Je me contenterai ici d'insister sur la relation plastique qui attache précisément l'individu à son corps, relation entre l'être empirique, naturel, donné, du corps et son être spirituellement façonné ou sculpté. Encore une fois, l'identité du corps et de la forme est parfaitement reconnue par Hegel. La vraie question, je l'ai dit, est: qu'est-ce que former le corps? Qu'est-ce qui est exactement formé par cette activité? Comment, et pour quel résultat? Quelle est la nature de l'attachement plastique du sujet à son propre corps et comment comprendre à l'inverse le désir de détachement? Me limitaré aquí a enfatizar la relación plástica que une al individuo con precisión a su cuerpo, una relación entre el ser empírico, natural, dado el cuerpo y su ser de forma espiritual o esculpido. Una vez más, la identidad de cuerpo y forma es perfectamente reconocida por Hegel. La verdadera pregunta, dije, es: ¿qué forma el cuerpo? ¿Qué es exactamente esta actividad? ¿Cómo y para qué resultados? ¿Cuál es la naturaleza del apego plástico del sujeto a su propio cuerpo y cómo entendemos el deseo de desapego? «Pouvons-nous supposer qu'en parlant de forme et de corps (du corps considéré comme une forme), Hegel met au jour la préfiguration conceptuelle du "soi" tel que Foucault le définit?» Plus exactement: «Pouvons-nous supposer que, sous le nom de plasticité, Hegel décrit à l'avance ce que Foucault présentera comme stylisation ou transformation de soi? » La conception foucaldienne de la stylisation de soi, développée dans L'Herméneutique du sujet en particulier, diffère-t-elle vraiment de la conception hégélienne de la plasticité du Corps. "¿Podemos suponer que al hablar de forma y cuerpo (del cuerpo considerado como una forma), Hegel saca a la luz la prefiguración conceptual del “yo” como lo define Foucault?" Más exactamente: "¿Podemos suponer que bajo el nombre de plasticidad, Hegel describe por adelantado lo que Foucault presentará como estilización o autotransformación. El diseño foucaldiano. De la estilización de uno mismo, desarrollada en la Hermenéutica del sujeto en particular, realmente difiere de la concepción hegeliana de la plasticidad de los cuerpos (88-89). Ne sommes-nous pas ici très près de la déclaration de la Phénoménologie de l'esprit selon laquelle le sujet n'est pas « une instance fixe et passive », qui accueille du dehors ses accidents, mais bien une force plastique, qui se prend à bras le corps en quelque sorte et se donne la forme qu'il reçoit? ¿No estamos aquí muy cerca de la afirmación de la Fenomenología del Espíritu de que el sujeto no es “una instancia fija y pasiva”, que recibe desde fuera de sus accidentes, sino una fuerza plástica que se apodera del cuerpo de alguna manera y se da a sí mismo la forma que recibe? (91) Lorsque la conscience de soi intériorise sa condition finie, mortelle, corporelle, lorsqu'elle comprend qu'elle ne forme jamais que sa propre mortalité, que la finitude est une aventure
plastique, elle se dissout elle-même. Le lien entre la conscience et le soi se défait. Lorsque l'esprit paraît, la conscience disparaît et avec elle, le « toi» et le « moi». Plus personne ne peut dire « sois mon corps », car il n'y a plus de « je» ni de « tu », il n'y a plus de « mon corps» non plus. Le savoir absolu, détaché à jamais de la forme de l'auto-affection, expose un corps anonyme et sans herméneutique. C'est, encore une fois, le sens du dessaisissement final qui a lieu dans le savoir absolu, de 1'«Aufgeben », de l'abandon, du « laisser aller », du « détache-moi! ». Le soi qui se transforme ne coïncide donc jamais avec lui-même, il devient étranger à son corps comme à son « moi ». La transformation de soi est une hétéroaffection. La plasticité est donc le double mouvement de l'attachement à soi et de la déliaison extatique de cet attachement. Le sujet foucaldien est-il susceptible d'un tel détachement explosif vis-à-vis de lui-même? Ne demeure-t-il pas excessivement et obstinément attaché à sa transformation? 94 Cuando la autoconciencia internaliza su condición finita, mortal, corporal, cuando entiende que nunca forma sino su propia mortalidad, que la finitud es una aventura plástica, se disuelve. El vínculo entre la conciencia y el yo se deshace. Cuando aparece la mente, la conciencia desaparece y con ella, el "tú" y el "yo". Nadie puede decir "sé mi cuerpo" porque ya no hay más "yo" o "tú", tampoco hay "mi cuerpo". El conocimiento absoluto, separado para siempre de la forma de auto-afecto, expone un cuerpo anónimo y hermenéutico. Esto es, una vez más, el sentido de la desinversión final que tiene lugar en el conocimiento absoluto, el "Aufgeben", el abandono, el "soltarse", el "desapego". ". El yo que se transforma nunca coincide consigo mismo, se vuelve extraño a su cuerpo en cuanto a su "yo". La auto transformación es un hetero-afecto. La plasticidad es, por lo tanto, el doble movimiento de apego a uno mismo y la delineación extática de este apego. ¿Es susceptible el sujeto foucaldiano a un desprendimiento tan explosivo frente a sí mismo? ¿No permanece excesivamente y obstinadamente unido a su transformación? 94