document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. actes de la conf�rence g�n�rale vingt-quatri�me session paris, 20 octobre-20 novembre 1987 (button) volume 1 r�solutions organisation des nations unies pour l��ducation, la science et la culture
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. note con cernan t les actes de la conf�rence g�n�rale les actes de la vingt-quatri�me session de la conf�rence g�n�rale sontimprim�sen trois volumes: le pr�sent volume, contenant les r�solutions adopt�es par la conf�rence g�n�rale et la liste des membres du bureau de la conf�rence g�n�rale et des bureaux des commissions et des comit�s (vol. 1); le volume rapports, contenantlesrapports des commissions i � V, de la commission administrative et du comit�juridique(vol. 2); le volume comptes rendus des d�bats, contenantlescomptes rendusinextenso des s�ances pl�ni�res,laliste des participants etlalistedes documents (vol. 3). note : num�rotation des r�solutions les r�solutions sont num�rot�es cons�cutivement. pour s�y r�f�rer, il est recommand� d�adopter l�une des formules suivantes: dans le corps du texte: � la r�solution 15.1 adopt�e par la conf�rence g�n�rale � sa vingt-quatri�me session " ou, plus bri�vement, � la r�solution 24 c/15.1 �. en r�f�rence : � (24 c/r�solutions, 15.1) �ou � (24 c/r�s., 15.1) �. publi�en1988 parl�organisationdesnationsunies pourl��ducation,la science etlaculture, 7, place de fontenoy, 75700 paris compos� et imprim� dans les ateliers de l�unesco, paris isbn 92-3-202551-5 �dition �dition �dition �dition �dition
anglaise : 92-3-102551-1 arabe : 92-3-602551-x chinoise : 92-3-502551-6 espagnole : 92-3-302551-9 russe : 92-3-402551-2
c unesco 1988
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general conference twenty-fourth session, paris 1987 24 c 24 c/resolutions corr. paris, 23 september 1988 english/french only volume i. resolutions corrigendum in the english version resolution 11, 12 in paragraph 1, page 96: after subparagraph (d), add the following two subparagraphs: �(e) to promote their contribution to the decade by establishing national committees as proposed in the plan of action; (f) to collaborate with the intergovernmental committee, in order to co-ordinate and evaluate through that body the attainment of the four main objectives of the decade;� resolution 11.13 page 97, fifth line: replace �programme� by �plan�. dans la version fran�Aise r�solution 10.1 page 83, ligne 40: remplacer �11� par �3� avant les mots �invite en outre�. r�solution 52.1 page 211, premier consid�rant: remplacer �le document 23 c/39� par �le document 24 c/39�.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. table des mati�res i organisation de la session, admission d�un membre associ�, nomination du directeur g�n�ral, �lection de membres du conseil ex�cutif, hommages 0.1 v�rification des pouvoirs 0.2 communications re�ues des �tats membres invoquant les dispositions de l�article iv.c, paragraphe 8(c), de l�acte constitutif 0.3 adoption de l�ordre du jour 0.4 composition du bureau de la conf�rence g�n�rale 0.5 organisation des travaux de la session 0.6 admission d�un membre associ� 0.7 admission � la vingt-quatri�me session d�observateurs d�une organisation intergouvernementale 0.8 admission � la vingt-quatri�me session d�observateurs d�organisations internationales non gouvernementales nomination du directeur g�n�ral 0.9 �lectiondemembresduconseilex�cutif 0.10 hommages 0.11 0.111 hommage au directeur g�n�ral 0.112 hommage � M.ivomargan, pr�sident du conseil ex�cutif 0.113 hommage � M. guillermo putzeys alvarez, pr�sident delaconf�renceg�n�rale ii rapports sur l�activit� de l�organisation et �valuation du programme 0.12 rapport du conseil ex�cutif sur sa propre activit� en 1986-1987, y compris le processus de r�formes iii programme pour 1988-1989 a. grands programmes 1 r�flexion surlesprobl�mesmondiauxet �tudes prospectives 1.1 grand programme i � r�flexion sur les probl�mes mondiaux et �tudes prospectives � 1.2 appui au centre international de coop�ration scientifique simon bolivar (venezuela) 2 l��ducation pour tous 2.1 grand programme ii �l��ducationpour tous � 2.2 �limination de l�analphab�tisme 2.3 ann�e internationale de l�alphab�tisation
2.4 programme r�gional de g�n�ralisation et de r�novation de l�enseignement primaire et d��limination de l�analphab�tisme en asie et dans le pacifique (appeal) 2.5 programme r�gional de g�n�ralisation et de r�novation de l�enseignement primaire et d��limination de l�analphab�tisme des adultes dans la r�gion des �tats arabes 2.6 �lection de membres de la commission de conciliation et de bons offices charg�e de rechercher la solution des diff�rends qui na�traient entre �tats parties � la convention concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine del�enseignement mise en oeuvre de la recommandation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes 2.7 d�veloppement de l��ducation des adultes 2.8 plan national de d�veloppement de l��ducation des adultes au honduras 2.9 3 la communication au service deshommes 3.1 grand programme iii �lacommunication au service des hommes � 3.2 �lection de membres du conseil intergouvernemental du programme international pour le d�veloppement de la communication 1 2 2 9 10 11 11 11 12 13 14 14 15 16 17 18 18 19 20 20 26 28 29 30
31 32 33 34 35 35 39 v
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre despolitiquesde l��ducation 39 4.1 grand programme iv � conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation � 39 4.2 bureau international d��ducation 44 4.3 m�thodes de fonctionnement du bureau international d��ducation et modification de ses statuts 46 4.4 institut international de planification de l��ducation 49 4.5 institut de l�unesco pour l��ducation � Hambourg 50 4.6 plan d�action de l�unesco dans le domaine de l��ducation pour la pr�vention du sida 51 4.7 enseignement des langues et litt�ratures �trang�res 53 4.8 application de l�informatique � l��ducation 53 5 �ducation, formation et soci�t� 55 5.1 grand programme v ��ducation,formationet soci�t� � 55 5.2 pr�paration d�une convention sur l�enseignement technique et professionnel 59 5.3 mise en oeuvre de la recommandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et professionnel. 60 5.4 priorit�s de l�enseignement technique et professionnel 61 5.5 �lection de membres du comit� intergouvernemental pour l��ducation physique et le sport 63 5.6 �tude pr�liminaire sur l�opportunit� d��laborer une convention internationale sur la reconnaissance des �tudes, grades et dipl�mes de l�enseignement sup�rieur 63 5.7 enseignement ouvert et � distance 64 5.8 d�veloppement de l�enseignement sup�rieur et de ses dimensions culturelles 65 6 les sciences et leur application au d�veloppement 66 6.1 grand programme vi � les sciences et leur application au d�veloppement � 66 6.2 apport intellectuel de la philosophie et des sciences humaines au programme de l�unesco 69 6.3 �lection de membres du comit� intergouvernemental du programme
intergouvernemental d�informatique 69 7 syst�mes d�informa tion et acc�s � la connaissan ce 70 7.1 grand programme vi � syst�mes d�information et acc�s � la connaissance � 70 7.2 �lection de membres du conseil intergouvernemental du programme g�n�ral d�information 71 8 principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppemen t 72 8.1 grand programme viii � principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppement � 72 9 science, technologie et soci�t� 75 9.1 grand programme ix � science, technologie et soci�t� � 75 9.2 cr�ation d�une conf�rence permanente des directeurs des organismes nationaux responsables de la 77 politique scientifique et technologique des �tats de la r�gion afrique membres de l�unesco 78 9.3 suivi de la deuxi�me conf�rence des ministres charg�s de l�application de la science et de la 79 technologie au d�veloppement en afrique (castafrica ii) 10 en vironnem en t humain etressourcesterrestres et marines 10.1 grand programme x � environnement humain et ressources terrestres et marines � 79 10.2 �lection de membres du conseil intergouvernemental du programme hydrologique international 84 10.3 �lection de membres du conseil international de coordination du programme sur l�homme et la 85 biosph�re 85 10.4 amendements aux articles 1, 2, 3, 4, 5, 9 et 10 des statuts de la commission oc�anographique 88 intergouvernementale 11 la cultureetl�avenir 11.1 grand programme xi� la culture etl�avenir� 88 11.2 contribution de l�unesco � l�application et � la mise en oeuvre des dispositions de la convention de la haye de1954en vue de la protection des biens culturels, des �tablissements �ducatifs et des monuments historiques, ainsi que de la pr�servation de l�environnement humain et naturel en cas de conflitarm� 92 11.3 rapports des �tats surlesmesures qu�ils ont adopt�es pour donner suite � la convention concernant les mesures � prendre pour interdire et emp�cher l�importation, l�exportation et
le transfert de propri�t� illicites des biens culturels (1970) 93 11.4 strat�gie pourleprogramme des campagnes internationales de sauvegarde 94�lection des membres du comit� ex�cutif delacampagne internationale pourlacr�ation du mus�e de 11.5 la nubie � Assouan et du mus�e national de la civilisation �gyptienne au caire j�rusalemetlamiseenoeuvrede lar�solution23c/11.3 11.6 �lection de membres du comit� intergouvernemental pourlapromotion du retour de biens culturels � 95 11.7 leur pays d�origine ou de leurrestitutionen cas d�appropriation ill�gale pr�servation et diffusion des manuscrits d�oeuvres litt�raires contemporaines 96 11.8 c�l�bration du 600e anniversaire delamort de khajeh chamsoddine mohammad hafez chirazi 97 11.9 c�l�bration du centenaire delanaissance de fernando pessoa 98 11.10 mouvement�drapeaudelapaix� 99 11.11 d�cennie mondiale du d�veloppement culturel 99 11.12 cr�ation du comit� intergouvernemental pourlad�cennie mondiale du d�veloppement culturel 100 11.13 fonds international pour la promotion de la culture 102 11.14 107 12 �limination des pr�jug�s, del�intol�rance,du racisme et del�apartheid 108 12.1 grand programme xii � �limination des pr�jug�s, de l�intol�rance, du racisme et de l�apartheid � 108
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 13 paix, compr�hension internationale, droits del�hommeet droits despeuples 13.1 grand programme xiii � paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples � 13.2 soutien intellectuel et technique au centre r�gional des nations unies pour la paix, le d�sarmement et le d�veloppement enam�riquelatine 13.3 droits de l�homme et identit� culturelle dans les instruments internationaux universels existants 13.4 application int�grale et g�n�rale de la recommandation de 1974 et mise en oeuvre des recommandations de la conf�rence intergouvernementale de 1983 13.5 suite � donner aux recommandations du congr�s international sur l�enseignement, l�information et la documentation en mati�re de droits de l�homme (1987) 13.6 r�le des �coles associ�es et des clubs unesco dans l��ducation � vocation internationale 14 la condition des femmes 14.1 grand programme xiv � la condition des femmes � b. activit�s g�n�rales du programme 15 droit d�auteur 15.1 droitd�auteur 15.2 opportunit� d�adopter une r�glementation internationale concernant la sauvegarde des oeuvres du domaine public 15.3 opportunit� d�adopter une r�glementation internationale g�n�rale concernant la sauvegarde du folklore 16 statistiques 16.1 statistiques 16.2 statistiques relatives au peuple palestinien 17 courrier de l�unesco et p�riodiques 18 relations ext�rieures et information du public 18.1 coop�ration europ�enne 18.2 coop�ration aveclescommissions nationales 18.3 coop�ration aveclesorganisations internationales non gouvernementales 18.4 coop�ration avec les associations, centres et clubs unesco 18.5 coop�ration avec les fondations et les organismes b�n�voles 18.6 c�l�bration d�anniversaires 18.61 calendrier des anniversaires de personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques 18.62 centi�me anniversaire de lanaissancede phya anuman rajadhon 18.63 cinqcenti�meanniversaire delanaissancede thomas m�nzer 18.64 centi�me anniversaire de la naissance d�anton semionovitch makarenko 18.65 centi�me anniversaire de la naissance du pr�sident h� Chi minh 18.66 centi�me anniversaire de la naissance de jawaharlal nehru 18.67 quatre centi�me anniversaire de la mort de l�architecte sinan
19 programme de participation 19.1 programme de participation 19.2 �tude sur les privil�ges et immunit�s des personnels recrut�s dans le cadre du programme de participation iv services de soutien du programme 20 publications de l�unesco 20.1 officedespressesdel�unesco 20.2 2publicationsdel�unesco v budget 21 r�solution portant ouverture de cr�dits pour 1988-1989 vi r�solutions g�n�rales 22 contribution de l�unesco � la paix et t�ches de l�unesco en ce qui concerne la promotion des droits de l�homme et l��limination du colonialisme et du racisme 22.1 application des r�solutions 22 c/18 et 23 c/24 relatives � la contribution de l�unesco � la paix et aux t�ches de l�unesco en ce qui concerne la promotion des droits de l�homme et l��limination du colonialisme et du racisme 22.2 appui �l�accordd�esquipulas ii 22.3 contributiondel�unesco �l�ann�einternationale de lapaix 23 promotion des contacts et de la coop�ration entre sp�cialistes de l��ducation, de la science et de la culture afin de contribuer � la r�alisation des objectifs de l�unesco 24 contribution de l�unesco � la promotion de la coop�ration internationale dans le domaine de la jeunesse 25 application de la r�solution 23 c/27 concernant les institutions �ducatives et culturelles dans les territoires arabes occup�s 26 proposition en vue de la proclamation par l�organisation des nations unies d�une ann�e internationale de la famille 112 112 119 120 121 123 125 126 126 130 130 131
132 132 132 133 133 134 134 136 138 140 141 141 141 142 142 143 144 144 145 146 146 149 150 150 151 152 160 160 160 161 162 164 166 168 vii
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188 190 190 191 191 192 193 193 193 194 194 195 195 195 197 198 198 198 199 199 200 200 201 dans le membre cembre 1986 pour l�exercice financier se terminant le 31 d�cembre 1987 35 contributions des etatsmembres 35.1 bar�me des quotes-parts 35 2miseen place, pour une p�riode d�essai de quatre ans, d�un syst�me d�incitation au paiement rapide des contributions 35. 3 monnaies de paiement des contributions (eu �gard au titre viii - fluctuations mon�taires) 35.4 recouvrement des contributions 35.5 r�glementd�arri�r�sdecontributions 36 fondsderoulement 36.1 niveau et administration 36.2 amortissement des d�penses de construction non amorties 36.3fondsdestin� � aider les �tats membres � acqu�rir le mat�riel �ducatif et scientifique n�cessaire au 31.4 31. 5 31. 6 32 examen 33 examen qu�articles iv.f.15, v.c.13 et vi.7, et suppression des dispositions transitoires
qui figurent r�glement int�rieur de la conf�rence g�n�rale en tant qu�articles 1a et 95a proposition d�amendement � l�article ii, paragraphe 6, de l�acte constitutif proposition d�amendement proposition d�amendement des textes constitutionnels des mesures n�cessaires � l�article vi, paragraphe 2, de l�acte constitutif � l�article ix, paragraphe 3, de l�acte constitutif et r�glementaires du point de vue de la forme et de la langue pour pr�ciser quelles seraient les obligations financi�res d�un �tat qui se retire de l�organisation demande d�avis consultatif � la l�acte constitutif � ce sujet au cours d�un exercice budg�taire biennal, y cour internationale de justice sur l�interpr�tation compris l��ventualit� d�une qu�il convient de donner � ix questions financi�res 34 rapports financiers 34.1 rapport financier et �tats financiers financier clos le 31 d�cembre 1985 et 34.2 rapport financier et �tats financiers d�veloppement au 31 d�cembre 1985 34.3 rapport financier et �tats financiers v�rifi�s concernant les comptes de l�unesco pour l�exercice rapport du commissaire aux comptes v�rifi�s relatifs au programme des nations unies pour le et rapport du commissaire aux comptes int�rimaires concernant les comptes de l�unesco au 31 d�d�veloppement technologique 37 modifications du r�glement financier 37.1 modification de l�article 7 37.2 modification de l�article 12, paragraphes 1 et 2 37.3 modification de l�article 12, paragraphe 6 38 nomination d�un nouveau commissaire aux comptes 39 rapport du directeur g�n�ral sur la situation budg�taire de l�organisation en1986-1987 39.1 pr�visions suppl�mentaires 39.2 contributions volontaires en vue de r�duire le d�ficit budg�taire de l�organisation x questions de personnel 40 statut et r�glement du personnel 41 traitements, allocations et prestations 41.1 personnel du cadre organique et de rang sup�rieur
41.2 personnel de la cat�gorie de service et de bureau 42 r�partition g�ographique du personnel et plan d�ensemble � moyen terme (19841989) le renouvellement du personnel 43 rapport du directeur g�n�ral concernant les questions de personnel 44 comit� des pensions du personnel de l�unesco:�lection des repr�sentants des �tats membres pour 1988-1989 45 situation de la caisse d�assurance-maladie pour le recrutement et
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de ses organes (vingt-quatri�me session) 219
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. i organisation de la session, admission d�un membre associ�, nomination du directeur g�n�ral, �lection de membres du conseilex�cutif, hommages 0.1 v�rification des pouvoirs 0.11 a sa premi�re s�ance pl�ni�re, le 20 octobre 1987, la conf�rence g�n�rale a constitu� un comit� de v�rification des pouvoirs compos� des repr�sentants des etats membres suivants : r�publique f�d�rale d�allemagne, chine, colombie, guyana, jordanie, philippines, pologne, sierra leone, za�re. 0.12 sur rapport du comit� de v�rification des pouvoirs ou sur rapports du pr�sident de ce comit� sp�cialement autoris� par celui-ci, la conf�rence a reconnu la validit� des pouvoirs : (a) des d�l�gations des etats membres suivants : aghanistan albanie alg�rie r�publique f�d�rale d�allemagne angola antigua-et-barbuda arabie saoudite argentine australie autriche bahre�n bangladesh barbade belgique b�nin bhoutan birmanie bolivie botswana br�sil bulgarie burkina faso
burundi cameroun canada cap-vert chili chine chypre colombie comores congo costa rica c�te d�ivoire cuba danemark dominique egypte el salvador emirats arabes unis equateur espagne ethiopie finlande france gabon gambie ghana gr�ce grenade guatemala guin�e guin�e-bissau guin�e �quatoriale guyana ha�ti honduras hongrie inde indon�sie irak r�publique islamique d�iran irlande islande isra�l italie jamahiriya arabe libyenne jama�que japon jordanie
kampuchea d�mocratique kenya kowe�t lesotho liban lib�ria luxembourg madagascar malaisie malawi maldives mali malte maroc maurice
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session mauritanie r�publique centrafricaine somalie mexique r�publique de cor�e soudan monaco r�publique d�mocratique sri lanka mongolie allemande su�de mozambique r�publique d�mocratique suisse namibie populaire lao suriname n�pal r�publique dominicaine swaziland nicaragua r�publique populaire tchad niger d�mocratique de cor�e tch�coslovaquie nig�ria r�publique socialiste tha�lande norv�ge sovi�tique de bi�lorussie togo nouvelle-z�lande r�publique socialiste tonga oman sovi�tique d�ukraine trinit� et tobago ouganda r�publique-unie de tunisie pakistan tanzanie turquie panama roumanie union des r�publiques papouasie-nouvelle-rwanda socialistes guin�e saint-christophe-etsovi�tiques pays-bas nevis uruguay p�rou sainte-lucie venezuela philippines saint-marin viet nam pologne saint-vincent-et y�men portugal grenadines y�men d�mocratique qatar s�n�gal yougoslavie r�publique arabe seychelles za�re syrienne sierra leone zambie zimbabwe (b) des d�l�gations des membres associ�s suivants : antilles n�erlandaises, aruba (c) des observateurs des etats non membres suivants: etats-unis d�am�rique, royaume-uni de grande-bretagne et d�irlande du nord, saint-si�ge 0.2 communications re�ues des �tats membres invoquant les dispositions de l�article iv.c, paragraphe8(c), de l�acte constitutif a ses lre, 2e, 3e, 4e et 6e s�ances pl�ni�res, les 20, 21 et 22 octobre 1987, la conf�rence g�n�rale, apr�s avoir examin� la recommandation formul�e par le conseil ex�cutif � sa 127e session sur les communications re�ues de la bolivie, du liban, du paraguay, du p�rou, de la r�publique arabe syrienne et du tchad, invoquant les dispositions de l�article iv.c, paragraphe 8(c), de l�acte constitutif (24 c/42, annexes i � Vi), ainsi que les communications re�ues d�antigua-et-barbuda, du bhoutan, du burundi, de la grenade, du lib�ria, de l�ouganda, de la r�publique centrafricaine, de la r�publique dominicaine, de la roumanie, de sainte-lucie, de sao tom�-et-principe et de la sierra leone, invoquant les dispositions de l�article iv.c, paragraphe 8(c), de l�acte constitutif, a d�cid�, en vertu des pouvoirs qui lui sont conf�r�s par l�article iv.c, paragraphe 8(c), de l�acte constitutif, d�autoriser antigua-et-barbuda, le bhoutan, la bolivie,
le burundi, la grenade, le liban, le lib�ria, l�ouganda, le paraguay, le
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1.6 organisation des travaux de tion en 1984-1985. la vingt-quatri�me session de la conf�rence g�n�rale. 4.2 expos� et �valuation des prin cipaux r�sultats, effets, dif 1.7 admission � la vingt-quatri�me ficult�s et insuffisances conssession de la conf�rence g�n�-tat�s en ce qui concerne la rale d�observateurs d�organi-mise en oeuvre du programme en sations internationales non 1986-1987. gouvernementales autres que
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m�thodes de pr�paration du programme et budget pour 1988-1989. adoption du plafond budg� taire provisoire pour 1988 1989. examen d�taill� du projet de programme et de budget pour 1988-1989 : titre i -poli tique et direction g�n�rales. examen d�taill� du projet de programme et de budget pour 1988-1989 : titre ii -ex� cution du programme. examen d�taill� du projet de programme et de budget pour 1988-1989 : titre iii -sou tien du programme. examen d�taill� du projet de programme et de budget pour 1988-1989 : titre iv -ser vices administratifs g�n�raux. examen d�taill� du projet de programme et de budget pour 1988-1989 : titre v -charges communes. examen d�taill� du projet de programme et de budget pour 1988-1989 : titre vi -d� penses d��quipement. examen d�taill� du projet de programme et de budget pour 1988-1989 : titre vii -r� serve budg�taire. 5.11 examen d�taill� du projet de programme et de budget pour
1988-1989 : titre viii -fluc tuations mon�taires. 5.12 vote de la r�solution portant ouverture de cr�dits pour 1988-1989. 6. questions de politique g�n�rale 6.1 j�rusalem et la mise en oeuvre de la r�solution 23 c/11.3. 6.2 contribution de l�unesco � l�am�lioration de la condi tion des femmes. 6.3 contribution de l�unesco � la paix et t�ches de l�unesco en ce qui concerne la promotion des droits de l�homme et l��limination du colonialisme et du racisme. 6.4 rapport du directeur g�n�ral sur la c�l�bration du quaran ti�me anniversaire de la fon dation de l�unesco. 6.5 rapport du directeur g�n�ral sur la contribution de l�unesco � l�ann�e internatio nale de la paix. 6.6 rapport du directeur g�n�ral sur la contribution de l�unesco � l�ann�e internatio nale de la jeunesse et � la promotion de ses objectifs pour l�avenir. 6.7 application de la r�solution 23 c/27 concernant les insti tutions �ducatives et cultu relles dans les territoires arabes occup�s. 6.8 proposition pour la proclama tion par l�organisation des nations unies d�une ann�e internationale de la famille.
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7.3 examen des textes constitu tionnels et r�glementaires du point de vue de la forme et de la langue. (point propos� par le direc teur g�n�ral) 7.4/1 projet d�amendement � l�ar ticle iv.c, paragraphe 8(c), de l�acte constitutif. (point propos� par le canada) 7.5 projet d�amendement � l�ar ticle vi, paragraphe 2, de l�acte constitutif. (point propos� par l�austra lie et le canada) 7.6 projets d�amendements � l�ar ticle ii, paragraphes 1 et 2, de l�acte constitutif. (point propos� par l�austra lie et la nouvelle-z�lande) 7.7 projets d�amendements � l�ar ticle ii, paragraphe 6, et � l�article v, paragraphe 4, de l�acte constitutif. (point propos� par le vene zuela) 7.8 projets d�amendements aux articles1,2, 3, 4, 5, 9 et 10 des statuts de la commis sion oc�anographique inter gouvernementale. (point propos� par le direc teur g�n�ral) 8. conventions, recommandations et autres instruments internatio naux a. application des instruments existants 8.1 premiers rapports sp�ciaux pr� sent�s par les etats membres sur la suite donn�e par eux � la recommandation r�vis�e con cernant la normalisation inter nationale des statistiques re latives � la production et � la distribution de livres, de journaux et de p�riodiques. 1. point supprim�.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 8.7 9. 9.1 proposition du directeur g�n� ral sur la proc�dure � suivre et la p�riodicit� � observer pour la pr�sentation et l�exa men des rapports des etats membres relatifs � l�applica tion de la recommandation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes. consultation des etats membres sur l�application de la recom mandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et professionnel : rapport du co mit� du conseil ex�cutif sur les conventions et recommanda tions. rapports des etats membres sur les mesures qu�ils ont adop t�es pour donner suite � la convention sur les mesures � prendre pour interdire et em p�cher l�importation, l�expor
tation et le transfert de pro pri�t� illicites des biens culturels (1970). b. propositions relatives � l��laboration de nouveaux instruments opportunit� d�adopter une r� glementation internationale g� n�rale concernant la sauvegarde du folklore. opportunit� d�adopter une r� glementation internationale concernant la sauvegarde des oeuvres du domaine public. rapport pr�liminaire et ana lyse des observations formu l�es par les etats membres sur l�avant-projet de con--vention sur l�enseignement technique et professionnel. relations avec les organisa tions internationales rapport du directeur g�n�ral sur les modifications inter venues dans le classement des organisations internationales non gouvernementales. 10. m�thodes de travail de l�orga nisation 10.1 rapport du directeur g�n�ral sur les r�sultats de l��tude d��valuation sur les m�thodes de fonctionnement du bureau international d��ducation. 10.2 cr�ation d�une conf�rence per manente des directeurs des organismes nationaux respon sables de la politique scien tifique et technologique des etats de la r�gion afrique membres de l�unesco. 10.3 participation des etats mem bres suivants aux activit�s
r�gionales entreprises par l�organisation dans la r�gion asie et pacifique : arabie saoudite, bahre�n, emirats arabes unis, irak, jordanie, kowe�t, oman, qatar, r�publique arabe syrienne, y�men et y�men d�mocratique. 10.4 elargissement de l�utilisation de la langue russe. 10.5 rapport du directeur g�n�ral sur les publications. 10.6 d�finition des r�gions en vue de l�ex�cution des activit�s de caract�re r�gional. (point propos� par le direc teur g�n�ral) 10.7 application des r�solutions 43.31 et 38.11 respectivement adopt�es par la conf�rence g�n�rale � ses dix-huiti�me et dix-neuvi�me sessions, tendant � assurer � la langue espagnole une �galit� effec tive de traitement avec les langues de travail de l�orga nisation ayant la plus grande diffusion. (point propos� par l�espagne et le venezuela) 10.8 utilisation de la langue chi noise. (point propos� par la r�pu blique populaire de chine)
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session 10.9 11. 11.1 11.2 11.3 11.4 11.5 11.6 11.7 11.8 11.9 principes directeurs pour la c�l�bration des anniversaires. (point propos� par la r�pu blique f�d�rale d�allemagne) questions financi�res rapport financier et �tats financiers v�rifi�s concer nant les comptes de l�unesco pour l�exercice financier clos le 31 d�cembre 1985 et rapport du commissaire aux comptes.
rapport financier et �tats financiers v�rifi�s relatifs au programme des nations unies pour le d�veloppement au 31 d�cembre 1985 et rapport du commissaire aux comptes. rapport financier et �tats financiers int�rimaires con cernant les comptes de l�unesco au 31 d�cembre 1986 pour l�exercice financier se terminant le 31 d�cembre 1987. bar�me des quotes-parts des contributions des etats mem bres. monnaie de paiement des con tributions des etats membres. recouvrement des contributions des etats membres. rapport du directeur g�n�ral sur la possibilit� et l�oppor tunit� de mettre en place des mesures d�incitation positives encourageant les etats membres � payer sans retard leurs con tributions ainsi que des me sures �ventuelles pour concr� tiser cette orientation. fonds de roulement : niveau et administration. modification de l�article 12.6 du r�glement financier dont le texte deviendrait le sui vant : "la conf�rence g�n�rale comme le conseil ex�cutif peuvent demander au commis saire aux comptes de proc�der � certains examens sp�cifiques et de d�poser des rapports distincts sur leurs r�sul tats".
11.10 nomination d�un nouveau commissaire aux comptes. 12. questions de personnel 12.1 statut et r�glement du per sonnel. 12.2 traitements, allocations et prestations du personnel : personnel du cadre organique et de rang sup�rieur. 12.3 traitements, allocations et prestations du personnel : personnel de la cat�gorie de service et de bureau. 12.4 r�partition g�ographique du personnel et plan d�ensemble � moyen terme (1984-1989) pour le recrutement et le renouvellement du personnel. 12.5 rapport du directeur g�n�ral concernant les questions de personnel. 12.6 caisse commune des pensions du personnel des nations unies:rapport du directeur g�n�ral. 12.7 comit� des pensions du per sonnel de l�unesco : elec tion des repr�sentants des etats membres pour 1988-1989. 12.8 situation de la caisse d�assurance-maladie : rap port du directeur g�n�ral. (point propos� par le direc teur g�n�ral) 13. questions relatives au si�ge 13.1 rapport du comit� du si�ge.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session 13.2 13.3 14. 14.1 14.2 14.3 14.4 14.5 14.6 14.7 14.8 14.9 locaux du si�ge -solution � long terme. mandat du comit� du si�ge. elections election de membres du con seil ex�cutif.
election des membres du co mit� juridique de la conf� rence g�n�rale pour la vingt-cinqui�me session. election des membres du co mit� du si�ge de la conf� rence g�n�rale pour la vingt-cinqui�me session. election de membres de la commission de conciliation et de bons offices charg�e de rechercher la solution des diff�rends qui na� traient entre etats parties � la convention concernant la lutte contre la discri mination dans le domaine de l�enseignement. election de membres du con seil intergouvernemental du programme international pour le d�veloppement de la communication. election de membres du con seil du bureau international d��ducation. election de membres du co mit� intergouvernemental pour l��ducation physique et le sport. election de membres du co mit� intergouvernemental du programme intergouvernemental d�informatique. election de membres du con seil intergouvernemental du programme g�n�ral d�infor mation. 14.10 election de membres du con seil intergouvernemental du programme hydrologique inter national.
14.11 election de membres du con seil international de coor dination du programme sur l�homme et la biosph�re. 14.12 election des membres du co mit� ex�cutif de la campagne internationale pour la cr�a tion du mus�e de la nubie � assouan et du mus�e national de la civilisation �gyptienne au caire. 14.13 election de membres du comit� intergouvernemental pour la promotion du retour de biens culturels � leur pays d�ori gine ou de leur restitution en cas d�appropriation ill� gale. 14.14 election des membres du co mit� intergouvernemental de la d�cennie mondiale du d� veloppement culturel. 15. vingt-cinqui�me session de la conf�rence g�n�rale 15.1 lieu de la vingt-cinqui�me session de la conf�rence. 16. autres questions 16.1 rapport du directeur g�n�ral sur la situation budg�taire de l�organisation en 1986 1987. pr�visions suppl�men taires. 16.2 etat du compte pour le verse ment de primes et d�indemnit�s de cessation de service. 16.3 admission d�aruba comme membre associ�. (point propos� par les paysbas).
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session 16.4 c�l�bration en 1990 du cen-mise en oeuvre des disposi ti�me anniversaire de la nais-tions de la convention de la sance du pr�sident ho chi haye de 1954 pour la protecminh. tion des biens culturels, des �tablissements �ducatifs et (point propos� par la r�pudes monuments historiques blique socialiste du viet nam) ainsi que la pr�servation de l�environnement humain et na 16.5/1 c�l�bration du centi�me turel dans les conflits arm�s. anniversaire de la naissance (point propos� par la r�pu de ren� Cassin. blique islamique d�iran) (point propos� par la france) 17.2 utilisation de la langue arabe 16.6 c�l�bration en 1989 du cen-au m�me titre que les langues ti�me anniversaire de la de travail de l�organisation naissance de jawaharlal nehru. ayant la plus grande diffu (point propos� par l�inde) sion. (point propos� par l�irak, la 16.7 rapport du directeur g�n�ral jamahiriya arabe libyenne, la sur le projet de programme jordanie et la r�publique pour l�ann�e internationale arabe du y�men)
de l�alphab�tisation et rap port sur les r�sultats des travaux effectu�s pour la 18. questions nouvelles pr�parer. 18.1 modification du nom et du sta 16.8 c�l�bration en 1988 du tut du corps commun d�inspec 400e anniversaire de la mort tion des nations unies. de l�architecte sinan. (point propos� par la turquie) 18.2 utilisation de la langue por tugaise � l�unesco. 17. questions suppl�mentaires 17.1 r�le � jouer par l�unesco pour assurer l�application et la 1. point supprim�. 0.4 composition du bureau de la conf�rence g�n�rale a sa deuxi�me s�ance pl�ni�re, le 20 octobre 1987, la conf�rence g�n�rale, sur le rapport du comit� des candidatures, qui �tait saisi des propositions du conseil ex�cutif, et apr�s avoir suspendu pour la dur�e de la vingtquatri�me session de la conf�rence g�n�rale l�application des dispositions du paragraphe des articles 25 et 38 du r�glement int�rieur, et ce, conform�ment � l�article 108 dudit r�glement, a constitu� son bureau/1 comme suit : pr�sident de la conf�rence g�n�rale : m. guillermo putzeys alvarez (guatemala) 1. la liste compl�te des pr�sidents, vice-pr�sidents et rapporteurs de la conf�rence g�n�rale et de ses organes figure dans l�annexe au pr�sent volume.
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travaux de la session soumis par le conseil ex�cutif (24 c/2 et add.). 0.52 a ses 7e et 35e s�ances pl�ni�res, le 23 octobre et le 18 novembre 1987, la conf�rence g�n�rale a d�sign� les etats membres suivants pour faire partie du groupe de r�daction et de n�gociation : 1. mme savitri suwansathit (tha�lande) a �t� �lue pr�sidente de la commis sioni�la suite de la d�mission de m. majeed khan (bangladesh).
