprièté privée qui communiquent directement les uns avec les autres – Ex. : Home PNA …
W-PAN = Wireless PAN, c’est à dire mise en œuvre de technologies sans fils. – Ex. : Bluetooth, Home RF…
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LAN LAN
Local Local Area Area Network Network
– Réseau local, réseau local d’entreprise (RLE) • Ensemble d’équipements informatiques indépendants, géographiquement rapprochés, et qui communiquent directement les uns avec les autres. – Ex. : Ethernet, Token Ring …
– Réseau Local Industriel (RLI) • Ensemble d ’équipement interconnectés sur des sites de production et/ou de contrôle de process. – Ex. : Token Bus,FIP …
W-LAN = Wireless LAN, c ’est à dire mise en œuvre de technologies sans fils dans un LAN. – Ex. : Wifi (802.11), HyperLan...
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MAN MAN
Métropolitan Métropolitan Area Area Network Network
– Réseau métropolitain, réseau de proximité, réseau de campus. • Ensemble d’équipements informatiques indépendants, situés dans un rayon de quelques dizaines de kilomètres. Souvent il s ’agit d ’un réseau de LANs interconnectés par un lien partagé, souvent fibre optique.
– Exemple : DQDB, FDDI...
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WAN WAN
Wide Wide Area Area Network Network
– Réseau étendu, réseaux longues distances. • Ensemble d’équipements informatiques indépendants, géographiquement éloignés et isolés par le domaine public – Exemple : Transpac, RNIS…
W-WAN = Wireless WAN, c ’est à dire mise en œuvre de technologies sans fils dans les WANs. – Ex. : GPRS, Iridium...
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Autres Autres formes formes de de réseaux réseaux – Nano-réseaux, Pipelines, Bus, canaux d ’E/S ... • La plupart des moyens d ’interconnexion de composants matériels, au sein des équipements de technologie avancée sont réalisés avec le concours de protocoles réseaux de types très variés
– Exemple
:
Automobiles,
machines-outils,
cartes-mères
ordinateurs, micro-processeurs…
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Les Les réseaux réseaux de de télécommunications télécommunications Réseau sous-marin Réseau souterrain Réseau hertzien Réseau satellite Réseau aérien
Liaison itinérante
Centre de transit
Commutateur local
Répéteur
Bornes Radio-Lan
Centre de commutation
Liaison itinérante
Réseau local
Centre de transit
Liaisons domestiques
Répéteur 21
Critères Critères de de Typologie Typologie des des Réseaux Réseaux Numérique
ou
Analogique
Connecté
ou
Non Connecté
Commuté
ou
Non Commuté
Circuits
ou
Paquets
Confirmé
ou
Non Confirmé
Isochrone
ou
Anisochrone
Bidirectionnel
ou
Unidirectionnel
Avec contrôle flux ou
Sans contrôle flux
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1Tbps
pipelines
Débit
La hiérarchie des réseaux
Bus
1Gbps
Réseaux Réseaux Locaux Privés
Réseaux Métropolitains
Canaux E/S
1Mbps
Réseaux étendus
1Kbps
1cm
1m 10cm
10m
100m
1km
10km
100km
Distance
23
Les Les Services Services • Mode CONNECTÉ – Modèle : Le téléphone . Circuit établi entre l ’émetteur et le destinataire qui
doit être présent. Le circuit est libéré en fin de communication.
• Mode NON CONNECTÉ – Modèle : La Poste . Pas de lien direct entre l ’émetteur et le destinataire . Coordonnées du destinataire (et de l ’émetteur sur chaque envoi)
24
Comparaisons Comparaisons entre... entre... CONNECTÉ
NON CONNECTÉ
C.O.N.S. (Connection Oriented Network Services)
C.L.N.S. (Connection Less Network Services)
CIRCUIT (Virtuel)
DATAGRAMME
- Etablissement d’une connexion
- Pas de connexion
- Paquet de communication sans adresse
- Adresses dans chaque datagramme
- Libération de la connexion en fin de
- Pas de procédure de libération
session
- Datagrammes non séquencés à réception
- Réception de paquets séquencés
- Présence destinataire non nécessaire
- Présence destinataire obligatoire
- Diffusion aisée
- Diffusion difficile Norme ISO 8473 pour I.P. (Internet Protocol) Norme ISO 8205 pour X.25 (paquets)
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Hiérarchisation Hiérarchisation par par niveaux niveaux
Le Le concept concept de de structuration structuration par par couches couches ALLO ...
APPLICATION PRÉSENTATION SESSION TRANSPORT RÉSEAU
Ici Jacques
Pierre à l'appareil
Bonjour Pierre
Comment ça va ?
Mieux... merci !
CONVERSATION en FRANÇAIS ORDONNÉE par le TÉLÉPHONE AUTOMATIQUE
LIAISON
De NŒUD à NOEUD
PHYSIQUE
En ANALOGIQUE
TRAITEMENT FORME SYNCHRONISATION de BOUT en BOUT ACHEMINEMENT PAR TRONÇONS D’un SIGNAL MODULÉ
sur MEDIA DIVERS
Exemple : Une conversation téléphonique ... 27
Hiérarchie Hiérarchie de de protocoles protocoles HOTE A
HOTE B
COUCHE N
PROTOCOLE de COUCHE N COUCHE N INTERFACE COUCHES N-1/N
INTERFACE COUCHES N-1/N
COUCHE N-1
COUCHE 2
PROTOCOLE de COUCHE N-1 COUCHE N-1
PROTOCOLE de COUCHE 2
INTERFACE COUCHES 1/2
INTERFACE COUCHES 1/2
COUCHE 1
COUCHE 2
PROTOCOLE de COUCHE 1
COUCHE 1
MÉDIUM 28
Schéma Schéma d d ’une ’une liaison liaison téléinformatique téléinformatique LIAISON de DONNÉES CIRCUIT de DONNÉES MÉDIUM de TRANSMISSION Source de Données
Source de Contrôleur
Codage
Modulation
Démodulation
Décodage
Contrôleur
de Puits de Données
Données
de
communication
Décodage
Démodulation
Modulation
communication
Codage
Puits de Données
E.T.T.D.
E.T.C.D. Jonction
E.T.C.D.
E.T.T.D. Jonction
STATION de DONNÉES
STATION de DONNÉES
SYNOPTIQUE d'une LIAISON TÉLÉINFORMATIQUE
ETTD = Equipement Terminal de Traitement de Données
ETCD = Equipement terminal de Circuit de Données 29
Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications
Diaporama séance 02
Modèles & Normes
Le Le modèle modèle OSI OSI
Les Les principaux principaux organismes organismes de de normalisation normalisation Réseaux Réseaux • I.S.O. International Standards Organisation - ANSI (USA) - AFNOR - DIN - BSI
(FRANCE -NF) (ALLEMAGNE) (ROYAUME UNI)
• U.I.T. Union Internationale pour les Télétransmissions- Ex CCITT (Comité Consultatif International pour le Téléphone et les Télécommunications). Attributs : -T -R
pour les Télécommunications pour les Radiocommunications
Normes de type : -V -X -T -I
Transmissions données réseau téléphonique Transmissions réseaux publics de données Télématique RNIS (Réseau Numérique à Intégration de Services) - ISDN
• I.E.E.E. Institute of Electrical & Electronics Engineers Association particulièrement active en matière de normalisation de matériels et de réseaux locaux. - Normes 802.xx pour les réseaux locaux 32
OSI OSI
ISO ISO
Open Interconnexion Systems de Systèmes Interconnection Ouverts • MODELE CONCEPTUEL – 7 Couches – Protocoles – Services
33
Le Le modèle modèle O.S.I. O.S.I. HOTE-A
données
A-PCI AH
APPLICATION P-PCI
A-SDU données A-PDU
APPLICATION
P-SDU
PH
PRÉSENTATION
HOTE-B
PRÉSENTATION P-PDU
S-PCI SESSION
S-SDU SESSION
SH S-PDU T-SDU
TRANSPORT
TRANSPORT TH
TH
T-PDU
T-PDU N-PCI
RÉSEAU
N-SDU
NH
T-PDU N-PCI(2) RÉSEAU
NT N-PDU L-SDU
L-PCI LIAISON
TH
LH
L-PCI(2) LT
LIAISON
L-PDU P-SDU PHYSIQUE
11111001110- - -
bits
- - - 0 11 101111
PHYSIQUE
H = Header (Entête) - provient de n-PCI T = Trailer (Délimiteur de fin) - provient de n-PCI 34
Le Le modèle modèle O.S.I. O.S.I. IDU COUCHE N+1 PCI
SDU
N-PDU SAP
INTERFACE
vers couche N ICI
COUCHE N PCI
SDU
HDR
SDU
TER autre ENTITÉ
IDU (Interface Data Unit) : Unité de données d’interface ICI (Interface Control Information) : Information de commande interface PCI (Protocol Control Information) : Information de contrôle du protocole SDU (Service Data Unit) : Unité de Données du service SAP (Service Access Point) : Point d’accès du service N-PDU (Protocol Data Unit) : Unité de donnée du protocole 35
Glossaire Glossaire O.S.I. O.S.I. Ensemble des moyens permettant à deux entités communicantes symétriques de même niveau d’échanger des unités de données PROTOCOLE : Règlement des échanges entre entités symétriques et correspondantes situées dans une même couche Ensemble des facilités offertes par une SERVICE : couche à celle immédiatement supérieure La prestation d’un service est faite par une entité Point de passage obligé entre deux INTERFACE : couches adjacentes COUCHE :
36
Relations Relations Service/Protocole Service/Protocole
Glossaire Glossaire O.S.I. O.S.I. IDU PCI
ICI
SDU
SDU
N-PDU
HDR
SDU
TER
PCI
S.A.P. Service Access Point
Point où un service de niveau N est fourni à une entité de niveau N+1
38
Glossaire Glossaire O.S.I. O.S.I. IDU PCI
ICI
SDU
SDU
N-PDU
HDR
SDU
TER
PCI
S.D.U. Service Data Unit
Unité de données du service, transférable à travers le S.A.P. et contenant les données et paramètres des primitives
39
Glossaire Glossaire O.S.I. O.S.I. IDU PCI
ICI
SDU
SDU
N-PDU
HDR
SDU
TER
PCI
I.C.I. Interface Control Information
Informations de contrôle entre entités voisines d ’un même système. Elles ne sont pas transmises sur le réseau 40
Glossaire Glossaire O.S.I. O.S.I. IDU PCI
ICI
SDU
SDU
N-PDU
HDR
SDU
TER
PCI
P.C.I. Protocol Control Information
Informations de contrôle du protocole contenant les paramètres définissant le service. C ’est le support du protocole de niveau N 41
Glossaire Glossaire O.S.I. O.S.I. IDU PCI
ICI
SDU
SDU
N-PDU
HDR
SDU
TER
PCI
P.D.U. Protocol Data Unit
Unité de données du protocole contenant : Les données en provenance de la SDU Les PCI (Entêtes et remorques)
42
Les Les différents différents niveaux niveaux OSI OSI
COUCHE COUCHE » »0 0» » :: Niveau Niveau MÉDIUM MÉDIUM Spécificités liées aux média TYPES de SUPPORTS : – – –
Filaires Hertziens Fibre optiques
TOPOLOGIES et CABLAGE TYPES de PORTEUSES – –
Électrique Électro-magnétique Lumineuse
INCIDENCES SPÉCIFIQUES – – –
Vitesse de propagation Bruit Distorsion
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COUCHE COUCHE 1 1 :: Niveau Niveau PHYSIQUE PHYSIQUE GESTION DES CIRCUITS PHYSIQUES de nœud à nœud
CARACTERISTIQUES DES JONCTIONS : – – –
Mécaniques Électriques Fonctionnelles
ETABLISSEMENT/LIBÉRATION du CIRCUIT TRANSMISSION DES BITS MATERIELS : – – –
•
Modems & Codecs Répéteurs Connectique de jonction
MULTIPLEXAGE PHYSIQUE V90, RS232, X21, RJ45
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COUCHE COUCHE 2 2 :: Niveau Niveau LIAISON LIAISON ACHEMINEMENT DE BLOCS D'INFORMATION ENTRE NŒUDS DELIMITATION des INFORMATIONS TRANSMISES : –
La TRAME
–
Fonctions de groupage/dégroupage
ÉTABLISSEMENT/LIBÉRATION LIAISON FIABILITÉ & INTÉGRITÉ CONTROLE DE FLUX MULTIPLEXAGE PHYSIQUE
LAP-B, Ethernet, DQDB...
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COUCHE COUCHE 3 3 :: Niveau Niveau RÉSEAU RÉSEAU ACHEMINEMENT DES BLOCS DE BOUT EN BOUT STRUCTURATION des BLOCS : –
MESSAGES, PAQUETS, CELLULES
–
Segmentation/réassemblage
–
Encapsulation niveau/niveau
OUVERTURE ET FERMETURE DES CIRCUITS ADRESSAGE, ROUTAGE FIABILITÉ & INTÉGRITÉ CONTROLE DE FLUX MULTIPLEXAGE de VOIES X25-3, IP ...
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COUCHE COUCHE 4 4 :: Niveau Niveau TRANSPORT TRANSPORT TRANSFERT TRANSPARENT DE BOUT EN BOUT STRUCTURATION des BLOCS : –
Messages, segments
–
Concaténation/séparation
SÉCURISATION TRAFIC QUALITÉ de SERVICE : –
Débit moyen
–
(An)Isochronie
–
Fiabilité
CLASSES DE SERVICE : –
5 classes ISO
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COUCHE COUCHE 5 5 :: Niveau Niveau SESSION SESSION ORGANISATION DU DIALOGUE OUVERTURE & FERMETURE SESSION –
Identification
–
Authentification
TOUR DE PAROLE GESTION DES POINTS DE SYNCHRONISATION GESTION du MODE D'ECHANGE –
Alternat
–
Bidirectionnel simultané
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COUCHE COUCHE 6 6 :: Niveau Niveau PRÉSENTATION PRÉSENTATION MISE EN CONFORMITÉ CONTENUS
REPRÉSENTATION de L ’INFORMATION –
Codage
–
Structuration
CONTEXTE DE PRESENTATION –
Chiffrement
–
Compression
PROTOCOLES D'APPAREILS VIRTUELS
50
COUCHE COUCHE 7 7 :: Niveau Niveau APPLICATION APPLICATION OFFRE DE SERVICES AUX APPLICATIONS PROTOCOLES APPLICATIONS COMMUNICANTES –
Courrier (X400)
–
Annuaire (X500)
–
Transfert fichiers (FTAM)
–
Appel de procédures (RPC)
–
WWW (HTTP) . . .
ENSEMBLE DE COMPOSANTS APPLICATIFS –
ASE (Application Service Element)
–
API (Application Programming Interface)
51
Les Les 7 7 couches couches de de ll ’OSI ’OSI
Synthèse Synthèse
7
APPLICATION
6
PRÉSENTATION
5
SESSION
4
TRANSPORT
3
RÉSEAU
Acheminement ou routage des blocs
2
LI AI SON
Transfert trames de nœud à nœud
1
PHYSIQUE
Transmission bit à bit sur médium
Sélection de services pour les applications Format de données commun aux applications Synchronisation dialogue Qualité des transferts de bout en bout
52
Qu’est-ce Qu’est-ce qu’un qu’un protocole protocole ??
Un PROTOCOLE RÉSEAU décrit pour un type de réseau donné les échanges entre entités distantes pour un niveau spécifié. Il est défini par :
1- La structure des données échangées entre ces entités, 2- Le type de dialogue mis en place entre ces entités, et ce pour tous les types de qualités de services, et pour les modes normaux et anormaux de fonctionnement.
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Normes et divergences ... OSI OSI Applications & services
Présentation
INTERNET INTERNET Applications & services & Présentation
Session Transport
T.C.P. U.D.P.
Réseau
I.P.
Liaison
Liaison
Physique
Physique
Médium
Médium 54
La La couche couche application application de de l'OSI l'OSI La couche application comprend l'ensemble des fonctions nécessaires aux applications réparties en complément des fonctions déjà réalisées par les autres couches (1-6) du modèle OSI. On désigne par application répartie les réalisations informatiques qui font appel à des données et/ou des ressources de calcul situées sur plusieurs sites. Pour faciliter la réutilisation de certaines fonctions d'applications par différents types d'applications réparties, les entités d'applications sont structurées en trois types d'éléments : - L'élément Utilisateur qui représente la partie du processus d'application (programme ou humain) source ou destinataire des échanges. Le modèle OSI nomme AP (Application Process) une tâche locale adressable sur un site de réseau. Dans ces tâches, ce qui est du ressort des communications est désigné par AE (Association Entity). Ces entités décrivent les besoins de communication propres à l'AP. Un ASE (Application Service Element) est un ensemble intégré de fonctions qui permet de réaliser le travail des AE. 55
Les ASE Parmi les ASE on distingue : - Les Eléments Communs de Service d'Application (CASE = Commun Application Service Element) qui réalisent les fonctions utilisées de façon générale par une variété d'applications : – sur des machines de constructeurs différents. – sur des systèmes d'exploitation différents.
-
Les Eléments Spécifiques de Service d'Application (SASE = Specific Application Service Element) qui réalisent les fonctions propres à une application déterminée. On peut citer : -
-
Le file Transfert Access Management (FTAM) pour le transfert des fichiers et l'accès aux bases de données et systèmes de fichiers à distance, en temps réel (norme ISO 8571 partie 1 à 4). La messagerie X400 qui est un ensemble de normes développées par le CCITT pour la messagerie (Message Handling System)
56
Évolution Évolution des des technologies technologies WAN WAN
Frame Relay RNIS ATM X25
MPLS RTC ÉMERGENCE CROISSANCE
MATURITÉ
DÉCLIN
OBSOLESCENCE
57
Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications
Diaporama séance 03
Niveau Physique
Généralités Généralités
Positionnement Positionnement de de la la couche couche Physique Physique • C’est elle qui va permettre de véhiculer les signaux pour un médium donné • La couche physique sera donc directement dépendante du support mis en œuvre • Elle doit être considérée comme placée hiérarchiquement «au-dessus» du support physique (ou médium) • La couche physique étant normalisée de niveau 1, les média seront considérés comme étant de niveau « 0 » Note : Nous respecterons le « latinisme » du mot « médium » qui fait au pluriel « média » dénomination personnelle non utilisée par ailleurs!60
COUCHE COUCHE » »0 0» » :: Niveau Niveau MÉDIUM MÉDIUM Spécificités liées aux média TYPES de SUPPORTS : – – –
Filaires Hertziens Fibre optiques
TOPOLOGIES et CABLAGE TYPES de PORTEUSES – –
Électrique Électro-magnétique Lumineuse
INCIDENCES SPÉCIFIQUES – – –
Vitesse de propagation Bruit Distorsion
61
Le Le SUPPORT SUPPORT PHYSIQUE PHYSIQUE ou ou « « médium médium » » SOURCE De Données
PUITS De Données
Récepteur
Emetteur
MÉDIUM de TRANSMISSION
Bruit
Distorsion
Affaiblissement
62
Un Un peu peu de de physique… physique…
Remarques Remarques concernant concernant ce ce niveau… niveau…
• Comme le nom le désigne, nous sommes dans un univers physique… et la physique y joue un rôle important pour la compréhension de ce qui se passe à ce niveau. ...
• Une brève évocation de quelques concepts fondamentaux rafraîchira la mémoire… de ceux qui les ont appris un jour. Pour les autres, inutile de vous acharner! 64
Grandeurs Grandeurs caractéristiques caractéristiques (1) (1) VITESSE de PROPAGATION (CÉLÉRITÉ): métre/seconde Vitesse propagation lumière dans la vide (Célérité) C = 3 x 108 m/s Première mesure en 1849 par Hippolyte FIZEAU
COEFFICIENT de CÉLÉRITÉ: Rapport entre la vitesse de propagation des signaux dans le média et celle de la lumière dans le vide . Exemples : I(p)
= 0.6 pour la paire torsadée = 0.7 pour le coaxial = 0.85 pour la fibre monomode
65
Les Les supports supports de de transmission transmission
Les Les MÉDIA MÉDIA de de TRANSMISSION TRANSMISSION • Avec support matériel – Paires filaires – Coaxiaux – Fibres optiques
• Avec support immatériel – Radio – Signaux lumineux
67
Les Les MÉDIA MÉDIA de de TRANSMISSION TRANSMISSION Avec Avec Support Support Matériel Matériel
La PAIRE TÉLÉPHONIQUE Paire cuivre type AWG 24 ou 26 La PAIRE TORSADÉE ISO Usage typique : Réseaux locaux, précâblage 6 Catégories Débits jusqu ’à 10 Gbps La PAIRE TORSADÉE BLINDÉE ou ÉCRANTÉE Usage typique : Réseaux industriels environnement difficile Débits jusqu ’à 200 Mbit / s
en 68
Les Les MÉDIA MÉDIA de de TRANSMISSION TRANSMISSION Avec Avec Support Support Matériel Matériel (suite) (suite)
• La FIBRE OPTIQUE “Multimode” ( Réflexions multiples dans la fibre). Diamètre = 150 à 500 µ - Débits maxima = 100 Gbit / s - Distance max sans répéteur = 5 Km - Emetteur par diode luminescente ou laser • La FIBRE OPTIQUE “Monomode” ( Propagation quasi linéaire dans la fibre). Diamètre = 8 à 10 µ - Débit maximum = 3000 Gbit / s (par faisceau) - Distance max sans répéteur = 60 Km
69
Les Les topologies topologies Lans Lans fibres fibres optiques optiques ORDINATEUR
LED
PHOTODIODE
AMPLIFICATEUR
Anneau avec répéteurs actifs
ÉTOILE
Étoile optique passive 70
Le Le soliton soliton C C ’est ’est une une onde onde qui qui se se propage propage en en ignorant ignorant les les lois lois de de la la dispersion dispersion dd ’énergie! ’énergie! •
Cette onde se propage en excitant un effet non linéaire (puits de potentiel) piégeant l’énergie, et compensant l ’effet normal de dispersion. – Ce phénomène existe à l’état naturel sous de multiples formes (Mascarets, tsunamis, foudre en boule …) – Plusieurs type de solitons luminiques : Temporel : Piège la dispersion chromatique Va prochainement être utilisé pour les câbles trans-océaniques multicanaux. Spatial : Piège la diffraction En bille de lumière : Énergie lumineuse piégée dans les trois dimensions Prédictibles au plan mathématique, impossible actuellement à reproduire physiquement.
