Principe D'algebre.pdf

  • Uploaded by: december snow
  • 0
  • 0
  • May 2020
  • PDF

This document was uploaded by user and they confirmed that they have the permission to share it. If you are author or own the copyright of this book, please report to us by using this DMCA report form. Report DMCA


Overview

Download & View Principe D'algebre.pdf as PDF for free.

More details

  • Words: 48,102
  • Pages: 296
Bobillier, Étienne E.. Principe d'algèbre. 1861.

1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence

2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : *des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. *des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation.

4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter [email protected].

BOBILLIER, E.E.

PW~c~pes d~~è~re

Hachette Paris 1861

t~M

PRMOPES

/)~ ~1,

D~ALGËBRE PARE.-E. BOBILLIER

~!
C'~Me t:T MtTtM!

ttOHS!t))t

M

tttXfM

MÂT)tt))m~'H

t)! ft.t'ttH't!! Me..

OUVRAGE

ADOPTÉ

X)! <:tttH)tte

PAR LE MINISTRE

~CO<M

ttte)t).tt

t

tf:mtMte<.

n'.

M

ET ORS TBAVAUX POP
ET O'~SCtM,

W~a~tM

L'AGRICULTURE,

DU COMMERCB

PUBLICS a'~tM

~f

~WM. 1/

ÈOTMN CINQUIÈME

PARIS et C' libraires, MeMerre-SttDnin, K: L. HACHETTE MAHET-BACMtJER, libraire, quaidM Ao:U5tin<,BSi libraire,qmi Ma~ii), iB; LACROtX-COMON, VtCTex OALMONT, libraire,quai detAugtMtiM,~9. iaCt .I.I'e:'&M~

?*(?<M
COURS COMPmM ~M~TRtB, PAR E.'E. BOBtt.UEX,
t

M~TtERS,

tn-8".

Les )!gore!<, au Mmbt'ede ~i00. ):ontintcreaMc!dans te tc~tc.

Se
MÂM:M. – w. n'Ht.St)mxMT.

CesPRtNCtpBs c'ALGËBRE ontété spécialement rédigés pourmes ëteves;j'espèrecependantqu'Uspourrontêtre de quelqueutititHà ceux qui entreprendrontl'étudede cettesciencesansle secoursd'un professeur,et mêmeà ceuxqui, plusavances,se proposeront de revoirce qu'ils ontapprisprécédemment. Ilssontdivisésen trois Livres.Je mesuisefforcéd'y comprendretoutce qu'il estessentielde connattrepour suivreavecquelquesuccèslescoursde Géométrie analyrationnelle tiqueet de Mécanique qui m'étaientconfiés, en me prescrivant toutefois dene pasdépasserks bornes del'enseignement desËco!osd'Artset Métiers. Le premierLivrecontient!aThéoriecomplètedesopérationsalgébriques; j'y aijoint,en formede supplément, unedémonstration tout.à-fait de!aformule eMmentairc du

Binômede ~cM'<<w. Le deuxièmeet )otroisième,traitent dela résolution desproblèmeset deséquationsauxquelles ilsconduisent;te dernier,decertainsprocèdesque fournit l'algèbrepourabrégerle calculdesnombres. J'ai choisiparmites démonstrations qui me sont connues, cellesqui m'ont paru les plus claireset les plus simples.Je me suisattachasurtoutà mettre beaucoup d'ordredansla distribution des matières,et &énoncertes résultatsavecune précisiongéométrique, bien convaincu que cetteméthodeestla pluslumineuseet la pluspropre hâterles progrèsdoscommençants.

LIVfŒPIŒMtEn.

M~ATKMS

AMËBRM~ES.

CUAi'n'iU:I'iU:MlËR. HM'MNSBB&UMNtrAtHZS.

ï. But de
<

2 nA

J

_J

PRINCIPES

3" X et. sont les signesde lu et signifient multiplication, mtt/ et< sontlessignesdel'inégalité et signifient plusgrand pluspetit que.Ex. !o>3, y< s'énoncent10 oplus grandque 3, y ~Mpetit que ta. On peut remarquerque le plus granddesdeuxnombresest toujoursplacédansl'ouverture du signe. 4. Actuellement, pour éclaircirautantquo possiblela définition quenousavonsdoanéede l'algèbre,proposons-nous le problèmesuivant Trouverdeuxnombresc!oM< ~MMesoit ao et la d~reKCe6. Représentons par x le plusgranddesdeuxnombresinconnus, et pary te pluspetit,nousauronsen vertudo l'énoncé Le plusgrandnombrex augmentédu plus petity égale ao; Leplusgrandnombreit diminué du pluspetity égale6; Cequi,à l'aidedessignes,s'écritainsi ~caao, e–~6.

B'AMÊBM. 3 Egalitésdont nous allons tirer les valeursdes inconnuesx et y. Pour obtenirl'inconnue ajoutonsmembreà membreles deuxégalités.c -) y – 20, ~–y ==6 nousaurons ?-)-+?–~==9o-)-6, ou az~z6 en observantque
i

t

PHMCtPM

petit. L énoncedu problèmetraduitalgébriquement fournitevidcmntentz y ~=a, a'–. y 6. Ajoutonsces egutitMmembreu fnen~reon observantque o, nousauronsa.y==a -j-A.Or ta moitiéde ~o~t .r, y–y L et cellede s 4- &est r a a donc c= a Retranchonsx des deux tnefuhrfsde.f-y==
l'on trouvera

~=~io-.3~y.

Soiteneoroa déterminerdeuxnfonbre;; ayantpoursomne3i et pour différencetg. On posera<:==3j, &= tt), et l'on aura iB==~+-==:25, !/==~==-==6. Cettesolutionest exacte,cara5.t-6==3), a5–6=:tû. 6. On appetleformulefe resuitatd'un cn)cu!gênera!,présentantle tableaudesopérationsà effectuer sur les donnéespour en déduireles nombresinconnus,tellessontles deux exprcsstons auxquettcsnous venonsde z ==. y=, parvenir.

U'ALGÈMË.

6

II. De quelquesautresnotationsde ~'e~fc. 7. Outreles signeset les lettresdontil vientd'êtrequestion, on emploieencored'autresnotationsdontle but est toujoursde simplifierl'écritureatgëhrique.Les prineipatessont cellesdes coe~ctcn~,des exposantset desracines. 8. Lecoefficient d'unequantitéestunnombreplacéà sa gauche, qui indiquecombiende fois elle doit être répétée.Les expressions5s, ~at, 3atc ont pourcoeflicients 5, 3, et 2" aA-}-j-at-tremplacent,)" e+a+s-j-a-t-a; 3"a~e-}-o~c+a&c. Elless'énoncent cinqa, quatreab, troisabc. Lescoefficients Ba'.a, -at. Lorspeuventêtrefractionnaires. d'unequantitcest commedans to< on quele cof(!icicnt te supprimepar convention et l'onécritsimplement ab, réciprota&. quement
2'

3~ .x~X.:=-,

~X~X~=~,

etc.

Autreex: lespuissancesde a sonta, aa, aaa, aaaa,etc.;celles deab sontab,a~u&,a&o~st,etc. ') 0.L'exposantd'unequantitéestunnombreplacéàsadroiteet un peuan-dessus,qui marqueta puissance à laquelleelleesteievée,Ainsio'==== a exposantdoMou simplement a aa, et s'énonce s trois;a''=a
6

PtU!fC!PE8 it A~tde mieux J t't .tt H. Afin sentirla nécessitedeMfamiliariser avecles notationsprécédenteset pour prendreune idmexactede leur brièveté,il su)!!ra d'essayerdécrire une seulequantitésanste secoursdes coefficients et de:!exposants,en dosant aux tuttt'M qu'elle renfermedes valeursnmueriques.Qu'on prenne,par exempte,la quantitéGs~'c'a, elle s'écrira n"f"&cf~-{-ni<MuM&fc
\~Too=uo, '==3,

à raisonde ce que to'=: !oo, y==!M,x~==. \/t6==9, !(). Ces s'énoncentliacinecarrée de too égale[o, racine expressions cubiquede 27 égale3, racineoKatn~e tRégalea. Attires ~eM~ ~~= s, \~=~ a,

==a,

~a*=a.

ni. Desdifférentesespècesde quantités. 13. Onentendpar <~«M~e'ougrandeurtoutce qui estsusou de diminution,c'est-u-dire ceptibled'augmentation tout ce qui peutêtresoumisau C!uo)t. Lesatgébristes conçoivent qu'ilarriveun pointou lesquantités sonttellement delesfairecroître, grandesqu'iln'estpluspossible

P'ALO&BM.

7

et qu'itenest un autreouettesne peuventplusdiminuer, à raison doleurpetitesse;c'estce qu'ilsappellentl'infiniet )'ttt/!t)tM<M< et ce qu'ils introduisent danslecalculau moyendes sympe<<<, bolesQcet o. Toutesles autresquantitéssontrenfermées entre ces deux limiteset se nommentquantités~n(M. tt. Lesquantitéssontnumériquesou algébriques.Numériques,quandelles sont expriméespar deschiffres.J~ t6~, ~~y~ft~e~, quandellessont exprimées par des lettres,ou des lettrescombinées avecdesnombres. Exemples a-bc, <–3a'&6
1 Le

H

PK!XCtPt!S a"'

gène. polynorne <3«~'–ja~ esthomogène, puisque tousses termessontdu cinquictuH «'–3«~ j- &'est un degré, polynome hetero~no. 20. Ln M~eMrKMMt~~Ke d'unequantitéest le résultatque t'unobtient.lorsquel'onsubstituedesnonh'csauxlettres f)u't;))u renfMn)~. Ainsidansta supposition dua= & le puh-nutuo o~– aa&+26' prend \'
f'ALOÈBBE.

9

IV. ~Mfles ~«NM
<0

MHNctpm

nombresnégatifs <,–a. –3, etc.sontpluspetitsque zéro. 2*Dedeuxnombresnégatifs comme–a,–5, te plus petit–5 seraitte plusgrand,suppression fuitedessignes. 26.Hsuitdetu,quel'onpeu' e/tOMyef les signesdesmembres d'wte inégalitéyow~ttquel'on change~'OMt~~redu signe. t( Ainsi,lesinégalités !o>y,3<4,5>o, to>–3,–8>–ta,–3<–t, peuventse remplacer par –to<–y, –3>–5t. 87. Tous «om&fetpo!t(t/se<M(~o
B'ALOÈeM. «a r_ 1tll. f dus enoutrela formation et l'extraction des

puissances prendra et desexpressions racinesdesnombres atgebt'iques. L'additionet la soustraction,dont noustraiteronsd'abord, sontfondéessur uneopérationsecondaire, connuesouslenomde <<M termes~em~s~M,que nousallonsexposer. n''(~«!<«M I. Réductiondestermessemblables. 30. On appelletermessemblables ceuxqui sont composés des mêmesexposants,quels que des mêmeslettresaffectées soientd'ailleursleurssigneset leurscoeHicientstelssontya~'e, –ata'~c, a~'e. Lestermes5a& 5a&'cqui nerenferment pas lesmêmeslettressontdMMM~co~M, ainsique 8a'G',80'~ dont desmêmesexposants. lesmêmeslettresnesontpasaffectées 34.La réductiondestermessemblablesconsisteà les exprimerparun seul,en effectuant les additionset les soustractions indiquées par les signesdontilssontaffectés. o~prend d'unepart la somme Pourfairecetteréduction, des termesMm~o~Ma~ee~ du signe+, e<de ~'aM
FmfiCtPt~ blables,onappliqueil chaqueespècela règle précédente. Ainsi le polynome Ca~'–ya~–)8<–3+t')a&'–[8(!&* to fyc'-aat'-tt e', qui co renfermedequatreespèces,conduitaux calculssuivants – t2«t'–aaf==–~o< 1"<– t8H~-– ).
&'At.Gi!BRE. t3 on 5a't'–8a&~ao~' bien5
PRINCIPES

~<<Mt<~
CHAPITRE III. MULTtPDCATKM ALCHBtUQtiE.

37. Le but de cette opérationest d'effectuerle produitde deuxnombresexpriméspar des termesalgébriques. Pour procéderavecordre,nous distingueronsdeux cas la d'unmonômepar un monomo, et celled'un polymultiplication nomepar un polynome. 1. ~Mtp~Ca~'OM des WOKOMM. 38.Pourfairele produitde deux monomes, il est nécessaire de suivre!a fois quatrerègles,connuessous!onomde règles, des lettres,desco~
0'A<.CÈBM. <8 Or,sansaltérerun produit,on peut intervertirt'ordredes fac3uat. Cettercgieaegateurs doncya.yXS~aXttementlieudanslecasoùlescoefficients soutfractionnaires. Ainsi ab X c==Y a&. ;< e ==r X a&c,ou abc. Ms EXPOSANTS. 4<.R&CLB L'exposantd'une lettrequelconque duproa«t<égalela sommedes exposantsde cettem~M< lettre ~aN~ /e mM/f<~co!t
<6 6

PRINCIPES

précédente,seulementon supposeraque t'on a il multiplier a – a par b. – &1= c&.Si l'on nvait 4"–a il multiplier a par &–& te produitser~'it~ru, pui~jm* ~–& :-o. Maisce produitse eotnp~ed~deuxj'in-tie~, ab et ."inoir,de – a b de–sx – et atinqu'eitcspuiaseuts'mxtuier,il fautesiicfitietiement que–a X'===-r~. A3.Voicidesexemplesdela mu)tip)ication des monomes 3<
mu)tip)icnnde. tnuttiptiMtcur. f'prûduitpnf'tio). 2°produi<.purtic). ) nrodmttotal. )'

D'AMtBM.

<7

2" Exemplede multiplication. ~–3(~+<–~< multiplicande. –5~ +-ao&&' multiplicateur. –toa~-t- i5a~'–5~(-to
(~'+5.)

== 3ab' X 5b' zb`c' X M' + 3e~ x 5&' cequi démontrela règlede la multiplication pourdes polynomes de termespositifs. composés maintenantquetes deuxpolynomesse composent Supposons en partiede termesadditifset en partie de termessoustractifs, auquelcas(n*36) ils sontde la formeM–N, P-Q; Met N désignantlessommesdestermespositifset négatifsdu premier,et P et Q tessommesdes termesanaloguesdu second.Il est clair d'abordque le produit(M–N) (P-Q) est égalà M–N pris P foisdiminuéde M– N prisQfois;et qu'onconséquence (M–N) = (P-Q) (M–N) p-(M–N]Q. Afind'obtenirte produit ,.n2

8 PMNCtMS 18 étaitM,le produit {M–!i)P,remarquonsquesi le multiplicande est M–S, le produit seraitMP;maiscommece muttipticunde esttropgranddo XP ou KP;donc(M–X)P-MP–NP. Ondémontreraitparte m~meraisonnement que(M–0==M<~–?!Q. Substituantces valeurs dans te produit cherche, il vient (M.) p–Q)==)tp–M'–(MO–KO, ou en faisant la On soustraction(M–IS) (P–Q)==MP–~P–MQ-)-KQ. voitainsique l'onest ramenéà opérersur des polynomesM,N, P, Q,donttousles termessont positifs,on affectanttoutefoisles produitsobtenus,des signesconvenablesce qui est en toutconformeà la règleénoncéeau commencement dece numéro. III. Le produit de p~tCMMpo~somM homogènesest eM~t des degrés des homogènee
C'AM&BM.

<$

entièresou fractionnaires; et muttiptions polynomes, leursomme A+ B parJeurditterencc A– B. A+B A--B "A'+AB -AB-B* ona donc(A+ B)(A–B) ==A–B'. Yoicidesexemptes. (to-~y)

([o–y!

ça to'–~==

!oo–~==

5t.

eten eBet:

(to+y)(to–y)=-tyx3==5t.

= (5
20

M!MC!PES ~t-t.<
Cettemanièrede disposerles termesd'unequantitéa été tirée oit tousles nombrespeuventêtre considères de l'arithmétique ordonne;! setonles puissances commedespotynotxes numériques de )o. C'estainsique décroissantes s5g83

== x.toooo

}- 5.!ooo

-j

g.too

-)- 8.io-{-3,

ou H5t)83 9.)o'{-5.;o' 9.io'-{-8.to-t-3, enobservantque io''==)oooo,to'moo, etc. 48. Si, parmi les termesdu polynome n ordonner,plusieurs sont anectesd'une mêmepuissancede ta lettreprincipale,on n'écrit cette puissance~'«Ke seule /OM,en lui <
Sac –

aa6e === ~–6c–2&c;a,

cequipermettrade récrireainsi a" -p'–3~t5~
U'ALGÈBM. M Mnomment comme nous ~M<m<<<~ eomp~M.Onpeutencore, l'écriture decessortes allonstefairevoir,abréger d'expressions. unequantitécomplexe, 49.PoursimpiiBer CM faitprêcher des/acteMr< e
MMCtPM 22 la plus Aa «' yft-{-to; cependantcette inegatite,commeil est faciledos'enconvaincra, est fausselorqu'onsupposea= 3. VL.~oM
NM<«!~«?e<
sontordonnés 82. Lorsquele multiplicande et le multiplicateur d'unelettrecommune, par rapportaux puissancesdécroissantes danstes exposantsdu multipliet qu'iln'existepasd'interruption cande,on peut reculervers!a droiteles différentsproduitspartiels de manièreque tous les termesdu produitaffectésd'une setrouventlesunssousles mêmepuissancedela lettreprincipale sera dispenséde fecAo'cA~les autres.Par ce moyen <"<Mt dans la eM
«~+~

-+~A

e<6'

a' G' +~~
a'-tof

6«, a't'

a'+~< o



D'AtciBM.

S3

+ -a

+

M

) « eo

CI

3

ft

? &

<,

oC'I

«Ci



+

M Il jL

t

~+.a



i

1'1

.&.

A. ~+

i

& N

M

f

s °-

? +

-s i.

i J' 1'1

?

+

i -?

~J__

s::

?

~––-

'3

n+

T

~+1

-i"

i

7

&

–––––

I

S. M

+i~7 + i

?~ ('1 9 i

-o-– + t t ~t+- 0() ""O'e. CI N -0"" C'1 A~

+ T

C “ &f "0 ) ='" j! 7 )~ T.=i?~T t +~+~ A

N

e~-t~'A

N

YTT CI 1 `~' H

1

ii

? &

24

PRINCIPES

S'il existaitdes lacunesdans lesexposantsdu muttipticande, on pourraitencoreemployer les mËtoesdispositions pourvuqu'on laissâten blancles placesque devraientoccuperles termesmanquants. Enfin,on peutremarquerquo toutce qui précèdes'applique égalementau cas oulesdouxpotynonesseraientordonnéspar ascendantes d'unelettrecommune. rapportaux puissances 53. LestermesM~MMaMproduit de <<e polynomesordonnés,sont ~e
P'~t.GÈBM.

28

se présentedanste preplusde mKtermes.Cettecirconstance mierexemplede multiplication du n*44.

IV. CHAPITRE NYtStOK ALCÉBMQUE.

S5.Lebutde ta divisiona~e&r~ttcest connaissant un produitet )'un doses facteurs,déterminerl'autrefacteur.Cestrois quantitéssont appelées, commeen arithmétique c~c/f~e, diviseur, quotient. ï. Divisiondes mottomes. 56.Ladivisiondes monômesexige,commela multiplication, dequatrerèglesrelativesaux lettres, aux coe~ ta connaissance auxexposantset auxsignes,que nousallonssuccessivecM!t<s, mentexposer. DESLETTRES. ~e Consisted fK~r~C!' dans/e diS7.RÈCLE o«/et!~ leslettres
<:&c:M=~==~, Mo

~n ==t~ a~ == puisqu'onne changepas la valeur

d'unefractionen divisantsesdeuxtermespar le mêmenombre. 88.R{:<:t.Ë DES noEFt'tCtEXTS. Leco('~c/e?:<
-<

2
PMSOPM

avoirpourquotientl'autre.Doncle
no< S! &f ~t. amel m. =--––. ––.a°'ft'°~ 5 c-¡ aac''4 !t y II. De l'exposanto.

62.TouteM'~feMMt) quia pourexposanto estégale<'WMt<e'. ona A'=== Ainsi,queA représenteuneexpression quelconque, A* En e!fet,quelque soit m (n"S9),on a ==A"' ou en ob,“; A" A" Ao U Maisona aussi servantqueM–m== o, .T== puisA". que les deuxtermesde cettefractionsont égaux;deces deux A"==t. C.P. f. D. égalitéson déduitévidemment &6"=.t, (i)"==', (<–aa-5)''===t.

O'AtOÈBttE.

27

u.j.lutttc ~tttfMt«e M!Mtetfftfe ~est-a'mfe tftt«~'<:
H!.Théoriedes exposantsnégatifs. 68.Lesexposants?t~0<< proviennentdes divisionsdans du ditidendesont plus petits que les lesquellesles e.tpoMt)~ exposantsde
==~m

ouA" à causedo A–&==o.

66. Touteexpressiona~ec~e d'un exposantnégatif ou~o$t
28

PMNCÏMS <* dela fractiondu secondmembreparA' on a A""=='–

J~eM~M e-L, cr fa-

'(
a'–i)a-~3

2* L'égalitéA"

fait voir que A" est le quotientd'une y divisiondontle dividendeest l'unitéet dont te diviseurest A". ~) le x Or, si l'ondivisele dividende par ta quotient,ondoitretrouver diviseur,doncA"= –. Rc. (a+ a~)'-=. Il serafacileactuellement d'évaluerun nombreattected'unexposantnégatif.Soitpourexemple5"\ on remarqueque 5"'=

j ..ç

mais5'===5x~X 5==ia5, doac5"'== –?. Soit encoreto~ on&to'"==–j o

maisto~==to.to.!o.io.to=-=tooooo;donc °,

t ==––––– == t o"~ 00001. lOOUOt)0, On peutencoreconcturodece principequetout nombredécimalpeutêtreordonnésuivantles puissances décroissantes de 10; car, soitprispourexemplele nombre2~9,~8, on pourrale f mettresousla forme a. tooo 4-5. ïoo 4-7. to4-() -)-3. to' – 4-1. –too-)-8.––'1000 et par suitesouscelle-ci t i t !0'* 44 < S. 10~4-5. -7. !04-Q-)-3. )~ –j~r –; 8. ––. ,~i = ïooo, to'== Lo' too, etc.Ou en observantque to~== Uubienenttn enfin sous cetteautre ;i a.[o'4-5.to'4-7.to'4-<)~o''4-3.m"'4-t.to'8.to' 67. Onpeutfaire passerun /a<;<eMf d'un termed'«Ke/)'ocen cAa~aM~ ~e sonexposant.Ainsi «<)?dans ~'Otx~e, &" o"° ~e" c~'

dq

c~

c-"c~'

B'AMÈBM.

e
29

=. c-

X

mais 1

YC

a°'t°e"

c~"

donc

'r'!

mais

F=' substituant

;'J.

~° ~° – Y JL – c''
a'Xa-=<


·

En effet En etfet 4°amXa`°=a'°X <°
= ~p=~a"

2"<î-"xa°==-~Xa''==~==a°-°'==a-~+' 3°M a"a"°~ ~K

x

=

–==:&°'

°,

~–––c

69.fa règle des exposantsde
o":ft-°==o"'+°,


!< Eneuet < < o' ==e'°

i

~o''==~=~=~ 3" ?-"

= a°'a"==e'"+''

(r"==~0"

i ==-. ==,
30

fMNCtKM

IV. Divisiondes polynomes, 70. Pourencctuerla divisionde deuxpolynomes, on ordonne le dividendeel le f/tOMexr par rapport aM.ppuissancesdécroissantes<«Mclettre commune, enayantle soinderenfermer les coefficients des <ermM
3a'–a<5. Quotient. -t'" Reste.90'– a' -j-aaa'–taa-a 5
D'AM~BM.

3<

avecreste. Exemplede cftWtOK Dividende. 3a<- A– a~' -)- ~af ~+<–– ("Reste. –M'&–~a'6'+~o&' -)<&+?<6' 2'Reste.

Diviseur. oA+ b' 3< o'–~oA–

–Ha&' –3a~+~&'

3' Etdernierreste,

~a&j &'

~.MtM~e divisioncomplexe. Dividende.

Diviseor. 3'~t)
32

PMNCtMB

or, si t'endiviseun produitpar l'un de ses facteurs,on a pour quotientl'autre doncle résultatdo ladivisiondu termedu dividendepar le <" termedu diviseurest bienle <" termedu quotient. Si l'onretranchedu dividende!e diviseurmultipliépar le 't" termedu quotient,le resteexprimele produitdu diviseurpar tous lesautrestermesdu quotienta l'exception du < et si ce reste est ordonne,son <" fermen° 53) est le produitdu <" termedu diviseurpar !o termedu quotient. On prouverait,par le mêmeraisonnement,que le <" terme du 2"restedivisépar le )" termedu diviseurdoit donnerle 3" termedu quotient,et ainsidesuite. Engénérât f' termedu m' reste~<~paf 4" terme du diviseur,/bMnt<< m+)" /ermadu ?Ko
D'AM&BM.

33

V. Remarquessur la divisiondespo~McatM. 7<. Lorsqu'après«MM*obtenu un reste plus petit quele diviseur,OMcontinueà /«tM la (~
a!+, o'–a* ~–o' a;-a'la-t-a~a-a-=-ea-etc.
72. Lorsqu'on a trouvé au quotient un terme dans lequel l'exposantde la lettre principaleest égal d la ~reMce des ~/<Mfaibles exposantsde cette lettre dans le ~«feM~f e
84

tMNMMM

seurmultipliépar le derniertermedu quotient(n*&3),et que d'unelettred'un produitégaleh sommedesexposants l'exposant dola mêmelettredansles deuxfacteurs.Decetteégalité,on retire <–w–M; donc,si aprèsavoirobtenuauquotientunterme affectéde la puissance m–Mdela lettreprincipale, le resten'est inexacte.C. f. D. pasnul, la divisionestessentiellement sur la démonstration *?3.En réttechissant du (a"70), on con. qoitsansdiEBcutte quela règle de la ~PMtoapeut t'appliquer suivant les pMM
Onvoit
B'AMÈBM.

3!;

7t. toM~M<edtCtdtMde « diviseursont Aomo~M, quotientest Aorno~nee
PRINCIPES

86

cc&tco t)u*mmc, pme~oop'o,tvta~uc
A–B

A'-AB AB–B' AB-B' o

rpB

A<-B'

A~–B~

A-B_ A'-A'B A'+AB+B* A'B–B' A'B–AB' AB'-B' AB'–B' o A-B

~-A'B A'+A'B+AB'+B' A'B-B' A'B-A'B* A'B'-B~ A'B'-AB' AB'-B< AB'–B< o

C'AMÈBM.