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bureau africain des sciences de l��ducation. admission � la vingt-quatri�me session d�observateurs d�organisations internationales non gouvernementales a sa 2e s�ance pl�ni�re, le 20 octobre 1987, la conf�rence g�n�rale a d�cid� d�admettre comme observateurs les repr�sentants des organisations internationales non gouvernementales suivantes : organisations de la cat�gorie c comit� mondial pour la libert� de la presse (grands programme iii et xii) conseil europ�en de recherches sociales sur l�am�rique latine (grands programmes i, ii, iii, iv, v, vii, viii, x, xi, xii et xiii et points 6.3 et 6.9) f�d�ration abolitionniste internationale (grands programmes xiii et xiv) union des avocats arabes (grands programmes xii, xiii et xiv) organisation non class�e union panafricaine de la science et de la technologie (grands programmes vi et ix) 1. les emirats arabes unis ont �t� �lus � la suite du retrait du soudan.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session 0.9 nomination du directeur g�n�ral1 la conf�rence g�n�rale, i avant examin� la proposition du conseil ex�cutif concernant la nomination au poste de directeur g�n�ral, qui figure dans le document 24 c/nom/17, agissant conform�ment � l�article vi, paragraphe 2, de l�acte constitutif, 1. nomme m. federico mayor directeur g�n�ral de l�organisation des nations unies pour l��ducation, la science et la culture pour une p�riode de six ans, � compter du 15 novembre 1987 ; ii 2. approuve le projet de contrat fixant les conditions d�engagement, le traitement, les indemnit�s et le statut du directeur g�n�ral, qui lui a �t� pr�sent� par le conseil ex�cutif dans le document 24c/12. annexe -statut du directeur g�n�ral/2 article premier article 3 le directeur g�n�ral est le plus si le directeur g�n�ral vient � se haut fonctionnaire de l�organisa-trouverdansl�incapacit�d�exercer tion.dansl�accomplissementde sa sesfonctions,leconseilex�cutif t�che, il se conforme aux disposi-peut lui accorder un cong�, dont tions de l�acte constitutif et � ilfixelesconditions etladur�e, tous r�glements �tablis par la en attendant la session suivante conf�rence g�n�rale et le conseil de la conf�rence g�n�rale ; en ex�cutif, et il donne effet aux pareilcas,lesresponsabilit�sdu d�cisionsdecesdeuxorganes. directeur g�n�ral sont assum�es par un directeur g�n�ral int� rimaire, nomm� par le conseil article 2 ex�cutif. en cas de d�c�s ou de d�mission du si, de l�avis de la conf�rence
directeur g�n�ral, le conseil ex�-g�n�rale, l�incapacit� dans la cutif nomme un directeur g�n�ral quelle se trouve le directeur g� int�rimaire qui reste en fonction n�ral le met dans l�impossibilit� jusqu�� la session suivante de la de continuer � exercer ses foncconf�rence g�n�rale. tions, la conf�rence invite le 1. r�solution adopt�e sur proposition du pr�sident du conseil ex�cutif � la 28e s�ance pl�ni�re, le 7 novembre 1987. 2. texte adopt� par la conf�rence g�n�rale � sa premi�re session et confirm� � sa troisi�me session extraordinaire ainsi qu�� ses dixi�me, douzi�me, quinzi�me, dix-huiti�me et vingt et uni�me sessions.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session conseil ex�cutif � lui faire une nouvelle proposition et proc�de � une nouvelle �lection. en pareille circonstance, la conf�rence peut accorder � l�ancien directeur g� n�ral telle indemnit� qu�elle juge �quitable. article 4 par un vote pris � la majorit� des deux tiers de ses membres, le con seil ex�cutif peut suspendre le directeur g�n�ral de ses fonctions pour faute grave ou infraction � l�acte constitutif ou au r�glement int�rieur de la conf�rence ou du conseil ; en pareil cas, il peut nommer un directeur g�n�ral int� rimaire charg� d�exercer les fonc tions de directeur g�n�ral int�ri maire charg� d�exercer les fonc tions de directeur g�n�ral jusqu�� la session suivante de la conf� rence g�n�rale. si la conf�rence g�n�rale ratifie la d�cision du conseil ex�cutif, le contrat du directeur g�n�ral est r�sili� surle-champ et le conseil ex�cutif est invit� � faire une nouvelle propo sition en vue d�une nomination au poste de directeur g�n�ral. 0.10 �lection de membres du conseil ex�cutif a sa 20e s�ance pl�ni�re, le 31 octobre 1987, la conf�rence g�n�rale a proc�d�, sur le rapport du comit� des candidatures, � l��lection de 25 membres du conseil ex�cutif.
les candidats ci-apr�s (dont les noms sont class�s par ordre alphab� tique), ayant obtenu la majorit� requise de suffrages exprim�s, ont �t� d�clar�s �lus : m. yahya aliyu (nig�ria) m. fahd bin jassem hamad al thani (qatar) m. anwar ibrahim (malaisie) mme marie-claude cabana (france) m. brown b. chimphamba (malawi) m. federico edjo ovono (guin�e �quatoriale) m. alfredo guevara (cuba) m. luis bernardo honwana (mozambique) m. abdisalam sheikh hussein (somalie) m. youri evguenievitch karlov (union des r�publiques socialistes sovi�tiques m. mumtaz ali kazi (pakistan) m. mizuo kuroda (japon) m. allan siegfried li fo sjoe (suriname) mme margaretha mickwitz (finlande) m. franz muheim (suisse) m. bethuel allan ogot (kenya) m. mohamed mahmoud ould weddady (mauritanie) m. luis manuel penalver (venezuela) m. luis ignacio ramallo (espagne) m. komlavi fofoli seddoh (togo) mme stella soulioti (chypre) m. asavia wandira (ouganda) m. nissanka parakrama wijeyeratne (sri lanka) m. suk-heun yun (r�publique de cor�e) m. kazimierz zygulski (pologne)
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session 0.11 hommages 0.111 hommage au directeur g�n�ral/1 la conf�rence g�n�rale, consid�rant que le mandat de m. amadou-mahtar m�bow, directeur g�n�ral de l�unesco, prendra fin le 14 novembre 1987, consciente de son profond attachement aux principes et aux id�aux de l�unesco, qu�il s�est toujours employ� � interpr�ter fid�lement et � d�fendre avec vigueur, consciente aussi de la contribution �minente que, pendant toute sa carri�re au sein de l�organisation, m. amadou-mahtar m�bow a apport�e inlassablement � l�essor, au progr�s et au succ�s de celle-ci, 1. s�associe pleinement � la d�cision que le conseil ex�cutif a adopt�e � sa s�ance du 2 novembre 1987 et dont le texte suit : "le conseil ex�cutif, 1. rappelant que m. amadou-mahtar m�bow, apr�s avoir �t� �lu membre du conseil ex�cutif de l�unesco de 1966 � 1970, est entr� au secr�tariat en 1970 et a exerc� successivement les fonctions de sous-directeur g�n�ral du secteur de l��ducation et de directeur g�n�ral, 2. rappelant en outre qu�il a �t� nomm� au poste de directeur g�n�ral par la conf�rence g�n�rale � sa dix-huiti�me session, le 14 no vembre 1974, et qu�il a �t� reconduit dans ses fonctions � l�una nimit� par la conf�rence g�n�rale � sa vingt et uni�me session, le 27 septembre 1980, pour un second mandat qui viendra � expiration le 14 novembre 1987, 3. consid�rant que m. amadou-mahtar m�bow, dans l�exercice de ses hautes fonctions, n�a jamais cess� de consacrer � l�organisation le meilleur de lui-m�me et que, par sa conception clairvoyante de la mission de l�unesco, sa perception aigu� des probl�mes du monde contemporain, son humanisme dynamique, sa rechercher permanente du consensus et d�une pleine participation des etats membres, des commissions nationales et des organisations intergouvernementales et non gouvernementales aux activit�s de l�unesco, il a grandement contribu� � donner � l�organisation une impulsion et un rayonne ment sans pr�c�dent qui lui ont permis d�accomplir des progr�s consid�rables au service de la communaut� internationale et de devenir une force agissante dans la lutte pour la paix, les droits de l�homme et le d�veloppement,
4. consid�rant en outre sa connaissance approfondie du syst�me des nations unies et la mani�re dont il a permis � l�organisation de contribuer � l�efficacit� de ce syst�me, d�y faire entendre sa voix et d�y jouer le r�le qui lui incombe, 1. r�solution adopt�e sur proposition du bureau de la conf�rence g�n�rale, � la 25e s�ance pl�ni�re, le 4 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session 5. convaincu que son exemple, qui illustre de mani�re �clatante les vertus de la coop�ration intellectuelle internationale et de la fonction publique internationale, et honore le secr�tariat dont il est issu et dont il a �t� le chef prestigieux, demeurera dans l�avenir une source d�inspiration pour tous ceux et toutes celles qui, quelles que soient leurs fonctions, s�efforceront de traduire dans la r�alit� les id�aux de l�organisation, 6. appr�ciant la valeur de la coop�ration qui s�est �tablie, dans le respect mutuel, entre lui et le conseil ex�cutif en vue de l�accomplissement des t�ches assign�es � l�un et � l�autre par l�acte constitutif et par la conf�rence g�n�rale, 7. rend solennellement hommage � M. amadou-mahtar m�bow en sa s�ance pl�ni�re du 2 novembre 1987 et lui exprime sa profonde gratitude ; 8. formule le voeu que les ann�es � venir lui apportent de nombreuses satisfactions et lui fournissent de nouvelles occasions de faire b�n�ficier la communaut� internationale de son exp�rience et de son inlassable d�vouement aux grandes causes de l�humanit�." ; appr�ciant la valeur de l��troite coop�ration qui a �t� maintenue entre m. amadou-mahtar m�bow et la conf�rence g�n�rale, la clairvoyance et la r�ceptivit� avec lesquelles il a su interpr�ter ses voeux et le d�vouement qu�il a apport� � la mise en oeuvre de ses d�cisions, 2. rend hommage � M. amadou-mahtar m�bow et lui exprime sa plus profonde gratitude en cette s�ance pl�ni�re du 4 novembre 1987. 0.112 hommage � M. ivo margan, pr�sident du conseil ex�cutif/1 la conf�rence g�n�rale, notant que m. ivo margan parviendra au terme de son mandat de pr�sident du conseil ex�cutif � la fin de la vingt-quatri�me session de la conf�rence g�n�rale, rappelant la longue et fructueuse collaboration qui a permis � M. margan de contribuer de diverses mani�res aux activit�s de l�organisation, d�abord en qualit� de pr�sident de la vingt et uni�me session de la conf�rence g�n�rale (1980), puis de la quatri�me session extraordinaire (1982), ensuite comme membre du conseil ex�cutif et pr�sident du comit� sp�cial et du comit� temporaire charg� de pr�senter au conseil des recommandations visant l�am�lioration du fonctionnement de l�organisation, et enfin en tant que pr�sident du conseil ex�cutif, et rappelant aussi les efforts qu�il a faits pour le renforcement du r�le du conseil ex�cutif, 1. r�solution adopt�e sur proposition du bureau de la conf�rence g�n�rale,
� la 38e s�ance pl�ni�re, le 20 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. organisation de la session consid�rant la s�r�nit�, la scrupuleuse impartialit�, l�ouverture d�esprit et l�ind�fectible attachement aux nobles objectifs de l�unesco dont il a fait preuve dans le cadre de ses hautes fonctions pendant une p�riode particuli�rement difficile de la vie de l�organisation, reconnaissant l�importante contribution que le conseil ex�cutif a apport�e, sous sa pr�sidence, aux travaux de la pr�sente session de la conf�rence g�n�rale, exprime sa profonde gratitude � M. ivo margan pour les �minents services qu�il a rendus � l�unesco. 0.113 hommage � M. guillermo putzeys alvarez, pr�sident de la conf�rence g�n�rale/1 la conf�rence g�n�rale, notant que m. guillermo putzeys alvarez a �t� �lu par acclamation pr�sident de la conf�rence g�n�rale � sa vingt-quatri�me session, rappelant que, pendant de nombreuses ann�es, il a �t� �troitement associ� � l�unesco, d�abord en qualit� de ministre de l��ducation du guatemala, puis comme membre du conseil ex�cutif, pr�sident du comit� des conventions et recommandations et vice-pr�sident du conseil, et ult�rieurement comme ambassadeur et d�l�gu� permanent de son pays, consid�rant que sa mod�ration et son sens du dialogue, sa scrupuleuse impartialit� et sa sagesse ont marqu� l�esprit dans lequel la conf�rence g�n�rale a adopt� ses r�solutions � un moment crucial pour l�organisation, consciente de son ind�fectible fid�lit� aux nobles objectifs de l�unesco et de la pr�cieuse contribution qu�il a apport�e � leur r�alisation, exprime sa profonde gratitude � M. guillermo putzeys alvarez et rend publi quement hommage � la mani�re digne et �quitable dont il a pr�sid� la vingt-quatri�me session de la conf�rence g�n�rale, sachant concilier avis et jugements pertinents, ainsi qu�aux �minents services qu�il a rendus � l�unesco.
1. r�solution adopt�e � la 38e s�ance pl�ni�re, le 20 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. ii rapports sur l�activit� de l�organisation et �valuation du programme 0.12 rapport du conseil ex�cutif sur sa propre activit� en 1986-1987, y compris le processus de r�formes a sa 3e s�ance pl�ni�re, le 21 octobre 1987, la conf�rence g�n�rale a pris note du rapport du conseil ex�cutif sur sa propre activit� en 1986-1987, y compris le processus de r�formes.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. iii programme pour 1988-1989 a. grands programmes 1 r�flexion sur les probl�mes mondiaux et �tudes prospectives1 1.1 grand programme i "r�flexion sur les probl�mes mondiaux et �tudes prospectives" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/01, 22 c/1.1 et 23 c/1.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme i "r�flexion sur les pro bl�mesmondiauxet�tudesprospectives", rappelant �galement que le grand programme i r�pond � la vocation intellec tuelle de l�unesco et a pour but de contribuer � la premi�re mission d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, � savoir : "contribuer � une r�flexion continue sur les probl�mes du monde actuel, de mani�re � faire progresser la conscience de la commu naut� de destin qui unit d�sormais les individus comme les peuples", estimant par ailleurs que les travaux � mener dans le cadre du grand programme i, en d�gageant les tendances de l��volution dans les domaines de comp�tence de l�organisation, contribuent � mieux pr�parer l�orientation future de ses programmes, constatant la n�cessit� de r�aliser et de diffuser la synth�se des �tudes et recherches men�es depuis 1984, 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme i "r�flexion sur les probl�mes mondiaux et �tudes prospectives" ; 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commissioni�la29e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 1 r�flexion sur les probl�mes mondiaux et �tudes prospectives 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) � promouvoir et � approfondir la connaissance des grands probl�mes mondiaux compte tenu des travaux men�s au cours des deux exercices budg�taires pr�c�dents, en veillant � refl�ter la diversit� des courants de pens�e, des sensibilit�s et des cultures ; (b) � mettre en �vidence les situations, les tendances de l��volution, les mutations et les enjeux pr�visibles � l�horizon 2000 dans les domaines de comp�tence de l�organisation dans une perspective tant r�gionale que mondiale ; (c) � promouvoir la r�flexion sur la contribution que l�organisation pourrait apporter dans ses domaines de comp�tence � la solution des probl�mes mondiaux, en veillant � d�gager, chaque fois que possible, des options; (d) � intensifier les �changes d�informations et d�id�es concernant la r�flexion sur les probl�mes mondiaux et � assurer la diffusion des r�sultats des �tudes et des recherches men�es dans le cadre du grand programme i, notamment par la publication d�un rapport g�n�ral dressant le bilan de l�ensemble des recherches men�es depuis 1984 ; (e) � apporter dans toute la mesure du possible la contribution de l�organisation, au titre du programme de participation, aux etats membres qui souhaiteraient mettre en oeuvre des activit�s r�pondant aux objectifs du grand programme i ; 3. prie en outre le directeur g�n�ral, dans la mise en oeuvre de ces activit�s, (a) d��tablir une �troite coop�ration avec les organisations inter nationales gouvernementales et non gouvernementales int�ress�es, en particulier les institutions du syst�me des nations unies et l�universit� des nations unies ; (b) de s�assurer que les situations, les probl�mes, les points de vue et les perspectives qui sont propres aux femmes trouvent une place appropri�e dans ces travaux. 1.2 appui au centre international de coop�ration scientifique simon bolivar (venezuela) la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/01, 22 c/1.1 et 23 c/1.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme i "r�flexion sur les probl�mes mon diaux et �tudes prospectives", prenant en consid�ration ses recommandations tendant : (a) � promouvoir la r�flexion sur la contribution que l�organisation pourrait apporter dans ses domaines de comp�tence � la solution des probl�mes mondiaux, en veillant � d�gager, chaque fois que possible, des options,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 2 l��ducation pour tous (b) � intensifier les �changes d�informations et d�id�es concernant la r�flexion sur les probl�mes mondiaux et � assurer la diffusion des r�sultats des �tudes et des recherches men�es dans le cadre du grand programme i, notamment par la publication d�un rapport g�n�ral dressant le bilan de l�ensemble des recherches men�es depuis 1984 ; consid�rant l�influence du d�veloppement de la recherche scientifique et de l�enseignement des sciences sur le progr�s �conomique et social, tenant compte de l�accord sign� le 24 juillet 1983 entre le gouvernement du venezuela et l�unesco au sujet du centre international de coop� ration scientifique simon bolivar, et ratifi� par le congr�s de la r�publique du venezuela par la loi du 26 novembre 1985, consciente de la n�cessit� d�unir les efforts faits dans la r�gion de l�am�rique latine et des cara�bes pour intensifier l��change d�informations et d�id�es relatives � la r�flexion sur les pro bl�mes mondiaux et, en particulier, la promotion de la r�flexion prospective dans le domaine de la science et de la technologie, prenant en consid�ration les efforts que d�ploient diff�rentes institutions d�am�rique latine et des cara�bes, telles que le colegio de m�xico, le centre de recherche sur les probl�mes de d�veloppement (cendes) de l�universit� centrale du venezuela et le centre inter national de coop�ration scientifique simon bolivar de l�institut international d��tudes avanc�es (idea), en vue de promouvoir les activit�s de recherche, de r�flexion et d�enseignement de carac t�re prospectif dans le domaine de la science et de la technologie, autorise le directeur g�n�ral � apporter un appui technique et financier au centre international de coop�ration scientifique simon bolivar du venezuela, dont le si�ge se trouve � l�institut international d��tudes avanc�es, dans le cadre des activit�s pr�vues au titre du grand programme i, et en particulier aux alin�as 2.6 du para graphe 01005, 3.1 du paragraphe 01006 et 4.2.1 et 4.2.2 du paragraphe 01007 du projet de programme et de budget pour 1988-1989. 2 l��ducation pour tous1 2.1 grand programme ii "l��ducation pour tous" la conf�rence g�n�rale,
rappelant les r�solutions 4 xc/2/02, 22 c/2.1 et 23 c/2.1 qu�elle a adop t�es au sujet du grand programme ii "l��ducation pour tous", 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission ii � la 30e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
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domaine, se r�f�rant aux r�solutions adopt�es par la conf�rence g�n�rale � sa vingt-troisi�me session au sujet du grand programme ii "l��duca tion pour tous", ainsi qu�� la r�solution 23 c/4.6 concernant le "plan d�action pour �liminer l�analphab�tisme d�ici � l�an 2000" et � la r�solution 41/118 relative � l�ann�e internationale de l�alphab�tisation, adopt�e par l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa quarante et uni�me session, se r�f�rant en outre � la r�solution 37/52 adopt�e par l�assembl�e g�n�rale de l�organisation des nations unies � sa trente-septi�me session au sujet du programme d�action mondial concernant les personnes handicap�es et � la r�solution 1986/2 que le conseil �conomique et social de l�organisation des nations unies a adopt�e � sa quinzi�me session pl�ni�re (1986) au sujet de la situation des travailleurs migrants et des membres de leurs familles,
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l�analphab�tisme en afrique et au programme r�gional de g�n�ralisation et de r�novation de l�enseignement primaire
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 2 l��ducation pour tous et d��limination de l�analphab�tisme en asie et dans le pacifique (appeal), et � coop�rer avec les etats membres concern�s � la pr�paration et � la mise en oeuvre d�un programme similaire dans la r�gion des etats arabes ; (vii) � continuer d�accorder une priorit� �lev�e � la formation et au perfectionnement des personnels de l�alphab�tisation des adultes et de ceux de l�enseignement primaire et � porter une attention particuli�re � la formation des formateurs et des personnels � effet multiplicateur et au renforcement des r�seaux d�institutions de formation dans le cadre des programmes r�gionaux ou sous-r�gionaux d��limination de l �analphab�tisme ; (b) au titre du programme ii.2 "d�mocratisation de l��ducation", (i) � continuer de contribuer � l�application de la convention et de la recommandation concernant la lutte contre la dis crimination dans le domaine de l�enseignement, et � l�adop tion et � la mise en oeuvre de mesures et de r�formes propres � favoriser l��galit� des chances et de traitement en mati�re d��ducation, notamment pour les groupes les plus d�favoris�s ; (ii) � encourager les efforts ayant pour but de donner plein effet aux diff�rents aspects de la d�mocratisation de l��du cation, en stimulant la recherche, la r�flexion et les r�formes visant � introduire dans les syst�mes �ducatifs les changements qu�appelle une �ducation permanente pour tous r�pondant aux exigences pr�visibles des soci�t�s du xxie si�cle ; (iii � coop�rer avec les etats membres en vue de promouvoir des r�formes, mesures et projets �ducatifs destin�s � favoriser une meilleure articulation de l��ducation scolaire et de l��ducation extrascolaire, une mobilit� accrue entre les diff�rents types et formes d��ducation, ainsi qu�une parti cipation effective des groupes et des communaut�s int�ress�s � l��laboration des plans et programmes de d�veloppement de l��ducation et � la gestion des institutions et activit�s �ducatives ; (iv) � contribuer au d�veloppement des capacit�s nationales en ce qui concerne la formulation et la mise en oeuvre de poli tiques et de strat�gies pour le d�veloppement de l��ducation de la premi�re enfance, notamment par son extension aux groupes d�favoris�s ; (c) au titre du programme ii.3 "education des adultes", (i) � continuer d�encourager et de soutenir la mise en oeuvre de la recommandation sur le d�veloppement de l��ducation des
adultes (nairobi, 1976) et des recommandations de la quatri�me conf�rence internationale sur l��ducation des adultes (paris, 1985), et � mettre en route la proc�dure arr�t�e par la conf�rence g�n�rale pour la pr�sentation et l�examen des rapports des etats membres relatifs � l�appli cation de la recommandation de 1976 ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 2 l��ducation pour tous (ii) � promouvoir l��ducation des adultes en contribuant � une meilleure connaissance des nouvelles tendances et approches dans ce domaine, � l�am�lioration de la formation des per sonnels et � la diffusion de l�information sur les institu tions et les organisations internationales non gouverne mentales concern�es et leurs activit�s ; (iii) � favoriser les activit�s visant � assurer la prise en consid�ration, dans l��ducation g�n�rale et la formation continue, des besoins et de l��volution de la structure de l�emploi, � promouvoir la vulgarisation scientifique et technologique et � am�liorer la formation des responsables de l��ducation des travailleurs ; (iv) � renforcer la coop�ration avec les etats membres et les organisations internationales non gouvernementales pour la conduite d�activit�s �ducatives ayant pour but de favoriser une meilleure compr�hension, par les adultes, des grands probl�mes du monde contemporain et une prise de conscience accrue de leurs droits et responsabilit�s civiques, et de les pr�parer � participer plus activement � la vie socio �conomique et culturelle et � la gestion des affaires de la communaut� ; (v) � promouvoir l��change d�informations sur les exp�riences faisant appel au concours des personnes �g�es pour la conduite des activit�s �ducatives � l�intention des jeunes et des adultes ; (d) au titre du programme ii.4 "egalit� des chances des jeunes filles et des femmes en mati�re d��ducation", � poursuivre en la ren for�ant la coop�ration avec les etats membres, les organisations du syst�me des nations unies, d�autres organisations inter gouvernementales et les organisations internationales non gouvernementales, en vue : (i) d�approfondir la connaissance des obstacles d�origine �cono mique, sociale et culturelle � l��galit� des femmes et des hommes en mati�re d��ducation, et d��laborer et de mettre en oeuvre des approches et des strat�gies novatrices pour les �liminer, ainsi que de diffuser l�information concernant les strat�gies nationales de promotion de l��ducation des jeunes filles et des femmes et d�assurer l��change de donn�es d�exp�rience et de connaissances techniques pertinentes entre les etats membres ; (ii) de g�n�raliser l�acc�s � l��ducation des jeunes filles et des femmes, notamment par des actions coordonn�es de scola risation des jeunes filles, de r�duction des d�perditions scolaires et d�intensification des programmes d�alphab�ti sation et d��ducation des femmes ; (iii) de favoriser, notamment par l�am�lioration de l�orientation scolaire et professionnelle, une participation accrue des jeunes filles et des femmes aux �tudes scientifiques et �
tous les niveaux de l�enseignement technique et profession nel, en particulier dans les fili�res pr�parant � des
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cation, compte tenu des besoins sp�cifiques de ces personnes et des apports des nouvelles technologies de l�information et de la communication, dans la perspective de l�int�gration des jeunes handicap�s au milieu scolaire ordinaire et � la vie active ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 2 l��ducation pour tous (ii) � continuer � soutenir, dans le cadre de la coop�ration avec l�office de secours et de travaux des nations unies pour les r�fugi�s de palestine dans le proche-orient (unrwa), le haut commissariat des nations unies pour les r�fugi�s (hcr) et le programme des nations unies pour le d�veloppement (pnud), ainsi qu�avec les autres institutions qui fournissent une aide en mati�re d��ducation aux r�fugi�s et aux mouvements de lib�ration nationale reconnus par l�organisation de l�unit� africaine (oua) et � l�organisation de lib�ration de la palestine (olp) reconnue par la ligue des etats arabes, les activit�s �ducatives men�es � ce titre et celles qui visent � la formation des enseignants et des cadres de ces mouvements ; (iii) � poursuivre les efforts visant � permettre � l�unesco d�assurer la surveillance permanente du fonctionnement des institutions �ducatives et culturelles dans les territoires arabes occup�s et � renforcer l�appui technique et mat�riel accord� par l�unesco aux institutions �ducatives et cultu relles dans ces territoires ; (iv) � poursuivre �galement ses efforts visant � la cr�ation d�un fonds de bourses, financ� par des dons, au b�n�fice des �tu diants des territoires arabes occup�s conform�ment aux r�so lutions 23 et 2.1 adopt�es par la conf�rence g�n�rale respectivement � sa vingt-deuxi�me et � sa vingt-troisi�me session ; (v) � promouvoir les activit�s �ducatives en faveur des travail leurs migrants et de leurs familles, l�alphab�tisation des jeunes filles et des femmes, en particulier dans leur langue maternelle, la pr�servation de leur identit� culturelle, les �tudes pr�professionnelles et techniques pour les migrants de la deuxi�me g�n�ration, et la pr�paration et la diffusion par les m�dias de programmes �ducatifs con�us dans la langue maternelle des migrants, en vue de faciliter leur int�gra tion dans les pays d�immigration et leur r�int�gration ult� rieure dans leur pays d�origine. 2.2 elimination de l�analphab�tisme la conf�rence g�n�rale, consid�rant le r�le pr��minent et la fonction catalytique des id�es nova trices tendant � rattacher les programmes d�alphab�tisation et de postalphab�tisation � l��ducation g�n�rale pour tous et � l��duca tion continue et permanente, y compris la formation profession nelle, au sein de l�ensemble des activit�s de l�unesco concernant l��ducation, soulignant � cet �gard le rang de priorit� �lev� qui doit �tre accord� dans
les programmes de l�unesco � l��limination de l�analphab�tisme,
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mandation du conseil ex�cutif figurant au paragraphe 29 du docu ment 24 c/6 et l�invite � faire rapport � ce dernier si n�cessaire sur toute autre source suppl�mentaire � laquelle il pourrait �tre fait appel ; 5. invite le conseil du bureau international d��ducation � rechercher toute �conomie possible dans le budget de l�organisation de la 41e session de la conf�rence internationale de l��ducation pour r�aliser, dans le cadre du programme du bureau international d��ducation, des �tudes compar�es sur les innovations en mati�re de lutte contre l�analphab�tisme ; 27
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etant inform�e de la d�cision 126 ex/7.1.2 par laquelle le conseil ex� cutif a approuv� les propositions pr�liminaires formul�es par le directeur g�n�ral et a autoris� ce dernier � communiquer ces pro positions au conseil �conomique et social, comme l�assembl�e g�n�rale l�a demand�, se f�licitant de la r�solution 1987/80 du conseil �conomique et social invitant l�assembl�e g�n�rale � proclamer l�ann�e 1990 ann�e internationale de l�alphab�tisation,
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�conomique en asie et dans le pacifique (minedap v), par laquelle le directeur g�n�ral �tait pri� d��tudier la possibilit� de lancer un programme r�gional visant � �liminer l�analphab�tisme avant la fin du si�cle, gr�ce � une action concert�e tendant � la g�n�ralisation et � la r�novation de l�enseignement primaire, associ�e � des activit�s d�alphab�tisation des adultes,
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�lev�, ayant pr�sente � l�esprit l�action men�e par l�unesco dans d�autres r�gions, comme le projet majeur dans le domaine de l��ducation en am�rique latine et dans les cara�bes, le programme r�gional d��li mination de l�analphab�tisme en afrique et le programme r�gional de g�n�ralisation et de r�novation de l�enseignement primaire et d��limination de l�analphab�tisme en asie et dans le pacifique (appeal),
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m. mohamed ben bachir (maroc), mme hilda chen apuy (costa rica), m. ricardo alberto guibourg (argentine), m. alassane ndaw (s�n�gal). 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 2 l��ducation pour tous 2.7 mise en oeuvre de la recommandation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes la conf�rence g�n�rale, consid�rant que le d�veloppement de l��ducation des adultes est un des aspects fondamentaux de la promotion du droit � l��ducation et de la d�mocratisation de l��ducation, ainsi que de la mise en pratique de l��ducation permanente pour tous, rappelant qu�� sa dix-neuvi�me session (1976), elle a adopt� la recomman dation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes et estimant que l�organisation doit encourager sa mise en oeuvre pleine et enti�re et se tenir inform�e des progr�s r�alis�s dans son appli cation dans les etats membres, se r�f�rant aux dispositions de l�article viii de l�acte constitutif et de l�article 16.3 du r�glement relatif aux recommandations aux etats membres et aux conventions internationales et rappelant que, dans la recommandation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes, elle "recommande aux etats membres de lui pr�senter, aux dates et sous la forme qu�elle d�terminera, des rapports concernant la suite donn�e par eux" � ladite recommandation, rappelant �galement que la ive conf�rence internationale sur l��ducation des adultes (paris, 1985) a recommand� � la conf�rence g�n�rale "de d�cider de la proc�dure et de la p�riodicit� � observer pour la pr�sentation et l�examen des rapports des etats membres relatifs � l�application de la recommandation sur le d�veloppe ment de l��ducation des adultes", ayant examin� le document 24 c/72 contenant les propositions du directeur g�n�ral concernant la proc�dure � suivre et la p�riodicit� � observer pour la pr�sentation et l�examen des rapports des etats membres relatifs � l�application de la recommandation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes, 1. approuve la proc�dure et la p�riodicit� ainsi que le calendrier pro pos�s dans le document 24 c/72 pour la pr�sentation et l�examen desdits rapports des etats membres ; 2. invite le directeur g�n�ral � pr�parer un projet de questionnaire � l�intention des etats membres pour la pr�paration de leurs rapports sur l�application de la recommandation de 1976, � le
soumettre au comit� sur les conventions et recommandations du conseil ex�cutif et � l�approbation du conseil ex�cutif, et � adresser aux etats membres le questionnaire approuv� dans le courant de 1991 ; 3. invite les etats membres � faire parvenir leurs rapports au directeur g�n�ral dans un d�lai de dix mois � compter de la date d�envoi du questionnaire ; 4. invite le directeur g�n�ral � �tablir des r�sum�s analytiques de ces rapports et une synth�se de l�ensemble ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 2 l��ducation pour tous 5. invite le conseil ex�cutif � faire examiner par son comit� sur les conventions et recommandations et � examiner lui-m�me les rapports nationaux et leur synth�se �tablie par le directeur g�n�ral ; 6. d�cide que les r�sum�s analytiques des rapports nationaux, leur syn th�se et le rapport du comit� susmentionn�, avec les observations du conseil ex�cutif, seront soumis � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-septi�me session (1993). 2.8 d�veloppement de l��ducation des adultes la conf�rence g�n�rale, rappelant l�importance de l��ducation comme facteur d�terminant du d�veloppement, consciente de l�importance fondamentale que rev�t le plein exercice du droit � l��ducation, sans discrimination aucune, pour le plein �panouissement de la personne humaine et pour l�exercice effectif de ses autres droits et libert�s fondamentaux, rappelant la recommandation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes adopt�e par la conf�rence g�n�rale � sa dix-neuvi�me session (nairobi, 1976), rappelant la r�solution 23 c/2.1 qu�elle a adopt�e au sujet du grand programme ii "l��ducation pour tous", rappelant la r�solution 23 c/4.6 intitul�e "plan d�action pour �liminer l�analphab�tisme d�ici � l�an 2000", qu�elle a adopt�e en rapport avec le grand programme iv, tenant compte �galement des recommandations de la quatri�me conf�rence internationale sur l��ducation des adultes (paris, 1985), estimant que l��ducation de base des adultes rev�t une urgence particuli�re pour la mise en oeuvre effective et int�grale du droit � l��du cation et devrait donc �tre reconnue comme objectif prioritaire de la communaut� internationale et de l�unesco, consciente de la n�cessit� de g�n�raliser l��ducation de base des adultes dans les meilleurs d�lais, en y incluant des actions d�alphab�ti sation envisag�es comme une r�ponse � des besoins exprim�s par des
individus ou des groupes, prie le directeur g�n�ral : (a) d�encourager la g�n�ralisation de l��ducation des adultes dans les meilleurs d�lais ; (b) de concevoir ladite �ducation des adultes comme un ensemble de mesures permettant : (i) d�apporter la ma�trise de l��criture, de la lecture et du calcul �l�mentaire �crit aux individus et aux groupes analphab�tes, notamment aux femmes ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 2 l��ducation pour tous (ii) de faire le n�cessaire pour que soient organis�es des activit�s suivies de postalphab�tisation et des programmes d��ducation permanente ; (iii) de donner les moyens d�am�liorer la qualit� de la vie par l�acquisition de connaissances et de savoir-faire dans les domaines de l�alimentation, de la sant�, de l�information, de l�habitat, de la participation sociale et politique, et de l��ducation des enfants ; (iv) de donner la possibilit� de participer � la production �cono mique et � son accroissement ; (c) d�inclure dans ce concept le souci d�une adaptation permanente aux perspectives de d�veloppement socio-�conomique des pays, � leur contexte culturel et aux besoins exprim�s par des individus ou des groupes, notamment par une �ducation technologique de base favorisant la polyvalence et l�adaptabilit� ; (d) d�aider les etats membres � �laborer des strat�gies �ducatives � partir des probl�mes, des centres d�int�r�t ou des besoins des groupes ou des individus ; (e) de les encourager � mettre en oeuvre des actions d��ducation des adultes diversifi�es ; (f) de pr�voir un �change approfondi des donn�es d�exp�rience et des r�sultats acquis dans le domaine de l��ducation des adultes et de ses m�thodes, dans un cadre r�gional et international. 2.9 plan national de d�veloppement de l��ducation des adultes au honduras la conf�rence g�n�rale, consid�rant que le gouvernement de la r�publique du honduras a adopt� et met actuellement en oeuvre � titre prioritaire une politique en mati�re d��ducation destin�e � assurer le d�veloppement int�gral du syst�me d�enseignement, de fa�on que celui-ci soit � m�me de remplir la mission qui lui incombe � ce stade de l�histoire vis-�-vis de la nation hondurienne, et principalement des vastes couches d�favoris�es qui constituent la majorit� de la population, consid�rant que cette action orient�e vers l�am�lioration de l��ducation au honduras privil�gie l�enseignement primaire destin� aux enfants et l��ducation de base int�grale des adultes, consid�rant que le gouvernement de la r�publique du honduras, avec l�appui total et la participation pleine et enti�re des institutions et des secteurs oeuvrant par l�interm�diaire de la commission natio nale pour la promotion du d�veloppement de l��ducation des adultes (conidea), proc�de actuellement au lancement des activit�s nova trices relevant du plan national de d�veloppement de l��ducation
des adultes au honduras (plandea),
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 3 la communication au service des hommes reconnaissant que ce plan repr�sente un objectif, une strat�gie et un effort national d��ducation de base int�grale des adultes qui, par son caract�re permanent, fonctionnel, unitaire, participatif et dynamique, vise, dans le cadre du projet majeur dans le domaine de l��ducation en am�rique latine et dans les cara�bes, � transformer et a promouvoir de fa�on syst�matique l��ducation des adultes au honduras, reconnaissant que le honduras figure parmi les pays qui comptent le plus grand nombre de personnes dont les besoins en mati�re d��ducation de base n�ont pu �tre satisfaits, ayant � l�esprit, et soulignant, que gr�ce � ce plan, le gouvernement et le peuple du honduras r�pondent de fa�on novatrice aux besoins en mati�re d��ducation des adultes, consid�rant que ledit plan tient compte des objectifs du projet majeur dans le domaine de l��ducation en am�rique latine et dans les cara�bes, des r�solutions de la conf�rence g�n�rale de l�unesco et des d�clarations des conf�rences mondiales sur l��ducation des adultes, ainsi que des recommandations touchant ce secteur de l��ducation qui ont �t� formul�es lors de r�unions r�gionales et sous-r�gionales, autorise le directeur g�n�ral � lancer un appel � la communaut� internatio nale pour qu�elle pr�te au honduras le concours mat�riel, finan cier, technique et moral dont ce pays a besoin pour mettre en oeuvre son plan national de d�veloppement de l��ducation des adultes. 3 la communication au service des hommes 3.1 grand programme iii "la communication au service des hommes"/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/03, 22 c/3.1 et 23 c/3.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme iii "la communication au service des hommes",