Les recherches actuellement en cours dans ce domaine sont très prometteuses. Le principal intérêt du soliton serait de permettre avec des fibres optique des distances considérables sans répéteur(qui coûtent très cher et sont fragiles).
71
Les Les MÉDIA MÉDIA de de TRANSMISSION TRANSMISSION Avec Avec Support Support Immatériel Immatériel
Les ONDES RADIO Basse et Moyenne fréquences - Propagation non directive - Peu d’absorbtion - Réflexion sur couches ionisées (Heavyside) Fréquences plus élevées - De plus en plus directives selon la fréquence - Absorbées par les obstacles - Phénomènes de “fadding” dûs à certaines conditions météo
72 Moins onéreux que la fibre en environnement péri-urbain, mais
Les Les MÉDIA MÉDIA de de TRANSMISSION TRANSMISSION Avec Avec Support Support Immatériel Immatériel (suite) (suite)
Les transmissions INFRAROUGE – – – – –
Ondes millimétriques, large bande Omnidirectionnelles Mise en oeuvre simple Grande absorbtion Perturbation par rayonnement solaire
Les transmissions à FAISCEAUX LUMINEUX (Lasers) – – – –
Ondes micrométriques, très large bande Unidirectionnelle, concentrée Mise en oeuvre simple Perturbées par phénomènes météo et chaleur
73
Topologies Topologies de de base base
Schémas topologiques des réseaux étendus (1) NOEUD
NOEUD
NOEUD
Etablissement d’un circuit NOEUD
NOEUD
NOEUD
TOPOLOGIE HIÉRARCHISÉE : - Règles de commutation simples ( les champs adresses représentent le trajet à réaliser) - Un seul chemin possible entre deux entités d’extrémité désignées - Sensibilité aux incidents : L’indisponibilité d’un nœud ou d’un segment entraîne d’importantes dégradations de fonctionnement
75
Schémas topologiques des réseaux étendus (2) NOEUD
NOEUD
NOEUD
NOEUD NOEUD NOEUD NOEUD NOEUD
TOPOLOGIE MAILLÉE : - Règles de commutation complexes ( l’adresse n’est pas représentative du chemin) - Plusieurs chemins possibles entre deux entités d’extrémité désignées - Sensibilité aux incidents : L’indisponibilité d’un nœud ou d’un segment peuvent être totalement transparents
76
Organisation Organisation hiérarchisée hiérarchisée du du système système téléphonique téléphonique français français CTP CTP = Centre de Transit Principal
CTS
CTS = Centre de Transit Secondaire CAA = Centre à Autonomie d ’Acheminement
CAA
CL = Centre Local
CL
____
Liaison principale
_ _ _ Liaison de proximité
Abonné
77
Schémas Schémas topologiques topologiques des des réseaux réseaux étendus étendus
-
L’idéal : La HIÉRARCHISÉE-MAILLÉE… - Tous les avantages des deux… mais la notion de hiérarchie impose des structures topologiques et d’adresse très strictes (entre autres, mobilité difficile) - C’est le schéma de la plupart des réseaux à commutation de circuits 78
Concepts Concepts généraux généraux
Le Le niveau niveau PHYSIQUE PHYSIQUE PROCESSUS
PROCESSUS données
ÉMISSION
RÉCEPTION
APPLICATION
données
PRÉSENTATION
données
SH
SESSION TRANSPORT
TH NH
RÉSEAU
PHYSIQUE
APPLICATION
PH
PRÉSENTATION
LIAISON
AH données
LH
SESSION TRANSPORT
données données données bits
RÉSEAU LT
LIAISON PHYSIQUE
Support de transmission
80
SYNOPTIQUE SYNOPTIQUE d'une d'une LIAISON LIAISON TÉLÉINFORMATIQUE TÉLÉINFORMATIQUE LIAISON de DONNÉES CIRCUIT de DONNÉES MÉDIUM de TRANSMISSION Source de Données
Source de Codage
Contrôleur
Modulation
Démodulation
Décodage
Contrôleur
de Puits de Données
Données
de
communication
commuDécodage
Démodulation
Modulation
nication
Codage
Puits de Données
E.T.T.D.
E.T.C.D. Jonction
E.T.C.D. Jonction
STATION de DONNÉES
ETTD = Equipement Terminal de Traitement de Données
Jonction
E.T.T.D. Jonction
STATION de DONNÉES
ETCD = Equipement terminal de Circuit de Données 81
Rappels Rappels terminologiques terminologiques • ETTD = DTE – Équipement Terminal de Transmission de Données – Data Terminal Equipment Équipement gérant la mise en forme de la représentation interne des données afin de les présenter sous la forme exigée pour les télétransmissions à l ’émission (mode série, bloc ou caractère, calculs de parité ou CRC …), et réalisant l ’opération inverse à la réception.
• ETCD = DCE – Équipement Terminal de Circuit de Données – Data Communication Equipment Équipement adaptant les signaux issus de l ’ETTD pour les transmettre sur un réseau donné. (Compression, codage, modulation), et réalisant l ’inverse en réception. 82
Codage Codage & & Modulation Modulation
La La MODULATION MODULATION PORTEUSE
+
MODULATION
TÉLÉTRANSMISSION
CARACTÉRISTIQUES FONDAMENTALES : • Largeur de bande • Débit • Distorsion 84
La La MODULATION MODULATION • BANDE de BASE :
– Transmission numérique directe ou codée - Monopolisation du support - Courtes distances, ou répéteurs - ETCD = CODeur / DÉCodeur = CODEC • BANDE LARGE :
– Modulation d’un signal analogique - Longues distances - Multiplexage possible - ETCD = MODulateur / DÉModulateur = MODEM
85
Les Les différents différents types types de de modulation modulation PORTEUSE : Onde sinusoïdale de référence servant de support à la modulation. La plage utilisable (*) pour un média donné est appelée la BANDE PASSANTE de ce média. * nominalement à - 3 db d’affaiblissement • MODULATION d’AMPLITUDE (A.M.) : – Variation significative de l’amplitude du signal. – Sensible au bruit • MODULATION de FRÉQUENCE : – F.S.K. = Frequency Shift Keying Exemple : V21 • MODULATION de PHASE : – P.S.K. = Phase Shift Keying Exemple : V22
86
DÉBIT DÉBIT & & BANDE BANDE PASSANTE PASSANTE • RAPIDITÉ de MODULATION : – R = Nombre de signaux porteurs d’une modulation par seconde => BAUDS
• DÉBIT BINAIRE : – Débit binaire en fonction de la rapidité de modulation
– Avec
D=
R log 2 V
D= R= V=
Débit binaire = BITS par SECONDE Rapidité de modulation en BAUDS Valence de la modulation
Soit : Pour une rapidité de modulation de 4.000 bd, et une valence de 16, un débit binaire de 16 kbps 87
Modulations Modulations Plurivalentes Plurivalentes •
Modulations permettant de porter la VALENCE à des valeurs supérieures à 2 : Exemple: Modulation TÉTRAVALENTE -> Valence = 4
A4 A3 A2 A1
00
01
10
11
TÉTRAVALENTE AMPLITUDE
déphasage
Valeur Binaire
0°
0 1
90 °
0 0
180 °
1 0
270 °
1 1
TÉTRAVALENTE PHASE 88
Modes Modes de de Transmission Transmission
Des Des mots mots souvent souvent confondus… confondus… … … Pour Pour des des concepts concepts fort fort différents différents !! • Modes de transmission : Asynchrone : Pas de lien temporel entre les caractéres (mots) Lien entre les bits d’un même mot Mot encadré par des bits indicateurs (START / STOP)
Synchrone :
Regroupement d’un certain nombre de mots (bits) en blocs Synchronisation de tous les éléments du bloc au niveau bit (et éventuellement caractére) Délimitation du bloc par caractéres spéciaux (Fanions)
• Qualité de service : Isochrone : Les mots ou blocs d’information doivent être transmis et reçus selon une périodicité fixée (indépendante de la fréquence d’horloge)
Anisochrone :
Inverse de ci-dessus
90
Les Les MODES MODES de de TRANSMISSION TRANSMISSION MODE ASYNCHRONE : Un bit START et un STOP sont les séparateurs minima entre caractères STOP bit
ÉTAT REPOS
CARACTÉRE
CARACTÉRE
START bit
START bit
MODE SYNCHRONE : Un fanion de début et un fanion de fin. En cas de blocs contigus, un seul fanion suffit ÉTAT REPOS
BLOC de
FANION début
DONNÉES
FANION fin 91
MODES MODES de de TRANSMISSION TRANSMISSION • SIMPLEX : – Unidirectionnel Ex : Diffusion : Télévision, radio ... • SEMI DUPLEX : – Half Duplex – Bidirectionnel alterné Pb’s : Temps de retournement • DUPLEX : – Full Duplex – Bidirectionnel simultané 92
MODEMS MODEMS et et CODECS CODECS Ordinateur Commutateur Câble de jonction (Numérique) MODEM
...
Boucle locale (analogique)
Codec
Commutateur
Local
Commutateur de Transit
...
Codec
Boucle locale (analogique) MODEM
Local
Artères Longue Distance (Numériques)
Liaison téléinformatique via réseau commuté 93
La La Commutation Commutation
La La commutation commutation Permet de recevoir de l’information d’un utilisateur quelconque parmi N et de la redistribuer a un autre utilisateur quelconque – CIRCUITS: Établissement d’une liaison durant toute la durée de la communication puis libérée en fin. – MESSAGE : Réception, stockage, retransmission de nœud à nœud de volumes important de données. – PAQUET: Message de taille réduite, à longueur maximale définie. Datagrammes: Paquets circulant selon des routes indépendantes (mode non connecté) Circuit virtuel : Chemin parcouru par tous les paquets d ’une même connexion (mode connecté) – CELLULES : Très petits paquets de longueur fixe
95
Types Types de de commutation commutation
Commutation de Circuits = mobilisation de la bande passante
Commutation de Paquets = partage de la bande passante
96
Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications
Diaporama séance 05
Niveau Liaison (1)
Jean-Claude KOCH
Révision A
Concepts Concepts généraux généraux
Le Le niveau niveau LIAISON LIAISON
PROCESSUS ÉMISSION
APPLICATION
APPLICATION
données
PRÉSENTATION
données
SH
SESSION TRANSPORT
TH NH
RÉSEAU
PHYSIQUE
AH données PH
PRÉSENTATION
LIAISON
PROCESSUS RÉCEPTION
données
LH
SESSION TRANSPORT
données données données bits
RÉSEAU LT
LIAISON PHYSIQUE
Médium de transmission
99
COUCHE COUCHE 2 2 :: Niveau Niveau LIAISON LIAISON ACHEMINEMENT DE BLOCS D'INFORMATION ENTRE NŒUDS DELIMITATION des INFORMATIONS TRANSMISES : –
La TRAME
–
Fonctions de groupage/dégroupage
ÉTABLISSEMENT/LIBÉRATION LIAISON FIABILITÉ & INTÉGRITÉ CONTROLE DE FLUX MULTIPLEXAGE de TRAMES
LAP-B, Ethernet, DQDB...
100
Les Les différents différents niveaux niveaux de de protocoles protocoles
Exemple Exemple :: Transpac Transpac
E.T.T.D.
E.T.T.D.
RÉSEAU TRANSPAC
X25 - Paquets réseau liaison physique
réseau LAP-B X21
liaison
liaison
physique
physique
E.T.C.D.
E.T.C.D.
LAP-B X21
liaison physique
101
Protocoles Protocoles de de Liaison Liaison Toutes les informations et données utiles pour le protocole sont transportées par une structure unique : LA TRAME
• Fonctions du niveau trame : – – – – –
Contrôle d'erreur Synchronisation Délimitation de l'information Intégrité des données Partage du support physique
102
Protocoles Protocoles de de Liaison Liaison • Les protocoles se distinguent par les services qu’ils permettent: – Service avec connexion Établissement de la connexion Transmission de données Libération Fiabilisation : Contrôle d’erreur et reprise sur erreur Contrôle d’intégrité
– Service sans connexion Avec ou sans fiabilisation
103
Fonctionnalités Fonctionnalités •Délimitation des trames – Caractères spéciaux (START/STOP…) – Séquences spéciales de bits (FANIONS) – Séquences de codes invalides (VIOLATION) – Comptage bits ou octets Problème de la transparence: Ne pas utiliser dans l’information transportée, des caractères de délimitation qui seront forcément des caractères ASCII ayant signification
•Fiabilisation – Détection d’erreurs (PARITÉ, CRC…) – Correction d’erreurs (PARITÉ CROISÉE, code de HAMMING…) – Contrôle d’intégrité (NUMÉROTATION, ÉTIQUTAGE…)
•Contrôle de Flux – Avec RÉTROACTION – Basé sur DÉBIT
104
Contrôle Contrôle de de flux flux Flux non régulé
Flux régulé
Principe du contrôle de flux à rétroaction (Le feu est commandé par le destinataire)
Flux non régulé
Flux régulé
Principe du contrôle de flux sans rétroaction (Le débit de la vanne est réglé par algorithme)
105
Les Les variables variables d d ’échange ’échange • MODULO – Numérotation des trames sur m bits (modulo 2m) • Numéro de la trame émise • Numéro de la prochaine trame attendue
• TEMPORISATION T1 – Si au bout du temps T1, une extrémité ne reçoit pas une réponse attendue, elle exécute une reprise.
• NOMBRE de RE-ÉSSAIS N2 : – Après N2 essais infructueux, terminaison
l’initiateur entame une procédure
de
106
Contrôle Contrôle & & détection détection des des erreurs erreurs
Protections Protections contre contre les les erreurs erreurs •
Codes détecteurs simples : – Contrôle de parité • Ajout d’un bit de façon à ce que le total des bits à 1 : – Soit pair
Parité paire
– Soit impaire
Parité impaire (ou imparité)
Ne détecte que les nombres impairs d’erreurs
– 3 dont 2 • Relectures multiples d’une même séquence de données • Si 3 ou 2 sont identiques OK, sinon erreur
108
Les Les contrôles contrôles de de parité parité CONTRÔLE de PARITÉ SIMPLE Parité paire :
Parité impaire :
0 0 0 1 1 0 1 0 1 1
1 0 0 1 1 0 1 0
bit de parité
bit de parité
CONTRÔLE de PARITÉS CROISÉES
:
Exemple : On souhaite transmettre les lettres A , O , X en code ASCII A 1 0 0 0 0 0 1 0
CODES TRANSMIS O X 1 1 0 0 0 1 1 1 1 0 1 0 1 1 1 0
LRC 1 0 1 0 1 1 1 1
VRC
A 1 0 0 1 0 0 1 0 î ERREUR
CODES REÇUS O X 1 1 0 0 0 1 1 1 1 0 1 0 1 1 1 0
LRC 1 0 1 0<-ERR 1 1 1 1
Ce type de parité détecte toutes les erreurs simples, doubles ou triples, et corrige toutes les erreurs simples. 109
Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications
Diaporama séance 06
Niveau Liaison (2)
Les Les mécanismes mécanismes d’échange d’échange (Suite) (Suite)
Mécanismes Mécanismes particuliers particuliers • Le « PIGGY BACKING »: – Utilisé lorsque les deux entités communicantes échangent des trames de données (mode duplex). Dans ce cas, au lieu de générer des trames de supervision RR (accusé réception positif), on utiliser le champs N(R) de la trame de données dans ce but.
• La FENÊTRE d’ANTICIPATION: – Dans un contexte d’échanges fiabilisés, on utilise un mécanisme d’accusés-réception. Pour les liaisons longue distance, attendre un accusé
réception
pour
chaque
trame
envoyée
dégraderait
considérablement les performances. Pour éviter cela, on adresse alors un seul AR pour validation de N trames.
112
La La trame trame HDLC HDLC (LAP-B) (LAP-B)
La La TRAME TRAME X25-2 X25-2 Format LAP-B = Link Access Protocol (IUT-T) ou HDLC = High level Data Link Control (ISO)
FANION
ADRESSE
TYPE
CHARGE UTILE
FCS
FANION
1 OCTET
1 OCTET
1 OCTET
N bits
2 OCTETS
1 OCTET
FCS = Field Check Sequence
114
Le Le protocole protocole PPP PPP
Point Point to to Point Point Protocol Protocol (P.P.P) (P.P.P)
• Échange de trames entre deux ETCD en liaison Point à Point • Dispose de protocoles complémentaires pour :
– Identification + Authentification par mot de passe - En clair -(LCP) – Échange de clés (CHAP) – Sécurisation par chiffrement de la charge (PPTP)
116
Place Place du du protocole protocole P.P.P. P.P.P. P.P.P
IP sur PPP
Jonction (numérique) Boucle locale (analogique)
Ordinateur individuel
...
Vnn
BAIE MODEMS & PONTS L I G 1N E L I1 G 1N E L I1 G 1N E L 1I G 1N E
L I G 2N E L 2 I G 2N E L I2 G 2N E L 2I G 2N E
L I G 3N E L I3 G 3N E L I3 G 3N E L I3 G 3N E
L I G 4N E L I4 G 4N E L I4 G 4N E L 4 I G 4N E
L I G 5N E L I5 G 5N E L 5I G 5N E L I5 G 5N E
1
2
3
4
5
SERVEUR
MAC/LLC
R.T.C.
IP sur LLC
Réseau local
ROUTEUR
Réseau Internet
IP sur XXX
117
Place Place du du protocole protocole P.P.P. P.P.P.
Baie MODEMS & PONTS
IP
IP
PPP
PPP
LLC
LLC
Vnn
Vnn
MAC
MAC
RTC Réseau local PONT ROUTEUR
Réseau Internet
IP
IP
YYY
LLC
XXX
MAC
118
La La trame trame PPP PPP
FANION
1 OCTET
ADDRESSE CONTROLE
1 OCTET
1 OCTET
PROTOCOLE
INFORMATIONS
CRC
2 OCTETS
<= 1500 octets
2 OCTETS
• Protocole identique à LAP-B – Fonctionnant en mode non numéroté (Contrôle = 03) – Soit en mode numéroté (Contrôle idem LAP-B)
• Présence d ’un champ supplémentaire indiquant le type de protocole de niveau supérieur. Exemples : – LCP = C021h – NCP = 8021h – IP = 0004 h 119
Les Les protocoles protocoles IPCP IPCP
• Servent à obtenir les paramètres pour l’établissement d ’une session Internet en liaison Point à Point sous PPP : – LCP pour la connexion au serveur et la négociation des paramètres de connexion – NCP pour l ’obtention d ’une adresse IP dynamique, ou les paramètres de compression
120
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 07
Les Réseaux Locaux (1)
Les Les topologies topologies LAN LAN
Les différentes topologies •TOPOLOGIES de BASE : –Le BUS –L’ANNEAU –L’ÉTOILE
•TOPOLOGIES COMPLEXES : –ARBORESCENCES … Dans les LANs, topologie–COMPOSITES physique souvent différente de topologie logique ! 123
Topologie des réseaux locaux
Coupleur réseau
Bouchons
Câble coaxial
Té
Réseau de type Bus : ETHERNET 124
Topologie des réseaux locaux
Réseau de type Anneau : TOKEN RING 125
Topologie des réseaux locaux
Paire torsadée
Coupleur réseau
Concentrateur
Réseau de type Étoile : STARLAN 126
Topologie Topologie physique physique & & topologie topologie logique logique •
Souvent divergentes, essentiellement pour satisfaire aux impératifs du PRÉCÂBLAGE qui impose le plus généralement un câblage en étoile (du moins pour les câblages en paires torsadées... D’où nécessité de mettre en place des équipements qui « trompent » les protocoles.
