Adeline Puichaud Miltaire Meurtier Au Tchad

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Puichaud Adeline 2nd

Etude de deux articles Libération comparé au Figaro : Opérez une analyse méthodique de chaque article : -

Titre (le commenter) accroche (5w qui, quoi, quand, où, pourquoi) faits développés (analyser l’article) prise de position (est-ce qu’il est objectif ou est-ce qu’il donne son opinion) chute (analyser la chute, fin de l’article)

Comparer les deux commentaires Rédiger un article de synthèse (qui reprend toutes les analyses précédentes des 2 articles sous forme d’un article de journaliste)

Le figaro :

Tchad : le légionnaire meurtrier arrêté •

français

En fuite après avoir tué mardi trois militaires et un paysan, le jeune soldat a été retrouvé jeudi à 10 km d'Abéché, dans l'est du Tchad.

Fin de cavale. Le légionnaire français qui a tué mardi deux de ses camarades et un soldat togolais à Abéché (est du Tchad), puis abattu un paysan tchadien, a été arrêté jeudi par la gendarmerie tchadienne. «Le soldat a été appréhendé à 10 km d'Abéché alors qu'il tentait de se ravitailler à un puits», a annoncé à l'AFP un responsable tchadien. Une information confirmée à Paris par l'état-major des armées. «Il a été formellement identifié par les autorités militaires françaises et se trouve actuellement entre les mains de la gendarmerie tchadienne», a précisé le lieutenant-colonel François-Marie Gougeon. La gendarmerie et l'armée tchadiennes ainsi que des militaires de la Force européenne Eufor et de la Mission des Nations unies (Minurcat), épaulés par des hélicoptères étaient déployés depuis mardi sur le terrain pour retrouver le soldat âgé de 27 ans. Mercredi, une source militaire se montrait, sous couvert de l'anonymat, confiante dans les possibilités de retrouver rapidement le militaire. Le terrain au nord d'Abéché, semi-désertique, comprend des collines rocailleuses parsemées d'arbres. «On leur apprend à résister 2-3 jours dans des conditions difficiles et c'est probable donc qu'il puisse mieux résister aux conditions qu'un jeune qui sort de l'université mais ce n'est pas ‘Rambo' ou ce qu'on peut voir dans certains films», expliquait cette même source.

Le soldat avait déjà « dérapé »

Le forcené et les deux autres légionnaires tués, un sergent de 30 ans, Français d'origine guinéenne et un légionnaire de 1ère classe d'origine roumaine, appartenaient au 2e régiment étranger d'infanterie de Nîmes (sud). Ils étaient stationnés au Camp des étoiles, proche de l'aéroport d'Abéché. Le légionnaire meurtrier, âgé de 27 ans et d'origine brésilienne, n'avait que deux ans de service dans la Légion étrangère. Il était arrivé le mois dernier au Tchad. Victime d'un «accès de folie», le jeune engagé, selon des informations du Figaro, avait déjà dérapé à Djibouti, en juin 2008. C'était sa première mission, il se plaignait de «coups de cafard», d'atteintes au moral et avait fini par fuguer en Éthiopie voisine. Arrêté au bout de trois jours, rapatrié en France et sanctionné pendant 30 jours, il avait néanmoins obtenu «une seconde chance» après avoir été transféré dans une autre compagnie, selon le chef du Sirpa, le colonel Benoît Royal.

Qui : le légionnaire français, les gens tués par lui (3 militaires, 1 soldat togolais et 1 paysan), les gens qui l’ont arrêté Quoi : Il a tué 3 militaires un soldat togolais et 1 paysan et s’est enfui Quand : Il a été retrouvé le jeudi 09 avril et il a tué mardi où : à 10 km d'Abéché, dans l'est du Tchad. Pourquoi : Une nouveauté est arrivée, le fait qu’ils ont retrouvé le légionnaire jeudi Il a tué car il était un peu fou, il est dérangé.