rappelant les dispositions pertinentes qui figurent dans l�acte consti tutif, dans les divers instruments internationaux, en particulier la d�claration universelle des droits de l�homme, le pacte inter national relatif aux droits civils et politiques et le pacte international relatif aux droits �conomiques, sociaux et culturels, ainsi que dans les r�solutions et d�clarations de la conf�rence g�n�rale, dispositions auxquelles il est fait r�f�rence dans les r�solutions 4 xc/2/03, 22 c/3.1 et 23 c/3.1 mentionn�es ci-dessus, 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commission iv � la 37e s�ance pl�ni�re, le 20 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 3 la communication au service des hommes rappelant les r�solutions adopt�es par l�assembl�e g�n�rale des nations unies depuis sa trente-quatri�me session qui ont trait � la coop� ration avec l�unesco dans les domaines de la communication et de l�information ainsi qu�au r�le central que l�unesco joue � cet �gard dans le cadre de son mandat, soulignant l�importance du grand programme iii pour l�accomplissement de la deuxi�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, 1. r�affirme qu�il est essentiel d��liminer progressivement les d�s�qui libres existant dans le domaine de la communication, en favorisant notamment le d�veloppement des infrastructures et la formation des ressources humaines ainsi que le renforcement des capacit�s de production et de diffusion dans les pays en d�veloppement, et d�encourager une circulation libre et une diffusion plus large et mieux �quilibr�e de l�information, dans la perspective de l�ins tauration d�un nouvel ordre mondial de l�information et de la communication compris comme un processus �volutif et continu ; 2. lance un appel pressant aux etats membres, aux organisations inter nationales, gouvernementales et non gouvernementales, aux milieux professionnels et aux diverses sources de financement afin qu�ils apportent un soutien accru au programme international pour le d�veloppement de la communication (pidc), en mettant � sa disposi tion des cr�dits plus importants, ainsi que davantage de person nel, d��quipements et de moyens de formation ; 3. souligne l�importance de la mission de coop�ration intellectuelle qu�assume l�unesco en encourageant la collaboration entre les ins titutions de recherche et entre les organisations professionnelles comp�tentes, en vue d�une meilleure compr�hension de la place de la communication dans le d�veloppement des soci�t�s et des possi bilit�s qu�elle offre pour le renforcement de la compr�hension internationale ; 4. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme iii "la communication au service des hommes", en assu rant un �quilibre appropri� entre les activit�s d��tude et celles qui ont un caract�re op�rationnel et en accordant une haute prio rit� � celles qui rel�vent du programme iii,3 "d�veloppement de la communication" ; 5. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme iii.1 "etudes sur la communication", (i) � stimuler la recherche sur l�impact socioculturel des nou velles technologies de la communication ; (ii) � encourager la collecte, la synth�se, l��valuation et la diffusion des travaux relatifs aux notions de nouvel ordre mondial de l�information et de la communication compris
comme un processus �volutif et continu, de droit � commu niquer, de pluralisme, d�acc�s et de participation � la communication, en coop�ration �troite avec les organisations
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 3 la communication au service des hommes professionnelles et les organisations non gouvernementales comp�tentes, en prenant, en tant que de besoin, des mesures pour �largir la base des �tudes conform�ment � l�esprit de la vingt-troisi�me session de la conf�rence g�n�rale ; (iii) � contribuer au renforcement des capacit�s de recherche et de documentation en mati�re de communication, ainsi qu�� la formation et au perfectionnement des chercheurs ; (iv) � encourager le d�veloppement des recherches sur l�image de la femme pr�sent�e par les m�dias ; (b) au titre du programme iii.2 "circulation libre et diffusion plus large et mieux �quilibr�e de l�information ; accroissement des �changes de nouvelles et de programmes", (i) � contribuer � l��limination des obstacles de toute nature qui entravent une circulation libre et des �changes plus larges et mieux �quilibr�s de nouvelles et de programmes, en encourageant notamment une meilleure compr�hension de ces obstacles et des moyens de les surmonter et en favorisant la cr�ation ou le renforcement de m�canismes d��change et de coop�ration dans tous les domaines de la communication ; (ii) � coop�rer avec les etats membres, pour ce qui les concerne, les associations professionnelles et les organisations non gouvernementales, pour donner suite aux r�sultats de l��va luation, entreprise en 1986-1987, des effets de la d�clara tion sur les principes fondamentaux concernant la contribu tion des organes d�information au renforcement de la paix et de la compr�hension internationale, � la promotion des droits de l�homme et � la lutte contre le racisme, l�apartheid et l�incitation � la guerre, et � rechercher en particulier le concours des moyens d�information pour am�liorer la compr� hension internationale et l�information du public sur les grands programmes mondiaux en vue de contribuer � cr�er un climat de confiance dans les relations internationales ; (iii) � encourager les m�dias � contribuer � la promotion de l��galit� entre les femmes et les hommes et � favoriser la formation, le recrutement et la promotion des femmes dans les diff�rents domaines et m�tiers de la communication ; (c) au titre du programme iii.3 "d�veloppement de la communication", (i) � encourager la formulation et la mise en oeuvre de poli tiques et de plans de d�veloppement de la communication et � diffuser et �valuer, en liaison avec les activit�s entre prises dans le cadre du pidc, le premier rapport sur la communication dans le monde, en vue d�examiner les activit�s relatives � la poursuite de ce rapport ; (ii) � donner une haute priorit� aux activit�s relatives � la formation et au perfectionnement du personnel de la communi cation, ainsi qu�� celles qui ont trait au d�veloppement des
infrastructures, � la mise en place d��quipements appropri�s et � la production endog�ne de messages et de programmes ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 3 la communication au service des hommes (iii) � poursuivre les efforts visant au renforcement du pidc ; (iv) � poursuivre l�action en faveur de la pr�servation des images en mouvement, gr�ce notamment au d�veloppement des archives audiovisuelles ; (v) � stimuler la coop�ration internationale et interprofession nelle dans le domaine de l��ducation relative aux m�dias ; 6. invite en outre le directeur g�n�ral : (a) � maintenir une �troite collaboration, notamment dans le cadre du pidc, avec les autres organisations du syst�me des nations unies ayant comp�tence ou menant des activit�s dans le domaine de la communication ; (b) � associer tr�s �troitement les organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales comp�tentes, les commis sions nationales et les milieux professionnels aux activit�s que m�ne l�organisation dans le domaine de la communication ; (c) � coop�rer avec les organismes et programmes de financement extrabudg�taire en vue d�accro�tre les capacit�s op�rationnelles de l�organisation dans le domaine de la communication ; 7. prie le directeur g�n�ral d�accorder une attention particuli�re, dans la mise en oeuvre de ces activit�s, � celles : (a) qui contribuent � la solution des probl�mes pratiques les plus urgents ou qui peuvent faciliter la prise de d�cisions dans le domaine de la communication ; (b) qui r�pondent aux besoins et aux priorit�s des pays dont les infrastructures et les syst�mes de communication sont les moins d�velopp�s et � ceux de leurs ressortissants ; (c) qui sont de nature � favoriser la pluralit� des sources et des canaux d�information, en facilitant l�acc�s � ces sources et canaux, en suscitant leur cr�ation ou en encourageant la partici pation du public � leur gestion ; (d) qui tiennent compte, dans l�ex�cution du programme, de la n�ces sit� de faire ressortir les connaissances relatives aux diff� rentes solutions apport�es aux probl�mes de la communication en fonction de la diversit� sociale, politique, culturelle et �cono mique du monde contemporain ; (e) qui sont de nature � contribuer � la mise en oeuvre du programme d�action de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel ; (f) qui sont le mieux � m�me de stimuler les �changes � tous les niveaux, ainsi que la coop�ration entre les organisations et les milieux professionnels engag�s dans des activit�s de communication ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation 3.2 4 4.1 (g) qui peuvent contribuer � la r�duction des d�s�quilibres, tant internationaux qu�internes, dans le domaine de la communication, qui int�ressent tout particuli�rement les r�gions les moins pour vues, les groupes sociaux les plus d�favoris�s ainsi que les femmes, ou qui peuvent faciliter l�acquisition des nouvelles technologies ; (h) qui sont de nature � stimuler la recherche sur des probl�mes que les etats membres s�accordent � consid�rer comme prioritaires. election de membres du conseil intergouvernemental du programme international pour le d�veloppement de la communication/1 la conf�rence g�n�rale, elit, conform�ment au paragraphe 1 de l�article 2 des statuts du conseil intergouvernemental du programme international pour le d�veloppe ment de la communication, les etats membres suivants pour faire partie du conseil/2 : alg�rie r�publique f�d�rale d�allemagne cuba espagne france madagascar r�publique-unie de tanzanie cameroun guin�e su�de colombie guin�e-bissau y�men congo italie yougoslavie zimbabwe conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation3
grand programme iv "conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/04, 22 c/4.1 et 23 c/4.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme iv "conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation", 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987. 2. les autres membres du conseil qui ont �t� �lus � la vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingtcinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : chine, equateur, ghana, hongrie, inde, indon�sie, jama�que, japon, kenya, maroc, n�pal, oman, p�rou, portugal, r�publique de cor�e, suisse, union des r�publiques socialistes sovi�tiques, venezuela. 3. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission ii � la 30e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation reconnaissant l�importance du grand programme iv pour l�accomplissement de la troisi�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, consid�rant que ce grand programme, qui a pour fonction de faciliter la conception et la mise en oeuvre d�actions globales visant � g�n� raliser l�acc�s � l��ducation dans les etats membres et � en accro�tre la qualit� dans une perspective d��ducation permanente pour tous, devrait servir de cadre pour l�harmonisation de l�en semble des activit�s entreprises par l�organisation dans ce domaine, consid�rant que le renforcement de la coop�ration r�gionale et internatio nale en vue du d�veloppement de l��ducation constitue un moyen important d�oeuvrer en faveur d�une am�lioration des syst�mes �ducatifs, de leur expansion et de leur adaptation aux besoins des etats membres, r�affirmant le caract�re intellectuel de la mission de coop�ration inter nationale qui est celle de l�unesco et la n�cessit� d�un �quilibre et d�une compl�mentarit� entre les activit�s d��tude et de r�flexion et les activit�s � caract�re op�rationnel, consid�rant le r�le que ce grand programme est susceptible de jouer pour renforcer et �largir la r�flexion prospective et la coop�ration intellectuelle entre les etats membres, leurs institutions et leurs sp�cialistes en vue de contribuer � r�soudre les divers probl�mes auxquels ils font face dans leur effort visant � mieux adapter les syst�mes �ducatifs aux besoins de leur d�veloppement et � les r�nover pour mieux pr�parer les jeunes g�n�rations aux d�cennies � venir, estimant que, pour �largir l�acc�s � l��ducation et accro�tre les chances offertes � tous de mener des �tudes � bon terme, il est imp�ratif de rechercher une am�lioration constante de la qualit� de l��duca tion, ce qui exige l�accroissement des ressources financi�res et la rationalisation de leur gestion, le d�veloppement et la moder nisation des infrastructures mat�rielles et techniques des �tablissements d�enseignement et l�extension de la formation du personnel enseignant, consid�rant la n�cessit� de promouvoir l��ducation dans le contexte d�un
d�veloppement global, tant �conomique et social que scientifique et culturel, notamment par l�articulation et l�harmonisation des politiques de l��ducation avec celles du d�veloppement des sciences, de la technologie, de la culture et de la communication, reconnaissant l�importance du r�le que les nouvelles technologies de l�in formation et de la communication, et notamment l�informatique, peuvent jouer dans l�extension des services �ducatifs � de nou velles cat�gories de population, ainsi que dans l�am�lioration de la qualit� et de l�efficacit� du processus �ducatif, convaincue qu�une priorit� doit continuer d��tre accord�e au renforcement et � la diversification des activit�s de formation des diff�rentes cat�gories de personnels de l��ducation,
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scientifique et technologique, � convoquer en 1988 la 41e session de la conf�rence internationale de l��ducation (cat�gorie ii), ainsi que la quatri�me conf�rence (cat� gorie ii) des ministres de l��ducation des etats membres de la r�gion europe (minedeurope iv) et � pr�parer la sixi�me conf�rence (cat�gorie ii) des ministres de l��ducation et des ministres charg�s de la planification �conomique des etats membres d�afrique (minedaf vi) ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation (ii) � contribuer, en particulier par des activit�s de formation, au renforcement de la capacit� des etats membres de mieux analyser, concevoir, planifier, g�rer et �valuer leurs sys t�mes d��ducation, eu �gard notamment � l�objectif de d�mo cratisation de l��ducation, et de mieux articuler les plans de d�veloppement de l��ducation scolaire et extrascolaire, en accordant une attention sp�ciale � la formation aux m�thodes et techniques modernes de gestion et � l�utili sation de l�informatique ; (iii) � promouvoir la coop�ration avec les etats membres en vue de l�identification des modalit�s pratiques d�une mobilisation plus efficace et d�une utilisation plus rationnelle des ressources internes et externes pour le d�veloppement et la d�mocratisation de l��ducation ; (iv) � poursuivre, en vue de la mobilisation de ressources externes pour l��ducation, la coop�ration avec la banque mondiale, les banques r�gionales de d�veloppement et les fonds bilat�raux et multilat�raux, l�unicef et le programme alimentaire mondial, et � contribuer au renforcement de la capacit� des etats membres d�identifier et de pr�parer des projets �ducatifs � soumettre � des sources de financement externe, et d�ex�cuter et d��valuer de tels projets ; (b) au titre du programme iv.2 "les sciences de l��ducation et leur application � la r�novation du processus �ducatif", (i) � stimuler la r�flexion prospective en mati�re d��ducation et le d�veloppement des sciences de l��ducation ainsi qu�une meilleure et plus large utilisation de leurs acquis dans la pratique �ducative, en vue de favoriser une ad�quation qualitative de l��ducation aux exigences pr�visibles du xxie si�cle ; (ii) � stimuler la collaboration entre institutions de recherche en �ducation, notamment en vue de promouvoir des programmes coop�ratifs de recherche sur des th�mes prioritaires pour le d�veloppement de l��ducation et pour l�am�lioration de l�efficacit� du syst�me et du processus �ducatifs ; (iii) � continuer d�encourager les innovations dans les contenus, m�thodes et techniques de l��ducation en vue de la d�mocra tisation de l��ducation et du renforcement de son r�le en rapport avec le d�veloppement socio-�conomique et culturel, et de d�velopper � cette fin les r�seaux coop�ratifs pour la promotion des innovations �ducatives en adaptant leurs activit�s aux nouvelles orientations de l��ducation dans chaque r�gion ; (iv) � poursuivre la publication de la revue perspectives et�en �tendre la diffusion ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation (v) � favoriser la r�flexion sur la coh�rence, l��quilibre et la pertinence des contenus de l��ducation en tenant compte notamment des dispositions de la recommandation sur l��du cation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fondamentales, et � contribuer, au cours de cet exercice, � une meilleure connaissance des probl�mes relatifs � la pertinence des programmes de l�en seignement secondaire en vue de r�pondre aux besoins des individus et de la soci�t� d�aujourd�hui et de demain ; (vi) a stimuler, dans le cadre de la d�cennie mondiale du d�ve loppement culturel, le renforcement de la dimension cultu relle des contenus et des pratiques de l��ducation et, � cette fin, � encourager un recours plus large au patrimoine culturel national et mondial et l�emploi des langues mater nelles et nationales aux divers niveaux et dans les diverses formes de l��ducation, � entreprendre des acti vit�s visant � d�velopper la cr�ativit� et l��ducation esth�tique et � promouvoir les valeurs �thiques par l��ducation ; (vii) � continuer de fournir, aux etats membres qui le souhai tent, un soutien pour l�int�gration dans les programmes de l��ducation scolaire et extrascolaire de contenus inter disciplinaires relatifs aux probl�mes de la qualit� de la vie se rapportant notamment � la population, � la pr�ven tion de l�usage des drogues et � la pr�vention du sida, et pour l�articulation de ces contenus avec ceux qui portent sur la sant� et l�environnement ; (viii) � renforcer les activit�s ayant trait � l�introduction des nouvelles technologies de l�information et de la communi cation dans l��ducation et notamment celles qui concernent l�informatique comme contenu, comme outil d�enseignement et comme instrument de recherche et de gestion, pour tous les niveaux et pour toutes les formes d�enseignement, y compris l�enseignement � distance ; (c) au titre du programme iv.3 "politiques et m�thodes de formation des personnels de l��ducation", (i) � continuer d�encourager l��laboration et la mise en oeuvre, par les etats membres, de politiques int�gr�es de formation, visant � harmoniser l�ensemble des actions de pr�paration des personnels des diff�rents niveaux, formes et domaines de l�enseignement et de l��ducation ; (ii) � contribuer � am�liorer les conditions de pr�paration et d�exercice des personnels enseignants, en liaison avec le bureau international du travail et en collaboration avec les associations internationales non gouvernementales de la profession enseignante, notamment en poursuivant l�action visant � promouvoir l�application de la recommandation de
1966 concernant la condition du personnel enseignant, en lui assurant une plus large diffusion et en faisant mieux conna�tre les diverses modalit�s de son application ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation (iii) � poursuivre la coop�ration avec les etats membres, notam ment avec les pays en d�veloppement, en vue d�am�liorer la formation initiale et continue des personnels de l��duca tion, plus particuli�rement de ceux qui, par leurs fonc tions, sont en mesure d�acc�l�rer la mise en oeuvre de modalit�s efficaces de formation, en accordant l�attention n�cessaire aux nouveaux contenus de l�enseignement, y compris l�informatique, et au renforcement de la dimension culturelle de l��ducation ; (d) au titre du programme iv.4 "moyens et infrastructures -syst�mes d�information, espaces �ducatifs et industries p�dagogiques", (i) � favoriser sur le plan r�gional, sous-r�gional et inter national l��change d�informations dans le domaine de l��du cation et � poursuivre le d�veloppement des services d�in formation et de documentation en vue de la mise en place d�un r�seau international d��change d�informations sur l��ducation ; (ii) � contribuer au renforcement des capacit�s nationales en mati�re de planification, de conception et de gestionde programmes de construction de b�timents et espaces �ducatifs dans les etats membres par l��change d�informations et de donn�es d�exp�rience, le perfectionnement et la formation de personnels et la r�alisation de prototypes de b�timents et mobiliers polyvalents faisant appel aux techniques et aux mat�riaux locaux; (iii) � aider les etats membres � rechercher des solutions sus ceptibles d�am�liorer les m�thodes de gestion et d�accro�tre leurs capacit�s en mati�re de production et de distribution de mat�riels et d��quipements pour l��ducation et l�action culturelle, y compris les livres scolaires et l��quipement pour l�enseignement des sciences ; (iv) � entreprendre des activit�s visant � r�duire les co�ts des �quipements et mat�riels scolaires par l�am�lioration des proc�dures de gestion et un plus large recours aux res sources, techniques et mat�riaux locaux ; (v) � favoriser l��change d�informations techniques et de mat� riels p�dagogiques entre institutions �ducatives sp�cia lis�es. 4.2 bureau international d��ducation la conf�rence g�n�rale, notant que le programme du bureau international d��ducation (bie) s�inscrit dans le cadre du plan � moyen terme pour 1984-1989, et plus parti culi�rement des grands programmes ii, iv et v dudit plan,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation se r�f�rant aux r�solutions autorisant le directeur g�n�ral � mettre en oeuvre en 1988-1989 des activit�s visant � la r�alisation des programmes et sous-programmes de ces grands programmes, consid�rant que le bie doit, conform�ment � la vocation internationale de l�organisation, �tendre sa coop�ration � tous les etats membres, � toutes les r�gions et � toutes les comp�tences, i 1. autorise le directeur g�n�ral � continuer d�assurer le fonctionnement du bie et � engager � cette fin au titre du programme ordinaire des d�penses d�un montant de 4.450.900 dollars des etats-unis, destin�es au financement des activit�s men�es par le bie dans le cadre de ces grands programmes en vue de contribuer au d�velop pement de l��ducation dans les etats membres, en conformit� avec les fonctions qui lui sont assign�es : (a) en pr�parant et en organisant la 41e session de la conf� rence internationale de l��ducation qui se tiendra � Gen�ve en 1988 sur le th�me de la "diversification de l�enseignement postsecondaire face � la situation de l�emploi" et en pr�pa rant la 42e session qui se tiendra en 1990 sur le th�me "les enseignants face aux nouveaux probl�mes de l��ducation" ; (b) en entreprenant, en coop�ration avec les unit�s comp�tentes du si�ge, les bureaux r�gionaux de l�unesco, ainsi que les institutions nationales et r�gionales sp�cialis�es, les commissions nationales et les organisations gouvernementales et non gouvernementales int�ress�es, des �tudes dans le domaine de l��ducation compar�e, �ventuellement de caract�re prospectif, sur la base des besoins identifi�s des etats membres afin de contribuer au d�veloppement rationnel des syst�mes d��ducation et � la r�novation du processus �du catif, en publiant et diffusant de mani�re appropri�e les r�sultats de ces �tudes ; (c) en d�veloppant ses activit�s de documentation et d��change d�information sur l��ducation, en poursuivant la mise en place d�un syst�me informatis� international d��change d�in formation p�dagogique et en participant � la formation de sp�cialistes des etats membres dans ce domaine ; (d) en continuant d�assurer et de d�velopper les services four nis par le centre de documentation et d�information dans le domaine de l��ducation ; ii
2. lance un appel aux etats membres pour qu�ils apportent leur concours au d�veloppement des activit�s du bureau international d��ducation, en contribuant notamment au financement de ces activit�s et en fournissant le cas �ch�ant les services d�experts associ�s et des bourses pour chercheurs ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation iii/1 3. elit, conform�ment � l�article iii des statuts du bureau international d��ducation, les etats membres suivants qui feront partie du conseil du bureau/2 : angola japon chine ouganda egypte p�rou ghana suisse inde yougoslavie 4.3 m�thodes de fonctionnement du bureau international d��ducation et modification de ses statuts la conf�rence g�n�rale, tenant compte de l�accord entre l�organisation des nations unies pour l��ducation, la science et la culture et le bureau international d��ducation, qui est entr� en vigueur le 1er janvier 1969, consid�rant les statuts du bureau international d��ducation qu�elle a adopt�s � sa quinzi�me session et aux termes desquels il est cr�� au sein de l�unesco, dont il fait partie int�grante, un centre international d��ducation compar�e jouissant, dans les conditions fix�es par ses statuts, d�une large autonomie intellectuelle et fonctionnelle, se r�f�rant � sa r�solution 23 c/4.3 par laquelle elle a invit� le directeur g�n�ral � faire proc�der � une �tude d��valuation sur les m�thodes de fonctionnement du bie et sur les r�sultats obtenus au cours des deux derniers exercices budg�taires, �tude qui devait comporter des propositions portant �ventuellement sur des modifi cations r�glementaires ou statutaires mais ne remettant pas en cause la part du budget ordinaire consacr�e au bie, ayant examin� les r�sultats de cette �tude figurant dans le document 24 c/36 et pris bonne note, au paragraphe 129, de ce qui a trait au si�ge du bie, tenant compte des travaux et des d�lib�rations du conseil du bie qui, au cours des derni�res ann�es, s�est prononc� sur divers probl�mes abord�s dans l��tude,
1. cette partie de la r�solution a �t� adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987. 2. les autres membres du conseil du bureau international d��ducation qui ont �t� �lus � la vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingt-cinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : bangladesh, burundi, canada, el salvador, espagne, france, kenya, kowe�t, madagascar, norv�ge, r�publique arabe syrienne, r�publique dominicaine, tch�coslovaquie, venezuela. 46
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rappelle qu�aux termes de l�article v des statuts, le conseil du bureau international d��ducation est charg� d��tablir, sur proposition du directeur du bie, le projet de programme g�n�ral et de budget et de d�finir de mani�re d�taill�e dans le cadre du programme et du budget approuv�s par la conf�rence g�n�rale, et dans les limites de l�enveloppe budg�taire et des ressources en personnel, les activit�s annuelles du bie ; souhaite que dans l�exercice de ces responsabilit�s, le conseil tienne pleinement compte des orientations du plan � moyen terme et veille � assurer l�articulation de ces activit�s du bie avec les autres activit�s de l�unesco dans le domaine de l��ducation dans un souci de compl�mentarit� mutuelle ainsi qu�� suivre les activit�s du bie, aidant ainsi le directeur dans l�exercice des responsabilit�s qui lui sont assign�es par les statuts ; rappelle l�importance de la conf�rence internationale de l��ducation en tant que lieu de rencontre, d��changes d�id�es et de concertation pour d�finir des orientations et des solutions aux grands pro bl�mes de l��ducation ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. insiste sur l�importance qui s�attache � renforcer les interrelations entre la conf�rence internationale de l��ducation et les autres conf�rences internationales et r�gionales organis�es par l�unesco dans le domaine de l��ducation ; d�cide, apr�s avoir examin� les diff�rents �l�ments � prendre en compte � cet �gard, que la conf�rence internationale de l��ducation sera convoqu�e tous les deux ans ; invite le directeur g�n�ral, dans la limite des ressources disponibles, � organiser, � un rythme plus soutenu, des rencontres de cher cheurs et de responsables dans le domaine p�dagogique qui soient de nature � susciter une r�flexion de caract�re technique sur les probl�mes d��ducation, en prenant en consid�ration l�ensemble des r�unions organis�es par les autres unit�s au si�ge et hors si�ge ; consid�re que les moyens n�cessaires pour organiser l�exposition inter nationale de l��ducation devraient �tre mis en oeuvre par le centre de documentation et d�information du bie, cette exposition �tant r�alis�e � l�occasion de la conf�rence ; note que la conception et la promotion des publications du bie devraient faire l�objet d�une nouvelle politique r�pondant aux besoins des etats membres et des diff�rents groupes d�utilisateurs, conform� ment aux orientations d�finies au paragraphe 139 du document 24 c/36 ; estime que le bie devrait apporter aux etats membres un appui de carac t�re essentiellement m�thodologique, en coop�ration avec les autres unit�s comp�tentes du secr�tariat, en vue de la formation du personnel de documentation et d�information p�dagogiques ; recommande qu�� cet effet, ainsi d�ailleurs que pour la mise en oeuvre d�autres activit�s du bie, des ressources extrabudg�taires soient
recherch�es ; d�cide de proc�der � la r�vision des statuts du bureau international d��ducation en modifiant comme suit les articles ii.1, iii.5 et v (a) et (b) : "article ii 1. le bie contribue � la conception et � la mise en oeuvre du pro gramme de l�organisation en mati�re d��ducation. a cet effet, il a pour fonctions : (a) de pr�parer et d�organiser tous les 2 ans les sessions de la conf�rence internationale de l��ducation, conform�ment aux d�cisions de la conf�rence g�n�rale et selon les r�gles pertinentes en vigueur de l�unesco ; (b) de r�unir, traiter, stocker et diffuser, en utilisant les techniques les plus modernes, la documentation et l�infor mation relatives � l��ducation, en coop�ration avec les autres unit�s comp�tentes de l�unesco et en liaison avec les centres nationaux, r�gionaux et internationaux ; et d�effectuer des synth�ses des informations collect�es et trait�es ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation (c) d�entreprendre, en coop�ration avec les autres unit�s au si�ge et hors si�ge, et en harmonisant ou en reliant ses activit�s avec celles d�autres institutions nationales, r�gionales et internationales poursuivant des buts analogues, des enqu�tes et �tudes dans le domaine de l��ducation, notam ment de l��ducation compar�e, et d�en publier et d�en dif fuser les r�sultats ; (d) de maintenir et de d�velopper une biblioth�que internationale et un centre de documentation et d�information en mati�re d��ducation. article iii.5 les etats membres du conseil choisissent pour les repr�senter des personnalit�s qualifi�es dans le domaine de l��ducation. ils veillent � ce que les personnalit�s choisies soient en mesure de les repr�senter r�guli�rement aux sessions du conseil. article v le conseil est charg� : (a) d��tablir sur proposition du directeur du bureau, en tenant compte des orientations du plan � moyen terme, le projet de programme g�n�ral et de budget du bie qui sera soumis � la conf�rence g�n�rale accompagn� des observations ou recomman dations du directeur g�n�ral et du conseil ex�cutif et de veiller � assurer la coh�rence et la compl�mentarit� des activit�s pr�vues dans le projet de programme g�n�ral et de budget du bie avec les autres activit�s pr�vues dans le projet de programme et de budget de l�unesco ; (b) de d�finir de mani�re d�taill�e, dans le cadre du programme et du budget adopt�s par la conf�rence g�n�rale et compte tenu, le cas �ch�ant, des ressources exrabudg�taires dispo nibles, les activit�s � entreprendre par le bureau. le conseil est responsable de l�ex�cution de ces activit�s ; (c) de formuler des propositions pour la pr�paration et l�organi sation des sessions de la conf�rence internationale de l��ducation." 4.4 institut international de planification de l��ducation la conf�rence g�n�rale, i
notant que le programme de l�institut international de planification de l��ducation (iipe) s�inscrit plus particuli�rement dans le grand programme iv, rappelant les r�solutions autorisant le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre de ce grand programme,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation 1. autorise le directeur g�n�ral � prendre les mesures propres � assurer le fonctionnement de l�iipe, notamment par l�octroi au titre du programme ordinaire (titre ii.a), d�un cr�dit de 3.700.700 dollars des etats-unis dans le cadre des grands programmes ii, iv et v, afin de permettre � l�institut : (a) de mettre en oeuvre des activit�s de formation de longue et de courte dur�e pour r�pondre aux besoins des etats membres dans les domaines de la planification et de l�administration de l��duca tion, et notamment pour renforcer les programmes nationaux et r�gionaux de formation dans ces m�mes domaines, en coop�ration avec les bureaux r�gionaux ; (b) d�entreprendre des recherches visant � une mise � jour constante des connaissances empiriques et th�oriques dans les domaines de la planification et de l�administration de l��ducation, et contri buant � l�adaptation permanente de l�ensemble des programmes de formation de l�institut ; (c) d�assurer une diffusion appropri�e, dans les etats membres, des r�sultats des travaux de l�iipe en mati�re de planification et d�administration de l��ducation ; ii 2. lance un appel aux etats membres pour qu�ils accordent, renouvellent ou augmentent leurs contributions volontaires en vue du renforcement des activit�s de l�iipe conform�ment � l�article viii de ses statuts, de mani�re � lui permettre, gr�ce � des ressources suppl�mentaires et aux locaux fournis pour son si�ge par le gouvernement fran�ais, de maintenir son action � son niveau actuel et, �ventuellement, de l��tendre pour r�pondre aux besoins crois sants des etats membres en ce qui concerne la formation et la recherche dans le domaine de la planification et de l�administra tion de l��ducation. 4.5 institut de l�unesco pour l��ducation � Hambourg la conf�rence g�n�rale, notant que les activit�s de l�institut de l�unesco pour l��ducation ont trait � l��ducation permanente et en particulier � ses incidences sur les contenus et les m�thodes de l��ducation, notant �galement que ces activit�s sont li�es � celles qui sont propos�es notamment au titre du grand programme ii et du grand programme iv, notant enfin que l�institut, gr�ce � des contributions volontaires substan tielles, a mis sur pied un programme international de recherche et d�orientation dans le domaine de la postalphab�tisation et de
l��ducation permanente, qui pourrait faire partie du plan d�action pour �liminer l�analphab�tisme d�ici � l�an 2000, pr�vu dans la r�solution 23 c/4.6,
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diale, d�apporter leur soutien � la lutte mondiale contre le sida", consciente du fait que la pand�mie du sida a cr�� dans le monde une situa tion d�urgence qui requiert que soit entreprise le plus vite possible � l��chelle mondiale une action internationale de lutte contre cette maladie,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation convaincue que la transmission du sida peut �tre pr�venue et que l��duca tion doit constituer une dimension mondiale de lutte contre le sida, essentielle de la strat�gie consid�rant que dans de nombreux pays les mpr�par�s � cette t�che, ilieux �ducatifs ne sont pas ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral sur la mise en oeuvre de la recommandation sp�ciale adopt�e par la conf�rence internationale de l��ducation � sa 40e session (24 c/33), notant avec satisfaction la fructueuse coop�ration qui s�est �tablie entre l�unesco et l�organisation mondiale de la sant�, 1. f�licite le directeur g�n�ral pour les mesures qu�il a prises jusqu�� pr�sent ; 2. approuve les propositions relatives au "plan d�action de l�unesco dans le domaine de l��ducation pour la pr�vention du sida" dans le cadre de la strat�gie mondiale de lutte contre le sida, qui sont pr�sent�es en annexe au document 24 c/33 ; 3. autorise le directeur g�n�ral � entreprendre, au titre du programme ordinaire, les activit�s pr�vues au paragraphe 04214 (action 4.4) du projet de programme et budget pour 1988-1989, pour un montant de 45.000 dollars dont le financement sera assur� en recourant aux fonds de la r�serve pour les projets de r�solution ; 4. prie le directeur g�n�ral de s�attacher tout particuli�rement, lors de la mise en oeuvre de ces activit�s, � renforcer la coordination avec les autres institutions du syst�me des nations unies dans le cadre de la strat�gie mondiale de lutte contre le sida �labor�e par l�organisation mondiale de la sant� ; 5. invite en outre le directeur g�n�ral � rechercher des ressources extrabudg�taires pour la mise en oeuvre rapide du plan d�action, notam ment par une coop�ration avec l�organisation mondiale de la sant� et d�autres sources de financement multilat�rales et bilat�rales ; 6. engage les etats membres � participer activement, dans le cadre des programmes �ducatifs et des actions s�adressant aux jeunes, � la pr�vention de cette nouvelle maladie et � assurer une partici pation des responsables de l��ducation dans les comit�s nationaux de lutte contre le sida constitu�s sous l��gide des responsables de la sant� publique ; 7. invite les etats membres � soutenir g�n�reusement par des contributions financi�res les actions �ducatives de lutte contre le sida et � mettre � la disposition de l�organisation des contributions en services pour lui permettre de mener, avec toute l�efficacit�
voulue, son action de lutte contre le sida.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation 4.7 enseignement des langues et litt�ratures �trang�res la conf�rence g�n�rale, consid�rant que le d�veloppement de l�enseignement des langues et litt�ra tures �trang�res contribue � �lever le niveau de connaissances g�n�rales objectives, � familiariser les diff�rents peuples avec le mode de vie des autres et � renforcer, dans leurs relations mutuelles, l�esprit de compr�hension et d�entente, rappelant la recommandation sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fondamentales, qu�elle a adopt�e � sa dix-huiti�me session, en novembre 1974, rappelant �galement les recommandations relatives au plan de d�veloppement de l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales, et � l�int�gration de contenus relatifs � l��du cation � vocation internationale dans les programmes d��ducation scolaire et extrascolaire, qu�elle a adopt�es � sa vingt-troisi�me session, en novembre 1985, prenant aussi en consid�ration les recommandations des consultations d�ex perts sur l�enseignement des langues et litt�ratures �trang�res pour la compr�hension mutuelle et la paix internationale, organi s�es sous les auspices de l�unesco entre 1984 et 1987, notamment la recommandation du s�minaire europ�en des ecoles associ�es de l�unesco sur l�enseignement des langues �trang�res en tant qu�ins trument de l��ducation pour la paix et la compr�hension, tenu � sonnenberg (r�publique f�d�rale d�allemagne) en septembre 1985, et la recommandation de la consultation d�experts tenue � Kiev (janvier 1987) appel�e "d�claration de kiev", invite le directeur g�n�ral � entreprendre en 1988-1989, dans le cadre du grand programme iv, la pr�paration d�un projet international de d�veloppement de l�enseignement des langues et litt�ratures �tran g�res en vue de renforcer la compr�hension mutuelle et la coop� ration entre les peuples, en s�appuyant sur l�exp�rience des ecoles associ�es de l�unesco. 4.8 application de l�informatique � l��ducation la conf�rence g�n�rale,
rappelant la r�solution 23 c/4.11 qu�elle a adopt�e au sujet du grand programme iv "conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation", consid�rant le r�le croissant que joue l�informatique dans diff�rents domaines de l�activit� humaine,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 4 conception et mise en oeuvre des politiques de l��ducation estimant que l�informatique constitue un aspect de plus en plus important de l��ducation, � la fois comme outil pour les enseignants et les �l�ves, comme mati�re fondamentale du programme d��tudes et comme instrument d�apprentissage et de recherche, notant que le projet de programme de l�unesco fait mention, au titre des actions de programme concernant l��ducation, de diff�rents aspects de la technologie dans le domaine de l��ducation, par exemple dans le cadre du programme iv.2 (par. 04216), ainsi que du programme intergouvernemental d�informatique (pii) et du programme inter national pour le d�veloppement de la communication (pidc), consciente de l�importance croissante que rev�t l�utilisation de l�informa tique dans l�enseignement, reconnaissant le r�le important que l�informatique, comme instrument de gestion des syst�mes �ducatifs et du processus p�dagogique, peut jouer dans l�am�lioration de la qualit� et de l�efficacit� de l�enseignement, reconnaissant en outre qu�une large coop�ration internationale et l�acti vit� des organisations scientifiques peuvent contribuer dans une large mesure � apporter � ce probl�me une solution positive, 1. recommande, vu l�importance de l�utilisation de l�informatique, qu�une r�capitulation g�n�rale des activit�s dans ce domaine figure dans le programme et budget pour 1988-1989 ; 2. recommande que, lors de l��laboration des programme futurs de l�unesco, des dispositions soient prises pour renforcer encore les activit�s ayant trait � l�application � l��ducation de l�informatique, selon une conception globale du domaine consid�r� ; 3. propose d�aider les etats membres � rechercher la solution des pro bl�mes li�s � l�utilisation et au d�veloppement de l�informatique dans le processus �ducatif, de fournir �galement un soutien tech nique et des services consultatifs aux institutions nationales et sous-r�gionales pour l�utilisation des technologies de l�information et de l�informatique � des fins �ducatives ; 4. invite les etats membres � rechercher les moyens de mieux utiliser l�informatique pour le d�veloppement et l�am�lioration du syst�me et du processus �ducatifs et de renforcer la coop�ration inter nationale dans ce domaine.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� 5 �ducation, formation et soci�t�1 5.1 grand programme v "education, formation et soci�t�" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/05, 22 c/5.1 et 23 c/5.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme v "education, formation et soci�t�", reconnaissant l�importance du grand programme v pour l�accomplissement de la troisi�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, r�affirmant que l��ducation conditionne dans une large mesure l�avancement sur la voie de la paix et du respect des libert�s fondamentales, ainsi que l�avenir de la soci�t� et de l�humanit�, et qu�elle peut contribuer, � des degr�s divers, � la solution de leurs probl�mes, consid�rant que l��ducation est une condition essentielle du plein �pa nouissement de l�individu et de sa contribution au progr�s et au d�veloppement harmonieux de la soci�t�, et que, dans un monde en �volution rapide, l��ducation doit pr�parer � vivre le changement et � y participer, rappelant la recommandation sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fondamentales, qu�elle a adopt�e � sa dix-huiti�me session, et les recommandations de la conf�rence intergouvernementale sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fondamentales, en vue de d�ve lopper un �tat d�esprit favorable au renforcement de la s�curit� et au d�sarmement, soulignant que le d�veloppement de l�enseignement technique et profession nel est une condition importante du progr�s �conomique et social, rappelant la recommandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et professionnel, qu�elle a adopt�e � sa dix-huiti�me session, et la r�solution 23 c/5.2 par laquelle elle a jug� "opportune l�adoption