37

Tousles quotientquenousvenonsd'obtenir sontexacts, et a l'énoncé, lesterniesda chacund'euxsontd'un conformément d'uneunitéà celuidu dividende et en nombre degréinférieur degré. égalacedernier Élevons-nous au casle plusgénéralet divisons actuellement ~"–B"'parA–B. A~–B" A-–A-B A-B A"+A"B-)-A'B'+etc. <"Reste. 2' Reste. 3*Reste.

A'B–B'" A°'B-A"B' A"B'–B' ~m-ty_3p! A'B'–B"' etc.

Enexaminantles restessuccessifs A°"B–B' A'B'-B'°, A"B~–B"' etc., on s'aperçoitqu'ils ont tousle mêmesecond terme–B", et que danste <" termede t'ua quelconqued'entre eux,l'exposantde B indiquele nombredes divisionspartielles et que celuideAest égal à m diminuéde celuide B; effectuées, on peut doncconclurepar analogiequ'aprèsm divisionspartielles,le resteseraA"°B"–B" ou A''B"–B°'ou bienenfino, enobservant le quotientde A'"–B'" queA"'=i. Conséquemment parA–B est toujoursexact,quelque soit m, et il se compose dem termesqui sontvisiblementdu degrém–i, de sorteque lesdeuxdernierstermessontAB')-B°~ Pourvérifierce résultat,on peut multiplierle quotientque l'onvientde trouverpar A–B, et l'on retombebien, comme onle voitci-dessous, sur ledividendeA"–B' A'+A°"B-t-A"B't-AB°'}.B' A–B_ A°'+A°"B-{-A"B\+A'B'°-'+AB°' –A–'B-A"B'–A"~B\–AB°'–B" A~i~

38 MUKCMs 18. Pourfaireune applicationde la formuleprécédente,cherchonsles
+8

+7

+9

or, les expressionsto'–t~, to'–t',
B'At-O&BM. r_

.1-

w_

39

_7L_.

Lorsquelesdeuxtermesd'unefractionlittéralesont ordonnés par rapportà unelettre commune,on la considèrecommeplus grandeou pluspetiteque l'unité,suivantque le numérateurest atgébriquement plus grand ou plus petitque le dénominateur ~–3o*A–f a–K& M« rel="nofollow"> Dans le premier (n° B<);ainsi, –.–~– ai-62 "i~< a cas, on peutenextrairelosentiersen y appliquantles procédés connuspour les fractionsnumériques.8'it s'agit, par exemple, ~),< de !afraction ondiviseo~–3o't–&' par a'–A', –– on a pourquotienta–3& et pour resteo~'– ce qui permet de t'écrireainsi o&'–~ ou o

.!&+

=_

o. s

A'fo–~

'+ Désormaisnous désigneronssous le nomde /h!<'<«Mt, toute expressionfractionnaireplus grande ou pluspetiteque l'unitéi et lorsquecetteexpressionsera essentiellement plus petite que l'unité,nous lanommeronsfractionproprementdite. ïï. R~M~tMtdes /f<ÏC<«MM leur plus simpleexpression. 80. Onréduitgénéralementunefractionà sa plussimpleex. pression,en divisantsesdeux termespar leur plus grand commundiviseur maisla recherchedocettequantité,qui d'ailleurs n'estpasessentiellepour l'intelligence desthéoriesquenous nous est trop compliquée proposonsde développer, pourtrouverplace ici.Nousnousborneronsdoncà fairevoir,parplusieursexemples, commenton peutsuppléerà cette recherche, dans beaucoupde cas, par la suppressiondes facteurscommunsaux deux termes de la fraction,facteursque l'on aperçoitaisémentlorsquel'on a un peud'habitude. Soitd'abordà réduire la fraction on peutta mettre "–, «C/–
=

M 7v

KttNCtMM (p7)W

·C0Q

dénominateur le facteurae, ce <jnine i'atterepas,on obtient & /-? Soit encorela fraction on voit de suite qu'été peut -;––9, Aa-e' ~'a–c) secnre ainsi –~–-r-, ou bien ––,–-––– putsque a~–e') «'a-t-ei'a–~ aux e*–c'=='a-c) (e–c). Supprimantle fMteura–c commun deuxtermes,il vientpour)a fractionrcduite <. Soit,pour dernierexemple,&réduirea ses moindrestermes ta fraeiton(t~&'e'–ti–M'e* ,––.–– (lue que
0'M.aÈBM.

2" Pourretrancherunefractiond'uneautre, «~M <Mavoir ramenéesau M~Me dénominateur, on soustraitle numérateur de la premièrede celuide la seconde,et on affectela rencedu <<~)omtt«!<et&, et retranchons de ses deuxtermes le nombrek, de manièrequ'elledevienne-"–r

en désignant

par x la diminutionqu'ellea éprouvée par cette modification, nousauronsx == – -r–r d'où,en faisant!a soustraction,

48

fMSMPM

M–o& ?~~

ao–M

M–oA

ou

mettant en

facteurdansie numérateur,z==

'j' f(6–A) Tantque&--a et &–Asont de mêmessignes,,eestpositifet

indique,commenous FavoQssuppose,t'axéesde sur '~–; maissi t–e, A–A sontde signesdifférents,;t devenantnégatif, doitêtre pris dans un sensopposé[n"28), et indiquealorsque -~–remporte sur

;;r

en premierlieu a<: auquet cas&– a estpositif; Supposons ¡ suivantque sera A–Asera positifou négatif,d'oùil suit ~'<MM <M<e cfo« oud~ro« ––y ou ta ta–15 –a o ta ta–o () A–a négatif;z sera Supposonsmaintenant&, c'est-à-dire positifounégatifselonque k sera > ou < &,ce qui permetde conclure ~«'«Mmom~e/)'a<: ou –– ou bten –. ous; -,– –5 < 5–o a 5 -,–s5–15 –to !o Si )o nombreA était égsi a b, on auraita;= ~c=

-,L–

ou

pour interpréterce résuttat, remarquonsqu'une

fractionestd'autantplusgrandequesondénominateur est pluspetit retativetnent a sonnumérateur.Lorsdoncque tenumérateur d'unefractionétant Ont,son dénominateurest infinimentpetit ouo, elledoitacquérirunevaleurinfinie.Ainsit'éga)ité.c== –– foumitweseeoua!==–o9Su~antquet.Cequinous

D'AM&MB.

90 apprendque, lorsque A==:&. ~feMe entre la /)-ae~<Mt donnéee
CHAPITRE VI. FORMATION DES PUISSANCES.

I. G<~
t4

MUNCtPM

m du En général,(a-}-A+c -(- <~ etc.)*,indique!a puissance polynome a-}-c-~ -f-etc. 85.La multiplicationdonnele mo~M d~o~r ««'fMEn Mf<meM< touteslespuissances<<'wne MjffeMtoM quelconque. lecarred'unequantitéestla produitdacette effet,par définition, quantitépar cité-même;le cube,le produitdu carrepar cette quantité;la puissance,le produitdu cubepar cettequantité, etc. En général,en multipliantune puissancequelconque suivante. la puissance d'unequantitépar cettequantité,onformera était négative,on la ramènerait Si ta puissance&développer au moyendu principe au développement d'unepuissance positive du (a"66). 86. Notrebut, dans ce chapitre,sera d'indiquerquelques des nombreset procédéspoursimplifierlecalculdes puissances desquantitéslittérales,et en mêmetempsdefaireconnaîtreplusieursrésultatsdontnousferonspar la suiteun fréquentusage. dMMMR&rM. II. Sur les ptttM<MCM 87.La règle des exposants,dans la aK~<~tM<«Mt, peut sans ~efcw /brmer unepuissancefMef~tM'ed'un
n'ALOÈBM. ~6 __1_z. 'II. ne tju) ~tcucucauiut~um)u)n;t~utpmourecommenton peut abrégerta formationd'une puissancedonnéed'un nombre.Ce procédés'apptiqueélément à touteespècede quantités. 88. ~a j~MMMMce m ~c tu o
M HMNCtPM 2*Ondémontre en arithmétique également quele multiplicandeestplusgrandquele produitlorsque le multiplicateur est suipluspetitquel'unité;ainsiAétant«, ona lesinégatitéa vantesA rel="nofollow">AXAouA',A'>A'XA ouA',A'>A'XAouA<, etc. Les puissances de la fractionproprement dite A, décroissent doncet tendentpar conséquent vers zéro,de manièreque A*<=so. MI.Toutesles pMMMMCM d'unefractiontf~we<~< sont~~M~tMM. 9<.Ainsiles puissances ;i, etc. de la fraction sontréduites&teurplussimpleexpression. Cette irreducMMe vérité,dontnousferonsbientôtusage,s'établitau moyendes suivants. principes 92.J~Of~tt'MM estégaledMMe autrefractiont~/f<ÎC<MMt ductible,lesdeux~rmM premièresontdesMM~t~M == ~mM dela M«Mtde. Soiten ~'e<Mdes<<MMt e~ïet T' T étantunefraction réduiteà sesmoindres D le termes,appelons entreAet B et remarquons qu'en plusgrandcommundiviseur divisant dela elleserarendue parDlesdeuxtermes fraction et la irréductible onadonc deviendraenvertude supposition Tt t lesdeuxmembres de ceséga==a,=. es b, et enmultipliant litésparD, ilvientA==a D,B = bD. C. Q.P. D. 93.yo«
1 1

D'AM&BM.

M

Qet Bsontdeamu!tip!esexactsde Aet de p fn"M) doncB est divisiMeparp. 94. yow< nombrepremierqui ~«)t'« Mac/eme~we pw«MMee~«e~oK~Me
seraitdoncpas irréductible, ce qui est contrela fraction pne la supposition. ÏV.Sttf <M~MMOMeM <<M MMMMWM~. 96.Pour ~ofatefMMe~MwaiMe~entttM~e <wt monome, <
msapBa 48 donc (~A)""=.[(iA)'r. or+A~+A==A'et -Ax-A~.A', (±A/-A' et (+A)"'==(A\=A" C. Q. F. D. ~etMp/M (–5:<==6~, (-M0~==64<& 98. Toutesles puissancesimpaires d'M~equantité ont le ou atgebriquement (+A)" iA"°+'. signeda
C'ALOÈBM.

~Q

!0t. Pour formerle carrédu trinomee-e, UsuMtde changerb en <)-e dansla formule'<)-&)'==a'-{-9aA4-&ce quiproduit (a ~-t-c/=a'+as~-i-c)i- ~
+f+a<.(c+~-t-(e-}-<<)' a'+za~aoc+aa~+~j-atc-f-a~ e'-)-a~+~. En changeantde nouveaud en ~+ on obtiendraitde la mêmemanièrete carréde a~te-j-de.etainside suite <03.Lestermesdesrésultatsprécédents peuventserangerainsi (a+&)'=e~+M< (a-)-&-t-c)'=:a'-)-)-e~-aa&9ac-{-9~< fa+A-rcf d;<+~+c'+a'~9a&+9
M

MMC!PM

Or, a
i

n'At.G<~M.

5<

En changeantdans ce dernierrésultate en e-}-<<, on formerait lecubedu quadrinomea-eet ainside suite. VII. Surles puissancesde degrésupérieurau troisième. tOT.Par desprocédésabsolumentsemblablesà ceuxquenous venonsd'employer,on formeraittisihtomentles puissancesA", 6', etc.des polynomes,puissancesqui se compliqueraient deplus en plus, et dontla loi gcnérateest trop élevéepour être exposéeici. Noustermineronsce chapitrepar tes deux propositions suivantes 408.La puissancem <<'«?polynomehomogènedu degré n M
CHAPITRE YH. EXTRACTtON DE t.A )tA(:tX)! CARRÉE 0)!6 NOMMES.

«O. Dansce chapitre et le suivant,nous traiteronsde l'extractiondes racinescarréeset cubiquesdes nombres,opérations utilesen utgcbreet indispensables dota géopourl'intelligence métrie.ït existe,pourlesracinesde degrésupérieurau troisième. desrèglesnnaloguesil cellesque nousallonsexposer;maisettes it des calculstellementlongsqu'ellessontpour ainsi conduisent

? MtKNPM dire impraticables. Nousnousdispenserons doncd'en parler ici, avecd'autantplus de raison,que pur la suitenousferonsconnaîtreun procédégénérâtpourextraireune racinequelconque d'unnombredonne. I. Principesfondamentaux. m.Za racwe carrés d'unnombreest un autrenombrequi, élevéau carré,reproduitle premier.Ainsi ~=8,

parceque8~64, (~=~; en gênera),quelque soitle nombreP, on a en vertude la définition(t/P;' = P. «2. ~PNsctpB.Zecarré d'unnombrecompOM' de d~aMM et d'unités contientles trois parties suivantes <" carré des dizaines;2" le doubledesdMawMMM~~e'per~MMM~ 3°le carré desunités. Cestrois parttMexprimentrespectivementdes centaines,des dizaineset des unités. En eSet,désignonspar a et & les dizaineset les unitésd'un nombreP, en sorteque P=a.to-}-&, carnnt les deux membresde cette égalité,nousaurons (n'~00;P~a\too-)-Mt.to-}-&' ou p*==a' centaines aa6 dixainesj- &'unités. C. Q. F. D. & t34'===!(t3o-)-i{!'==i6goo-~to~o-t-)6= tyc)56, valeurque l'ontrouveeffectivement en élevant)3~ au carre. «3. 2' PMNOPE. /.a racine eerreea'«tKtomtfcentier, partagé en tranchesde ac)Me&eN de droiteà gauche(ta<" trancheà gauchepeut n'avoirqu'unseulchiffre;,coM<<eK
83 O'AtGÈME. soit P un nomttrecomposéde Mtranches,t~" P Généralement, ne peut avoirplus ni moinsde Mchiffres.<"Sit~tTreofermait plusde n cttifïres,cetteracinevaudraitau moinsl'unitésuiviede ? zérosou ton (n*88 On aurait donc F==ou to"et en élevantau carré,P==ou rel="nofollow"> to' ce (juiest contrela supposition, puisqueto"*étantl'unitésuivieden tranchesdedeuxzérosest un nombrecomposéde n 4-1tranches. 2" Supposons que P contiennemoinsde n chiffres,auquelcascette racineest plus petiteque le moindrenombrede Mchiffresou to°" on aura ce qui est également t~P<: to" et en carrantP< to* étantt'unitë suiviede contrela supposition,puisque
.<" i

`

M

PRINCIPES

chinre8 obtenuainsi, est essentieHement exact.En effet,68.3g tombantentre (~. oo et 8<.oo, ~6873~'tomboentro~(~o ot t~ 81.oo ou 80 et f)o,doncle chiffredesdizainesde t~68.3g ne peut ctre que 8. Si dela premièretranche68 onretranche6~,carredesdizaines obtenues,et si à côtédu reste 4 on écritla secondetranche3g, le nombre~3<)contientlesdeuxdernièrespartiesdu carrédela racine; la premièrede ces partiesétant le doubledes dizaines muttiptiépar les unités,exprimedesdizaineset ne peutse trouverdansle chitTregqui vautdes unités.Elleest doncégaleà 43 moinsles dizainesprovenantdu carrédosunités,dizainesdont le nombreest toujourspluspetitque 9, puisquele carréde est 9 8t. Donc,si l'on divise43 par le doubledesdizaines8, c'est-à. dire par 16, le quotienta sera le chiffredes unitésde la racine, 89. qui serapar conséquent Pour obtenir le restede l'extraction,il faut retrancherde 68. 3<))e carréde 8a, ou, pourabréger,retrancherde ~3qles deux dernièresparties du carré de la racine, que l'on forme évidemmenten multipliantt6~ doubleproduitdesdizainesaug" mentédes unités, par a, chiffredes unités,ce qui donne3~4¡ ce resteest donc43<)–3ajjou n5. On peutdans)a pratiquedisposerlescalculscommeci-dessous 8a ––– -9 tb a 1 5

68.39

«6. Soitencoreà extrairela racinecarréedu nombrede trois tranchesR8.3t).ag.Cetteracineayanttroischiffres(n"<3), contientdesdizaineset dosunités,et son carré68.3g.agsecompose de trois parties(n° dontla première,le carrédesdizaines exprimantdes centainesne peut se trouverque dansles deux premièrestranches68.3g; extrayantdoncla racinede 68.39, ce que l'on sait faire, le résultat8a (nO~6) représente lesdizaines cherchées;actuellement joignantà n5 restedecetteextraction,la troisièmetrancheag, le nombret t5agestla somme

C'ALCÈBM.

66

desdeux dernièrespartiesdu carré de la racine;or, le double desdizainesmuttiptiépar les unitésne peutse trouverquedans lesdizainesnSa de ce nombre,et par conséquentsi l'ondivise t t5a par a fois8a ou 164,te quotientexprime les unités.La racinecarréede (?.99 est donc8ay. Pourobtenirle reste,il fautsoustrairede t<5a<)les deuxdernièrespartiesdu carréde la racine,qui résultentévidemmeat dela multiplication de t6~ par 7; en effectuant,on trouvepourproduitt <5at)et pourreste est doncexacte.Voicile tableaudescalculs o; l'extraction (!8.3Q.!a*. ïooetP<(e+i; !oo; extrayantlesracinesdes deux membresde chacunede ces inégalités,il vient\~P>a. toct ~P< (a-t-t). to le nombreV P ayantau moinsa dizaines,et ae pouvanten avoir-e+t, en a doncexactement a. Il estvisiblemaintenantque le restedel'extraction des n premièrestranches,joint à la M-t' lesdeuxdernières représente partiesdu carréde la racine,et qu'enséparantun chiuresur la droitede ce nombre, la partieà gaucheexprimele double produitdes dizainespar les unités.Donc,si l'on divisecette partiea gauchepar le doubledesdizainestrouvées,ondoitavoir pourquotientles unités. Enfin, pour trouverle reste do l'opération,on multipliete doubledes dizainesjoint aux unités,par les unités,et l'on re

S6 PMKCtfK tranchele produitdu restedes ? premièrestranchessuividela M+t~. Desnumérosprécédents résultela règlesuivante H8. Pourextraireluracinecarréed'unnombreiamoinsd'une unité près,on partage.ce nombreen
O'ALG&BXE.

87

ïtï. Remarquessur la règleprécédente. «9. Dansune opérationpartielle ~Me~coM~we, OKne peut mettreplus de f) à la racine carrée<<'MM nombre.Carsi t'en une y mettrem, ces dixunitésen formeraient pouvaitseulemcnt de l'ordreimmédiatement supérieur,ce quisupposeraitque les unitésde cetordreontété malcalculées. <20.Oureconnutévidemment, qu'unchilfremis~ z a -}-1, je dis que la racinea est au moinstrop faibled'une unité.En effet,la relationI' ==<)- R qui existetoujoursentreles trois quantitésP, a, R peut se changer,à causede l'hypothèse,en celle-ciPc=ou>a'H?-{- C.
r

°

58

PRINCIPES

<23.La raei-necarrée d'un nombreentier ~wtn'est pas un ~re un nombre/Mtc
O'AMÈBXE.

C9

près,on multipliea par lecarré de t3 ou t(!<),on extraitla racinedu produit338à moinsd'une unitéprès, et l'on divisele résultat)8 par <3,ce quidonne pourlu racinecherchée. Pourdémontrercetterègle,soit P le nombredonné,a la racinecarréeden'P à moinsd'une unité,e ja fractionincommensurablequ'il faudraitajouterit a pourcomplétercetteracine,en sortequet~M'P==a+e, divisantlesdeuxmembresdecetteégalité par n en remarquant que~K*P==~P, puisqueMt~F)'P; it vient donc

l'erreurest Pc=' tt + ?en prenant? pour )~P, quantitépluspetiteque

puisquec< t. C. Q. F. D.

126.Pourapprocherde la racinecarréed'un nombreentier par !e moyendes décimâtes,on écrit
PMNCtMS

60

V. ~.c
algébriquement que

ce qui résulteévidemment de ce

~)"(~7'"T'

<38. Pour extraire !a racine carréed'une fraction, it faut distinguer trois cas <° /eï ffeM.ctermes (fe cette /')'ac<
E:Mm~e

taT

6

Dans !e second,CM e<M~ /a fee~e carrée
ce~e<<«~'RoM~a~etO'

à moins de par

qui M<Mae<e.L'erreur eoMnttM M( e/OM moindre que <'«w<~ dtwee par n /()< /
Ainsi, pour obtenir !a racine carrée de

on cherche!a racinede st à

-r-,

et on dinso te 100 près par exemple,

rësuttat 4,58 par 7, ce qui donne

ou 7

yoo

pour ia racine

–– ou –. cherchée l'erreur commiseest moindre que 700 tooXy Pour démontrer cette règte, soit proposé d'extraire !a racine carrée de )a fraction

6 ,r

dont )c dénominateur &' est un carré

parfait. Soit !a racine cM-réede a a

près, et e ce qu'il fau-

0'At.OÈBM.

C<

utut~~wunitMt ~uu) '.u)uptmcrt;mmtitctne,uemamereque 1 /-iir J~ e r+e e« nousauronst/" L~ === JL ~== M &' & & t &' en

prenant

pour

l'erreurest

donc

quantitéplus

petiteque–, n puisque<< n Enfin,dans )e troisièmecas, on rend le dénominateurMM carréparfait, en multipliantles deux termespar le dénominateurOM par tout aM~etjOM&re remplissantle M~e but, et l'on opèreet~x~ecommenousvenonsde le dire. Ainsi, <

t/~ T-~ 'V-T--

.ai – = ~~7 –– -=-~M. .t– à!t moins motnsde -–1 –.== 7 49 7 700 yoo <29.Pour extrairela racinecarréed'une fractiondécimale, on écrità la suite le nombrede zéros convenablepour oM'e~e d~M; renferme fois autant de décimalesque l'on veut en o&tenirà la racine, on supprimela virgule, et l'on cherched moins d'une unité près la racine carrée du MOM~fe entier !<<
$x. jtj..

62

CMNCttM

la racinedoP à une unitéprès,et en séparant? déciméessur sa droite,onaura/'F & près. 10 <30. Pourobtenirla racinecarréed'une fractionordinaire enfractiondécimale, dela réduireeMfraction décimale, <7<x~< et de pousserl'approximation le jusqu'àce que l'onait /ro<«'~ doubledu nombredeschiffresdécimauxque l'on oeM< avoird la )'<MMte. Onopère<M!tt
63

O'AM&BM. YH!. CHAPITRE

j

EXTRACTIONCE LA KAONE CUBIQUE t~HS NOMBXES.

)32. La racine cubiqued'un MOtn&re est«Mautre nombre ~«t, élevéd la troisièmepuissance ou ewte, reproduit le premier. Ainsi t~ay 3, '='

t~

tau – 5 J ~4 N\' -L5 ==–L. ta5

ù raisonde ce que

ï. Principes/<Mt~<MM«t<
64

pa~ctpBs

desnombrescomprisentre to et tooou de deux chiffres,etc.; on pourraitd'ailleursgenératisercette démonstrationcomme nousl'uvonsfuitpourla racinecarréedansto !.n"~3). H. Extractionde

racinecubiquedes nombresentiers.

<35. Lescubesdes neufchiffres1 a, 3, 5, 6, 7, 8, 9, étant t, 8, ay, (i.{,tx5, atG, 3~3, 5ta, yag, réciproquement, cesderniersnombres ontpourracinecubiqueles neuf premiers. Cettetable sulIitpour extrairela racine cubiqued'un nombre d'uneseuletrancheà uneunitéprès.Soitpourexemple, composé &extrairela racinecubiquede 6ty. Cenombretombeentre5ta et yag qui sontdes cubesparfaits, et sa racineest comprise < < entre 5m et ya~ou 8 et 9, donc 6ty -~8 a une unité pr~s.LeresteesKhy–5taou 105. <36.Passonsil l'extraction de lu racinecubiqued'un nombre dedeuxtranches,et prenons,a cet effet,le nombreparticulier 6iy.3ot; h racinecherchéeayantdeuxchiffresfn" 434;, son cube6ty.3ot est composé de quatre parties(n"<33 dont la première,le cubedes dizaines,exprimantdes mille, no peut visiblement se trouverque dans la premièretrancheà gauche \1 6y; extrayantdonch racinecubiquedu plusgrand cube5

B'ALO&BM.

66

desdizaines8, c'est-à-direpar t< le quotient5 est te chi
_4°7__ 48 4~~

<38. Delà résultele procédésuivant,pour extraitela racine 5

J

°

M

"'10

1

fMNCtMM

cubiqued'un nombreentier;on le partage en tranchesde trois chiffresde droite à gauche,e<~'oaextrait la racine cubique duplusgrand cubecontenudansla première3a*-t*3a-}-t,jedis queaest aumoins tropfaibled'uneunité. En ejïët, l'égalitéP=a'+ R qui est la traductionde la preuve,se convertiten vertude l'hypothèseen P==ou><~+3a'-)-3a+t, ou bientn"<08/ P=.ou > (a+t)', 8 d'oùl'ontire aisément\/P = ou> a-t-t. C. C. F. D.

O'AM&BttE.

tt7

IV.~<)'sf
t

<

/'5'ti,etc.

4 A3.Pourapprocherdela racinecubiqued'un nombreà moins d'unefractionprès, onle multipliepar le cube(/M<<~omMo<«()'de cette /rae<
68

tMNCtfM

autant de
Or, pour cela il faut mul-

tiplierP par le cubedo t o"ou o~, extrairela racinecubique du plusgrandcubecontenudansce produit,et diviserte résultat par to" (n" ~43:. Ou, en d'autrestermes, il faut extraire, à une unité près, la racine cubiquede P suivi de ? tranches de trois zéros, et séparern chiffresdécimauxsur sa droite. C. Q. F. D. <4S.La racine quelconqued'un nombreentier ne peut ~re e~W~eepar une fraction
!)'At.OtBM.

69

Dans)c premiercas, on extrait la racine cubique des de
a? a? '–––t=!––==T. tx5

3 5

'au

Dansle 2*cas,on cherchela racine cubiquedu numérateur et oKla divisepar celledu <<eMOMHM«'wf par
TO

En OHbt,

MtNOMS

t t = t/ '0.450.000 :)- t/i~lU, to~SV t00 t.000.000 < m.~o.ooo '–')'–––––––'=='–––––––'

to.ti5o.noo

'–– too t ).000.000 La démonstration générateest analoguea celleque nousavons donnéepour!a racinecarrée,danste numéro<29.
et comme 6 est une fractionirréductible(n*96), il fautessentiellement que A==a",B==~. C. O.F.J?. <&t.La racine d'«)t deyr~~M~eoM~Me d'MMe /hM
P'ALC~BM.

