LE TAILLEUR DE PIERRE C’était à l’Ouest de Kenya dans un village appelé Kisumu qu’il y avait un petit homme appelé Kassim. Son métier était celui de tailleur de pierre. Chaque jour se levait très tôt pour aller tailler les pierres du grand rocher, au pied de la grand montagne, tout proche du bord de la route principale et rentrait à la maison le soir, quand le soleil avait perdu sa force. Il travaillait fort, donc il devait maintenir sa famille. Tous les jours faisait le même travail. Chaque jour qui passait Kassim se sentait plus fatigué et il avait l’impression que le soleil tapait avec plus de force et que le marteau qu’il employait pour tailler devenait chaque fois plus lourde. Un bon jour en étant en plein travail décida de faire une petite pause pour se reposer et décida de regarder les voitures qui passaient par la route principale qui conduise à la capitale. Un fond de la route voit s’approcher une grande voiture. ! Quelle belle voiture ! exclama. Se sur que c’est une Mercedes d’un ministre. Quel change ce type là. Ah !, mon bon Dieu, si je pourrait être ministre et avoir une voiture comme celle-là, alors c’est sûr que je serait l’homme plus heureux de cette terre, et jamais plus je ne devrait travailler dans se fatigant métier. En ce moment là, on entendu une voie venue du ciel qui disait : Kassim, Kassim, c’est ton Dieu qui te parle, si tu veut devenir ministre, ainsi soit-il. Et il devenait ministre et il avait une très belle voiture. Et le métier du tailleur de pierre restait derrière lui. Il pensait qu’il était l’homme plus heureux du monde donc il était vraiment riche. Comme chaque année, le président du pays, convoqua tous les ministres dans son palais présidentiel pour fêter la fête nationale de l’indépendance. Alors Kassim en croyant qu’il était l’homme plus heureux du monde, se rendait conte que le président était plus grand que lui. Plus riche, avec tout ce luxe dans le palais, avec tous ses serviteurs qu’il avait à sa disposition. Vraiment il était le chef d’un pays, et non un simple ministre comme lui. Alors, Kassim leva les yeux ver le ciel et disait : Ah ! Mon bon Dieu, si je pouvais être président, alors oui, je serai l’homme plus heureux du monde. Et de nouveau on entendait la voie de Dieu qui lui disait, qu’il se fasse comme tu veux. Et Kassim devenait e nouveau président du pays. Maintenant, oui, je suis heureux, se disait-il en se regardant dans son palais luxueux présidentiel. Avec toutes sortes de commodités on dirait qu’il n’était pas manqué de rien. Un bon jour il se promenait par ces jardins avec certains ministres de son cabinet. Mais ce jour là, le soleil tapait très fort. L’eau qu’on l’emmenait ne le suffisait pas et son bon costume il le faisait transpirer encore plus. Alors il réfléchissait en se disant, vraiment le soleil il est puisant. Là en haut il domine tout, c’est l’astre suprême. Ah ! , Si je pouvais être le soleil, alors je serai plus grand que personne et chose dans cette terre et jamais plus je souffrirais de chaleur. Et Dieu, qui entende tout, lui répondit, qu’il soie comme tu veux. Et Kassim devenait le soleil et il se voyait puissant et ni personne ni rien ne pouvait avec lui. En dans les hauteurs il pouvait voir tout, contempler tous les paysages. Mais un jour d’un grand orage, les nuages et les éclairs éclipsèrent le soleil, et Kassim ne pouvait pas contempler les beaux paysages de la terre. Et il se disait, vraiment l’orage est plus puissant et grand que moi, lorsque je croyais que jetait le plus grand.