• Topologie de base en BUS vers architecture ÉTOILE : • Le HUB ( Moyeu )
127
• Topologie de base en ANNEAU vers architecture
Topologie Topologie ARBORESCENTE ARBORESCENTE
STATIONS
STATIONS
HUB
HUB
HUB
STATIONS
HUB
HUB
STATIONS
HUB
Topologie en arbres d ’étoiles (Stars Tree)
128
Topologie Topologie ARBORESCENTE ARBORESCENTE (Suite) (Suite) STATIONS RÉPÉTEUR
STATIONS RÉPÉTEUR
STATIONS RÉPÉTEUR
STATIONS RÉPÉTEUR
STATIONS RÉPÉTEUR
STATIONS BACKBONE
STATIONS
Topologie en arbres de bus (Bus Tree)
129
Architectures Architectures MIXTES MIXTES STATIONS
STATIONS
HUB
STATIONS
Bouchon STATIONS
PONT
PONT
RÉSEAU FÉDÉRATEUR PONT
STATIONS
STATIONS
Topologie mixte autour d ’un anneau fédérateur Ce type de configuration nécessite la mise en œuvre d’organes d’INTERCONNEXION
130
Les Les différents différents média média
Les Les média média de de transmission transmission ·TYPES : ·Câble coaxial ·Paire torsadée ·Fibre optique ·Ondes à transmission directe ·Transmissions radio ·Rayons infrarouges ·Rayon laser
·PARAMETRES intervenant sur la distance et la bande passante : ·Impédance : exprimée en ohms - distorsions pour les courants alternatifs ·Affaiblissement : perte d'énergie du signal en fonction 132 d l di t td l f é
Les Les Coaxiaux Coaxiaux ·ETHERNET : ·THICK (épais), RG11 - 50 ohms – Le câblage originel, aujourd’hui totalement disparu! Conducteur central + isolant + blindages + gaine PVC, diamètre 10mm. ·Gaine PVC couleur vive (jaune) ·Borné aux extrémités par un bouchon d'impédance ·Connexion par prise vampire (ou prise robinet) ·Longueur max segment 500m
·THIN (fin, CHEAPERNET ), RG58 - 50 ohms - Tombé en désuétude, mais encore largement présent ·Diamètre réduit de moitié (5mm) ·Gaine PVC couleur sombre (brun ou noir) ou grise ·Borné par bouchons d ’impédance ·Connectique BNC et raccords en T ·Longueur max segment =250m
·CATV : Câble type Télévision
133
La La paire paire torsadée torsadée cuivre cuivre •CATÉGORIES ISO - EIA/TIA 568 ·Catégorie 3 : Bande passante jusqu'à 16 Mbps ·Catégorie 4 : Bande passante jusqu'à 20 Mbps Catégorie 5 : Bande passante jusqu'à 100 Mbps ·Catégorie 6 : Bande passante jusqu'à 1.000 Mbps ·-Pour toutes ces catégories, longueur max segment=100m
•TYPE ¸UTP (sans écran) - non blindée - UNSHIELDED ¸FTP écrantée - FOILED ¸STP blindée - SHIELDED
•IMPEDANCES ¸100 ohms
ATT ISO 11801
¸150 ohms
IBM (diverses catégories)
134
La La Fibre Fibre Optique Optique •UTILISATIONS : – Anneaux fédérateurs – Rocades – Liaisons longues… et même courtes !
•CARACTÉRISTIQUES : – Fibre multimode à gradient d’indice – Atténuation 3,75 db / km – Indice de propagation ~0.75
•MISE en OEUVRE : – Topologie = Bus, anneau ou étoile passive
135
Les Les topologies topologies fibres fibres optiques optiques ORDINATEUR
LED
PHOTODIODE
AMPLIFICATEUR
Anneau avec répéteurs actifs
ÉTOILE
Étoile optique passive 136
Les Les Lans Lans radio radio •Caractéristiques : –Bande des 900 Mhz ou 2.4 Ghz –Débits binaires de 721 kbps à 11 mbps –Portée de 10 à 700 m, 15 km pour modems sans fils
•Utilisations : –Picot-réseaux (max 8 Units) … Pouvant être regroupés en « nuages » (Scatternets) avec éléments nomades –Réseaux Locaux (avec éléments nomades) –Modems sans fils –Acquisition données
•Technologies : –Bluetooth
137
Le Le WiFi WiFi (Wireless (Wireless Fidelity) Fidelity) •802.11a –Débit variable selon la distance, avec un débit théorique de 54 Mbps maximum, pour une portée d'environ une trentaine de mètres. La norme 802.11a s'appuie sur un codage du type Orthogonal Frequency Division Multiplexing (OFDM) sur la bande de fréquence 5 GHz et utilisent 8 canaux qui ne se recouvrent pas. –Ainsi, les équipements 802.11a ne sont pas compatibles avec le équipements 802.11b. Il existe toutefois des matériels «dual band». Relation débit/distance : –54 Mbits/s Mbits/s –24 Mbits/s Mbits/s
10 m
48 Mbits/s
17 m
36
30 m
12 Mbits/s
50 m
6
25 m 70 m
•802.11b –La norme 802.11b permet d'obtenir un débit théorique de 11 Mbps, 138 pour une portée d'environ une cinquantaine de mètres en intérieur
Réseaux Réseaux sans sans fils fils ou ou Wlan Wlan (Wireless (Wireless Lan) Lan) • HyperLan (High performance Lan) – Communication par bornes radio – Bandes de 200 Mhz autour de 17 Ghz (HyperLan 2) – 10 à 20 mbps – Protocole niveau 1 : EY-NPMA (Elimination Yield None Priority Multiple Access) – Protocole couche 2 : CAC (Channel Access Control) et LLC
• IEEE 802.15 (BlueTooth) – 3 classes de puissance (< 10m, <50m, <100m)
139
Autres Autres techniques techniques de de transmission transmission sans sans support support •Les transmissions INFRAROUGE •
+ Ondes millimétriques, large bande
•
+ Omnidirectionnelles
•
+ Mise en oeuvre simple
•
- Grande absorption
•
- Perturbation par rayonnement solaire
•
Périphériques d’entrée et de pointage, LAN sans fil
•Les transmissions à ONDES LUMINEUSES (Lasers) •
+ Ondes micrométriques, très large bande
•
+ Unidirectionnelle, concentrées
140
Interconnexion Interconnexion via via Laser Laser
Un équipement d’interconnexion de LANs (Portée 1.5 à 2 km) 141
ETHERNET ETHERNET
Présentation Présentation •Réseau local initialement conçu par Xerox en 1970, puis par le groupe DIX (Digital, Intel, Xerox) en 1978 –Plusieurs versions : •Ethernet V1: (Livre Bleu [Blue Book] 1980) •Ethernet V2: (Livre Bleu [Blue Book] 1982) •Normalisation IEEE 802.3 (1985) –Evolutions des spécifications de départ : •Câblage (coax fin paire torsadée fibre optique)
143
Réseaux Réseaux Locaux Locaux • Localisation des protocoles OSI 3
2
RÉSEAU
MAC
1
802.2
LLC
PHYSIQUE
802.3
802.4
802.5
802.6
ETHERNET
TOKEN BUS
TOKEN RING
DQDB
• M.A.C. : Medium Access Control • L L C : Logical Link Control
144
Caractéristiques Caractéristiques générales générales •Interconnexion de matériels •Peu nombreux (< 1000) •Variés (serveurs, microordinateurs, imprimantes, fax, scanner ...) •Espace géographique limité
•Partage de ressources •Matérielles (CPU, mémoire, périphériques) •Logicielles (programmes, données)
•Buts recherchés •Modularité •Débit élevé
145
Comité Comité 802 802 de de l'IEEE l'IEEE
Institute Institute for for Electrical Electrical & & Electronics Electronics Engineers Engineers
• Normalisation des réseaux locaux • Token Ring
802.5
• Token Bus
802.4
• Ethernet
802.3
• Et multiples autres normes (protocoles IR, WL…)
• Distingue 2 couches pour la couche 2 du modèle OSI • Couche MAC: Medium Access Control – Gère l'accès au médium (propre à chaque type de réseau) – Chaque station a une adresse unique = @ MAC
146
Principes Principes de de base base initiaux initiaux
• Réseau organisé en segments (mais nombre limité de segments) • Les données échangées sont structurées en trames • A un instant donné une seule trame circule sur le réseau • Toute trame émise est diffusée vers toutes les autres stations
147
Caractéristiques Caractéristiques spécifiques spécifiques – Mais… – pas de notion de priorité – pas de full-duplex (dans le standard de base) – pas de régénération du signal par les stations – non déterministe
– Caractéristiques techniques initiales – topologie logique : bus – support de transmission: câble coaxial technique de transmission: bande de base
148
Niveau Niveau Médium Médium
Dénomination Dénomination des des différents différents Ethernet Ethernet •
Distance ou type de support Transmission (Base = Baseband) Débit binaire en Mbit/s • 10 Base 5 : Thick Ethernet • 10 Base 2 : Thin Ethernet (ou cheapernet) • 10 Base T : Ethernet sur paires torsadées • 100 Base FL: Ethernet sur fibre optique • 100 Base T et 100 Base VG: Ethernet 100 Mbit/
150
Thin Thin Ethernet Ethernet 10 10 Base Base 2 2 •
Topologie physique bus
•
Débit 10 Mbit/s
•
Transceiver intégré dans la carte
•
Distance minimale entre deux stations = 0,5m
•
Longueur maximale d ’un segment = 185m
•
30 transceivers par segment
•
3 segments maximum avec 2 (IRL)
•
Inter Repeter Link
151
Thin Thin Ethernet Ethernet 10 10 Base Base 2 2 •
Câble RG58
•
Simple ou double blindage
•
Impédance = 50 Ω
•
∅ 4,6 mm
•
Rayon de courbure = 5 cm
•
Atténuation 4,6 dB/100m à 10 Mhz
•
Coefficient de célérité = 0,65
•
Connecteurs BNC: – raccord droit – raccord en T – prise à souder ou à sertir 152
bouchon de terminaison 50 Ω
Ethernet Ethernet 10 10 // 100 100 Base Base T T •
Topologie physique en étoile
•
Débits 10 / 100Mbit/s
•
Topologie logique en bus grâce à un équipement spécifique : le HUB (Fonctions multiport & répéteur)
•
Distance maximale d ’une station au hub = 100 m
•
Liaison de la station au hub en paires torsadées blindées ou non Catégorie 5 (10 Mbps) ou 5 + (100 Mbps)
153
Ethernet Ethernet 10 10 // 100 100 Base Base T T •Interconnexion des hubs –En cascade par un port RJ 45 de cascade, ou par un port RJ 45 normal avec fils croisés (nombre de cascades limité ≈ 4) –Sur un backbone à 100 ou 1000 Mbps; le hub compte alors pour un transceiver
•Hub manageable (agent SNMP) –Surveillance et configuration à distance
•Hubs empilables ("stackables") –Interconnectés par un bus propriétaire –Ne comptent que pour un seul au
154
Ethernet Ethernet 10 10 // 100 100 Base Base T T
•
Câble de paires torsadées – une paire en transmission – une paire en réception – blindées ou non (UTP) – torsadées pour limiter la diaphonie
•
Impédance = 100 Ω
•
∅ 0,4 à 0,6 mm pour chaque conducteur
•
Atténuation max 10 db/100m entre 10 et 100 Mhz
155
La connectique type RJ45
Cordon droit
Cordon croisé
1
1
1
1
2
2
2
2
3
3
3
3
4
4
4
4
5
5
5
5
6
6
6
6
7
7
7
7
8
8
8
8
156
Ethernet Ethernet sur sur fibre fibre optique optique •FOIRL (Fibre Optic Inter Repeater Link): •Liaison point à point uniquement entre 2 équipements optiques actifs: –Entre répéteurs: Repeater Link)
IRL
(Inter
–Entre ponts –Entre un transceiver
répéteur
et
un
–Entre deux transceivers •∅ cœur = 62,5 µm et ∅ gaine = 125 µm •Longueur d'onde 850 ηm
157
Niveau Niveau PHYSIQUE PHYSIQUE
Eléments Eléments du du réseau réseau • Topologie logique = le BUS – Câble coaxial puis – Paires torsadées et maintenant – Fibre optique – Raccordement au médium – Carte réseau Ethernet sur la station – Connectique : BNC , RJ45 ou ST - SC
159
Les Les collisions collisions
Station A COLLISION CAS LIMITE
Station B
160
ETHERNET ETHERNET Haut Haut débit débit
Évolution Évolution vers vers les les Hauts Hauts débits débits •Les options : –Fédérer des réseaux Ethernet par des réseaux plus rapides (MANs) –Augmenter la vitesse de base d ’Ethernet (Ethernet 100Mbps puis 1 Gbps et 10 Gbps) –Garantir
à
chaque
station
une
bande
passante
indépendante de la charge (commutation) –Augmenter la capacité des échanges (full duplex) 162
Ethernet Ethernet 100 100 Mbit/s Mbit/s • 100 BASE T : méthode d ’accès CSMA/CD – Adaptation du traitement des trames à 100 Mbits/s – 2 versions : 100 base TX et 100 Base 4 – BUT : augmenter les débits en assurant la compatibilité 10 Base T
• 100 BASE VG (VG : Voice Grade) IEEE 802.12 – Méthode d ’accès priorisé – BUT : augmenter les débits en garantissant les temps 163 de
Ethernet Ethernet 1000 1000 base base T T • Norme Ethernet Gigabit : 802.3z – Objectifs : • Backbone fédérateur • Concurrence ATM plus complexe et plus côuteux • Conservation de la méthode CSMA/CD (avec qq améliorations) – Câblage : • 1000 base TX (UTP catégorie 6) • 1000 base FX (Fibre multimode) 164
La La couche couche MAC MAC
Paramètres Paramètres de de transmission transmission –Caractéristiques de transmission à 10 Mbps: •les octets du préambule en tête pour la synchronisation •pour chaque octet: bit de poids faible en tête
–Longueur d'une trame (hors préambule): •Minimum
: 64 octets ( = 6 + 6 + 2 + 46 + 4)
•Maximum
: 1518 octets ( = 6 + 6 + 2 + 1500 + 4)
–Taille du champ de données: •minimum
: 46 octets (utilisation de bits de bourrage si
nécessaire ("padding")
166
Format Format d'une d'une trame trame MAC MAC Ethernet Ethernet
préambule
Préambule 7 Octets à AAh et un octet à ABh
@ destinat.
@ MAC du destinataire sur 6 octets
@ source Longueur ou type
charge
FCS
@ MAC de la source sur 6 octets identifie sur 2 octets la longueur de la charge ou le type de protocole niveau 3 Charge utile (Trame LLC) 46 octets minimum (bourrage si nécessaire) 1500 octets maximum
séquence de contrôle sur 4 octets sur totalité de le trame (hors préambule)
167
La La trame trame MAC MAC Ethernet Ethernet •L'en-tête (8 octets): –7 octets de préambule
: 10101010
–1 octet délimiteur : 10101011
•Adresse MAC (6 octets) : –Chaque station possède une @ MAC unique et figée par le constructeur de la carte Ethernet (chaque constructeur se voit attribuer une plage d'@ MAC) –Chaque trame contient –l'@ MAC de la station destinataire –l'@ MAC de la station émetteur –Addresse particulière de diffusion ("broadcast")
168
La trame MAC Ethernet • Le champ longueur ou type (2 octets) : – Rfc 1042 : Indique la longueur de la trame (le type est reporté en trame LLC) – Rfc 894 : identifie le protocole de niveau 3 utilisateur de la trame (il n ’y a plus de trame LLC) – Exemples de valeurs fixées par le RFC "Assigned Number » (0800=IP; 0806=ARP; 8035=RARP; 814C=SNMP...
• Le champ données (de 46 à 1500 octets) : – Contient la trame IP ou le PDU du protocole de niveau 3 – Utilisation de bits de bourrage sans signification (padding) 169
i t ill d l PDU < 46
t t
P
d'i t fé
i
3
La La méthode méthode d'accès d'accès CSMA/CD CSMA/CD •Principes généraux –Toute station doit attendre le silence sur le bus avant d'émettre –Ö CS = Carrier Sense –Le bus est une ressource commune à toutes les stations –Ö MA = Multiple Access –Il peut y avoir collisions, c'est-à-dire superposition de signaux d’émissions simultanées de plusieurs stations –Ö CD = Collision Détection 170
Principe Principe de de réception réception trame trame par par la la station station •Norme 802.3 non commuté
•Toutes les stations reçoivent la trame émise (diffusion) –Pour toutes les stations : •-Si la trame est trop courte (collision) Ö ignorer la trame •-Si l'@MAC destination de la trame reçue n’est pas sienne, et n’est pas une adresse de diffusion Ö ignorer la trame
–Pour la station destinataire (adresse reconnue) : •- Si le champ FCS est incorrect Ö ignorer la trame -- Si la longueur de la trame reçue est incorrecte (défaut de préambule, de longueur, nombre d’octets non entier) Ö ignorer la trame •- Sinon décoder la trame
171
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 08
Les Réseaux Locaux (2)
Jean-Claude KOCH
Révision A
Le Le Protocole Protocole LLC LLC (802.2) (802.2)
Réseaux Réseaux Locaux Locaux • Rappels concernant la hiérarchie dans les LANs OSI 3
2
RÉSEAU
MAC
1
802.2
LLC
PHYSIQUE
802.3
802.4
802.5
802.6
ETHERNET
TOKEN BUS
TOKEN RING
DQDB
D’ou des dispositifs d’interconnexion ne portant que sur les couche 1 et 2 OSI
• M.A.C. : Medium Access Control L L C : Logical Link Control
174
La La couche couche LLC LLC • LLC 1 : Mode datagramme – Non connecté – Non fiabilisé (non acquitté)
• LLC 2 : Mode transfert – Contrôle d ’erreur – Contrôle de séquencement – Contrôle de flux
• LLC 3 : Mode datagramme acquitté – Pour réseaux industriels
175
Interconnexions Interconnexions de de niveaux niveaux 1 1& &2 2
Localisation Localisation des des interconnexions interconnexions réseaux réseaux SERVEUR CLIENT
... TRANSPAC
L I G 1N E L I1 G 1N E L I1 G 1N E L 1I G 1N E
L I G 2 N E L I2 G 2 N E L I2 G 2N E L 2I G 2N E
L I G 3N E L I3 G 3N E L I3 G 3N E L I3 G 3N E
1
2
3
L I G 4 N
L I G N5
E L I4 G 4 N
E L I5 G N5
E L I4 G 4N E L I4 G 4 N
E L 5I G 5 N E L I5 G N5
E
E
4
5
BAIE MODEMS & PONTS
R.T.C. Réseau local
Réseau Internet
ROUTEURS
Interconnexion matériel-réseau Interconnexion Inter-Réseaux Interconnexion Intra-Réseau 177
Hiérarchie Hiérarchie des des passerelles passerelles
Niveaux 4 à 7
PASSERELLES
Niveau 3
ROUTEURS
Niveau 2
PONTS & COMMUTATEURS
Niveau 1
REPETEURS & HUBS
178
Les Les équipements équipements de de raccordement raccordement •Généralement nommés COUPLEURS (*) •Permettent de raccorder au réseau divers matériels •Dans les ordinateurs se présentent généralement sous forme de carte d ’extension à insérer sur un bus de l ’Unité Centrale. –Le dispositif peut être inclus sur la carte mère pour certains modèles, dont de nombreux portable (Pb
179
Les Les équipements équipements de de raccordement raccordement (2) (2) •Peuvent être inclus dans n’importe quel équipement pouvant être accédé en mode partagé dans un réseau. –Imprimante, scanner, sauvegarde, tour CD…
•Ces dispositifs incorporent généralement un ou plusieurs protocole(s) de bas niveau –Au minimum le niveau 1 (Accès au médium) –Souvent le niveau MAC –Parfois LLC et/ou IP (équipement périphériques)
180
Les Coupleurs •SITUATION dans le RÉSEAU : Terme désignant le dispositif de bas niveau permettant le raccordement d ’un équipement au réseau. Médium
COUPLEUR (Carte réseau)
Concentrateur
•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ : ÉQUIPEMENT MAC Phy
COUCHE 2 COUCHE 1
Réseau 181
Les Les Passerelles* Passerelles* • COUCHE OSI • REPETEURS, HUBS, CONCENTRATEURS…………….. 1 • COUPLEURS…………………………………………………….. 1 & (2) • PONTS ( BRIDGES) & COMMUTATEURS (SWITCHES) 2 • BROUTEURS (BRIDGE-ROUTERS)
182
Dispositifs Dispositifs d’interconnexion d’interconnexion niveaux niveaux 1 1 & &2 2 • Permettent de raccorder entre eux : – Plusieurs équipements d ’un même réseau – Plusieurs segments d ’un même réseau – Différents sous-réseaux d ’un même réseau – Différents réseaux entre eux
• Portent un nom différent selon chacune de ces fonctionnalités, et le niveau hiérarchique auquel ils agissent : – Répéteurs – Hubs
183
Les Les Répéteurs Répéteurs (niveau (niveau 1) 1) •Outils de connexion : Dans un même réseau local, liaison entre segments –Régénération du signal –Reconstitution du préambule (Synchronisation) –Participation à la gestion des collisions –Déconnexion d’un segment défectueux (partitionnement)
•Types de répéteurs • • •
–Simples : - Deux ports - Même type de câblage Mixtes : - Deux ports
184
Les Les Répéteurs Répéteurs • Les répéteurs : • - Relient 2 segments (augmentent la distance) • - Ne considèrent pas l'@MAC • - Régénèrent le signal • - Reforment si nécessaire le préambule • - N’effectuent aucun filtrage - Ont des fonctions spécifiques : - - Padding» (bits de bourrage) – - Jamming (renforcement de collision) – - Jabber (trames trop longues tronquées) 185
Les Les Répéteurs Répéteurs •SITUATION dans le RÉSEAU
Segment 2
Segment 1 RÉPÉTEUR
•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ répéteur Phy 1 Segment 1
Phy 2
COUCHE 1 Segment 2 186
Les Les Hubs* Hubs* (Niveau (Niveau 1) 1) • Les hubs - Fonction principale : Adaptation de la topologie physique étoile en topologie logique bus - Ne se préoccupe pas de l’adresse MAC et fonctionne en diffusion sur tous les ports de tout ce qui est reçu - Autres fonctions : • - Répéteur • - Détecteur & amplificateur de collisions • - Multi-interfaces (RJ45, BNC, AUI, ST fibre…)
187
Les Les Hubs Hubs •SITUATION dans le RÉSEAU
HUB
•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ HUB Phy 1 Segment 1
Phy 2
COUCHE 1 Segment 2 188
Les Les Commutateurs Commutateurs (Niveau (Niveau 2) 2) --
Switches Switches
•Les commutateurs –Mêmes fonctionnalités que les Hubs, plus : –Analyse des trame (adresse Mac), et envoi sélectif vers port destinataire (commutation) –Amélioration des débits pour communications entre ports d’un même équipement. La bande passante reste nominale, quelque soit le nombre de ces connexions entre couple de stations (Cut through)
189
Les Les Commutateurs Commutateurs • Décodage des trames • Mémorisation • Multiports
• Filtrage • Auto apprentissage
@ MAC
C
A
A
Port 1
station
port
A B C D E F
1 1 1 2 2 2
Port 2
E
B
B STOP
D
Table de brassage ou de commutation
STOP
F
E
F
190
Ethernet Ethernet commuté commuté (simple) (simple)
191
Les Les Commutateurs Commutateurs • Spécificités des équipements récents : – Savent émuler les fonctionnements Multicast et Broadcast – Peuvent commuter tout un segment au lieu d’un port (dans ce cas le Cut Through est impossible) – Permettent de regrouper les stations suivant certains critères pour créer des réseaux locaux virtuels (VLAN) – Peuvent intégrer la prise en charge des Wlans 802.11 192
Ethernet Ethernet Commuté Commuté (lourd) (lourd)
193
Les Les Ponts Ponts (Niveau (Niveau 2) 2) -- Bridges Bridges •SITUATION dans le RÉSEAU Réseau 2
Réseau 1
PONT
•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ PONT
Réseau 1
MAC 1
MAC 2
COUCHE 2
Phy 1
Phy 2
COUCHE 1 Réseau 2 194
Les Les Ponts Ponts • Interconnexion au niveau 2 de réseaux locaux – Liaison entre deux (ou plusieurs) réseaux – Stockage temporaire des trames et reèmission – Pas de connaissance des adresses logiques
• PONTS DE BASE – Ecoute de toute l’activité – Retransmission sans modification (Transparence)
• PONTS MAC – Non transparent : modification de trames – Lien entre réseaux de couche Mac différentes : (802.3 avec 802.5)
• DEMI-PONTS I t
i
à di t
i tà
i t
195
Les Les Demi-Ponts Demi-Ponts ou ou Ponts Ponts Distants Distants • Liaison
transparente pour l ’utilisateur Un seul réseau logique
Liaison à Distance 1/2 PONT
1/2 PONT
196
Les Les Demi-Ponts Demi-Ponts ou ou Ponts Ponts Distants Distants •Diverses solutions – Lignes analogiques – Lignes spécialisées – Numéris – Transpac – ATM –Relais de trames • Différences de débits LAN / WAN – Utilisation des compressions
197
Un Un Pont Pont Distant Distant via via Laser Laser
198
Interconnexion Interconnexion de de Réseaux Réseaux Locaux Locaux 2
A
1
B 3
E
D
C F
4
G
5
Problèmes : - Comment aller du réseau N au réseau N’ ? - Comment éviter les boucles ? - Que faire en cas d’indisponibilité d’un pont ?
