L'âge Celui D'être Enfant ... à Celui D'être Adulte (normalement)

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David VIEL – Le 13 04 2019

L’âge (le temps) celui d’être enfant (sans « valeur », « forme », « charge » et/ou « pb »)

… à celui d’être adulte (« formé » et/ou en « charge »)

Il y a un courant sourd et/ou « silencieux » qui circule … Il est la voie = l’être profond. Il y a l’esprit, qui lui, est jugement. Il réagit, il cherche à savoir, à le « pouvoir » = il « veut » et/ou il cherche à en avoir la preuve pour lever le « voile » = avoir raison ; lorsqu’il doute = lorsqu’ « il » en doute lorsqu’il a du « mal » ( ...’il est entré en « matière ») et/ou lorsqu’il n’a pas ça (le résultat qu’il veut et/ou voulait) pour « avancer » pour se « renforcer » personnellement = récupérer la « mise » = le « soi » et le ça, temps ... Celui qui est dans l’histoire pour être « dedans » = soit ça le « renforcera » soit ça lui « coûtera » (cher ; de son «  être » ; celui qui est en pensée = la personne est « en vie », à de l’avenir et n’est pas encore « morte » = sans avenir et/ou Je). Si ça (ce qui se « passe » = «  est  » le monde) ne lui Revient pas « à la fin » alors « l’être » en pensée (la personne) perd ce lien ( = disparaît David VIEL – Le 13 04 2019

et/ou elle n’est plus « là » de fait) = la personne perd pieds, le contrôle de la situation (des choses) = « l’être » perd le lien, avec ce courant sourd « invisible » qui est en lui (et qu’il peut avoir qu’à travers l’objet dont il est censé « connaître » ; à condition que ça, les autres, l’Autre = L’HISTOIRE, lui Revienne ou lui donne raison. Sinon c’en est « fini » de lui) et ainsi, le contact avec la « terre », la réalité  = le concret (= il n’a plus de raison d’être et/ou de quoi être « sûr » = d’ac-croche). « L’être » en pensée perd ainsi le contact avec ce courant sourd et/ou silencieux = la « réalité » ou devrai-je dire … Ce qui lui permet de faire ce lien et/ou de se mettre « dedans » (de « voir », de « s’expliquer les choses ») = il perd la « boussole », le « nord »  ; il se sent «  perdu », « mal » et/ou il n’est plus « sûr » de rien = ça lui échappe et/ou il n’est plus « là » de fait ; ça n’ira pas sans pouvoir se l’expliquer = sans pouvoir récupérer ! Ce qui est dans l’histoire qui lui « coûte » et non « profite » = son temps et son énergie qui « profite » à d’autres, pour le « pouvoir » et/ou le plaisir (= « avancer » personnellement puisque ça, leur Revient). Et il y a le corps (le soma) qui lui, est le cadre qui permet de faire ce lien, ce contact (rapprochement) être-avoir, pour être « dedans » et/ou au « courant » à travers ça = ce qui est vécu, ce qui est censé « prendre » pour le « pouvoir », et/ou le « valoir » ( = avoir du « mérite », du «  peau  » = de la « chance ») = être « dedans » être « en vie » « réaliste » et/ou une « personne » (et non étranger/personne) ; lorsque ça « prend », forme David VIEL – Le 13 04 2019

=res-sort = se « passe » (je rappelle qu’à ce stade, ils passent par l’histoire pour avoir une influence sur ça = les choses) c’est pour être « dedans » = « apprécié » et/non « déprécié » (personnellement). C’est pour être au « courant » et non, ne pas « l’être » ! Devoir se tenir au « courant »pour être « contant » de soi (de leur « être ») = « monter » et/ou être au « centre » ( «  savoir » pour le « pouvoir ») et non perdre ce lien, puisque leur temps (leur ça) et leur énergie (« être ») est dans l’histoire censée, les « renforcer » et non leur « coûter » ; ils n’en sont pas encore, à avoir réalisé ça et ainsi à s’être réalisé en soi (de fait). Leur « courant » passe encore par l’objet censé leur Revenir, pour continuer à faire ce lien en eux ; ce lien être-avoir pour se fixer personnellement et/ou continuer à y « croire » (à « s’apprécier » et/non à se «  détester »... à «  s’en vouloir »). Ce qui est intéressant, ce sont les étapes d’une vie. Sans que personne, le voient, le réalisent, l’analysent, du fait d’être « dedans » = de suivre le fil, le cours de ce qui est pour eux, la vie (leurs vies) et/ou le monde (leur monde). Enfant : Ap-prendre Vouloir apprendre Vouloir savoir Vouloir découvrir les choses Chercher les limites, Chercher à ce qu’il n’y ait pas de limites ... = à être proche = à entrer, pour ne pas se sentir « mal » ; David VIEL – Le 13 04 2019