7<

VI.E;P
CHAPITRE IX. DESEXPRESSIONS EXTRACTION DESRACINES ALCÉBRtQUES. <83. OnappelleracineM* d'une quantité, une autre quantité qui, eteveeà la puissancem, reproduitla première.Cette tx m ainsi ~/P signifie opérations'indiqueau moyendu signe racinewt' deP.Il est importantde remarquerque,quel quesoit met P, on a envertude la définition/'P"~==P et (\°~p)°'=P. Nouscommençons d'abordparfairevoircommenton peutextrairelesracinesdesmonomesen renversantles règlesde la formationdeleurspuissances;nouspasseronsensuiteà l'extraction desracinescarréeset cubiquesdespolynomes. ï. Extractiondes raetMMdes tMM<MHM. <54..Pourobtenirla racineN~ d'un monome, extraire il /cMt< la racine m de son eoe~CMtt< et ~<Mf
<'M!
m

~4
e"fc"= a~e', t/~C"'o"==C
~'8~=aa~;

0'At.OÈBBB. t

a__ 8~= <

a,

t a__

a 8

'73

==.

–a,

~
a&

t

0

t/ –a~"==–e~, a< – M,~'–a'~ ==–a't. 188. ?'OM<e racine de degrépair o'ttse quantité ~o<Me n'existepas. En effet,si unetelleracineexistait,elle seraitpositiveou négative or, c'estce qui ne peut être, puisquetoute puissancepair d'une quantitépositiveou négativeest toujours auectëodu signeplus (n"97,. Ondonneà cesexpressions )c noM< d'imaginaires,et paropposition,ondonneceluide quantitésréelles, aux expressions ordinaires.Ainsit/'––(, quantitésimaginaires.

t

e

/a",

)'–a'

sont des

459.la racine m~' <MM produit, égalele produit deyraCMtM mdes /
~AX~BX\~C.

En eu'et(n"99~

f.~Ax ~Bx~C.)"==~A)'"x '~B)'"X '~C)" ou (n~83), Il III III C. 0. F. D. ~Ax.~Bx~C.)"==.AxBxC. <60.ï'o!<<e du seconddegré est de la ~M<:M!«e'îm<<Matfe f~< comMe~Mra~ /brme~:q\~– t, q ~aK
MMCtCM

Il. ~fae~'om de la racine carrée des

po~Mo~M.

~<. Avantd'énoncerla règle, nousdémontreronsle principe suivant,sur lequelellerepose.Si l'on fe~aMc/<e carré des n premierstermM sa racine d'un polynome car~e, mier terme du reste M~nme double produit du premier <enM c<«eracine, ~or n +1' (On supposequecepolynome,sa racineet le restesont ordonnéspar rapportaux puissancesdécroissantes d'une lettrecommune.) Désignonspar P ce S polynôme,par lesn premierstermesde sa racinecarrée,et par T la secondepartiede cetteracine,nousaurons ~/P;=84-T ou en carrant(n"-t00;,P=S'+.ST+T'. Retranchons S"desdeux membresde cetteégalitéet mettonsT en facteurdans le second, nous obtiendrons l'excès du P-8'==(9S+T)T; P sur lecarréS'des ? premierstermesde sa racineestpolynome doncle pro. duit de 2S+T parT, produitdont le premiertermeestévidemment le doubledu premiertermede 8 multipliépar le premier termede T (n"M', c'est-à-direle doubledu premiertermede la racinemuttiptiépar le M-)C. Q.F. D. '<62.Actuellement, pour extrairela racine carrée d'un polynome,on l'ordonnepar rapport d une lettre, en commençant hauts ~ar plus exposants,puis on extrait la racinecarrée de son premier<erme,pour aoo< premier terme de la racine (n*<09). On supprimele premier terme du polynome, on atMM termedu premier reste parle doubledu premier termede la racine, et l'onobtientpoMr~!
O'ALCÈBM.

76

Mfm<<~we'par /e double du premier MfMteae racine en fournisle quatrième(n° 16<),etc. Si en coM<
3" Reste.

–tM'~+4a~+4~ ëe'A~–ao&*–a&~ -af –!90'~+4a&~+4t'' o

<63. Les termesextrêmesdu carréd'un polynomeordonné etM.tégauxauxcarrésde sonpremieret derniertermes(n"<09;, il s'ensuitquetout polynomeordonnédont lestermesM
TC

fMKOPM

/nM~M'n)) <ï ~ft< ~m« a
ni. J~f«<~MMde la racinee«&<e des~o/y~omM. <67.Si <'oMretranche d'MH polynomele cube desn premierstermesde M ~octoe, premier termedu reste e~~ produit<<<( triple carré f<M premiertermede cetteracinepar le nt' 'Onsupposecestroisquantitésordonnées par rapport aux puissancesdécroissante:! d'une lettrecommune SoitP le polynomeen question.S tfs ? premierstermesde sa racine cubiqueet T ce qu'il faut ajouterù S pourcomplétercetterat. en cine, sorte quo P=S-t-T. D'où, en cubant (nO
O'ALGÈBM.

77

<68.Delà résultele procédésnivantpour extrairela racine cubiqued'un polynome,0~ l'ordonnepar rapport aux N«MMMCM ~cfo<Man~ d'une lettre, e< on extrait la racine CMbiquede son premier terme;le résultat est le premier terme de la racinecherchée(n''<09 On supprimele premier termedu polynomee
'mn~rca MMMtPEit

Réciproquement a'==/'?,

(
<7<.QuelqueM< ox ou < i doncaussi~A= <eou o selon queFonaA>ou
~OMtt~MM
8~=/==/~==~. Soit en secondlieu i'oxpressiona-~ dans laquellel'exposant est u la fois fractionnaireet négatif, nous aurons –.S < p q a -'==~ mais (n" 66) <=-i-,donca'== )L~ p

ou bien (n* ~7), a'T==,––. ~V

“,

Pour évatuer<

il faudra

doncdiviserl'unité par la quantité\~ca!cu!ee commenous venonsde le dire. ~ew~ r,

_jL 1 ,a5'

SoitencoreMpressiona q &"

·

O'AMÊBBE. _al. 1_ au même

~.I.J._A1_enréduisant les -1..

79

ona dénominateur, exposants -& e -"a
donc ou

a"&b

t' °=~~

à causeque (n"66; a't"== E.f. a' &" =.a~ A"~ra~==

t/

II. Propriétésdesradicaux. n3. Ottpe«
En ef!et,aT& ==o''& ==a

m

<)

&°=/'o~.

Ez. 3/'9'=/9~8,

C. Q. F.

e'6-)~a~,

a i- b !~)~=~ a b <'74.Pour faire Mr<M' un facteur de dessousun radical Jtf degrém, faut e~ extraire racine m' ainsi, m m /'a'"t''==eP/ m

En etfet,

t

~'J<==


M

/'
~.C~=

t~I

~(.

=

)/

<7S. CMtte changepas la valeur <~ radical en m~
80

PMKNPM ~Mtttou en
la

8

E.r. ~'a~=/'o~ ~a")' ~aT~. "'°m IIIn,f! qn of 1 ro ~~s~earr tt~~a~&S~ Lx. rW'= ~'(t~, t~<–aat-j-~== ~r~ /'aTA. !H. Simplificationdes radicaux, no. Réduireun radical à sa plus simple ~rMwM, c'est trouverun radicaléquivalentdont l'indiceet les exposantsdes facteurssoientpremiersentreeux. 177.Pourréduireun radicalà sa plus simpleexpression,il diviser son indiceet ses ~OMH~ par leur plus grand faut commun~Me)tf. Cetterèglerésulteévidemment de ceque l'on n'altèrepasla valeurd'un radica)en divisantson indiceet ses exposants par to mêmenombre.n8), et que d'ailleursles quotientsquel'onobtienten divisantplusieursnombres le par plus commun s ont grand diviseur, toujourspremiersentreeux. ¡ « Soità effectuercetteréductionsur ie radical/'a~c~ to p)us commun d iviseur e ntre grand ta, 9, 6, m est visiblement 3 et 1 « t par conséquent/"a'W'==~ Ontrouveraitde la même « manièreque~< ==/'a*&. ~78.Onpeutfairesubir auxradicaux-une simplificationd'une autreespèce;elle consisteà ramenerle radicaldonnéà un autre danslequeltouslesexposantssoientpluspetitsquel'indice. Pourindiquerd'unemanièregénéralecommenton peuteJTecm tuercettetransformation, considéronsl'expression /*Ca~ dans laquelleC désigneun coefficientnumérique.Décomposons d'abordlenombreC en deuxfacteursK"et H, de sorteque la pre-

C'AMÈBM. 8< mier K" soit une puissanceexactedu degréw. Divisonsaussi les exposantsp et par m, représentons les quotientsobtenuspar et t et tesrestesqui sontessentiettoment plus petitsque m pur et i, ensortequep a~ substituonsdansle ~= m~ radicatdonné,R° M,Ms-{-<,m<-}' < auxtroislettresC, p, y, il viendra w

to

/T:ot~i'==

/'K"H
m ou = /'k"a""t"'Ha~ a)_

ou bienenOn(n*<74) ~Cs''& = &a' Ho'< ce qui raMene ainsile radical a ta formedemandée. ~j'emp~M proposé ~'aW==)' 'c~*c~'==c~ a~*?. a ) /'t~==/'83a'6'==~8(t'X~ao~&((<&' ~oi~ IV. 7Mcft<e
82

PMNMMB A
«

ou /'64oS, ft~, Ensuivantla reg!ogenerate,l'indicecommunauraitété a x 4 X6 ou/}8. V. 7{a~;caMt' ~em~e~M. < 82.Onappeitefa~'eawz«'mMe~Mceuxquiontmêmeindice et mêmequantitésousle signeradical,quetsquesoientd'aittears < a leurseoefEcients; telssont3<5
D'JttOÈME. 83 f<M< lesajouterOMlesreCMdes ~t!M <*ot)~atM<, ~e/o~
t

–a aa~ –a&c 3) ~P – i~c. ~e~/c de ~aMM$
t

b

TH. ~M~<ea~'oM<~ fa(/:ea«.r. ~86. <" l'ourfairele produitde ptusieursradicauxdomême indice, on mK~<e entre c//M /oK<Mles ~<<s«<<'
m

m

fK

m

t~A X ~B X~'C X ''D. etc. == AxBxCxD. de ce que la racine d'un produit ce qui resutteévidemment égatele produitde la racineMde chacundesfacteurs[n*<S9). ~
a

a

s 3at X ~ya'~== a7~~V= a ~a~c". '~a~ a–A a'.j & !'a'+/=="a-j-A /'oT< -&') = a~ (a'–(a' 2" Si les radinauxqu'i! s'agit do mu!tip)ieront des indices eyfoMop~fecommeCM diuercnts,onlesf~!«< au M~meMM/tce men(de <edt'fe.Exemptes R 3 6 6 o /'6 =. t X ~'&' =='P, e )« te to tt /'M~ x~ ~=y4"~X ~~3~~ /'gyaa' 'a~gyM~

M

HMttCWM

VtH.Dt~MMW des r
a

r~==t~,

< aa 6

e

e

~F Va-b

t~~ = ~a~&. o-t-6 =Va-h.. 2° Si lesradicauxà diviseront des indicesdifférents, on /M ~Mt< au M~e tMJtce,et ~o~ o~< commee~a o~< ~f< dt<. Exemples Il a o Il .r¡¡r :Vatb= ~a'j~=

\/a:~==~=~,

10

V2ab!: Vï¡b= V-4a'b6:V a~b5= ~4~=. = /'M?:y'4~== a6

10 e

JX.fOMH<[
quelquesoit A.En eCOt, ~AX~AX~A.

ou bien(n' 486),

P'AMÈBM. m

n

8S

m

m

n

m

ou bienenCn,(j~A)==~'A°.

(~-A) ~~AXAxAXA.

(t/'
2" (~)'=~A;

(/-A)=:t/-A.

(~/a~y)

(5
= \/a~

=<95<3a~

X.E.c<)'ac<
Il

BiMM~Mdu 2'*pfOC~. ) ~=8e~=/'IlM~

~~a~~M~

<90.Il résuttedu premierprocédéque m

1' V"A= r~=7A; l~=trïl, d'oùl'onconclut,en renversantt'égatité, ~A~A, l`A=V-'A, ~~==

rA==

~T.

n=.

~rA.

rA=-

e~. etc.

~T, etc.

80

PRINCIPES

yttMt~'ottpeut ct~cMt'rla racine 4* <<
–o

A

[

O'M.&ÈBM.

87

492. Pour formerles puissancesd'un imaginaire du second degré,on peut faireusagedu principesuivant ZM~«W
<.(~=[(/t)4]~

i

~(~'–')')~X~t; 3. (/)'<+'~

i

(/-–!]~'Xr-'==/'–'Xt~==-t;

4. ((/-–,)W~(~)'1+'Xr-t–––!

X/'–!==-

Celapose,soit&formerla <4*puissanceoe ;/–a, on remarqueraque /*–e'=')/'o/– et queparconséquent(y–-a)" == ~'o/* (/*–!)"; or, (/
t~'–t (,(,–,) – a/'–t 2 –~

t-(-t)

M

PMNCtPM

XII.Calculdes ejf~oMK~ /foe
p a"X
M~- p m j~ 7~a?:a')s=o? m\'

<

JS.


e'==0" ~) ==«' n et q sontdes nombrespositifs,m et p des nombresnégatifs ou posHib, en sorte que –, S sont de signes o quetconquM. tt En eMet, PI p9 p. q .q "'1

~
S+E

t=ta'")"!===a"'). '° i ~'a. :a q =V 2<==,==~

N+t. "'1 /altllf

9 11<111<1q alD: V' QP-V' alfl
=:/ 0'*<ep =.. a y n)\t /n _\t a__

e

–j~

<==:?" M

(II~a°'~am)~ 0 am°--a ==~ a'"==e °s 3° Ca )' == 3" ~a'

.<

4'~

°*

m

a'==~ ~o"==!a''=.a"

~95.Ectin il est évidentque <M<M~M~~M eoMCMMMMtt eMj;e~oMM~ <MeomMtetMM!'at~M, puisqu'onpeut leur substituerdesexposantscommensurables qui en diu&rentd'unequantité plus petiteque toute qmntite donnée; l'esprit d'analogie conduitmêmeà admettreces règlesdans!e casoù tes exposants seraientimaginaires. fttt DU MBMtM HVRB.

89

B'AMÈBM.

VI. SUPPLÉMENT AU CHAPITRE D~OM
~j.L. t.a o'

t.a a' &' & t't.si.a'!

+ ~L t.a.3

t.a.3 a< a &< (e+~< f t.a.3. °"t.t.3.t.a.3 !.a3*~t.a.3. etc. D'oùt'en peut conclurepar analogie,quelquesoitle nombre entierat, a' a"' (a-}+ t :.a.3..)M !.a.3..tK !.a.(w–t) &' ?"+' a* t B~.
90

PMKMPM

~j~m–n ––– sion ––;––-t est nontmëoterme o~e'fet du fa)to t.ti.M t.a.w–Kj ?t-)-i, parcequeen posantH o, M <, H==!<,?' 3, etc., on obtientsuccessivement les différentsterniesdont ce deveioppementestcompose. ABnde dissipertes doutesqui pourraientrestersur ta tcgitimitHde fa loi genemieù tuquenenous venonsde parvenirpar nousa!)onsfairevoirque, cette ~o

.a-!&

t.a.(m+~ ù cet efîetles deuxmembresde t'ëgatite(Bjpar MuttipHons 'a 4- ~+' te membre devient-~––'–et <{premier s{, pouroviter t.a.t?t les calculs,nous nousbornonsit considérerdans le secondle termequi est affectade &°après !a multiplication,on trouve qu'ilprovientde am_p am_r b~r Xb3 ~-Xa+, !.3.?–?-}-)) t.a.– !.2.(
!.&?

Si tel est !e termegénéra)du développement de ~––'–,

i!

est visibleque le termegêneraide celuido –'–.–,–est t.B.(M-t- ))

C.D. ).? Laloi dontil est questionse veriHantpourm==tdoitaussise vérifierpar M==ajt ou3, et par suitepourfn==3 tûu etc.; doncelleest genëraje. les deuxmembresde t'egaUté(B)par actueiiement Muitipiions !.a.3. ? et omettonsles facteurscommunsaux deuxtermes de chaquefractiondu secondmembre,il vient ––~–––~ t.a.()H–?+1] 1

O'ALGÈBM. ~+tM" b

R'

M m–t .m–n !-< t.a.?t–t;

f.~

M e-i-

Mim–~m~m~~t ~K.3"t

i;

a'

a~ -Ma~i(c !i. C'estla <'<&re/brmM/e dit &t')!ome de A'e:t'
a° et

!? t.a.m !.9.(M–M) t.a.(m–!t) de ja proprietHénoncée.Donc,cette projouissentévidemment anssià ta formule'C)qui, commenous l'avons priétéconvient va, se déduitde la foi-mule (B;par une simplemultiplication. En comparantdansle dtMoppemcnt de ~-i-6~°'le termedu M[m-~ (M–a;?–H4-! -i; M~) rang?+ terme -L~r_

93

O'ALGÈBM. PRINCIPES

b°- on trouve f !ra- ) a~°^~` d'où que le premiereg~o te secondmultipliepar ?' il suitquepoMfc~twe ?? terme~~eott~Medu pf~<MtH<, t< de a JaM
celui de

t. a. ~t-a

m

s'endéduiraon changeantb en &+e et

~4-e)°

sera ––.––––L or, te termegenëratdu rang<4-t de a.n t.a.w' t.a.(w–?) A' < f& 4- c' L-i– '––– est –––;––f donc le termegénéra!de t.a.tt !.3.f i.a.jM–r) · ~°' c' o" (a+&+e)" ost bien ou 1.2.m !.a.m J ( a.(m–M) ) t.a.(?–)') ;.a.f & –––c' en posant ta–tt'=ae,«–)'==~ g –––
de

'–'–-–'––

est

–––

'––

––

–––. t.a.<' t.a.nt t.a. !.9.t.a. p -)-g )f -}-<étantégalà m, etc.; do ta il estfaeitodedéduire despolyune règtefortsimplepour la formationdes puissances nomes.

LIVRE SECOND.

KtsMtjneM DESPROBLÈMES ETDESÉQUATIONS. CHAPITRE NreïMNa t&tt.ïMtNAtHza. J. Résolution des problèmes. 496. Un problèmeest unequestiondans laquelleonse propose de déterminerune ou plusieursquantitésinconnues,& J'aidedes relationsqui leslientàd'autresquantitésconnues. Ces relations,qui constituentl'énoncé,sont plus ou moins ditncitesà apercevoir, et se nomment conditionsdu problème. 497. Les conditions d'un problèmepeuventêtre e~'ct~M ou ellessonte~Mc<<M se trouventcomprises <Mt~<et<M )orsqu'eHes dansson énoncé,et M~t'c~M,lorsque,sansy êtrementionnées, ettesensontdes conséquences plusoumoinsimmédiates. <98.La résolutiond'un prob!ème toud'algèbrese compose joursde deuxparties La premièreconsisteà saisirlesdiverses conditionsderenoncé, et à exprimerchacuned'ellesparuneégalitéqui prendalorsle nomd'équation.Celas'appettemettrele problème ew~M<:<
M

PRINCIPES

deslettres ( ceM)K<M'<
D'AM&BM. 98 <*Unproblèmeestdéterminéquandil a unesolutionou un nombrefinide solutions. Te)estceluiqui vient(t'êtrerésolu. 2" Unprobièmeest indéterminéquandil estsusceptibled'une infinitéde solutions.Envoiciun exemple ~~ye a 3o ans à la naissancede son ~h a queloyele fils aM?'K-f-<< 3oans de moinsqueson père? Cettecondition se trouvevisiblementremestdoncindéto'minu. pliequelquesoit l'ugedu fils.CeproLtcme 3" Un problèmeest impossible quandil n'a aucunesolution. Ex. Unpère « ~oe!Mà la M«MMt{ce de son ~Me~ d~ele fils CMM-~ 3f3OMde mo~ que son père?Il est manifeste lieu,et quepar conséquent quecetteconditionnepeutjamaisavoir cettequestionest impossible. II. ~'o~<M!t généralessur les équations. 802. Uneéquationestl'expression de t'ëgaiitéde deux quantites.J?it-.5a'–~=8-a-. 203.L'ensembledes termesqui précèdentle signe d'égalité formele premiermembrede l'équation, et l'ensemble deceuxqui le suiventen formelesecondmembre.Ainsi5.):–~et 8–w sont le premieret le secondmembrede t'équation5.t–~ 8 – 204 Une équationpeut renfermerdeux ou un.p~ grand nombre<~McoMtMtM. Es. L'équation ==;<;–
96

PMNNMM

En généra!,résoudreplusieurs~Ma
s

savoir l'<M
B'ALGÈBM.

97

le plus haut exposantdo l'inconnuedans cetteéquation.Ainsi, 5~–~==8–if est uneéquationdu premierdegré, ~*–5;r<=='–6 uneéquation du deuxièmedegré, et~–~a:'=too uneéquationdu troisièmedegré. le degré d'une équationù plusieursinconnues Généralement, estla plusfortesommedesexposantsdesinconnuesdansun terme quelconquede cetteéquation.Rr. les équations3.f'-a~<==5, du preMtw, a'y–z–~==5, -y''==7, sontrespectivement du secondetdu <~«~medegré. 209. La résotutiondeséquationsse compliquesingulièrement a mesurequeleur degréaugmente nousnous proposonsseutementd'en développer h partieélémentaire. ni. Transformationdeséquations. 2<0.On a pourbut dansla transformationdeséquationsde les ramenerà une formeplussimple, et par là d'en faciliterla résolution.Il ne seraquestiondans ce paragrapheque destransformations communes a touteespèced'équations. 2'H. Pourfaire passerun termed'unmembred'uneéquation dansl'autre,il faut supprimerce termedans le membreoieil se trouveet f~enredansl'autre avecM)tsigne contraire,En effet, supprimerdans un membreun termepositif ou négatif, c'est diminuerou augmenterce membrede lit valeurabsoluedo ce terme; donc,pour maintenirl'égalité,il faut aussidiminuerou .augmenterl'autre membrede )a valeur absoluede ce même terme,c'est-à-dire l'y écrireavecun signecontraire. Premierexemple.L'équationya*–ge=e3a;–5 se changeen en faisantpasserte terme3a!du secondmembre y;)!–3.r==:9–5, dansle premier,et le terme–g du premierdanslesecond. Dex-r~meexemple.L'équation transforme M-t-~e–<~se en a.c-t-
7

M

KtMCtPM

nairementcettetransposition quand tousles termesaffectésde l'inconnuese trouventdansle secondmembre.Ainsi,l'équation 3=-;t'––-fournit toutde suites–==3. 5 5 2<3.Onpeut, sansaltérer «Meéquation,changerles signes detousses<efmMcarcelarevienta transposerlesdeuxmembres, puis à faire passertousles termesdu premiermembredanste second,et tousceuxduseconddansle premier.Ainsi,t'cquation –


-L,

– réduitsau mêmedénominateur,

et par suitel'équation deviennent-~–, – ~–, –L,~L, donnéedevient tSr !8.)! ao.f a!o 3o 30 'To" '3o"' ou, en supprimantte dénominateur commun, t5.r–t8;f-{-!uo'=!ao.r. Soit, pour deuxième exemplel'équation 3t.c c'.f c
P'ALO~BM.

09

(M, aa'& ~o'; multiplionsdonc les deux termesde chaque fractionpar le quotientcorrespondantet le termeentier par tao~it vient )aa~' J~~L-jL~ t9a'&' tM'tHo'&tM'~ Hta~' et, en omettantle dénominateur commun, = ~–tM' ()
==~

lescalculsindiqués, d'où,en effectuant a~–a~–i-{-~==.f-{-t, x- t équationdu7' degré. 2<5.Si l'équationdonnéene renfermequ'un seuldénominateur, il est membrespar ce simplede multiplierses <<<<<;t dénominateur.Ainsi,pourchasserle dénominateur del'équation .T –teaa.r-t-.), on multiplietous ses termespar y, ce qui donne.f–y== t~.e-{-35.

CHAPITRE II. ÉQUATfONS ET PnonLÈMES DU fnKMtER DEGRÉ A UNE SEULE

tNCO~tJt:. 216. Avantd'exposerla méthodegénératepour résoudreles équationsdu premierdegréà uneseule inconnue,nousallons faire connaîtrequelquesprocédéstrès simplesqui reviennent souventdans les applications.

<00

PRINCIPES

I. ~/M pour dégager l'inconnuedans une équation du premierdegré, 2t7. L'inconnuepeut, dans une équationdu premierdegré, être engagée, avecles quantitésconnues,de quatremanières [ 2'' par soustraction;3" parMM/différentes<° par
U'ALG&MK.

«M

On peut conclurede tout ce qui précèdeque lorsquel'inconnue est engagéepar ooted'une opérationyxe/eon~we, OKla dégagepur l'opérationcontraire. S<8.Si l'inconnueest engagéepar plusieursopérationsd la /bt'
-==ta; ~=6;

A"en les multipliantpar 3, .c==t8. Pour vérifier,remplaçons ;c par t8 dans t'équationdonnée; elle devient t a.t8 ou !!==! q-f-–––5==!! ïï. Résolutiondes équationsdu premierdegré<}une seule inconnue. 2) 9.Pour résoudreuneéquationdu premierdegréà uneseule les quatretransforinconnue,on lui fait subirsuccessivement mationssuivantes <" transformation.On fait d~ara~re tousles dénomina~MMde l'équation(St~) 2* transformation. Ctt transposedans le premiermembre tous les termesaffectésdel'inconnue,el dansle second
<03

fRMCtMS

<* tr&nsfornMtion. On dégage l'inconnuede son cc~cte~t par la ~tOW'OM t~ i. Pourvérilicrsi la vaieurtrouvéepour l'inconnuesatisfaitli l'équationdonnée,il faut voir si ses deux membresdeviennent cette CO/eMr à la égaux lorsqu'onSM~/<
5.3

u.a

5

5

Soitencoreproposéde résoudrel'équationlittérale &c ]'–a~ c/j' '-r=-T-! << de on en tire <
(a)

des conséquences im220.Leséquations'a) sontévidemment médiatesde l'équationdonndR;[)onrexprimercettecirconstance, danscelle-ci. on dit qu'ellesreM<
D'AK~BM.