Tchad : le légionnaire français meurtrier arrêté », il résume l’article en une phrase, il incorpore le lieu, la personne impliquée, sa nationalité et la nouvelle qu’il va développer par la suite. De plus ce titre est écrit en gras et en gros pour qu’on puisse bien le voir, il nous donne envie de lire l’article, de savoir les détails de cette arrestation. Quand on s’intéresse un peu plus à l’article, on découvre une accroche qui réponds aux cinq questions : qui, quoi, où, quand et pourquoi. On découvre grâce à cela, que les personnes concernées sont le légionnaire français de 27 ans, les gens qui ont subi son excès de folie et qui sont morts (2 de ses camarades, 1 soldat togolais et 1 paysan tchadiens), puis les personnes qui l’ont arrêté, plus particulièrement, la gendarmerie tchadienne. Dans un second temps, on apprend qu’il a tué mardi 07 avril et qu’il a été arrêté le jeudi 09 avril à 10 km d’Abéché, dans l’est du Tchad. En effet il a été retrouvé dans un endroit semi-désertique parsemés de rochers et d’arbres, sous une chaleur époustouflante ce qui a fait douter la gendarmerie sur la capacité du jeune homme à résister dans un endroit aussi désertique sans eau. On apprend aussi le passé du soldat qui avait déjà dérapé à Djibouti en 2008, on remarque donc que cet homme avait un problème mental et qu’il ne savait pas ce qu’il faisait. Enfin cet article est apparu parce que c’est une nouvelle importante, le tueur est arrêté ce qui stoppe la poursuite. Cet article a une bonne accroche puisque celle-ci réponds bien au cinq w. De plus, la courte phrase située juste en dessous du titre de l’article est accrocheuse, on sait tout de suite que le tueur a été identifié et arrêté a une date et un lieu précis. En outre, la phrase qui introduit l’article : « fin de cavale » est directe et réaliste, ces quelques mots nous apprennnet la nouvelle subitement, ce qui renforce une idée d’accroche. Enfin, à la lecture de la phrase surlignée en bleu qui sert de lien « a tué deux de ses camarades », le lecteur se pose tout de suite la question : POURQUOI un tel acte ? Toutes ces idées démontrent que le début est accrocheur, ce qui donne envie aux gens de lire la suite. Pour ce qui est de l’analyse détaillée de l’article, on observe tout d’abord qu’il est séparé en deux parties. La première partie explique l’arrestation, c'est-à-dire le lieu, la date la personne concernée et il est coupé en quatre paragraphes assez courts. De même, cette partie est composée de paroles rapportées de gens importants comme le lieutenant colonel ce qui donne une certaine importance à l’article. On remarque aussi qu’il fait référence à Rambo lorsque le soldat était dans l’endroit semidésertique, la source militaire veut nous montrer que le lieu où s’était réfugié le jeune homme était vraiment très dur et que seul Rambo pouvait résister. Ces différents paragraphes sont construits de tel sorte que la nouvelle soit progressive, que l’on sache de plus en plus de choses en lisant. Le premier paragraphe comporte l’accroche, donc explique rapidement sans détails la nouvelles puis cette nouvelle est développée dans les autres paragraphes. Dans la deuxième partie intitulée : le soldat avait déjà « dérapé », on revient en arrière et on apprend ce qui l’a poussé à tué, ainsi que son passé de fugueur. Ici aussi, on a tous les détails de l’affaire, la nationalité de ses deux camarades et leur grade dans l’armée (1ére classe…). Cette partie est coupée en deux paragraphes, le premier parlant de ses amis tués et le deuxième racontant son excès de folie. Quand on regarde l’article en général, on observe que Cet article s’intitule «