d�une convention internationale sur l�enseignement technique et professionnel, ainsi que la n�cessit� de renforcer les liens entre l�enseignement technique et professionnel et l�enseignement des sciences et de la technologie, prenant en consid�ration les recommandations du congr�s international sur le d�veloppement et l�am�lioration de l�enseignement technique et professionnel (berlin, r�publique d�mocratique allemande, 1987), notamment celles qui concernent la coop�ration internationale dans l�enseignement technique et professionnel, 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission ii � la 30e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� prenant note des recommandations n� 74 et n� 75 adopt�es par la conf�rence internationale de l��ducation � ses 39e et 40e sessions respectivement et convaincue que le d�veloppement en cette fin du xxe si�cle exige plus que jamais qu�une formation scientifique ou technique fasse partie de l��ducation de tous, notant que l�enseignement des sciences et l�enseignement technique et professionnel requi�rent des politiques, une dotation en mat�riel et des structures p�dagogiques ad�quats, r�affirmant la n�cessit� de renforcer la liaison entre l��ducation et le monde du travail, rappelant la recommandation n� 73 sur l�interaction entre l��ducation et le travail productif, adopt�e par la conf�rence internationale de l��ducation � sa 38e session, et consid�rant cette interaction comme un moyen important de d�mocratisation de l�enseignement et de la soci�t� dans son ensemble, consid�rant que l�orientation scolaire et professionnelle est une dimension importante de l�enseignement secondaire, rappelant la charte internationale de l��ducation physique et du sport, qu�elle a adopt�e � sa vingti�me session, et consciente de l�im portance pour tous, enfants et adultes, de l��ducation physique et de la pratique du sport pour le d�veloppement harmonieux de la personne, et notamment des aptitudes physiques et des qualit�s morales, se r�f�rant � la r�solution 23 c/5.3, qu�elle a adopt�e concernant la convocation de la deuxi�me conf�rence internationale des ministres et hauts fonctionnaires responsables de l��ducation physique et du sport, prenant note des recommandations adopt�es par le comit� intergouvernemental pour l��ducation physique et le sport � sa 5e session, prenant en consid�ration les recommandations formul�es par le congr�s mon dial sur la jeunesse (barcelone, espagne, 1985) concernant l�im portance particuli�re des activit�s sportives pour les jeunes, � la fois comme instrument pour le d�veloppement harmonieux de la personne et comme domaine privil�gi� favorisant la vie associative et la participation concr�te et cr�ative des jeunes � la vie de la communaut�,
r�affirmant l�importance de l�expansion et de l�am�lioration de l�enseigne ment sup�rieur pour le progr�s de la soci�t� et pour la solution de probl�mes li�s au d�veloppement, ainsi que le r�le qui incombe � ce niveau de l�enseignement dans le d�veloppement et la diffusion de la culture, soulignant la n�cessit� de renforcer la contribution de l�enseignement sup�rieur � l�am�lioration de l�ensemble du syst�me �ducatif, faisant sienne la d�cision 125 ex/5.2.5 adopt�e par le conseil ex�cutif concernant la mise en oeuvre des conventions r�gionales sur la reconnaissance des �tudes, des dipl�mes et des grades de l�ensei gnement sup�rieur, 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme v "education, formation et soci�t�" ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme v.2 "l�enseignement des sciences et de la technologie", (i) � promouvoir l�am�lioration et la modernisation de l�ensei gnement des sciences et de la technologie, notamment par l�introduction de contenus relatifs � de nouveaux domaines, tels que la biotechnologie et les sciences de l�espace et de la mer, et compte tenu des besoins du d�veloppement national ; (ii) � favoriser les innovations et les exp�rimentations rela tives aux contenus, aux m�thodes et au mat�riel, et � soutenir le d�veloppement de programmes et de projets de formation d�enseignants ; (iii) � encourager le d�veloppement d�activit�s scientifiques extrascolaires pour la jeunesse, et � promouvoir des pro grammes de vulgarisation scientifique et technologique pour les adultes, en particulier dans les pays en d�veloppement ; (iv) � renforcer l��change d�informations et la coop�ration aux niveaux international et r�gional dans le domaine de l�en seignement scolaire et extrascolaire des sciences et de la technologie, en y associant �troitement les institutions nationales et les organisations internationales non gouver nementales comp�tentes ; (b) au titre du programme v.3 "education et monde du travail", (i) � encourager la mise en oeuvre d�activit�s visant � ouvrir plus largement les syst�mes d�enseignement sur le monde du travail, en favorisant notamment l�introduction de l�exp� rience du travail productif et/ou socialement utile dans le processus �ducatif et son articulation avec l�orientation scolaire et professionnelle, et en intensifiant l��change d�informations et de donn�es d�exp�rience dans ces domaines, � encourager le d�veloppement des services d�orientation scolaire et professionnelle, notamment dans l�enseignement secondaire, et � favoriser l�harmonisation de l��ducation et de l�emploi par l�analyse des cons�quences, pour la planifi cation de l��ducation, des politiques de d�veloppement de la science et de la technologie ; (ii) � continuer de promouvoir l�expansion et l�am�lioration de l�enseignement technique et professionnel, y compris l�en seignement agricole moyen, par une action normative, notam ment la pr�paration d�une convention internationale sur l�enseignement technique et professionnel et la convocation � cette fin d�un comit� d�experts gouvernementaux (cat� gorie ii) charg� d��laborer le projet final de convention, qui sera soumis � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session, par l�encouragement d�innovations relatives aux contenus et aux m�thodes de cet enseignement, la formation
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� dans de nouveaux domaines tels que l�informatique, l�am�lio ration de la formation du personnel et l��change d�informa tions, ainsi que par le soutien au d�veloppement des infra structures nationales et le renforcement de la coop�ration r�gionale et internationale ; (c) au titre du programme v.4 "promotion de l��ducation physique et du sport", (i) � contribuer au d�veloppement de l��ducation physique et du sport en application de la charte internationale de l��duca tion physique et du sport, � renforcer la coop�ration inter nationale dans ce domaine, notamment par une collaboration accrue avec les organisations sportives internationales, et � convoquer la deuxi�me conf�rence internationale des ministres et des hauts fonctionnaires responsables de l��du cation physique et du sport ; (ii) � continuer de soutenir les efforts d�ploy�s par les etats membres pour la formation des cadres de l��ducation physique et du sport, � d�velopper le programme d�activit�s financ�es par les contributions au fonds international pour le d�ve loppement de l��ducation physique et du sport, en vue d��tendre l��ducation physique et la pratique du sport � toutes les cat�gories de la population, une attention accrue �tant accord�e � cet �gard aux jeunes filles et aux femmes, et � soutenir l�organisation, dans les etats membres qui le souhaiteraient, de la deuxi�me semaine mondiale de la condi tion physique et du sport pour tous ; (iii) � renforcer, en collaboration avec les organisations spor tives, l�action entreprise pour favoriser la participation des jeunes et de leurs organisations aux efforts nationaux de d�veloppement de l��ducation physique et du sport, notam ment en ce qui concerne la mise en place, par le travail volontaire des jeunes, d�infrastructures sportives en faveur des jeunes les plus d�favoris�s, et � contribuer � la pro motion des sports et des activit�s ludiques traditionnelles li�es aux valeurs culturelles propres � chaque soci�t� ; (d) au titre du programme v.5 "enseignement sup�rieur, formation et recherche", (i) � poursuivre les efforts visant � favoriser l�expansion et l�am�lioration de l�enseignement sup�rieur et � accro�tre sa pertinence par rapport aux besoins du progr�s �conomique et social, scientifique et technologique, et aux objectifs du d�veloppement culturel, � encourager le renforcement des liens de cet enseignement avec le monde du travail, notam ment par l�int�gration de stages pratiques de travail dans les programmes de formation, et � promouvoir l�utilisation de nouvelles technologies dans l�enseignement sup�rieur, y
compris l�enseignement � distance, et l�harmonisation des activit�s de formation et de recherche ; (ii) � renforcer la coop�ration internationale, r�gionale et sous-r�gionale dans le domaine de l�enseignement sup�rieur
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� et l�action entreprise en vue de promouvoir la reconnais sance des �tudes, des grades et des dipl�mes de l�enseigne ment sup�rieur, de favoriser ainsi la mobilit� des �tu diants, des professeurs et des chercheurs et de faciliter la r�insertion dans leur pays des sp�cialistes form�s � l��tranger, en contribuant au renforcement des capacit�s nationales en mati�re de formation et de recherche et � la pr�vention de l�exode des comp�tences ; (iii) � encourager les etats membres � devenir parties aux conven tions existant dans ce domaine, � favoriser la coop�ration entre les comit�s d�application de ces conventions, ainsi qu�� poursuivre les travaux sur l�opportunit� et la possibi lit� d��laborer une convention internationale sur la recon naissance des �tudes, grades et dipl�mes de l�enseignement sup�rieur, compte tenu de l�exp�rience internationale en la mati�re ; (iv) � continuer de promouvoir la formation p�dagogique des per sonnels de l��ducation, en particulier du personnel ensei gnant de l�enseignement sup�rieur, ainsi que la formation des chercheurs en sciences de l��ducation ; (v) � intensifier les efforts en vue d��largir la participation des femmes � tous les niveaux et dans tous les domaines de l�enseignement sup�rieur ; (vi) � poursuivre le soutien apport� aux exp�riences d�int�gra tion de la formation et de la recherche interdisciplinaires relatives � des probl�mes sp�cifiques de d�veloppement relevant des domaines de comp�tence de l�unesco, en vue de promouvoir des politiques int�gr�es de formation et de recherche. 5.2 pr�paration d�une convention sur l�enseignement technique et professionnel la conf�rence g�n�rale, rappelant les obligations qui incombent � l�organisation en vertu de son acte constitutif, rappelant �galement les principes �nonc�s aux articles 23 et 26 de la d�claration universelle des droits de l�homme, estimant � cet �gard que chaque individu a droit � une �ducation technique et professionnelle qui lui permette de participer pleinement � la vie de la soci�t� contemporaine,
prenant en consid�ration les dispositions de la recommandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et professionnel, de la recom mandation sur le d�veloppement de l��ducation des adultes, de la recommandation sur la condition du personnel enseignant, du pacte international relatif aux droits �conomiques, sociaux et culturels ainsi que de la convention sur l��limination de toutes les formes de discrimination � l��gard des femmes,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� estimant que le d�veloppement des syst�mes nationaux d�enseignement tech nique et professionnel est un pr�alable indispensable � l�instau ration d�un nouvel ordre �conomique international, reconnaissant que la coop�ration internationale dans le domaine de l�ensei gnement technique et professionnel contribue � la compr�hension amicale et au maintien de la paix entre les peuples et correspond, par cons�quent, aux devoirs incombant � l�organisation en vertu de son acte constitutif, soulignant que l�enseignement technique et professionnel est un pr�alable indispensable au d�veloppement �conomique et social, remarquant que l�acc�l�ration rapide du d�veloppement de la technologie entra�ne un renforcement de l�in�galit� dans la situation �cono mique des diff�rents pays, ce qui pose dans toute son acuit� le probl�me du d�veloppement de la coop�ration aux fins de l�am�lio ration de l�enseignement technique et professionnel des jeunes et des adultes, tenant compte de la diversit� des situations socio-�conomiques et syst�mes d�enseignement dans le monde, consid�rant que, malgr� cette diversit�, l�enseignement technique et pro fessionnel poursuit partout le m�me but final et se heurte pour l�atteindre � des probl�mes analogues dont la solution n�cessite des mesures concert�es et des normes communes, reconnaissant que les efforts concert�s d�ploy�s par les etats membres dans le cadre d�accords internationaux pour �largir l�enseignement technique et professionnel contribueront � am�liorer l�efficacit� et la qualit� de l�enseignement et, par cons�quent, � acc�l�rer le d�veloppement �conomique et technique, tenant compte du rapport pr�liminaire et de l�analyse des observations formul�es par les etats membres sur l�avant-projet de convention sur l�enseignement technique et professionnel (24 c/79), autorise le directeur g�n�ral � terminer la pr�paration d�une convention sur l�enseignement technique et professionnel et, conform�ment �
la r�solution 23 c/5.2, � r�unir en 1989 un comit� sp�cial d�ex perts gouvernementaux pour �laborer le projet de convention final, qui sera soumis � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session. 5.3 mise en oeuvre de la recommandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et professionnel la conf�rence g�n�rale, r�affirmant l�importance de la recommandation r�vis�e concernant l�ensei gnement technique et professionnel et de sa mise en oeuvre par les etats membres pour la r�alisation du droit � l��ducation et le d�veloppement �conomique et social,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� rappelant la r�solution 22 c/25 qu�elle a adopt�e au sujet des proc�dures de pr�sentation des rapports sur la mise en oeuvre de la recom mandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et profes sionnel, ayant examin� le rapport du comit� sur les conventions et recommandations relatif � la premi�re consultation des etats membres sur la mise en oeuvre de ladite recommandation (24 c/73), prenant note avec satisfaction du travail accompli par ce comit�, ayant pris connaissance de la d�cision 126 ex/5.2.6 adopt�e par le conseil ex�cutif concernant le rapport du comit� (24 c/73 add.), s�associant � l�appr�ciation exprim�e par le conseil ex�cutif concernant l�effort fait par les etats membres qui ont pr�sent� un rapport sur la mise en oeuvre de la recommandation r�vis�e, tout en notant toutefois que sur 158 etats membres, 44 seulement ont r�pondu au questionnaire, 1. approuve les recommandations du comit� du conseil ex�cutif sur les conventions et recommandations, et notamment le calendrier propos� pour la deuxi�me consultation des etats membres; 2. invite les etats membres qui n�ont pas encore pr�sent� de rapport en r�ponse � la premi�re consultation � le faire dans les meilleurs d�lais et d�cide que les r�sum�s analytiques de leurs r�ponses, ainsi que le rapport y relatif du comit� sur les conventions et recommandations, seront soumis � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session ; 3. invite le directeur g�n�ral � �tablir un questionnaire � l�intention des etats membres pour la pr�sentation, dans le cadre de la deuxi�me consultation, de rapports sur les mesures suppl�mentaires qu�ils ont prises pour mettre en oeuvre la recommandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et professionnel ; 4. invite en outre le directeur g�n�ral � adresser ce questionnaire aux etats membres en 1990, apr�s l�avoir soumis au conseil ex�cutif, en leur demandant de le remplir et de le retourner dans un d�lai de dix mois ; 5. d�cide que les r�sum�s analytiques des rapports des etats membres, ainsi que le rapport � ce sujet du comit� du conseil ex�cutif sur les conventions et recommandations, seront soumis � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-septi�me session. 5.4 priorit�s de l�enseignement technique et professionnel
la conf�rence g�n�rale, rappelant l�importance de la coop�ration internationale dans le domaine de l�enseignement technique et professionnel, pr�conis�e par la recommandation r�vis�e concernant l�enseignement technique et professionnel, qu�elle a adopt�e � sa dix-huiti�me session,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� reconnaissant que la coop�ration internationale dans le domaine de l�ensei gnement technique et professionnel contribue � la compr�hension amicale et au maintien de la paix entre les peuples, soulignant que l�enseignement technique et professionnel est un facteur important du d�veloppement socio-�conomique, consid�rant que le d�veloppement de syst�mes nationaux d�enseignement tech nique et professionnel est la condition sine qua non de l�instau ration d�un nouvel ordre �conomique international, et rappelant � ce propos les r�solutions relatives � la contribution de l�unesco � l�instauration d�un nouvel ordre �conomique international qu�elle a adopt�es � ses dix-huiti�me, dix-neuvi�me, vingti�me, vingt et uni�me et vingt-deuxi�me sessions, estimant que, malgr� la diversit� des syst�mes d�enseignement dans le monde, l�enseignement technique et professionnel soul�ve des questions et des probl�mes analogues dans tous les pays, tenant compte de la rapidit� du progr�s scientifique et technique et de celle des mutations technologiques et structurelles de l�industrie et de l�agriculture, qui n�cessitent une pr�vision dynamique et la modification, en temps opportun, de l�enseignement technique et professsionnel en ce qui concerne tant son contenu que ses m�thodes, consciente que la solution des nombreux probl�mes que pose l�enseignement technique et professionnel exige une strat�gie commune et des recherches s�rieuses d�passant le cadre des fronti�res nationales et, par suite, une plus grande coop�ration internationale entre sp�cialistes, reconnaissant que malgr� la priorit� accord�e � l�unanimit�, dans le cadre de l�unesco, aux programmes d�enseignement technique et profes sionnel, ces programmes sont encore loin de r�pondre aux exigences de l��poque, et que les moyens disponibles ne suffisent pas pour r�soudre des probl�mes croissants, prenant en consid�ration les recommandations formul�es par le congr�s inter national sur le d�veloppement et l�am�lioration de l�enseignement technique et professionnel (berlin, 1987),
demande au directeur g�n�ral : (a) de centrer l�activit� de l�organisation dans le domaine de l�enseigne ment technique et professionnel sur les aspects prioritaires suivants : (i) d�veloppement et extension de l�initiation technologique de la population ; (ii) humanisation de l�enseignement technique � tous les niveaux et promotion de cet enseignement en tant qu�instrument de la commu nication internationale et de la compr�hension mutuelle ; (iii) �tude des probl�mes �conomiques de l�enseignement technique et professionnel ; (iv) probl�mes p�dagogiques et psychologiques soulev�s par l�utilisa tion de l�informatique dans l�enseignement ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� (v) probl�mes pos�s par l�enseignement professionnel en langue maternelle ; (vi) �laboration de programmes d��tudes internationaux et de mat�riels didactiques pour l�enseignement technique et professionnel ; (b) d�envisager, lors de l��laboration des programmes et budgets futurs, la possibilit� de consacrer un programme distinct � l�enseignement technique et professionnel. 5.5 election de membres du comit� intergouvernemental pour l��ducation physique et le sport/1 la conf�rence g�n�rale, elit, conform�ment aux dispositions des paragraphes 1, 2 et 3 de l�ar ticle 2 des statuts du comit� intergouvernemental pour l��ducation physique et le sport, les etats membres suivants pour faire partie de ce comit�/2 : b�nin guin�e r�publique populaire canada isra�l d�mocratique de cor�e chili n�pal su�de espagne nig�ria tha�lande gabon oman turquie 5.6 etude pr�liminaire sur l�opportunit� d��laborer une convention internationale sur la reconnaissance des �tudes, grades et dipl�mes de l�enseignement sup�rieur la conf�rence g�n�rale, rappelant la r�solution 15 c/1.262 par laquelle elle a autoris� le directeur g�n�ral "� poursuivre des �tudes comparatives dans des disciplines particuli�res et � entreprendre des enqu�tes et des �tudes sur l�opportunit� et la possibilit� d��laborer une conven tion internationale sur la reconnaissance et la validit� des titres, grades et dipl�mes d�livr�s par les �tablissements d�enseignement sup�rieur et de recherche dans tous les pays", 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987. 2. les autres membres du comit� qui ont �t� �lus � la vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingtcinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : argentine, bangladesh, bulgarie, cuba, egypte, el salvador, kowe�t,
malaisie, mali, ouganda, pakistan, pays-bas, r�publique centrafricaine, r�publique dominicaine, r�publique socialiste sovi�tique d�ukraine, union des r�publiques socialistes sovi�tiques.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� consid�rant que des conventions sur la reconnaissance des �tudes et dipl�mes d�enseignement sup�rieur ont �t� adopt�es par les etats d�am�rique latine et des cara�bes, par les etats arabes et les etats europ�ens riverains de la m�diterran�e, par les etats arabes, par les etats appartenant � la r�gion europe, par les etats africains et par les etats d�asie et du pacifique, soulignant la n�cessit� de compl�ter ce r�seau de conventions r�gionales et interr�gionales par un instrument universel, rappelant que, dans sa d�cision 120 ex/4.1 (par. 40), le conseil ex�cutif a consid�r� "qu�il y avait lieu d�entreprendre en 1986-1987 des travaux pr�liminaires dans la perspective de la pr�paration ult� rieure d�une convention internationale sur la reconnaissance des �tudes, grades et dipl�mes de l�enseignement sup�rieur", rappelant que, par sa d�cision 125 ex/5.2.5, le conseil ex�cutif a invit� le directeur g�n�ral "� proposer, dans le projet de programme et budget pour 1988-1989, des activit�s visant � faire le point et � poursuivre les travaux sur l�opportunit� et la possibilit� d��laborer une convention internationale sur la reconnaissance et la validit� des titres, grades et dipl�mes d�livr�s par les �tablissements d�enseignement sup�rieur et de recherche dans tous les pays, tenant compte de l�exp�rience internationale en la mati�re", invite le directeur g�n�ral � soumettre au conseil ex�cutif, � sa 130e ses sion, une �tude pr�liminaire sur l�opportunit� d��laborer une convention internationale sur la reconnaissance des �tudes, grades et dipl�mes de l�enseignement sup�rieur. 5.7 enseignement ouvert et � distance la conf�rence g�n�rale, consid�rant l�importance de l�enseignement � distance aux diff�rents niveaux de l��ducation, compte tenu du r�le qu�il peut jouer � la fois dans l��panouissement personnel de l�individu et dans le d�veloppement national, sachant que les possibilit�s de faire des �tudes sup�rieures sont limit�es dans les pays en d�veloppement en raison des contraintes finan
ci�res et des handicaps socio-�conomiques dont souffrent beaucoup de jeunes, consciente de ce que l�universit� ouverte est une formule qui peut contri buer grandement � assurer la d�mocratisation de l�enseignement sup�rieur, car elle offre des programmes int�gr�s de niveau universitaire permettant d�am�liorer les connaissances et les comp�tences des adultes qui travaillent dans le secteur public ou priv� et donne � ceux qui vivent dans les zones rurales la possi bilit� de suivre des enseignements conduisant � un grade ou � un dipl�me, de sorte qu�ils peuvent faire des �tudes tout en travaillant,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 5 education, formation et soci�t� invite le directeur g�n�ral � continuer de soutenir les efforts d�ploy�s par les etats membres pour �largir le champ des possibilit�s offertes en mati�re d��ducation et pour faciliter l�acc�s � l�enseignement sup�rieur par la mise en place de syst�mes natio naux d�enseignement ouvert et � distance, en s�attachant en parti culier � l��laboration de mat�riels d�enseignement et d�apprentis sage, � la mise au point de m�thodes et de techniques adapt�es � l�enseignement � distance et � la formation du personnel ensei gnant appel� � intervenir dans le cadre de ces activit�s. 5.8 d�veloppement de l�enseignement sup�rieur et de ses dimensions culturelles la conf�rence g�n�rale, tenant compte de la n�cessit� d��largir l�acc�s � l�enseignement sup�rieur tout en am�liorant la qualit� de celui-ci en y introduisant des �l�ments du d�veloppement culturel, etant convaincue de l�importance de la coop�ration r�gionale et internatio nale pour le perfectionnement des aspects humanistes des syst�mes d��ducation en vue de satisfaire les besoins des etats membres, rappelant la recommandation concernant la participation et la contribution des masses populaires � la vie culturelle qu�elle a adopt�e � sa dix-neuvi�me session (nairobi, 1976), tenant compte de la d�claration sur la politique culturelle adopt�e par la conf�rence mondiale sur les politiques culturelles (mondiacult) (mexico, 1982), notant les recommandations de la troisi�me conf�rence des ministres de l��ducation de la r�gion europe (sofia, 1980), reconnaissant l�importance de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel (1988-1997), invite le directeur g�n�ral : (a) � favoriser par tous les moyens possibles les initiatives prises
par les etats membres pour d�velopper l�enseignement sup�rieur et ses dimensions culturelles ; (b) � accorder dans l�ex�cution du programme toute l�attention n�cessaire � la mise en oeuvre des activit�s visant � promouvoir les dimensions culturelles de l�enseignement sup�rieur ainsi que son r�le dans le d�veloppement culturel et la promotion des valeurs humanistes et de la cr�ativit�.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 6 les sciences et leur application au d�veloppement 6 les sciences et leur application au d�veloppement1 6.1 grand programme vi "les sciences et leur application aud�veloppement" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/06, 22 c/6.1 et 23 c/6.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme vi "les sciences et leur application au d�veloppement", consid�rant que le d�veloppement de la recherche et des capacit�s natio nales de formation en mati�re de science et de technologie ainsi que de sciences sociales et humaines, est une t�che importante dans tous les pays, soulignant l�importance du grand programme vi pour l�accomplissement de la troisi�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, reconnaissant le r�le cl� qui revient � la science et � la technologie, ainsi qu�aux sciences sociales et humaines, dans le processus du d�veloppement, soulignant que la coop�ration internationale apporte une contribution essentielle au progr�s du savoir et au renforcement du potentiel scientifique et technologique des pays, consid�rant que les interactions entre les sciences exactes et naturelles et les sciences sociales et humaines appellent un renforcement du caract�re interdisciplinaire du grand programme vi, 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme vi "les sciences et leur application au d�veloppement" ; 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme vi.1 "recherche, formation et coop�ration internationale dans le domaine des sciences exactes et naturelles", (i) � promouvoir la coop�ration internationale et r�gionale entre instituts de recherche et universit�s en mati�re de formation avanc�e et de recherche fondamentale et appliqu�e en math�matiques, en physique, en chimie, en biologie et
dans les domaines interdisciplinaires, en particulier par l�interm�diaire des organisations internationales non gouvernementales et des r�seaux et centres sp�cialis�s internationaux et r�gionaux ; 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission iii � la 36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 6 les sciences et leur application au d�veloppement (ii) � favoriser, d�une part, le d�veloppement des innovations dans l�enseignement universitaire des sciences, les applica tions de l�informatique dans cet enseignement et dans la formation postuniversitaire, et, d�autre part, la production locale, par les universit�s, d��quipements de laboratoire, et � contribuer � la formation de sp�cialistes, dans le cadre de cours internationaux de formation postuniversitaire et de s�minaires ; (b) au titre du programme vi.2 "recherche, formation et coop�ration internationale dans le domaine de la technologie et des sciences de l�ing�nieur", (i) � contribuer au renforcement des activit�s de formation universitaire et postuniversitaire des ing�nieurs et des techniciens (en particulier des techniciens sp�cialistes de l�instrumentation et des techniques de laboratoire), notam ment des femmes, en favorisant l�utilisation des nouvelles technologies et m�thodes d�enseignement, telles que les syst�mes d�enseignement � distance au moyen de modules ; (ii) � poursuivre le d�veloppement et le renforcement des r�seaux et des infrastructures technologiques, en particulier des r�seaux r�gionaux d�institutions de formation et de recherche technologiques, et � contribuer au renforcement de la coop�ration avec les organisations internationales non gouvernementales comp�tentes, notamment en ce qui concerne les activit�s portant sur l�interaction entre l�enseigne ment, la formation et la recherche, d�une part, et le secteur productif, d�autre part ; (c) au titre du programme vi.3 "recherche, formation et coop�ration internationale dans quelques domaines cl�s de la science et de la technologie", (i) � promouvoir l�utilisation de l�informatique comme outil du d�veloppement en favorisant la formation des sp�cialistes et la recherche, et � contribuer � une meilleure diffusion des connaissances et des technologies en ce domaine par l�intro duction de l�enseignement de l�informatique � tous les niveaux de l�enseignement sup�rieur et par son utilisation en tant que moyen d�enseignement et de recherche, et ce par l�interm�diaire du r�seau mis en place dans le cadre du programme intergouvernemental d�informatique (pii) ; (ii) � renforcer le caract�re interdisciplinaire et intersec toriel du programme intergouvernemental d�informatique et � favoriser son extension suivant les recommandations de son comit� intergouvernemental, en veillant notamment � encou rager la formulation de politiques et de strat�gies natio nales compte tenu des besoins sp�cifiques des etats membres dans le domaine de l�informatique, la formation � tous les niveaux, la production de logiciels ainsi que le d�velop pement de r�seaux et de la t�l�matique ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 6 les sciences et leur application au d�veloppement (iii) � contribuer � la diffusion des connaissances et du savoirfaire scientifiques en biotechnologie, en favorisant les aspects int�ressant l�agriculture, la m�decine et l�indus trie, et � promouvoir les activit�s de recherche et de formation en explorant les modalit�s les plus appropri�es pour une coop�ration internationale dans ce domaine ; (iv) � contribuer � une utilisation accrue des sources d��nergie nouvelles et renouvelables, en particulier dans les pays en d�veloppement, en prenant en consid�ration ses incidences socio-�conomiques et culturelles, ainsi que le r�le des valeurs culturelles dans la formation des attitudes � l��gard des ressources �nerg�tiques ; (v) � promouvoir les activit�s relatives aux incidences sociales, �conomiques, culturelles et �thiques des technologies nou velles (informatique, microbiologie et biotechnologies), gr�ce � une contribution accrue des sciences sociales et humaines ; (d) au titre du programme vi.4 "recherche, formation et coop�ration internationale dans le domaine des sciences sociales et humaines", (i) � promouvoir, en particulier dans les pays en d�veloppement, le d�veloppement des capacit�s nationales, d�entreprendre des travaux de recherche orient�s vers l�ex�cution de projets dans le domaine des sciences sociales et humaines, ainsi que le d�veloppement des diverses disciplines des sciences sociales et humaines, en encourageant notamment la formation des sp�cialistes, les programmes nationaux de recherche fon damentale et appliqu�e, ainsi que l��change de documenta tion, d�informations sp�cialis�es et de connaissances ; (ii) � renforcer la coop�ration internationale, r�gionale et sous-r�gionale en sciences sociales et humaines, gr�ce notamment au soutien accord� aux programmes, organisations et r�seaux r�gionaux de formation, de recherche, de documen tation et d�information et en faisant en sorte que les experts nationaux des pays concern�s participent comme il se doit � l�ex�cution des projets d�assistance technique et autres projets pertinents de l�unesco sur le terrain ; (iii) � promouvoir un programme d��tudes internationales et multi disciplinaires sur la place et le r�le de la famille dans les soci�t�s contemporaines ; (iv) � encourager la recherche, la formation et l�enseignement consacr�s � la condition des femmes dans les diff�rentes r�gions du monde et � renforcer, aux niveaux national, r�gional et international, les institutions et les r�seaux scientifiques travaillant dans le domaine de la condition des femmes ; 3. invite en outre le directeur g�n�ral � coop�rer avec les organismes et programmes de financement en vue de d�velopper les activit�s op�ra tionnelles de l�organisation dans les domaines relevant du grand
programme vi.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 6 les sciences et leur application au d�veloppement 6.2 apport intellectuel de la philosophie et des sciences humaines au programme de l�unesco la conf�rence g�n�rale, rappelant l�int�r�t qu�elle porte, depuis sa treizi�me session, d�une part, � la r�flexion philosophique et � la coop�ration interdiscipli naire, et, d�autre part, aux sciences humaines et � leur r�le dans la culture contemporaine, rappelant �galement l�importance de la philosophie et des sciences humaines dans l�analyse des principes �thiques qui doivent r�gir la coop� ration entre les peuples, la solidarit� humaine, le respect des droits de l�homme et la promotion de la paix, reconnaissant la fonction unificatrice qui incombe � la philosophie face aux divers domaines du savoir et son r�le m�diateur entre, d�une part, les r�alisations scientifiques et techniques qui condi tionnent la r�alit� quotidienne, et, d�autre part, les aspirations profondes de l�homme, invite le directeur g�n�ral : (a) � assurer � la philosophie et aux sciences humaines l�ampleur et la coh�rence qu�elles doivent avoir dans les diff�rents programmes ; (b) � allouer � ces programmes les moyens d�action requis pour que l�unesco puisse s�acquitter d�ment de la t�che de r�flexion qui lui incombe au sein du syst�me des nations unies. 6.3 election de membres du comit� intergouvernemental du programme intergouvernementald�informatique/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant la r�solution 23 c/6.2 par laquelle elle a approuv� les statuts du comit� intergouvernemental du programme intergouvernemental d�informatique, qu�elle a amend�s par sa r�solution 23 c/32.1, 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987. 69
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 7 syst�mes d�information et acc�s � la connaissance elit, conform�ment aux dispositions des paragraphes 1, 2 et 3 de l�article 2 des statuts, les 16 etats membres ci-apr�s pour faire partie du comit� intergouvernemental/1 : afghanistan chine paraguay r�publique f�d�rale irak portugal d�allemagne italie uruguay australie jordanie za�re bulgarie nig�ria zambie pakistan chili 7 syst�mes d�information et acc�s � la connaissance 7.1 grand programme vii "syst�mes d�information et acc�s � la connaissance"/2 la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/07, 22 c/7.1 et 23 c/7.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme vii "syst�mes d�information et acc�s � la connaissance", soulignant l�importance du grand programme vii pour l�accomplissement de la troisi�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, ayant pris connaissance des recommandations que le conseil intergouverne mental du programme g�n�ral d�information a formul�es � sa sixi�me session (paris, novembre 1986), r�affirmant le r�le essentiel jou� par l�information sp�cialis�e dans le progr�s des connaissances et dans l�acquisition de la ma�trise du savoir et du savoir-faire,
soulignant la n�cessit� de maintenir, au sein du programme g�n�ral d�infor mation, l��quilibre existant entre les divers sous-programmes, de promouvoir des activit�s ayant des effets catalyseurs et multi plicateurs et de donner un haut degr� de priorit� � l�application des connaissances scientifiques et techniques que la mise en oeuvre de ce programme a permis d�approfondir, 1. les autres membres du comit� qui ont �t� �lus � la vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingt-cinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : argentine, bangladesh, br�sil, cameroun, c�te d�ivoire, danemark, egypte, france, gabon, gr�ce, inde, r�publique islamique d�iran, malawi, mexique, r�publique socialiste sovi�tique d�ukraine, tunisie, union des r�publiques socialistes sovi�tiques. 2. r�solution adopt�e sur le rapport de la commission iv � la 37e s�ance pl�ni�re, le 20 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 7 syst�mes d�information et acc�s � la connaissance 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme vii "syst�mes d�information et acc�s � la connaissance" ; 2. invite en particulier le directeur g�n�ral ; (a) au titre du programme vii.1 "am�lioration de l�acc�s � l�infor mation : technologies modernes, normalisation et interconnexion des syst�mes d�information", � continuer � d�velopper le cadre conceptuel de l�unisist et � diffuser les instruments normatifs de ce programme dans les etats membres, dans le syst�me des nations unies et au sein m�me de l�organisation, � aider les etats membres � cr�er des bases de donn�es nationales, notamment en les assis tant dans le choix et l�application des technologies nouvelles, des normes et des logiciels documentaires appropri�s ; � mettre en oeuvre des projets int�gr�s, � participer activement � l��tablis sement et au d�veloppement de r�seaux r�gionaux et � veiller � la coordination des activit�s du programme g�n�ral d�information et des diff�rents syst�mes et services d�information de l�unesco ; (b) au titre du programme vii.2 "infrastructures, politiques et for mation n�cessaires au traitement et � la diffusion de l�infor mation sp�cialis�e", � poursuivre les activit�s relatives aux infrastructures, aux politiques et � la formation et, en parti culier, � renforcer les syst�mes d�information nationaux et leurs institutions, y compris les services de biblioth�que, d�archives, de documentation et d�information sp�cialis�e, � continuer � aider les etats membres dans la formulation de leurs politiques d�infor mation et � faciliter, en priorit�, la formation des utilisateurs et des personnels de l�information ; (c) au titre du programme vii.3 "syst�mes et services d�information et de documentation de l�unesco", � d�velopper les services de docu mentation, de biblioth�que et d�archives de l�unesco, � poursuivre le d�veloppement et la fourniture aux etats membres des logiciels documentaires et d�analyse statistique, et � en accro�tre les capacit�s et les possibilit�s d�utilisation ; 3. invite �galement le directeur g�n�ral � coop�rer avec les organismes et les programmes de financement en vue de d�velopper les activit�s op�rationnelles de l�organisation dans les domaines relevant du programme g�n�ral d�information. 7.2 election de membres du conseil intergouvernemental du programme g�n�ral d�information/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant les paragraphes 1 et 2 de l�article 2 des statuts du conseil intergouvernemental du programme g�n�ral d�information, tels qu�ils ont �t� amend�s par la r�solution 20 c/36.1, 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987.