199
Le Le Token Token Ring Ring
Jean-Claude KOCH
Présentation Présentation – Réseau local initialement conçu par IBM en 1972, puis normalisé par l ’IEEE en 1985 – Plusieurs versions • • • •
Token ring V1 : Anneau à 4 Mbps Token ring V2 : Anneau à 16 Mbps HSTR (High Speed Token Ring : 100 Mbps Gigabit HSTR : Sur fibre optique – Interconnectabilité inter-protocoles totale
201
Caractéristiques Caractéristiques – Topologie – Logique : Anneau – Physique : Étoile – Possibilité de double anneau
– Connexions – – – –
MAU (Multistation Access Unit) 33 maximum interconnectables Maximum 260 stations Prise hermaphrodite (IBM) ou RJ45
– Logique – – – –
Un seul jeton par anneau Gestion des priorités Une station monitrice Comportement déterministe 202
Caractéristiques Caractéristiques – Avec M.A.U (Multistation Acces Unit)
MODES de RACCORDEMENT des MAU's afin de préserver l'anneau logique
203
Caractéristiques Caractéristiques – – – – – – –
Huit stations par MAU 33 MAU maximum 200 m maximum entre MAU si UTP 750 m si coaxial 2.000 m si fibre optique 2.5 m minimum entre MAU et station 45 (150) m au maximum
204
Techniques Techniques du du Jeton Jeton – Introduites par NEWHALL (1971) • Nombreuses variantes – Dont Token Bus & Token Ring
• Principe – – – –
Faire circuler un JETON Capturé par un station voulant émettre Le possédant, cette station émet Elle rendra le jeton dans 3 conditions : » Dés la fin d’émission » Dés retour de sa trame et après contrôle » Lorsque le nombre de prises de jeton est dépassé
205
Techniques Techniques du du jeton jeton
STATION
STATION Émet
Écoute
Écrit STATION
Lit
Écoute STATION
206
Le Le protocole protocole 802.5 802.5
– Élection d ’une station MONITEUR (Claim token) – Émission jeton libre par moniteur – Capture jeton par station désirant émettre • Selon priorité
– Transmission trame sur l ’anneau – Capture par station destinataire • Copie la trame • Reémission de la trame en modifiant le dernier champ (FS)
207
Gestion Gestion du du Token Token Ring Ring – Fonctions du moniteur : • • • • • •
Plus de jeton => Mauvaise structure => Trame orpheline =>
Création Régénération Destruction
(1 tour sans trouver destinataire)
Ajuste contenance anneau par buffer de correction 24 bits (Taille jeton) < Contenance anneau
• Affecte les priorités jetons • Gère les quanta d ’émission par priorité
– Election moniteur : • Quand une des station constate absence, elle se propose • Si sa trame lui revient, elle devient moniteur 208
Les Les Réseaux Réseaux Locaux Locaux Virtuels Virtuels (VLAN) (VLAN)
Réseaux Réseaux Locaux Locaux Virtuels Virtuels (V.Lan) (V.Lan) de de
niveau niveau 2 2
•Objectifs : –Réalisation de groupes d’hôtes sous-ensembles du réseau global –Transmission sélective des trames au sein des groupes –Gestion administrative globale
• Moyens –Utilisation de Ponts Filtrants
210
Un Un Réseau Réseau Local Local Virtuel Virtuel
Une Une vision vision administrative administrative sélective sélective
Les bleus ne causent qu’aux bleus, Les rouges ne causent qu’aux rouges Les beiges causent à tout le monde… 211
Les Les V.Lans’s V.Lans’s … … Comment Comment ?? – Solution 1 - Par identification des ports – Solution 2 - Par identification des adresses MAC – Solution 3 - Par identification des adresses IP
A A quelles quelles conditions conditions ? ?
– Solution 1 : Interdit la mobilité – Solution 2 : Administration contraignante – Solution 3 : Enfreint la règle d’indépendance des couches La La solution solution :: Une Une nouvelle nouvelle norme norme de de niveau niveau 2… 2… 212
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 09
Niveau Réseaux
Jean-Claude KOCH
Révision A
Le Le niveau niveau RÉSEAU RÉSEAU
PROCESSUS
PROCESSUS données RÉCEPTION
ÉMISSION
AH données
APPLICATION PH
PRÉSENTATION SH
SESSION TRANSPORT
TH NH
RÉSEAU LIAISON PHYSIQUE
LH
APPLICATION
charge
PRÉSENTATION
charge
SESSION TRANSPORT
charge charge charge bits
RÉSEAU LT
LIAISON PHYSIQUE
Support de transmission
214
COUCHE COUCHE 3 3 :: Niveau Niveau RÉSEAU RÉSEAU ACHEMINEMENT DES BLOCS DE BOUT EN BOUT
•STRUCTURATION des BLOCS : –MESSAGES, PAQUETS, CELLULES –Segmentation / Réassemblage de niveau 3 de / vers niveau 2 ou 4 –Encapsulation niveau 3 dans niveau 3
•OUVERTURE ET FERMETURE DES CIRCUITS )ADRESSAGE, ROUTAGE )FIABILITÉ & INTÉGRITÉ )CONTROLE DE FLUX
215
Protocoles niveau RÉSEAU • CONNECTÉ
NON CONNECTÉ
•
• •
C.O.N.S. (Connection Oriented Network
•
C.L.N.S. (Connection Less Network
Services)
Services)
• CIRCUIT (Virtuel)
• DATAGRAMME
•
- Établissement d’une connexion
•
- Pas de connexion
•
- Tracé d’une route formelle
•
- Adresses dans chaque
•
- Paquet de communication sans adresse
•
•
- Réception de paquets séquencés
- Routage individuel de chaque datagramme
- Libération de la connexion en fin de session
•
datagramme
•
- Pas de procédure de libération
•
- Datagrammes non séquencés à réception
216
Le Le Routage Routage
Le Le Routage… Routage…
A
B
Problèmes : - Quel est le meilleur chemin de A vers B ? - Selon quels critères ? - Comment éviter les boucles ?
218
Caractéristiques Caractéristiques des des Routeurs Routeurs
•Travaillent sur adresse LOGIQUE •Dépendent du protocole de la COUCHE 3 •Certains routeurs sont MULTIPROTOCOLES •Certains routeurs sont aussi des PONT pour différents LAN ’s (B-ROUTEURS) • • Attention : Souvent le terme « gateway » est utilisé qui signifie passerelle :
219
Les Les ROUTEURS ROUTEURS (niveau (niveau 3) 3) •Fonctionnalités: –Acheminement des paquets avec choix du chemin (Routage) –Analyse des paquets et modifications si besoin (translation d ’adresses) –Connaissance de l’adresse logique (réseau + station) –Lié à un protocole réseau. (Possibilités de connaître plusieurs protocoles) –Structuration de l’ensemble par un découpage logique du réseau
220
Place Place des des Routeurs Routeurs •SITUATION dans le RÉSEAU:
Wan
Lan
R RR
R Lan
R
R Man
•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ ROUTEUR RES 2
COUCHE 3
MAC 1
LLC 2 MAC 2
COUCHE 2
Phy 1
Phy 2
RES 1 LLC 1
Réseau 1
COUCHE 1 Réseau 2 221
Paramètres Paramètres de de routage routage •Distance •Temps de transit •Débit •Coûts •Charge moyenne ou instantanée •Distance • … & quelques paramètres non techniques : • •Passage imposé •Passage interdit
222
X25 X25 (Transpac) (Transpac) Réseau de Transmission de paquets
TRANSPAC* TRANSPAC* • Protocole d’accès à un réseau en mode Paquets • conforme à l’avis X.25 du CCITT (UIT-T) • X.25 définit trois niveaux de protocoles : – Niveau 3 - Paquet (Gestion des C.V.) X.25-3 – Niveau 2 - Trame (Contrôle transmission) X.25-2 (LAP-B) – Niveau 1 - Physique (Jonction) X.21
* « Transpac » est le nom commercial donné par France-Télécoms au réseau de paquets de norme X25
• CIRCUIT VIRTUEL -> Relation logique
224
Le Le Circuit Circuit Virtuel Virtuel
E.T.C.D. E.T.T.D E.T.C.D.
E.T.T.D
Chaque connexion entre nœuds (ou extrémité et nœud) gère une table de commutation logique mettant en correspondance des voies logiques numérotées.. L’ensemble des voies logiques forme un circuit virtuel identifiable par la suite des voies logiques empruntées. C.V. - C = Circuit Virtuel Commuté C.V. - P = Circuit Virtuel Permanent Note: Le service CV-P est dénommé « Transfix » en France 225
Le Le CIRCUIT CIRCUIT VIRTUEL VIRTUEL MULTIVOIES MULTIVOIES
ABONNÉ B ABONNÉ A
1 VLaaa VLaaa
3
VLxxx
C
VLyyy VLzzz
V
TRANSPAC
VLbbb
C V
VLbbb
ABONNÉ C VLbbb
1 C V
VLccc VLccc
1 C
ABONNÉ D
V
Illustration de fonctionnement d’un circuit multivoies de 3 CV
226
Mécanismes Mécanismes de de fractionnement fractionnement •SEGMENTATION / ASSEMBLAGE –Découpage d'un PDU de niveau N+1 en plusieurs SDU (SEGMENTS) et ajout de PCI de niveau N
•FRAGMENTATION / DÉFRAGMENTATION –Découpage du SDU de niveau N+1 et portage dans plusieurs PDU de niveau N avec reprise du PCI de niveau N+1 dans chaque fragment.
•GROUPAGE / DEGROUPAGE –Regroupement de plusieurs SDU en un seul SDU de même niveau
•CONCATÉNATION / SÉPARATION –Regroupement de plusieurs PDU de niveau N dans un même SDU de niveau N-1, avec ajout d ’un PCI de niveau N-1
227
Différents Différents types types de de fractionnement fractionnement (n+1) PCI
n-PCI
n-SDU
n-PCI
(n+1)-SDU
n-SDU
n-PCI
n-SDU
Segmentation / Assemblage n-PCI
n-SDU
n-PCI
n-PCI
n-SDU
n-PCI
n-SDU
n-SDU
Groupage / Dégroupage (n+1)PCI
n- PCI
n-PDU
n- PCI
(n+1)-SDU
n-PDU
n- PCI
n-PDU
Fragmentation / Défragmentation n-PDU
(n-1)PCI
n-PDU
n-PDU
(n-1)-SDU
Concaténation / séparation 228
Notion Notion « « d’encapsulation d’encapsulation » » • Un peu de vocabulaire… – En réseaux, le terme « Encapsulation » est normalement réservé à une opération d ’intégration, à même niveau (souvent 3), d ’un PDU d’un réseau donné dans un SDU d ’un autre réseau (avec ou sans fractionnement). Il est Exemple: Encapsulation IP (Niveau 3) dans X25 (Niveaude 3) manière malheureusement également souvent utilisé générale pour désigner l ’opération d ’ajout des PCI au SDU àIPtous niveaux. IP X25 X25
LAP-B
229
Les Les accès accès asynchrones asynchrones Destinés à permettre aux ETTD non « Paquets » de se raccorder à Transpac
X.29M MINITEL
TRANSPAC
X.3 ETTD-C
P.A.V. MODEM
P.A.D.
V.24 X.28
230
RNIS RNIS (numéris) (numéris) Réseau à Intégration de Services
RNIS, RNIS, ISDN, ISDN, NUMÉRIS* NUMÉRIS*
•RNIS
ISDN
•Réseau
Integrated
•Numérique à
Services
•Intégration de
Digital
•Services
Network
* « NUMÉRIS » est le nom commercial donné par France-Télécoms au réseau à Intégration de Services
232
L L ’aberration ’aberration du du RTC… RTC… en en téléinformatique téléinformatique !! Ordinateur Commutateur Jonction (numérique) Boucle locale (analogique)
Codec
Commutateur
... Boucle locale (analogique)
Local
Commutateur de Transit
...
Codec
MODEM Jonction (numérique)
Local
Artères Longue Distance (numériques)
Liaison téléinformatique via réseau commuté Les signaux numériques de l ’ETTD sont convertis en analogique par le modem, puis recodés en numérique dans le réseau opérateur pour être recodés en analogique à la sortie, puis démodulés par le modem pour être recodés en numérique ! 233
Caractéristiques Caractéristiques du du RNIS RNIS •Gestion d'une signalisation élaborée : •En mode message •Liaison sémaphore sur Canal D •Présentation d'appel •Contact permanent •Sélection des terminaux …
Séparation fonctionnelle et physique entre : –La signalisation - Canal D en mode non connecté –Le transfert d'information - Canaux B en mode connecté
•Universalité de raccordements pour : –- Téléphone - Télécopieur –- Ordinateur - Imprimantes
- Minitel - Visiophone…
•Pour de multiples services : –Voix –Télécopie
- Données - Images fixes
- Vidéotex - Son
234
Principe Principe du du raccordement raccordement RNIS RNIS
SIGNALISATION COMMUTATEUR D
DONNÉES
B
D
B COMMUTATEUR
Terminal
Terminal
RÉSEAU RNIS
235
Configuration à bus passif
S
S
S TNR
S
S
adaptateur
RNIS
S
Domaine de responsabilité de l ’opérateur Fax groupe 3
236
Configuration à bus unique
Interface T
S
S
S TNA
S
adaptateur
S
Télécopie groupe IV
TNR
RNIS
S
Domaine de responsabilité de l ’opérateur
237
Configuration à étoile de bus Terminaux classiques
Interface T
S
S
S Commutateur NUMERIS ou PABX
S
S
TNR
RNIS
S
Domaine de responsabilité de l’opérateur
audioconférence (avec CODEC) Télécopie groupe IV
238
RNIS RNIS interface interface T T •Accès de Base 144 Kbits/s (débit utile) * •1 Canal D -Signalisation
- Paquet
- 16 Kbits/s
- Information
- Circuit
• 2 Canaux B -64 Kbits/s
–Groupement d'accès de base 1 à 6
•Accès primaire 1984 Kbits/s (débit utile)** * 192 Kbits/s au total •30 canaux
•1 Canal D
B
64 Kbits/s** 2048 Kbits/s au total 64 Kbits/s 239
Couche Couche Physique Physique
Prise Prise RJ RJ 45 45 •Origine : Western Electric (ATT) •Interface ISO 8877
8 fils (RNIS)
•Câble de paires torsadées –une paire en transmission –une paire en réception –blindées ou non (UTP) –torsadées pour limiter la diaphonie
•impédance = 120 Ω •∅ 0,4 à 0,6 mm pour chaque conducteur •Affaiblissement = 18 bd/km à 1 mhz
241
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 10
Internet (1)
Historique Historique
INTERNET
244
INTERNET INTERNET @ @
Le Le réseau réseau de de réseaux réseaux •Ensemble de réseaux et de passerelles – Qui utilise la famille des protocoles TCP/IP – Et qui fonctionne comme un réseau virtuel unique
•INTERNET assure : –Une connectivité universelle –Trois niveaux de service •- La remise non fiable de datagramme en mode sans connexion
245
Le réseau de réseaux : INTERNET @ vers dorsale canadienne
Vers dorsale asiatique
Vers dorsale Est
DORSALE U.S.
DORSALE U.E.
Vers dorsale méditerranée Réseau WAN Réseau WAN Réseau MAN
Réseau MAN
Réseau WAN Réseau MAN
Réseaux LAN ’s
Accès individuels 246
Renater Renater
REseau REseau NATional NATional pour pour ll ’Enseignement ’Enseignement et et la la Recherche Recherche NorOpale Lille VikmanCaen
Pir2 Syrhano Champaitre Compiègne Rouen Reims
Bretagne
OR
Etats Unis
Paris Rennes
Metz
Osiris
PaysNantes de Orléans Loire RenaCentre
Dijon Clonys Besançon
EBelin
Poitiers
Poitou-CharentesRENATER
Bordeaux
AQUAREL Toulouse .
Strasbourg
Lothaire Nancy
RERIF
Limoges
Russie
ClermontFerrand
Cratère 3RLR Montpellier
Lyon
Europe
Aramis Grenoble
R3T2
Nice / Sophia
Marseille
La Réunion, Antilles, Guyane
REMIP OCTARES
Retecor
Pays méditerranéens 247
HISTORIQUE HISTORIQUE INTERNET INTERNET :: organisation organisation •
1969
ARPANET - Réseau pour le DOD US
•
1970-75 Création de l ’Internet Working Group
•
1976-80 Création de l ’Internet Configuration Control Board
•
1981-85 Séparation ARPANET et MILNET, ICCB devient Internet Activity Board
•
1986-90 NSFnet remplace ARPANET, et Création de l’Internet Architecture Board
•
1991-95 Internet SOCity intègre IAB
•
…2.000+
Explosion du WEB, Problèmes
d’adressage, de sécurité, d’éthique, de qualité de service d’information pléthorique
248
Historique Historique Internet Internet
naissance naissance des des principaux principaux protocoles protocoles •
1970
Network Control Protocol (Novell)
•
1972
TELNET
•
1973
File Transfer Protocol (FTP)
•
1974
Fondements de TCP/IP par V.CERF
•
1974-80
Mise en forme TCP/IP
•
1982 (SMTP)
Simple Mail Transfer Protocol
•
1989 Simple Network Management Protocol (SNMP)
•
1990
Internet Relay Chat Protocol (IRCP)
•
1991
GOPHER
•
1992
Hyper Text Transfer Protocol (HTTP)
•
1993
Multipurpose Internet Mail
249
250
Instances Instances Internet Internet •ISOC Internet Society : Promotion et développement –IAB Internet Activity Board : Organe de contrôle –IESG Internet Engineering Steering Group :
Pilote
l’ingénierie du réseau •IETF Internet Engineering Task Force : Spécification et implantation des protocoles et élabore les RFCs (Requests For Comments) •IRTF Internet Research Task Force : Recherches à long terme •ICANN Internet Corporation for Assignement Network Numbers: Organisme de droit américain qui délègue la gestion des adresses aux différents NICs
251
Les Les Principaux Principaux Protocoles Protocoles de de l’Internet l’Internet •
ARP / RARP ((Reverse)Adress Resolution Protocol) : Association des adresses physiques et des adresses internet
•
FTP (File Transfer Protocol) : Programme de transfert de fichiers
•
HTTP (HyperText TransferProtocol) : Tansfer de pages Web
•
ICMP (Internet Control Message Protocol) : Echange de messages de contrôle et de supervision entre noeuds du réseau
•
IGMP (Internet Group Management Protocol) : Gestion des groupes d ’échange (Forum)
252
Les Les Principaux Principaux Protocoles Protocoles de de l’Internet l’Internet (suite) (suite)
•
NFS (Network File System) : Accès transparent à des fichiers partagés sur le réseau (Système de fichiers virtuel) - Créé par SUN
•
NNTP (Network News Transfer Protocol) : Gestion des diffusions d ’informations
•
SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) : Courrier électronique
•
SNMP (Simple Network Management Protocol) : Gestion et administration de réseaux hétérogènes
•
TELNET (Remote Login) : Mécanisme de terminal virtuel permettant à toute station de se connecter à un hôte
253
Place des Protocoles de l’Internet Applis
4
3
HTTP
TELNET
FTP
SMTP
RTP/RTCP
TCP
NNTP
DNS
UDP
ICMP
IP
X25-3
IGMP
ARP/RARP
2
LLC MAC
1
Couche physique LANs
PPP AAL
LAP- RNIS
LAP-B PQT
Réseaux hôtes Couche physique WANs
SLIP
Serial
254
Adressage Adressage Internet Internet
Internet Internet et et sa sa cascade cascade d d ’adresses... ’adresses... Utilisateur = Adresse URL
Réseau Internet = Adresse IP
Matériel = Adresse MAC
256
Système de noms symboliques URL URL = = Uniform Uniform Ressource Ressource Locator Locator
•
C’est un format de nommage universel pour désigner une ressource Internet. Il est composé de :
•
Nom du protocole: Le protocole le plus largement utilisé sur le WEB est HTTP (HyperText Transfer Protocol). De nombreux autres protocoles sont toutefois utilisables (FTP,News,Mailto,Gopher,...) Identifiant et mot de passe : Permet de spécifier les paramètres d'accès à un serveur sécurisé. Cette option est déconseillée car le mot de passe est alors visible dans l'URL Le nom du serveur: Il s'agit du nom de domaine de l'ordinateur hébergeant la ressource demandée (il est possible d'utiliser l‘adresse IP du serveur, par contre l'URL est moins lisible. Le numéro de port: C’est le numéro associé à un service permettant au serveur de savoir quel type de ressource est demandée. Le port associé par défaut au protocole HTTP est le port numéro 80. Si le service Web du serveur est associé au port 80, le numéro est facultatif. Mot de passe Nom du N° de Port Protocole Chemin d’accès sur serveur Le chemin(déconseillé) d'accès à la serveur ressource : Cette (facultatif si 80) dernière partie permet au serveur de connaître l'emplacement auquel la ressource est située.