celui-ci est ni trop long ni trop court, il y a beaucoup d’informations et beaucoup de détails au niveau de l’âge des personnes par exemple. De plus, le vocabulaire est quelque fois complexe mais reste tout de même accessible à un large public. L’article donne t-il son opinion ou reste t-il objectif ? Je pense qu’il reste objectif car il ne défend personnes, il ne prône pas l’armée malgré ses idées politiques, il ne déforme pas l’idée principale. Enfin, on ne peut pas vraiment dire qu’il y a une chute, l’article se termine sur un paragraphe expliquant que le criminel était déjà récidiviste puisqu’ils racontent son dérapage à Djibouti en 2008. Cependant, cette partie est différente du reste de l’article ce qui pousse à penser que c’est une chute. En conclusion, c’est une chute assez longue et pas évidente à cernée

LIBERATION :

Au Tchad, fin de cavale pour le légionnaire tueur Le militaire français qui avait tué quatre personnes mardi, affaibli, a été arrêté par la gendarmerie tchadienne près d'Abéché. •

La cavale est terminée. L’état-major des armées a confirmé l’arrestation ce jeudi par la gendarmerie tchadienne du légionnaire qui a tué mardi deux de ses camarades ainsi qu’un soldat togolais et un paysan tchadien. Le légionnaire «a été formellement identifié par les autorités militaires françaises et se trouve actuellement entre les mains de la gendarmerie tchadienne», a précisé le lieutenant-colonel François-Marie Gougeon. «Il a été retrouvé à quelques kilomètres à l’est d’Abéché, physiquement épuisé, et a reçu à boire et à manger.»

Il n'aurait pas opposé de résistance De source proche du dossier, on indique qu’il n’aurait pas opposé de résistance et aurait été intercepté par une patrouille mixte de la gendarmerie et de l’armée tchadiennes entre 10 h 30 et 11 heures. La gendarmerie et l’armée tchadiennes ainsi que des militaires de la Force européenne Eufor et de la Mission des Nations unies, épaulés par des hélicoptères, étaient déployés depuis mardi sur le terrain pour retrouver le soldat âgé de 27 ans.

«Ce n’est pas Rambo» Le terrain au nord d’Abéché, semi-désertique, comprend des collines rocailleuses parsemées d’arbres. «On leur apprend à résister 2-3 jours dans des conditions difficiles et c’est probable donc qu’il puisse mieux résister aux conditions qu’un jeune qui sort de l’université, mais ce n’est pas Rambo ou ce qu’on peut voir dans certains films», avait indiqué un militaire. Le forcené et les deux autres légionnaires tués, un sergent de 30 ans, Français d’origine guinéenne et un légionnaire de 1ère classe d’origine roumaine, appartenaient au 2e régiment étranger d’infanterie de Nîmes. Ils étaient stationnés au Camp des étoiles, proche de l’aéroport d’Abéché.

Qui : Le légionnaire français, les forces de l’ordre qui l’ont arrêté, les gens morts Quoi : Il a tué 3 militaires et 1 paysan et s’est enfui au nord d’Abéché, un endroit semi désertique

Quand : il a été retrouvé jeudi 09 avril et il a tué mardi Où : près d'Abéché.

LIBERATION :