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document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 8 principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppement elit les etats membres ci-apr�s pour si�ger au conseil inter gouvernemental/1 : belgique jama�que maurice burkina faso japon p�rou chine jordanie uruguay inde kenya zimbabwe italie kowe�t 8 principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppement2 8.1 grand programme viii "principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppement" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/08, 22 c/8.1 et 23 c/8.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme viii "principes, m�thodes et stra t�gies de l�action pour le d�veloppement", soulignant l�importance du grand programme viii pour l�accomplissement de la quatri�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, soulignant � nouveau le r�le majeur de l��ducation, de la science, de la culture, de la communication et des sciences sociales et humaines dans la promotion d�un d�veloppement int�gr� et �quilibr� permet tant � chaque pays de ma�triser son propre d�veloppement, soulignant le r�le fondamental que les sciences sociales et humaines sont appel�es � jouer, tant pour la compr�hension des probl�mes du d�veloppement que pour la recherche de solutions � ces probl�mes, soulignant que l�identit� et les valeurs culturelles fondent la vision que
chaque peuple a de son �tre et de son devenir et que, d�s lors, la culture constitue une dimension fondamentale du d�veloppement, 1. les autres membres du conseil qui ont �t� �lus � la vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingtcinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : r�publique f�d�rale d�allemagne, autriche, br�sil, cuba, espagne, finlande, guin�e �quatoriale, r�publique islamique d�iran, jamahiriya arabe libyenne, nig�ria, ouganda, pologne, r�publique socialiste sovi�tique de bi�lorussie, sri lanka, turquie, union des r�publiques socialistes sovi�tiques. 2. r�solution adopt�e sur le rapport de la commissionv�la36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 8 principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppement exprimant sa conviction que, compte tenu de l�interd�pendance de plus en plus grande des peuples et des nations, la coop�ration internatio nale pour le d�veloppement devrait se fonder sur les valeurs de solidarit� et la n�cessit� d�un climat international propice � un dialogue constructif et � des efforts communs tendant � r�soudre les probl�mes de d�veloppement et qu�� cet �gard l�action, tout en �tant �clair�e par une vision globale des probl�mes, devrait �tre guid�e en permanence par le respect des options nationales de d�veloppement, estimant que la coop�ration entre pays en d�veloppement devrait �tre renforc�e et devrait permettre notamment de mettre en oeuvre des projets d�int�r�t commun dans les domaines de comp�tence de l�unesco, soulignant la n�cessit� de lier la r�flexion sur les finalit�s du d�veloppement, les obstacles auxquels il se heurte et les facteurs qui lui sont favorables, d�une part, la planification et l�action en vue de la mise en oeuvre et de la coordination des projets de d�veloppement dans les domaines de comp�tence de l�organisation, d�autre part, rappelant que le caract�re global et int�gr� du d�veloppement exige une �troite coop�ration avec les organisations du syst�me des nations unies oeuvrant dans des domaines compl�mentaires, ainsi qu�avec les organisations intergouvernementales et non gouvernementales, internationales et r�gionales, comp�tentes en mati�re de d�veloppement, 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme viii "principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppement", en veillant � accorder une importance parti culi�re aux besoins des pays les moins avanc�s ; 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme viii.1 "etudes et planification du d�veloppement", (i) � appr�hender les processus de d�veloppement dans une pers pective globale qui tienne compte de l�ensemble de leurs dimensions �conomiques, sociales et culturelles, notamment en favorisant la connaissance des facteurs, tant internes qu�internationaux, susceptibles de constituer des obstacles ou, au contraire, des facteurs favorables � un d�veloppement endog�ne ;
(ii) � coop�rer avec les etats membres et les autres organisa tions du syst�me des nations unies en vue de faciliter la mise en oeuvre de politiques int�gr�es de d�veloppement, en favorisant notamment la mise au point de m�thodes de plani fication et d��valuation du d�veloppement dans les domaines de comp�tence de l�organisation, en portant une attention particuli�re, dans la planification du d�veloppement, aux probl�mes concernant les femmes ainsi qu�� ceux des groupes sociaux d�favoris�s ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 8 principes, m�thodes et strat�gies de l�action pour le d�veloppement (iii) � renforcer la coop�ration entre pays en d�veloppement dans les domaines de comp�tence de l�organisation, en suscitant notamment les �changes d�exp�rience et la mise en oeuvre de projets communs, et en apportant en particulier un soutien aux initiatives des etats membres et des organisations int�ress�es en mati�re de coop�ration technique et intellec tuelle entre pays en d�veloppement, une attention particu li�re �tant accord�e aux activit�s orient�es vers une meil leure insertion des jeunes dans la vie sociale, �conomique et culturelle ; (b) au titre du programme viii.2 "coop�ration avec les etats membres en vue de l�identification de projets prioritaires pour le d�veloppement", (i) � offrir aux etats membres l�appui n�cessaire pour la forma tion de cadres nationaux aux techniques de collecte des donn�es de base indispensables � l�identification et la pr�paration de projets prioritaires dans les domaines de comp�tence de l�unesco, renfor�ant ainsi leur capacit� de mobiliser et d�orienter de mani�re appropri�e les ressources financi�res, humaines et intellectuelles n�cessaires au d�veloppement ; (ii) � coop�rer avec les etats membres en ce qui concerne l�iden tification et la pr�paration de ces projets prioritaires en mettant � leur disposition les conclusions et recommanda tions des missions des experts et des consultants, les rapports sur les projets ex�cut�s avec l�assistance de l�organisation ainsi que les donn�es de base rassembl�es par le secr�tariat ; (c) au titre du programme viii.3 "mise en oeuvre de l�action pour le d�veloppement", (i) � poursuivre la recherche syst�matique et la mobilisation des ressources financi�res pour des projets et programmes de d�veloppement, en renfor�ant la coop�ration avec les diverses sources d�aide, multilat�rales et bilat�rales, publiques et priv�es, mondiales ou r�gionales, et en les incitant plus particuli�rement � �largir leurs crit�res de financement ; (ii) � aider les etats membres � identifier leurs besoins dans le domaine de la formation et � am�liorer la planification de leurs programmes en la mati�re ; (iii) � coop�rer avec les etats membres pour l��laboration de politiques et de programmes en vue d�inciter les jeunes � apporter, notamment par le travail volontaire, une aide active au d�veloppement ; (iv) � coop�rer avec les etats membres dans le choix, l�acquisi tion et l�utilisation des �quipements dans le cadre de diff�rents projets de d�veloppement et � contribuer � la formation des utilisateurs ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 9 science, technologie et soci�t� (v) � mettre en oeuvre, dans les domaines de comp�tence de l�unesco, des projets pilotes novateurs qui r�pondent aux besoins prioritaires et urgents des etats membres, pr� sentent un caract�re interdisciplinaire et comportent des effets multiplicateurs ; (vi) � assurer, par des m�canismes appropri�s, la coordination de l�ensemble des activit�s op�rationnelles de l�organisation. 9 science, technologie et soci�t�1 9.1 grand programme ix "science, technologie et soci�t�" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/09, 22 c/9.l et 23 c/9.2 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme ix "science, technologie et soci�t�", rappelant les d�clarations et recommandations adopt�es par les conf�rences r�gionales des ministres charg�s de l�application de la science et de la technologie au d�veloppement, convoqu�es p�riodiquement par l�unesco, ainsi que le programme d�action de vienne adopt� par la conf�rence des nations unies sur la science et la technique au service du d�veloppement (1979), soulignant l�importance du grand programme ix pour l�accomplissement de la quatri�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, soulignant en outre le r�le des sciences sociales et humaines dans l�examen des interactions entre la science, la technologie et la soci�t�, estimant que les questions relatives au d�veloppement et � la planification de la science et de la technologie devraient �tre �tudi�es suivant une approche interdisciplinaire, 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme ix "science, technologie et soci�t�" ; 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme ix.1 "etude et am�lioration des rapports entre la science, la technologie et la soci�t�", (i) � soutenir les programmes nationaux et internationaux consacr�s � l��tude des tendances futures de la science et
de la technologie et � l�analyse des effets du progr�s 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission iii � la 36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 9 science, technologie et soci�t� scientifique et technologique sur les soci�t�s, � promouvoir le r�le des femmes dans le domaine de la science et de la technologie, et � contribuer au renforcement du r�le des scientifiques et des ing�nieurs dans l�orientation du pro gr�s scientifique et technologique vers le mieux-�tre des soci�t�s et dans le maintien de la paix ainsi qu�� leur participation � l�analyse des risques cr��s par l�introduc tion de nouvelles technologies et � leur pr�vention ; (ii) � contribuer au d�veloppement des programmes nationaux de vulgarisation scientifique et technologique ainsi qu�� la formation du personnel charg� de ces programmes, et � pro mouvoir la coop�ration internationale dans ce domaine ; (b) au titre du programme ix.2 "politiques de la science et de la technologie", (i) � contribuer au d�veloppement de politiques de coop�ration scientifique et technologique, � l��chelon r�gional et sous-r�gional, en donnant suite aux recommandations des conf�rences minist�rielles r�gionales (castafrica ii, castalac ii), en convoquant une conf�rence de repr�sentants gouvernementaux d�etats arabes, en accordant une attention particuli�re � la coop�ration dans des r�gions constitu�es de petits pays insulaires (pacifique et cara�bes) et en encourageant les �changes d�exp�riences et de vues au sujet des formes et des projets �ventuels de coop�ration scienti fique et technologique en asie et en europe ; (ii) � contribuer � l��tablissement de politiques int�grant la science et la technologie au secteur de la production et � l��laboration, dans les etats membres, de politiques et de programmes de d�veloppement scientifique et technologique, y compris dans le domaine des sciences sociales et humaines ainsi qu�� l�int�gration de ces programmes dans les stra t�gies et les plans de d�veloppement nationaux ; (iii) � poursuivre le programme international de formation, de recherche et d��change d�informations dans le domaine de la gestion du d�veloppement scientifique et technologique ; (iv) � poursuivre les activit�s de formation, de recherche, de transfert de savoir-faire et de coop�ration internationale dans le cadre de l�etude comparative internationale sur l�organisation et l�efficacit� des unit�s de recherche (icsopru) ; 3. invite en outre le directeur g�n�ral � coop�rer avec les organismes et programmes de financement en vue de d�velopper les activit�s op�rationnelles de l�organisation dans les domaines relevant du grand programme ix.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 9 science, technologie et soci�t� 9.2 cr�ation d�une conf�rence permanente des directeurs des organismes nationaux responsables de la politique scientifique et technologique des etats de la r�gion afrique membres de l�unesco la conf�rence g�n�rale, avant examin� le rapport du directeur g�n�ral intitul� "cr�ation d�une conf�rence permanente des directeurs des organismes nationaux responsables de la politique scientifique et technologique des etats de la r�gion afrique membres de l�unesco" (24 c/37), ainsi que son rapport sur les travaux de la conf�rence castafrica ii (24 c/88), 1. invite le directeur g�n�ral � convoquer en afrique, au cours de l�exercice biennal 1988-1989, une premi�re r�union r�gionale non gouvernementale des directeurs des organismes nationaux respon sables de la politique scientifique et technologique en afrique, cette r�union ayant pour t�ches : (a) d�examiner les probl�mes d�int�r�t commun concernant l��laboration des politiques nationales, afin d�aider les etats membres de la r�gion � d�velopper leurs capacit�s nationales autonomes de d�ve loppement et d�application de la science et de la technologie ; (b) de favoriser la coop�ration entre lesdits etats membres pour l�harmonisation de leurs politiques scientifiques et techno logiques, pour la d�finition et l��laboration de strat�gies concert�es d�application de la science et de la technologie et pour le renforcement du d�veloppement socio-�conomique de la r�gion ; (c) de discuter du suivi de la conf�rence castafrica ii et de l�orga nisation par l�unesco d�autres conf�rences �ventuelles de la s�rie castafrica ; (d) d��mettre des points de vue sur la gestion et le d�veloppement du fonds sp�cial de l�unesco pour la recherche et le d�veloppement exp�rimental (r-d) en afrique ; (e) de contribuer � la participation de l�unesco � la mise en oeuvre du chapitre du plan d�action de lagos relatif � la science et � la technologie ; 2. invite �galement le directeur g�n�ral (a) � pr�voir dans sa planification � moyen terme des propositions envisageant la convocation, selon une p�riodicit� r�guli�re et suivant le principe d�une rotation sous-r�gionale, de r�unions analogues � celle qui est pr�vue au paragraphe 1 ci-dessus ; (b) � communiquer les conclusions des travaux des r�unions pr�vues aux paragraphes 1 et 2 (a) ci-dessus aux gouvernements des etats membres africains de l�unesco et aux organisations internationales, intergouvernementales et non gouvernementales int�ress�es ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 9 science, technologie et soci�t� 3. invite en outre le directeur g�n�ral � coop�rer avec les etats membres africains en vue de l�organisation de comit�s sous-r�gionaux charg�s de suivre la mise en oeuvre des recommandations de la conf�rence castafrica ii. 9.3 suivi de la deuxi�me conf�rence des ministres charg�s de l�application de la science et de la technologie au d�veloppement en afrique (castafrica ii) la conf�rence g�n�rale, ayant examin� les rapports qui lui ont �t� pr�sent�s par le directeur g�n�ral : (a) sur les travaux de la deuxi�me conf�rence des ministres charg�s de l�application de la science et de la technologie au d�veloppement en afrique (castafrica ii), qui s�est tenue � Arusha (r�publiqueunie de tanzanie) du 6 au 15 juillet 1987 (24 c/88), ainsi que sur la d�claration de kilimandjaro et les quinze recommandations adopt�es par la conf�rence castafrica ii, (b) sur la cr�ation d�une conf�rence permanente des directeurs des organismes nationaux responsables de la politique scientifique et technologique des etats de la r�gion afrique membres de l�unesco (24 c/37), 1. approuve l�avis donn� par le directeur g�n�ral dans ces rapports ; 2. rappelle que les incidences pratiques des textes adopt�s par la conf�rence castafrica ii touchent � une gamme �tendue de th�mes relevant des domaines de comp�tence de l�unesco et int�ressant : (a) d�une part, les trois grands programmes de l�organisation qui ont principalement trait � la science et � la technologie (vi, ix et xi) ; (b) d�autre part, un certain nombre de ses autres grands programmes (concernant en particulier diff�rents aspects de l��ducation, l�information, les strat�gies de d�veloppement, les int�r�ts sp�cifiques des femmes et des jeunes et leur participation au d�veloppement) ; 3. rappelle �galement qu�il convient de garder soigneusement pr�sentes � l�esprit ces indicences pratiques lors de la planification et de la mise en oeuvre des activit�s imm�diates et � moyen terme de l�unesco ; 4. autorise le directeur g�n�ral : (a) � tenir pleinement compte des textes adopt�s par la conf�rence castafrica ii lors de la mise en oeuvre du plan de travail indiqu� dans le projet de programme et de budget pour 1988-1989 (24 c/5) et de l��laboration du troisi�me plan � moyen terme de l�unesco ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines (b) � utiliser, dans ce contexte, le m�canisme de suivi de la conf� rence castafrica ii cr�� (ou devant �tre cr��) conform�ment � la r�solution 24 c/9.2 et charg� notamment de faciliter l�ex�cution par l�unesco des t�ches qui lui incombent dans la mise en oeuvre du programme sp�cial d�aide � l�afrique dans les domaines de la recherche scientifique et technologique et de la recherched�veloppement (psaa), qu�elle a �labor� � la demande de l�organi sation de l�unit� africaine. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines 10.1 grand programme x "environnement humain et ressources terrestres et marines"/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/10, 22 c/10.1 et 23 c/10.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme x "environnement humain et ressources terrestres et marines", reconnaissant l�importance du grand programme x pour l�accomplissement de la quatri�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyen terme, gardant � l�esprit l�importance de la protection de l�environnement et de la gestion rationnelle des ressources naturelles pour assurer un d�veloppement socio-�conomique �quilibr� et un cadre de vie ad�quat, reconnaissant en outre aux programmes scientifiques internationaux et intergouvernementaux (picg, phi, mab) et aux programmes de la commission oc�anographique intergouvernementale (coi) un r�le primordial dans la mise en oeuvre de ce grand programme, et soulignant l�importance d�une participation active des etats membres, notamment des pays en d�veloppement, � ces programmes, prenant en consid�ration les recommandations des organes de coordination des programmes scientifiques internationaux et intergouverne mentaux et notamment celles du conseil du programme international de corr�lation g�ologique (picg) � sa quinzi�me session, du conseil intergouvernemental du programme hydrologique inter national (phi) � sa septi�me session, de la conf�rence internatio nale sur l�hydrologie et les bases scientifiques de la gestion des
ressources en eau (gen�ve, mars 1987) et du conseil international de coordination du programme intergouvernemental sur l�homme et la biosph�re (mab) � sa neuvi�me session, ainsi que les r�solutions de l�assembl�e de la commission oc�anographique intergouverne mentale (coi) et de son conseil ex�cutif, 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commission iii � la 36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines soulignant l�importance de l��ducation relative � l�environnement dans la pr�vention et la solution des probl�mes de l�environnement, et pour la gestion rationnelle des ressources naturelles, rappelant les recommandations de la conf�rence intergouvernementale sur l��ducation relative � l�environnement (tbilissi, urss, 1977), ainsi que les conclusions du congr�s international sur l��ducation et la formation relatives � l�environnement (moscou, urss, 1987), approuvant les propositions du directeur g�n�ral et du conseil ex�cutif concernant le regroupement de certaines activit�s en vue d�une plus grande concentration des programmes et d�une meilleure d�finition des responsabilit�s dans leur r�alisation, 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme x "environnement humain et ressources terrestres et marines" ; 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme x.1 "l��corce terrestre et ses ressources min�rales et �nerg�tiques", (i) � poursuivre la mise en oeuvre du programme international de corr�lation g�ologique (picg) et � renforcer les liens entre ce programme et les autres programmes scientifiques inter nationaux gouvernementaux et non gouvernementaux afin de pr�server au picg son caract�re interdisciplinaire ; (ii) � d�velopper les activit�s relevant du projet majeur r�gional "la g�ologie au service du d�veloppement �conomique" con cernant l��valuation du potentiel min�ral en afrique, en les �tendant � l�am�rique latine et en mettant l�accent sur le renforcement des projets de recherche et de formation sur le terrain ; (iii) � poursuivre la collecte et la diffusion des r�sultats des recherches sur la lithosph�re et leurs applications � l�am� nagement du territoire, ainsi que la publication de cartes th�matiques continentales ; (iv) � apporter son soutien � l�organisation de mation du personnel n�cessaire aux etats mdomaine des sciences de la terre ; cours embres de fordans le (b) au titre du programme x.2 "risques naturels", (i) � contribuer � une meilleure connaissance des m�canismes des risques naturels et � l�am�lioration des m�thodes d��valua
tion et de pr�vision de ces risques ; (ii) � promouvoir la mise en place de syst�mes d�alerte aux risques naturels et les moyens n�cessaires pour att�nuer les effets de ces risques, notamment en ce qui concerne les pertes humaines et les d�g�ts mat�riels ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines (c) au titre du programme x.3 "ressources en eau", (i) � poursuivre la mise en oeuvre du programme hydrologique international (phi) afin d�am�liorer les bases scientifiques n�cessaires � l��valuation, la mise en valeur et la gestion rationnelle des ressources en eau, � achever la troisi�me phase (1984-1989) du phi, conform�ment au plan adopt� par le conseil intergouvernemental du programme, et � pr�parer la planification de la quatri�me phrase (1990-1995) conform� ment aux recommandations formul�es par la conf�rence inter nationale sur l�hydrologie et les bases scientifiques de la gestion des ressources en eau (gen�ve, mars 1987) ; (ii) � promouvoir des technologies appropri�es pour l�utilisation et la conservation des ressources en eau, en tenant compte de la sp�cificit� des conditions environnementales et des contextes socio-�conomiques, notamment dans le cadre des projets majeurs r�gionaux en cours d�ex�cution ou propos�s en afrique, en am�rique latine, dans les etats arabes, en asie et dans le pacifique ; (iii) � contribuer � la formation du personnel scientifique et technique dans le domaine de l�hydrologie, de l�am�nagement et de la gestion des ressources en eau, en coop�rant avec les centres de formation existants et en encourageant le d�veloppement des r�seaux r�gionaux et internationaux ; (iv) � contribuer �galement � une meilleure information du public sur les probl�mes de l�eau et leur impact sur le d�velop pement �conomique et social, ainsi qu�au renforcement des syst�mes d�information scientifique et technique dans le domaine de l�eau ; (d) au titre du programme x.4 "l�oc�an et ses ressources", (i) � renforcer le programme de travail et les possibilit�s d�action de la commission oc�anographique intergouverne mentale dans les domaines de l�oc�anographie et des services oc�aniques, de la formation, de l�enseignement et de l�aide mutuelle, de fa�on � r�pondre aux besoins croissants de ses etats membres et de ses organes r�gionaux subsidiaires ; (ii) � contribuer au renforcement des capacit�s nationales et r�gionales dans le domaine de la recherche et de la forma tion en sciences de la mer, en mettant particuli�rement l�accent sur l��x�cution du plan d�ensemble unesco-coi en vue d�un grand programme d�assistance destin� � renforcer les capacit�s en sciences de la mer des pays en d�veloppement ; (iii) � contribuer en outre au renforcement de la coop�ration internationale -globale et r�gionale -, gr�ce � l�action de la commission en tant que m�canisme sp�cialis� commun aux organisations du syst�me des nations unies pour la coordi nation des activit�s relatives � l�oc�anographie et � ses aspects connexes ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines (e) au titre du programme x.5 "formation et recherche en sciences de la mer et leurs applications � l�am�nagement du littoral", (i) � renforcer aux niveaux national et r�gional les programmes de recherche et de formation en sciences de la mer, ainsi que les infrastructures pour l�am�nagement des zones c�ti�res ; (ii) � promouvoir l��tablissement de bases scientifiques pour la gestion de l�environnement c�tier et l�exploitation ration nelle des ressources marines, notamment dans le cadre du projet majeur interr�gional sur la recherche et la formation en vue de l�am�nagement int�gr� des syst�mes c�tiers (comar) ; (f) au titre du programme x.6 "les bases scientifiques de l�am�na gement du territoire et la conservation des ressources de la bio sph�re -le programme sur l�homme et la biosph�re (mab)", (i) � poursuivre la mise en oeuvre du programme sur l�homme et la biosph�re (mab) en renfor�ant notamment les r�seaux des projets pilotes de recherche, de formation et de d�monstra tion relatifs � l�am�nagement int�gr� du territoire et � la gestion rationnelle des ressources naturelles ; (ii) � promouvoir, en coop�ration avec le conseil international des unions scientifiques (cius), les recherches et �tudes int�gr�es et comparatives sur le fonctionnement des �co syst�mes, la mise en valeur de leurs ressources et la mise au point de m�thodes de planification de l�utilisation de ces ressources dans les diff�rentes zones biog�ographiques et �cologiques ; (iii) � poursuivre la mise en oeuvre, en collaboration avec le pnue, la fao et l�union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources (uicn), du plan d�action sur les r�serves de la biosph�re, destin� � am�liorer et � d�velopper le r�seau international de ces zones �cologiques repr�sentatives � fonctions multiples dans le cadre du programme mab, de la strat�gie mondiale de la conservation et d�autres programmes se rapportant au domaine de la conservation de la nature ; (iv) � promouvoir la formation du personnel scientifique et tech nique n�cessaire aux etats membres en mati�re d�am�nagement du territoire et d�utilisation rationnelle des ressources des �cosyst�mes terrestres, et � renforcer les infrastruc tures des pays dans ce domaine ; (g) au titre du programme x.7 "syst�mes urbains et urbanisation", (i) � poursuivre la mise en oeuvre de projets pilotes de r�habi litation en milieu urbain et rural, en tenant compte de la diversit� des r�alit�s socio-�conomiques des diff�rentes r�gions ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines (ii) � intensifier la recherche et l��change d�informations sur les ph�nom�nes d�urbanisation, ainsi que sur les mouvements de population et leur influence sur les processus d�am�na gement du territoire ; (iii) � promouvoir la formation, � tous les niveaux, de sp�cia listes des �tablissements humains, et � encourager la parti cipation des populations � la solution des probl�mes li�s � l�urbanisation et � la pr�servation du cadre b�ti ; (h) au titre du programme x.8 "le patrimoine naturel", (i) � assurer, en liaison avec les activit�s relevant du pro gramme xi.1, la mise en oeuvre de la convention sur la pro tection du patrimoine mondial culturel et naturel en ce qui concerne les aspects relatifs au patrimoine naturel, et � encourager l�adh�sion d�autres etats membres � cette convention ; (i) au titre du programme x.9 "education et information relatives � l�environnement", (i) � poursuivre la diffusion aux sp�cialistes, aux enseignants, aux responsables de l�environnement, aux d�cideurs, ainsi qu�au grand public, notamment par la publication, en cinq langues, du p�riodique trimestriel "nature et ressources", des informations scientifiques relatives � l�environnement et � la gestion des ressources naturelles, obtenues dans le cadre des programmes de l�unesco ; (ii) � poursuivre, en liaison avec les activit�s pertinentes relevant d�autres programmes de l�organisation, la mise en oeuvre du programme international unesco/pnue d��ducation relative � l�environnement, et � continuer de promouvoir le d�veloppement de l��ducation g�n�rale relative � l�environ nement � tous les niveaux du syst�me �ducatif, en parti culier dans l�enseignement sup�rieur et dans l�enseignement technique et professionnel, ainsi que l�information et l��ducation du public ; (iii) � favoriser la prise en consid�ration des probl�mes li�s � l�environnement et de leurs solutions dans la formulation des politiques, des plans et des programmes d��ducation, ainsi que dans la formation des diverses cat�gories de sp�cialistes dont l�activit� peut avoir une influence sur la qualit� de l�environnement ; (commentaire note 18/11/1996 15:16:58 attention! voir corr. � la 3�me page.) 11. invite en outre le directeur g�n�ral, dans la mise en oeuvre de ce grand programme, � veiller � ce que : (a) les activit�s envisag�es au titre des neuf programmes du grand programme x soient r�alis�es d�une mani�re coordonn�e afin de tirer le meilleur parti possible de leur compl�mentarit� et de leur caract�re interdisciplinaire ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines (b) les activit�s soient con�ues de fa�on � contribuer, par l�am�lio ration des connaissances scientifiques, de la formation des sp�cialistes et de l�information du public, � la solution des probl�mes concrets concernant la protection de l�environnement et l�utilisation rationnelle des ressources naturelles ; (c) la coop�ration r�gionale et sous-r�gionale en vue d��tudier des probl�mes communs � plusieurs etats membres et de leur trouver des solutions ad�quates soit encourag�e, gr�ce � la coop�ration tech nique entre pays en d�veloppement et � des op�rations conjointes entre pays en d�veloppement et pays industriels dans ce domaine ; (d) la coop�ration avec les autres organisations comp�tentes du sys t�me des nations unies, ainsi qu�avec les organisations gouverne mentales r�gionales et les organisations internationales non gouvernementales int�ress�es, soit renforc�e ; (e) la coop�ration avec les organismes et programmes de financement soit maintenue, en vue de d�velopper les activit�s op�rationnelles de l�organisation dans les domaines relevant du grand programme x. 10.2 election de membres du conseil intergouvernemental du programme hydrologique international/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant l�article ii des statuts du conseil intergouvernemental du programme hydrologique international qu�elle a approuv�s par sa r�solution 18 c/2.232 et amend�s par ses r�solutions 20 c/36.1 et 23 c/32.1, elit les 16 etats membres ci-apr�s, qui si�geront au conseil intergouverne mental jusqu�� la fin de la vingt-sixi�me session de la conf�rence g�n�rale/2 : belgique maroc suisse br�sil nig�ria tch�coslovaquie cameroun p�rou tunisie chili portugal union des r�publiques ghana qatar socialistes sovi�tiques inde su�de 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987. 2. les autres membres du conseil intergouvernemental qui ont �t� �lus � la
vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingt-cinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : r�publique f�d�rale d�allemagne, argentine, canada, chine, costa rica, guin�e, irak, jamahiriya arabe libyenne, japon, malaisie, pays-bas, r�publique centrafricaine, r�publique populaire d�mocratique de cor�e, yougoslavie.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines 10.3 election de membres du conseil international de coordination du programme sur l�homme et la biosph�re/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant l�article ii des statuts du conseil international de coordination du programme sur l�homme et la biosph�re qu�elle a approuv�s par sa r�solution 16 c/2.313 et amend�s par ses r�solutions 19 c/2.152, 20 c/36.1 et 23 c/32.1, elit les quatorze etats membres ci-apr�s, qui si�geront au conseil inter national de coordination jusqu�� la fin de la vingt-sixi�me session de la conf�rence g�n�rale/2 : antigua-et-barbuda r�publique islamique r�publique populaire b�nin d�iran d�mocratique de cor�e canada italie togo colombie malaisie union des r�publiques ethiopie mexique socialistes sovi�tiques france nig�ria 10.4 amendements aux articles1,2, 3, 4, 5, 9 et10 des statuts de la commission oc�anographique intergouvernementale/3 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� les amendements aux statuts de la commission oc�anographique intergouvernementale (coi) recommand�s par l�assembl�e de la coi � sa quatorzi�me session (24 c/101, partie ii) et pris note du rapport du comit� juridique sur ce point (24 c/133), 1. d�cide de modifier comme suit les statuts de la commission oc�ano
graphique intergouvernementale : 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987. 2. les autres membres du conseil qui ont �t� �lus � la vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingt-cinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : r�publique f�d�rale d�allemagne, angola, arabie saoudite, autriche, br�sil, chine, congo, egypte, equateur, espagne, finlande, gabon, japon, r�publique socialiste sovi�tique d�ukraine, soudan, tch�coslovaquie. 3. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� juridique � la 36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines article 1, paragraphe 1 "(a) la commission oc�anographique intergouvernementale, ci-apr�s d�nomm�e la commission, est �tablie en tant qu�organe jouissant de l�autonomie fonctionnelle dans le cadre de l�organisation des nations unies pour l��ducation, la science et la culture. (b) elle guide la conception et suit la mise en oeuvre de son programme tel qu�il a �t� approuv� par la conf�rence g�n�rale dans le cadre du budget adopt� par celle-ci." article 1, paragraphe 2 "la commission a pour but de promouvoir la recherche scientifique et les services oc�aniqus connexes, afin d�accro�tre les connaissances relatives � la nature et aux ressources des oc�ans gr�ce � l�action concert�e de ses membres." article 2, paragraphe 1 "(b) elaborer, recommander et coordonner des programmes internationaux de recherche scientifique concernant les oc�ans et les services oc�a niques connexes qui appellent une action concert�e de la part de ses membres. (c) elaborer, recommander et coordonner, en coop�ration avec les organi sations internationales int�ress�es, des programmes internationaux de recherche scientifique concernant les oc�ans et les services oc�a niques connexes qui appellent une action concert�e avec les organi sations int�ress�es. (f) promouvoir et coordonner le d�veloppement des sciences de la mer et de leur technologie ainsi que leur transfert, en particulier aux pays en d�veloppement. (g) formuler des recommandations tendant � renforcer l��ducation et la formation en mati�re de sciences de la mer et de leur technologie, et promouvoir des projets pertinents dans ces domaines en tant que compo santes de chacun de ses programmes. (h) et (i)/1. (j) promouvoir la recherche scientifique concernant les oc�ans et l�appli cation de ses r�sultats au profit de l�humanit� tout enti�re et pr�ter assistance, sur leur demande, aux etats membres d�sireux de coop�rer � ces fins. les activit�s men�es au titre du pr�sent alin�a seront assu jetties, conform�ment au droit international, aux dispositions du
r�gime applicable � la recherche scientifique marine dans les zones relevant de la juridiction nationale. (k) favoriser, planifier et coordonner des syst�mes d�observation et de surveillance continue, portant sur les propri�t�s et la qualit� du milieu marin, ainsi que l��laboration et la diffusion de donn�es et d�informations oc�anographiques trait�es, et d��tudes de l��tat du milieu marin. 1. ces alin�as reprennent le texte des anciens alin�as (g) et (h) des statuts.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 10 environnement humain et ressources terrestres et marines (1) promouvoir, recommander et coordonner, avec des organisations inter nationales, selon le cas, la mise au point de normes, mat�riels de r�f�rence et nomenclatures destin�s � �tre utilis�s dans les sciences de la mer et les services oc�aniques connexes. (m) entreprendre, le cas �ch�ant, toute autre action compatible avec son but et ses fonctions en ce qui concerne la recherche scientifique sur l�oc�an et ses interfaces." article 2, paragraphe 2 "la commission, en s�acquittant de ses fonctions, tient compte des besoins et int�r�ts sp�ciaux des pays en d�veloppement et, en particulier, de la n�cessit� de d�velopper les moyens de ces pays dans le domaine des sciences de la mer et de la technologie marine." article 2, paragraphe 3 "rien dans le pr�sent article n�implique une prise de position de la part de la commission sur la nature ou l��tendue de la juridiction des etats c�tiers en g�n�ral ou d�un etat c�tier en particulier." article 3 "1. la commission veille particuli�rement � servir les fins des organi sations internationales avec lesquelles elle collabore. inversement, la commission peut demander � ces organisations de tenir compte de ses besoins dans la pr�paration et l�ex�cution de leurs propres programmes. 2. la commission peut �galement jouer le r�le d�un m�canisme sp�cialis� commun des organisations du syst�me des nations unies qui ont accept� de charger la commission d�assumer certaines de leurs responsabilit�s dans les domaines des sciences de la mer et des services oc�aniques, et ont accept�, par cons�quent, d�appuyer l�action de la commission." article 4, paragraphe 3 "3. tout etat membre de la commission peut s�en retirer en adressant une notification � cet effet au directeur g�n�ral de l�unesco. la date de cette notification est celle de sa r�ception par le directeur g�n�ral. la notification prend effet le premier jour de la session ordinaire de l�assembl�e qui suit la date de notification de retrait, si la notifi cation est donn�e un an au moins avant le premier jour de ladite session ; si la notification de retrait est donn�e moins d�un an avant