<03

ïtï. Résolutionde plusieursproblèmesdontles donnéessont MM!M~«j'MM. 22t. PROBLÈME. Ondemandaita fy(Aa~ofecombiende disson école.Il fit cette réponseaMt&~tte ciples/fe'~MeH
piècesde 5 fr.; or, la différenceentre ces

<04

PRINCIPES

deux.nombresde piècesest toa; donc ;c x -=='oa;

équationqui fournit < ~a?M.u~–aa!=' tuxu; ~
B~GÈBM. 1

~06

équationd'où l'ontire <"
~–a

on en déduit < MM. 3y-)-t5~8; 3' (MM.–y==-a3; 2' ~CM~. 3y–8; 4. ~a~. On trouvedonc,commeprécédemment, que cettepersonne possédait23 Fr. et ~M't(y ocet
<(?

PXMCtPEe

336.Pttoet.ÈMti. t/4 por
et on ajoutantles )oo l'autre ~)100 intérêtsdeces deuxsommes,on doit visiblement retrouverl'intérêttotal donc 5x 7'35/!–.c') '-20' –– tou t––––L==ao; too équationd'où l'ontire 3'
`

D'AMÈBM. rowerw

a donc
<~Mdeux

ta;

e(, ett y
chiure des unités; vaut lofia–.c -)-;c;

t o( t B–j

-)-:
unités,

celui

«H a t

~o«M e< ~'M< fcpo~ d'wK Mom~M e~<

c/t<e<

pour somme «M ttom~e ~«w «? or<<~ f~oerM. des dizaines

est

ot ta–.f, si l'on y ajoute 18, !a somme composée de a- dizaines et de z–e

8 doit être et par conséquent doit égaier

donc

tox'-}-!x–.f;

!Mo–to.r-)-<['4-t8==to.)--4-tx–iB; d'où t"

(r<M!

Eito est eCectuee.

2*
3* ~
t8~-==–ta6;

des dizaines

4''(f..f==y. est ta–you

PttOBLÈME.

eom~e'K~o/ oe«<
ce ~c')!cr
230.

Pxom.f:ME. ~cAt//(! oo ~tr /bM ~/M <'i<e t/M'MKe tortue ~
ta tortue; )'on aura t'équation

doit parcourir qu'Achille cette dernière aura fait alors ~–!

A-== to(.<;–t)

OU.f == to~-–

10;

pour at1 lieues et

<M

PMNCtPES

d'oùl'ondéduitj-= de lieueou .
a–

m

n,

d'où,en égatantle produitdesextrêmesà celuidesmoyens, tn:==t)t(a–a;) ou MiB==ma–tM; équationqui fournit <" <M<M. Elleestenectuée. 3'
D'AMÈBM.

<09

==. ===

Lit 2' La 20 partie ca~e a-x=ama

m-j-tt -+ m-t-M Pour faire une application de ces formules (6), posons a~ m n = 3 et substituons; elles donnent

t~,

==, == 8,

1< paWte =,

2' pa~'c ==== 6. 4+~ 4+3 4+3 4+~ 2" Soit à partager Je nombre a en trois parties proportionne!!es aux nombres M, n, Représentons !a 1 partie par .f, !a 3" et }a3* se détermineront au Moyen des proportions .<2'~a~te::m:n, d'où l'on déduit 2< ~f~

.c:3'paf(te::m:p;

==

3'' caf«e'== m

m

or, )a somme des trois parties .r, m nombre a; donc

m

doit reproduire le

tx M =a; f4 ~+~+~==a; in équation d'où ron tire successivement <"
3*
2' 21,t-ratu.
40

Le 2" pe~e

?

~.p

?

ma

–~–. w+M+p Ma


M)===),nc=a,

p

et substituant,

ou

<" ~ar«e = 5, 2' p
=


PMNOMS

entre les nombresa et et donnés;a–* exprimeta différence .ï h différence entre-r et b. Donc a–-f ~–~ a b, d'oùa c–a&T~-o~–f; résolvons cetteéquation 2ab == = 21,el 2" 2° 3eerans, x et 3' et Iran$.i(?-{-&).
C'ALOËBM.

«<4

équationd'oùl'on tire,en observantquea;*–c=o, a'–~ a*-)-.<' .t.=~–I–et a-a~=-– :a aa le problèmen'estsolublequedanslecasde A<; a'; car si l'on avait& rel="nofollow"> a*, la deuxièmepartieserait négativeet la première a'-4-a* ou a, ce qui est absurde. plusgrandeque ––– 2a 235.PnoBLÈME. d'eau saléecontiennentb kia kilogrammes d'eauaoMee.~oMf logrammesde sel combien/aM~:7~'a/'oM<«' du Mc/an~c, y ait d kilogrammes que,sur c A~o~fammM de selP Soit.f ce poidsd'eaudouce;le nouveaumélangese composant de (a-r~) kil. sur lesquelsil y a &kil. de se), contientévidetnde sel parkiiografnme c kil. de ce mëfanserenment -–– a*p*' bc, la valeurde .r est négativeet par suite le proMeme~o~M~~e; posanta==ïo, b=3, e==y,a==i,5, on trouve .e==4M. 236. PROBLÈME. Unjardinier avait plantédesarbres à tous lessommetsd'un polynomerégulier donele contour est de a m~M; we'coM<ea< de celteaM/)o
«2

PMNNPM

gueur,il n'y a plus que
2* trans. a~–

==a

237. PROBLÈME. Un cAa~~Mrpromet à un autre de lui donnera /r. touteslesfoisqu'il manqueraunepiècedegibier, e
f'ALQ
413

jour, il lui faut–jours pourfairesa route;mais,de ce qu'alors il est en retardde b jours, il suit que & est l'expression – atgébriquedu nombrede joursqu'onluia accordé;on trouverait par un raisonnementsemblableque ce nombrede jours peut aussi être représentepar-)de ia résulte < -~–j-+~

)

équationqui, étant résotue,donne!e==. ~-i~l; on en déc–a duit aisément~-&=-±~. a

e–e

239. PROBLÈME, Trois fontainesremplissent la première, «Mbassindea litres en /«MfM;la ~
et commealors < w ~-titres, n il doit être rempli,nous aurons j. 4. r+~+'v" équationd'où l'ontire ~M<< iC== mMa~-M+/M< les quatre 6(tMMM «Ht< d'égale capacité, auquel cas a==:~==c~d, cetteformuledevient ~"
tMMCtPM

Sil'onsuppose~=='~=:M,cettemêmeformulese changeen celle-ci M M t-~+~ -'== o+~+c"' Sil'onfait en tnefnetempsles deuxsuppositions précédentes, on a ~a < ~~+~+~==TEnfin,s'il n'y avait que deuxfontaines,il suffiraitde supposer, dansla formulegéneratede ce problème,c==o; ce qui donnerait /nnt<< lmd MM t M ma-t-~ 840. PROBLÈME.réservoir contenanta ~rM, peut se rempliren b heures,en OMtfatKle robinet d'une fontaine, e<se ft~r d et c >- b, ou bienlorsquee<<<et c<&. Si <
O'AM&BM.

«&

V.Exe~ctCM. 84t. /MMeMles ~MC
8

~3~. 2-+~

~==..6~.

30
c

~–––– a/–c~

'r '
«6

PMftC!PM

tain ttow&ye de
CHAPITREni. ÉQUATIONS ET

PROBLÈMES DU PKEMtER MGMÉ A PLUStEURS MCONNUE8.

280.La résolutiondes équationsdu premierdegré&plusieurs inconnues,rentreradansle chapitreprécédent, si, en combinant ces équationsd'une manièreconvenable, on parvienta tes remplacerpar d'autres égalementdu premierdegré mais à une

o'AM&mK.
«88

MtKCtHM

on tire de la premièrex -= -– 3u4-6 jp== -JLJL–

et de la seconde

égalantcesdeuxvaleursde x, il vient

St–Q~ 3~
n'ALGÈBBB. <)<9 9 chassantd'abordles dénominateurs, elles deviennent 8.c-}-9y==aa8, ~!)!–a5~c=Co; on tire de la première?== .~–~ actuellement, 0 substituecettevaleurdans la seconde,on trouve (~8*–*QM) xlt(aa8-9y) .5y~Go –a5y=6o ou684–~y–a5~=.6o, ou684--a7y-z5y=6o, 8 équationà uneseuteinconnue,d'oùl'on condat '=' tt portantcettevaleurde y danst'expression oba?= y~ 0 tienta'e=!5. Donnons-nous encoreles équations litterates d~e, <M!+~'=~e, dont la secondene contient que x. Cette dernière fournit ~=='-r, et, en substituantdansla première,il en résulte cd–ae c~ ce y -y+~==c, d'ouy==–~–. Ce secondprocédés'emploiesurtoutlorsque, commedansle deuxièmeexemple,l'unedes équationsn'a qu'une inconnue,ou bienencorelorsquel'inconnue à éliminera pour coefficient l'unité dansFunedeséquationsproposées. 255.

ËHMtXATMNPAR AOMTtOS ET SOUSTRACTION.On

<M«~p~


~0

PRINCIPES

Résolvons maintenant les deuxéquations .
D'AU~BM. et, onajoutantcesnouvelleséquations, ou x66.r==j[it5,d'oi).== t~o:)'==(io-t-65 ):<M-}-

<3<

-~r'. Pouréliminerx, remarquonsque &t et a8, coeMcients de cetteinconnuedansles équations(b), diviséspar leurplusgrand il fautdonc commun diviseury, donnentpourquotients3 et multiplierla premièrepar et la secondepar 3, ce qui donne 8~–!8oy==!~o, 8~E-}-t6ay=~3<); et, en retranchant, d'oùy== – –r'}q2 287.DeMinconnuesne peuvent!
~22

MWCtMS

M9. Pourrésoudretroiséquationsdu premierdegré& trois inconnues,on éliminela m~meinconnueentre /'«?
D'AMÈBM.

<23

~tMKKon~ une nouvelletKCMtMe eo<)'el'unedecesdernières e<~m–a autres, on obtientm–a ~MOt~OM
éliminantenfiny entrecesdeuxdernières,onobtient a88:c==a88,d'ouz==t;i substituant.<;==:dansfune deséquations'i), on trouvey==o substituant.c=t, y-='o o dans l'unedes équations'h), on trouve ~==- a; substituantenfin;e==),y==o,==–a, dans l'une des équations~g),ontrouveM==5. 26). Lorsquequelques-unes des équationsdonnéesne renfermentpas &ln foistoutesles inconnues,ou bientursqu'ilexiste entre!es coenkientsde ces dernièresdes rapportssimples,l'éliminutionpeut sefairequetqucfois plusrapidement;les procédés particuliersque l'on on)p)oiealors varientd'aprèsla naturedes

~4

PRINCIPES

équations,et ne peuvents'acquérirque par l'habitude.Voiciun exemptequi reunitcesdeuxcas. Soientà résoudrelesquatreéquations
D'AMÈBM. 4M et la MMtmede ce qui leur fe<~ est aaao /r. ~e~ ~«t~X leurs biens? Représentons par x et y les bienscherchés; :c,

y expri-

mentlesdépensesdesdeuxfrères,et ~arconséquent -~L.< « 5 y exprimentce qui leur reste;nousauronsdonc 3 2 3 3 ,.a;–y~ ~.i)!-{-=~M, et, enchassantles dénominateurs, t5.c–t~e=.8ac)5, 9oa?-~at~==yyyoo. Ajoutantd'abordces équations,aprèsavoirmultiplié(286)la premterepar 3 et la secondepar a, il vient 85.c===t8oa85, d'oit.c==2t!n. maintenantla premièredela seconde?86), après Retranchons les avoirmultipliéesrespectivement par4 et par 3, nousaurons m)t/ c= !99<)-:o, d'où== 1680. Le bien du premier était donc2:at fr., e
~26

PRINCIPES

et par suite !0!E–3()==a.c-t, d'où.?=='&. x -=5 dansy= a.c + t. on trouve n. Substituant < parties. LesvaIl y
D'AtCMM.

<27

voltigeurs<
<,5o.~==ayo3,

3~-}-o~5.a?-t-o,y3..)'==ay()3. a { la seconde et ia troisième Multiplions par 0 par -L, 0 afin de chasserlesfractionsdécimâteset de simplifier;M systèmed'équationsdevient ~+y==ayo3, ~{-a!-)-~=='!8oa, (j) ~-t-36o4; éliminantsuccessivement x entre la premièreet les deuxautres, il vient 9;);–eng~ !f-t-3)'t==~ao8; éliminanty entrecesnouvelleséquations,ontrouve d'ou.B==583, '7*==99"' et, substituantcettevaleurdans l'uned'elles,j''=!:a65. Portant enfinx-==583~~==t65 dans l'unedeséquations(j),onen conctut~==689. 7~' avait ~oKe583grenadiers,a65wMyeMM,et (?<)/w
<M

PRINCIPES

IV. Ne'M~tMttde plusieursproblèmesdont les donnéesWK( algébriques. 2C7.PMBt~ME. CMoncle~«< sonbiend <'<Mt de ses amis, condition~
< 30

MMMMS

leurs poids rMpM<«)em~tt< égalesà a, b, c livres de o«e~M Mt!
C'At.OÈBM. /!h; quandil sa repose, sa femmeel son travaillant ensemble, gagnentc /f. por~oMf quel estle yaw~'oMrMa/~r du père, de la /emmeet
x, et, on substituant

dansla premièredeséquations'n:, ontrouve

PMMMM aM__ ~ft~ec-tc' Y.JF-ro'ctCM.

272. RésoudresMcccMtceMeHt par lestrois procédésd'éli. lesde<M nttMO«OM f'~Ma<<'oH~ tM'–35~==, G(M.{-at~==5. 3.+ -L7 Rép. ~3~4a7'' 373.Résoudrelestrois e'~M
C'ALC~BBE. m. _·s~_

<33

la secondea« tK~<etaux que la première,e
<3t

PRINCIPES

t< est coyote est ty; ~t <'onsupprimeNxcc<M<' chiffres<~oK( vementle premier,le deu;rième elle
CHAPITRE IV. BMCMStON UESPROBLÈMES. ï COM<W!'<:<M?M générales, 283. Nousavonseu occasionde remarquer,dans les deux chapitresprécédents,que les valeursdes inconnues,tiréesdes équationsd'un problème,ne convenaient pas toujoursà son énoncé.Pourpeu que l'onréttéchisse, on expliqueaisémentcette en effet,il est manifesteque les valeursdes incirconstance; connues, déduitesd'un systèmequelconqued'équations,ne vérifierque lesconditionsqui y sont expeuventgénéralement conditionsont été omisesou ne sont primées si donccertaines d'êtrerenduesatgébriquement, ces valeursne pas susceptibles pourronty satisfaire,et le problèmeserainsoluble. Quela naturede la question,parexempte,imposeà l'unedes la conditiond'êtrepositiveou enmre ou biencelle inconnues, d'êtreplus grandeoupluspetiteque tel ou <e<nombredonné ne sauraitêtretra(a35),(a3y)et ~64); aucunedecesconditions duiteen algèbre,et par suite,les équationsdu problèmene sont de son énoncé la valeurde cette qu'uneexpression incomplète si toutefoislesdonnéesn'ontpas été préparées,pourra inconnue, doncêtre ~a<
0'At.GÈBM. JI~I__

.n

<3S n

surtoutd être examtnéesavecsoin nousen feronspar conséquentl'objetd'un articleparticulier,donttout le restedu chapitreoffrirado nombreusesapplications. Il. Sur les M<M

PB!?fCt<'M

3. Il « cfuMc3 ans que~'aye<~tt cquattond'où l'ondéduita?=== à cetteépoque père était aoM~e celui du /ils effectivement, !epcreavait~8ansettofitsa~. u la premièrepartie do On peut remarquer, conformément notreprincipe,quola HOMpe~~a/exr de <*MKW)K«e .)?==3Me .c ==–3 ~xepar /e signe. at~fc de ~'ftMCt'enne 286.PnoBtÈMË. r«K a/f.e~'sM ou = ou < Ma. 1° Si M&>M< la valeurde est positiveet le problèmeest résoludansle sensénonce. 2° Si Mt6=t)o, x = o; ce qui doit être,puisque,de l'hypothèse,ondéduitla proportiona b m n. 3*Si m&< Ma,m&-–Msest négatifet par suite la valeurde x estaussinégative.Cettecirconstancedénote«MM'eedansf~en sens conMOttc~;pourle rectifier,il faut prendrel'inconnue traire,c'est-a-dirc,lui fairedésigneruneperteau lieud'un gain on doit doncalors poser la questionde cottemanière deux a /f. e
0'At.GÈBM.

<37

dans un Ht~nejour la moitiédesmaisonsd'une ~t~< CM et le quart le ~We~demaM; est ~omMle tiersle ~nJctMOtK, il M'Mreste plusque 5t à surpied. De ccM&tMde Ma
d'oùX==--612. *-t-t-[-5t=.r,d'où.<-=–6fa. â-+-3.f-5r=x, La voleurde l'inconnueétant négative, ~c~me est mal proposé et commed'ailleursun certainnombrede maisonsne peut être pris dansune acceptionopposée,il s'ensuitqu'ilest de rectiuert'enonc6;conséquemment, la questionest impossible <wo/«< 288.DhfoxsTBATfOK. Il n'y a lieuu démontrer quela première partiedu principeprécédent. Désignons par if, etc.,M,c, etc.,lesinconnuesd'une questionquelconque du premierdegré;supposons quel'onait obtenu pour les unesdesvaleursnégatives;t'e==–a,.y='–~ etc., et pourlesautresdesvaleurspositivesu=m, o=M, etc., et que par suitecette questionsoit insoluble.Je dis qu'en rectifiant l'énoncéde manièreque les inconnuesr, jr, etc., dont les valeurssontnégativesprennentdes acceptions opposées,le problèmedeviendrasoluble,et que tes valeurs
~3!

s m.w,arsrt· PMKCtPM

ou bien, en substituant–;t, – etc.,à etc. –==–a, –==–&,etc., M==:M, t==M,etc. d'où .c==a, ~'==&,etc., u=m, t'=sm, etc. ce ~M'<7 (allait démontrer. 289. Tout~yo&MtMe d t4neseuleMcoKMMe peut direenvisagé MM:autant depom~ de we que ~Mo
&'AMÈBM, ~
u! entières ou

et


ne

sera cette

positives; rel="nofollow"> &, que

Transformons

sotUDte

actuellement

coup

de /~e<

ctWM

par

coup

tK/H<e<MeMic. com&tM

de

mais

cette

sorte


le

cas

t/K

p~-

donner

a <

~e~tr

b de-

OMM< à htt c coM~,

/
y o-<

seront

dans

exige,

s'engage

Aewem-,

valeurs

ac.

t'énoncé

par

d ~cf'mM

condition

MM

e/?M d'eMCOMro~ef

ces

lorsque

<
c~Mf, c~e<

~~fe

que

dernière

d soit

<3&

/c

doit

eM
à

AeMfeMic

M~ «


iM~eweMe?

coups Sans

soit

qu'il

changer,

dans

les signes

des quantités

les

formules

de

nouveaux

de

de

parvenir, opposées;

it vient

ya-–6)

venons

des acceptions

(–~–(–A)c

1: =

i) suffit

calculs,

nous

auxquelles

b et d qui ont pris – b et & et d par –d,

donc

remplaçons

de faire

besoin

_oc-(– a–'–~

ou &C–C<

f,c+<<


aussi

à quoi en

assurer,

Si d est

t'en

resotvant

o-)-6 comme

parvient,

directement

it

mais

gatité

hypothétique

elle

de x est négative; est pas moins inadmissible

n'en

on déduit

<~ >.&<

facile

de

s'en

celle

de y reste

po-

ta question.

> Ac, !a voleur

sitive,

sera

en ef!et,

aisément

de

t'inë-

Ne+<<>ac+tc

~c-L~ c'est-a-dire "-d'

ÏH.

ce qui

y>c,

e~

PMt~MM

des

est t. impossible.'bl

COM~te~.

~A~B–––––R––––– 39<. «

De<M- cowneM

B, <~
heure, «


e<

Meo~d

dans

distinguerons

te même

Examinons <"

CAS.

sens,

d'abord Supposons,

t)M
b

~Me~M

e< a~~ deux

cas

et celui

ou

ils

<~<MtCM

comMeM celui

<~

a ~eMM

~em«!
eM fait

B M )'eMcot)<efo)t<-t~, Nous

o
p
dans

dirigent

les

idées,

une

des po~~

A

<<'AeMfe
oit les courriers

se

A

pow~

en

sens

se dirigent contraire.

!e premier. pour

fixer

que

les

deux

cou)'-


PKtjfOfM

riersse dirigentde gaucheà droite,et soitH le pointou ils so rencontrent. Représentonspur .r et y lesdistancesAUet Bit exprimées en lieues; lu figurefournit immédiatement AR–BM'==ABou .c–y==~. Le premiercourrier,faisant ? a lieuesdans une heure, mettra autantd'heurespour parcourirx tieuesquex contientdo foisa, c'est-à-dire–heures. Le secondcourrier,pour parcouriry lieues, mettrade son coté

les deux courriers, heures.Or, partant en mêmetempsdes pointsAet B, ontvoyagéle même nombred'heureslorsqu'ilsserencontrentdonc c= ( Résolvonsles deuxéquationsdu problème. a-

~'=~

M

on tirede h

ea substituantdans la preseconde ==! y, et, mière,il vient
oa

trouve a M ad x.T=~–––r, OU.B==–––i-. a–<' & a–& Lenombred'heuresécouléesavantla rencontreétantexprime a: a<< d sera -– ou ––r. par –, a a–o a'a–fj Substituons,afin de vérifier,lesvateuMdes inconnuesà;cct il y dansles équations'a) ellesdeviennent ad o
a–&,

0'At.aËBnB. a!

ou s==d,

m J

a–& ––«==<{ ––==––T. a–f a–o Pourfaire une applicationdes formulesprécédentes,posons d'='!oo, a='y, t==a; en résulte z.too 7.too ~=y~-=-4"; ~=' le tempsécouteavantla rencontreest

ou ao heures.

Troiscasse présententnaturettcment dans ta disDtscusstON. cussiondes formules.f==–, et t/ ===––; <° a rel="nofollow"> &; a–« a–& 2" s==t; 3° a< &;ou,en d'autrestermes,le premiercourrier va plusvitequele secondouaussiviteou moinsvite. <" a ~>6. Le dénominateura–A étant positif,en vertu de rhypothèse,lesvaleursde xet de y serontaussipositives,et de sera f~o~Mdansle sens de sonénoncé.On conçoit pro&Mme en effetque la vitessedu premiercourrierétant plusgrandeque celledu second,la distancequi tesséparedécreta mesureque le tempss'écoute,et qu'enfinelledoitfinir pars'annuler. Si d = o, lesformulesdeviennent x=o, y==o.Les courriers serencontrentdoncau pointdedépartqui leur est commun,ce qui d'ailleursestévident. 2" a==< Lesformulesfournissent.r==–,
pour

interpréterces résultats, remarquonsque tes fractions––rot bd qui exprimentles distancesdu point de rencontreaux des valeursde plusen plus grandes, pointsde départ,acquièrent a mesurequela différence a–A desvitessesdes deux courriers diminueet convergevers zéro. Enfin,lorsque
~3

MMCtPM

!t est visiMe en effet, que les deux courrier!! attant dans !e même seos et également vite, conservent toujours entre eux leur distance initiate et ne peuvent sejoindre. Ït sont abotument dans !e même casque ta grande et ta petite roue d'une voiture en mouvement. Dans l'hypothèse actuette, h secondeéquation du problème devient – =a JL ou ;c–~==:o, équationévidemment cott~a~c. a a <0tre avec !a première .e–~=~ puisqu'il y a égalité entre les premiers membres et inégalité entre les derniers. Supposonsmaintenant que t'en ait a )a fois a==& et <~==o; tes formules ad ~== –o–&'

j Mc= –rdonMnt~== a–<'

o 0 –,o

o «== –; o

or, ~e~Mo<MM~Je ~ro
et-== ~'oM~e, car elles se changenten a:–y==o

et–== a

a

-jLfeH
/'MMe dans

ou a-–Me=o.

3**<:<(&. I.e dénominateur a–6 étant négatif, les valeurs de et de y sont aussi M<~
O'At.OKMXt. <M se dirigentde droitea gauche,de sorteque te courrierdont la vitesseest la plusgrandecourt après celuidontta vitesseest la pluspetite,et quela rencontreaitlieuen un certainpointR'. Afind'obtenirlesformulesrelativesa cettehypothèse,it faut, danslesexpressions <:== –et y== –r, changerles signes desquantitésa, qui prennentdosacceptions opposées; on trouvepar ce moyen –sd –M · ~-a+A' "p;' lessignesdesdeuxmembresdechaqueéquation, ou,en changeant et écrivantles termespositifsdes dénominateurs tes premiers, bd ad 1 7 ~t–a' t–a' 2*CAS.Imaginons actuellement que tes courriersse dirigent ensens contraire;savoir,le premierde A enB et le secondde Ben A; il sera inutile,d'aprèsles principesétablis,de remettre le probteme en équationil suffiraderemplacerdanslesformules du premiercasles quantités6 et qui changentde senspar –& et –y, ce qui donnera ad –M bd ~~p' -y==~' '~==~Letempsécouteavantla rencontreest d d a-t-&)' aTt' Les valeursdes inconnuesétant positives,quel que soit !o essenrapportdesvitessesa et t, les courriersse rencontreront tiellement et te problème seratoujoursdéterminé. ces formules Si
NUNMPM

deuxièmecas, on trouveque a.==35lieues,et y==a5, et qu'il .s'écoute5 heuresavantta rencontre. Énoncésde quelquesquestionsfe/o
ta heures–. )t

iY. Autre pro~Mte. 295. Un6d
C'AK.ÈBM.