Cet article du journal Libération s’intitule : « Au Tchad, fin de cavale pour le légionnaire tueur ». Ce titre résume bien l’article, on sait de quoi il va parler, il est indiqué le lieu, la personne arrêtée et ce qu’il a fait. De plus, il est écrit en gras et en gros pour interpeller le lecteur, ce qui est très important dans un article. Pour ce qui est de l’accroche, on découvre les cinq w (qui, quoi, où, pourquoi et quand), ce sont à un détail près les mêmes informations que le Figaro pour les 5w. En effet le tueur est le jeune légionnaire de 27 ans qui avait abattu deux de ses camardes, un soldat togolais et un paysans tchadiens. Il a été retrouvé et arrêté le jeudi 09 avril près d’Abéché par la gendarmerie tchadienne, dans un terrain semi-désertique comportant des collines rocailleuses et des arbres. Enfin, les lecteurs essayent de comprendre pourquoi il a commis un tel acte, la réponse supposée se trouve dans le mot : forcené. En effet ce mot veut dire que c’est un « fou », qu’il a problème mental, mais cela n’est pas dit vraiment, il est sous-entendu, c’est un manque dans cet article car les gens veulent savoir ce qui lui ait passé par la tête et ne font pas forcément le rapprochement avec ce mot. Pour l’analyse de l’accroche, la phrase juste en dessous du titre accroche bien puisqu’elle raconte en gros, sans détails ce qui va être raconté, il y a les 5w dans cette phrase sauf le pourquoi. Ensuite, quand on continue à lire, on tombe sur la courte phrase : « la cavale est terminée » ce qui nous donne la nouvelle rapidement et cette phrase nous marque puisqu’elle est courte et en début de paragraphe donc d’article. L’accroche se trouve dans le premier paragraphe et est développée par la suite, après la première phrase, on découvre une phrase surligné qui ne peut que nous interpeller puisqu’elle nous dévoile les personnes tués qui sont tout de même en partie des amis du légionnaire. Les lecteurs ne peuvent que se dire comment a-t-il pu faire une telle chose, ils attendent le pourquoi qui sera dévoilé en fin d’article malgré sa face cachée expliquée précédemment. Je pense que ce manque d’explications pour le pourquoi fait un vide dans l’article, et c’est ce qui manque. Pour l’analyse des faits développés, l’article et construit en 3 parties. La première partie raconte en gros la nouvelle, donc les 5w, la seconde partie parle de l’arrestation, du fait qu’il n’a opposé aucune résistance et la troisième partie explique les conditions de vie où s’était réfugié le soldat et la chute. Ces trois parties sont délimitées par des sous titres écrits en gras mais moins importants que le titre principal, ils servent à couper l’article pour mieux visualiser les thèmes importants de l’article. Comme j’ai dit précédemment, la phrase surlignée nous interpelle et nous montre son importance et le fait qu’il faut lire la suite pour savoir et la comprendre. De plus, chaque partie comprend deux paragraphes d’environ trois lignes expliquant des idées différentes dont des paroles rapportées de militaires ou de lieutenants. Dans la dernière partie, l’allusion avec Rambo d’un militaire montre que la condition de vie dans le lieu semi-désertique était presque impossible, ce qui démontre la force physique et morale du soldat. De même, le journaliste nous dévoile que le soldat été épuisé et qu’il a reçu de l’eau et de quoi manger lors de son arrestation. Dans l’article en général, quelques informations étaient précises comme l’heure de l’arrestation ou le nom des patrouilles qui l’ont arrêté. Sinon, l’article est court puisqu’il ne comporte que 323 mots environ, quant au langage, il n’y a des mots complexes, le vocabulaire est compréhensible et simple. Je pense que le journaliste qui a écrit cet article est objectif puisqu’il ne prend pas partie de quelqu’un ou de quelque chose, il reste vrai et dévoile la nouvelle en étant réaliste. Enfin, on peut voir une chute dans le dernier paragraphe puisqu’il raconte où étaient stationnés le tueur et ses deux amis tués avant le drame, en 2008, ce qui renforce encore plus l’idée du pourquoi il a tué, car c’étaient des amis du légionnaire. En conclusion, c’est une chute ouverture, puisque le journaliste ouvre sur un autre sujet.