« rejeté » (avoir un problème) Pour ne pas avoir, à comprendre ça (ça étant le voile, ou le fait, d’être totalement inconscient, d’être «  mortel » et/ou sur « terre » = ça ne les concerne pas ; ils ne le percutent pas, ça). = Besoin de matière, de preuve = de faire, de concret pour l’Avoir et/ou le « savoir » (ils ont le monde, ça, à «  découvrir  ») pour le « pouvoir » (encore faire ce lien ; eux, ils suivent le fil, qu’il y a dans leurs têtes, pour ne pas « mourir » ou «  échouer  » ; être 1 personne dans le temps, ce temps et non, personne). Ça n’existe pas pour eux, du fait d’avoir de l’avenir (cet avenir ou ce temps). Ils cherchent ainsi le « mal », et/ou ils ne voient pas le « mal », à ça ; pour continuer à se « comprendre » et/ou à comprendre le monde (les choses) = à «s’apprécier » = à comprendre les choses = à « aimer » = à être proche du « monde » en l’ayant et/ou en ayant raison des autres, de l’Autre (je rappelle que ça est le monde ou ce qui « est » ordinaire = reconnu = permis pour faire ce lien et/ou selon eux, faire partie du monde. Et ça peut être, TOUT et RIEN. Ça concentrera le sentiment sur ce qui sera SA vie et/ou ordinaire de penser, de dire et de faire afin de ne pas perdre, pour ne pas rompre ce lien en lui. Si ce « courant » se rompt en lui, il est « mort ») pour être au « centre » « proche » et/ou fier de lui = contant de « soi » David VIEL – Le 13 04 2019

= de ce qu’ils « ont » (se figurent Avoir). Ils arrivent ainsi, à avoir la preuve, selon eux, d’être « proche » (de ce qui « est » ; ce qui « est », est ce qui concentre le monde et/ou ce qui «  est  » le monde) d’être « bien », = de le « valoir » (de le « mériter » ça, et/ d’avoir réellement de la « chance ») = d’être sans « mal » (pb). Ils arrivent ainsi, à se sentir « apprécié » ou à avoir la preuve, de le « valoir » = ils ont « compris des choses » = « avancer » personnellement (« renforcer » leur Je) et/ou eu, ce qu’ils ont besoin d’avoir « à la fin » (dans ce sens, là) pour ne pas se déprécier (ils sont dans le faire). Dans ce sens, c’est convertir le monde à leurs sujets  pour ne pas « douter » de leur personne (avoir ça sur le dos = du « mal ») et/ou « mourir » de leur personne (pour ne pas être en « retard » et/ou « passé » = ne pas «  suivre ». Au sujet de ça, il s’agit du temps ! À travers l’objet ou la matière qui est désormais leur Revenir pour continuer leurs vies et/ou à Avoir, ce qui leur permet de faire ce lien en eux) = Ne pas avoir honnêtement conscience, de l’être (« mal » et/ou «  mortel ». Du fait d’avoir TOUT et non, RIEN. Et/ou d’être «  là » pour avoir TOUT et non RIEN). Dans ce sens, c’est le vouloir pour le « pouvoir » = chercher à convertir les autres, l’Autre pour ne pas « douter », pour ne pas « perdre » (être un-e « looser », être «  déprécié » sans « valeur » et/ou affectation) = « échouer » personnellement et/ou « mourir » de leur personne = pour être « sûr » et non ainsi, être là, pour se découvrir = le reconnaître ça. Quand vous voyez un enfant, c’est incroyable, le besoin qu’ils ont en eux, d’être proche, David VIEL – Le 13 04 2019

afin de pouvoir encore s’appartenir = comprendre les choses ; pour ne pas douter (pour que les choses soient comme lui = lui Revienne = comme il pense, et/ou comme est leur « être », à ce stade). sinon ça leur échappe = ils ont un problème et/ou ça les inquiète (ils le prennent personnellement = « mal ») = Ils ont besoin de savoir, d’être rassuré ou devrai-je dire, d’être proche = familier sinon ils éprouvent du « mal » ; pour le «voir » sinon ça (les autres, l’Autre = le monde ou ce qui « est »), ils ne le comprennent pas (ils n’arrivent pas à se caler « dessus » et/ou à se mettre « dedans » = en « phase » = à comprendre, à s’expliquer les choses, le monde, ça ou ce qui est ordinaire de penser, de dire et de faire encore pour eux) et/ou ça leur échappe = ça n’ira pas. Ça doit ainsi leur « aller » = leur Revenir, et/ou leur « profiter » = être « proche » et/ou à eux. Pour continuer à être « bien » = « sûr » (= «  au courant » ; donc soit ce qui est ordinaire aura leur « être » soit leur « être » aura raison du monde et non alors, conscience de ça). Adulte : Entendre Ne pas pouvoir être proche = donner de soi et de ça (de leur temps) ; du fait d’être dans leur ordinaire ( = adulte et/ou «  formé »). = ils gèrent ça, à travers ce qui est devenu pour eux, ordinaire … De penser, de dire et de faire. Pour continuer à être « bien » (à avoir de l’avenir personnellement = de la « chance » et/ou du « mérite » et non ça sur le dos ; je rappelle que ça est ce qui échappe au monde ou à ce qui «  est »). Pour rester, en « forme » = continuer à faire ce lien en eux ; à être fidèle à eux-mêmes ou à penser, dire et faire ce qui est propre à leurs personnes ( = faire ce qui leur est propre sinon ça leur échappe, David VIEL – Le 13 04 2019