<4C

d'où l'on tire proportions ~r–K«--t~-}-ma,f–~=~i-p&; ou,en préparantceséquations, <M'–m;~==(m+îta, ~–==(p-&. Afind'éliminery, retranchonsceséquations,après avoirmultip!ié la premièrepar p et la secondepar m; nousaurons,en dégageantx de soncoefficient, – (M-t-K)~a–f/t-~tM& M/)–my Si l'ondéterminey par un procédésemblable,on trouve “

(M+~~a-'p+fjt)~ t!~–my Actuellement, pour avoirl'expressionde la longueurdu bâton, ajoutonssesdeuxpartiesx et~ et, afin de simplifier,réunisil vient sonsles termesanectësde Mt+Met de (M+Mi(p+-~a–(p+?)'w+tA A~T- <–'–––––'––––––––––––––––––––––––––––––– –my ou bien ~+M;~+ &; maisle dénominateur peutêtre positif,nul ou négatif. <° Si Mp>my, la valeurde x est positiveet le problème déterminé. 2" Si Mt)==M~ ou N~–tM~=o,on a a;== ce et le problème la contradiction estimpossible.Afinde faireapercevoir quiexiste entrelesconditionsde t'énonce,remarquonsque de Mp==~ on tire p q M: n, et qu'encomparantcetteproportionaux proportions~c),onen déduitcelle-ci,a:–a :}- a ic–~ :j'-t-~ qui est fausse,puisquele premierterme.r–a est ptuspetitque )ctroisièmex b et que !e second~)-<: est plus grand que le dernier~'+&. !a valeurde a;)' prend Si l'ona à la fois ~==m? et
~0 MMc~ËS ditionsqu'ellefournitsont en effet identiques,car en substituanta à &et le rapportp q son égalHt K, la secondedes proportions(c)reproduitla pretoiere. 3"Si ~<m?, la valeurde.f- devientnégativeet par suite le problèmeinsoluble.Pourmettreen évidencele défautdo t'énoncé,observons que l'inégaliténpoK~ peut se mettresousla former ?<w ? et quede t&résulte,ù causedes proportions (e),-r–& -)-~<~–e :+a, ce qui est impossibleen tant quea est >t. Y.ProblèmeMt' les alliages. 296. Un fondeurpossèdea kilogrammesJ'~OM m /f. n /r.; ~og., et b ~t~. de CM<M'e /b)'me oeM tout deuxa~M~Moow< l'un ~a<«p /r. le ~< et ~e!<~ q /)'. on demandelespoidsdes deuxalliageset les~«aMt~ d'étain et decuivredontchacund'euxest com~o~. Représentons par-Tle poidsdu premieralliageet parj' celui du second;la sommedes poidsx etjr desdeux alliagesdoit être égaleà celledespoidsa et b desmétauxdontilssont composés; donc-<==:a-)-&. Lesx kit.de l'alliageà p fr. le kil. valentjMfr. et les kit. à q fr. valent%rfr.; en ajoutantces deux quantités,on doit trouverle mêmerésultatqu'enprenant la sommedes a kil. d'étainà m fr. et des b kilog.de cuivre a ? fr. De là résulte ~=ma+~. Afinde simplifiercette dernièreéquation,appelonsJ te prix d'un kilog.de l'alliageforméavectes a kilog.d'étainet les & ma-+-nb d'où d cuivre;nousauronsévidemment k'l 'd 1 ==< kilog.de 1,.
+ bilp

P ~~f~).

(0) (e)

C'AM&BftE.

447

Soientmaintenant )'' (m-t-' j' (m-s)(p-~ a T~~ +b), ~~(~?) ~(~) (w-M)!p–~ ~(pDtscussMK. Commentons par les formules(e),dans lesquelles il estpermisdefaire ~>?, puisquecelarevientà supposerque l'alliageénoncéle premierest le pluscher. I<eprohlèmene serasolubleque danstecasoù les valeursdo x et de serontpositives;il faut pour cetaque l'on ait /–~>o0 etp–~>o, c'est-à-dire, que soit comprisentrep et q. 81~==~; .e==(t+6ety==o; Si ~=~; a;==o ct~==<{-A; résultatsqu'il était facilede prévoir. maintenantp = q; on a danscettehypothèse Supposons ~_p p_~ ~==ec. i y==<.––(o-)-ou~==< esa––C~ ~–p ~–p Le pt-ot)!è)M) estdoncMt~oMtMe. Ladernièredes équations(d) devienten euet~-t-~ca~c-~t;

ou e-t-y==– (a-j-t;, équa-

tionweompa~e avec la première.c-t-j'==
MtXCtPM
ff), lesquelles quatre x et positifsou autrement< comprisentrep noussupposerons et q. Nouspourronsaussiy regarderm commeplusgrandque n, puisquet'ëtainest plus cherque lecuivre. Lesvaleursde s, t, it, ro,ne serontpositives quedanslecas do p–M>o, )f –~>o, ~–M>«, Mt–~>o, cequi exigeque les nombresp et y soientcomprisentrew et M.Onpeutdoncdireque
CHAPITRE Y. DUPRENtEK DISCUSSION GÉNËnALE DESÉQUATtONS DEGRÉ. 207. Nousallons envisagerles équationsdu premierdegré sousun pointde vuetout-à-faitgénéralet discuterles formutes nousparviendrons, de toutequestion indépendamment auxquelles particulière.Ce chapitresera donc, à proprementparler, une destrois précédents. généralisation

M'AM&BtUi.

449

t. Discussiundes équationsà «Meseuleinconnue. 298. To«!eéquationdu ~m<er degréà une seuleinconnue M<
fMSCtFKS ~80 cas, l'équation<M==& dite, puisqu'ettcncpeut b est proprement être vëriueequepar uneseulevatourde x. 2*'CAS.Si a=o, ona ~== –, ou ~==oc; ta valeurde l'in0 connueest donctM/ÏM<e. <Mc== t, qui résultede cette L'équation supposition,est visiblementimpossible;car, quel que soit )e nombre substitueà x, le premiermembre,dont h valeurest iiëfo,ne peutêtreégal au secondqui est un nombredéterminé. ït està remarquerquede l'équationo-c= b onretireo ==– ¡ <~ à mesure que x croit, le secondmembre– décroît,et il est *)? toujourspossibled'attribuera .c unevaleurtellementgrandeque cettefractiondeviennepluspetitequ'unequantitédonnée;mais n'estcompiètement satisfaitequelorsquela val'équationo.c==& jeur de x surpassetoutequantitéimaginable,auquelcas on a o == – ou o =o. L'équationo.c==~n'estdoncpas resotubioen nombresfinis. y CAS.Si a==oet &==o,h formulee '==– donnef== -°-, a o la valeurderinconnueestM~efMMt~; t'éq~ation
M'At-OÈBRE.

<)8j

304.L'expression M'M< pas toujours /e ~m&o~ede <'<Melle peut,
= ~+a',

a==~, eHedevientT==e-t-oou.B==a&;donc-°-==aa. o Considérons encoret'équation a~+~+~==a
<83

PHMMPES

!I. ~MCKMt'W
tt'ALGÈBM. 1

!1__

I.\

_f

n

n

n

~3 .f

Lesformules(c)et (e)vérifientles équations'a', car, commeon on trouve, après la substitution,c==c pourras'en convaincre, 0 etc'==c'. cette théoriejt la résolutiondes équations Appliquons 3~–==–5, 7.t'+.r=-~o; atin de les identifierauxéquations(a', posonsa ===3,/'=–s, c==–5, a'==y, A'==t,c'c='o; et substituonsdansles formules(c)et (e; noustrouverons I 5 ~(–5)Xt–(-aJXo~–'iXt :1'1= 3Xt-(–s)X7 _3Xo-5)X7

3Xt-f-aX7'" 5X7

'7' 35_

j_

3x'–(–9,X7'"3Xi+!tX7'7't7' C'estce que l'on obtient,en résolvantces équationsdirectement. 307. FonMA'nos DESPOMMES (c ET e. En tes examinant avecattention,on découvrela loi suivante,qui serviraà setes rappeler. Pour former le ~e'MowttM~Mr com<M)«t aKf M/eM~ des deux inconnues,on p
<S4

PRINCIPES

lues que par une seulevaleurdo et de~ (30t); doncaussi deux ~t««toa~,etc. 309.D<scL'sstOM

DES t'oaMt.'LEs (c) KT 'c. Nous distinguerons 3" ab'trois cas; t" o&'–&
<" CAS. Si ab'-ba' n'estpas nul, les valeursde et~' sont et ~fmtMc'M.Ellespeuventd'ailleursêtre positivesou ~m<M négatives,entièresou fractionnaires;nous dirons,pour exprimercettecirconstance, que les équations(a) sont<~ermt'M~, c'est-à-dire <wce/'M~ <<e résoluespar un <'eM< eoM~~ ea~M~finies dex « y. 3"CAS. Si ab'-ba'=o, lesformules'c~et (e)donnent et'–te' ac'-ca' ~-––– y p ~Y~' et lesinconnues sousformes<M~MM;jo dis dansce se présentent casqueleséquations(a)sont tMcoM~a~'A/M, ouautrementqu'elles ne peuventdire tc'r~M par aucun couple de valeursfinies de x et de y. En effet,de l'équationde conditionot'–&«' c=o,

n, r

:<

on

et ensubstituantdans l'équationa't-~=c', tirea'==:-?-, ontrouve ou bien a~c==-.r, c, -a)-j-A~'==c', b v après avoirmultipliépar Aet divisépar &' or, cettedernière contradictoire aveccelle-ci équationestvisiblement a.c-}-=e, sont identiqueset lessecondsdifpuisquelespremiersmembres férents,envertude l'inégalité hypothétiquec&'–~c' rel="nofollow"> ou < o, d'oùl'ondéduitct''> ou <~e', et par suitec> ou<

J

i

3° CAS. Si a6'–~
ef

D'AMtfiBKE.

<(;6

quencodola première,caril n'y auraplusqu'uneseuleéquation pourdéterminerdeuxinconnues (287).Tirantà cet effetles valeursdea' et dec' dans teségalitésde condition
–, et, en égalantcesdeuxvaleursde &

d'où a6c'–&<'a'c='o –"=–, et t:<M'–ee')!==o; < ) ce la relation
-"=-o-==––o––

OUj-==w;

tes relations
d'où!==–
c'

e~o.~==c',

et sont géneratement Si incompatibles.

c' e toutefois on avait– e= – ou ac'–ca'=o, la valeurdox serait déterminée et cettedo
<S6

ftONCtfKS

commeonl'a déjàindiquédansle n" 302, que ~~ffMt'oH – valeur ~M<eou t'Mat~W~' peut, danscertain cas, jtM'CMSre XHC Mttetm~OM<<'t
&'At,G~:B)tE. m.

< M

si ;r=~oet ~'===0,on a
d'Où
on ne peut avoir d'ailleurs
~S8

PMttOPM

Soita formerdeuxéquationsayant pour solulioncommune ;f=-3,=-9. Remplaçons z' ety' par 3 et –a dansles équations 'h), etnousaurons
C'ALGÈBM.
ac't"-a~'e"+~'c"ce't"-}-eA'<&e'a'"

1

<60 patxctfM ou bten, en multipliantle numérateuret te uenomtnateur par t et changeantles termesdo placedeuxà deux, _aa'c'–oc'a"+ca'a"-aa'<+(<e'a"-e<<'«" ik, a&'c"–ac'A"-{-pa'6"ta'<+&c'a"-
C'At.OÈBM.

46)

ne peuventêtre résoluesque par un seul systèmede valeursdo .F,y, ~r(M<J. Doncles premièresjouissentaussi de la même propriété. 3<9.DtscusstON t)E8MHMULES j;, (k) Et (t). Afind'abréger, remarquons que ta formule(t)peuts'écrireainsi ~c' d~'c"-e'&+d'f~t-<<" N~'c"–c't",+a'(c~-&c"j+a"(tc–e& ou de la sorte N ~+<('M+d"N NL'j-
M'==C<–t<

N=-&C'

;Mi)

deuxfoiscestroisdernièreséquations,<"aprèslesavoir Ajoutons muttiptieespar &,& A";2" aprèslesavoirmuttiptiees par c,c', c"; nousobtiendrons,toute réductionfaitedans lesdeuxièmes membres, ~M+~"t(=0, CL~-C'M+C"K==0, .'n) équationsdont nousnousservironsincessamment. Celaposé,désignonspar A,B,c, les numérateursdes inconnues;t-,y, jf, et par o leur dënotninateur commun,et distinguonstroiscas, commedanstesdiscussions précédentes< c n'est pas nul; 2"D==o; 3' D==oet A==o. <" CAS.Si n n'est pasnul, les valeurs ABC c ~T' ~n-' ~T' sont~M'e~e
~62

ftttXCti'Ett

txuisde laretationde condition ==uet deséquaM<{-<M-{-«"'< tions~), on tire «).+a'x===–a"r<,

~{-«~–x,

<'t.-j-c'M==:–c"K;

substituantles secondsmotnbrt'saux premiersdanst'equation et divisuntpar – f<, citedevient précédente r: r ~±~ o; N :neccei)e-c! inco)npatit)!e équationevidetntnent n a".t~r~=<< et lesseconds ditTepuisquetespremiersmembressont identiques rents,en vertudet'iuugtuitehypotMUque ~L-j-d'M-t-(<"K rel="nofollow">OU <:0,d'OU(<"> ou
N

les (~«««OM(i) MK<

Mdf~efMMf'Cetteassertionsera fondée,si l'ondémontre que lu troisièmeest une conséquence desdeuxautres.Lacondition A==oou
ouBN==o,enobservantque la quantitécomprisedansta parenthèsecarréen'estautrechoseque )c numérateurde y. danst'equaOnobtiendrait parcittetoentcx=='oen remptacant,

C'AtG&BBE. 1 .··

<63 ,u~- .I.

tiou o==o, ).et Mpar leurs Videurs,tiréesdes deux promicres retations'p. des LeséquationsBx=-o,ct<==o qui résuttentdela coexistence deux hypothèsesrelativesau troisièmecas, fournissent)t===o, oùx==o.~«Mc c==o,exceptedanslescirconstances particulières se présente&oM/s/byme – si /'MKedesttiCOMMMe~

~«.c

de la M~me/o!'me. autres serontye'?tefa<emeH< Les réciproquesdes trois cas précédentspeuvents'établirù l'aidedes raisonnements pourles équaquenousavonsemployés tionsu deuxinconnues. Concluonsde /oK~cetteaK(f~e que,selon~M6les<-«/<'MM des inconnuesx, y, z sont ~
~'c"-c~" 7e'a"

is

~==

e'o'd" -W~V"

· r

("~

PRtSOPM substituantdansla première,chassantte dénominateur et transposanttouslestermesdansle mêmemembre,il vient ou B=o; o~'e"-c'<<")}-c(

co'–
(v)~)

dontles premiersmembresnesontautrechosequeles coefncients de <<,< d", dansle numérateurn,de sortequea=o. Ontit'e des conditions(r)c'=s –

c" ==~–

et,enfaisant

la substitutiondanslesnouvelles lesdénominateurs, (v),et chassant on trouve c(&'a"–<<)==o, c(o&"–A<)=o, c(t
M

et par suite c==o de manièreque.e==:–==t~==~ x 0 ty0 0 les équations sont HtcoMpa~M; or, danscettecirconstance, car si dans te système(s) on remplacees' par se', co" par ac", et si l'on diviselesdeux dernièreséquationsparc'etc". il se est manifeste, changeen eetui-ci,dontl'impossibilité dit <M;+~+Cjf=< <M+~-}-M== 0*= Revenonsenfina t'hypothesoc==o dans laquelle.==

U'ALU~BXE. ~)== s~

<68

tes relations(r) et fv)se réduisenta &'c"-c'A"~o,

–&'c"==o,

f'o"–a'e"==o,

oe"==o,

&c'.==o, –a<==t),

et poury satisfaire,sansque les condition!(x)aient lieu, il faut poserc'==o,c"=o, ce qui correspondau systèmed'e'~o

comme inconnues,on tire des deuxpremières

ca'–ac' Ï – ~c~' ~"a&&?~ ~–60" et cesvaleursvérifientla troisième,car aprèsta substitutionet

<(!t!

t'MSCtPM

on trouveD==o,ce qui c~t des dénominateurs, l'évanouissement vrai par hypothèse. auxélèvosde s'exercersurlesdues323. Nousreconuxandons tions suidâtes dispremierdegréqui aientj~Mt' <° formertrois c~MahOK~ M/M~OM~=~ ==: ==: 2" fo'Mf'f
on en retire 3~+5 a

d'oit



Soient

les

!5y+aS to

2" t5y–t5y==H5–a5;

t5y-}-a5-==t5y-~a5; encore

3
t:~+aj to

3"(]==o.

équations

a~–3~/==5, to~–t5~/==ay; d'oit l'on déduit, il l'aide des formulesgénérâtes,T == y=

Enlesrésolvantdirectement, on trouve

3~4-5 tf'v-j-a? (jt 3!t-5 ==.J–~ t5)/4-a7 ;i:–: _~L- x =, –~L_ a a to to d'ou<" tu)/-{-aj==t5)/+ay; 2° !~–!5~=:
et

o

~==

n

cequi donne o.X=o ou <)==0, f.f==AOU«==A.

M'AMÈMHE.

4(!7

IV. Conclusion. 3M. Lorsquetes conditionsd'un proMcmeont été traduites en utgcbro,il peut arriverquele nombredeséquationssoit cg"! ù celuides inconnues, ou qu'il soitplus petit, ou enfinqu'il soit plus grand. <0S'ily a K)t<
~68

PHNOfSS

3a /)'.p
MOMceaM reste;et ainsi de «tt<e – <~ CMNM~MM~NM~ dea /h <
D'ALGÈBRE.

<(?

CHAPITREVI. ET PROBLÈMES ÉQUATIONS t)USMOKtt M(!KÉA UNESEULE INCONNUE. 327.Ondistinguedeuxespècesd'équationsdu seconddegré, les Équationsincomplètesou
~+~=4,

9~==4,

~==~. 9'

470 t'fOSCtt'KS 330.Pourrésoudreuneéquationincomplètedu seconddegré, «?
=

U'AMiKttRË. .r–y:=tj, j--( {/ <jf==o,d'ouit'=- y, .<'==– y. Nousretrouvonsainsiles vatcursdejt'tobtenues maisceprocédé nousapprenden outreque ce sont les seulesqui puissent vérifiert'ëquation'==:y. 333. DtMtNstox )? t.AMHML'LK~=-< JI fautdistingue)'
fMKaftsa nnauw.moa te premiermembretestermesaffectésdu carreet dela première puissancede l'inconnueet les autrestermesdans lesecond,un trouve,réductionachevée,une équationde cegenre<M'-t-~==< a,b et c étant des quantitésconnues divisantles deuxmembres par a, il vient ;r'-j-~==~,ou

~-)-==~,

en représentant,pourplusde brièveté,par p et parq. Avantde résoudreune équationdu seconddegré,ondoittoujoursla ramoner&cetteforme c'estce quel'onappollopréparer ~<Mt/
-~)'=~

+y.

C'ALCÈBM.

H!}

equanontneompte~au seconaoegre,en tant que t on regarde x -(- commet'inconnue;on enretire(337; ~~==+~~7d'OU.==-±~ cetteformutoéquivautaux deux suivantes –s+~~n. otsa tradurtionenlangageordinairefournitla règleénoncée. Si l'on substitue la formuletrouvéea -r dans t'equation w'p.E==~, it vient (-~t~)'+.(-~t/~)=, les catcutsindiques, en et, dëve!oppant Ii Ii s l" p' t/ + -). j:, ~'wéquationqui se réduità l'identité~=-=y. d'abordcetterégieà l'équation du n" 33< Appliquons -a?*)~=!:t; nousen tirerons,en remarquant quep ==~et == a i,

9

ou..==-a±~+9!; ~==–~±~(-+a. or, ~+at==x5 et a5'==5;donc~=-–a~5 ou Mon,en isolantces valeurs,.r==–9-)-5=='i et Les :c==–a–5==– nombres3 et –y, commeil est îaeitodes'en assurer, satisfont chacunséparément&l'équation.E*c==at; ce sont par conséquentles racinesde cetteéquation. Prenons,pour deuxièmeexempte,t'équatton < 5 t–a<* ~=-5-! chassantd'abordlosdénominateurs, nousaurons 3o;c'–6<M-a5==3–H.); et, transposant–6.c' dans te premiermembreet a5 dans ]e second, 36~'–6o.f==–az


MttNCtPRS .t~

1_ 1

no, divisanttousles tonnespar et dégageantx desoncoeNcient, il viententin 3o

il

5

Il

i-8 0,=~ Appliquonsmaintenantà cette équationla méthodeexposée f; au commencement de ce n°, en observantqu'ici ~==–– et 11 q ==–n; nous trouverons ~+~ + t/i' j' +
t''A).(,KHM:.

~S

ellesdeviennent ~t/*«)/«+t/'t (/<)tt ilru.Y-b: 1~-u-i-v~i;j '(~ T.TFT ~u-l., 336. i) est facilede remonter de!a forotuie x-

(l –±~~+7 pour ir l'équationd'où M d'oir on l'a !'n tirée.t) tirée.IlllffsulTït suffitpourcela celade de suit'fe suivreune marcheinverse,c'est-à-direde fairepasserio terme– dans le premiermembreet d'éleverensuiteau carré; ce qui fournit )~

+~'

6t~ -}-==~

en faisanttes calculset omettantle ternW- communuu\ deux 4 membres. 337. Onpeut résoudret'equation j'-(-pj;=~ au moyend'une transformation trèsusitéeen atgebre,et qu'ilest important deconnaître etteconsistea faire~'==.)-y étantune nouvelleinconnue et uneMe~MtMe'edonton pourradisposerpourrendre incomptetol'équationen y opérantla substitution,on trouve f~+~+~?; dansle secondmemet, effectuantles calculs,puis,transposant bre lestermesindépendants dey, ~'+(M-t-~==-t-y. (a) On peut actuellementprofiterde l'indétermination de pour poser o, d'ou ~==:– a:-{-p=f), portantcottevaleurde danst'equation(a),il vient ''–H)')+'=-'r+.. d'ou

t/ =='-1~

4-
<70 ''v y

MMCtfM rntnMfM eonciui

cn(in,itcausede~)-on

–~t~~

-V

comme prëcMomment

4

338. Toute ~Mo<Mt! MMsecond a< a ~esjf racMtM e< Me pe«< Mt
&'+~ <)-pc=~; successivement ta deuxième et ta tMMiètne

et, en retranchant équation de ta première,

e'–t'-)-~(o-)==o,

o'–c'(s–
équations qui, en vertu du n* 46, peuvent s'écrire ainsi (
(a-~

+p)==o,

(a–c)

ou bien, parce que les binômes a–t

(e+e

+p)==o,

et a–e

ne peuvent êtro

nuts, o-{.)-p=:o, d'où, en retranchant, &–c==o, sition. Donc toute e'<)'«a«OM,etc.

IH. ~a~'OM

a-t-c+p==o, ce qui est contraire à )a suppo-

entre ~M racines e<

339. <' Za somme des deM~ MCMM

co~CteM~.

d'une

<
~+~~

par a et b, on

2

4 ~-S-t/~ ajoutant ces équations membre à membre, H vient

4'

fi a +b= <~=

+

/;¡-~~7-

/¡¡-t~~w–~

q

et, en les muttiptiant,

~=(-~+

t/~)(-.&). ou, parce que te premier facteur du second membre est ta somme

O'~CÈBM. l'

1

1


n

desdeuxquantitésdontle secondfllctourexprimela différence, .'=H'-(t~)'(~+,)~. 3t0. PMB).ÈMK. Fonxef<meéquationdu secondd~t'e ~< les racines
478 -J.A-~<

PMNCtPES

on tire de cetteéquation V ~=z+~a~~z~a~zi3 a les racines, et, en dédoublant

a"

a

y-.3 .f==~––==a. =2. .c=:~––e~~ y+3 a a Les nombres5 et a satisfontl'unet l'autreù la conditiondemandée,car 5'-{-io==35==y.5, 9'-}-to==~==y.a. 343.PROBLÈME.personneachèteun <«<'
bien

== 5o

j~/

s5oo–Btuo'=*3o

.t;==;5o-}-ao==yo

-oo==5o

ao,

et a-==5o–ao~3o.

dedeuxsolutionsque nous Ainsice problèmeest susceptible allonsvérifiersur l'énoncémême 4°si cettepersonnea acheté le chevalyo louis,et si, en le vendant,ellea perduyo pour effectivement, 100, lu perte est~f)=49; yo–31=~9; 100 2" si ellel'a acheté3o Jouis,la perteest pareillement – ce qui est encoreexact, puisque3o–3!!=100 .3o=9,

0'JH.OÈBM.


344.PMM. ~T~–

ri

on tiredecettedernière 63

-~==-5-±

t/63'-5.?65

63+/44

3

ta

~––=––~––=-5-

Cesdeuxvaet, en séparantles racines,x==t5 ot a;e=ioleurssatisfontégalement a !a question. D~e~MMter base~x systèmede M~Me~a346.PMBt.ÈMB. lion danslequelle nombretag se ~OM~e par a~. <M!pnMe Soit x cette base; les unités du premier, deuxième,troisiëme. ordredoce système,valent t, x, .y* le nombrede au nomcesystèmeexprimépar a~3correspondconséquemment bre M'-t-}-3 du systèmedécima) de là résulte l'équation a.t'-)-)-3==t3<) ou bien .r'+9.e='63; on en déduit t j;==–.[j:y(–t)*-}.63="–t±8, ou a:==7et .?==–9. Ce problème a doncdeux solutions,en admettanttoutefoisque la basedemandée peutêtre négative.

<80 PMNCtPM !3KR D..noWuo Pe.wL.ne,. la .L,m de.s 346.Pnotft~ME. le Komtt'eaa,<MdeM-f Par~r parties, telles quela pluspetitesoit
~J

-T+ `~J a;==:–It– a==o,6!8.
Plusieurs droites, ~M~M dans le ~~e 347. PnoBLÈME. plan et telles~M'(
:c 2a eet $= ~'+~'ï~ .~+t/<, a– a /{ Leradicalétantplusgrandquel'unité,la secondevaleurde x est négativeet doit être rejetée.Quanta h première,elle ne

O'ALG&BMK.

