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NSA FBI Bush menace de faire face à l'Iran Bush menace de faire face à l'Iran sur les allégations de soutien aux insurgés irakiens président américain accuse Téhéran d'armer les militants Discours visant à consolider le soutien pour «poussée» Buzz up! Digg it Ed Pilkington, à New York, The Guardian, mercredi 29 août 2007 Le président américain, George Bush. Photo: Mandel Ngan / AFP / Getty Images George Bush, hier au rodage de la guerre des mots entre les États-Unis et l'Iran, accusant Téhéran de menacer de mettre le Moyen-Orient sous l'ombre d'un holocauste nucléaire et de révéler qu'il avait autorisé les commandants militaires américains en Irak pour "affronter les activités meurtrières de Téhéran». Dans un discours visant à renforcer l'opinion publique américaine derrière son impopulaire stratégie en Irak, le président a réservé sa plus forte expression pour le régime de Mahmoud Ahmadinejad, qu'il a accusé de soutenir ouvertement les forces de la violence en Iraq. Iran, dit-il, a été responsable de la formation des factions extrémistes chiites en Irak, en leur fournissant des armes, notamment des bombes sophistiquées. L'Iran a nié toutes ces accusations.

M. Bush a fait spécifiquement référence aux roquettes de 240 mm qui, selon lui, ont été faites en Iran cette année et l'an passé en contrebande en Irak. «L'Iran a longtemps été une source de problèmes dans la région", at-il dit. "Recherche active de l'Iran de la technologie qui pourrait mener à des armes nucléaires menace de mettre une région déjà connue pour l'instabilité et la violence sous la menace d'un holocauste nucléaire."

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La mousse des termes dans lesquels M. Bush a décrit la menace iranienne, et sa menace d'une confrontation militaire avec Téhéran impliquant des soldats américains basés en Irak, les tensions élevées confrontation entre Washington et Téhéran à un nouveau

niveau. Le discours contenait également le désir implicite de la part de M. Bush pour un changement de régime, appelant à «un Iran dont le gouvernement est responsable devant son peuple, au lieu de dirigeants qui font la promotion de la terreur et de poursuivre la technologie qui pourrait être utilisé pour développer des armes nucléaires".

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Il a également la possibilité de railler les États-Unis la poursuite des actions militaires en Iran, en disant qu'il n'était pas en mesure de le faire et a affirmé que l'Iran avait déjà acquis enrichi de combustibles nucléaires, mais ils ne seraient utilisés à des fins pacifiques. Dans une autre cause de tension, M. Bush a accusé la force Qods en Iran révolutionnaire de gardiens de la chaîne d'approvisionnement menant à des groupes extrémistes irakiens. Comme le Guardian a révélé au début de ce mois, l'administration Bush se prépare à déclarer la forte 125.000-Revolutionary Guard Corps une "organisation terroriste mondial» - un geste qui serait perçu comme une provocation de Téhéran. Selon des rapports de Bagdad, la nuit dernière, un groupe d'Iraniens ont été arrêtés la nuit dernière dans un raid par les troupes américaines sur un hôtel de la ville. Sur 10 personnes arrêtées, sept ont été dit à l'Iran, y compris un employé de l'ambassade d'Iran et de six membres de l'électricité du ministère de l'Iran en Irak afin de discuter des contrats pour des centrales électriques. Il n'était pas immédiatement clair pourquoi les hommes ont été arrêtés, ou si elles avaient été prises. L'armée américaine ne ferait que dire de l'action a fait partie d'une opération en cours.

M. Bush parler de la hausse de sa détermination à "prendre la lutte à l'ennemi" dans la chorégraphie soigneusement mise en place d'un des vétérans de convention à Reno, au Nevada, a été le deuxième de deux recours par lui-même partie de la côte jusqu'à l'appui du public pour son pavillon stratégie sur l'Irak. Dans le premier discours, a fait la semaine dernière, il a invoqué le Vietnam à faire valoir que de quitter l'Irak aujourd'hui pourrait mettre la vie de millions de civils innocents en danger. M. Bush a promis hier, à persévérer dans sa politique militaire controversée en Irak, en insistant sur le fait que la sécurité politique et des progrès ont été réalisés, en dépit d'une montée de la dissidence, même de haut en place au sein de son parti républicain. "Notre stratégie est la suivante: nous travaillons chaque jour pour protéger le peuple américain. Nous allons les combattre là-bas afin que nous n'avons pas à lutter contre eux aux États-Unis d'Amérique", at-il dit. Les deux discours ont été destinées à la préparation d'une série de débats cruciaux sur l'Irak que Washington va dominer les prochaines semaines. Dans une quinzaine de hauts générale en Irak, le général David Petraeus, et l'ambassadeur américain en Irak, Ryan Crocker, se donner deux jours de témoignages dans lesquels ils sont susceptibles de faire valoir que les fournisseurs de "poussée" est d'avoir quelque effet bénéfique sur les niveaux de sécurité, bien que le progrès politique est à la traîne. Dans le cadre de la politique actuelle, le nombre de soldats américains en Irak ont augmenté de 30.000 à environ 165.000. Comme le point culminant de ces intenses audiences, M. Bush lui-même présenter sa dernière évaluation. Hier, le discours a été la dernière indication claire qu'il va résister à toute tentative de changement de cap dans la poursuite de la guerre. M. Bush la dernière tentative de rassurer le peuple américain que la guerre se dirige dans la bonne direction, est venu sur un autre tumultueux jours en Irak. Des centaines de milliers de pèlerins chiites, assister à un festival à Kerbala, 68 miles au sud-ouest de Bagdad, ont été ordonné de quitter la ville après d'intenses combats ont éclaté, qui aurait été en guerre entre factions chiites. Au moins 52 personnes ont été tuées depuis lundi, pour la plupart des officiers de police s'engager dans la bataille. ABC News Exclusive: The Secret War Against Iran Email Imprimer Partagez avril 03, 2007 5:25 PM Un groupe militant tribales pakistanaises responsables