le premier jour de ladite session, elle prend effet un an apr�s la date de notification de retrait." article 5, paragraphe 4 "4. a chacune des sessions ordinaires, l�assembl�e �lit, en tenant compte des principes de la r�partition g�ographique : (a) un pr�sident et quatre vice-pr�sidents, qui constituent le bureau de la commission, de son assembl�e et de son conseil ex�cutif ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir (b) un certain nombre d�etats membres au conseil ex�cutif, ce nombre ne pouvant exc�der le quart du nombre des etats membres de la commission ; chacun des etats membres ainsi �lus d�signe son repr�sentant au conseil ex�cutif." article 9, paragraphe 1 "1. compte d�ment tenu des dispositions applicables du statut et du r�gle ment du personnel de l�organisation des nations unies pour l��ducation, la science et la culture, le secr�tariat de la commission comprend, outre le secr�taire et tout autre personnel qui pourrait �tre n�ces saire fournis par l�organisation des nations unies pour l��ducation, la science et la culture, le personnel qui pourrait �tre fourni aux frais de l�organisation int�ress�e par l�organisation des nations unies, l�organisation des nations unies pour l�alimentation et l�agriculture, l�organisation m�t�orologique mondiale, l�organisation maritime inter nationale et d�autres organisations du syst�me des nations unies." article 10, paragraphe 2 "2. les d�penses de la commission sont couvertes par des cr�dits que la conf�rence g�n�rale de l�unesco ouvre � cet effet, par des contribu tions d�etats membres de la commission qui ne sont pas membres de l�unesco, ainsi que par toutes ressources suppl�mentaires qui seraient fournies par d�autres organisations du syst�me des nations unies ou par des etats membres, ou qui proviendraient d�une autre source." 11 la culture et l�avenir1 11.1 grand programme xi "la culture et l�avenir" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/11, 22 c/11.1 et 23 c/11.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme xi "la culture et l�avenir", consid�rant les dispositions pertinentes des divers instruments interna tionaux et des r�solutions de la conf�rence g�n�rale auxquelles il est fait r�f�rence dans les r�solutions mentionn�es ci-dessus, rappelant la d�claration de mexico et les recommandations adopt�es par la conf�rence mondiale sur les politiques culturelles (mexico, 1982),
prenant note de la r�solution 41/187 par laquelle l�assembl�e g�n�rale des nations unies, � sa quarante et uni�me session, a proclam� la p�riode 1988-1997 d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, laquelle sera c�l�br�e sous les auspices conjoints de l�organi sation des nations unies et de l�unesco, 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission iv � la 37e s�ance pl�ni�re, le 20 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir rappelant l�importance du grand programme xi pour l�accomplissement de la cinqui�me mission assign�e � l�unesco dans le deuxi�me plan � moyen terme ainsi que pour la mise en oeuvre du programme d�action de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, ayant pr�sentes � l�esprit les recommandations de la conf�rence mondiale charg�e d�examiner et d��valuer les r�sultats de la d�cennie des nations unies pour la femme : �galit�, d�veloppement et paix (nairobi, 1985), qui ont �t� appuy�es par l�assembl�e g�n�rale lors de sa quaranti�me session (1985), 1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme xi "la culture et l�avenir" ; 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme xi.1 "patrimoine culturel", (i) � mettre au point un plan d�cennal d�action pour la pr�ser vation et la mise en valeur, dans les diff�rentes aires g�o culturelles, du patrimoine non physique sous ses diff�rentes formes, notamment celles qui sont menac�es de disparition, � promouvoir � cet effet la collecte et la diffusion, par voie de publications ou par des moyens audiovisuels, des tradi tions non verbales et des traditions orales, et � encourager l�inventaire, l�enregistrement et la transcription des langues non encore dot�es d�un alphabet, peu r�pandues ou peu �tudi�es ; (ii) � promouvoir l�extension de l�application des conventions et recommandations internationales relatives � la protection et � la pr�servation du patrimoine culturel ; (iii) � poursuivre les activit�s op�rationnelles pour la sauve garde du patrimoine culturel immobilier, en particulier dans le cadre des campagnes internationales de pr�servation et de mise en valeur des monuments, ensembles et sites historiques consid�r�s comme des �l�ments essentiels du patrimoine commun de l�humanit�, et � mobiliser la solidarit� inter nationale � cet effet ; (iv) � contribuer au renforcement des infrastructures de pr�ser vation et de pr�sentation du patrimoine culturel mobilier et � encourager les n�gociations bilat�rales pour le retour ou la restitution de biens culturels � leur pays d�origine, en particulier pour le retour d��l�ments appartenant � des collections culturelles dont la plus grande partie est rest�e dans le pays d�origine ; (v) � promouvoir la formation des personnels sp�cialis�s dans le domaine de l�inventaire, de la pr�servation et de la mise en valeur du patrimoine culturel et � contribuer au renforce ment d�infrastructures de formation ;
(vi) � encourager les �changes internationaux d�informations entre sp�cialistes et � sensibiliser le public, en parti culier les jeunes, � l�importance qu�ilya� pr�server et � mettre en valeur le patrimoine ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir (b) au titre du programme xi.2 "identit� culturelle et relations interculturelles", (i) � approfondir la connaissance des diff�rentes cultures et � stimuler l�expression des identit�s culturelles, notamment en poursuivant l��laboration d�une nouvelle �dition de l�histoire du d�veloppement scientifique et culturel de l�humanit�, la r�daction et la diffusion, par les moyens les plus appropri�s (livres, cassettes, etc.), d�histoires r�gionales telles que l�histoire g�n�rale de l�afrique, de l�am�rique latine, des cara�bes et de l�asie centrale, et l�ouvrage sur les diff�rents aspects de la culture isla mique, et en renfor�ant les �tudes et recherches historiques sur diverses aires g�oculturelles ; (ii) � promouvoir l�appr�ciation mutuelle des cultures par la diffusion d�oeuvres litt�raires et de traditions orales, par la production et la diffusion de disques et de cassettes de musique traditionnelle, par la r�alisation d�expositions et d�albums d�art, par la stimulation des �changes culturels, par l�encouragement � la traduction d�oeuvres litt�raires, scientifiques ou autres et par une coop�ration accrue avec les organisations internationales non gouvernementales, en accordant une attention sp�ciale aux contributions artis tiques des femmes ; (c) au titre du programme xi.3 "cr�ation et cr�ativit�", (i) � promouvoir la cr�ation traditionnelle et contemporaine dans les diff�rentes disciplines artistiques telles que la musique, la danse, le th��tre, la litt�rature, les arts plastiques et le cin�ma, et � mettre au point un programme d�action pour le d�veloppement de l�artisanat ; (ii) � contribuer au renforcement des capacit�s nationales et r�gionales de formation initiale et continue des artistes et des artisans, compte tenu des besoins sp�cifiques des femmes, en encourageant notamment l�utilisation des nouvelles technologies et de l�audiovisuel pour la cr�ation artistique ; (iii) � coop�rer avec les cr�ateurs et leurs organisations en vue de la mise en oeuvre de la d�cennie mondiale du d�veloppe ment culturel, � encourager l�application de la recommanda tion relative � la condition de l�artiste (belgrade, 1980), � contribuer � faire mieux conna�tre les nouvelles formes de la cr�ation contemporaine, gr�ce � l��laboration d�ouvrages de r�f�rence, et � stimuler les rencontres entre artistes et interpr�tes dans le cadre notamment de la coop�ration avec les organisations internationales non gouvernementales ; (d) au titre du programme xi.4 "d�veloppement culturel et politiques culturelles",
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir (i) � favoriser la prise en consid�ration de la dimension culturelle dans les processus de d�veloppement, tant par des activit�s de recherche et d��changes d�informations que par le soutien apport� � l��laboration de strat�gies et projets de d�veloppement ; (ii) � stimuler la participation active du plus grand nombre � la vie culturelle, sans oublier les groupes de population les plus d�munis, en apportant notamment un soutien aux etats membres pour l��laboration, la mise en oeuvre et l��valuation de politiques et de projets de d�veloppement culturel et en favorisant la diffusion et l��change d�informations culturelles ; (iii) � contribuer au renforcement des capacit�s de formation des personnels du d�veloppement culturel, en aidant � l��laboration de programmes et de mat�riels p�dagogiques, � l�organisation de sessions et de fili�res de formation ou de perfectionnement ainsi qu�� la sensibilisation des agents du d�veloppement aux aspects culturels de leurs t�ches ; (iv) � promouvoir la coop�ration culturelle internationale, en stimulant et en coordonnant les initiatives qui seront prises par les etats membres, les institutions du syst�me des nations unies et les organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales, en vue de mettre en oeuvre le programme d�action de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel ; (e) au titre lecture", du programme xi.5 "d�veloppement du livre et de la (i) � encourager la formulation et la mise en oeuvre de strat�gies int�gr�es de d�veloppement des industries du livre, notamment dans les pays qui en sont d�pourvus, ainsi qu�� renforcer les m�canismes de coop�ration internationale et interprofessionnelle dans le domaine du livre ; (ii) � contribuer au renforcement des moyens de formation � tous les niveaux et dans tous les m�tiers du livre ; (iii) � encourager le d�veloppement des habitudes de lecture, en particulier chez les jeunes et les femmes des zones rurales ainsi que dans les groupes de population les plus pauvres ; 3. prie le directeur g�n�ral d�accorder, dans vit�s, une attention particuli�re : l�ex�cution de ces acti(a) � la prise en compte du point de vue et des aspirations des femmes dans toutes les activit�s, en particulier dans celles qui sont entreprises au titre de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, � la fois dans le domaine de la formulation des politiques et dans le cadre de projets concrets, en soulignant la n�cessit� de faire conna�tre la contribution sp�cifique que les femmes apportent � la vie culturelle et de rechercher les moyens
de leur assurer la place qui leur revient comme b�n�ficiaires et comme agents du d�veloppement culturel et de la coop�ration culturelle internationale ; 91
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir (b) � l��tablissement d�une �troite coop�ration avec les instances nationales et les organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales concern�es par la mise en oeuvre de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, y compris les orga nismes d�aide au d�veloppement ; (c) au renforcement du fonds international pour la promotion de la culture et � l��largissement de son action en faveur de projets novateurs et exp�rimentaux se rapportant � la promotion des cultures, � la cr�ation artistique et � la coop�ration culturelle r�gionale et internationale ; (d) � la promotion de la coop�ration culturelle internationale dans l�esprit de la d�claration des principes de la coop�ration cultu relle internationale, adopt�e par la conf�rence g�n�rale � sa quatorzi�me session. 11.2 contribution de l�unesco � l�application et � la mise en oeuvre des dispositions de la convention de la haye de 1954 en vue de la protection des biens culturels, des �tablissements �ducatifs et des monuments historiques, ainsi que de la pr�servation de l�environnement humain et naturel en cas de conflit arm� la conf�rence g�n�rale, consid�rant qu�il appartient � l�unesco, en vertu de son acte constitutif, de contribuer � la paix et de promouvoir la protection et la conservation du patrimoine culturel, constatant que les biens culturels subissent de graves dommages au cours de conflits arm�s et que les atteintes port�es aux biens culturels, � quelque peuple qu�ils appartiennent, constituent des atteintes au patrimoine culturel de l�humanit� tout enti�re, rappelant les objectifs de la convention pour la protection des biens culturels en cas de conflit arm� (la haye, 1954), rappelant les engagements des hautes parties contractantes, tels qu�ils sont �nonc�s dans cette convention, 1. r�affirme le r�le de l�unesco en ce qui concerne l�application de la convention, tel qu�il est �nonc� dans les articles pertinents de la convention et de son r�glement d�ex�cution ; 2. invite le directeur g�n�ral � approfondir l��tude des m�canismes de mise en oeuvre des articles susmentionn�s de la convention de la haye, ainsi que de son r�glement d�ex�cution, de fa�on � contribuer � la r�alisation des objectifs de cette convention.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir 11.3 rapports des etats sur les mesures qu�ils ont adopt�es pour donner suite � la convention concernant les mesures � prendre pour interdire et emp�cher l�importation, l�exportation et le transfert de propri�t� illicites des biens culturels (1970) la conf�rence g�n�rale, ayant examin� les rapports des etats sur les mesures qu�ils ont adopt�es pour donner suite � la convention concernant les mesures � prendre pour interdire et emp�cher l�importation, l�exportation et le transfert de propri�t� illicites des biens culturels (1970), reconnaissant l�importance et la valeur des mesures prises pour donner suite � la convention, telles qu�elles sont expos�es dans les rapports communiqu�s, constatant toutefois qu�au 24 septembre 1987, 60 etats seulement ont d�pos� leur instrument de ratification ou d�acceptation de la convention, ce qui limite sa port�e effective, consid�rant que la lutte contre le trafic illicite des biens culturels doit �tre renforc�e d�urgence aux niveaux national et international, 1. renouvelle les invitations qu�elle a adress�es aux etats dans sa r�solution 22 c/11.4 concernant les mesures � prendre pour ren forcer la lutte contre le trafic illicite des biens culturels aux niveaux international et national et, en particulier, l�invitation aux etats qui ne le sont pas encore � devenir parties � la convention ; 2. appelle l�attention de tous les etats sur l�importance de l��tablis sement d�inventaires nationaux des biens culturels et de la for mation de personnel sp�cialis� pour une protection satisfaisante du patrimoine culturel et invite le directeur g�n�ral � fournir aux etats toute l�assistance possible � cette fin ; 3. invite les etats dont le territoire est souvent le lieu de destination des biens culturels export�s illicitement et qui n�ont pas encore ratifi� la convention � examiner les syst�mes adopt�s par certains etats parties pour r�glementer l�importation des biens culturels ; 4. invite chaque etat � faciliter la circulation rapide, le cas �ch�ant par l�interm�diaire des organisations internationales comp�tentes, de toutes les informations utiles qui pourraient contribuer � la r�pression du trafic illicite des biens culturels et, notamment, dans la mesure du possible, de listes d�objets vol�s ; 5. invite les etats et le directeur g�n�ral � poursuivre les activit�s
visant � renforcer la coop�ration r�gionale dans ce domaine ; 6. recommande aux etats d�envisager la possibilit� de conclure des accords bilat�raux pour la restitution de biens culturels export�s illicitement ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir 7. invite les etats membres et les autres etats parties � la convention � lui adresser, pour examen � sa vingt-huiti�me session, un nouveau rapport sur les mesures qu�ils ont adopt�es pour donner suite � la convention. 11.4 strat�gie pour le programme des campagnes internationales de sauvegarde la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/104 et, en particulier, le projet de strat�gie pour le programme des campagnes internationales de sauvegarde expos� � l�annexe ii du document 126 ex/20, ayant pris acte de la d�cision du conseil ex�cutif d�approuver la strat�gie pour le programme des campagnes internationales de sauvegarde et du fait qu�il a invit� les etats membres � contribuer pleinement, dans la mesure de leurs moyens, � l�organisation et � la r�ali sation des diff�rentes campagnes internationales, tenant d�ment compte du fait qu�un certain nombre d�etats membres ne sont pas parties � la convention pour la protection du patrimoine mondial culturel et naturel et qu�il est souhaitable de ne pas accepter de nouvelles campagnes internationales tant que les travaux correspondant aux �tapes v et vi du plan du directeur g�n�ral pour la mise en oeuvre des recommandations de l��tude en profondeur concernant les campagnes internationales n�auront pas �t� achev�s, 1. d�cide d�adopter la strat�gie pour le programme des campagnes inter nationales de sauvegarde en tant que document d�orientation destin� � guider les etats membres et le secr�tariat dans la gestion et l�organisation des campagnes internationales de sauvegarde des �l� ments significatifs du patrimoine culturel commun de l�humanit� ; 2. invite tous les etats membres et le directeur g�n�ral � appliquer les dispositions pr�vues dans la strat�gie � toutes les campagnes internationales de sauvegarde en cours et � venir. 11.5 election des membres du comit� ex�cutif de la campagne inter nationale pour la cr�ation du mus�e de la nubie � Assouan et du mus�e national de la civilisation �gyptienne au caire/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�solution 21 c/4/11 par laquelle elle a approuv� l��tablis sement du comit� ex�cutif de la campagne internationale pour la cr�ation du mus�e de la nubie � Assouan et du mus�e national de la
civilisation �gyptienne au caire, 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir elit les 15 etats membres ci-apr�s pour faire partie du comit� : r�publique f�d�rale c�te d�ivoire japon d�allemagne egypte pays-bas antigua-et-barbuda france s�n�gal argentine gr�ce soudan belgique italie su�de tch�coslovaquie 11.6 j�rusalem et la mise en oeuvre de la r�solution 23 c/11.3 la conf�rence g�n�rale, rappelant les dispositions de l�acte constitutif de l�unesco relatives � la conservation, � la protection et au respect du patrimoine naturel et des biens culturels, en particulier des biens pr�sentant une valeur universelle exceptionnelle, rappelant la convention et le protocole de la haye de 1954 concernant la protection des biens culturels en cas de conflit arm�, rappelant que l�occupation militaire isra�lienne et le statut actuel de la ville de jirusalem comportent des menaces pour la sauvegarde de sa vocation essentielle, ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral relatif � cette question (24 c/15 et add.) et pris note des r�sultats enregistr�s dans le rapport de synth�se du professeur lemaire, constatant que des faits r�cents ont suscit� l�inqui�tude r�elle des hautes autorit�s et de la population palestinienne de j�rusalem qui estiment que les mesures prises par l�administration d�occupation pour �viter que ces faits se r�p�tent ne constituent pas toujours une garantie suffisante et durable, r�affirmant le r�le unique dans l�histoire de l�humanit� de la ville de j�rusalem et, en cons�quence, la n�cessit� et l�urgence de prendre toutes mesures appropri�es en vue de sauvegarder son caract�re culturel, son homog�n�it� et sa valeur universelle irrempla�able,
1. rappelle et r�affirme ses pr�c�dentes r�solutions telles qu�elles les a adopt�es, qui visent � garantir la sauvegarde de toutes les valeurs spirituelles, culturelles, historiques et autres de la ville sainte ; 2. d�plore que des agressions et des tentatives d�agression aient �t� perp�tr�es contre des lieux saints de l�islam, ce qui constitue une atteinte grave � la vocation oecum�nique de la ville ; 3. d�plore que le patrimoine monumental et le site historique traditionnel de la ville aient subi des destructions et des modifications au cours de l�occupation ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir 4. remercie le directeur g�n�ral pour tous les efforts entrepris en vue d�assurer l�application des d�cisions et r�solutions de l�unesco ; 5. attire � nouveau et de fa�on pressante l�attention de la communaut� internationale sur l��tat de d�gradation du patrimoine culturel et religieux islamique qui appartient au waqf et invite les etats membres, les fondations et les particuliers � soutenir les efforts financiers du waqf pour entretenir et restaurer ce patrimoine ; 6. invite le directeur g�n�ral � continuer la stricte application des d�cisions et r�solutions de l�unesco relatives � la sauvegarde du patrimoine culturel de j�rusalem, tant que durera l�occupation de la ville ; 7. d�cide d�inscrire cette question � l�ordre du jour de sa vingtcinqui�me session en vue de prendre les d�cisions que la situation exigerait � cette date. 11.7 election de membres du comit� intergouvernemental pour la promotion du retour de biens culturels � leur pays d�origine ou de leur restitution en cas d�appropriation ill�gale/1 la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�olution 20 c/4/7.6/5, par laquelle elle a approuv� les statuts du comit� intergouvernemental pour la promotion du retour de biens culturels � leur pays d�origine ou de leur restitution en cas d�appropriation ill�gale, elit, conform�ment � l�article 2 des statuts, les dix etats membres ci-apr�s pour faire partie du comit�/2 : canada liban r�publique dominicaine gabon nig�ria turquie gr�ce r�publique d�mocratique zambie r�publique islamique allemande d�iran 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987. 2. les autres membres du comit� qui ont �t� �lus � la vingt-troisi�me session et dont le mandat viendra � expiration � la fin de la vingtcinqui�me session de la conf�rence g�n�rale sont les suivants : australie, c�te d�ivoire, egypte, guatemala, kampuchea d�mocratique,
mexique, ouganda, p�rou, r�publique d�mocratique populaire lao, union des r�publiques socialistes sovi�tiques.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir 11.8 pr�servation et diffusion des manuscrits d�oeuvres litt�raires contemporaines la conf�rence g�n�rale, rappelant la recommandation n� 61 relative aux manuscrits d�auteurs contemporains adopt�e par la conf�rence mondiale sur les politiques culturelles (mondiacult, mexico, 1982), convaincue que les manuscrits font partie du patrimoine culturel et que leur sauvegarde doit �tre assur�e aux niveaux national et international, constatant que la conservation et la pr�servation de ces manuscrits posent des probl�mes qui ne cessent de s�aggraver, notant que ces probl�mes affectent plus particuli�rement les manuscrits des xixe et xxe si�cles en raison, notamment, de la g�n�ralisation des nouvelles techniques de fabrication de leur support, consid�rant que cette situation pr�sente un caract�re d�urgence dans le cas des pays en d�veloppement, pr�occup�e par l�absence au niveau international d�instruments juridiques sp�cifiques permettant d�assurer la protection et la conservation des manuscrits, notant avec satisfaction que, dans le cadre du programme ordinaire approuv� par la conf�rence g�n�rale � sa vingt-troisi�me session, un colloque sur la sauvegarde de la m�moire �crite des xixe et xxe si�cles s�est tenu � Paris en septembre 1987, organis� par l�association archives de la litt�rature latino-am�ricaine, des cara�bes et africaine du xxe si�cle (allca xxe si�cle), avec la participation de 60 sp�cialistes et responsables de biblioth�ques nationales de 22 pays, notant qu�� l�issue de ce colloque les biblioth�ques nationales de dix etats membres et l�association allca xxe si�cle ont sign�, � cette occasion, un premier accord de coop�ration portant sur la pr�servation et la diffusion des manuscrits litt�raires contemporains,
convaincue que la pr�servation et la diffusion des manuscrits des xixe et xxe si�cles peuvent devenir un champ privil�gi� et exemplaire de la coop�ration culturelle internationale et jouer un r�le important dans l�affirmation des identit�s culturelles, 1. f�licite le directeur g�n�ral pour les efforts pr�liminaires r�alis�s dans la recherche de solutions � ces probl�mes ; 2. adresse un pressant appel aux etats membres, aux institutions publiques et priv�es ainsi qu�aux personnes physiques pour qu�ils apportent leur concours intellectuel, technique et financier � cette action internationale de sauvegarde ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir 3. prie le directeur g�n�ral de bien vouloir poursuivre la coop�ration entreprise avec l�association allca xxe si�cle ; 4. prie le directeur g�n�ral de continuer � apporter le soutien de l�organisation aux efforts entrepris en vue de l�am�lioration des instruments institutionnels et juridiques concernant la sauvegarde des manuscrits des xixe et xxe si�cles, partie int�grante du patrimoine culturel. 11.9 c�l�bration du 600e anniversaire de la mort de khajeh chamsoddine mohammad hafez chirazi la conf�rence g�n�rale, consid�rant que la c�l�bration internationale des anniversaires d��minentes personnalit�s intellectuelles et culturelles contribue � la r�alisation des objectifs de l�unesco, ainsi qu�� la compr�hension internationale, rappelant sa r�solution 18 c/4.351 concernant la c�l�bration d�anniver saires de personnalit�s �minentes qui ont marqu� le d�veloppement de l�humanit�, ayant � l�esprit la d�cision 127 ex/9.3 du conseil ex�cutif relative � la c�l�bration du 600e anniversaire de la mort du po�te iranien khajeh chamsoddine mohammad hafez chirazi, consid�rant la haute importance de l�oeuvre de khajeh chamsoddine mohammad hafez chirazi et l�influence �norme qu�elle a exerc�e sur la litt�rature persane ainsi que sur d�autres cultures et litt� ratures mondiales, connaissant toute l�estime que portent � Hafez ceux des pays et peuples qui sont familiers avec la langue et la litt�rature persanes, rappelant que l�ann�e 1988 correspond au 600e anniversaire de la mort de l�illustre po�te, 1. prie le directeur g�n�ral d�associer l�unesco, dans les limites du budget indiqu� dans le document 24 c/5, � la c�l�bration de cet anniversaire ; 2. recommande aux pays membres de l�unesco qui s�int�ressent � l�oeuvre et � la vie de hafez de c�l�brer sa m�moire par tous les moyens dont ils disposent.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir 11.10 c�l�bration du centenaire de la naissance de fernando pessoa la conf�rence g�n�rale, consid�rant que la c�l�bration internationale des anniversaires des grandes personnalit�s dans les domaines intellectuel, moral et culturel contribue � la r�alisation des objectifs de l�unesco, au renfor cement de la compr�hension entre les peuples et au rapprochement des cultures, rappelant sa r�solution 18 c/4.351 dans laquelle elle a soulign� l�impor tance que pr�sente la c�l�bration de ces anniversaires pour faire conna�tre les personnalit�s qui marquent le d�veloppement de l�humanit�, rappelant que 1988 est l�ann�e du centenaire de la naissance du po�te et �crivain portugais fernando pessoa, consid�rant que par ses �crits, trilingues et traduits dans presque toutes les langues, fernando pessoa a contribu� au d�passement des limitations nationales, linguistiques et raciales, atteignant une capacit� de repr�sentation universelle, rappelant que son r�ve d�une fraternit� spirituelle entre les hommes n�est pas loin de l�id�al de coop�ration entre tous les peuples dont se fait l��cho l�acte constitutif de l�unesco, se f�licitant de la d�cision d�inclure le po�me mensagem dans la collec tion des oeuvres repr�sentatives de la litt�rature mondiale de l�unesco, 1. demande aux etats membres de veiller � ce que le centenaire de pessoa soit comm�mor� de fa�on appropri�e, notamment en fournissant un appui aux organisations non gouvernementales internationales et aux associations culturelles nationales ; 2. demande au directeur g�n�ral : (a) de promouvoir, dans le cadre des activit�s culturelles organis�es au si�ge, une c�r�monie comm�morative du centenaire de fernando pessoa avec le concours de la d�l�gation permanente du portugal aupr�s de l�unesco ; (b) d�encourager et d�appuyer les organisations non gouvernementales d�sireuses de participer � cette comm�moration.
11.11 mouvement "drapeau de la paix" la conf�rence g�n�rale, rappelant que d�apr�s son acte constitutif, l�unesco est appel�e � favo riser la connaissance et la compr�hension mutuelle des nations,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir rappelant que dans la recommandation n� 170, la conf�rence mondiale sur les politiques culturelles (mondiacult) a invit� l�unesco et les etats membres � soutenir le mouvement "drapeau de la paix", rappelant �galement la r�solution 23 c/26.1 dans laquelle la conf�rence g�n�rale a notamment consid�r� que les rencontres dans les domaines de la musique et des beaux-arts et dans d�autres domaines culturels au sens le plus large contribuent au renforcement de la compr�hension internationale, notant la d�cision prise par l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa 41e session de proclamer la p�riode 1988-1997 "d�cennie mondiale du d�veloppement culturel", consid�rant que deux des grands objectifs de la d�cennie sont l��lar gissement de la participation � la vie culturelle et la promotion de la coop�ration internationale, 1. invite les etats membres, l�unesco et les organisations internationales non gouvernementales � renforcer, dans le cadre de la d�cennie mondiale, leur coop�ration avec le mouvement "drapeau de la paix", notamment en ce qui concerne ses manifestations internationales dont l�esprit et les id�es sont enti�rement conformes aux nobles id�aux de l�unesco ; 2. invite le directeur g�n�ral � associer l�unesco aux initiatives du mouvement "drapeau de la paix" dans le cadre des activit�s de programme relatives � la d�cennie mondiale pour le d�veloppement culturel. 11.12 d�cennie mondiale du d�veloppement culturel la conf�rence g�n�rale, rappelant la recommandation n� 27 adopt�e par la conf�rence mondiale sur les politiques culturelles (mexico, 1982), la r�solution 23 c/11.10 de la conf�rence g�n�rale sur la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel et la r�solution 41/187 par laquelle l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa quarante et uni�me session a proclam� cette d�cennie, tenant compte du paragraphe 3 (b) de la r�solution 23 c/11.10 dans lequel la conf�rence g�n�rale a invit� les etats membres "� promouvoir toutes formes de coop�ration r�gionale et interr�gionale afin de favoriser, en collaboration avec les organisations r�gionales et internationales comp�tentes, le renforcement de la coop�ration culturelle internationale et l��mergence de strat�gies nouvelles
pour le d�veloppement", consciente du r�le �minent que la prise en consid�ration de la dimension culturelle du d�veloppement, l�affirmation et l�enrichissement des identit�s culturelles, l��largissement de la participation � la vie culturelle et la promotion de la coop�ration culturelle 100
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir internationale peuvent jouer pour le d�veloppement dans son ensemble et, de fa�on g�n�rale, pour la mise en oeuvre du programme de l�unesco, consciente de la n�cessit� de faire converger et de concentrer les activit�s pertinentes du programme de l�unesco sur les objectifs majeurs de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, consciente de la t�che importante que repr�sente la coordination des diff� rentes activit�s des etats membres, des activit�s interinstitu tions et des activit�s des organisations intergouvernementales et non gouvernementales, se f�licitant notamment des r�sultats de la r�union des commissions natio nales pour l�unesco de la r�gion europe tenue � Budapest du 24 au 27 juin 1987 en vue de formuler des propositions relatives � des activit�s et projets conjoints, r�gionaux ou interr�gionaux, qui pourraient �tre r�alis�s avec la participation des etats membres europ�ens de l�unesco, 1. invite les etats membres : (a) � poursuivre, � intensifier et � multiplier leurs efforts en vue de contribuer d�une mani�re efficace � la prise en compte de la dimension culturelle du d�veloppement, � l�affirmation et � l�enrichissement des identit�s culturelles, � l��largissement de la participation � la vie culturelle et au renforcement de la paix et de la compr�hension entre les peuples par la promotion de la coop�ration culturelle internationale ; (b) � mettre en oeuvre, � cet effet, aux niveaux national, r�gional et international, des activit�s et des projets significatifs, con�us dans une approche interdisciplinaire, ayant un caract�re novateur et un effet durable et multiplicateur, correspondant aux probl�mes prioritaires de leur d�veloppement �conomique, social et culturel et impliquant la participation active des cr�ateurs et des populations ; (c) � assurer dans ce but les moyens n�cessaires, notamment par l�uti lisation rationnelle et coordonn�e des ressources humaines et financi�res disponibles ; (d) � apporter leur collaboration active � la mise en oeuvre des acti vit�s sp�cifiques pr�vues dans le programme ordinaire de l�unesco au titre de la contribution de l�organisation � la d�cennie ; (e) � promouvoir leur contribution � la d�cennie en cr�ant des comit�s nationaux ainsi qu�il est propos� dans le programme d�action de la d�cennie ; (f) � coop�rer avec le comit� intergouvernemental pour la d�cennie en
vue de coordonner et d��valuer, par l�interm�diaire de cet organe, la r�alisation des quatre objectifs principaux de la d�cennie ; 2. invite le directeur g�n�ral : (a) � prendre les mesures n�cessaires, dans le cadre du programme ordinaire et du programme de participation ainsi que des projets
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir extrabudg�taires, en vue d�apporter, par l�interm�diaire des divers grands programmes de l�unesco, un soutien efficace aux initiatives prises par les etats membres en vue de la mise en oeuvre du programme d�action de la d�cennie ; (b) � accorder une attention particuli�re, dans ce cadre, � l�appui aux projets conjoints des commissions nationales pour l�unesco ; (c) � veiller, lors de l��laboration du troisi�me plan � moyen terme, � l�harmonisation des objectifs de ce plan avec ceux de la d�cennie ; (d) � renforcer le secr�tariat permanent de la d�cennie de mani�re � le rendre apte � coordonner les activit�s des secteurs de l�unesco et � coop�rer �troitement avec le comit� intergouvernemental. 11.13 cr�ation du comit� intergouvernemental pour la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel la conf�rence g�n�rale, rappelant l�adoption par l�assembl�e g�n�rale des nations unies, � sa 41e session, de la r�solution 41/187, par laquelle, "prenant note du projet de programme d�action que le directeur g�n�ral de l�unesco a propos� pour la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel", elle a proclam� "la p�riode 1988-1997 d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, plac�e sous les auspices des nations unies et de l�unesco", rappelant �galement la d�cision 124 ex/5.4.1 par laquelle le conseil ex� cutif a approuv� notamment les propositions du directeur g�n�ral concernant les m�canismes � mettre en place en vue d�assurer la coordination de la mise en oeuvre du programme d�action, soulignant que, dans le programme d�action (124 ex/18), figurait la propo sition de cr�er un comit� intergouvernemental charg� d�assurer le suivi et l��valuation de la mise en oeuvre du programme, rappelant que le conseil ex�cutif, dans sa d�cision 126 ex/5.4.5, a pris note avec satisfaction du rapport pr�sent� par le directeur g�n�ral sur le projet de cr�ation de ce comit� et du projet de statuts annex� � ce rapport (126 ex/24), 1. d�cide de cr�er ce comit� et en approuve les statuts annex�s � la pr�sente r�solution ; 2. elit/1, conform�ment aux dispositions du paragraphe 1 de l�article ii
des statuts du comit� intergouvernemental pour la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, les etats membres ci-apr�s pour si�ger au comit� : 1. cette partie de la r�solution a �t� adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir r�publique f�d�rale d�allemagne angola antigua-et-barbuda argentine autriche b�nin cameroun colombie congo cuba egypte finlande france guatemala hongrie inde ripublique islamique d�iran italie jamahiriya arabe libyenne japon kenya kowe�t luxembourg maurice n�pal
3. d�cide/1, conform�ment aux dispositions philippines pologne portugal r�publique arabe syrienne r�publique centrafricaine r�publique populaire d�mocratique de cor�e r�publique-unie de tanzanie union des r�publiques socialistes sovi�tiques venezuela y�men zambie du paragraphe 3 de l�ar ticle ii des statuts du comit�, que le mandat des membres ci-apr�s du comit� expirera � l�issue de la vingt-cinqui�me session de la conf�rence g�n�rale : r�publique f�d�rale egypte d�allemagne angola b�nin colombie congo cuba hongrie r�publique islamique d�iran italie jamahiriya arabe libyenne kenya luxembourg n�pal portugal r�publique centrafricaine r�publique populaire
d�mocratique de cor�e venezuela annexe -statuts du comit� intergouvernemental pour la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel article premier : cr�ation il est cr��, pour une dur�e de dix ans, au sein de l�unesco, un comit� intergouvernemental pour la d�cen nie mondiale du d�veloppement culturel, ci-apr�s d�nomm� "le comit�". article ii : composition 1. le comit� est compos� de 36 etats membres de l�unesco �lus par la conf�rence g�n� rale, sur la base d�une r�par tition g�ographique �quitable selon un roulement appropri�. 2. le mandat des membres du comit� prend effet � la fin de la session ordinaire de la conf� rence g�n�rale au cours de laquelle ils sont �lus et se termine � la fin de la deuxi�me session ordinaire suivante de la conf�rence. 3. nonobstant les dispositions du paragraphe 2 ci-dessus, le man dat de la moiti� des membres d�sign�s lors de la premi�re �lection se termine � la fin de la premi�re session ordi naire de la conf�rence g�n�rale qui suit celle au cours de la quelle ils ont �t� �lus. ces membres sont d�sign�s par tirage au sort effectu� par groupe r�gional, apr�s la premi�re �lection, par le 1. cette partie de la r�solution a �t� adopt�e sur le rapport du comit� des candidatures � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987.