<(M

sera visiblement MnusstMcque dansle cas où '-]-8
cC J

i

<89

PRINCIPES

Or,cetteéquationne diffèrede celle d'abordobtenue,quepar le signedu coctiicientde x, et, d'après le (nO338), elledoit avoirpour racinescellesde la première, prisesen signescontraires, c'est-à-dire,– a/{ etao; le nombreau réponddonc& ce dernierénonce. 3t9. PROXLÈMK. Paf~er le nombrea CM<<e«a!pof«e~,<e~ la sommedes ~ito~w~, que ~ott obtient e?t d'«!MCM<
à-direque le nombreestdivisépar moitié, ce qui d'ailleursest évident. Lorsque&est rel="nofollow"> a, le radicalest une expressionréelleplus les deux racinessont posipetiteque t'unite; conséquenxnent tives, la première> et la seconde< et en outreleur a a sommeest égale &a; elles représententdonc.les deux parties cherchées dunombrea, ce que l'on pouvaitprévoir car, si la questionétaitdo nouveautraduiteen algèbreen prenantpour inconnuela deuxiemopm'tie,ou retomberaitévidemment sur t'c-

u'ALo&MR. 483 quation d'abordobtenue.Aiusi,ce problèmen'est susceptible qued'uneseulesolution. 380. Pnoa~ME.Deux torageurs partent au mime instant despoints A<
.l!t-L--J!~tt~

t"

<«~

.tt

lieue et–'– en fairea;.Ontrouvede la mêmemanière au '–.<*pour 0(90–r), le second que voyageuremploie s'–;–~ heurespour parcourir ao-x lieues.Or,au momentdeleur rencontre,ils ontmarche pendantte mêmetemps; donc 4~ o(ao–~) « 3L~J==~.u9(.o-.)=~. x ao--x On peut résoudrede suitecetteéquation,en extrayantla racine carréedesdeuxmembres,cequidonne 3(ao–.):)==±a~,et par suitea.'=~–, ou .c==ta et x=6o; la seconderacine;c==6one peutsatisfaireà l'énoncé,puisquela distancede A ù B n'est que deao lieues; la premièreracine ;t-===txréponddoncseuleà la question;ainsi, lesdistancesdu pointde rencontreaux pointsde départsontla et ao – n, ou

8 lieues,et la rencontrea lieuaprÈs –L!–ou 6 heures. ao-ta Reprenonsce problèmed'unemanièregcnerate;supposons que la distancedespointsde départsoit d, et que les voyageurs arriventen B et A, a et heures après leur rencontre;enfin, prenonspour inconnuele tempsx, aprèslequelils sesontrencontres. Puisqueles voyageursparcourentla distanced, l'unen <{-?

<84

PRINCIPES

et l'autreen A-)-jheures,ils font respectivement dansune heure oty–'tieues; M–~–~C'jT –,–

dans un tempsx, ils ont consëqaem-

montparcourutesespaces––~ et et, commeils Mtrour-t ventalorsau mêmepointdela ligneAB,ona o"

~+~=~. ~+~ d'où '=a Si l'onsuppose équationqui se réduità ~==
––,

d'unautre côté, le mêmetempsest exprimé puisquele son,produitpar le choc,se transmetà

l'ouverturedu puitsen –– secondes.Ainsi,l'équationdu pro1000 == –; t5 (a–––iooo/ posons,pouréviterles calculs, a: too “ dou..==,o.~ct-~=. ce qui revientévidemment a prendrepour inconnuele temps ;t-; il vient,en que le son emploiepourparcourirla profondeur btèmesera

désignant

par,

O'AMÈBM.

<8S

(<:–~)'==a~, oubien~'–He+~–a*; d'ont'ondeduit ~=a-t-~K"(<rp~y;' tesdeuxvaleursdey sontpositives;maisla premièreétantplus grande que a, doit être rejetee portant la secondedans «'=- iooox et effectuant le carréde a-)-1, onobtient a;=='iooo(s-{-<'–/ ~}-aa<'). On peut déduirede cetteformuleune valeurde x suuisammentapprochéeet d'un usagefort commode si l'ondéveloppe a cet effet!o radical,en observant quele tempsa nese compose ordinairement que do quelquessecondes,et que, par suite, la fraction-r- ou – est assezrpetitepourque t t l'on rpuisseen né& 100 gligerles puissancessupérieuresn la troisième(90); on trouve t o~ t~T~i–r t/<~
?-), oubien e==t5e'(t–o,o~.a\ f/

en remplaçantla lettreb par lafraction -~–qu'ellereprésente. Si l'onsupposea=='3",on obtient,a un piedprès, ;=='t5.3'(t.–o,o3.3)==ia3. V. Eyerc
4M

MWMPM



~=t,G48.==-o.9.5.

'~rr=='~ 5"~–&r=-.58;

~);==3+y/t'.

6"

~M+.)-+M+t)=o;~=~ a"'L a-b 383. PaomÈMR. Décomposer le nombreta CM(/e«.tparties, telles que la sommede leurs cubes soit 3yo. Rep. Ces(<e«~ parties Mtt
–a+t~T~ a

388.PROBLÈME, La ~Mf/oee ~'MMrectangleest de 3gt mètres c0~' d'w ttt~fe, la ~ttr/oce carrés
U'AMtÈBftB. <87 d
t88 PMNCn'M fe~ef
CHAPITRE Vif. BtitCUSStOK DESËQUATtONS KTMESPHO~MM OUSECOf))) ORMRÈ. ~M(reMaM~re pr~eM~fla
"i ql ~j In r

a-j-p;y=~-)–f ~j et, parceque le derniermembreest la diNëreneo de deuxcarrés, + ~–~(~~~)~+~~~);M conséquemment i'ëquation.c'-j-p.r–~==0 peutse mettresous la forme o,

('+~)(~+~p~ c! i'on ne peuty satisfairequede deuxmanio'es ~en

posant .t.–

~~==o,d'ou.B-=-~

-t-

2"enposant.e+S~ ~=(,,(!'ou~ ~t-9! do ta décodentla regtepour résoudreles équationsdu second degréet le théorèmedu n" 335.

B'ALOÈBM.

<M

368.Sil'ondésignelesdeuxracinesde l'équationa!)-j9.f–~==0 paraetA,onaura – ''V'h'?< &*='– 'y, et, en retranchanttourà tour cesdernièresde t'egatitca''=s< o==–~–-{-

+ ~~+~ ~z~ ~r~ substituantles premiersmembresaux secondsdans l'équation identique(a),il vient · .);)-p;f–
OU .<)-–.c-j-1.

–==o; L

i

aprèsavoirdivisétouslestermespar L, nous en tirerons M -T~ 2G soienta et &cesdeuxvaleursde x, nousaurons(33S)

~==~.)(.), et, en multipliantpar L, M!'+M.t'+N==L

(;t-–
(c)

~6

cmctMa

37<.S'il existeentreles troiscoofMentsL, M,N h) relation Ii M'==~L,)aformu)oj)))sereduita M M 1\1 d'où d'OU (t==t==– jp=,–~–~o -o, HL a).' l'identité(c)prendalorsla formo ~-)-+K==L~+-~)'; et, en extrayantta racinecarréedes deuxmembres,il vient ""1 ~=±~(.+ ` ~-)~± 2L' (.~+ xV=L ~). Doncde
U. DMW~Mttdes ~CM)M. 372. Nousdistingueronstroiscasdansla discussiondes formules ––– celuioù la

<

a

soumiseau radical,estyot~M; quantitécelui où elleest nulle; celuienfinoù elleest ~
-t-~q est positif, les deuxracinessont ou tMcoMWMMKfa~M, réelles, eoMMCtt~Mt'a~M suivantque cetteexpressionest oun'estpas un carréexact. Cepremiercas offre
C'*t.O~BM!.

<9~

correspond.Donc toute ~«««OMdu second degré, dont le membreconnuest positif, a deux racinesréellese<de signes différents, t~sn~. Si g–o, lesracinesdeviennent .==:–==0 ~==––.ë-==–“ x~- pa + p9 =o, m- p p Z`.p, Ainsi,les racinesd'une équation du second(fe~fe,~)' de termetout connu, sont <~a<es,l'une
a

¡ ~+?etparsuite~- rel="nofollow">+~ lesdeux racinesprennentdoncle signe de leur premierterme -– \1 de là, il suit quelorsquele membretout connuestné~o~ et pluspe~, abstractionfaite des signes,quele carré de la moitiédu coefficient du secondterme, deMrracinessont réelleset de w~mesigne,positivessi cecoe~!c<eM( estnégatif, tt~o<«)ess'il et<po~
<9S

fMNOPM n

Faisonspasserle terme– formule

dans le premiermembredo lu

-±~~?, et étcwnsau carré(333),il vient (~~)= ( t/~)'cubien(.+y-( ~~)=.; (l'oùil suit que dansla cas oj)les racines d'M~e~wa~'oMdu seconddegrésont réelles,tousles <et'wtM, réunis dansle premier membre,~w«t/ea< d la d~'eMce deux caf~. < 2" CAS. Lorsque -)-y==o, ou, ce qui est la mêmechose, lorsque~==–

les valeursde l'inconnuese réduisenta

.B==–S~o==– ~==–S~o==– a a a a' si le oc~t~'e e<MMHtM<~
fait concevoircommentpeut s'établir t'égatité entre los deux racines.

3' CAS. est négatif,ce qui exigeque q soit Lorsque-~–-{-~

O'AM&BM.

<93

négatifet d'unevaleurabsolueplus grandeque et parsuiteles racinessont imaginaires (
le radicnl

et par /t ta racinecarrée

~t de l'expression -{- prise positivement,en sorte que -~– p) la formulequi donneles racinesdevient –/t'<==.'– ou ~=A-j:/(~~T: ]r==~p AOnde reconnaîtrela formed'une équationdu seconddegré dontles racinessont imaginaires,faisonspasserle termedans le premiermembreet élevonsau carre(333 nousaurons ou (~–&==o; fa.–A)'==est manifeste,puisqu'ettesignifie équationdont l'impossibilité quela sommede deux quantitéspositives,dontla secondene peut être annulée,est égaleù zéro.Donc,lorsquele membre tousconnu est M~a
j

<M

MtKCO'M

Chacunedes trois équationsprécédentes signifiaque la'JifMreneede deuxcarrésest égaie a zéro.Un tire, parexemple,do la dernière.c=='3i:s; et si l'onremonta& l'équation,en suivantla règledu n" 333,on trouvesuccessivement ~–3==i~a, (x–3)'==(/'9)', (.c–3)'-f/'9)'=o. 4"~Nt~c. ~)-6.c==–9. Lemembretout connu–9 étant S\* et négatif numériquement égaia) – -1 ou 9, les deux racines sontégaiesentr'eHeset a – ou 3; i'équationdonnéepeut se mettresousla forme;))'+
e!!cssot)tde!a forme/d:

puisquel'ontirede l'équation~=='1 –~ ou ffca~a~–) 3° Féquationest impossible ce qui résulte do la formule .c==tj:a/ d'où l'on déduitsuccessivement (333) :c–t==4:a/'HT, (;ï–t)'==–4, (y–t)'+4=o. conduita quel374.Ladiscussionde l'équationo-e'-t-c circonstancesque nousallonsexaminer;divisée quesnouveUes para, elle devient ~4'ct a

T'

d'où .c==-+)/4.-L 3tt-~

4a'~
ou ~== -&+/~F4sc (d) –" Ainsi,les racinesserontréelles,égaiesou imaginaires,selon que&'+4, =* ou <~o. d'abordque a==o, il vient Supposons b 0°b )_~±& et x= –&-& o0 txj ou x=,r±i~==° 0 0 (t 0 l'unedesracinesse présentesousle symbolede t'indétermination et t'autresousceluide FimpossibUité. l'équation,deCependant venantdans cettehypothèseo.ic'-t-~==c, s'abaisseau premier

0'At.G~M.

~95

degréet fournit seulement.==' l'expression a donc ici une valeurfinie. Faisonsa la foisa <=o, &==< o on a o+o o o !f==–– et ou x'==- et~=-. °. o oo 0 Cequiseu)b!eindiquerque les racinessontindéterminées. Il est manifestequ'il n'enest pas ainsi, carl'équationo.;c'-{-o.;<==c est visiblementimpossible.Le symbole indiquedonc dans cecasuneabsurdité. Posonsenfin a==o, &==o,c==o; on obtient,commeprécédemment,a?== oet!e'=o maisalors, l'équationo..<4-o.==c étantidentique,cesrésultatssontexacts. On peut donnerà la formule(d) uneformetelle qu'elle répondeexactementaux trois suppositionsprécédentes;il suffit pourcelade multiplierles deux termesde la fractiondu second membrepar –A~f-~oe, en observantque (46) (–&i/t-4
(-&t'+4oc)=.

(––(~'&}-4
elledevientalors 2C –~oc &±r?'iR~ ..(-f+4~) <"<ï=o 2' a==<),t=o; 3° «==o, Si l'onposeactuellement ~==0,c=o; on obtient c0 ae n~ 2C ““ ~c 0 OU~-== ou b& et~==–;o 2"~=-,–; o+o 3''a'==-o+o -~=r'rT &~A 376.Si l'une desracines d'une équation du seconddegré incommensurableou imaginaire,~'awtre M
~M

MMSCtPN

376.Lorsquep et q sont des nombresentiers, l'équation x'+px==qMepw
s

U'AJLCÈUHK. 497 En enct, si l'on supposeque la premierproblèmeait conduità on pourra en déduirecettedu second, l'équation~M:==: en y changeantx en --x, ce qui donnera (–.<-)' + ;<(–~)==q ou ~'– y or, cesdeuxéquationsneditïerentqueparle signedu coefficient dela premièrepuissancedel'inconnuedonc,en vertudu n" 3t<, les racinesde l'unesontégalesa cellesde l'autreprisesen signes contraires.C.Q.F.D. Au surplus,il est remarquer que ce principen'est applicable que dans le casoù l'inconnue peut se prendredansune acception était impossible,la valeurnégacontraire;si cetteinterprétation tive de l'inconnue,prisepositivement, correspondraitencoreen général à une questionanaloguea ta proposée.Nousciterons pour exempleJe problèmedu n* 348. Nousallonsappliquercettethéorieau pfo&~e des lumières, remarquableen ce qu'il réunit les pointsles plusimportantsdo la discussion. 379.PROBLÈME. yroMper w la droiteABt~poM<<~eMeM< éclairé par les deuxlumièresAel B, Mc/tCM(< ~e la ~oMgueur de la droite qui les unit est de d mètres; 20qu'elles f~att
sera

et cellede la lumièreB au même

pointsera r.– 2 donc,puisque!e pointC reçoitdo t'uneet ~a–~

<98

HMSOPM

de l'autrela mêmeclarté,on aura a (<<==~

M '(J~T les calculsindiqués, et, en effectuant e~'–a<}-
U'ALOÈeH)!. 499 DMCMMON. Examinons d'abordla premièreracine Va d. -T~ elleest visiblement positiveet pluspetiteque d, puisquele premiertermet/*a dela fractionqui multiplied est plus petitque le second~a+/*t; cetteracineest d'ailleurs rel="nofollow"> ou < suivantque a est > ou< t. Lorsquea = b, elledevient d ~a
~00 t'HMOt'M <" to t/~n_<< A ~a–~& étant positifet plus petit que le numérateur~'a,la valeurde x sera positive,mais plus grandequed. H y a doncun secondpointD, sur le prolongementde ABet du côtédu uambeaule plusfaible,quijouit de la propriétédemandée. 2" Si a< b, ledénominateur~–~6 étantnégatifet d'une valeurabsoluepluspetiteque le numérateur/'«, la valeurde x est aussi négativeet numériquement plus grandeque d. Cette valeurde x, prisepositivement, à un autreprobtèmo, correspond dontt'énoncése déduirade celuidontil s'agit,en donnantà x une acceptionopposée,c'est-à-dire,en comptantla distance que représentecettelettredansle sensAE(378j; or, on conçoit aisémentque ces deuxproblèmessont identiques,attenduque l'on n'a pas précisédans t'énoncéla positionque doit avoir le pointdemandéparrapportauxdeuxlumièresA et B. Concluons donc que, dans cettehypothèsecommedans la précédente,it existeun secondpointE, surle prolongement de ABet du cotéde la plus faiblelumière,quiremplitla conditionvoulue. 3" Si
d'où .r==-, a

résultatdéjàobtenu. Enfin,si l'onsupposeà la fois
U'AMiÈME.

20<

s'il étaitsusceptiblede solution,il y auraitau moinsun nombre fini, qui, mis Ala placedo l'inconnue,vérifieraitl'équation;ce qui est contreta naturedes équationsdu seconddegrédontles racinessontimaginaires. Voicideuxexemples 381.PttOM~MB. Partager le nombrep endeuc parties, dont le~fo<M Mt
<~-~–

4

les deuxpartiessontréelles;ellessont

égales,si q ==-S- enfin,lorsqueest >- ~–, ellesdeviennent et le problèmeest impossible. imaginaires, desthéories Pourprouvercetteimpossibilité, indépendamment des ~MM! il sufïttdefairevoirquele pfo
h pluspetite

pa,.&(5),ett'onaura(46] ~+~=~ z~ 4 4 \a'a/\& or, il est manifestequece produitest d'autantplusgrandquela différence d est plus petite, et quesa plus grandevaleur~-correspondà <<'='o,c'est-a-diro,au casoi) les doux partiessont égales.

M3

PMXOPM

3M. PROBLÈME. ~<M'«~ef nombrep m <~MJ' parties ~~M que<«
ou

.c'–p.r==:–

23 â2 3 If on peuten conclurequeceprobtèmeest M~o~t~, puisqueles valeursde l'inconnue sontimaginaires, quel quesoit d'ailleursJe nombredonnép.

CHAPITRE VIII. XÉSOf.UTtON DtiQUELQUES ÉQUATIONS DEDECRÈ SUPÉMEUR AUSECOND. I. Équationsd deux termes. 383. Les équationsà deuxtermessontcellesqui ne t'enfermentquedeux espècesde termes;lesuns eNëcte$ d'une certaine et lesautrestout connus. puissancede l'inconnue 384.Toute~Ma<
C'ALC~BKE. 203 385.Pourrésoudreuneéquationà deuxtermes,CMla tattt~e à la forme.E"==+~ et l'on extrait la racine in" des ~«r membres,
~=±~

a)=±/"I~,

et, dansceluiou m est un nombreimpair, f m .C<==/ !B<=–<jf. Ainsi,lorsquele degrëde l'équationest pair, il y a deuxracinesréellesou aucune,suivantque le secondmembreest positif ou négatif;lorsquele degréest impair, il y a toujoursuneracine réelle,maisil no peut y en avoir qu'une. H. Équationsrésolublespar la méthodedu seconddegré. 386.Les équationsrésolublespar la méthodedu seconddegré sont collesqui sont réductiblesà la forme.c*{-jx"==~;onvoit quel'exposantde l'inconnuex dans le premiertermeest double de l'exposantde cettelettre dans le second,et que le dernier termeestentièrementconnu. 387.Pourrésoudrel'équationa;+p.)?°'==~, on posea;°'==~ d'oùl'ondéduitaisément.e""==~ substituant,il vient ,–~ ~)-p~==~ et parsuite.y=: – E ï- -}. m or, dea!==~ on tire a!'= ±/ ou ;c= /j', selonquew estun nombrepair ou impair(382),et on remplaçanty par sa valeur -±~±~+.)..=~ la premièreformulerésoutl'équationproposéequandm estpair, et la secondequand mest impair. DtscussMN. Elle dépendvisiblementdo cellesdes équationsà deuxtermeset des équationsdu seconddegré.

204

Mi\cïM8 e~

i~t~.t-

t. Supposonsd'abordquo tMsoit un nombre pair, auquel cas m ~==+~0'! 4 Il y aura quatrevaleursrcct)cs,égtuesdcuxàde))x et de signescontraires,si les valeursde j' sont réelleset positives 3"il n'y aura plus que deuxvateur~réottesde signesdifférents,si l'unedes valeursde est positiveet l'autrenégative; 30il n'enexisteraaucune,si les valeursde sont toutesdeux négativesou imaginaires. Dansl'hypothèseou m est un nombreimpair,et ob l'on a m .c==/y; <"Si~ a deuxvaleursréelles,x a aussideuxvaleurs réellesde mémosigneque eeXesde~ 2" il n'y a pas de racines réelles,lorsquelesvaleursder sontimaginaires.

III. Touteroc~tede degrépair ~
O'At.OÈBKt!.

203

i

i tA a~ 4 «~ d'oitll'on cJ'où 'on tire x~=. <'+'~<+~; it _4' tes deuxvaleursdex sonttoujoursréelleset de signesdinerents; la racinepositivecorrespond à la racinenégativea –/< et t'en a

~~Z±~,

-B', et, en tirant les valeursde/<et de h, ~~J~~ ~+~f~±'~±~\ a x ce qui démontrele lemmeénoncé. Cetaposé,si l'onfaita==o et &==t. auquelcasl'expression se réduita ~7 ou \~–t, ontrouve o-t-T + ~=±~'

h= + /<==±~

!L

¿;

ainsi, t~–t est dola formea+ ~~7; donc r}/ ou t /T est ausside la mêmeforme; il en est pareillement de a/' te ~–t ou ~–t, etc.;doncen général,touteraine ~– d'oK
)~'–A==~A.7; t'.t

désignantVA parj:n, et remarquantque << <)_ r t~-t cette

identité

== V/

=)~==a-t-&r-

devient

t'

/'–A==±a(a~–i)==+M~R~r~, et, en posant ao =p et )t&==y, ra ~==p~ ce qu'il fallaitdémontrer.

LIVHETROISIÈME.

THËOME

j il

BBS BBPM6MSSMS EfBBS PMOmoM. N8AMÏBBB.

CHAPITRE I. RAPPORTS ETPROPORTtOKS PARB!FFÈRE!
O'At.CÈBM.

M7

.I:.mé.nMl san iisem. Ie.wrv,ee Â%msin snArr.a .em~ sesaeM-c termesd'«Mem~mequanmentantou en diminuant tité. Autrement,on a, quelque soitm,
H. Proportionspar
2M

MYOPES

équationd'où l'on tire, en changeantdemembreles termesnégatifs, «+d=A+< 400. Réciproquement,~Ms~e~M
C'ALG~BRE. 209 continue"a.&.enn. cequi MV«'nt revienton au m~mf
c a

408.Onappelleittû~eimearithmétiquemire deMa' quantités le moyentermed'une equi-différence continuedontellessont les extrêmes.Ainsi,dans a.t.c, t estla moyenneentrea et c. Decettedéfinitionet dela secondepartie du prohtemeprécèdent, ilrésulteque la M<~Mearithmétiqueentredeux ~MNt{lités est égaleà leur demi-somme. La moyenneentre 6 et 64-t<{ parexemple,est –'–' ou to. 406.En général,la moyenneen~Me entreplusieurs estune quantitételleque)a sommedes rapportspar ~t(M
2t0

PMNCtPM marquantqu'alorsle premiermembrese composedo m termes égauxà .r, il vient tK;c==a-j-&-)-c. l, d'où ~
<

demattaecombienll~ e

C'AM~BM. 1 y1

2~

recevoirdu <eco?ta pre~tef joueur
M< 9

les pertes du secondet

u trotBJr::me f!M~o!~meMM< 3' et 9

CHAPITREII. RAPPORTS ET t'MPOMTtOKS PAR QUOTIENT.

ï. J!appon<pa<«o~<. t<4. On appellerapport géométriqueou par quotient, ou simplement,rapport, le resuttat de la comparaison de deux quantitéspar voiede division.Soit ==)', r sera le rapportdes deux termesa et &. 4<5.Onsépareordinairement l'antécédenta du conséquentb pardeuxpointsquel'on Énonce.M<à, ou bien,d/t~c~ar, comme on l'a vuau commencement de cetraité; desortequea b signifiea est à b, ou a
~2

PBtNOPM

Le rapportdirect
=

PMKOtfM f <

it~ t~ les quatre nombres5, < 1 et 8, étant tels que Ainsi, 5 X 8=~ x m, constituenttitproportion5 10:8 maisles quatre nombres5, 8, 7 et to no sont point~t'o~or/tottt)~, attenduque 5 X tu est< 8 X 7. 424. De lù résultehntnëdiatement des extrémes que « ~'<Mt e~
e <,=~et~ d <x !2°Si le termeinconnuest un moyen,on l'obtienten dMt«tMCd ~~etc=~. e & 427.Donc deuxproportionsOK< trois ~fMMcommunset disposésde /eweMema~rc, ~M
U'AMÈBMK.

2
On peutKf se ftiRMnsff do f
~t! U

PRINCIPES

J" que la 3'
et, en vertude la définitionde la moyenne, on a !C x

x ~X~X~='! chassant les dénominateurset observantqu'alorsle premier membreestle produitde mfacteurségauxù x, on trouve .~==aX~Xc.X/, 1, d'où tt) iC

435. Lamoyenneproportionnelle~
~LGÈM~. M7 fftnK~~t*~n& ÏMK~onv <~~t~ considérons~*nhnMt deux fnf'tatit'f d'abordles facteurs-Tnt ad-

Leta pose, et~* mettonsun instantqu'il y ait inugatitéentre eux, et désignons leurdemi-soottftc pura, en sorteque.< -{-y=za nousdéduirons do la, on vertudu 11"38<,l'inégalité.«t', et, ot substituant dansles deuxpremiO'M équations, p, ce qui est impossible,à causede la définition dop; donc.t-=on prouveraitdo la n~me manièreque ~==~, ~==it. donc ;c==~==~e==
~–~r ~j Soientmaintenantmquantitésa, 6, c, vertude ce qui précède,

m nous aurons,en

~<.X<X~(~~+:+~" et, en extrayantla racinen~ desdeuxmembres, .r a+b 4 o. +1l ~X~X<< HI. Systèmede proportions. ~36..St ~<M? les rapproportions ont «? rapport COMMUA), comnuttM ports MOM forment une MOMee~c proportion.Soient deuxproportions a:&e:
D'AMÈBM. onnro

~9

aXd==~Xc, eX/<=/X~, et, en divisantceséquationsmembreà membre, a d & 0c aX<<'Xc c -=-ou->=.XexA"c ~A"F' d'oùl'on peutconclure(423) ~c e' 443. Si quatre quantités sont en proportion,leurs )K«'NsancessemblablesMa<proportionnelles,Car,a la proportion a b c
Ï20

M)t!
A c d, on peut Ainsi,do la proportiona?:&<< Mutdéduire. déduire,aque) uelque soit m, rma:m
(t:&i.

2"w«:mc:

±:t: m

3°a:m~c:M!a;

m w m

d.


D'At.G(!))BB.

2~

!)a<
232 ""H..t!