• • •
•
Exemple:
http:
Mon password
www.demo.fr
:80
/manuel/pageaccueil.php
257
Système de noms symboliques (suite) (suite) • Nommage du serveur selon hiérarchie – « sous domaines. Domaine. TLD » Domain
TLD = Top Level
• Quelques valeurs courantes de TLD : –
Types d ’organisations : • •
.com commerce .gov gouvernement internationale • .mil militaire réseau • .org organismes divers –
.edu .int
éducation institution .net
activités
Codes nationaux : •
.au Australie Japon
.de
Allemagne
.jp 258
Système Système de de noms noms de de domaines domaines (Domain (Domain Naming Naming Services) Services) Racine
Top Level Domains
...
.com
.gov
.mil
.edu
.net
.it
.fr .univ
.mit
Zones génériques .ing [email protected]
.org
.eci
.res rob
.srv
.jp
.de
...
Zones géographiques
.polytech
.jessy
http://www.portail.polytech.univ.fr
Exemple d ’un espace de nom DNS 259
Internet Internet // intranet intranet L ’adressage IP V4 32 bits
0
ID-RES.
10
110
1110
11110
@ Classe A
ID_ORD.
ID-RES.
@ Classe B
ID_ORD.
ID-RES.
ID_ORD.
@ Classe C
adresse de diffusion multipostes
@ Classe D
réservé
@ Classe E
Format des différentes classes d ’adresses 260
Internet Internet // intranet intranet L ’adressage IP V4 CLASSE
@ réseau la plus basse
@ réseau la plus haute
A
0.1.0.0
126 . 0 . 0 . 0
B
128 . 0 . 0 . 0
191 . 255 . 0 . 0
C
192 . 0 . 0 . 0
223 . 255 . 255 . 0
D
224 . 0 . 0 . 0
239 . 255 . 255 . 255
Nombre max. Nombre max. d'ordinateur de réseaux s 126
16.777.214
16.384
65.534
2.097.152
254
N/A
N/A
Masque réseau 255 . 0 . 0 . 0 255 . 255 . 0 . 0 255 . 255 . 255 . 0 N/A
Plages d ’adresses correspondant à chaque classe et notion de masques Attention : les adresses réseau & ordinateur « tout à 1 » & « tout à 0 » sont réservées ! 32 bits
10
ID-RES.
10
ID-RES.
ID_ORD.
sous réseau
111 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
ID_ORD.
@ Classe B @ Classe B avec sous-réseau Masque
261
Mode Mode de représentation représentation décimale décimale de de l’adresse l’adresse IP IP •Soit une adresse IP exprimée sous sa forme décimale : –131.248.193.3 •Les valeurs entre les points sont exprimées par octets, elles sont donc nécessairement comprises entres 0 & 255(*)
•Sous la forme binaire elle deviendra : –13110 = 1000 00112 –24810 = 1111 10002 –19310 = 1100 00012 –00310 = 0000 00112 –Soit, sous forme complète : 1000 0011.1111 1000.1100 0001.0000 0011
•On peut donc en déduire : -Qu’il s’agit d’une adresse de classe B
262
Utilisation Utilisation du du masque masque • Soit la même IP exprimée sous sa forme décimale, accompagnée d’un masque : – 131.248.193.3
masque :
255.255.192.0
• Ce qui devient, sous la forme binaire : – – – – –
Adresse : 1000 0011.1111 1000.1100 0001.0000 0011 Masque : 1111 1111.1111 1111.1100 0000.0000 0000 Bits de sous-réseau : - - - - - - - -.11- - - - - -.- - - - - - - Adresse hôte : - - - - - - - - - - - - - - . - -00 0001.0000 0011 bits de sous-réseau
• On peut donc en déduire : - Que quatre sous-réseaux différents peuvent être créés (2 bits) - Que l’adresse hôte dans ce sous-réseau est : 0.0.1.3 263 Que le nombre maximum d’hôtes dans chaque sous-
Les Les résolutions résolutions d d ’adresses ’adresses dans dans ll ’Internet ’Internet •ARP/RARP (Address Resolution Protocol) –Mise en correspondance dynamique entre : – ADRESSE LOGIQUE –
ADRESSE PHYSIQUE
I.P. (Niveau 3)
MAC (Niveau
2)
•DNS (Domain Naming Services) –Mise en correspondance statique –
ADRESSE LOGIQUE
SYMBOLIQUE
ADRESSE 264
Routage Routage
Le Le routage routage Internet Internet
WAN R 192.31.60.1
LAN
Routeur avec 2 adresses IP
LAN
F2 RÉSEAU MAN FÉDÉRATEUR F1
Routeur avec 2 adresses IP
F3
Sous-réseau IP 192.31.65.0 192.31.60.4 1
2 192.31.65.7
R 192.31.65.5
Adresses MAC
Sous-réseau IP 192.31.63.0
192.31.60.7 R
192.31.65.1
192.31.63.3
4
3 192.31.63.4
192.31.63.8
Adresses MAC
266
Le routage Internet (suite) FÉDÉRATEUR
EGP
IGP
RES. 1
IGP
RES. 2
EGP
IGP
RES. 3
•
Un groupe de réseaux et passerelles relevant d ’une même responsabilité administrative au plan routage est appelé système autonome.
•
Le routage entre systèmes autonomes est réalisé par des passerelles dites externes. Les protocoles correspondants sont nommés EGP External Gateway Protocol)
•
A l ’intérieur d ’un système autonome, les protocole utilisés par 267
Protocoles Protocoles de de routage routage •Type IGP (Internal Gateway Protocol) : Peu de stratégie de routage, résolution d’adresses –OSPF ( Open Shortest Path First ) - RFC 1247 •Le plus récent (1990) - Efficace mais lourd –RIP ( Routing Information Protocol ) •Le premier, mais dépassé par les grands réseaux –IGRP (CISCO) •RIP amélioré
•Type E.G.P. ( External Gateway Protocol) : Stratégies de routage évoluées basées sur différents concepts formels, et sur considérations politique, sécuritaires & économiques. –BGP ( Border Gateway Protocol) •Le plus utilisé –IS-IS - ISO 10589
268
La La hiérarchie hiérarchie Internet Internet PROCESSUS
PROCESSUS données
ÉMISSION
APPLICATION
RÉCEPTION
données
AH
APPLICATION
Segmentation éventuelle
INTERNET
charge
TH
TRANSPORT
charge
IP
TRANSPORT INTERNET
fragmentation éventuelle LH
charge
RÉSEAU-HOTE
RÉSEAU-HOTE PH
charge
bits Support de transmission 269
Segmentation Segmentation Découpage du message applicatif pour portage dans plusieurs structures de données de la couche TRANSPORT, sans reprise de l ’entête APPLICATION dans chaque segment. Exemple : une page HTML de 2000 octets dans deux segments TCP (Longueur maximale champ de données = 1500 octets, entête HTTP= 100 octets)
Données page WEB (HTML)
EntêteHTTP 100 octets Entête TCP
Entête HTTP
1400
0 Segment 0-1400
SEGMENT n°2
1999 SEGMENT n° 1
Entête TCP
Segment 1401-1999
270
Fragmentation Fragmentation Découpage du datagramme IP pour portage dans plusieurs trames de niveau LIAISON, avec reprise de l ’entête IP dans chaque fragment. Exemple : un datagramme IP de 4.000 octets dans trois trames LLC (Longueur maximale champ de données = 1.500 octets, entête IP= 20 octets)
Données datagramme
Entête IP 20 octets Entête LLC
Entête IP
0
1479 Fragment 0-1479
Entête LLC
TRAME LLC n° 3
2959 TRAME LLC n° 1
Entête IP Fragment 1480-2959 Entête LLC
3999
Entête IP
TRAME LLC n° 2 Fragment 2960-3999
271
Encapsulation Encapsulation Découpage du datagramme IP pour portage dans plusieurs structures de données de la couche RÉSEAU (Wan), après segmentation. Exemple : un datagramme IP de 600 octets dans trois paquets X25 (Longueur maximale champ de données = 256 octets, entête IP= 20 octets)
Données datagramme
Entête IP 20 octets Entête PQT
Entête IP
0
235 Segment 0-235 Entête PQT
599
490 PAQUET n° 1 Segment 236-490
PAQUET n° 3
PAQUET n° 2
Entête PQT Segment 491-599
272
Le Le Protocole Protocole IP IP
Le datagramme I.P. V4 32 bits 0
31 VER
IHL
SERVICE
IDENTIFICATION DURÉE VIE
LGR TOTALE FLG
PROTOCOLE
DÉPLACEMENT CONTRÔLE
ADRESSE IP SOURCE ADRESSE IP DESTINATION OPTIONS
BOURRAGE
... DONNÉES ...
Longueur totale maximale : 65535 octets MTU par défaut : 1500 octets (charge Ethernet) 274
Le Le datagramme datagramme I.P. I.P. V4 V4 •
Longueur maximale : 65535 octets (par défaut 576 octets)
•
VER : Version IP (4 actuelle)
•
IHL
•
SERVICE : Type de service (délai, débit, fiabilité, coût : pour routeurs)
•
LGR TOT
•
IDENT. : Identifiant pour tous les fragments d ’un même datagramme
•
FLG : Suivi de la fragmentation (Autorisée ou non & dernier frag.)
•
DÉPLAC. 0 (OFFSET)
: Décalage du fragment par rapport au bit
•
DURÉE VIE
: Durée de vie restante du datagramme
•
PROTOCOLE
: Longueur entête(en mots de 32 bits)
: Longueur totale datagramme
:Type de protocole de niveau 4
275
Principe Principe des des sommes sommes de de contrôle contrôle Somme sur 16 bits en complément à 1 (revient au calcul d ’une parité verticale) Entête émise 1101 0111 0110 0001 1010 1001 1001 1100
+ + + +
Entête reçue
0110 1010 0101 1000 1110 0010 1000 0101
=
1101 0111 0110 0001 1010 1001 1001 1100 Mot de contrôle
1101 0110
Contrôle OK !
Entête émise 1101 0111 0110 0001 1010 1001 1001 1100
+ + + +
0110 1010 0101 1000 1110 0010 1000 0101
+ 1101 0110 = 0000 0000
Entête reçue
0110 1010 0101 1000 1110 0010 1000 0101
1101 0111 0110 0101 1010 1001 1001 1100
= 1101 0110
+ + + +
+ + + +
0110 1010 0101 1000 1110 0010 1000 0101
+ 1101 0110 ERREUR !
= 0000 0100 276
Type Type de de Service Service 8 bits 0
1
PRIORITY
2
3
4
5
D
T
R
6
7 UNUSED
•PRIORITY : Priorité datagramme – 0 = normale 7 = supervision réseau •D, T, R :Type de qualité de service recherchée – – –
D = Delay (le plus rapide) T = Throuput (le plus fort débit) R = Reliability (le plus fiable) 277
Contrôle Contrôle de de la la fragmentation fragmentation 32 bits 0
31
IDENTIFIER
FLAG
OFFSET
•
IDENTIFIER : Entier aléatoire identifiant le datagramme
•
FLAG :Indicateur de dernier fragment (00x) ou d ’interdiction de fractionner (0x0)
•
OFFSET :Numéro du premier octet du fragment (égal à 0 pour le premier fragment)
278
Durée Durée de de vie vie
• Générée pour chaque datagramme – Pour empêcher l’engorgement du réseau par des datagrammes errant éternellement
• Initialement exprimée en secondes – … Mais traitement utopique car : • Temps de transits de chaque segment inconnus • Pas de synchronisation des horloges
• Décrémentée de la façon suivante : – Chaque passerelle retire 1 si le transit est normal 279 – Décrémente du nombre de secondes s’il y a eu attente
Options Options 32 bits 0
31
CODE
LONGUEUR DONNÉES OPTIONS
BOURRAGE
•Code : Sur 8 bits, indiquant –Niveau de secret du datagramme –Type de routage choisi –- Routage strict : Chemin spécifique imposé par la source –- Routage lâche : Passage obligé par certains routeurs indiqués seulement –- Routage libre : Aucune contrainte de route –Relevé route :Chaque routeur indique son adresse IP, dans l ’ordre de passage –Horodatage : Idem, mais avec en plus l ’heure de passage dans chaque routeur 280
Le Le protocole protocole I.P. I.P. V6 V6 •OBJECTIFS : –Augmenter le nombre d ’adresses disponibles –Amélioration de la sécurité –Permettre différentes qualités de services –Améliorer la gestion de la diffusion multipoints –Permettre la nomadisation des adresses O
rir à d ’a tres é ol tions
281
Petit Petit historique historique IPV6... IPV6... •
1992
Premières réflexions au sein IETF
•
1994
Premières recommandations
•
1996
Spécifications intégralement
définies •
1998
Premières expérimentations (R6-
Bone) •
2001
Prise en compte par les
équipementiers
282
Le Le datagramme datagramme I.P. I.P. V6 V6 En-tête de base IP V6 32 bits 0
31 VER
ETIQUETTE FLOT
Priorité LONGUEUR CHARGE
Entête SUITE
Nbre de SAUTS
ADRESSE IP SOURCE (128 bits)
ADRESSE IP DESTINATION (128 bits)
…Autre entête IP ou Charge Utile ...
283
Le datagramme I.P. V6 •
Longueur maximale : 2 16 octets
•
VER : Version IP (6)
•
PRIORITÉ
: 0 à 7 débit modulable; 8 à 15 débit garanti
& Isochronie •
ÉTIQUETTE FLOT: Offre la possibilité d ’ouvrir plusieurs pseudo-connexions selon les qualités de service souhaitées
•
LGR CHARGE
: Longueur charge utile (Longueur
totale pour V4) •
ENTETE SUITE
: Identifiant de l ’entête suivant (Soit
un IP additionnel, soit le protocole de niveau 4) •
Nbre de SAUTS: Équivalent durée de vie de V4
284
Les Les entêtes entêtes d d ’extension ’extension I.P. I.P. V6 V6
N°
Type entête
Description
1
Pas à pas
Information pour routage
2
Routage
Route totale ou partielle
3
Fragmentation
Contrôle de la fragmentation
4
Authentification
Vérification identité émetteur
5
Confidentialité
Contrôle chiffrement charge
6
Options
Informations pour destinataire
285
Autres Autres Protocoles Protocoles de de Niveau Niveau 3 3
Le Le protocole protocole ARP ARP (RFC (RFC 826) 826) Address Resolution Protocol
• Recherche d’une adresse physique correspondant à une adresse logique fournie • Encapsulation en trame MAC • Champ « Type » MAC = 0806 • Adaptation à différents types d’adresses et de réseaux • Interrogation en mode Diffusion (Broadcast)
•
Note : ARP/RARP sont remplacés par les fonctions ND (Neighbor 287 Di ) d ICMP IP V6
Le Le Datagramme Datagramme ARP ARP 32 bits 0
31 Ident. adresse Physique
Lng. @ Physique
Ident. adresse Logique
Lng. @ Logique
Code
Adresse Physique … … de l’émetteur
Adresse Logique …
… de l’émetteur
Adresse Physique … … du destinataire
Adresse Logique du destinataire
L’adresse destinataire de la trame de la trame MAC « porteuse » est FF:FF:FF:FF:FF:FF
288
Le Le paquet paquet ARP ARP •Identificateur adresse physique : –Code spécifique selon réseau. Exemples : 1 = Ethernet, 15 = Frame Relay… •Identificateur adresse logique : –Code spécifique selon protocole. Exemple : 0800 = IP •Longueur adresse physique : –Selon réseau, exprimée en octets : soit 6 pour Ethernet •Longueur adresse logique : –Selon protocole, exprimée en octets : soit 4 pour IP V4 •Code : –Nature du paquet : 1 pour request (Who-has) 2 pour reply (is-at) •Champs adresses (Emetteur & destinataire) :
289
Le Le protocole protocole ICMP ICMP (RFC (RFC 792) 792) Internet Control Message Protocol
•
Ensemble de services pour les besoins internes des réseaux sous IP
• Découverte des routeurs (IRDP) • Mesures des temps de transit (PING - Packet Internet Gopher) • Redirection des trames si anomalie aval • Indication d ’erreurs, dont : – – – –
Destination impossible (Unreachable destination) Durée de vie écoulée (Time exceeded) Anomalie paramètre (Parameter problem) Ralentir source (Source quench)
• Les messages ICMP sont transportés via datagrammes 290 IP
Le Le protocole protocole IGMP IGMP Internet Group Management Protocol
•
Envoi de datagrammes en mode multipoints
• • Utilisation classe D d ’adresses • Messages périodiques de contrôle • Gestion dynamique du groupe • Tout message émis d’une station est transmis à tout le groupe 291
INTERNET INTERNET @ @
… … Les Les évolutions évolutions en en cours cours
•Configuration automatique des routeurs : –Gestion des noms & adresses –Routeurs à apprentissage (IGP)
•Hauts débits : –Meilleures utilisation des charges utiles –Amélioration des temps de transit commutateurs –Orientation vers la commutation IP
•Routage : –Adresses sur 128 bits (V6) –Priorité et isochronie
•Fiabilisation :
292
IP IP « « Forwarding Forwarding » »
(Acheminement) (Acheminement)
Station A
Station B
Réseau IP
Routeur X
Routeur Y Table de Routage dest hops next Y B 2 -
Station A Couches Supérieures
Station B
Recherche @ dest. dans TdR Retransmet vers suivant Routeur X
Routeur Y
@A => @B
@A => @B
Couche IP Couche LIAIS Couche PHY
@A => @B
293
IP IP « « Switching Switching » »
(Commutation (Commutation IP) IP) Station A
Station B
Réseau ATM
Commutateur X
Commutateur Y Table de Commutation Label entrée 55 -
Station A Couches Supérieures
Label sortie 121 Station B
Recherche label dans TdC Retransmet vers suivant Commutateur X
Commutateur Y
Couche IP Couche LIAIS Couche PHY 55
121 294
Routage IP •SWITCHING
•FORWARDING • •Travail sur la couche 3 (Adresses)
•Travail sur la couche 2 (Labels)
•ROUTAGE
•COMMUTATION
•
- Niveau Réseau
•
- Travail sur Paquets
•
- Adresses globales du réseau
•
- Unités de données variables
•
- Adresses seulement consultées
•
• - Niveau Liaison • - Travail sur Trames • - Labels locaux aux commutateurs • - Unités de données fixes et réduites • - Champ Label systématiquement modifié
295
L L ’Internet ’Internet du du futur…? futur…?
296
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 11
Internet (2)
Le Le niveau niveau TRANSPORT TRANSPORT
PROCESSUS ÉMISSION
AH
APPLICATION
SH
SESSION TH
TRANSPORT NH
RÉSEAU
PHYSIQUE
LH
données
APPLICATION
données
PH
PRÉSENTATION
LIAISON
PROCESSUS RÉCEPTION
données
PRÉSENTATION
données
SESSION TRANSPORT
données données données bits
RÉSEAU LT
LIAISON PHYSIQUE
Médium de transmission
298
COUCHE COUCHE 4 4 :: Niveau Niveau TRANSPORT TRANSPORT TRANSFERT TRANSPARENT DE BOUT EN BOUT •STRUCTURATION des BLOCS : –Messages, segments –Concaténation/séparation
•SÉCURISATION TRAFIC : –Contrôle de flux
•MULTIPLEXAGE : –Niveau Transport
•QUALITÉ de SERVICE : –Débit moyen –(An)Isochronie –Fiabilité –5 Classes de service OSI 299
Internet Internet TCP TCP
Le niveau Transport de l’Internet Applications
4
3
HTTP
TELNET
FTP
SMTP
RTP/RTCP
TCP
NNTP
DNS
UDP
ICMP
IP
X25-3
IGMP
ARP/RARP
2
LLC MAC
1
Couche physique LANs
PPP AAL
LAP- RNIS
LAP-B PQT
Réseaux hôtes Couche physique WANs
SLIP
Serial
301
Le Le protocole protocole TCP TCP Transport Transport Control Control Protocol Protocol
• Fonctionnalités – • Segmentation re-assemblage des messages – • Rétablir ordonnancement des paquets – • Multiplexage vers plusieurs applications (numéro de port) – • Service orienté connexion – • Transfert de données exprès – • Contrôle de flux – • Détection des paquets erronés et perdus – • Récupération des erreurs par ré-émission
302
Le Le protocole protocole TCP TCP (2) (2) •Protocole de transport fiable en mode connecté •
•CIRCUIT VIRTUEL : –Établissement, maintien et fermeture connexions –Mode Point à Point en Uni-directionnel –Bi-directionnel simultané par double connexions
•CONTRÔLE de FLUX : –Fenêtrage dynamique –Temporisateur adaptatif
303
Le Le protocole protocole TCP TCP (3) (3)
• GESTION des FLUX : – Flot d’octets non structuré ( Découpage selon containers IP ) – Rétention octets pour optimisation transferts – Forçage émission segment non plein si besoin (Push) – Possibilité d’émission en mode Urgent – Notion de ports, via SOCKETS (Mise en relation des
304
Le Le protocole protocole T.C.P. T.C.P. • Protocole de transport fiable en mode connecté 32 bits 0
31 PORT SOURCE
PORT DESTINATION
NUMÉRO de SÉQUENCE NUMÉRO d'ACCUSÉ RÉCEPTION LNGR
N.U.