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d�cennie, en formulant conform�ment au programme d�acnotamment toute recommantion de la d�cennie mondiale du dation � ce sujet ; d�veloppement culturel, ainsi que par d�autres partenaires. (b) de r�unir et d�analyser les informations relatives 3. le comit� peut faire appel aux � la mise en oeuvre du avis des organisations interprogramme d�action, en vue nationales non gouvernemend��valuer les r�sultats tales appropri�es avec lesobtenus, d�identifier les quelles l�unesco entretient
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir des relations officielles, de fa�on � s�assurer leur concours actif. article iv : sessions 1. le comit� se r�unit en session pl�ni�re ordinaire une fois tous les deux ans. des sessions extraordinaires peuvent �tre convoqu�es, en accord avec le directeur g�n�ral, compte tenu des ressources disponibles et dans les conditions qui seront pr�cis�es par son r�glement int�rieur. 2. chaque membre du comit� dispose d�une voix ; il peut �tre as sist�, lors des sessions du comit�, par un nombre restreint d�experts ou de conseillers. 3. le comit� adopte son r�glement int�rieur. celui-ci ne doit �tre en contradiction avec aucune des dispositions des pr�sents statuts ni avec celles de l�acte constitutif de l�unesco. article v : bureau 1. au d�but de sa premi�re session et, par la suite, chaque fois que la composition du comit� est modifi�e par la conf�rence g�n�rale, conform�ment � l�ar ticle ii, le comit� �lit un pr�sident, quatre vice-pr�si dents et un rapporteur, qui constituent le bureau du comit�. la composition du bureau devra refl�ter une r�partition g�ographique �qui table. les membres du bureau, qui devront �tre des repr�sen
tants d�etats membres de l�unesco, demeurent en fonc tions jusqu�� l��lection d�un nouveau bureau. 2. le bureau accomplit les fonc tions suivantes : (a) il fixe, en accord avec le directeur g�n�ral, les dates et le lieu des ses sions du comit� conform� ment aux directives g�n� rales �tablies par le comit� ; (b) il pr�pare, en accord avec le directeur g�n�ral, les sessions du comit�, y com pris son ordre du jour provisoire ; (c) il examine la suite donn�e aux recommandations et conclusions du comit� et fait rapport � chaque ses sion du comit� ; (d) il pr�pare pour le comit� les rapports que lui de mande la conf�rence g�n� rale ; (e) il accomplit toutes autres fonctions que le comit� peut lui assigner, dans le cadre des comp�tences de celui-ci. 3. le bureau peut �tre convoqu� dans l�intervalle des sessions du comit�, � la demande du comit� lui-m�me, du directeur g�n�ral ou de la majorit� des membres du bureau. le bureau peut �tre �galement consult� par correspondance par le directeur g�n�ral ou par le pr�sident du comit�. article vi : observateurs 1. les repr�sentants des etats membres et membres associ�s de l�unesco qui ne sont pas mem bres du comit� peuvent assister
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir en qualit� d�observateurs, sans droit de vote, � toutes les r�unions du comit�. le comit� peut inviter des etats non membres de l�unesco, mais membres de l�organisation des nations unies ou d�autres ins titutions du syst�me des nations unies, � envoyer des observateurs � ses r�unions. 2. les repr�sentants de l�organi sation des nations unies et des autres institutions du syst�me des nations unies sont invit�s � participer sans droit de vote � toutes les r�unions du comit�. 3. le comit� fixe les conditions dans lesquelles d�autres orga nisations internationales, gouvernementales ou non gouver nementales, des cat�gories a et b, pourraient �ventuellement �tre invit�es � envoyer des observateurs, sans droit de vote, � ses r�unions, quand des questions pr�cises d�int� r�t commun sont soumises � son examen. article vii : secr�tariat 1. le secr�tariat du comit� est assur� par le directeur g�n�ral de l�unesco, qui met � la dis position du comit� les moyens n�cessaires � son fonctionne ment, dans la limite des cr� dits approuv�s par la conf� rence g�n�rale. 2. le secr�tariat d�sign� par le directeur g�n�ral assure les services des sessions du comit� et des r�unions du bureau, y
compris leur convocation. 3. le directeur g�n�ral soumet � l�examen du comit� les infor mations, rapports et proposi tions qu�il re�oit des etats membres de l�unesco et des organisations internationales au sujet de la mise en oeuvre du programme d�action de la d�cennie. il informe les etats membres et les comit�s natio naux qu�ils auront cr��s (cf. article iii, par. 2, ci-dessus) des recommandations appropri�es du comit�. 4. le directeur g�n�ral assure la coordination de la mise en oeuvre des recommandations du comit�. article viii : d�penses 1. le comit� peut adresser au directeur g�n�ral, ainsi qu�aux organisations mentionn�es au paragraphe 2 de l�article vi, toutes recommandations qu�il jugerait appropri�es en vue de soutenir les efforts des etats membres tendant � renforcer ou � mettre en oeuvre des projets de coop�ration entre etats membres, au titre de la d�cen nie mondiale du d�veloppement culturel. 2. les etats membres prennent enti�rement � leur charge les d�penses occasionn�es par la participation de leurs repr� sentants aux sessions du comit�. les d�penses courantes du comit� sont financ�es par des cr�dits ouverts � cet effet par la conf�rence g�n�rale. 3. des contributions volontaires peuvent �tre accept�es, confor m�ment au r�glement financier de l�unesco ; elles sont admi nistr�es par le directeur g�n� ral. le comit� pr�sente au directeur g�n�ral des recom mandations concernant l�affec tation de ces contributions � des projets internationaux relevant du programme d�action de la d�cennie. les contribu
tions volontaires peuvent prendre la forme de fonds-en d�p�t, dont l�affectation est d�termin�e par le donateur.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 11 la culture et l�avenir article ix : rapports autres organisations inter nationales mentionn�es aux 1. le comit� soumet des rapports paragraphes 2 et 3 de l�ar sur son activit� � la conf�-ticle vi ci-dessus et aux etats rence g�n�rale de l�unesco � membres. chaque session ordinaire de celle-ci. ces rapports, exa-2. le comit� peut recevoir des min�s �galement par le conseil rapports concernant la mise en ex�cutif, sont aussi commu-oeuvre du programme d�action niqu�s par le directeur g�n�-de la d�cennie de la part des ral, accompagn�s de ses com-autres organisations inter mentaires, � l�assembl�e g�n�-nationales. rale des nations unies, aux 11.14 fonds international pour la promotion de la culture la conf�rence g�n�rale, ayant pris note du rapport du directeur g�n�ral sur les activit�s du fonds international pour la promotion de la culture couvrant la p�riode de mai 1985 � avril 1987 (24 c/95), notant avec satisfaction que le fonds a continu� � d�velopper ses op�rations conform�ment � sa vocation de promotion et d�innovation culturelles, observant que, depuis sa cr�ation, le fonds a contribu� � la r�alisation de 244 projets dans 81 pays pour un montant total de 3.162.000 dollars des etats-unis sans toucher � son capital initial, pr�occup�e par la diminution des ressources du fonds entra�n�e par la situation financi�re internationale, et en particulier par la baisse des taux d�int�r�t et du taux de change du dollar, 1. remercie les membres du conseil d�administration du fonds des r�sultats obtenus, gr�ce � leurs efforts, au profit de la vie culturelle
internationale ; 2. f�licite le directeur g�n�ral de la bonne gestion du fonds et des efforts de promotion qui ont �t� d�ploy�s ; 3. rend hommage � tous les donateurs et bienfaiteurs, en particulier aux etats membres qui, d�s le d�but, ont contribu� au lancement du fonds, ainsi qu�� ceux qui ont d�cid� de renouveler chaque ann�e leur contribution ; 4. invite les etats membres, les institutions publiques et priv�es et les personnes physiques � accro�tre les ressources du fonds en versant des contributions, m�me modestes, ou en participant directement � ses projets op�rationnels.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 12 elimination des pr�jug�s, de l�intol�rance, du racisme et de l�apartheid �limination des pr�jug�s, de l�intol�rance, du racisme et de l�apartheid1 12.1 grand programme xii "elimination des pr�jug�s, de l�intol�rance, du racisme et de l�apartheid" la conf�rence g�n�rale, rappelant les r�solutions 4 xc/2/12, 22 c/12.1 et 23 c/12.1 qu�elle a adopt�es au sujet du grand programme xii "elimination des pr� jug�s, de l�intol�rance, du racisme et de l�apartheid", rappelant les dispositions pertinentes qui figurent dans l�acte constitutif et le principe de non-discrimination qui y est inscrit, les divers instruments internationaux ainsi que les r�solutions de l�assembl�e g�n�rale des nations unies et de la conf�rence g�n�rale de l�unesco auxquelles il est fait r�f�rence dans les r�solutions mentionn�es ci-dessus, rappelant la d�claration sur la race et les pr�jug�s raciaux qu�elle a adopt�e � l�unanimit� � sa vingti�me session, le 27 novembre 1978, et la r�solution de mise en oeuvre de ladite d�claration, ainsi que la recommandation et la convention concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l�enseignement qu�elle a adopt�es � sa onzi�me session, le 14 d�cembre 1960, rappelant que dans sa r�solution 23 c/12.1, elle s�est r�f�r�e � la r�so lution 39/114 dans laquelle l�assembl�e g�n�rale des nations unies a demand� aux institutions sp�cialis�es comp�tentes ainsi qu�aux organisations intergouvernementales et non gouvernementales inter nationales de prendre des mesures contre "toutes les id�ologies et pratiques totalitaires ou autres, en particulier nazies, fascistes et n�o-fascistes fond�es sur l�exclusivisme ou l�intol�rance raciaux ou ethniques, la haine et la terreur, qui privent les peuples des droits fondamentaux de l�homme et des libert�s fonda mentales ainsi que de l��galit� des chances" ou "d�intensifier l�action qu�elles ont entreprise � cet �gard", rappelant la r�solution 40/148 dans laquelle l�assembl�e g�n�rale des nations unies a r�it�r� cette demande, ainsi que la r�solution 41/160 sur l�application de laquelle l�assembl�e g�n�rale des nations unies a invit� "toutes les organisations internationales � pr�senter au secr�taire g�n�ral des observations et informations",
rappelant la d�claration des nations unies sur l��limination de toutes les formes d�intol�rance et de discrimination fond�es sur la religion ou la conviction (r�solution 36/55) et la r�solution 1987/15 de la commission des droits de l�homme, 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commissionv�la36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
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organisations non gouvernementales internationales et r�gio nales comp�tentes ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 12 elimination des pr�jug�s, de l�intol�rance, du racisme et de l�apartheid (ii) � �valuer l�impact des d�clarations sur la race et les pr� jug�s raciaux (1978) et sur l��limination de toutes les formes d�intol�rance et de discrimination fond�es sur la religion ou la conviction (1981) ; (iii) � favoriser la tol�rance r�ciproque et le respect mutuel entre cultures et � promouvoir la formation et les �changes d�information relatifs � la signification philosophique de la tol�rance ; (iv) � promouvoir les initiatives des etats membres permettant, dans le domaine de l��ducation, d��liminer les traitements discriminatoires sous toutes leurs formes et de combattre la persistance des pr�jug�s, de l�intol�rance et de l�inci tation � la haine ; (c) au titre du programme xii.3 "lutte contre l�apartheid", (i) � contribuer � une meilleure connaissance de la situation �conomique et sociale qui pr�vaut en afrique du sud et en namibie ainsi que de son �volution historique ; (ii) � contribuer, gr�ce � l�apport des sciences sociales et humaines, � la lutte contre l�apartheid, en encourageant les sp�cialistes, les centres et les institutions de recherche scientifique sur l�apartheid � �changer des informations et les r�sultats de leurs travaux, et en assurant une mobili sation accrue de l�opinion publique � l�appui de cette lutte ; (iii) � mettre en �vidence les incidences de l�apartheid sur la situation en afrique du sud et en namibie dans les domaines de l��ducation, de la science, de la culture, de la communi cation et de l�information ; (iv) � renforcer, dans le domaine de la formation, la coop�ration avec les mouvements de lib�ration nationale reconnus par l�organisation de l�unit� africaine ; (d) au titre du programme xii.4 "elimination des discriminations fond�es sur le sexe"/1, (i) � encourager, dans les domaines de comp�tence de l�unesco, l�application des dispositions de la convention des nations unies sur l��limination de toutes les formes de discrimi nation � l��gard des femmes (1979), ainsi que la mise en oeuvre des recommandations de la conf�rence mondiale charg�e d�examiner et d��valuer les r�sultats de la d�cennie des nations unies pour la femme (nairobi, 1985) ; 1. le paragraphe 2 (d) du dispositif concernant le programme xii.4 est identique au paragraphe 2 (d) qui figure dans la r�solution 24 c/13.1 et qui vise le programme xiii.4. cette double r�f�rence a pour but d�indiquer la double appartenance du programme sur l�"�limination des discriminations fond�es sur le sexe" aux grands programmes xii et xiii.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 12 elimination des pr�jug�s, l�intol�rance, du racisme et de l�apartheid (ii) (iii) (iv) (v) � continuer d�encourager les recherches et les activit�s de sensibilisation et d�information relatives aux droits fonda mentaux des femmes, une attention particuli�re �tant accord�e aux obstacles structurels et juridiques qui s�opposent � l��galit� et � l�acc�s aux droits, � promouvoir des acti vit�s de recherche et d�information sur les atteintes port�es � la dignit� des femmes (notamment les violences exerc�es au sein de la famille) et sur les causes de la prostitution des femmes par autrui, afin de contribuer � l�identification des moyens de pr�vention dans les domaines de comp�tence de l�unesco, et � recueillir des donn�es sur les effets de la s�cheresse r�currente sur la situation des femmes, afin de contribuer aux efforts de la communaut� internationale pour lutter contre les cons�quences de ce fl�au pour les populations concern�es ; � continuer de promouvoir la r�flexion sur la probl�matique f�minine dans la recherche et l�enseignement sup�rieur, l�accent �tant mis sur les modifications des r�les sociaux et culturels des femmes et des hommes et sur l��mergence de valeurs nouvelles li�es notamment au renforcement r�cent de la place assum�e par les femmes dans la sph�re sociale et publique, et � �valuer � cet �gard les incidences de leur participation accrue au travail salari� et de leur acc�s plus large au monde du savoir ; � renforcer l�action entreprise en vue de favoriser la par ticipation des femmes � la vie publique, �conomique, sociale et culturelle et notamment � la prise de d�cisions, � favo riser une plus large compr�hension des formes que peut prendre cette participation dans les diff�rents contextes nationaux et r�gionaux, et � identifier les mesures qui pourraient �tre prises afin d��liminer les obstacles qui entravent la pleine participation des femmes � la vie publique, au niveau tant local que national, notamment dans les domaines des sciences et de la technologie ; � coop�rer pour la mise en oeuvre de ce programme avec les
autres organismes des nations unies ainsi qu�avec les orga nisations f�minines -gouvernementales ou non gouverne mentales -nationales, r�gionales et internationales oeuvrant dans les domaines de comp�tence de l�unesco.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 13 paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples 13 paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples1 13.1 grand programme xiii "paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples" la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�solution 4 xc/2/13, ses r�solutions 22 c/13.1, 13.2, 13.3, 13.4, 13.5, 18 et 20 et ses r�solutions 23 c/13.1, 13.2, 13.3, 13.4, 13.5, 25, 26.1 et 26.4, rappelant les dispositions pertinentes qui figurent dans l�acte consti tutif, notamment le paragraphe de l�article premier, dans la charte des nations unies et dans divers instruments internatio naux, en particulier la d�claration universelle des droits de l�homme, le pacte international relatif aux droits civils et politiques, et le pacte international relatif aux droits �cono miques, sociaux et culturels, ainsi que la convention des nations unies sur l��limination de toutes les formes de discrimination � l��gard des femmes et les autres conventions du syst�me des nations unies relatives aux droits de l�homme, soulignant l�importance du grand programme xiii pour l�accomplissement de la cinqui�me mission de l�unesco d�finie dans le deuxi�me plan � moyenterme, rappelant les dispositions de la recommandation sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fonda mentales, qu�elle a adopt�e � sa dix-huiti�me session, ainsi que la n�cessit� d�en poursuivre et d�en renforcer la mise en oeuvre, ayant pr�sents � l�esprit le document 24 c/11, la r�solution 23 c/13.3 (par. 2) et la d�cision 126 ex/5.2.4 du conseil ex�cutif et ayant pris connaissance des "recommandations de malte" adopt�es, dans le m�me esprit, par le congr�s international sur l�enseignement, l�information et la documentation en mati�re de droits de l�homme, qui reconnaissent le r�le que le comit� consultatif sur les mesures visant � promouvoir l�application int�grale et g�n�rale de la recommandation de 1974 pourrait jouer dans la coordination des activit�s pr�vues au titre du plan de d�veloppement de l��ducation
pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et du plan pour le d�veloppement de l�enseignement des droits de l�homme, tout en continuant � consid�rer que les droits de l�homme rel�vent des sciences juridiques et de certaines disciplines des sciences sociales et doivent faire l�objet d�un enseignement universitaire pluridisciplinaire ax� sur les probl�mes et en main tenant les cours sp�cialis�s destin�s � certaines cat�gories socioprofessionnelles, 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commissionv�la36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
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�tudes sur la tendance � cultiver les pr�jug�s hostiles encore r�pandue dans les syst�mes �ducatifs, et sur les mesures propres � instaurer un climat de confiance qui pourraient �tre envisag�es en vue de d�celer et de faire reculer ces pr�jug�s, prenant note des dispositions de la d�claration sur le droit des peuples � la paix, adopt�e par l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa trente-neuvi�me session, auxquelles il est fait r�f�rence dans la r�solution 23 c/13.1, ainsi que de la r�solution 41/10, que l�assembl�e g�n�rale des nations unies a adopt�e � sa 41e session, et qui demande "� tous les etats et � toutes les organisations internationales de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour contribuer � l�application du droit des peuples � la paix en adoptant des mesures appropri�es au niveau tant national qu�international",
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 13 paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples prenant en consid�ration les dangers de toute guerre, en particulier de la guerre nucl�aire, la contribution apport�e par l�unesco dans ses domaines de comp�tence aux activit�s men�es en 1986 dans le cadre de l�ann�e internationale de la paix, ainsi que la r�solution 41/9 que l�assembl�e g�n�rale des nations unies a adopt�e � sa 41e session, prenant �galement en consid�ration l�importance du respect des droits de l�homme et des libert�s fondamentales pour des relations paci fiques � l�int�rieur des nations et entre elles, soulignant que les droits de l�homme sont par nature indivisibles et que les droits �conomiques, sociaux et culturels ont la m�me impor tance que les droits civils et politiques, eu �gard au fait que l�unesco doit s�attacher � assurer la promotion de tous ces droits, prenant note de la r�solution 41/155 portant sur le "renforcement de la coop�ration internationale dans le domaine des droits de l�homme", que l�assembl�e g�n�rale des nations unies a adopt�e � sa 41e session, prenant note de la r�solution 41/131 intitul�e "autres m�thodes et moyens qui s�offrent dans le cadre des organismes des nations unies pour mieux assurer la jouissance effective des droits de l�homme et des libert�s fondamentales", que l�assembl�e g�n�rale des nations unies a adopt�e � sa 41e session, soulignant qu�il est n�cessaire que l�unesco contribue � la c�l�bration du bicentenaire de la d�claration des droits de l�homme et du citoyen (1789), et du quaranti�me anniversaire de la d�claration univer selle des droits de l�homme (1948), conform�ment � la r�solution 41/150 (et � son annexe), que l�assembl�e g�n�rale des nations unies a adopt�e � sa 41e session, consid�rant que l�action de diffusion et d��ducation de l�unesco dans le domaine des droits de l�homme et des droits des peuples doit �tre fond�e sur les droits d�finis dans les instruments de port�e uni verselle, internationaux ou r�gionaux, existants et que cette action doit viser plus particuli�rement � d�velopper les r�seaux d�information et de documentation,
1. autorise le directeur g�n�ral � poursuivre la mise en oeuvre du grand programme xiii "paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples" ; 2. invite en particulier le directeur g�n�ral : (a) au titre du programme xiii.1 "maintien de la paix et compr�hension internationale", (i) � promouvoir les capacit�s de recherche et de formation et les �changes d�information sous l�angle des sciences sociales et humaines, y compris les sciences juridiques et la philosophie, en ce qui concerne les facteurs qui, dans les domaines de comp�tence de l�unesco, peuvent contribuer au maintien et au renforcement de la paix, gr�ce notamment au soutien apport� aux institutions scientifiques inter nationales, r�gionales, sous-r�gionales ou nationales et �
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rit� et d�sarmement, ainsi que les interrelations poten tielles entre d�sarmement et d�veloppement �ducatif, scien tifique et culturel ; et � contribuer, dans les domaines de comp�tence de l�unesco, � faire conna�tre et mieux comprendre l�ensemble des questions int�ressant le d�sarmement, notam ment par des mesures propres � am�liorer l�utilisation des mat�riaux produits par les organes comp�tents du syst�me des nations unies et par l��laboration d�une synth�se relative aux travaux de recherche en sciences sociales et humaines effectu�s par les institutions scientifiques nationales, r�gionales ou internationales dans le but d�encourager de tels travaux ; � promouvoir la r�flexion sur les moyens d��lever les d�fenses de la paix dans l�esprit des hommes, y compris en particulier un programme pour "l��limination" dans le monde entier "des pr�jug�s hostiles" se manifestant dans les domaines de comp�tence de l�unesco, et une �tude sur les
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 13 paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples fondements psychologiques, id�ologiques, historiques et sociologiques de ces pr�jug�s et sur l�utilisation qui en est faite ; (b) au titre du programme xiii.2 "respect des droits de l�homme", (i) � encourager les �changes d�informations entre institutions et organismes nationaux, r�gionaux et internationaux sp�cia lis�s dans les travaux sur les droits de l�homme, � promou voir les capacit�s de recherche en sciences sociales et humaines dans ces domaines, � contribuer � la r�flexion sur les droits de l�homme et � l��lucidation et une meilleure compr�hension du concept de droits des peuples et des rela tions entre droits des peuples et droits de l�homme tels qu�ils sont d�finis dans les instruments internationaux universels existants ; (ii) � promouvoir l��tude des conditions d�exercice effectif des droits de l�homme, notamment par le soutien � des institu tions de sciences sociales et humaines pour l�analyse des incidences des r�cents progr�s scientifiques et techniques sur la protection effective des droits de l�homme, ce soutien ne s�appliquant qu�aux aspects nouveaux ou aux aspects compl�mentaires de ceux qui sont trait�s par l�orga nisation des nations unies, et par l�examen des besoins � satisfaire sur le plan institutionnel pour assurer l�exer cice des droits de l�homme, afin de d�terminer le r�le que pourrait avoir l�introduction des principes de justice et de primaut� du droit ; (iii) � contribuer � la promotion et la protection des droits de l�homme en encourageant la diffusion, la connaissance, la ratification et l�application des instruments internatio naux, � favoriser le plein exercice des droits de l�homme dans les domaines de comp�tence de l�unesco, et � contribuer � la mise en oeuvre de la proc�dure adopt�e par le conseil ex�cutif pour l�examen des cas et des questions dont l�unesco peut �tre saisie en ce qui concerne les violations des droits de l�homme dans les domaines de sa comp�tence ; (c) au titre du programme xiii.3 "education pour la paix et le respect des droits de l�homme et des droits des peuples", (i) � continuer de promouvoir et d�intensifier, par le d�velop pement de la coop�ration avec les etats membres et avec les organisations internationales non gouvernementales et par les activit�s m�mes de l�unesco, la mise en oeuvre, � toutes
les �tapes de l��ducation sous toutes ses formes, de la recommandation de 1974 sur l��ducation pour la compr�hen sion, la coop�ration et la paix internationales et l��du cation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fonda mentales, et de donner suite aux recommandations de la conf�rence intergouvernementale de 1983 sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fondamentales, en vue de d�velopper un �tat d�esprit favo rable au renforcement de la s�curit� et au d�sarmement ;
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voir l��ducation � vocation internationale et la tol�rance en suscitant une prise de conscience accrue � l��gard des cultures et des traditions des autres peuples, et, � cette fin, � encourager les contacts et les �changes entre ecoles associ�es ainsi qu�entre les associations, centres et clubs unesco relevant de patrimoines culturels et de syst�mes socio-�conomiques diff�rents ; � favoriser l��tablissement d�accords bilat�raux et multi lat�raux entre etats membres pour l�examen et la r�vision r�ciproques des manuels et autres mat�riels �ducatifs, afin de s�assurer que ceux-ci sont exacts, �quilibr�s, � jour et impartiaux et qu�ils contribueront � renforcer la connais sance et la compr�hension mutuelles des divers peuples comme il est pr�vu dans la recommandation de 1974, et � fournir aux etats membres un appui technique � cet effet ;
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diquer la double appartenance du programme sur l�"�limination des discriminations fond�es sur le sexe" aux grands programmes xii et xiii.
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notant que dans la r�solution 41/60 j, l�assembl�e g�n�rale des nations unies a �tabli le centre r�gional des nations unies pour la paix, le d�sarmement et le d�veloppement en am�rique latine, dont le si�ge est � Lima (p�rou),
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rappelant le consensus auquel la vingt-troisi�me session de la conf�rence g�n�rale est parvenue en ce qui concerne le grand programme xiii, et convaincue de la n�cessit� de pr�server l�esprit et la lettre de ce consensus, 1. invite le directeur g�n�ral, dans le contexte de la contribution de l�unesco � la r�flexion sur les droits de l�homme et � l��luci dation et � une meilleure compr�hension du concept de droits des peuples, ainsi qu�� la clarification des relations entre droits des peuples et droits de l�homme tels qu�ils sont d�finis dans les instruments internationaux universels existants -contribution qui est d�crite au paragraphe 13205 du projet de programme et de budget pour 1988-1989 (24 c/5), � proc�der � une analyse des
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estimant que, dans la situation actuelle, l��ducation joue un r�le toujours plus important dans la solution des probl�mes mondiaux, et en particulier de ceux qui sont li�s � la paix et au renforcement de la confiance entre les peuples, reconnaissant l�importance des activit�s men�es � ce jour pour donner effet aux recommandations de la conf�rence intergouvernementale de 1983, qui sont expos�es dans le document 24 c/92, et en particulier de la mise en place d�un syst�me permanent d��tablissement de rap ports sur les mesures prises par les etats membres pour appliquer la recommandation de 1974 et de la mise en oeuvre du plan de d�ve loppement de l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales,
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des etats membres et des organisations internationales non gouver nementales � ces projets ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 13 paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples (c) � tenir pleinement compte de la recommandation de 1974 et des recommandations de la conf�rence intergouvernementale de 1983 dans l��laboration des futurs programmes et budgets de l�organisation ; (d) � �laborer, lors de l��tablissement des futurs programmes et budgets de l�organisation, la deuxi�me phase du plan de d�velop pement de l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales (1990-1995) en vue des d�fis et des condi tions du xxie si�cle, en tenant compte de l��tude sur la fusion des deux plans � laquelle il est pr�vu de proc�der conform�ment au paragraphe 2 (c) (iii) de la r�solution 24 c/13.1 ; (e) � utiliser davantage les comp�tences du comit� consultatif et de ses membres pour la r�alisation de l��ducation internationale, s�agissant en particulier de contribuer � l��tablissement d�un r�sum� synoptique des rapports des etats membres sur l�application de la recommandation de 1974, et en ce qui concerne la poursuite de l�application du plan de d�veloppement de l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales ainsi que l��laboration des futurs programmes et budgets de l�organisation, conform�ment aux statuts du comit� et � la r�solution 23 c/13.3 ; (f) � envisager l�opportunit� d�organiser, dix ans apr�s la conf�rence intergouvernementale de1983,une nouvelle r�union internationale en vue d��valuer l�application de ses recommandations et de les mettre � jour en fonction des perspectives qui s�offrent � l�huma nit� et, dans cette optique, � envisager qu�� sa deuxi�me session, le comit� consultatif sur les mesures de nature � favoriser l�application int�grale et g�n�rale de la recommandation de1974 (par. 13304, 1.1 et 13305, 2.1) examine, notamment, l�opportunit� d�une telle r�union, ainsi que ses modalit�s g�n�rales et ses th�mes �ventuels; (g) � pr�senter � la conf�rence g�n�rale, � sa vingt-cinqui�me ses sion, un rapport -�tabli conform�ment au paragraphe 13305, 2.5, pour la 132e session du conseil ex�cutif -sur l��tat d�avancement de la mise en oeuvre de la premi�re phase du plan de d�veloppement de l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales, compte tenu �galement des dispositions de la pr�sente r�solution. 13.5 suite � donner aux recommandations du congr�s international sur l�enseignement, l�information et la documentation en mati�re de droits de l�homme (1987) la conf�rence g�n�rale, rappelant ses r�solutions 23 c/13.1, 13.3 et 13.4, rappelant �galement la recommandation de 1974 sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��du
cation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fonda mentales, qu�elle a adopt�e � sa dix-huiti�me session, et les recommandations adopt�es par la conf�rence intergouvernementale de 1983 sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 13 paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fondamentales, en vue de d�velopper un �tat d�es prit favorable au renforcement de la s�curit� et au d�sarmement, prenant note des recommandations du conseil ex�cutif sur le projet de programme et de budget pour 1988-1989 contenues dans le document 24 c/6, en particulier des paragraphes 146 � 149, ainsi que de la partie du document 24 c/11 qui concerne le grand programme xiii, notamment les paragraphes 18 � 32, soulignant l�importance de l�enseignement et de l��ducation en mati�re de droits de l�homme et la n�cessit� pour l�unesco de poursuivre et d�intensifier ses activit�s dans ce domaine, consid�rant que les activit�s de l�unesco concernant l�enseignement et l��ducation en mati�re de droits de l�homme devraient inclure la mise en place et la coordination de syst�mes et de r�seaux d�in formation et de documentation, reconnaissant les progr�s accomplis dans le domaine de l�enseignement et de l��ducation en mati�re de droits de l�homme au cours de la d�cen nie �coul�e, en particulier depuis le congr�s international sur l�enseignement des droits de l�homme qui a eu lieu � Vienne du 12 au 16 septembre 1978, 1. f�licite le directeur g�n�ral d�avoir convoqu� le congr�s international sur l�enseignement, l�information et la documentation en mati�re de droits de l�homme (malte, 31 ao�t -5 septembre 1987) ; 2. prend note des recommandations adopt�es par le congr�s de malte ; 3. d�cide de transmettre pour �tude compl�mentaire les recommandations de malte au conseil ex�cutif � sa 129e session ; 4. invite le conseil ex�cutif � examiner ces recommandations et le rapport final du congr�s de malte, de m�me que les documents pr�paratoires soumis au conseil par le directeur g�n�ral, en vue de donner � celui-ci des directives quant aux actions � mener pour donner suite au congr�s de malte, de mani�re � int�grer les recommanda tions pertinentes sur l�enseignement, l�information et la documen tation en mati�re de droits de l�homme dans le programme xiii.3
(education pour la paix et le respect des droits de l�homme et des droits des peuples), en tenant compte de la r�solution 24 c/13.1 ; 5. invite le directeur g�n�ral � demander l�avis du comit� consultatif sur les mesures visant � promouvoir l�application int�grale et g�n� rale de la recommandation de 1974, lors de la pr�paration des actions � mener pour donner suite aux conclusions du congr�s de malte en ce qui concerne l�enseignement relatif aux droits de l�homme ; 6. invite en outre le directeur g�n�ral � lui rendre compte de la mise en oeuvre de la pr�sente r�solution lors de la vingt-cinqui�me session.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 13 paix, compr�hension internationale, droits de l�homme et droits des peuples 13.6 r�le des ecoles associ�es et des clubs unesco dans l��ducation � vocation internationale la conf�rence g�n�rale, soulignant l�importance du r�le de l�unesco pour l��ducation dans l�esprit de la compr�hension internationale, se r�f�rant aux objectifs et aux principes inscrits dans l�acte constitutif de l�unesco, ainsi qu�aux recommandations de la conf�rence inter gouvernementale sur l��ducation pour la compr�hension, la coop� ration et la paix internationales et l��ducation relative aux libert�s fondamentales, en vue de d�velopper un �tat d�esprit favorable au renforcement de la s�curit� et au d�sarmement (paris, 1983), soulignant l�importance et la compl�mentarit� des ecoles associ�es et des clubs unesco dans la r�alisation des id�aux de l�organisation et, en particulier, les principes de la recommandation sur l��ducation pour la compr�hension, la coop�ration et la paix internationales et l��ducation relative aux droits de l�homme et aux libert�s fondamentales, adopt�e � la dix-huiti�me session de la conf�rence g�n�rale, en 1974, notant l�appel adopt� � l�unanimit� par le premier congr�s des ecoles associ�es (sofia, 1983) et les r�solutions du premier et du deuxi�me congr�s de la f�d�ration mondiale des associations et des clubs unesco (tokyo, 1984 et madrid, 1987), notant l�importance croissante de l��ducation pour la r�alisation des objectifs de l�unesco �num�r�s � l�article premier de l�acte constitutif de l�organisation, estimant que l��ducation pour la compr�hension internationale doit faire partie des efforts des etats membres pour moderniser l�enseignement, reconnaissant l�importance fondamentale de la d�cennie mondiale du d�velop pement culturel (1988-1997),
1. invite les etats membres : (a) � prendre toutes les mesures n�cessaires pour assurer l�applica tion des recommandations de 1974 et de 1983 au sein des ecoles associ�es et des clubs unesco; (b) � accorder plus d�attention � l��largissement des activit�s des ecoles associ�es et des clubs unesco et � l�am�lioration de leur efficacit� ; (c) � diffuser des informations relatives aux objectifs et aux fina lit�s des ecoles associ�es et des clubs unesco, ainsi qu�� leurs activit�s, et � pr�ter une attention particuli�re aux activit�s li�es � l��ducation, � la culture et � l�informatique ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 14 la condition des femmes 2. invite le directeur g�n�ral : (a) � continuer � soutenir le d�veloppement du syst�me des �coles associ�es et des clubs unesco, en particulier par l�interm�diaire de la f�d�ration mondiale des associations, centres et clubs unesco, et � contribuer � une plus large diffusion de l�exp�rience qu�ils ont acquise ; (b) � contribuer au d�veloppement de l�interaction et de la compl�men tarit� r�ciproque entre les ecoles associ�es et les clubs unesco, de m�me qu�� la diffusion de l�exp�rience de certains etats membres dans ce domaine; (c) � favoriser et � stimuler la r�alisation de recherches interdisci plinaires effectu�es par les ecoles associ�es et les clubs unesco qui contribuent au d�veloppement de l��ducation dans l�esprit de la paix et de la coop�ration internationale; (d) � encourager les ecoles associ�es et les clubs unesco, en parti culier par l�interm�diaire de la f�d�ration mondiale des associa tions, centres et clubs unesco, � participer � la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel et � d�velopper leurs activit�s qui visent � faire plus largement conna�tre les cultures des autres peuples ; (e) � favoriser l��change de professeurs et d��tudiants, ainsi que l��tude des langues �trang�res, en utilisant les possibilit�s offertes par le syst�me des �coles associ�es et des clubs unesco. 14 la condition des femmes1 14.1 grand programme xiv "la condition des femmes" la conf�rence g�n�rale, rappelant la r�solution 4 xc/2/14 qu�elle a adopt�e au sujet du grand programme xiv "la condition des femmes", ainsi que les disposi tions pertinentes des instruments internationaux et des r�solu tions de la conf�rence g�n�rale auxquelles il est fait r�f�rence dans ladite r�solution, rappelant �galement ses r�solutions 22 c/14.1 et 14.2 ainsi que ses r�solu tions 23 c/14.1 et 14.2, rappelant en outre la convention sur l��limination de toutes les formes de discrimination � l��gard des femmes, adopt�e par l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa trente-quatri�me session (1979), 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commissioni�la29e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 14 la condition des femmes ayant pr�sente � l�esprit la conf�rence mondiale charg�e d�examiner et d��valuer les r�sultats de la d�cennie des nations unies pour la femme : �galit�, d�veloppement et paix (nairobi, 1985), soulignant les strat�gies prospectives d�action de nairobi pour la promo tion de la femme (a/40/108), approuv�es par l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa quaranti�me session (1985), rappelant la d�claration sur la participation des femmes � la promotion de la paix et de la coop�ration internationales (a/37/63), adopt�e par l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa trente-septi�me session, r�affirmant que l�am�lioration de la condition des femmes, leur pleine participation � la vie sociale, �conomique, politique et cultu relle et leur acc�s effectif aux responsabilit�s relatives au d�veloppement ainsi qu�aux avantages qui en r�sultent doivent constituer une pr�occupation majeure de l�organisation, consid�rant que l�am�lioration de la condition des femmes est impossible si leur r�le dans la consolidation de la coop�ration et de la compr�hension internationales et la pr�servation de la paix n�est pas renforc�, soulignant la n�cessit� de mettre en oeuvre, � cet effet, une double stra t�gie d�action, qui int�gre la dimension f�minine dans l�ensemble des programmes de l�organisation tout en d�veloppant les activit�s express�ment destin�es � am�liorer la condition des femmes et � renforcer leur participation aux prises de d�cisions dans les domaines de l��ducation, des sciences, de la culture et de la communication, convaincue de la n�cessit�, pour les etats membres et l�unesco, de d�ployer des efforts d�lib�r�s, syst�matiques et de grande envergure afin d�assurer que les femmes et les hommes participent sur un pied d��galit�, en tant qu�agents et b�n�ficiaires, aux processus sociaux, culturels, �conomiques et politiques du d�veloppement, appuyant le renforcement des activit�s entreprises par l�unesco dans le cadre des programmes qui visent tout particuli�rement � am�liorer la condition des femmes, et l�int�gration des femmes et de la
dimension f�minine dans tous les programmes et activit�s de l�organisation, consid�rant qu�en d�pit des efforts qui ont �t� d�ploy�s aux niveaux natio nal, r�gional et international pour atteindre les objectifs de la d�cennie des nations unies pour la femme, la situation de nom breuses femmes en ce qui concerne l�emploi, l��ducation et les soins de sant� n�est toujours pas satisfaisante, 1. recommande que les etats membres d�ploient des efforts particuliers pour : (a) faire en sorte que les int�r�ts des femmes et des hommes soient �galement pris en consid�ration dans les propositions qu�ils adressent � l�unesco lors de l��laboration des programmes de l�organisation ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 14 la condition des femmes (b) prendre toutes les mesures possibles pour que l��ducation (for melle et non formelle, technique et professionnelle) et la poli tique de la main-d�oeuvre contribuent � l�accroissement du nombre de femmes oeuvrant activement dans les diff�rentes sph�res de la science et de la technologie, de la culture, de l��ducation et de la communication et � celui du nombre de candidatures f�minines aux postes de direction, ainsi qu�� l��largissement de la partici pation des femmes aux processus de prise de d�cisions � tous les niveaux ; (c) proposer, aux postes vacants du secr�tariat de l�unesco ou en qua lit� de consultantes, un plus grand nombre de candidates quali fi�es, en vue de tendre vers une repr�sentation �quilibr�e des femmes et des hommes ; (d) accro�tre le nombre des femmes propos�es pour participer aux r�unions, cours de formation, s�minaires et programmes d��changes et de bourses organis�s ou administr�s par l�unesco, de mani�re � assurer d�s que possible, � tous les niveaux, un �quilibre fond� sur l��galit� entre les femmes et les hommes ; (e) favoriser une repr�sentation �quilibr�e des femmes et des hommes, � tous les niveaux, dans leurs commissions nationales pour l�unesco et dans leurs d�l�gations aux conf�rences de l�organisation ; (f) accro�tre le pourcentage de projets express�ment con�us � l�inten tion des femmes dans les propositions qu�ils pr�sentent aux fins de financement par le programme de participation ou par des res sources extrabudg�taires ; (g) �tudier les moyens, notamment l�gislatifs, de donner aux femmes la possibilit� de jouer un r�le d�terminant dans les domaines de comp�tence de l�unesco et, en particulier, dans ceux qui sont en rapport avec l�am�lioration de leur condition ; 2. invite le directeur g�n�ral : (a) � tout mettre en oeuvre pour que, lors de la pr�paration et de l�adoption des programmes, projets et activit�s que l�unesco orga nisera ou auxquels elle participera en 1988-1989, il soit d�ment tenu compte des besoins et des int�r�ts des femmes ; (b) � envisager, lors du prochain exercice biennal (dans le document 25 c/5), un nouvel accroissement des ressources financi�res et humaines consacr�es aux programmes express�ment destin�s aux femmes, en particulier pour ce qui est des activit�s relevant du coordonnateur des programmes relatifs � la condition des femmes et des grands programmes viii, xi et xiii, afin de promouvoir des approches multidisciplinaires et de renforcer la coordination intersectorielle pour toutes les activit�s de recherche, de formation et d�information concernant les femmes ; (c) � mettre en oeuvre, dans les domaines de comp�tence de l�unesco, les strat�gies prospectives d�action de nairobi pour la promotion de la femme (nairobi, 1985) et le plan � moyen terme � l��chelle du syst�me en ce qui concerne les femmes et le d�veloppement (e/1987/86 et 52) ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 14 la condition des femmes (d) (e) (f) (g) (h) (i) (j) (k) (1) � r�aliser des activit�s et des �tudes visant � am�liorer les m�thodes utilis�es pour assurer les soins de sant�, l��ducation et le d�veloppement social et culturel des femmes, en tenant particu li�rement compte des points de vue, des besoins et des int�r�ts des femmes concernant le d�veloppement et les questions relatives � l�environnement ; � attacher un int�r�t tout sp�cial � la mise en oeuvre des actions de programme destin�es particuli�rement aux femmes ; � prendre toutes les mesures appropri�es pour accro�tre le nombre des femmes appel�es � participer aux r�unions, s�minaires, cours de formation, programmes d��changes et de bourses, organis�s ou administr�s par l�unesco ; � prendre des mesures concr�tes pour assurer l�application des directives qui seront �labor�es pour 1988-1989 concernant l�int� gration des femmes et de leurs besoins et int�r�ts dans les activit�s de l�unesco, en particulier dans les activit�s op�rationnelles ; � mettre en oeuvre avec plus d��nergie les mesures visant � assurer une �gale participation des hommes et des femmes qualifi�s aux programmes et aux activit�s de l�unesco et � prendre des mesures concr�tes dans ce sens, par l�application temporaire d�un traitement pr�f�rentiel visant � accro�tre, pour qu�elle atteigne au moins 30 % d�ici � 1995, la repr�sentation des femmes, � tous les niveaux, dans les postes du cadre organique et de rang sup� rieur du secr�tariat de l�unesco, en agissant conform�ment � l�article vi.4 de l�acte constitutif de l�unesco ; � offrir aux femmes en poste tant au si�ge qu�hors si�ge des possibilit�s accrues de perfectionnement de leurs qualifications