PRINCIPES _A

-1,,

portiondonnéepeut se déduirede a :&< d, caril suffirade s'assurersi le produitdes extrêmes y estégalit.celuidesmoyens, en vertude laseulorelationa x <<=='& X e. V. ~Mt<e de rapports~
~==f;on

l, a:c:<<e:jh<, que l'on énoncera a M<à b commec est
O'~t.OÈBM. a~e-

823

_e t+~+
d'où e+<'+~+AA+<<+/+/ ::<&. (k) 453. Dans une suite de rapports ~a<M', la somme<<'wt certain nombred'antécédentsest
~"m+~ m-n-p.

~+~+––=~' 4S5.Dansune M<<e rapports <~a«r, /a mo~emteorK/tme'f~e de tous ~Mantécédentsest à cellede tousles coM~un antécédentestà soneoM~«eH<.Car,si l'on quentscotMmc représentepar ? lenombredesrapportsde la suite(i),et si l'on

224

fMNOPES

diviseparcenombrelesdeux premierstermesde la proportion il vient ')(),qui onest uneconséquence, ~+~

~c+c.

a 6. Il) M M 486.Dans«Me~M~ede fappo?'~e'gaM~, la Mtf~'eMttCpropor<
~X<<X/X<

d'ou, en extrayantla racinem' m

/'oXcXe.XA -.==f, -~– d ~x<<x/x< r par a b, et, en remplaçant «t

m

b. t~'exexe.x~ ~x<<X/X~
O'AMÈBM. !M8 MO.PROBLÈME. Partager 36o en par«es proportionnelles aux nombrest, 3, 4 et y. Rép,Ceapartiesj-0!t< a~, yM,gR,tC8. 46t. PROB).~ME. CoMMS<Mon< la moyenneeft
CHAPITRE III. PROGRESSIONS PARt'tFFÉKENCË. I. Définitione<notation. 463.Uneprogressionarithmétiqueou par ~~McecstuM suite de termes,dont chacunest égal il celui qui le précède, jointà une quantitéinvariable,que l'on appelé raison. Ainsi, soient
?6 PMMtPEft est égald la moyennearithmétiqueentrecelui qui /e précède e(celui quile <wt<; car,si g et h sonttroistermesconsécutifs, dansunesuitedecegenre on a, en désignant prisarbitrairement la raisonpar r, ~+t"~y-H-=~, c et, en retranchantla deuxièmeéquationde la première, /–~==?–A, l'on d'où conclut(397) /y:Aoa–A. 466. Pour indiquerque plusieursquantitésformentune pro- i< OKlessépare <<
.1

0'At.GÈ)))t)!.

227

successivement les diverstermesde )a progression et représente l'ontrouve a=!'
pMtCtpEs

228

d'ou d'oh a-==~-{-t''==!C-}-=?(<< =~-{-a. Lesecondmembrede l'équation(e) so composedoncde n binomeségauxà a+ <,et conséquemment ellese réduit& M ==(o+/)?,

?. (') <" Exemple.La sommedestermesde la progression – 5.8.u.t~.ty.ao.a3.a6.a9.3a, dont les termesextrêmessont 5 et 3a, et dontle nombredes 5-4-3a termesest to, est égale&f–– ). to==i85. 2' Exemple.Si l'on proposaitde sommerles 21 premiers termesde la progression – 5.11. qui a pourpremierterme on observeraitd'abordque i5 et pour raisontt–t5c=– !e 2<*termeest égala i5 ~-aoX-– 4 =-–65, puis,onen cona t ==–5a5. cluraitquela sommecherchéeest (-*–––j. M<égaleà 469.La sommedes n premte~ttow6fMM
d'où e='

carles n premiersnombresï, a, 3,

n forment

dont les termesextrêmessontet une progression par différence n, d'auil suitque !-4-~ “ tt(~-)-t) !+a+3~+~===~–~–j~==. Ainsila sommedes tooo premiersnombresest égaleà tOOO.tOO!!== < ––––– 500500. a 470.La M~HMe des n premiersnombresimpairs«< égaled n'. Carlesmpremiersnombresimpairst, 3, 5, y. constituent uneprogression qui a pour premiertermet, pour par différence, raisona et pour dernierterme <-}-(?–t).a!=aM–t; donc t ,3~.5~}-(~).=~ '+~==K. ?==?'. Ainsi,la sommedes 100 premiersnombresimpairsest égaleà too*=atoooo.

D~GÈBM. 229 r tn rnftVPne îtftthm<Et!fn~<: entre A7t. Insérerm deuxfto~~t~~o moyensarithmétiquesûntfa dnnr quantités, c'Mt y t'nto'co~erm termes,de manièreque le ~ys~mede ces une progressionpar différence. m-{-a termescom<<<Me 4'72.PMBL&ME. Insérerm moyensarithmétiquesentre les deux quantités a et 1. Cettequestionconsisteévidemmenta trouverta raisonr d'uneprogression par diuërencecomposéede m-t-a termes,et ayantpourtermesextrêmesles quantitésa et Or, leterme étantdu rangw+a, estprécédédeM-t termes; et, en vertu de la premièreformulede ce paragraphe,on a l'équation d'où fe=.–– <'=a-t-(m-~t)f, m-E-r est égale à la ~re~ee des deux ainsi,la raison eAercA~e diviséepar le nombredes moyensà M~quantités
2:i0

t'KtftOPKS

111.~'o~MM~Mf/M~fo~MtOK~ ~or
f

a, s;

9" n,

8*

n

<0<'f, S.

Avantdo nousen occuper, nous feronsremarquerque les ou néquantités,a, l, )' et s peuventêtre quelconques, positives gatives,entièresou fractionnaires;mais que la quantitéMdoit un nombreentier positif. êtreessentiettentent 1. Déterminera et l, connaissantn, r et s. 4'?8. PBOBt.ÈME Lesformulesdu n° précèdentpeuventaisénicntsemettresousla forme ~–
~a==- n et, en faisantusagede la regtedu n" S, on trouvesur-!c-chan)p a~ + (tt–t))'_a~-t-Mftt–i)f. a aK ao M–tt(M–!)f ''?–t)r a= Ht a am &? 476. PMBLÈMt! II. Déterminera c
f

d'oùt'en déduit a~-)-).J;{-)')'–8~ .~–––––––––––––––––– H===s ar

.H.e

D'ALC&BM. .u_

234 ..1- a.1-

i. t

si l'on portemaintenMtcettevaleurde n dans (h), on trouve ~K'(a~<-)'–8~ a Lorsquel'expression ~-)-f)'– 8~ est négative,les valeurs des inconnuessont imaginaires et te problèmeest impossible;si elle est positive,il y a, algébriquement payant,deuxsolution?; toutefoisil nefautpointperdrede vuequet'o~doit rejetercelles qui ne correspondent point & des valeursentièreset positives do tt. Si l'on pose~=='a,<<='atet
~) 479. PaoBL~ME Y. Déterminer1et n, eo
ft<)"iCtCM

2M

)e< ) r, eoMOO!'MaK< 480. Pxost.HME Pxoat.HME VI. ~<ermtM
~+~ a

f

` < '(



r~ Il

D'AMÈBHB.

233

iY.JEiferctce~. 48!i.PMBLÈME. J~
Mt

PRINCIPES

m' entre<e~ mo«eMHe <M<efme< termesde de MtMcat! mo~MMm'entre rang pair. Rëo. Rép.En conservant lesnotationsde cechapitre,on a
CHAPITRE IV. PROGRESSIONS PAR QUOTtENT.

I. JM/!tM
238

.A_

1

gressionsontde mfmesigne;quandelle est négative,ils sont alternativement positifse«négatifs. M7. Uneprogressionpar quotientest dite croissanteou
,.55555

""a' '8'' ''6' 4' sontl'unecroissante et l'autredécroissante;la raisonde la pre5 t mièreest C 3==a; celledela secondeest – – 5==––. a a t98. Un terme quelconqued'MMe progressionpar quotient est égalà la Mo~ettKe proportionnelleentre celui qui le précèdeet fe~Mtquile suit. Car,soientf, g et Atroistermesconsécutifsquelconques d'unetellesuite; on a, en représentantla raisonpar r, ~y, ~r~A; et, endivisantceséquationsmembreà membre,

r

d'où (M<) /y:& ou –s' M9.Pourexprimerqu'unesuitede termesconstitueune progressionparquotient,on les écrit les~M !a suite des autres, en les séparant~
236 ,:m.a élevéeà1- la

ftUNCtpM

--« ,d ,i. '.4011_1)4 J. puissancemarquéepar le nombredes termesqui le précèdent.Soientr la raisonet
0'At.G&MB. ,.r ,.t,e. membreet

237

facteurdansle .t. relativement au observant,.v: premier il vient dernier,quear=b, br=e, c)'==~Af==<, t'f ––. 1 – t,== /r–a, d'où s~==lr-"a, rj~=lr-a, f–; Lasommedes termesde la progression <" EtMM~e. -r 3 :6 12 a4 ~8 :96 !Qa 38~, danslaquelle est égaleà ~4Xa-3 1 2 -1 2' ~emp~. Soità sommerlesg premierstermesde la pro–3 on observera d'abordqu'ici o== i, gression– f ==–3, et que le 9' terme=1 X(–3)' '=='656t puis,on en t t t.656tX'–3–! < conclura que la sommecherchéeest –––––– ==49' a ==3, ~384,

f~a,

602. Insérerm moyensproportionnels entre deux quantités, c'est M~co~r m <efMM,«~ ~«e l'ensembledesm + & termesconstitueune progressionpar quotient. 803. PMBLÈME. Insérer m moyemproportionnelsentreles a et 1.Cettequestionse réduitévidemment deux ~Mam
M8

MMXMpM

et le Moyendemandeest ` = V'cid. ~eMip<e.Soita insérery moyensentrelesnombres5 et ta8o; onauraa ==5, ~==tx8o, M==! y, et par suite <

~–s–

<

r==t/X/t900 ––==~a5b=a; a; 5 t/"TP doncles y moyenscherchéssont !o, ao, ~o, 80, t6o, 3ao et 6~0. SOA. La Moy~KMe eH~etous~M<ermM d'~tte ~fopof<
B'At.G&BttE.

g39

puissancessuccessivesd'unefractiondiminuentde plus en plus et tendentverszéro (9();.L'équation L==a-(-
=

~0 _i..

PXMCH-tiS _11_

si l'on pose
mais)'é-

estalternativement -~Let– apprendque l'erreurcommise a

a

J

C'ALGÈBHE. ft

24)

808.Si la raisont'est numériquement plusgrandeque t'unite, cas la auquel progressionest croissante,le secondmembrede t'equation'b et par suitele premierL–~ croît, abstraction fuitedes signes,en mêmetempsque !( de sortequ'en posant tt==w, cette différencesurpassetoute quantitéimaginaire.On voitdoncque dans cettehypothèse,lessommes diffèrentde plus en plus de t'cxpression t., qui ne saurait alors êtreconsidérée commeleur limite.H s'ensuitque ta sommedes termesd'uneprogression a t'innni, est ellecroissante,prolongée mefncinfinie. 809. On peut employerla formuleprécédente pourréduireen fractionordinaireune fractionpériodiquedonnée prenonspour nous aurons exemplela fractiondécimaleo.yyy. -.1. TlUU Z 0,7~==~}O 77" 7 '~· -1.. t0 -L~L.j-==2.–-L~= )00 + 1000 tO (1- t0/) = t/Z En général,soitp un nombreentiercompose de n chiffres,et considérons la fractiondecimatepériodique o, ppp. nousauronségalement ~+~+~(-;?)=~Cequi conduità la rcgte connue,laquelleconsiste,commeon le sait, &diviserla périodepar un nombrecomposé d'autant de 9 qu'ellecontientde chittres. IV. PfO~KM~«)'/M~t'0~feMtO!Mp<M' quotient. a~. Lesformulesfondamentales de lathéoriedesprogressions parquotient ~=a! (c; <'r–t;==~–.< (d) des renfermant,commecolles progressions par différence,cinq deuxd'entre quantitésa, )!, )'et s peuventservirà déterminer elles, quand les troisautressontconnues.De ta résultentdix questionsanaloguesil cellesdu n°474. La résolutiondes quatreproblèmesdontles inconnunssont 40 a, ?; 2° l, M;3" ?, r; 4"M, exigeantl'emploides togarithmes,serarenvoyéeil l'undes chapitressuivants.

«!c~

242

t'XtSCtMti

OH.PKOBLÈMK I. JMerMtMfa
d'en <~

~'–1' y" 8)2. PnoBLÈME li. D<(e)'m(Kefa e<)', cot)t!
J_

f~-t]

(,n-t8)4. pROBt-fiME IY. De'~fMtMer 1et r, connaissanta, n e<s. Hhminantentrefc) et (d),ona, pourrésoudrece proMeme, tes deuxéquations
M'AMKBM.

243

si ensuiteou substituedans l'équation(d),il vient,après avoir n-t n)t)ttip)iëpar~«, "'<

"t

7<7

d'o!. ~== ~<

~(~a)==~a/-
t/'<-r« a SH. Lepremiertermea, fa raisonr et la sommet de tous lestermesd'une progressionparquotientdécroissante a t'infini, étantliéspar la rctation a 't–f on pourraëgatonent,lorsqu'onconnaîtradeux de ces quantités, déterminerta troisième.Do ta résultenttrois questionsqui sont resotuespar les formulessuivantes I-.r

r

~='

L

3~~(.).

V.B.reretCM. S!8. PROBLÈME. ~
2~4 MjSCtPES 2- t_¿ -b 1" 4.. 4 <<e~
2*
M,.< 324.PaoBLÈM)!. D~efMtttef e~mett~
CHAPITRE V. TMÈOME OKS LOOAtUTMMES.

I. Notionspréliminaires. 826. On appelle/oyoft
e

t/Af.CÈHHË.

2~S

n. himunllnn :dnnl:nnn soitle nombreJ'dn..I:dnfJ.u représente par y, t'equationidentique M==a'°' dont on ferasouventusagepar la suite. S28.Supposons que, dans l'équation;='a~, on fasse passer y successivement partous les étatsde grandeuret que,par onparvienneà calculerles valeurscorun procédéquelconque, dox; l'ensemble desvaleursdey et de x constirespondantes tuerale ~<~me de logarithmcsdont la baseest a. en attriCommeon peut répéterla mêmeséried'opérations buanta la basea tellevaleurque l'on voudra,il s'ensuitqu'il existeMMe t'ttt/e' de systèmesde logarithmes. ne ~e)f<~e prise ~ow base <<'«?systèmede 829. Z.'MM)'~ ~aW(/<MtMcar,en faisantvarierx danst'équation'= t*, on obtientconstamment
~0

PMKOfKa

HOM&fM ;MM< plus~<(<jt,
~-===–3,o~

lesfractionscomprises entre t conséquemment, et-

o==–w; et

ont leurs togarithmescomprisentre o ot–), –Tj-et–j–: et –?, –a et –3. ce qui prouvelu deuxiento partie. S3t. 2"CAS.Danstout ~N~Mede logarithmesdont la base MOMt&fM M


U'At.GKMtK.

X47

nm r~ l'on hnettct.st pose ~"a;==o,.f==– t, ~==–a, ~===–3. ?==:–M, 2'C==0,J'==t, .f==M, .='j.<-==«?, dansl'équation=a*, on trouve!M) 1 1 r 1 ° <~==,~==~y==~,y==~==~, 2''y=='t,~==a, y-~o', ~==a'=s*==o, d'oùl'ondéduit,par la définitiondeslogarithmes,

<'

t ==o, 0-=:–t,

-?==–a, /oy&–=–3, ~w!== -te, M 2"/o~t'==o,~a==t, ~a'=='a, /oya't=~o==w; de là il suit < que les nombrescomprisentreles expressions croissantest et et et ont leurs logaa –, a a a a -L rithmescomprisentreo et– !,– t et –a, –a et–3, 2° queles fractionscomprisesentreles expressions décroissantes t et a, a et a' ou8 de 11 est égala 3 et que n est < a~ou t6 ainsi,le logarithme de'ce logarithme estdonc3. plusunefraction la caractéristique

248

ftUXCtPES Il. /'ro~'<'<~ des ~
337.~e ~artf/oMe d'MM est égal f! la sommedes pro<<«t< ~
u'AmiiMM.

249

/<~ ==/0. y', /o~ est aussi >

et parsuitelog~7 est positif;

si
J

539.Le
~SO PMtSCtPEB est <~a
m

h~~

~=~f==M-T,r~

rel="nofollow">

d'où résultent

~et~ r ? m M S42.Voicideux exemptespropres n faire concevoirle parti que l'onpeuttirer desrégiesprécédentes 9 ~5~T~

Ciclt log log

d

9 C~di 5 o-i-? &'–~c'–/og 5 b-3 /(~ e–~ o-t-a

ft

ù

f

7 log «+4 ==

==
A<

~C'=.

t~c' 543.Leslogarithmesde quatre ~<MM<~en pfopof~oMpar <'oK~<«Men( une quotient e'
l

U'At.diiMK. on aura

A==
~2

t'tttxcffEs

t'unitudu M" ordredécimai==-'== ,ot0 et l'on tirede là, à causede la définitiondes décitogarithme:! maux, <(tsuivideMxcros)==H, ~(i'unitëdun'~ordred6citnai)==–M. Si l'onfait dansces résultatsM==o,K=t, ?==9,M===-3, il vient I===0,t()==-=t, to0=a, t000==3, i==o, o, t==–i, /o,ot==–a, ~o,oot==-'–3. 8i.9.La f-aroc~'fM<~Me dM~ctrt'~Me décimald'MM tiom&fe plus ~<:M~que ~'«K<~se compose~'to'p<: fo", puis,en prenantles logarithmes(548), .?– ~p<M; ainsi, l p, étantcomprisentreM–t et tt, est éga) a ?– plus une fraction;doncla caractéristique de ce logarithmeest M– c'estprëc.sëmcnt ce qu'il fallaitdémontrer. On voit, d'aprèscette proposition,que la caractéristique do est 3 et que cellede /.ay,a6t est t. ~.35.~ S80.La ca)'<:c<<)'<~<~)M << /o~a!'t
O'At.GKBM!. 263 1 1à 1 <~+,==~up==-(~; or, r étantpositifet pluspetitque seraaussi l'expression i et positive plus petiteque l'unité doncta de caractéristique eSt--fa. la caractéristique Ainsi, de
~==-~+')+/

ce qui donnenaissanceil un nouveau genrede logarithmes,car on peut .-egardc.. -(“-]-,) coanne!a caractéristique du logarithmede la fraction, et r comme sa partiedécimale,et alorsla seulese trouvenégative;pour ne caractéristique point-confondre cesnouveauxlogarithmes avecceuxqui sontentièrement on est convenude placerle signe au-dessusde la négatifs, ca.-aet6risti~ que supposons,pour fixerles idées,que ta soit caractéristique -3 et la partiedécimale 0,4567865,on écrira3'456';865 et cetteexpression équivaudra a–3+o,~865. 582. Si FoKmultiplieOM l'on divise une quantité par <Mw<e ~M de n zéros,le ~
284

PRINCIPES

tes membresde choqueéquation, et, en transposant t«"), ~-K==~X ~=~JL ~53. De)u résulteque let /o~(tW~<mM~<Mlest
CHAPITRE VI. CONSTRUCTIONET USAGE DES TABLES DE LOQARtTHMES.

L

nombref
55t. <" PaoBLÈMË. ?'ro!t)'e~' le /o~an t et b> ou a < t et &< auxquelscas,ainsiqu'onFa vudanslest)°*833et 634,lu valeur dez est positive. Onfera;<'==o,.c'==t,a;n=:a,==3, jusqu'à ce que l'onparvienneà deux puissancesconsécutives MetM-}-t 1 de a, qui comprennent le nombreb. Si a est > t, on aurales inégalitésb> a"et < a' ou,en remplaçantb par a*. <~> a"et o~«[°+' de là récitent cellesci ;c:>Metza"+', ou, a* a°+' de ta résultentencore(90,j;j>tt et .
o'Af.&Èexf!.

2SS

est essentielde remarquerquefa vaicurinconnuede .f doit être ptusgrandequet'unite,car, si )'onavaita-'<(<, il s'ensuivrait et >' .?-)-), ce qui est impossibie;substituantdans l'équation(a),it vientsuccessivement

<;?=,JL.;

désignons,poursimptitier,~-par a'; puis, éievonsles deux membresn lapuissance .f' et transposons; noustrouverons «'== o, (b\) équationdemêmen~turoquecelledontnous sommespartis; en y faisant,commeci-dessus,;ï'=t, <(-'==:<,<==3. ou dcterminerales puissances consécutives M'et }t'1 de a' entre lesquellestesecondmembrea est compris;onaura en conséquence, a uneunitcprès,.f'=M', et par suiteunedeuxièmevaleurde t, sera a ttendu qui tropforte, quecellede est troppetite. Pourapprocher davantage,posons;t'==)~- -~ct substituons dans (b);t'ëquation résuttantepourraêtredéduitede (li)contme cettedernièrel'a ëtede (a);ainsi,en représentant -~7-par a", it vient t r ~=. (c. équationexponentietto que l'on peut traiter commeles prccédentes;soitM"lavaleurentièrede -r" onaura ~"==M", ~'==M'~–– j.==~+J-~a* 'c et, par deuxsubstitutions, une troisièmevaleurde a-; co))e-ci seratrop faiMe;car,de ce quela valeurde.f" est trop petite,il s'ensuitquecelledaj' est tropgrande,et enfinquecellede x est tropfaib!e. Si l'on posedonouveaudansl'équation(c) met=t ~"+y7.

t

ai"p

PRMCtMS

M6 nn nruav onaura

rr r ar, <=«", et, cHappelantK'" la valeurentièreapprochéede x.==?' =n

161 -n ~'==M'+ -7, T=le+ .C p x a;=M"+-4i7. .<* a-==M~T; t

d'en t'ot) conclura,au moyendetroissubstitutionssuccessives, une quatrietnevaleurde x; maiscette valeursera trop forte, commeil estfaciledes'enassureren remontantde la valeur de j- qui est trop faible,à cellede x. Si, en continuantdela sorte, on trouvepour l'une desquanunevaleurentièreexacte,il est visibleque titésx, T', .c" s'il en est autrement, le logarithmede b sera commensomNe; ce toganthnx)sera incommensurabte. Ausurplus,il seratoujourspossibled'estimerle degré d'approximation,car, de ce que les valeursapprochéessuccessives desont alternativement plus petiteset plusgrandesque sa veritablovaleur il suit que l'erreurcommise,en prenant l'une d'ellespourx, est moindreque sa diuercneeia la valeurapprochée précédente. Présentement.,si l'on avait a > t et b < t, ou a < i, et & > t, suppositionsen vertudesquellesla valeurde x est négative(voyezlesn"' 533et S~ onferait.c=–y, ce qui changeraitl'équatione" <=b en b et au= eta''==–; a""==&, d'où -==& aw.b, 7i; au ëtunten tnemeteuipsplus grands ou plus – petitsque t'unitë, cette étjuationexponentiellepourra être résolue par la méthodequel'on vientd'exposer. Soit, pour exemple,il calculerle logarithmede ta, à 0,01 près,dans le systèmedontla baseest 6; si l'on poselog ta==. onauraa résoudrel'équation 6~= ta; on voitsur-te-champque6 est < t a et 6' .> t a doncx= f, a une unité près. les nombresa et

C'ALGÈXM. Faisonsdanscetteéquation.).==.,

-L. ta loi de déductionmentionnée plus haut,

2Sr i1vient,en empluyunt

ou a*'===6;

[!i<:f;)'==(j

or, a' est <: 0 et a' >6; de là résulte, en nous bornantaux 1 1 unités,11:=11; UOI6&, z'= a; cconséquemment 11:=1 ons.quemment 1 ou-1 z~t-4-i, a a ,-L-– 'a 9x près. Posonsencorez'= a-}-n et substituons;noustrouverons < OU a'/ ==9

(6

a

t==a

puis, en observantque est 9, ?"=== t d'ou z't=a- -<==3eti<;c=t-}- L'erreurcommise est moindreque t -{–

t

où-



En posantie"=== t-}- y; dans l'équationprécédente,on trouve 3\ 3 t==-3 ou /4\ a:a~ ax \3/ ~) ==-;a' ici, ~est <

et

donc ?'"==i, n une unité près,

~j >

et par suito I .<==,==9, 1 1

1 5 Z'=a4-~==~Ct=!-t-! a a

L'erreurest plus petiteque 14'5 Si l'on fait.== t ~J'4 \9

Il 5

ou -4 i5

–y, on a cette nouvelleéquation ou

3/

–t –

5 ~==! a

3

~=4. ~8~

3'

d'où l'ontire, en négligeantles fractions,;["==!a, attenduque /Q\' /()\' < on a par conséquent que > 18) § J est

288

MHNOfM

t1 3 “, ~'+.+'+'~==T

3

,)

5 S

5

t3

5 ~'+'=-5'=='+735 -jtj ou M

a L'erreurne peut s'élevera t -t- 7 – t &

Soit a;"==a-r- -7 on trouve,en substituantet on remarquant ~(~ /4

8t\~

o

/a56~'

t)

==§' (~64) "8 il est facilede reconnaîtreque le secondmembreest compris entrele carréet lecubede l'expression renfermée dans la parenthèse donc;e'==2, et de )a ~.+~=~==~ ta 3t ta ,3't a;c=!a4-t –== –. 1 -B===t+ :–==!-{ta ta ,;t y L'erreurestalorsmoindreque t + – – -r ou –; ainsi, .)t tj <~o3 en réduisantla fraction en décimales,ona t9==!,38. 8S8.8' PnoBLÈME. <7M e
et dansle second ~B

t

~-==a ==T––. /'aS

D'ALG&BKE. j~Sg w.m .v.· 1S'! sagtt, par exemple,de deterininerle nombre y qui cornu respond (ogarithmet, t~ du systèmedont ta baseest M on obsorveque ifM& <) ),~j=-–– ==
Cetteegatitdne peut avoirHeuà moinsque les exposantsde ne soientégauxdans lesdeuxmembres eneffet,si q, r. les exposantsde p, par exemple,étaientinégaux, on pourrait diviserpar la plus hautepuissancede ce facteur,et l'onobtiendrait une équationdont l'un dos membresseraitentieret dont l'autreseraitfractionnaire, ce qui est absurde.Conséquemment, ona ~"t~p'wt,

<)'"?== ~'
260 ~tt.i'a-outon ure J~L~~

PMXOPE8

M'

~1–~L '"K

"M'

et par suite

Pt y" p f/" ==. (n r -7-=~T.=~–r p' 857. Lorsquela base est le produit de p~Mt'e«M/
1