Comparaison entre Le Figaro et Libération : Tout d’abord au niveau du titre, celui du Figaro est plus gros que Libération puisqu’il fait 26.5 tandis que l’autre faits 24, sinon ils sont écrits tous les deux en gras et sont construits à peu prés de la même façon, même si celui du Figaro est plus directe donc plus court que celui de Libération. Ensuite, au niveau de l’accroche, celle du Figaro est plus complète car on comprend le pourquoi de son acte, ce que l’on ne sait pas dans Libération. De même, il y a plus d’informations sur l’arrestation ainsi que plus d’informations sur les personnes, les conditions d’arrestations… dans le Figaro que dans Libération. Cependant au niveau des faits développés, le Figaro contient plus d’informations, mais la construction des deux articles n’est pas la même puisque Libération contient 3 sous titres tandis que Figaro n’en contient qu’un. De plus, Libération a une information supplémentaire, le fait que le soldat n’a opposé aucune résistance ainsi que l’heure précise de l’arrestation. Malgré tout, le Figaro a plus de détails sur l’arrestation mais surtout, il raconte son passé récidiviste et son dérapage à Djibouti en 2008, ce qui explique sa folie et le fait que ce n’est pas la première fois qu’il dérape, c’est cette information importante qui manque dans Libération. Sinon ils ont des similitudes, ils ont les mêmes paroles rapportées ainsi que la même construction au niveau des paragraphes, ils font tous les deux des petits paragraphes d’environ 3-4 lignes. Il y a aussi une similitude car la même phrase est surlignée dans les deux articles, cette fameuse phrase tragique qui explique qui il a tué et qui nous permet de cliquer pour voir le premier article fait sur ce légionnaire expliquant qui il a tué. De plus, il y a une petite phrase juste en dessous du titre dans les deux articles. Au niveau du langage, le vocabulaire du Figaro reste un peu plus complexe que Libération et l’article du Figaro reste plus long que celui de Libération. On a encore une similitude au niveau de l’objectivité des deux articles car les deux ne donnent pas leur opinion. Quant à la chute, on remarque que Figaro n’en a pas vraiment une car il finit par une grande partie sur le passé du jeune homme ce qui empêche de voir une différence entre la chute et le reste. Cependant, on peut distinguer une ouverture que l’on définis de chute chez Libération.

Article :

TCHAD : LE TUEUR RECIDIVISTE ARRETE . A 10km d’Abéché a été retrouvé le légionnaire français qui avait tué mardi 07 avril, quatre hommes. La cavale est stoppée. Le légionnaire français qui a tué deux de ses camarades, un soldat togolais et un paysan a été capturé le jeudi 09 avril près d’Abéché dans un lieu semi-désertique par la gendarmerie tchadienne. En effet, cet homme avait déjà un passé de récidiviste qui le qualifie de « fou » ou de dangereux. Selon des sources, la gendarmerie, l’armée tchadienne ainsi que des militaires de la Force européenne Eufor et de la Mission des Nations unies (Minurcat), accompagnés d’hélicoptères, cherchés depuis mardi le soldat de 27 ans qui essayait de se cacher. Quelques militaires ont expliqué que le jeune homme a été découvert épuisé, très affaibli et qu’il a reçu de quoi boire et manger après son arrestation. Cependant, il n’a montré aucune résistance lorsqu’il a été fait prisonnier entre 10h30 et 11h dans un endroit semi-désertique.

En effet, la gendarmerie a mis fin à sa cavale dans un endroit rocheux parsemés d’arbres, il essayait de trouver de l’eau dans un puits. Une source militaire a expliqué que la légion leur apprenait à survivre pendants quelques jours dans des endroits désertiques. Tout de même, ce n’est pas Rambo, il ne peut pas survivre plusieurs jours sans eau ni nourriture. Un passé dangereux Cela ne faisait que deux mois qu’il était arrivé au Tchad, il dormait au Camp des étoiles accompagnés de deux soldats, un roumain et un français d’origine guinéenne de 30 ans. C’est ces deux hommes qui sont morts sous les balles destructrices du légionnaire. Lors de cette mission à Djibouti en 2008, il était tombé en dépression, et avait fugué en Ethiopie. Mais il avait été repris et renvoyé en France, où il avait été puni pendant 30 jours, il avait quand même reçu une seconde chance.

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