CODE
F.C.S.
FENÊTRE URGENCE
OPTIONS (Facultatif)
N.U.
... DONNÉES ...
Le segment T.C.P. 305
Le Le segment segment TCP TCP • ENTÊTE (20 octets) : – – – – – – – –
2 octets : Port application source 2 octets : Port application puits 4 octets : Numéro de séquence émission (en octets) 4 octets : Numéro d ’accusé réception (octets reçus + 1) 4 bits : Longueur entête + options (multiple 32 bits) 6 bits : Non utilisés 6 bits : Code type segment 2 octets : Fenêtre d ’anticipation dynamique, indiquant également la taille du tampon de réception. – 2 octets : Somme de contrôle – 2 octets : Pointeur urgence
• DONNÉES : – Options diverses (Variable)
306
Le Le segment segment TCP TCP •CODE (sur 6 bits) –Indique quel est le type du segment (Plusieurs bits peuvent être positionnés simultanément ): • x-----
URG
Données urgentes
• -x----
ACK
Accusé réception
• --x---
PSH
Segment associé à un « push »
• ---x--
RST
Réinitialiser connexion
• ----x-
SYN
Établissement connexion
• -----x
END
Libération de la connexion
•FENETRE (2 octets) –Sert à la fois pour la gestion des buffers, de l ’ ti i ti td é é ti T ill
307
segment segment TCP TCP • FCS (2 octets) – Somme de contrôle établie de la façon suivante : • Somme en complément à 1 par 2 octets (16 bits) • Résultat enregistré en complément à 1 • A la réception, idem y compris champ contrôle. Le résultat doit être nul, sinon erreur
• URGENT (2 octets) – Pointeur indiquant la position des données urgentes par rapport à la position courante 308
Si le code URG est présent
Notion Notion de de PORTS PORTS (Sockets) (Sockets) • Liens entre processus distants leur permettant de communiquer entre eux, et permettant d ’identifier les éventuels flux simultanés vers plusieurs applications, ou différents niveaux applicatifs ou système • Entier positif compris entre 0 et 5000 • Ports réservés : – 0 - 215 reservés TCP – 216 - 1023 réservés UNIX • Pour établir la communication, l ’émetteur doit fournir – L ’adresse IP – Le numéro de port réseau Port Y – La connexion Port estX unidirectionnelle Processus A
Processus B
309
Processus Processus de de connexion connexion TCP TCP
310
Gestion Gestion d d ’une ’une connexion connexion TCP TCP SOURCE A Connection request (SYN = 1; ACK=0)
DESTINATION B SYN (SEQ= x) SYN (SEQ=y, ACK=x+1)
Connection confirmée (SYN = 1; ACK=1)
SYN (SEQ=x+1, ACK=y+1)
Echange données (SEQ=Vs, ACK=Vr+n)
Clear request (END=1,ACK=0)
Connection accepted (SYN = 1; ACK=1)
Echange données (SEQ=Vr, ACK=Vs+m) END (SEQ=v)
END (SEQ= 0, ACK=v+1)
Clear confirm (END=1,ACK=1)
- Les valeur initiales X, Y et V sont aléatoires, fixées par l ’horloge - Les connexions sont unidirectionnelles; elles doivent être établies dans les deux sens pour une communication duplex 311
Gestion Gestion des des échanges échanges T.C.P. T.C.P. SOURCE A Envoi 2 k
DESTINATION B SEQ=2048
Envoi 2 k Envoi 2 k L’émetteur sait que le tampon est plein et part en temporisation
8k
vide 2k
ACK=2049, Fen=6144
Envoi 2 k
Tampon Réception 0
SEQ=4096 4k
SEQ=6144
6k
SEQ=8192
plein
ACK=8193, Fen=4096
Envoi 1 k
SEQ=9216
Envoi 1 k
SEQ=10240
L'application prélève 4 k 4k
1k 2k
4k 4k
L'application préléve 2 k ACK=10241, Fen=4096
2k
2k
312
Internet Internet UDP UDP
Le Le PROTOCOLE PROTOCOLE U.D.P. U.D.P. User User Datagram Datagram Protocol Protocol
• Protocole de transport non fiable en mode non connecté • • PAS de CONNEXION : – Envoi de messages de bout en bout avec minimum de fonctionnalités. • PAS de CONTRÔLE de FLUX : – Pas de garantie d ’arrivée – Pas de contrôle de séquencement • SÉCURISATION : – Somme de contrôle (Dont pseudo-entête)
314
Le Le PROTOCOLE PROTOCOLE UDP UDP 32 bits 0
31 ADRESSE IP SOURCE
Pseudo
ADRESSE IP DESTINATION RÉSERVÉ
LONGUEUR UDP
PORT SOURCE
PORT DESTINATION
LONGUEUR MESSAGE
TOTAL CONTROLE
Entête
... DONNÉES ...
Message UDP = DATAGRAMME UDP 315
Le Le datagramme datagramme UDP UDP •PSEUDO-ENTÊTE (12 octets) : –( En provenance de l ’entête I.P. ) –4 octets : Adresse source –4 octets : Adresse Destination –2 octets : Pour mise au point –2 octets : Longueur totale UDP (Dont pseudo entête)
•ENTÊTE UDP (8 octets) : –2 octets : Numéro de port source –2 octets : Numéro de port destination –2 octets : Longueur datagramme (entête + données) en octets
316
Autres… Autres…
Le Le protocole protocole IGMP IGMP Internet Group Management Protocol
•
Envoi de datagrammes en mode multipoints
• –Utilisation classe D d ’adresses –Messages périodiques de contrôle –Gestion dynamique du groupe –Tout message émis d ’un station est transmis à tout le groupe 318
Intégration Intégration TCP(UDP)/IP TCP(UDP)/IP dans dans le le Réseau Réseau Local Local Hôte A
APPLICATION
Hôte B
RÉSEAU LOCAL
TCP (UDP)
APPLICATION TCP (UDP)
IP (Datagrammes) IP
IP
LLC
LLC
MAC physique
MAC physique
MAC physique
MAC physique
319
Internet Internet sur sur Ethernet Ethernet • Trame IEEE 802 (Rfc 1042) - IP dans LLC Préambule
Adresse destination
8 OCTETS
6 OCTETS
Adresse source
Longueur
LLC 1
6 OCTETS 2 OCTETS 3 OCTETS
CHARGE UTILE 38 à 1492 OCTETS
CRC 4 OCTETS
• Trame Ethernet (Rfc 894) - IP dans MAC
•
Préambule
Adresse destination
8 OCTETS
6 OCTETS
Adresse source
Type
6 OCTETS 2 OCTETS
CHARGE UTILE
CRC
46 à 1500 OCTETS
4 OCTETS
La trame RFC 894 est la plus usitée. Cette RFC impose des datagrammes IP de 1500 octets maximum (MTU), et recommande des tailles TCP évitant la fragmentation.
320
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 12
Les Réseaux Haut Débit
Les Les évolutions évolutions Réseaux Réseaux
Les Les évolutions évolutions réseaux… réseaux… •Objectifs recherchés: –Grands débits –Meilleurs temps de transfert –Mais aussi… –Qualité de service –Surveillance réseau –Suivi coûts et imputations –Adaptation aux besoins –Sécurité –Interopérabilité
323
Le Le suivi suivi de de la la Qualité Qualité de de Service Service • Via des Engagements de Service (SLA - Service Level Agreement). Ceux-ci garantissent niveau de débits, délais d’attente, temps moyen de réparation, priorités de trafic ainsi que QoS.
• Les réseaux à haut débit modernes permettent de respecter ces contraintes.
• Les protocoles Internet anciens ne savent pas satisfaire à ces exigences, une nouvelle génération d’ IP VPN sait y remédier.
324
Aménagements Aménagements TCP TCP • La QoS initiale de TCP est insuffisante. – Pour satisfaire aux exigences précitées, il requiert au niveau Réseau, l’intervention d’un protocole RSVP: Ressource Reservation Protocol • – Permet
de réserver dans les routeurs des ressources permettant de
• garantir un débit, délai de traversée... • – C’est le destinataire qui est à l’origine des réservations en fonction de la • QoS attendue • – Nécessite des échanges de paquets de signalisation • – Différentiation de service (DiffServ) avec définition de classes de services de qualités différentes • – Marquage des paquets et traitement prioritaire dans les routeurs
325
Le Le « « Priority Priority Queuing Queuing » » • La fonction QoS du Priority Queuing est de plus en plus fréquemment incluse dans les caractéristique de base des routeurs. • Cela consiste en une mise en files d'attente par priorités (priority output queuing) permettant à l'administrateur de réseau de définir quatre ou cinq niveaux de priorité pour les flux réseau : haute, normale, moyenne, basse ou aucune pour chaque interface et chaque protocole. • Tout paquet entrant dans le routeur est affecté à l'une de ces files d'attente. L’ordonnancement des ces files est fait de façon à assurer le respect des débits, y compris durant les périodes de congestion. Les données de priorité haute 326
Traitement Traitement des des priorités priorités •
Files multi-niveaux sans retroaction – Priorité croissante par niveaux (4…0) – Priorité reste fixe à chaque niveau – Tq = Quantum = nombre de paquets prélevés à chaque tour – Quanta différents par niveaux, définis par administrateur – La valeur du quantum peut changer en cas de congestion, de façon à satisfaire les priorités les plus élevées, et pour la file à priorité nulle, les paquets seront alors souvent détruits.
Priorité max
4 3 2 1 0
Tq = a Tq = a/n1 Tq = a/n2 Tq = a/n3 Tq = a/n4
327
Techniques Techniques de de gestion gestion des des priorités priorités • Les outils de gestion de la bande passante permettent d'allouer en priorité la bande passante aux flux critiques, interactifs, pour le "métier" de l'entreprise en diminuant en compensation la priorité des flux non critiques. Certains produits combinent plusieurs fonctions pour mettre en oeuvre cette gestion de priorités avec une charge minimisée pour l'administrateur réseau, en mettant en œuvre certaines techniques: – Reconnaissance des flux par signature applicative (niveau OSI 7) pour allouer la bande passante aux applications identifiées comme critiques et non aux
328
Exigences Exigences et et niveaux niveaux de de services services Type de flux / Qualité Service
Fiabilité
Tps Transfert
Isochronisme
Débit
forte
faible
fort
fort
moyenne
moyen
fort
fort
Téléphonie
faible
fort
fort
moyen
Session Client/serveur
forte
faible
nul
moyen
moyenne forte forte
moyenne faible faible
nul nul nul
moyen moyen/fort faible
Téléconférence Audio
Accès Web Transfert fichier Courrier Electronique
•Classification ISO –5 Classes de débits •Isochrone exigent (faible gigue), débit fixe •Isochrone lâche (gigue tolérée), débit variable •Débit variable •Débit sporadique •Débit aléatoire
329
Le Le plan plan unique unique du du modèle modèle OSI OSI (rappel) (rappel)
Applications Présentation Session Transport Réseau Liaison Physique Médium
Ce modèle a été élaboré à une époque où les flux étaient essentiellement de type données alphanumériques, sans impératifs autres que le débit (et encore!)... 330
La notion de Plans Multiples du modèle UIT-T PLAN CONTROLE Surveillance et signalisation
PLAN GESTION Sécurité Qualité de service
PLAN USAGER Transport de l'information
APPLICATION Aujourd’hui, avec l’avènement du multimédia, les exigences sont tout autres… Il en va de même pour les multiples aspects de maintenance et de gestion, ce qui accroît notablement les variétés de protocoles à mettre en œuvre.
PRÉSENTATION
LIAISON PHYSIQUE Médium
331
Le Le plan plan usager usager •Transport de l ’information –Couches basses : •Modulation •Accès au médium
–Couches moyennes : •Gestion circuits •Fiabilisation de base •Fragmentation
–Couches hautes : •Gestion sessions •Connexions applicatives •Présentation de base
332
Le Le plan plan gestion gestion •Qualité de Service –Fiabilité –Priorités –Débits –Synchronisations
•Sécurité –Authentification –Confidentialité –Tunneling 333
Le Le plan plan Contrôle Contrôle •Routage –Choix des algorithmes –Équilibrage –Optimisation
•Fonctionnement –Signalisation –Surveillance –Mécanismes de repli
•Trafic –Contrat usager –Imputations
334
A A .. T T .. M M ..
Présentation Présentation
Jean-Claude KOCH
A AT TM M • Aspects Techniques: – Commutation de "paquets" de taille fixe et réduite : •
les CELLULES (53 Octets : 5 d’entête + 48 de charge)
– Multiplexage temporel asynchrone indépendant du débit du canal – Mode connecté (chemin virtuel) – Haut débit (jusqu'à 155 millions de bit/s sur paire torsadée)
336
A
li
ti
Historique Historique ATM ATM • Examen et rejet de la commutation de circuit : débit fixe pas souple • Examen et rejet de la commutation de paquets : non isochrone • Choix de la commutation de cellules : – Simplicité (longueur fixe) : émulation de circuit isochrone possible – Flexibilité : connexion virtuelle multiplexable, débit adaptable
• Allègement des protocoles (fiabilité des lignes) – Simplification du traitement des erreurs et du contrôle de flux 337 ( d ll l é )
Les Les Multiplexages Multiplexages STM STM // ATM ATM
1
2
3
29
30
31
TRAME STM = Synchronous Temporel Multiplexer
29
3
29
1
3
31
2
30
TRAME ATM = Asynchronous Temporal Multiplexer (Multiplexage Statistique)
338
Principales Principales caractéristiques caractéristiques •En tête de cellules réduit (5 octets) –Identification de la connexion logique –Mécanisme de détection d'erreur dans l'entête –Fonctions de maintenance –Contrôle de flux élémentaire (autorisation suppression cellule si congestion)
•Routage en mode Connecté : –Établissement d'une connexion logique avec réservation des ressources
•Universalité du réseau : –Nombreux niveau de Qualités de Services
•Simplification des protocoles : –Pas de protection contre les erreurs sur les données ni contrôle de flux. (Report en couches supérieures si 339
Temps Temps de de transferts transferts comparés comparés Exemple de temps comparés avec 3 segments et 4 nœuds
Te
Tt
Mode «PAQUET»
1 2 3
Tp
4
T1 Mode «CELLULE» 1
Te : temps émission paquet Tp : temps de propagation Tt : temps de transit commutateur T1 : temps de transfert paquet T2 : temps de transfert cellule
2 3 4
T2 340
Architecture Architecture ATM ATM
B
Couches supérieures AAL
Couches supérieures AAL
A
ATM
ATM
ATM
ATM
physique
physique
physique
physique
A
Délimitation unités de données, Détection d ’erreurs (entête) Commutation cellule
B
Segmentation, ré-assemblage, Traitement d ’erreurs (pertes de cellules)
341
Couche Couche AAL AAL :: Atm Atm Adaptation Adaptation
Layer Layer
Composée de 2 niveaux entre les couches "Utilisateurs" et la couche de transmission ATM
•Sur ATM : SAR (Segmentation And Reassembly) –Indépendante des services. Segmentation en cellule (numérotation et bourrage ) et réassemblage.
•Niveau supérieur : CS (Convergence Sublayer) –Synchronisation de bout en bout selon prestations demandées. –Classes de services/ classes de débits •AAL1 : émulation de circuit : Isochrone débit fixe : Voix •AAL2 : émulation de circuit : Isochrone débit variable : Vidéo compressée
342
Répartition Répartition des des classes classes de de débits débits
U.B.R.
A.B.R.
V.B.R. C.B.R.
CBR : émulation de circuit : Isochrone débit fixe VBR-rt : émulation de circuit : Isochrone débit variable VBR-nrt : émulation de paquet : Débit variable ABR : émulation de paquet : Débit sporadique UBR : Aléatoire 343
La La relation relation classes classes SERVICES SERVICES // classes classes DÉBITS DÉBITS CLASSES DÉBIT
CBR
VBR-rt*
VBR-nrt*
ABR
UBR
FONCTIONALITÉS
oui
Isochronisme Débits Mode Utilisation AAL Contraintes
non
fixe
variable
connecté
Au choix
Voix/video Voix/video Transfert interactive compressée données AAL1
AAL2
isochronisme
AAL3
Non connecté Interco. réseaux
Internet web
AAL4
AAL5
fiabilité
* rt = Real Time (Temps réel) - nrt = Not Real Time 344
Le Le RELAIS RELAIS de de TRAMES TRAMES
Présentation Présentation
Jean-Claude KOCH
RELAIS RELAIS de de TRAME TRAME
(Frame (Frame Relay) Relay)
•Concept de base : –Simplification des protocoles au niveau des nœuds en minimisant les contrôles et en portant le routage au niveau 2.
•Dans les nœuds (Noyau, assimilable à couche MAC) –Vérification par FCS, et élimination si erreur (Pas de reprise) Routage par lien virtuel au niveau 2
346
RELAIS RELAIS de de TRAME TRAME
Architecture Architecture B
Liaison
A
EOP
EOP
A
Noyau
Noyau
Noyau
Noyau
physique
physique
physique
physique
Délimitation unités de données, Détection d ’erreurs Routage par liens virtuels
B
Liaison
Acquittements Traitement d ’erreurs (reprises) Contrôle de flux
347
Contrôle Contrôle de de flux flux •Souscription d ’un contrat : –De «Débit Moyen Garanti» et «Débit Maximum Autorisé» –(CIR - Committed Information Rate)
•Respect du contrat par : –Transmission de toutes les trames comprises dans le «débit moyen garanti» –Destruction éventuelle si engorgement des trames au dessus de ce débit et d ’une valeur maximale autorisée –Destruction systématiques des trames au dessus de ce maximum autorisé.
348
Contrôle Contrôle de de Congestion Congestion (Suite) (Suite) DÉBIT Trames systématiquement supprimées DMA DMA Trames supprimées si engorgement DMG DMG
TEMPS
349
Utilisation Utilisation du du Relais Relais de de Trames Trames • Interconnexions longues distance de réseaux locaux – Jusqu ’à 2.048 kbps – Trames de 4096 octets maximum
• Bien adapté aux réseaux virtuels • Cohabitation facile avec autres Au lieu de (exemple X25) réseaux niveau 3
IP
IP
• Évite l ’encapsulation IP : niveau 2
Relais de Trame
IP
X25
X25
IP
LAP-B
350
• Ces deux types de réseaux seront étudiés plus en détail dans une autre U.E.
• Seuls les principes de base seront à retenir ici, pour une meilleure compréhension de certaines évocations dans les chapitres suivants, et une préparation à l’étude plus approfondie de l’évolution des réseaux
351
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 13
Boucle Locale & Satellites
La La boucle boucle locale... locale... • Ou comment accéder aux réseaux étendus depuis son lieu d’activité… Où qu’il se trouve! – Aux meilleures conditions de performance – De fiabilité – De coût (d’installation et d ’utilisation)
• Plusieurs solutions possibles – La paire téléphonique standard •
Elle est partout, mais ne sera performante que sur de faibles distances avec le point de raccordement réseau
– Le câble TV •
Lorsqu’il arrive dans le lieu considéré
– Le raccordement à l ’énergie électrique •
Dans le même tuyau, l ’énergie et les données. Séduisant…lorsque la politique le favorise...
– Les ondes hertziennes •
Qui permettent de s ’affranchir des contraintes
353
Modem Modem analogique analogique
Le Le Réseau Réseau téléphonique téléphonique commuté commuté (RTC) (RTC) • Conçu pour véhiculer la voix. Caractéristiques : – Transmission analogique jusqu’à l’abonné – Bande passante limitée à 4 KHz – Liaison entre correspondants en mode commutation de circuit. –
• Conséquences – Information numérique issue de l'ordinateur transformée en signal analogique, via un modem – Débit maximum d'information est théoriquement limité à 34 Kbps environ (théorème de Shannon) – Canal de communication bloqué et généralement mal 355 utilisé
La La boucle boucle Locale Locale Analogique Analogique – Le raccordement utilisateur-réseau se fait via un modem • Comment fonctionne un modem ? – A l'émission, le modem génère une porteuse de fréquence fixe, qu'il module en phase et en amplitude. A la réception, le signal est démodulé. – Les technique de modulation en treillis sont couramment appliquées. – Grâce à ces techniques et quelques autres, on atteint des débit maxima de 56 Kbps. –
356
Modems Modems & & Codecs Codecs Ordinateur Commutateur Jonction (numérique) Boucle locale (analogique)
Codec
Commutateur
... Local
Commutateur de Transit
Boucle locale
...