d'une série de raids meurtriers de guérilla en Iran a été secrètement encouragé et conseillé par des responsables américains depuis 2005, les États-Unis et de sources de renseignement pakistanais dire ABC News. Le groupe, appelé Jundullah, se compose de membres de la tribu baloutche et opère à partir de la province du Baluchistan, au Pakistan, juste de l'autre côté de la frontière de l'Iran. Il a pris la responsabilité de la mort et les enlèvements de plus d'une dizaine de soldats iraniens et de fonctionnaires. LE RECOMMANDE Blotter Blotter Exclusif: Bomb Iran nucléaire pourrait être possible d'ici à 2009 World News Video programme nucléaire de l'Iran sur la voie rapide Cliquez ici pour consulter Brian Ross Slideshows États-Unis affirment que les États-Unis avec Jundullah est organisé de telle sorte que les États-Unis ne prévoit pas de financement pour le groupe, ce qui exige une ordonnance présidentielle ou "trouver", ainsi que le contrôle du Congrès. Tribal sources dites ABC News Jundullah pour que l'argent est canalisé à son jeune chef, Abd el Malik Regi, par des exilés iraniens, qui ont des liens avec les européens et pays du Golfe. Cliquez ici pour Blotter Full Coverage. Jundullah a produit ses propres vidéos montrant des soldats iraniens et les gardes-frontières, il affirme qu'il a capturé et ramené au Pakistan. Le leader, Regi, affirme avoir personnellement exécuté des Iraniens. "Il avait l'habitude de lutter avec les talibans. Il fait partie trafiquant de drogue, une partie des Taliban, qui fait partie sunnite militant», a affirmé Alexis Debat, un senior fellow à la lutte contre le Nixon Center et d'un consultant ABC News, qui a récemment rencontré des responsables pakistanais et des membres des tribus. "Regi est essentiellement le commandement d'une force de

plusieurs centaines de combattants de la guérilla ce stade, les attaques à la frontière iranienne en Iran sur les officiers militaires, officiers de renseignement iraniens, les enlèvements, les exécuter à la caméra", a déclaré Debat. Plus récemment, Jundullah a pris un crédit pour une attaque en Février qui a tué au moins 11 membres de la Garde révolutionnaire iranienne circonscription sur un bus dans la ville iranienne de Zahedan. Le mois dernier, la télévision d'Etat iranienne diffusée ce qu'il a dit des aveux ont été par les responsables de l'attaque de l'autobus. Ils auraient reconnu être des membres de Jundullah et ont dit qu'ils avaient été formés pour la mission à un endroit secret au Pakistan. La télévision iranienne émission est entrecoupée avec le logo de la CIA, dont la diffusion responsable de la parcelle. Un porte-parole de la CIA a déclaré que "le compte des allégations de la CIA est faux" et a réaffirmé que les États-Unis ne prévoit pas de financement de la Jundullah groupe. Gouvernement pakistanais sources dire le secret campagne contre l'Iran par Jundullah a été à l'ordre du jour lors de Vice President Dick Cheney s'est entretenu avec le Président pakistanais Pervez Musharraf en Février. Un haut fonctionnaire du gouvernement des États-Unis a déclaré que des groupes tels Jundullah ont été utiles dans le suivi des chiffres al-Qaïda et qu'il était approprié pour les États-Unis pour faire face à de tels groupes dans ce contexte. Certains anciens agents de la CIA-dire l'arrangement n'est pas sans rappeler la façon dont le gouvernement américain a utilisé proxy armées, financées par d'autres pays, y compris l'Arabie saoudite, pour déstabiliser le gouvernement du Nicaragua dans les années 1980. 3 avril 2007 | Permalink | Commentaires de l'utilisateur (272)