ou ils ne comprennent plus rien ; ça ne leur est plus « possible » = «  supportable »). Il faut bien comprendre, que leur soi est dans leur tête ( = en pensée). Pour « être » = émettre et pas que des doutes, en restant dans ce qui leur est propre et/ou ce qu’ils savent faire = « maîtrise » ; en + ça leur a été reconnu, pour continuer à faire ce lien. Et que leur ça est dans le temps, celui qui leur est devenu ordinaire (« peau »). Pour être « là » et pas ailleurs = Ils ne peuvent pas donner de leur temps (de la matière) et de leur affection (énergie) comme ça = risquer de briser leur lien (leur psyché ; « connaissance ») = leur rapport aux choses = leur « écoute » = leur lien avec la « terre » (ça) ; avec ce qui a pris « forme » avec le temps (ce temps) pour eux = pour être « proche » = pour être « dedans », = au « courant » et/ou encore, « s’appartenir » ; à condition que ça (ce qui leur est propre) soit encore « là » demain (ce demain) sinon c’est « mort » ! Si une personne perd ce lien, en elle elle est «finie ». Puisque ça, elle l’a en restant dans ses « murs » ou ce qu’elle a reconnu (permis) = ce qu’elle sait faire à condition d’avoir encore la main et la matière, pour encore le « pouvoir » sinon ça lui échappera ; avec les conséquence que ça impliquera à son sujet ; quel que soit le sujet d’ailleurs, dans ce sens là, = cet esprit là et/ou cette intention là … de « s’en sortir » personnellement, pour ne pas être « mal » pour être « sûr » de ne pas perdre l’écoute (ou ce lien en elle) = ce qui serait sinon « perdu » puisque ça deviendra personnel David VIEL – Le 13 04 2019

et que ça, est impossible à se figurer sauf pour l’Avoir = devenir comme ça, et cela malgré l’histoire que le sentiment, que les sentiments ser-a-ont « responsable » et/ou à l’Origine pour réellement le « valoir » = l’Avoir « à la fin ». Titre + Intro

L'âge celui d'être enfant ... à celui d'être adulte (normalement) L'âge celui d'être enfant (sans valeur, affectation) ... à celui de s'être "découvert" (d'être affecté à une tâche). Le temps ; la gravité ou la charge (leçon) pour être « dedans » (1 personne) et non être, sans RIEN faire (réaliser) et/ou affectation (« être ») = Rien émettre à part des doutes et/ou des choses sans raison d'être (sans valeur) = être sans avenir, à-venir et/ou ... Prendre de ça, l'importance et de soi = l'affection des gens. Être ainsi personnellement « mal » et/ou sans avoir l'adhésion (raison, de matière pour « avancer » personnellement) = être sans avenir. Le propre et le fait, de ne pas avoir de "peau" et/ou de "mérite". Et ainsi devoir « aller se voir voir » et/ou changer d'objet, d’air et/ou d'horizon = d'à-faire, de lien, de milieu et/ou d'horizon. Pour faire ce lien, sinon c’est la « ruine » (rien « soulever », pas se sentir au « courant », « entraîné » = « apprécié ») = être sans « ressortir », être sans « assurance », sans « garantie » = sans « savoir » pour encore le « pouvoir » = le « valoir » (être ainsi sans « peau » et/ou « mérite » = « légitimité » = « déprécié »). Pour être « apprécié » d’un côté, il faut une histoire ! Afin de pouvoir ainsi prendre, le « soi » et par extension le temps (l’importance) d’autrui (d’autres que « soi »). Et ce dont je rends compte n’est pas encore reconnu pour encore le « pouvoir », dans ce sens là ! Si des gens éprouvent du « mal », c’est pas pour rien. Mais belle et bien pour « renforcer » le sort (Je) de personnes qui ne diront pas non à ça ( = qui verront le « jour » et non le « mal » ! … Bien au contraire). Je rappelle que la personne est « en vie ». Elle endure ça. Elle aura ainsi ça (le temps) à gérer à travers les choses, qui deviendra SA vie et/ou son environnement (sa « peau » = sa « sort »). Pour se fixer dans la densité = être « là » et pas autre part. Pour que ça « aille » ou pas. Pour continuer à faire ce lien et/ou à se suivre = à se « connaître » personnellement = continuer à « s’apprécier » et/ou à se, à être « dépréci-é-er » en fonction du résultat et/ou de ce qui se « passera » ! Ce sera l’histoire ou comme ça. Pour se « renforcer » ou alors, ne plus être « là » de fait = être dé-fait ou démis. Maturation/Être sans rien comprendre (entendre = certitude et ainsi affectation)

David VIEL – Le 13 04 2019

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