Codec
MODEM
Local
Artères Longue Distance (numériques)
Liaison téléinformatique via réseau commuté (les signaux analogiques provenant du modem sont codés pour être transmis en numérique !) 357
Quelques Quelques Normes Normes de de Modems Modems Analogiques Analogiques •
1970
V 21 :
300 bps sur RTC
•
1975
V 22 :
1.200 bps sur RTC
•
1982
V 22 bis :
2.400 bps sur RTC
•
1985
V 27 :
4.800 bps sur LS
•
V 27 bis :
4.800 bps adaptatif avec
repli 2.400 bps •
V 27 ter :
•
1987
V 32 :
•
1991
V 32 bis :
4.800 BPS pour RTC 9.600 bps pour RTC 14.400 bps avec replis
jusqu’à 4.800 bps sur RTC •
1993
V 34 :
28.800 bps sur RTC
•
1997
V 90 :
56.000 bps sur RTC
358
Norme Norme V92 V92
• Temps de connexion (jusqu'à 40 % plus rapide) • Mémorisation des paramètres de négociation de la connexion avec le FAI lors du 1er appel.. • Fonction « Hold On» pour prise de communication téléphonique et mise en attente de la connexion Internet. • Compression optimisée qui réduit le temps de téléchargement des pages HTML. (Norme V.44 au lieu de V.42 bis)
359
Connexion Connexion type type au au RTC RTC
Modem ...
CLIENT
Modem
RTC
...
SERVEUR
360
Architecture Architecture protocolaire protocolaire type type d’une d’une connexion connexion RTC RTC ETTD SYSTEME SYSTEME UTILISATEUR UTILISATEUR
Internet IP
R.T.C.
Boucle Locale
Modem
PPP
V90 (92)
V90 (92)
Note : La connexion Modem/ETTD de type V90 est en fait réalisée via le driver, à l’aide d’un langage de niveau supérieur (commandes Hayes, déjà évoquées lors de l’étude de la couche physique). 361
x.D.S.L. x.D.S.L.
Les Les techniques techniques xDSL xDSL Digital Digital Subscriber Subscriber Line Line
• « Dopage » de la paire téléphonique standard. Différents préfixes pour : – Asymetrical … : Flux montant & descendant de débits différents – High data rate … : Symétrique haut débit – Single line … : Une seule ligne – Very high … : En cours de développement 50Mbps
363
Performances Performances xDSL xDSL ADSL Mode de transmission Nombre de paires Débit descendant (Mbps) Débit montant (Mbps) Distance max (Km)
asymétrique
SDSL
HDSL
symétrique
symétrique
VDSL asymétrique
RADSL asymétrique
1
1
2
2
1
0,536 à 6,1
0,768
1536 à 3072
13 à 51
0,160 à 4,6
0.016 à 0.640
0,768
1536 à 3072 1.536 à 3072 1,016 à 1536
5,5
3,6
5,5
1,5
5.5 à 1.5
•Techniques utilisées : –Traitement du signal –Compression statistique 364
Connexion Connexion ADSL… ADSL… • Conditions nécessaires (mais non suffisantes!) pour pouvoir bénéficier de l’ADSL: – Être situé à moins de 5 km d’un autocommutateur – Être abonné au téléphone – Être dans une zone de dégroupement
• Pour qu’elles deviennent suffisantes, il faut de plus: – Avoir souscrit un abonnement ad hoc – Avoir la configuration matérielle adaptée – Avoir installé et paramétré sa configuration logicielle365
Qu’est-ce Qu’est-ce que… que… • … Le Dégroupage ? – Indispensable pour pouvoir bénéficier de l’ADSL! – Cela signifie : • 1/ Que l’autocommutateur téléphonique desservant la zone locale est équipé d’un DSLAM (DSL Access Mode), c’est à dire des équipements nécessaires à la fourniture du service xDSL. • 2/ Que le propriétaire de l’autocommutateur (qui peut être différent de celui du DSLAM) accepte de déconnecter physiquement de ses réglettes les paires cuivres desservant les abonnés pour les raccorder à celles du DSLAM. 366
Les Les techniques techniques ADSL ADSL
Puissance
• Distribution des bandes passantes :
Canal téléphonique
Canal montant
Canal descendant Fréquences
1khz 0
10khz 4khz 16kbps
100khz 150khz
1Mhz 0.4Mhz 2.3Mhz
640kbps 1.5Mbps
8Mbps
10Mhz
Débit binaire
367
Architecture Architecture réseau réseau ADSL ADSL Serveur R.T.C.
LAN
Pont/Routeur
Réseau ATM
B AS ...
@
Modem
MUX ADSL
Routeur IP
DSLAM
Switch ATM
Abonné 1
N lignes abonnés
...
Abonné N
Modem
POTS
R.T.C. BAS = Broadband Access Service DSLAM = DSL Access Module POTS = Plain Old Telephon Services 368
Architecture Architecture protocolaire protocolaire d’un d’un ADSL ADSL (1) (1) SYSTEME UTILISATEUR
Internet
SYSTEME OPÉRATEUR
MODEM
IP
DSLAM
AAL5
PPPOE
PPPOE
ATM
ATM
MAC
MAC
ADSL
Ethernet
Ethernet
SDH Vers FAI
ETTD
ADSL
Boucle Locale
Schéma d ’une liaison Utilisateur/DSLAM 369
La La trame trame PPPoE PPPoE Point Point to to Point Point Protocole Protocole Over Over Ethernet Ethernet (rfc (rfc 2516) 2516)
32 bits 0
31
VER
Type
Code
ID Session
Longueur charge
Type protocole niveau 3
CHARGE
Trame « Session » de PPPoE
370
La La trame trame PPPoE PPPoE Point Point to to Point Point Protocole Protocole Over Over Ethernet Ethernet (rfc (rfc 2516) 2516)
•Fonctionne en 2 étapes protocolaires –Phase de découverte (Discovery Stage) pour identification et négociation des paramètres de session P2P (Port to Port) –Phase de session (Session Stage) pour les échanges
•Champs : –VER = version (actuelle 0_1) –Type = Type trame (0_1 actuellement) –Code = Pour phase de découverte, 0_0 pour trame de session –ID Session = Généré lors de la phase de découverte. 371
Architecture Architecture protocolaire protocolaire d’un d’un ADSL ADSL (2) (2) SYSTEME SERVEUR PONT/ROUTEUR BAS DSLAM ATM SDH
ADSL
Internet
IP
IP
IP
AAL5
L2TP
L2TP
PPPOE
PPPOE
ATM
Relais
Relais
MAC
MAC
ADSL Trames
Trames Ethernet
Ethernet
Réseau ATM
Schéma d ’une liaison Serveur/DSLAM 372
Connexion Connexion ADSL ADSL avec avec partage partage IP IP
ATM
ADSL
Filtre
@
INTERNET
Réseau ADSL
Téléphone analogique
Modem ADLS
Routeur Ethernet Hub
373
La La Télévision Télévision via via ADSL ADSL
374
La La B BL LR R
Les Les Boucles Boucles Locales Locales Sans Sans Fils Fils •Les RADIOMODEMS –
- Bidirectionnel - 2 canaux simplex sur fréquences différentes
–
- Bande des 2.4 Ghz
–
- Portée 10 à 20 Km
–
- Débit 20 à 50 kbps
–
- Client type : ligne dédiée
•La BLR (Boucle Locale Radio) ou LDMS (Local Multipoints •Distributed Services)
376
La La Boucle Boucle Locale Locale Radio Radio (BLR) (BLR)
PABX
Station de base
Station locale
TÉLÉPHONIE
ROUTEUR
RÉSEAUX LOCAUX
Réseau Opérateur 377
Le Le D DE EC CT T
(Digital (Digital Enhanced Enhanced Cordless Cordless Communication) Communication)
•Ancêtre du CPL, la technologie DECT, créée par les Suédois dans les années 70, permet des liaisons radio résidentielles. •Essentiellement destinée à la connexion avec un PABX d ’entreprise, il s’est également largement répandu chez les particuliers (téléphone « mobile » domestique) –
- Bidirectionnel - 2 canaux simplex sur
378
Les Les Satellites Satellites
Les Les Satellites… Satellites…
? • Difficile de les classer, car il peuvent être vus à la fois comme : – Réseau Étendu (cellulaire) – Réseau Métropolitain (de vaste dimension!) – Boucle locale (mais souvent uniquement en diffusion!) 380
Les Les SATELLITES SATELLITES
LEO (Low Earth Orbital) : MEO(Medium Earth Orbital) : GEO (Geosynchronous --- ) : HEO (High Earth Orbital) :
300 à 3.000 km 3.000 à 36.000 km 36.000 km (*) > 36.000 km
(*) Les satellites Géostationnaires doivent de plus être sur orbite équatoriale… Ce qui fait que les places commencent à y être chères! 381
Les Les SATELLITES SATELLITES
•Géostationnaires ou à défilement
•10 à 50 transpondeurs à flux combinés
•Spots variant de qq km à plusieurs miliers selon altitude
•Délais de transmission variant selon altitude 382
Les Les constellations constellations satellitaires satellitaires
Iridium : 66 satellites à 700 km - Sauvé in extremis ! GlobalStar : 48 satellites à 1.000 km - En mauvaise passe ! ICO : 10 satellites à 10.000 km INMARSAT : 3 satellites à 36000 km 383
Galliléo... Galliléo...
Future constellation européenne (ESA = European Space Agency) pour le positionnement terrestre et maritime: - 30 satellites MEO - Opérationnel en 2008 ? - Précision : 2 m
384
RESEAUX RESEAUX SATELLITES SATELLITES •TYPE DE SATELLITES : •HEO (High Earth Orbital) •Orbite a plus de 36 000 km de la terre
•GEO (Geosynchronous Earth Orbital, Géostationnaires) •Orbite a 36 000 km de la terre •courbe de rayonnement : 120 degrés •Temps de propagation aller-retour : 0,24 seconde •Bandes passantes 4-6, 12-14, 20-30 GHz
•MEO (Medium Earth Orbital) •Orbite : 5000 à 25000 km
•LEO (Low Earth Orbital) •Orbite entre 500 et 2500 km •Plusieurs satellites a défilement •Temps de propagation : quelques millisecondes •Bande passante : 1 à 1,6 GHz
385
RESEAUX RESEAUX SATELLITES SATELLITES Méthodes Méthodes dd ’accès ’accès
•1 - ACCES ALEATOIRE –ALOHA (Hawaï) et améliorations
•2 - MULTIPLEXAGE –Fréquenciel : •AMRF : Accès Multiple à Réservation de Fréquence = •FDMA : Frequency Division Multiple Access
–Temporel : •AMRT* : Accès Multiple à Répartition dans le Temps = •TDMA : Time Division Multiple Access •CDMA** : Code Division Multiple Access (Partage dynamique)
–
386
LES LES SERVICES SERVICES •STATIONS FIXES •Diffusion (sans retour) : –Point-Point –Point à Multi point •Acquittement (éventuel) –Par voie terrestre –Par satellite •Organisation –Mondiale INTELSAT –Europe EUTELSAT –France TELECOM II (France Télécom) •STATIONS MOBILES O i ti INMARSAT (GEOS)
387
TELECOM II (1991) • Remplacement de Télécom I (1984) par deux satellites géostationnaires (2A et 2B) : – un seul actif à la fois – une trentaine de canaux (TV, Téléphone, Transmission de données, Radio) – accès : AMRT – débit : de 2,4 à 2048 K bits/s
• Service TRANS DYN (France Télécom) – Liaison spécialisée numérique utilisant Télécom II Permanentes temporaires ou à temps partiel
388
Le Le système système VSAT VSAT (Very (Very Small Small Aperture Aperture Terminal) Terminal)
SATELLITE
SATELLITE
HUB
VSAT
•
•
VSAT
Système VSAT (Very Small Aperture Terminal : Micro-stations mobiles aisément déplaçables. Ces stations font appel à une station HUB fixe pour effectuer les relais (délai de transmission alors doublé ! ). Les satellites sont de type MEO. Ce systéme est également largement utilisé en WAN aux US et dans les pays vastes et de faible développement structurel en moyens 389 classiques (Pays de l’Est moyen Orient ) Le HUB est alors raccordé
Sur Sur les les retards retards français... français... … … cependant cependant en en train train de de se se combler combler !!
• ADSL : Jusqu’en fin 2001, opposition de F.T. aux conditions de dégroupage et retard technologique interne initial.
• Satellites : Une constellation est d ’un prix inabordable pour un seul pays comme France. Projet européen en cours (Galliléo). 390
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 14
Les Réseaux Métropolitains
1Tbps
pipelines
Débit
La hiérarchie des réseaux
Bus
1Gbps
Réseaux Réseaux Locaux Privés
Réseaux Métropolitains
Canaux E/S
1Mbps
Réseaux étendus
1Kbps
1cm
1m 10cm
10m
100m
1km
10km
100km
Distance
392
Place Place des des Réseaux Réseaux Métropolitains Métropolitains
RÉSEAU LOCAL
RÉSEAU LOCAL
PONT ROUTEUR
PONT ROUTEUR
M.A.N. ROUTEUR
PONT
RÉSEAU ÉTENDU
Accès individuel
393
Pourquoi Pourquoi des des MAN MAN ’s ’s ?? •Limites des Lans : –Limitations en distance –Limitations en nombre de stations
•Limites des Wans : –Limitations en débits En France, les réseaux métropolitains explosent depuis que les communes sont autorisées à jouer le rôle d’opérateurs
–Coûts élevés
394
Caractéristiques des Réseaux Métropolitains • LOGIQUE : Fédération de réseaux locaux ou d’utilisateurs isolés • PHYSIQUE : Anneau ou étoile… Ou maillé • DISTANCE : Jusqu’à plusieurs dizaines de kilomètres • DEBIT : Au moins 1 Gbits/s • PROTOCOLES : - FDDI - DQDB - Seront simplement abordés car obsolètes aujourd’hui. - BLR – N’a pas eu un grand essor dans notre pays, car nécessité d’une licence opérateur très onéreuse. - CATV - Très développé dans certains pays, moins en France, mais en expansion constante. ETHERNET C’est l’explosion dans ses versions à haut débit sur
395
Les Les «Anciens» «Anciens» MAN MAN • Les quelques diapositives qui vont suivre font un panorama rapide de deux technologies qui ont eu leurs heures de gloire comme réseaux MAN ou Fédérateurs : FDDI & DQDB. • Ces deux technologies sont aujourd’hui obsolètes, car dépassées, trop complexes et trop onéreuses. • Il en demeure néanmoins encore quelques vestiges… et certains aspects y sont intéressants à connaître, notamment en matière de premières tentatives de respect de QoS
396
Le Le réseau réseau FDDI FDDI -- 2 2
Fiber Fiber Distributed Distributed Data Data Interface Interface
FDDI FDDI :: Généralités Généralités •Normes ISO 9314 •Principe de l’anneau à jeton temporisé •Interconnexion native avec protocoles 802.n •Couche LLC compatible 802 •Double anneau contra-rotatif •Repli automatique sur dégradation •Définition initiale à 2 x 100 Mbps •Première évolution à 155,52 Mbps (FDDI-2) •Évolution vers 2 x 2.5 Gbps (FFOL- Follow On Lan) •Distance max entre raccordements : –2 km sur fibres multimode –60 km sur fibres monomode
398
Topologie double boucle en contrarotation RACCORDEMENTS type A (DAS)
CONCENTRATEUR type DAC
RACCORDEMENTS type B (SAS)
CONCENTRATEUR type DAC
En mode dégradé avec reconfiguration automatique
CONCENTRATEURS type SAC
STATIONS type A (DAS) STATIONS type B (SAS)
En fonctionnement normal
399
FDDI : Variantes • FDDI 2 : - Service asynchrone et isochrone (voix & multimédia) - Mode : paquet ou circuit (
• FFOL (FFDI FOLLOW ON LAN) - Très hauts débits - Interconnexion possible avec ATM
• PDDI Twisted Pair Distributed Data Interface - CDDI Copper DDI : paire torsadée non blindée
400
Les Les protocoles protocoles FDDI FDDI -- 2 2 OSI 3
• • •
LLC : Logical Link Control DLL : Data Link Layer
•
PHY : Physical Layer
•
PL
•
PMD : Physical Medium
LLC
2 DLL MAC
MAC : Medium Access Control
RÉSEAU
PHY 1
PL
PMD
: Physical Layer
Dependant 401
La La couche couche physique physique (P.L.) (P.L.) • Sous-couche PMD (Pysical Medium dependant) – Accès au médium : • Sonet • Fibre optique multi ou mono-mode • Paire torsadée
– Norme ISO 9314.3
• Sous-couche PHY (Physical Layer) – Synchronisation / échantillonnage – Codage / décodage 4B / 5B –
(4 Bits données = 5 Bits NRZI)
Norme ISO 9314 1
402
Le Le codage codage « «4 4B B // 5 5B B» » •Du fait d’un codage en bande de base, pour éviter la désynchronisation des éléments terminaux de niveau physique, on doit éviter les suite trop importantes de bits d’une même valeur. •En 4B5B, on assure une transition au minimum par groupe de 4 bits. Pour ce faire, on rajoute un bit supplémentaire, et l’on bâtit une table de codage sur 5 bits assurant la présence de cette transition. –Table de codage 4B5B : – – –
4B 0000 0001 0010 0011 0100 0101 0110 0111
5B 11110 01001 10100 10101 01010 01011 01110 01111
4B 1000 1001 1010 1011 1100 1101 1110 1111
5B 10010 10011 10110 10111 11010 11011 11100 11101 403
La La sous-couche sous-couche PHY PHY • Gestion du partage du médium:
– Trames isochrones : Gestion du protocole d ’attribution pour respect de l ’isochronisme à raison d’un trame toutes les 125 µs.
– Trames asynchrones : Gestion du protocole d ’attribution pour respect du débit moyen. 404
Gestion Gestion trames trames synchrones synchrones • Trames synchrones :
– Conçues selon hiérarchie plésiochrone : • 8.000 trames par seconde (125 µs entre trames) • 16 canaux T2 par trame • 1 canal T2 = 4 x T1 = (4 x 24) IT = 96 octets • 16 canaux T2 = 16 x 96 x 64 Kbps = 98,304 Mbps
– Canal synchrone type circuit (réservé jusqu ’à libération) – Masque en tête de trame indiquant les IT libres 405
Gestion Gestion des des trames trames asynchrones asynchrones • Principe du « Jeton Temporisé » : – A l’initialisation de l’anneau, le protocole détermine selon quel délai moyen chaque station doit recevoir un jeton, et quel est la durée moyenne de rétention (d’émission) en fonction du débit négocié. – Si le jeton tourne plus vite, la station diminue son temps d’émission, – S’il arrive moins vite, elle augmente ce temps, – S’il tarde trop, elle émet un nouveau jeton… – Le tout géré par des compteurs détenus par chaque station (contrôle réparti) : • TRT (Token Rotation Timer) : Temps de rotation du jeton (à de pas réception du précédent) Note : Nouscompter ne rentrerons dans le détail de cet algorithme complexe… et si peu utilisé! • THT (Token Holding Timer) : Quantum de temps de transmission 406 accordé à la station. Calculé selon débit négocié
La La couche couche liaison liaison (D.L.L.) (D.L.L.) • Sous-couche MAC ( Medium Access Control) – Norme ISO 9314.2 – Assez proche de 802.5 (Token ring) disent certains… Sauf que : • Full duplex au lieu de alterné • Les trames ne font pas la rotation complète • Les priorités sont gérées comme en 802.4 • Il existe une notion de Qualité de Service • Les quanta sont temporels et non en trames • Il peut y avoir plusieurs jetons sur anneau • Il y a 2 types de trames (asynchrones et synchrones)
407
Le Le réseau réseau DQDB DQDB
Distributed Distributed Queue Queue Dual Dual Bus Bus
DQDB DQDB :: Généralités Généralités •Norme 802.6 •Double bus ouvert en opposition de sens •Cellules de 53 octets (Compatibles ATM) •Émission permanente de trames •Débit de base 155,52 Mb/s (SDH STM1) •Évolution vers 2,488 Gb/s (STM 16) La technologie DQDB est souvent considérée comme « pré-ATM »…
•Full duplex
•Modes asynchrone & isochrone 409
DQDB DQDB évolutions évolutions • Double anneau avec reconfiguration automatique
Configuration anneau initiale
Configuration repli en mode bus
• Évolution réseau maillé avec commutateurs ATM ATM PONT DQDB /ATM
ATM
PONT DQDB /ATM
ATM
410
Principe Principe d d ’accès ’accès au au médium médium (1) (1) •Deux type de cellules : •PA = Pre-Arbitrated = Trains de cellules isochrones •QA = Queued Arbitrated = Trains de cellules asynchrones LLC- Service sans connexion
Service Isochrone
LLC- Service avec connexion
QUEUED ARBITRATED
LIAISON
PRE-ARBITRATED MAC
Accès Médium
Accès Médium
Mise en ouvre médium
PHYSIQUE
411
Gestion Gestion des des trames trames • Transferts isochrones : – Gérée par tête de bus par protocole spécifique (Q 931) – Établissement d’un lien virtuel (VC) – Mode connecté avec attribution d’un VCI (Idem ATM) – Émission toutes les 125 µs d’une cellule de 48 octets de charge
• Transferts anisochrones (asynchrones) : – Mode non connecté (identifiant VCI = 1---1) ou connecté – Accès déterministe par gestion de files d’attentes lti i (Ch t ti té i ll l
412
Hiérarchie Hiérarchie DQDB DQDB Sa complexité a été son pire ennemi !… RÉSEAU
LLC
NPDU
PAQUET
LPDU
LH
TRAMELLC
I H
IMPDU
LT
I T
TRAME MAC
MAC DMPDU
PHY PHY
PPDU
D H
P H
SEGMENT
CELLULE
D H
D T
P T
SEGMENT
P H
D H
D T
CELLULE
P T
P H
SEGMENT
D T
CELLULE
P T
•IMPDU = Initial Mac PDU (Peripheral Data Unit) •DMPDU = Derived MAC PDU 413
Le Le câble câble TV TV
Le Le câble câble TV TV • Support de type CATV – Câble télévisuel = Coaxial de type descente d ’antenne
• Multiplexage spatial et temporel combinés – Spatial produisant des « sous-bandes » – Chaque sous-bande réservée à un canal analogique – Ou à plusieurs canaux numériques en multiplexage temporel – Initialement en mode diffusion seul
• Pour l ’Internet, réservation de deux sous-bande – L’une montante
415
Station satellite
Étoiles optiques
Station diffusion
Station hertzienne
Rocade coaxiales
Le Le Réseau Réseau TV TV câblé câblé
répéteurs
Réseau fibre optique
Liaisons coaxiales
416
Le Le CATV CATV :: Principe Principe de de multiplexage multiplexage Spatio-temporel Spatio-temporel Analogique (Spatial seul
Sous-bandes numériques (Multiplexage spatial)
Canaux numériques (Multiplexage temporel)
Canaux montants
5
50
Canaux numériques descendants
Canaux TV (descendants)
500
Réservé Extensions futures
750
Mhz
Répartition des bandes de fréquence en CATV
417
WIMAX WIMAX
Wimax Wimax (Worldwide (Worldwide Interoperability Interoperability for for
Microwave Microwave Access) Access)
•Arguments en faveur de WiMax au sein des réseaux métropolitains : –Technologie plus aisée à mettre en œuvre que la fibre optique –Grande adaptabilité dynamique des débits –Utilisation de modes modulation variables selon distance –Lien avec 802.11 aisé (WLAN) 419
Ch i d l
lité d
i
(Q S)
Wimax Wimax -- Généralités Généralités • C’est une norme technique basée sur le standard de transmission radio IEEE 802.16 • Le Wimax est développé par le consortium Wimax Forum, qui rassemble aujourd'hui plus de 200 industriels, FAI et opérateurs téléphoniques. • Assure les liaisons fixes de point à point, (domicile à borne de connexion), et doit évoluer vers la mobilité (portable à borne de connexion ou autre portable). • Avantage vis à vis de Wi-Fi: un mécanisme d'allocation de bande passante à la demande (Grant/Request Access). Alors que Wi-Fi souffre souvent de collisions
420
WiMax WiMax = = Normes Normes 802 802 pour pour opérateurs opérateurs
Quelques Micro-ondes de plus dans nos neurones! 421
Concept Concept de de cellules cellules à à tailles tailles variables variables
Cette hiérarchie, basée sur la distance, permet d’offrir des débits variable selon l’éloignement de la station de base. Dans le cadre de l’Ethernet 802.16, seule la couche physique est modifiée pour permettre des valences de modulation de poids de plus en plus faible selon la distance.