C'ALUÈMŒ.

g(~

équationau moyende tauuetteon pourracalculerle logarithme de )i;, quandon conntutraceuxde a et de 3. Soitencoreà trouverle logarithmedo3o. on a 5o.x3*X7,

et, en prenantles logarithmes, /oy 5o~ ~x3'Xy,==~ M~hy 3'-t-/oy 7 '==3~!<-t-}i/o~3-oyy. te Ainsi, logarithmede 5o.)peut se déduireimmédiatement des desnombresx, 3 et 7. iogarithfnes 669.les tablesdontnousferonsconstamment usage,contiennentles logarithmesdécimauxdes nombresentiersdepuis jusces o nt qu'àtoooo; logarithmes septdécimâtes;chaquepagede ces tablesest diviséeen troiscasesséparées, deux a deux, par un doubletrait; chaquecaseest sous-divisee entroiscolonnes la renfermeles nombres;la deuxièmerenferme premièrecolOnne leurslogarithmes;enfin,la troisièmefait connaître lesdifférences entreles logarithmesconsécutifs;cesdifférences exprimentdes dix-mittioniemes et ne sont indiquéesqu'a partirde la case où se trouvele nombre1000,parceque lesprécédentes, commeon le verrabientôt,ne pourraientêtre d'aucuneutilité. S60.PnooLhtR. Connaissantle logarithmed'unnombredans un certain ~~we, ~oMoefle /og<:n
2M!

ftttSCtfM

~
Si

l'onconsidèreen particulierte nombreta, onauradonc, .== =1, 3868" l~~ <.b = o,~8t5ta. cettevaleurdeL,ta s'accorde,à un centièmeprès, aveccelle trouvéea la page258. IH. MK'i~M relatifs à /'MM~<' destables. 661.La différenceentre les logarithmesffe <~eM.c MOM&rM est d'autant plus petite ~)(ecesnombressont jf~M~f«M~et qu'ils diffèrentmoins.En effet,si l'onconsidèrelesdouxnom-' bres~+Det .y, on aura (838) log ~D)-=~( t+-P.), ce qui fait voirque !a différence entreles logarithmesde~+oD et de tendrad'autantplusvers log ou zéroque la fraction – seraplus faible, c'est-à-dire que sera plus grandet quoo seraplus petit. 1. 863.De là résulte,en supposantD= t, quo les
U'ALG~Mt!. g63 entre <~Mtermesde m~mcys?~ <
,==<Xi; w y en et, substituantdanslesdeuxsuites, ~y+", y+an. ~-t-ma ou Y, (g) ~y, y)y)." ou Y, (h) on obtiendrales valeursdes termesdontellessont composées. Celaposé,observons quela sommedesm différences, ~–y.y'–yf, y~–~f' yr"–)" entre les m + termes de la deuxièmeprogression,considères deuxà deux,estégaleà yf–i/ ouY–y, et que par conséquent la moyennearithmétique entretoutescesdifïereDces est ~H~m .ou a. Or, en les mettantsousla forme ~–'),~–')~-(''–t)t'(r-))'°' on voit immédiatement qu'ellesconstituentune progressionpar quotientdont !a raisonest encorer de là il suit que leur moyenneRest compriseentrela plusgrandeet la plus petite, et que l'ona (f–!) R, j'(f–t)f*>R, attenduque Yest >y)'°" si l'on imaginedeuxprogressions Actuellement, par différence ayantpourpremiertermer et pourraisonsY(f – t ) et~-(f– t il est visiblequedeuxtermescorrespondants danscesdeuxsuites les termesdu mêmerangdans(g)et ~h) donc,en comprendront entre les termesdu rangM-1 dans les appelantjr la différence dernières,on aura ~<[~+MY()'–!)]-[~+~ {)-–!)],

M~ l_! ou bien, en réduisant

PMMtPM

~<M(v–~)~–t' (j) Déposonstestermesde (g)et de (h)dansun ordreinverse,de manièreque les termes précédemment du rang ? + <soientdu rangm–tt-t-t puis, imaginonsdeuxnouvelles progressions par ditïérence,ayantpourpremiertermey et pourraisons–y(f–t) et –Y.–'); deuxtermescorrespondants danscottes-ci comprendront encoreteb termesdu mêmerang dans cettes-tà, et par conséquent,il viendra < [ï--(Mt–(f–.)]-[Y-(M~Y~,) 1 les catcuts, ou, en effectuant ~<(~-K)(Y-~)(r-.). (k) Ajoutantles inëgaHtés(j)et (k) membrea membre,on a 3~<:m(Y–)(r–t); or, de l'inégalité(ij on déduit, en remplaçantn par y–.y puis,en substituantdansla précédente et divisantpar a, ~JYcest prëcisément co qu'il s'agissaitdodémontrer. 864. Les(f~'eKCMeK
<=(!

~–

(t) ~==– désignentévidemmentdes nombres plus petits que

et l'unité; il est visibleque la proportion n:

d

(~

t)'ALOÈBM.

265

t.l_JL'

équivautà t'ëquation –))
et, en représentant

par a,

~=. a 9 d, y ou bien encore,si l'onchasselesdénominateurs, <
~=V"~ (<).

j-'==yo')''==j-

dtp i

( <)

ce qui nousapprendque est le ;t-~ termed'uneprogression par quotient,dont le premiertermeest et dont le ?- t* termeest y". Or, si l'on conçoitune progressionpar différencecomposée de y-1 termes, et ayantpour termesextrêmesr et sa raison sera expriméepar -*––– et son p +1" terme par +

(~"–);

donc,a causedu iemmeprécèdent,il viendra

~(/< et, en remplaçante-"– et~'–

par o et "~c, Ht t) !)* Mt C t) .–D–c<–, ou, -–.–<:–, (n) ? M de aprèsavoirdivisépar o; ce qui prouvebien que la différence a

estd'autantmoindreque est plus grandet que o est

q pluspetit.

SC6 MUNCX'ES Mu. PROBLÈME. Déterminerles limitesdes erreurs qua foM peut comMe~'een /f<M
M

c et

e

soient

connues,et qu'ils'agissede calculer-S- d; la proportion(m)fournira-d

d au lieu de-S.

par conséquent,l'erreurcommise,

abstractionfaitedes signes,sera (-~

<

expressionqui,

a causede t'inëgatité(n),est moindre que Dans!e casde o~ x, d estta différence des logarithmesdes nombres~'+ti et y, et tatimitede rerraurestsi l'on fait

rm

~==tuo, on aff=/.tot–too==o,oo~!3y.etparsuito oB –==: o,oo/{3at3?. –––––<– ==o,oooo:u6. a.too ee; L'erreurpeutdoncMuer sur lescent miiiièmes;voitapourquoi l'ona pu se dispenserd'indiquerdans les tables!es différences des logarithmes consécutifs de )oo &tooo,et, a plusforteraison, cellesde t a toc.. il Si l'on posej'=tooo, auquel cas <~==
d soient '< o

D'ALGÈMM.

267

données,etqu'it s'agissede déterminer- n. La proportion(m) fournit

o uu lieu de p; t'erreur commise u M f~- ?/ \M sera donc,a causede (n., moindreque dans l'hypothèse -~– de D==!, cettelimitedevient V Dansto cas de '=" ooo, on a t –– :=s = ––––– = 0 a.tooo O.OOOU on pourraitdonccomptersur les trois premièresdécimâtessi la 7

fraction-S-était entièrement connue;maiscommeellese déduit de l'équation ~=~:< q ?q et que la tablene donneque le premierou les deux premiers chiffressignificatifs de la différence d, il s'ensuitqu'engénéral on ne sera certainquede l'exactitude de la premièredécimale. IV. Usagedes tables. 566.
M8 nuKcn'tM ? pour MMMMt~' de dilférenceC~e /Mdeuxnombre' Ct!tiers t'MM'<'Mt!<
o,oooto6g

o,~

.< 7

t Il

f,

d'où l'ontire ;=='o,ooooy483,ou bien,en supprimantla huitièmedecima)e,.c==o,ooooy48; conséquemment

`

/.4o6t,y==/.4o6t-t-.r==3,6u8633o-{-o,oooo~8=3,6o8yoy8; sij'ometsmaintenantla virguledans le premiermembre,ce qui revienta augmenterlesecondmembred'unounité, il vient /.4o6t7== 4,60870~8. S68.8' CAS.?'<'OMee~ le ~ayt
e t)

b

e

O'At.CÈBM.

2C9

W.a3 ~<==~'65–y==it,f~83~–o,8.;5oQ8u4 ==t,3y:!385go. 2°<. ~=/.45t–~tCit3~!<,65~y6u–3,Bto3t85 ==–o,55(n<{ao.

Si la caracléristique de ce dernierlogarithme devaitêtreseule négative,onferaitusagede la règlesuivante,dans laquelleon désignesousle nomdu eom~'me~ d'unnombrele restequel'on obtienten le retranchantdo to le logarithmed'une /fat~oK e~tégalCMlogarithme<<M ttW)M~a<exr, augmentédu complém
370 pMxctpEs q; élattb. rld"I.t1Iu. J"u,1. Si la 1~*ir.,oâ».. f/M-e/o~afK/tmM pour 1. différencede co?MM!«< a MH< «tt;~ de
C'AM~BBK.

g7)

t de rangsversla gauche Kaucheque nuet'ena aioutéd'unités virguled'autant ajouted'unités au logarithmedonne. Soit, pour exemple,le logarithmenégatif–a~MMot~;j'y ajoutea-}-~ ou 6 unités,ce qui donne3,5~3tg86;or, celogarithmecorrespondau nombre3~3, à une unitéprès; doncle nombrecherchéest o.oo~ à un tnittioniefnc prés. 573. 3' CAS.Trouverle Mom&re à un loga.~M< co~e~oH<< f«/tM<dont~tcarac~W.~MeestK~a~eeetla partie <
272

pMuctPEs correspond,<"au logatithmedécimal4.s6y9Ha3; 2' a – a,5y83138 3° a 3,4670899. Rép.4. <8539;2° o,ooa6.;o5;3'0,00x93~. CHAPITRE VII. APPLICATIONS DE LA THÈOKtË CES LOCAMTUMM.

I. Usagedes ~o~oft~~Men arithmétique, 879.MULTIPLICATION. Onprend la sommedes logarithmes des nombresque l'on veut multiplierpour avoir le logarithme(te leurproduit(331);on cherchele nombrequi lui correspondc'est le produitdemandé. Soità effectuerle produit3~x46ayX5/{M); ona

<(~aX46ayX54!t9)~ ~9-)-~697+~.5439 ==a,534o96t+3,6659995+3,98 ==9,9340454; en suivantla règledu n" 6~0, on trouveque 9,9340454estle logarithmede 8S9to3oooo;tel est doncle produit cherchéà tooooprès. Lorsqueles facteurssont plus petits que l'unité, il est plus simpled'opérerparcomplémentvoiciun exemple ~iZL)=,~i~/2ZL a3 d t t5a a3 467à 46y3;S~d t5a' 4673 46~3 ==<.a3+comp.<. )5a–to+/. tyt+co~46y3–to ==f,36t~84+7,8t8t564t+a,939996tt+6,33o4o4ao–ao ==3,~43x8456ou 3,y43a846 cedernierlogarithmecorrespond au nombreo,oo553ya. ona doncle produitdemandéa o.ouooootprès. On retranchele logarithmedu diviseurde celui 580.Dn'tSMff. du dividendepour avoirle logarithmedu quotient(838) on trouvele nombrequi répondce dernier,et on a le quotient cherché;si le dividendeest moindrequele diviseur,il est plus expéditifde faireusagedescompléments. ~J(35a 45)==~.35~–<.45=3,54654s66–t,6533ta:t.· '==o,89333ot5=~.y,8aM. ==' de là 35a et 45 y,8aaa.

M'ALd~HE. y~ ~O~t )~~ t~~t 2' ~em~. <(45{)SC~K) =a/{59-~ comp. 86~– t o ==a,6Gt8tay-}-(),o6338~–toc=.n,~5f98.~==~.o,o53na. et par suite 86~9==o,u53na. Mt. FoMMATtot OESpNssANCEx. Onmu)tip)ic)e togarithnte du nombredonnépar l'exposantde ta puissanceque l'onveutcalculer,afin d'obtenirle iogarithftx;de cettepuissance(MO);on chercheensuite&que!nombrece togarithtneappartient. 'f~. /.3'~== ~.3==tyX o,~y)ata5==8,n fo6ta ==/.tagt~oooo; consequemment3"==ta9~oooo. r

q

r

2'

/(~-)'==y(/.35+cc~J.6a-to) ==y (: ,5/}4o68o/{-(8,aoy6o83! – to; = y(–j-o,y5 t6y635) ¡ '=="y+5,a6ty344 ==~t73~==<.o,ot8}!y. 35 d'où resutto(–)

==o,ot8ay.

682.ExTUACTio~t CESHAONEs. Ondivisele logarithme du nombre donnepar Findicede la racineque t'en veutextraire,pour déterminerle logarithmede cetteracine(S4<);on chercheaprès celale nombrequi lui correspond. iM < t*7– ~.36a? 3,55o5~76 ~'Ar. /36ay==

–~–~==

-i–L-.i<-=-(,()'; :J

e=~.5,t5ta.

donc 36ay=s5,t5ta. t

~.a-r-co~3-.o 3 y y = o,3o t o3ooo-}-<),5aa8y8y5– t o <),8:;3t)o8y5–(o

QdJ:'X..l. ~~i/ Y3

t3,8a3go8?5–t~ == ==–––z––L t.~844.-at

.,9~844.

~o,g43ya.

par conséquent)~' n '=='0,~7! 48

2*~

PRMOPRS

Kot 683.

e*t~t~)-t«t-j~t Soit a déterminer

en prenant

te 4* terme

35():!y::aMï: on aura logarithmes,

les

de

ta proportion

(M3)

t'equi-diftërenee

~56Jty:<sMt. d'où d'on

l'on

tire

~=<.t7+~.a56t–<.356~t,a3o4<;89+3,4o84o96 –a,55t/{5oo==a,o8y.{o83 et par

suite

684.

=='~

taa.a~

.<'=='!aa,ag.

Soit

les nombres

~nHa

à

9,

et

8y

trouver

une

moyenne auM (845)

on

53a;

entre

proportionncHe

~9X8~+~d~a o,Q54a4a5

d'où

l'on

t+t,9395t9a5+a,y:5gn

=t,8y3aa44=.683. !a moyenne que

conclut

II..R~oM<w

585.

cherchée

~Ma~ott~ des

Soit

d'abord

63

est

~,683.

e~oneM~MM


~er

~ym'<
résoudre

~M
du

M~e~<e~

ordre

premier

a'=A, dans

laquelle

prend

les

a et

& désignent des

logarithmes log

des

deux

quantités

d'où

a=~

it

membres,

si

données

t'on

vient

.r==
Ainsi,

de

l'équation

/.a3

886.

Soit,

on

y'==a3,

'T7'°o~45o<)8. en second

<
(ht

tire

et de

.f~.y==~K3,

la

t,36tya~8

à tirer

lieu, second

!a

valeur

do x dans

~~«0-

ordre
e!)e devient, l'exposant

en de

prenant

les logarithmes

et en

regardant

a, &
e

ou

c & M~O

&'comme

U'ALCÈMOB. t.. < ~t

~,),)Si l'on prend de nouveaules logarithmes,on trouve, après avoirdivisépar a x ~og'<'–o~ log G N87.En traitant~xe~'oM e~oKeK«e//e<<M ~o<~Me o?'~

a~=d commeles précédentes, on ondéduit A
log (~

688.Fil s'agissaitde résoudrauneéquationde la forme a'"+"e=~ on prendraitencorejes logarithmesdesdeux membreset l'on aurait (?.?-(-?)
2m et en divisantpar log a, puis,en prenantles logarithmes, x~–

(~i~4")'–

~FM–~ a ~0<jf
s

270

PMSCtfM

UI. jK~M
des ~Ma~e

(/<-)'tt<eM ~'o~MM

~eM
par

M/«
~«0
590. PaoBLÈME YII. D~ermtH~ les deux formules

Reprenons

<=o~ nous tirerons d'abord

a e< n, coMttawetX du ne 8100

), r e< s.

(a) ~)==h--
(b)

a=/)~–t(f–t); les logarithmes de !a première

ensuite prenant nous aurons

aux

<<~ o-(K-.t)

et transposant,

fi=~

d'ou Il log

<–~

«'


(/)--M')
59<. PMBLÈME VH!. De'<
et n~
1=

'1

f

892. PMBLÈME IX. D~e~Mer On déduit

~==

< r

n e< r, <'omM<M
de (b) et

par

)'=/o~

suite

de place les membres

changeant il vient,

a

~(~–<+a]–/o.

/o~ a-{-(t!–t)

i

($-.0)–

de (a) et prenant log )'=/oy

les logarithmes,

1,

d'oit n =

~o~ 1+ ~f

693. tMM.&Mt!

s r



~~(.!–s,–
X. D~efouMef

On tire imtnédiatement

log

n

de l'équation ~–o 1'-1 i

s, eotH)OMMM< a, (b)

e<

r.

877 D'ALO~BM. desdeuxmembresde (a), on si ensuiteon prendles logarithmes obtient d'oll ?==) r4- + logl"loya ~==:~s-H
278 t'tuscu'Eit s'éièvoà A joo, en sortequet'escompte on dohorsd'unesomme do Soufrancsest tropfortd'unfranc. Si l'intérêt,au lieud'être relatifù un an, t'était&un nombre de jours m, on observerait que Hntéretjournalierd'un francest r M5, et par conséquent, il summitde retnptacer dansles résuttutsprécédents r parnr 365. M&.PMBLÈMË. D~efmwerla relation qui existeentre~m<e'r~OMttMe~ d'MKfranc, une somme~«e~coK~ea, nombre n des années~eKd
1

~A==~0+M~(t-}-r). (c) Onpeutdoncdéterminer l'unequelconque desquatrequantités A,a, n, r quandlestroisautressontdonnées.Delà résuttontles solutionsdesquatrequestionssuivantes <° De(ermtnpfla MmmeApro~M)<e par une ~<M)ttKt a.~ac~e ) en intérêt composé,à raison r pour un franc,pendant n r années. L'inconnueAest donnéepar ta formule(c).Supposons
O'AMÈMRË.

279

~t't. ~t ~'<M~ ~~<~t~~< t'AOCettequestionconstituela règle d'escomptecomposé;l'escompte,commepourl'intérêtsimple,est exprimépar A–a. 3" Déterminerle nombredes années n pendantlesquelles une sommea doit ~?'e placéeen M~ composéet a MMOM de r pour un franc, a/ÎMdeproduire une sommeA.Ondéduit de i'ëquation(c) ~A–/0?0 a ~(' Si l'on demandait!e nombred'annéesessentielpour que la sommea devintp fois plus grande,c'est-à-direpourque Fonait log A==~ ~-}-/o~a; il suffiraitde substituercette A'==)MtOU valeurde log Adanscelle de M,ce qui donnerait log p ~(.+n Si l'on supposep=2 etf=:o,o5, il vient«'=' 14 ans '"°~' Si l'on supposeencorep=~toooooo et fc=o,o5, on trouve n-a83 ans z mois. 4" Déterminerle
à calculerla valeurde i-~ queje désignepar et cetie-ci~en'ira K; on auraalors t~-f==t{, d'oùf==K–t et joof=~too(K–i). UnM~OMtK,qui doit A/f., veutse KMfef 896.PROBLÈME. enn paiementségauxeffectués
380

PtUKCH'tM o~t-t.

a't-f-f;–a

"T~ et de là

=-~+'

ou

a

[[. ,t]~ r)

]

Il,

n.

u,<=~ rel="nofollow"> .'+'')'– ou, en prenantles logarithmes,
U'ALGÈBM. S!8< cerner de c/
» a log 604. PnoBLÈME. Un po!'
log b

FIN DU TROISIÈME ET DEHMER UVRË.

TABLE DESMATiËRES. LIVRE1" CHAPITRE 1~. A'O~OM
Butdet'Atgebre. De quelques autres notttiom de t'ttgtbre. B"difMrentetetp
t 8 0 9

CHAPITRE H. ~
el ~OM~~e~oM a~e&r~MM.

B~ducticndMtefmettemMtbtM. AMit!ono)gAb)-iquc. SouttMOieoat~brique.

«f <S

CHAPITRE 111. ~M/C~OM 1. tt. t!t. IV. V. Yt.

~~n'~MC.

MuhtptieittiondetmonemM. Mu))ipticot)ondMj)t)ynemM. Sur te produit de p)ttticur:pe
10 <8 <8 ~9 S2

CHAPITRE IV. D/~tOH algébrique. f. Il. tV.

DivitiendMtnenomet. Det'expoMnto. Tt)e<)riedetexpeMnt<Mej;
g)! M 97 M

284 V. VI.

TABLEDESMA'ftÈHM. Kemarquci sur la divition des poiynutoe" Sur la difKrcneedes puissancesm de deux quantité*

P<~M. 33 SU

CHAPITRE V. ~rac~OM /<~a/M. 1. tt. H). )V.

Ori~inede
38 39 40
CHAPITRE VI. Formation ~M /)M/M
Ge<)eM))te' Sur les puissancesdes nombre! Toute! les puissances d'une fraetioMirréductible
1. Il. ttt. IV. V. V).

<3 ~4
VII,

de la racine carrée (/es nom&rM.

Principethodamentaax. Extractionde la raeineearrcede<nombres entiers surla regtopreeedente. Remorques Extractiondela racinecarréeparapproximation. Extractiondela racinecarréedesfraction' Extractiondola racinecarréedesnombreseomptexm.

89 SS 97 o7 00 M

CHAPITRE Vin. &<M~OM t. Il. nt. IV. V. VI.

racine CMMyM<~ MOM~M.

Prtneinet fondamentaux. Extractionde la racine eubinnedM nombresenttert. Remarquessur la règle précédente. Extractionde )t racine cubiquepar approximation. Extrteti"n de la racine cubique des fraction< Extractionde la racine cubique des nombrescomplexes

03 M 60 07 08 7)

28B

TABLE MS MAT~BM.

CHAPITRE IX. Extraction

<~ racines
algébriques,

L )i)ftrMtio))de!M<;it)Mdettt)ot)omM. t). Extractiondela racioecarréedet polynomcs. 111. E)ttroet!en<)e)arae)))oeuhiqMedetp<)t)'t)en)M.

paon. pf)~<. 71 7< ?0

CHAPITRE X. ?V~oWe
77 M 80 81 M 88 M 84 8t 8!! 80 88

au Cliapitre ~Y. ~M/tM< DëmoMtretteoélémentaire de h formutedn binômede ~w<eM.

89

UVRE! CHAPITRE r. Notions ;M'<<M«MHrM. t. t!. ttt.

M<e)M)!oudetprobtemM. Notion.glln6rolo. sur lus IIquolions. TraMforntttioMdeseqMtieM.

93 M 97

CHAPITRE MM<MM/Cinconnue. ~M
2M if. )tt. tV. V.

TAM,BPE8MATtÈM9. <*t<M. M<etu(ie«dMtqMttontdttpfemierd~r~nne toute inconnue lui K~~otutiendo ptmieur) probtemMdeuttet()ot)t)
7~'Ma~o~ et~o&~MM t. tt. Ut. !V. V.

~M~cM~

f/
inconnues.

ÉquMi~MdupMmietdey
~7 121 <2t <S8 M3

CHAPITRE IV. Discussion des problèmes. t. Il. Mt. IV. V.

i~ )M <S9

CM'id~ratiM~g&n~rtttM. Sur)<motHtioMn~atiMt. PMbtëmedotceurfieM. AutMprobttme. Pfob)AtaeM)')e
~0

CHAPITRE V. Discussion ~~ra~

n. t!t. IV.

des ~M~M<

du premier <

Discussiondos ~quotiont&une seule Inconnue D!teMMiendes
t<9


CHAPITRE V!. JS~M
problèmes du MCOH~<~f~

d une soute Inconnue.

Mietotton ot discussiondet équationstocamptAta~ Résolutiondei Aqattiem centpMtetdu seconddegr< Relationsentre les McinMet les MeOteieat!).

<09 <7t <70

TABLEPE8MATtÈBM. IV. V.

287 p. <~M

KeM)utio(tdeque)quetprob)~Met. )!MMtt«.

<77 <M

CHAPITRE VII. Discussion dell <~M~/OM et des ~'O~MM du second degré. 1. Autre tnan~fe de présenter la théoriedet équations du second i88 deaX. Il. DiteuMiondMretine! <M t)t. DittMtioKdes problèmesdu Meonddegft. i96 CHAPITRE VU!. 7!~oA«
LIVREIII. CHAPITRE I". Rapports ~;M'0/K)~t'<MM/!W
RepporttpafdttKrettce. Proportion*pe)'<)!
S06 307 210

CHAPITRE H. /<M'~ t. n. tH. !V. V. Yt.

et proportions par ?MO~M<.

Rapportspar quotient. Propo)'tieneptr<juot!<)nt. Sytt~medepfopetlioM. Changementsqu'on pem foiredans une propeftiox. St)ttedtrappo)'b<'gtt)x. EïereieM.

9Ht M5 8)? 8i9 2M 2M

CHAPITRE t!I. P<'O~~M«!K<par <&~WMC. t. Il.

D
29)t S20

TABLE DES MATIÈRES.

t)t. IV.

j P''e'e
SS OM

CHAPITRE CHAPI'fRE IV. 1V.

1. ¡

PrO~CMtO/M par ~MO~~ Il. t!). IV.

Miaitien et notation. ~tMf
gg~ gg)} 858 2~ n~g

i

CHAPITRE V. TA~oWedes /o~afM<MM. Il. ttt.

~P~Nit)ti<'M. ~<'t'<et)«j;)trithmM. Du systèmede logarithmesdont la base est <0

n~/ 2m

CHAPITRE VI. 1.

Ht. !V. V.

H ï }

Co~/WCf
{

il;

CHAPITRE V!I. ~~C
la ~o~

des /OyOf~~MM.

Usagedei tego-ithmMen orithmdt~ue. · Résolutiondes équationsMponemiettei. M
373 374 270 m ~u

1.

I. ¡

ftN DE LA TABLE. Il 3i


Related Documents

El Principe
October 2019 41
O Principe
May 2020 8
Electro Principe
June 2020 11
El Principe
October 2019 32
Principe Eg
April 2020 14

More Documents from "december snow"