422
Les Les cellules cellules à à taille taille variable variable en en 802.16a 802.16a •Rayon approximatif des cellules •Mini-cellule = 5 Km • Cellule = 25 Km • Macro-Cellule = QPSK = 50 Km
•Type de modulation •Mini-cellule = QAM 64 = 6 bits/baud • Cellule = QAM16 = 4 bits/baud • Macro-cellule = QPSK = 2 bits/baud
•Débit par cellules •Mini-cellule = 150 Mbps
423
WiMax WiMax :: Quelques Quelques aspects... aspects... • Disponibilité fin 2004 (pour opérateurs) • Norme IEEE 802.16a • Bande des 2 à 11 Ghz • Portée jusqu’à 50 km • Débit modulé selon distance, jusqu’à 70 Mbps • Respect QoS • Prévisions de déploiement : Canada et Nord USA
424
Note… Note…
Ce sujet sera approfondi, de même que toutes les autres formes de Réseaux Radio à travers une UE complémentaire : RSX 103 – Compléments réseaux & Applications
425
Le Le C.P.L. C.P.L.
Le Le C.P.L. C.P.L. ou ou P.L.C. P.L.C.
Courant Courant Porteur Porteur en en Ligne Ligne ou ou PowerLine PowerLine Communication Communication
• 2 Utilisations : – En longues distances • Porteuse à 20 Mhz • Débits actuels 4 Mbps, à 20 Mbps selon opérateurs • « Hubs » de distribution de 250 points à distance maximale de 1000 m.
– En local • Multiplexage fréquentiel entre 15 & 30 Mhz • Redondance de transmission multicanaux (pour récupération en cas de « brouillage ») • Débit 11 Mbps • Distance maximale : 300 m
427
Le Le C.P.L. C.P.L.
Schéma Schéma fonctionnel fonctionnel «« Longue Longue Distance Distance »»
TRANSFORMATEUR
Réseau optique
MODULATEUR
INTERNET
Réseau M.T.
POSTE de TRANSFORMATION
RÉSEAU ELECTRIQUE B.T.
Compteur Alimentation secteur + Réseau local ABONNÉ
428
Le C.P.L.
Schéma Schéma fonctionnel fonctionnel « « Réseau Réseau Local» Local»
@
Connexion ADSL
Réseau ETHERNET
Deux modes de raccordements possibles :
... Modem ADSL
Commutateur Ethernet Prise CPL
Prise CPL
Prise CPL
Prise CPL
Prise CPL
Prise CPL
Prise CPL
Prise CPL
Vers un WAN via modem ou routeur
Vers un LAN via commutateur ou pont
429
Les Les coupleurs coupleurs CPL CPL
430
Les Les réseaux réseaux MAN MAN Ethernet Ethernet
Les Les réseaux réseaux Métropolitains Métropolitains Ethernet Ethernet
Giga bit
Modèles de base validés en septembre 2003 par le Metropolitan Ethernet Forum 432
L’Ethernet L’Ethernet Optique Optique •Arguments en faveur d'Ethernet au sein des réseaux métropolitains (OEoF=Optical Ethernet on Fiber): –Technologie simple offrant une meilleure granularité de service ainsi qu'une installation rapide –Familier aux administrateurs et apprécié pour le confort d'utilisation –Large éventail de produits Ethernet performants et à bas prix –Rôle déjà important dans les technologies de transport par commutation de paquets, du trafic de données en général et en particulier du trafic IP –Les applications haut débit se développent (consultation Internet, la vidéo sur demande-VoD et la voix sur IP-VoIP) •L'OEoF est également idéale pour le déploiement de services de données auprès de l'utilisateur résidentiel, grâce aux extensions
433
Principales Principales caractéristiques caractéristiques
• Débit modulable de 10 Mbps à 10 Gbps • Normes Opérateurs : Vlans 802.1Q • Deux solutions de base : – Ethernet natif sur Fibre optique (OEoF) (max 70 km) – Ethernet sur SDH (non limité)
434
Sur Sur les les retards retards français... français...
• CÂBLE : Réseau câblé de très faible couverture chez nous vis à vis de certains autres pays européens. • BLR : Fréquences confisquées par militaires (Partiellement libérées en 2001). • CPL : Suite à désaccord concernant le partage 435
RSX101 RSX101 Réseaux Réseaux et et Télécommunications Télécommunications Diaporama séance 15
Interconnexion Réseaux
Interconnexions Interconnexions Niveau Niveau Réseau Réseau
Hiérarchie Hiérarchie des des passerelles* passerelles*
Niveaux 4 à 7
PASSERELLES
Niveau 3
ROUTEURS
Niveau 2
PONTS & COMMUTATEURS
Niveau 1
REPETEURS & HUBS
* Passerelle «Gateway» est un terme générique qui désigne souvent l’ensemble des moyens d’interconnexion dans les réseaux. Pour les niveaux bas (1 à 3) des désignations spécifiques existent pour chacun d’eux… Utilisons les! 438
Les Les Passerelles Passerelles (Rappel) (Rappel) •
COUCHE OSI
•REPETEURS, HUBS, CONCENTRATEURS •COUPLEURS
1 1 & (2)
•PONTS ( BRIDGES)
2
•COMMUTATEURS (SWITCHES)
2
•BROUTEURS (BRIDGE-ROUTERS) •ROUTEURS (ROUTERS)
2&3 3 439
Interconnexion Interconnexion Réseaux Réseaux •Ce sont les dispositifs qui permettent de raccorder entre eux : –Différents sous-réseaux d ’un même réseau –Différents réseaux entre eux
•De façon généralement hétérogène : –Réseaux locaux différents –Réseaux étendus différents
•En cherchant à respecter les critères de : –Fiabilité –Performance –Sécurité
440
Les Les Routeurs Routeurs •SITUATION dans le RÉSEAU réseau
réseau
R RR
R réseau
R
R réseau
•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ ROUTEUR RES 2
COUCHE 3
MAC 1
LLC 2 MAC 2
COUCHE 2
Phy 1
Phy 2
RES 1 LLC 1
Réseau 1
COUCHE 1 Réseau 2 441
Les Les Routeurs Routeurs (niveau (niveau 3) 3) •Acheminement des paquets avec choix du chemin (Routage) •Analyse des paquets et modifications si besoin (hétérogénéité, translation d ’adresses) •Connaissance de l’adresse logique (réseau + hôte) •Lié à un protocole réseau (Routeurs multiprotocoles) •Structuration de l’ensemble par un découpage logique du réseau •Équipement complexe •
- Processeur, mémoire, interface
442
Interconnexion Interconnexion de de Réseaux Réseaux Hôte Routeur G Réseau 01
X Routeur F Réseau 04
Réseau 03 Routeur C
Routeur D
Routeur A Routeur E Réseau 02
Réseau 05 Routeur B
Y
Problèmes : - Quel est le meilleur chemin Réseau 03(X)->Réseau 05(Y) ? - Comment l’établir ? - Comment le faire connaître ? 443
Le Le Routage Routage •Les TYPES: –Par accrétion de circuits virtuels (mode connecté) –Par choix d’une route propre à chaque datagramme (mode non connecté) •Le ROUTEUR traditionnel : –Table de routage élaborée hors ligne (Routage statique) –Table de routage élaborée par dialogue inter routeurs (Routage dynamique) •Le ROUTEUR par labels (MPLS): –Routage préliminaire selon méthode traditionnelle, puis –Établissement d’un chemin virtuel selon le mode connecté •LES MÉTHODES 444 –Centralisées :
Paramètres Paramètres de de routage routage •Paramètre courants: –Débit –Temps de transit –Coûts –Charge –Distance –Qualité de service –…
• …& quelques paramètres non techniques : –
Passage imposé
445
Algorithmes Algorithmes de de routage routage •Algorithmes non adaptatifs (routage statique) : –Tables de routage établies hors ligne puis transmises par inondation –Routage par le plus court chemin, sur les flux ou autres critères
•Algorithmes adaptatifs (dynamiques) : –Routage à vecteurs de distance basé sur une table des meilleures distances mise à jour dynamiquement . Les algorithmes RIP (Routing Information Protocol) du réseau Internet et IGRP (Cisco) sont de cette famille. 446
Routage Routage dynamique dynamique Basés sur le nombre de sauts (Distance Vector) : –Diffusion périodique (30 à 90 secondes) de l’ensemble des informations de routage –Minimisation du nombre de sauts. (Algorithme de Bellman-Ford) –Temps de convergence important avec surcharge du réseau •Exemples : IGRP Interior Gateway Routing Protocole • RIP Routing Information Protocol –
Basés sur le «Poids» de chaque saut : - États des liaisons (Link State). Poids : débit, temps traversée, charge, coûts etc.. –Constitution de tables, mises à jour partiellement en 447 cas de changement
Le routage Internet EGP
FÉDÉRATEUR
BGP
IGP
IGP
BGP
EGP
IGP
Système autonome LAN 1
LAN 2
LAN 3
•
Un groupe de réseaux et passerelles relevant d ’une même responsabilité administrative au plan routage est appelé système autonome.
• Le routage entre systèmes autonomes est réalisé par des routeurs dits externes, les protocoles correspondants sont nommés EGP (External Gateway Protocol) • A l ’intérieur d ’un système autonome, les protocole utilisés par les routeurs sont les IGP (Internal Gateway Protocol) •A la frontière entre système autonome et un autre réseau se trouvent des
448
Le Le «Tunneling» «Tunneling»
Le Le «Tunneling» «Tunneling» Réseau d ’entreprise Réseau d ’entreprise
Réseau d ’entreprise
RESEAU ÉTENDU Réseau d ’entreprise
Réseau d ’entreprise
Réseau d ’entreprise
Ou comment constituer des regroupements de réseaux à travers un autre ? (Création de réseaux Virtuels) 450
RESEAU ETENDU
Qu’est-ce Qu’est-ce q’un q’un réseau réseau Virtuel Virtuel ??
…C’est un réseau vu comme une entité administrative unique, mais constituée d’éléments disséminés interconnectés via un ou plusieurs autres réseaux 451
Le Le mode mode « « TUNNEL TUNNEL » »
Encapsulation
RÉSEAU TUNNEL D’INTERCONNEXION
Protocole natif
Routeur multiprotocoles
Réseau Local
Routeur multiprotocoles
Protocole natif
Réseau Local
452
Deux Deux types types de de Tunnels Tunnels • Mode Tunnel niveau Réseau : – Négocié et appliqué de bout en bout. Efficace en cas de mode connecté.
• Mode Tunnel niveau Liaison : – Négocié par segment réseau (de nœud à nœud). Plus facile en cas de mode Mode nonLiaison connecté.
Mode Réseau
453
Une Une solution solution mixte mixte :: Le Le MPLS MPLS • Les routeurs MPLS sont équipements qui ont la particularité : – De fonctionner en routeur (de niveau 3) pour l ’établissement du chemin • Avec toutes les subtilités possibles au niveau tracé de route
– Puis de travailler en commutateur (de niveau 2) pour la suite des échanges • Avec performance et respect QOS possibles à ce niveau grâce à une étiquette (label) placé en entête des paquets
454
Le Le principe principe du du MPLS MPLS Station A
Station B
Réseau MPLS
Commutateur X
Commutateur Y
Table de Commutation Label Label entrée sortie 121 55 -
Station A Couches Supérieures
Table de Routage dest hops next Y B 2 -
Après établissement route : Por création route : Recherche label dans TdC Recherche @ dest. dans TdR Retransmet vers suivant Retransmet vers suivant Commutateur X
Station B
Commutateur Y
Couche IP Couche LIAIS Couche PHY
55
121
@A => @B
455
Le Le VPN VPN IP IP
Réseaux Réseaux Privés Privés Virtuels Virtuels (V.P.N.*) (V.P.N.*)
à à travers travers ll ’Internet ’Internet
• Réalisation des interconnexions de réseaux locaux à travers l ’Internet • Réalisation d ’Intranets «étendus» • Connexion de stations nomades * V P N = Virtual Private Network
• Sécurisation des transactions sous Internet
457
Réseaux Réseaux Privés Privés versus versus Virtuels Virtuels • Réseaux Privés : – Ensemble de ressources interconnectées via des média privés • Coûts • Distance • Certitude d ’exclusivité
• Réseaux Privés Virtuels : – Ensemble de ressources interconnectées via des média publics
458
Qu’est-ce… Qu’est-ce… • …Qu'un VPN IP ? – Le VPN IP apparut dans les entreprises fin des années 90 – Un VPN IP est tout simplement un réseau privé virtuel qui fonctionne sur un réseau IP. – La technologie sous-jacente est généralement ATM (et parfois Frame Relay), mais le réseau est considéré comme VPN IP car il opère au niveau de la couche IP et l'interface présentée
459
Le Le VPN VPN IP IP
Encapsulation
RÉSEAU TUNNEL D’INTERCONNEXION
Protocole natif
Routeur multiprotocoles
Réseau IP
Routeur multiprotocoles
Protocole natif
Réseau IP
460
Évolution Évolution des des tunnels tunnels VPN VPN OPÉRATEURS PUBLICS
OPÉRATEURS PRIVÉS 1990
ÉPOQUE
2005
461
Tunnel Tunnel à à cœur cœur ATM ATM • Il existe trois types d’interfaces : – • Les interfaces réseau utilisateur (UNI - user-network interface) connectent les systèmes terminaux d’ATM (tels que les hôtes et les routeurs) à un commutateur ATM. – • Les interfaces de nœud inter-réseau (NNI- network-network node interface) connectent des commutateurs ATM – • Les interfaces large bande inter-opérateurs (B-ICI - broadbandinter carrier interface) connectent des réseaux ATM publics.
• ATM est un service à commutation de paquets orienté Circuits Virtuels. • Les ressources sont partagées par multiplexage statistique. • Utilisation cellules de longueur fixe (53 octets) pour le transfert d’informations. L’existance de niveau de services garantit une adaptation possible à diverses exigences.
462
Les Les Interfaces Interfaces de de ll ’ATM ’ATM UNI Commutateur ATM public
DXI
UN I priv ée
UN I
NN I priv ée
Réseau ATM privé
I UN
Utilisateur ATM
pu
bl ic
Réseau ATM public
e vé pri
Réseau ATM privé
I
CI
B
-IC
B- I
Réseau ATM public
Réseau ATM public
Utilisateur ATM
463
Tunnel Tunnel à à cœur cœur Frame Frame Relay Relay • Équipement d’accès : FRAD - Frame Relay Access Device • Un réseau Frame Relay offre un service orienté connexion. • Cette communication utilise un circuit virtuel • Les standards du service définissent deux types principaux de circuits • logiques : – • Les circuits virtuels permanents (PVC - Permanent Virtual Circuit) définissent des – connexions permanentes utilisées pour des transferts de données volumineux et – fréquents. La communication n’exige pas de configuration d’appel et se trouve toujours à l’état de transmission ou d’ tt t
464
Configurations Configurations hybrides hybrides • • Frame Relay est bien adapté à de nombreuses applications, dont l’interconnexion de réseaux locaux (LAN), la migration SNA (Systems Network Architecture), et l’accès distant. • Cependant, d’autres applications telles que les communications multimédia avec qualité de service (QoS) garantie, sont mieux servis par des réseaux ATM. • • Une vaste gamme de débits peut être supportée, de 64 Kbit/s à 622 Kbit/s. • • Les clients ATM peuvent bénéficier des connexions Frame Relay lorsque le nœud ATM n’est pas disponible, et vice versa.
465
VPN VPN IP IP & & QoS QoS •VPN IP QoS et VPN Internet – L‘infrastructure IP qui délivre le service VPN IP peut être un réseau IP privé ou bien l'Internet public. L’offre de nombreux fournisseurs fait cette distinction entre : a) Les services qui utilisent l'Internet public, et de ce fait, transitent par plusieurs réseaux de fournisseurs de services b) Les services qui n’utilisent que la partie de l'Internet public qui dessert le fournisseur de services VPN IP. – Cette seconde solution peut garantir une certaine qualité de service (QoS) – On appelle VPN IP QoS les VPN IP qui s'exécutent sur un réseau privé. A
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MPLS MPLS et et VPN VPN sécurisés sécurisés • VPN IP MPLS et VPN IP IPsec – Deux technologies se sont récemment imposées, qui englobent désormais la quasi-totalité des services VPN IP. Il s'agit de la commutation multiprotocole avec étiquetage des flux (MPLS, Multi-Protocol Label Switching) et de la sécurité IP (IPsec, IP Security). – MPLS est un protocole d'acheminement utilisé dans la plupart des réseaux VPN IP privés. – IPsec est un protocole de tunnellisation, qui permet de sécuriser les échanges. Il est employé dans la majorité des VPN IP basés sur l'Internet public. 467
Un Un réseau réseau MPLS MPLS typique typique
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Les Les mécanismes mécanismes de de fractionnement fractionnement
Où Où il il est est question question de de vocabulaire… vocabulaire… • Dans les réseaux, il se trouve de multiples endroits où l’on doit «découper» les structures de données d’un certain niveau, d’un certain réseau, pour les mettre dans les structures d’un même ou d’un autre niveau ou réseau… Et bien sûr tout reconstruire à l’autre extrémité! • Tout cela parce que chaque niveau de chaque réseau à son propre MTU (Maximum Transfer Unit), c’est à dire une taille maximale à ne pas dépasser. • Comme souvent en informatique où n’existe aucun organisme de normalisation du vocabulaire, différents auteurs, à différentes époques font dire des choses différentes aux mêmes mots, ou parfois nomment les même choses par des mots différents… Et c’est bien le
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Différents Différents types types de de fractionnement fractionnement (n+1) PCI
n-PCI
n-SDU
n-PCI
(n+1)-SDU
n-SDU
n-PCI
n-SDU
Segmentation / Assemblage n-PCI
n-SDU
n-PCI
n-PCI
n-SDU
n-PCI
n-SDU
n-SDU
Groupage / Dégroupage (n+1)PCI
n- PCI
n-PDU
n- PCI
(n+1)-SDU
n-PDU
n- PCI
n-PDU
Fragmentation / Défragmentation n-PDU
(n-1)PCI
n-PDU
n-PDU
(n-1)-SDU
Concaténation / séparation
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Mécanismes Mécanismes de de fractionnement fractionnement •SEGMENTATION
(ASSEMBLAGE)
–Découpage d'un PDU de niveau N+1 en plusieurs SDU (SEGMENTS) et ajout de PCI de niveau N
•FRAGMENTATION
(DÉFRAGMENTATION)
–Découpage du SDU de niveau N+1 et portage dans plusieurs PDU de niveau N avec reprise du PCI de niveau N+1 dans chaque fragment.
•GROUPAGE
(DEGROUPAGE)
–Regroupement de plusieurs SDU en un seul SDU de même niveau
•CONCATÉNATION
(SÉPARATION)
–Regroupement de plusieurs PDU de niveau N dans un472 même SDU de niveau N-1 avec ajout d ’un PCI de niveau
Encapsulation Encapsulation // Désencapsulation Désencapsulation C’est l’intégration, en un ou plusieurs segments, de la structure de donnée de niveau N (souvent 3) d’un protocole, dans la charge de même niveau d’un AUTRE protocole. Exemple : un datagramme IP de 600 octets dans trois paquets X25 Longueur maximale champ de données (MTU = 256 octets, entête IP= 20 octets) Données datagramme (600 octets)
Entête IP 20 octets Entête X25
0
Entête IP PAQUET n° 1
235
490
599
Segment 0-235 Entête PQT
Segment 236-490
PAQUET n° 2
Entête PQT Segment 491-599 PAQUET n° 3
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