professionnelles et de promotion et � am�liorer les possibilit�s de carri�re des femmes actuellement employ�es par l�unesco, et en particulier � prendre des mesures pour faciliter la pr�sentation aux postes qui se lib�rent de candidatures de membres du secr� tariat de sexe f�minin pr�sentant les qualifications requises ; � approfondir l�examen des obstacles � la participation des femmes aux activit�s de l�unesco et � intensifier les efforts pour �liminer ces obstacles ; � organiser, en particulier � l�intention du personnel du cadre organique de rang �lev� et des directeurs, des programmes r�gu liers de formation portant sur la contribution de l�unesco � l�am�lioration de la condition des femmes ; � adopter, pour la r�daction de tous les documents de travail de l�organisation, une politique visant � �viter, dans la mesure du possible, l�usage de termes se r�f�rant explicitement ou implici tement � un seul sexe, sauf lorsque des mesures d�intervention positive sont envisag�es ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 15 droit d�auteur (m) � assurer la coop�ration et la coordination avec d�autres organi sations comp�tentes des nations unies pour la mise en oeuvre du plan � moyen terme � l��chelle du syst�me en ce qui concerne les femmes et le d�veloppement pour la p�riode 1990-1995 ; (n) � intensifier la coop�ration entre l�unesco et les organisations f�minines, en particulier les organisations internationales non gouvernementales et les institutions qui s�int�ressent � la promo tion de la femme aux niveaux national, r�gional et international ; (o) � intensifier la coordination des programmes concernant la condi tion des femmes et � assurer, par les m�canismes appropri�s, la coordination de toutes les activit�s y relatives, qu�il s�agisse des programmes, sous-programmes, actions et activit�s express�ment destin�s � am�liorer la condition des femmes qui sont �num�r�s dans le grand programme xiv ou de l�int�gration de la dimension f�minine dans tous les programmes et activit�s de l�organisation ; (p) � pr�senter tous les deux ans au conseil ex�cutif et � la conf� rence g�n�rale des rapports sur les r�sultats de ces efforts. b. activit�s g�n�rales du programme 1 15 droit d�auteur 15.1 droit d�auteur la conf�rence g�n�rale, rappelant la section xv.1 de sa r�solution 4 xc/2/15, 1. autorise le directeur g�n�ral, d�une part, � poursuivre des activit�s de promotion de la protection tant morale que mat�rielle des int�r�ts des auteurs et des autres titulaires de droits d�auteur ainsi que de ceux des artistes interpr�tes ou ex�cutants et, d�autre part, � favoriser par une diffusion aussi large que possible la circulation des oeuvres de l�esprit aupr�s du public ; 2. invite le directeur g�n�ral : (a) � poursuivre les activit�s tendant � favoriser l�adh�sion aux conventions internationales sur le droit d�auteur et les droits voisins adopt�es sous les auspices de l�unesco et � contribuer � la sauvegarde du patrimoine appartenant au domaine public et du folklore ; 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commissioni�la29e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 15 droit d�auteur (b) � promouvoir l�actualisation des textes l�gislatifs nationaux en vigueur dans le domaine du droit d�auteur afin qu�ils puissent mieux r�pondre � leur but culturel, �conomique et social, ou, le cas �ch�ant, � encourager les etats membres � adopter de tels textes, et ce conform�ment au principe fondamental du traitement national �tabli en r�gle g�n�rale par les conventions inter nationales sur le droit d�auteur -c�est-�-dire en �vitant de choisir des proc�dures l�gislatives qui risqueraient d�exclure la protection des titulaires de droits d�auteur �trangers -et � leur apporter son soutien � ces fins ; (c) � favoriser la connaissance g�n�rale de la l�gislation sur le droit d�auteur et les droits voisins ainsi que de ses applications pratiques en recourant � tous les moyens qu�offrent la p�dagogie et les techniques modernes de communication ; (d) � contribuer au d�veloppement et au renforcement des infrastruc tures nationales existantes dans le domaine de la gestion des droits des auteurs ou � l��tablissement de telles infrastructures ; (e) � veiller � ce que les relations juridiques nouvelles qui d�cou lent de l��volution des techniques de cr�ation, de reproduction et de diffusion des oeuvres de l�esprit respectent les droits des cr�ateurs et des utilisateurs des oeuvres ; (f) � entreprendre des actions en vue de renforcer la d�fense, d�une part, des droits des cr�ateurs, et d�autre part, des int�r�ts des utilisateurs r�guliers des oeuvres prot�g�es face au d�veloppement critique du ph�nom�ne de piratage des oeuvres de l�esprit ; (g) � promouvoir l�acc�s des pays en d�veloppement aux oeuvres pro t�g�es par le droit d�auteur. 15.2 opportunit� d�adopter une r�glementation internationale concernant la sauvegarde des oeuvres du domaine public la conf�rence g�n�rale, vu les articles 2 et 3 du r�glement relatif aux recommandations aux etats membres et aux conventions internationales pr�vues par l�ar ticle iv, paragraphe 4, de l�acte constitutif, ayant examin� le rapport et l��tude pr�liminaire contenus dans le document 24 c/32, 1. d�cide que la question de la sauvegarde des oeuvres du domaine public doit faire l�objet d�une r�glementation internationale sous la forme d�une recommandation aux etats membres ; 2. prie le directeur g�n�ral de r�unir un comit� sp�cial compos� de techniciens et de juristes nomm�s par les etats membres pour �tablir le projet d�finitif, qui sera soumis � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session, en 1989.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 16 statistiques 15.3 opportunit� d�adopter une r�glementation internationale g�n�rale concernant la sauvegarde du folklore la conf�rence g�n�rale, vu les articles 2 et 3 du r�glement relatif aux recommandations aux etats membres et aux conventions internationales pr�vues par l�ar ticle iv, paragraphe 4, de l�acte constitutif, ayant examin� le rapport et l��tude pr�liminaire contenus dans le document 24 c/31, 1. d�cide que la question de la sauvegarde du folklore doit faire l�objet d�une recommandation aux etats membres ; 2. prie le directeur g�n�ral de r�unir un comit� sp�cial compos� de techniciens et de juristes nomm�s par les etats membres pour �tablir le projet d�finitif, qui sera soumis � la conf�rence g�n� rale � sa vingt-cinqui�me session, en 1989. 16 statistiques 16.1 statistiques la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�solution 23 c/16, autorise le directeur g�n�ral � poursuivre et � d�velopper des activit�s visant au rassemblement, � l�analyse et � la diffusion des donn�es statistiques, au progr�s des m�thodes statistiques et de la compa rabilit� internationale des donn�es ainsi qu�au renforcement de l�infrastructure statistique des etats membres, particuli�rement par la formation de statisticiens dans les domaines de comp�tence de l�unesco, en veillant � ce que ces activit�s : (a) contribuent � la connaissance des situations et des tendances en mati�re d��ducation, de sciences et de technologie, de culture et de communication ; (b) se fondent sur une approche multidisciplinaire conforme aux exi gences du d�veloppement �conomique, social, culturel et technologique.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 17 courrier de l�unesco et p�riodiques 16.2 statistiques relatives au peuple palestinien la conf�rence g�n�rale, rappelant l�accord conclu entre les nations unies et l�organisation des nations unies pour l��ducation, la science et la culture qui stipule (article xiv, paragraphe 3) que l�unesco est reconnue par les nations unies comme �tant l�organisme appropri� charg� de recueillir, d�analyser, de publier, d�unifier et d�am�liorer les statistiques dans les domaines relevant de sa comp�tence (c�est-�-dire les domaines de l��ducation, des sciences, de la technologie, de la culture et de la communication), se r�f�rant � la r�solution 24 c/16.1 autorisant le directeur g�n�ral � poursuivre et � d�velopper des activit�s visant au rassemblement, � l�analyse et � la diffusion des donn�es statistiques, au progr�s des m�thodes statistiques et de la comparabilit� des donn�es, consid�rant que l�unesco a pour t�che d��largir la port�e des donn�es statistiques qu�elle rassemble et d�accro�tre leur fiabilit�, et ce conform�ment au plan de travail de l�office des statistiques, prie le directeur g�n�ral de recueillir aupr�s des etats membres, des organisations internationales et de tous les autres organismes concern�s, des statistiques sur le peuple palestinien dans les domaines de comp�tence de l�unesco, d�analyser ces statistiques, de les harmoniser et de les publier dans l�annuaire statistique de l�unesco sous une rubrique sp�cifique, �tant entendu que toutes les incidences financi�res seront couvertes par des ressources extrabudg�taires. 17 courrier de l�unesco et p�riodiques la conf�rence g�n�rale rappelant ses r�solutions 23 c/17.1 et 23 c/17.2, invite le directeur g�n�ral : (a) � poursuivre la publication, au si�ge, du mensuel "le courrier de
l�unesco" en anglais, en espagnol et en fran�ais, � soutenir les �ditions publi�es hors si�ge dans d�autres langues (allemand, arabe, basque, bengali, bulgare, catalan, chinois, cinghalais, cor�en, croato-serbe, finnois, grec, haoussa, h�breu, hindi, italien, japonais, kiswahili, mac�donien, malais, n�erlandais, ourdou, pashto, persan, portugais, russe, serbo-croate, slov�ne, su�dois, tamoul, tha�, turc, vietnamien), ainsi que l��dition des cara�bes, et � assurer la publication d�une s�lection trimestrielle en braille dans quatre langues ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public (b) � maintenir la publication des p�riodiques "impact", "nature et ressources", "revue internationale des sciences sociales", "perspectives museum" et "bulletin du droit d�auteur", tout en poursuivant des efforts pour am�liorer la coordination de la r�daction de ces p�riodiques ainsi que leur fabrication, leur promotion et leur commercialisation. 18 relations ext�rieures et information du public 18.1 coop�ration europ�enne la conf�rence g�n�rale, rappelant la r�solution 23 c/18.1 adopt�e � sa vingt-troisi�me session et les r�solutions de ses sessions pr�c�dentes sur la coop�ration europ�enne, reconnaissant la contribution consid�rable que la coop�ration europ�enne dans le cadre de l�unesco peut apporter au renforcement de la confiance mutuelle entre les etats et les peuples de la r�gion, notant avec satisfaction les diverses activit�s des commissions nationales pour l�unesco de la r�gion europe en faveur du d�veloppement de la coop�ration paneurop�enne, se r�f�rant � la neuvi�me r�union des secr�taires g�n�raux des commissions nationales pour l�unesco de la r�gion europe, qui s�est tenue � dieppe (france) en 1986 et qui, en cette p�riode cruciale pour l�unesco, a �t� l�occasion d�analyser les principales tendances et possibilit�s de la coop�ration europ�enne, de confirmer son carac t�re indispensable et d�esquisser ses principales perspectives, notant avec satisfaction que, pour donner suite � la r�union de dieppe, un certain nombre de manifestations, comme les r�unions de trieste, leipzig, la haye, schloss ottenstein, budapest, burg schlaining et aulanko ont �t� organis�es en europe par les commissions natio nales sur certains th�mes des activit�s de l�unesco, preuve que les etats europ�ens tiennent � donner � leur coop�ration un contenu concret et pratique qui concorde g�n�ralement avec les objectifs du d�veloppement paneurop�en, soulignant que les pays europ�ens d�veloppent leur coop�ration en vue de contribuer � renforcer le prestige de l�unesco, � rendre son
action plus efficace et � accro�tre son r�le dans la r�solution des probl�mes urgents auxquels l�humanit� est confront�e, y compris ceux qui sont d�une importance et d�un int�r�t primordiaux pour les pays en d�veloppement, 1. invite les etats membres de la r�gion europe : (a) � renforcer le r�le des commissions nationales pour l�unesco dans la coop�ration europ�enne ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public (b) � favoriser la participation de repr�sentants des milieux de l��ducation, des sciences et de la cr�ation � la mise en oeuvre de projets europ�ens, et � promouvoir les contacts et la coop�ration entre eux en vue d�atteindre les principaux objectifs �nonc�s dans l�acte constitutif de l�unesco ; (c) � mettre � la disposition des autres r�gions les r�sultats de la coop�ration europ�enne ; (d) � encourager l�organisation r�guli�re de r�unions des pr�sidents ou repr�sentants des comit�s nationaux des pays europ�ens charg�s des programmes scientifiques intergouvernementaux en vue de pro mouvoir le d�veloppement des projets europ�ens dans le cadre de ces programmes et d�am�liorer encore les m�thodes de la coop� ration r�gionale ; (e) � d�velopper les r�seaux europ�ens de coop�ration scientifique dans le cadre des comit�s d�experts cr��s � la suite des conf� rences minespol ; (f) � poursuivre les �tudes europ�ennes conjointes dans les domaines de comp�tence de l�unesco ; (g) � mener des �tudes en commun sur la mise au point et l�application de nouvelles technologies dans les domaines de l�information et de la communication en europe ; (h) � faire mieux conna�tre, par les moyens appropri�s, le patrimoine culturel europ�en par-del� les fronti�res ; 2. recommande au directeur g�n�ral : (a) de tenir d�ment compte, lors de l��laboration du troisi�me plan � moyen terme et des programmes biennaux qui seront mis en oeuvre entre 1990 et 1995, des propositions pr�sent�es par les etats membres de la r�gion europe concernant l��largissement des programmes europ�ens ; (b) de cr�er des conditions plus propices au renforcement de la coop�ration scientifique et technologique en europe, notamment en tirant le meilleur parti possible des ressources offertes par le bureau de coop�ration scientifique pour l�europe ; (c) de favoriser davantage les activit�s et les mesures mises en oeuvre dans le cadre de la coop�ration europ�enne au cours de l�exercice 1988-1989, en faisant appel aux ressources du programme de participation.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public 18.2 coop�ration avec les commissions nationales la conf�rence g�n�rale, i rappelant l�article vii de l�acte constitutif de l�unesco et la charte des commissions nationales pour l�unesco, consid�rant que les commissions nationales, en tant qu�organes de consultation, de liaison, d�ex�cution et d�information ont un r�le important � jouer pour faire conna�tre les objectifs de l�unesco, �tendre son rayonnement et favoriser l�ex�cution de son programme, tant aux niveaux national, sous-r�gional et r�gional qu�inter r�gional, consid�rant qu�il importe en cons�quence de d�velopper la coop�ration de l�organisation avec les commissions nationales et de les aider � renforcer leur coop�ration mutuelle � tous les niveaux, ainsi qu�avec les organisations non gouvernementales, les fondations et les associations, centres et clubs unesco, 1. invite les etats membres : (a) � renforcer les activit�s des commissions nationales en donnant plein effet � l�article vii de l�acte constitutif de l�unesco et aux dispositions pertinentes de la charte des commissions nationales ; (b) � tirer davantage parti des comp�tences et de l�exp�rience des organisations non gouvernementales, des fondations et des associations, centres et clubs unesco, en les associant aux activit�s des commissions nationales aux niveaux national, sous-r�gional, r�gional et interr�gional ; 2. autorise le directeur g�n�ral � fournir, dans la mesure du possible, un soutien aux etats membres, sur leur demande, en vue de la cr�ation ou du d�veloppement de leurs commissions nationales respectives, notamment par la diffusion d�informations, par des services consultatifs et par des activit�s de formation qui permettent aux membres et au personnel de ces commissions nationales de mieux conna�tre les programmes et les m�thodes de travail de l�unesco et de mieux participer � son action ; 3. invite le directeur g�n�ral : (a) � continuer d�apporter aux commissions nationales tout le soutien possible afin qu�elles puissent participer activement � l��labora tion, � l�ex�cution et � l��valuation des programmes de
l�organisation ; (b) � encourager les commissions nationales � accro�tre leurs activit�s dans le domaine de l�information afin de pouvoir faire conna�tre au public le plus large les objectifs, le programme et les r�alisations de l�unesco ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public (c) � aider les commissions nationales � d�velopper leurs activit�s et � coop�rer entre elles en vue de promouvoir une r�flexion pluri disciplinaire et interculturelle dans les diff�rents domaines de comp�tence de l�unesco ; ii consid�rant le r�le important que jouent les commissions nationales en tant qu�organes consultatifs, ex�cutifs et d�information, et pour ce qui est d�associer � l�activit� de l�organisation les principaux organismes s�occupant d��ducation, de science, de culture et de communication, notant la n�cessit� de d�velopper et de renforcer les commissions natio nales, en particulier celles des pays en d�veloppement, pour leur permettre de s�acquitter efficacement de leurs fonctions et de jouer un r�le plus actif dans les activit�s de l�organisation, rappelant sa r�solution 23 c/18.3, par laquelle elle invitait notamment le directeur g�n�ral "� continuer d�apporter aux commissions natio nales tout le soutien n�cessaire afin qu�elles soient en mesure de participer pleinement � l��laboration, � l�ex�cution et � l��va luation des programmes de l�organisation" et "� maintenir le personnel et le budget du programme de coop�ration avec les commissions nationales � un niveau suffisamment �lev�, compte tenu en particulier des besoins des commissions nationales des pays en d�veloppement", 4. d�cide, afin d�assurer la mise en oeuvre du programme de coop�ration avec les commissions nationales pr�vu aux paragraphes 15457 � 15460 du document 24 c/5, et notamment l�organisation de trois conf�rences r�gionales de commissions nationales ainsi que l�ex�cution du programme de formation destin� aux fonctionnaires de ces commissions, d�augmenter de 200.000 dollars le montant des cr�dits pr�vus auxdits paragraphes par transfert d�un montant �quivalent pr�lev� sur les fonds pr�vus au paragraphe 15461 ; 5. invite le directeur g�n�ral � veiller � ce que les fonds affect�s au programme de participation pour le soutien des commissions nationales qui sont pr�vus au paragraphe 15461 du document 24 c/5 soient int�gralement utilis�s pour les activit�s �num�r�es audit paragraphe, et � tout mettre en oeuvre pour accro�tre dans le prochain projet de programme et de budget les fonds affect�s au programme de participation en vue de la coop�ration avec les commissions nationales ; 6. invite en outre le directeur g�n�ral � renforcer, au secr�tariat,
l�unit� des commissions nationales, en la dotant d�un effectif suffisant pour lui permettre de s�acquitter efficacement des t�ches qui lui sont assign�es.
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document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public (c) de renforcer le syst�me d�information sur les organisations inter nationales non gouvernementales � l�intention des etats membres, et notamment des commissions nationales, afin de faire mieux conna�tre le r�le que ces organisations peuvent jouer dans le d�veloppement de la coop�ration multilat�rale dans les domaines de comp�tence de l�unesco ; (d) de soutenir l�action des organisations internationales non gouver nementales tendant � informer le public sur les objectifs et programmes de l�unesco ; (e) de promouvoir, en mati�re d�information du public, la coop�ration avec les organisations internationales non gouvernementales regroupant des parlementaires ainsi qu�avec les responsables muni cipaux int�ress�s � la coop�ration internationale dans les domaines de comp�tence de l�unesco ; 4. invite le directeur g�n�ral � associer, dans toute la mesure du possible, les organisations internationales non gouvernementales � l�ex�cution du programme de l�organisation et � �tudier les modalit�s selon lesquelles la coop�ration des organisations non gouvernementales comp�tentes � la mise en oeuvre des projets op�rationnels pourrait �tre renforc�e ; 5. d�cide, conform�ment aux dispositions de l�article vi.7 des directives pr�cit�es, que le montant total des subventions accord�es aux organi sations internationales non gouvernementales, dans le cadre de chaque grand programme, ne d�passera pas les montants ci-apr�s :
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du d�veloppement culturel, rappelant � ce propos sa r�solution 18 c/4.351, dans laquelle elle avait autoris� le directeur g�n�ral � publier un calendrier biennal des anniversaires de personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques, prenant en consid�ration le voeu des etats membres de l�unesco de voir reprendre la publication du calendrier, 1. recommande au directeur g�n�ral de reprendre la pr�paration, en vue de sa publication � partir de 1990, du calendrier unesco des anni versaires de personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques et de prendre les dispositions voulues � cette fin dans la section iv (relations publiques) du chapitre 4 du titre ii.b, en ajoutant � la fin du paragraphe 15470 du document 24 c/5 la phrase suivante : "en 1989, un calendrier des anniversaires (centenaires ou multiples de centenaires) de personnalit�s �minentes et d��v� nements historiques dans les domaines de l��ducation, de la
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public science, de la culture et de la communication sera �labor� pour les ann�es 1990-1991 � partir des renseignements transmis par les commissions nationales et largement diffus�" ; 2. invite les commissions nationales pour l�unesco � soumettre au directeur g�n�ral des listes s�lectives d�anniversaires. 18.62 centi�me anniversaire de la naissance de phya anuman rajadhon la conf�rence g�n�rale, consid�rant l�intention du gouvernement du royaume de tha�lande de c�l�brer le centi�me anniversaire de la naissance de phya anuman rajadhon le 14 d�cembre 1988, et la demande dudit gouvernement tendant � ce que phya anuman rajadhon figure au nombre des personnalit�s faisant l�objet d�une comm�moration internationale, rappelant le succ�s du bicentenaire de sunthon phu, c�l�br� en 1987, et la participation de l�unesco aux activit�s comm�moratives, reconnaissant que phya anuman rajadhon fut un grand �rudit dont la contri bution au monde litt�raire sera toujours pr�sente dans les m�moires et appr�ci�e, et qu�il fut la lumi�re qui guida ses contemporains et les g�n�rations suivantes vers la v�rit�, le bien et la beaut�, consid�rant que la c�l�bration internationale des anniversaires de person nalit�s �minentes du monde intellectuel et culturel concourt � la r�alisation des objectifs de l�unesco et � la promotion de l�appr�ciation mutuelle des identit�s nationales et des valeurs culturelles, rappelant que par sa r�solution 18 c/4.351, elle a encourag� la c�l�bration des anniversaires de personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques importants, invite le directeur g�n�ral, dans la limite des ressources budg�taires
pr�vues dans le document 24 c/5, � associer l�unesco aux activit�s organis�es � l�occasion de cet anniversaire dans les etats membres. 18.63 cinq centi�me anniversaire de la naissance de thomas m�nzer la conf�rence g�n�rale, convaincue que l�appr�ciation des grandes figures de l�histoire contribue � la compr�hension internationale, au respect mutuel et � la connaissance r�ciproque des peuples, rappelant que dans sa r�solution 18 c/4.351, elle a recommand� que soient c�l�br�s les anniversaires de personnalit�s et d��v�nements dans les etats membres qui ont marqu� le d�veloppement de l�humanit�,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public notant que l�ann�e 1989 marquera le cinq centi�me anniversaire de la naissance du pr�dicateur progressiste thomas m�nzer, consid�rant que thomas m�nzer a �t� l�une des personnalit�s �minentes de la r�forme en allemagne et de la premi�re r�volution bourgeoise dont l�inspiration est venue pour une part d�autre pays et qui ont marqu� � leur tour l�histoire de l�europe et du monde, ayant � l�esprit que l�oeuvre de m�nzer, qui unissait la pens�e th�ologique et l�action pratique, �tait profond�ment impr�gn�e du souci de lib�rer les opprim�s, de parvenir � l��galit� et � la justice et d�assurer � tous des conditions de vie d�centes, consid�rant que les aspirations de thomas m�nzer co�ncident avec les objec tifs et id�aux humanistes de l�unesco, 1. invite l�unesco et ses etats membres � participer aussi largement que possible � la c�l�bration du cinq centi�me anniversaire de la naissance de thomas m�nzer ; 2. invite les organisations internationales non gouvernementales associ�es � l�unesco � tenir d�ment compte du cinq centi�me anniversaire de la naissance de thomas m�nzer. 18.64 centi�me anniversaire de la naissance d�anton semionovitch makarenko la conf�rence g�n�rale, convaincue que la c�l�bration internationale d�anniversaires de person nalit�s �minentes constitue une contribution importante � la r�alisation des objectifs de l�unesco li�s au d�veloppement de la compr�hension et de la coop�ration internationales, rappelant sa r�solution 18 c/4.351 relative � la c�l�bration des anniver saires de personnalit�s �minentes et d��v�nements importants, consid�rant que l�ann�e 1988 sera celle du centenaire de la naissance d�anton semionovitch makarenko, grand �crivain et p�dagogue sovi� tique dont l�activit� a exerc� une influence consid�rable sur l��volution ult�rieure de la p�dagogie, l��laboration des m�thodes d�enseignement ainsi que le d�veloppement moral et l��ducation cr�ative de la jeunesse,
1. appelle la communaut� scientifique et culturelle des etats membres de l�unesco � c�l�brer largement cet anniversaire marquant ; 2. invite le directeur g�n�ral � assurer dans toute la mesure du possible la participation de l�unesco � la c�l�bration du centenaire de la naissance d�anton semionovitch makarenko et � faire largement conna�tre cette date marquante � l�opinion mondiale, notamment en faisant para�tre dans les publications pertinentes de l�organisation un certain nombre d�articles consacr�s � l�oeuvre de cet �minent �crivain et p�dagogue.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public 18.65 centi�me anniversaire de la naissance du pr�sident h� Chi minh la conf�rence g�n�rale, consid�rant que la c�l�bration internationale des anniversaires d��minentes personnalit�s du monde intellectuel et culturel contribue � la r�alisation des objectifs de l�unesco ainsi qu�� la compr�hension internationale, rappelant sa r�solution 18 c/4.351 relative � la c�l�bration des anniver saires de personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques importants qui ont marqu� le d�veloppement de l�humanit�, notant que 1990 marquera le centi�me anniversaire de la naissance du pr�sident h� Chi minh, h�ros de la lib�ration nationale et �minent homme de culture du viet nam, consid�rant que le pr�sident h� Chi minh, �minent symbole de l�affirmation nationale, a consacr� toute sa vie � la lib�ration nationale du peuple vietnamien, contribuant � la lutte commune des peuples pour la paix, l�ind�pendance nationale, la d�mocratie et le progr�s social, consid�rant que la contribution importante et multiforme du pr�sident h� Chi minh dans les domaines de la culture, de l��ducation et des arts cristallise la tradition culturelle plusieurs fois mill�naire du peuple vietnamien, que ses id�aux incarnent les aspirations des peuples dans l�affirmation de leur identit� culturelle et la promotion de la compr�hension mutuelle, 1. recommande aux etats membres de se joindre � la c�l�bration du centi�me anniversaire de la naissance du pr�sident h� Chi minh, en rendant hommage � sa m�moire par diff�rentes manifestations destin�es � faire conna�tre la grandeur de ses id�aux et de son action de lib�ration nationale ; 2. prie le directeur g�n�ral de l�unesco de prendre les mesures appropri�es pour c�l�brer le centi�me anniversaire de la naissance du pr�sident h� Chi minh et d�apporter son soutien aux activit�s de comm�moration organis�es � cette occasion, et en particulier � celles qui auront lieu au viet nam. 18.66 centi�me anniversaire de la naissance de jawaharlal nehru la conf�rence g�n�rale,
consid�rant que le 14 novembre 1989 sera le centi�me anniversaire de la naissance de jawaharlal nehru, l�une des plus grandes figures du xxe si�cle, grand champion des mouvements de lib�ration et de la solidarit� internationale, dirigeant d�envergure mondiale qui a �pous� la cause de l��galit� entre les hommes et entre les nations et de l�unit� de l�esp�ce humaine,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 18 relations ext�rieures et information du public consid�rant en outre que jawaharlal nehru a consacr� sa vie � la promotion de la paix et de la compr�hension internationale, reconnaissant que ses travaux savants font partie int�grante du patri moine culturel mondial, soulignant l�int�r�t particulier que rev�t pour notre temps la vision que jawaharlal nehru avait de la paix mondiale, de la compr�hension et de l�amiti� entre les peuples et entre les nations, et d�un ordre mondial dans lequel les diff�rentes cultures nationales sont appr�ci�es par l�humanit� dans son ensemble, consid�rant que jawaharlal nehru a �t� salu� dans le monde entier comme un homme de culture universelle et que la c�l�bration internationale des anniversaires de personnalit�s �minentes de la science et de la culture apporte une importante contribution � la r�alisation des objectifs de l�unesco touchant la promotion de la compr� hension et de la coop�ration internationales, rappelant sa r�solution 18 c/4.351 relative � la comm�moration des anniversaires de personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques, invite le directeur g�n�ral � mener une s�rie d�activit�s pratiques ayant pour objet de faire participer l�unesco � la c�l�bration du centi�me anniversaire de la naissance de jawaharlal nehru et � associer l�organisation aux manifestations organis�es dans les etats membres � cette occasion. 18.67 quatre centi�me anniversaire de la mort de l�architecte sinan la conf�rence g�n�rale, consid�rant que 1988 marquera le quatre centi�me anniversaire de la mort de sinan, architecte turc de renomm�e mondiale, dont les oeuvres monumentales s��l�vent sur le territoire actuel de la turquie et de plusieurs pays balkaniques et arabes, consid�rant en outre que les oeuvres architecturales de sinan font partie int�grante du patrimoine culturel de l�humanit�,
soulignant l�int�r�t tout particulier que g�n�rations d�architectes et d�historiens que sinan a l�gu�es � la post�rit� et qui exceptionnelle � la connaissance mutuelle
rev�tent, pour les nouvelles de l�art, les 304 oeuvres contribuent d�une fa�on des cultures,
rappelant que l�un de ses chefs-d�oeuvre, l�ensemble architectural de la mosqu�e s�leymaniye � Istanbul, s�inscrit dans le plan d�action de la campagne internationale lanc�e par l�unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel d�istanbul et de g�reme, rappelant sa r�solution 18 c/4.351 relative � la comm�moration des anniversaires des personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 19 programme de participation consid�rant que la c�l�bration internationale des anniversaires des personnalit�s �minentes de la science et de la culture constitue une importante contribution � la r�alisation des buts de l�unesco, invite les etats membres et l�unesco � s�associer par des activit�s cultu relles � la c�l�bration, en 1988, du quatre centi�me anniversaire de la mort de l�architecte sinan. 19 programme de participation 19.1 programme de participation la conf�rence g�n�rale, autorise le directeur g�n�ral � participer aux activit�s des etats membres sur le plan national, sous-r�gional, r�gional ou interr�gional, conform�ment aux principes et conditions ci-apr�s : a. principes 1. le programme de participation constitue un moyen d�atteindre les objec tifs approuv�s et permet � l�organisation de s�associer, dans les domaines d�finis par la conf�rence g�n�rale, aux activit�s par lesquelles ses etats membres participent � la poursuite des objectifs de l�unesco. 2. tous les etats membres et membres associ�s peuvent b�n�ficier du programme de participation pour entreprendre des activit�s dans les domaines approuv�s par la conf�rence g�n�rale. 3. la participation ne peut �tre apport�e que sur demande �crite adress�e au directeur g�n�ral par un etat membre ou un membre associ�, un groupe d�etats membres ou de membres associ�s, ou des territoires, organi sations ou institutions ; cette demande doit toujours comporter une clause d�acceptation des conditions �nonc�es � l�article 9 ci-dessous. 4. la participation peut �tre apport�e : (a) � des institutions nationales dans les domaines de comp�tence de l�unesco, sur demande adress�e au directeur g�n�ral par le gouver nement de l�etat membre ou du membre associ� sur le territoire duquel elles sont situ�es ; (b) � des territoires non autonomes ou � des territoires sous tutelle, � la demande de l�etat membre responsable de la conduite des relations ext�rieures du territoire ; (c) pour des activit�s de caract�re sous-r�gional, r�gional ou inter r�gional, sur demande adress�e au directeur g�n�ral par l�etat membre ou le membre associ� sur le territoire duquel l�activit�
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 19 programme de participation doit avoir lieu ; cette demande doit �tre appuy�e, au moment de sa pr�sentation, par au moins deux autres etats membres ou membres associ�s participant � l�activit� ; (d) � des organisations intergouvernementales et, en particulier, � celles qui ont sign� un accord de coop�ration avec l�unesco, lorsque la participation demand�e est en rapport direct avec le programme de l�unesco et qu�elle doit concourir � des activit�s int�ressant directement plusieurs etats membres ; (e) � des organisations internationales non gouvernementales b�n�fi ciant du statut consultatif aupr�s de l�unesco, sur demande adress�e au directeur g�n�ral, au nom de l�organisation inter nationale non gouvernementale concern�e, par le gouvernement de l�etat membre ou du membre associ� sur le territoire duquel elle a son si�ge ou dans lequel l�activit� pr�vue sera entreprise ; (f) � des institutions non gouvernementales, r�gionales ou internationales, oeuvrant dans les domaines de comp�tence de l�unesco, sur demande adress�e au directeur g�n�ral, au nom de l�institution, par le gouvernement de l�etat membre sur le territoire duquel elle est situ�e ; la demande doit �tre appuy�e, au moment de sa pr�sentation, par au moins deux autres etats membres participant aux activit�s de l�institution ; (g) � l�organisation de l�unit� africaine, pour des activit�s int�ressant directement les mouvements de lib�ration d�afrique reconnus par elle, lorsque cette participation est en rapport direct avec le programme de l�unesco, en facilitant au maximum les modalit�s pratiques de son obtention ; (h) � la ligue des etats arabes et � l�organisation arabe pour l��ducation, la culture et la science, lorsque la participation demand�e doit concourir � des activit�s int�ressant directement l�organisation de lib�ration de la palestine reconnue par la ligue des etats arabes et lorsque cette participation est en rapport direct avec le programme de l�unesco, en facilitant au maximum les modalit�s pratiques de son obtention. 5. la participation ne sera apport�e que sur la base d�un accord �crit entre l�unesco et le ou les gouvernements ou l�organisation intergouvernementale int�ress�s. des accords peuvent �tre pass�s avec des commissions nationales pour l�unesco si le gouvernement de l�etat membre ou du membre associ� dont �mane la demande leur en donne le pouvoir. les accords pr�ciseront la forme et les modalit�s de la participation et �num�reront explicitement les conditions de participation �nonc�es � la section b ci-apr�s ainsi que toutes autres conditions qui seraient fix�es d�un commun accord. 6. la participation peut consister � envoyer des sp�cialistes, � attribuer des bourses, ou encore � fournir de l��quipement, du mat�riel ou de la documentation, � organiser des r�unions, conf�rences, s�minaires ou cours de formation. dans ces derniers cas, la participation pourra
aussi consister � fournir des services de traduction et d�interpr�tation, � prendre en charge les frais de voyage des participants, � envoyer des consultants ou � fournir tout autre service jug� n�cessaire d�un commun accord.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 19 programme de participation 7. la participation peut aussi �tre apport�e en faveur de projets pr�cis sous la forme d�une contribution financi�re si le directeur g�n�ral estime qu�une telle contribution est le moyen le plus efficace d�ex�cuter l�activit� envisag�e et � condition que le montant de la contribution ne d�passe pas 25.000 dollars des etats-unis d�am�rique et que des moyens suffisants soient pr�vus par le demandeur en vue de mener � bonne fin le projet envisag�. 8. lors de l�approbation des demandes au titre de ce programme, le directeur g�n�ral tiendra compte : (a) de la contribution que peut apporter la participation au progr�s du savoir, au renforcement de la coop�ration internationale et � la r�alisation des objectifs de d�veloppement des etats membres dans les domaines de comp�tence de l�unesco et dans le cadre des activit�s de programme approuv�es par la conf�rence g�n�rale ; (b) de la n�cessit� d�assurer une r�partition g�ographique �quitable de la participation apport�e au titre de ce programme ; (c) de l�importance qu�ilya� soutenir les efforts d�ploy�s par les pays en d�veloppement et, en particulier, par les moins avanc�s d�entre eux, dans les domaines de comp�tence de l�organisation ; (d) des priorit�s d�termin�es par les etats membres. b. conditions 9. la participation ne sera effective que si l�etat membre ou l�organisation b�n�ficiaire a inclus dans la demande �crite adress�e au directeur g�n�ral une clause d�acceptation des conditions ci-apr�s : (a) assumer l�enti�re responsabilit� financi�re et administrative de l�application des plans et programmes pour lesquels la participation est apport�e ; (b) dans le cas d�une contribution financi�re, pr�senter au directeur g�n�ral, une fois le projet termin�, une d�claration indiquant que les cr�dits allou�s ont �t� utilis�s pour l�ex�cution du projet et rembourser � l�unesco le solde des cr�dits non utilis�s. il est entendu qu�aucun etat membre ou organisme ne pourra b�n�ficier d�une contribution financi�re s�il n�a pas soumis tous les rapports financiers et justificatifs concernant les contributions ant�rieurement approuv�es par le directeur g�n�ral et pour lesquelles les fonds ont �t� engag�s avant le 31 d�cembre de la premi�re ann�e de l�exercice financier pr�c�dent ; (c) prendre � sa charge, si la participation consiste � attribuer des bourses, les frais de passeports, de visas et d�examen m�dical des boursiers et, s�ils sont salari�s, le paiement de leur traitement pendant leur s�jour � l��tranger, et s�engager � assurer une utilisation ad�quate des b�n�ficiaires � leur retour dans leur pays d�origine ; (d) se charger de l�entretien et de l�assurance tous risques de tous �quipements ou mat�riels fournis par l�unesco d�s leur arriv�e � destination ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. 19 programme de participation (e) s�engager � mettre l�unesco � couvert de toutes r�clamations ou responsabilit�s r�sultant des activit�s pr�vues dans la pr�sente r�solution, sauf dans les cas o� l�Unesco et l�etat membre int�ress� seraient d�accord pour consid�rer que ces r�clamations ou responsabilit�s r�sultent d�une n�gligence grave ou d�une faute d�lib�r�e ; (f) accorder aux membres du personnel recrut�s dans le cadre du programme de participation qui sont fonctionnaires de l�unesco le b�n�fice des privil�ges et immunit�s d�finis aux articles vi et vii de la convention sur les privil�ges et immunit�s des insti tutions sp�cialis�es. accorder aux membres du personnel recrut�s dans le cadre du programme de participation qui ne sont pas fonc tionnaires de l�unesco le b�n�fice des privil�ges et immunit�s vis�s au paragraphe 3 de l�annexe iv � ladite convention ; leur r�mun�ration sera exon�r�e d�imp�ts et ils ne seront soumis ni aux mesures restrictives relatives � l�immigration ni aux formalit�s d�enregistrement des �trangers. aucune restriction ne sera apport�e aux droits d�entr�e et de s�jour des personnes vis�es au pr�sent alin�a, ni d�aucune des personnes invit�es � participer � des r�unions, s�minaires, conf�rences ou cours de formation ; aucune restriction ne sera non plus apport�e au droit de d�part de ces personnes, except� les cas d�actes ou d�omissions sans rapport avec le programme de participation de l�unesco. 10. si l�etat membre int�ress� demande que du personnel d�assistance op�ra tionnelle (unescopas) soit fourni pour ex�cuter un projet relevant du programme de participation, le directeur g�n�ral pourra, en tant que de besoin, suspendre l�application de clauses de la pr�sente r�solution. 19.2 etude sur les privil�ges et immunit�s des personnels recrut�s dans le cadre du programme de participation la conf�rence g�n�rale, ayant saisi son comit� juridique d�un projet de r�solution sur les privi l�ges et immunit�s des institutions sp�cialis�es, en particulier en ce qui concerne les personnels recrut�s dans le cadre du programme de participation, prenant note de l�avis formul� par le comit� juridique au sujet de ce projet de r�solution, invite le directeur g�n�ral � entreprendre une �tude sur la question qui sera soumise � l�appr�ciation du conseil ex�cutif en vue de la pr�sentation d�un rapport � la conf�rence g�n�rale � sa vingtcinqui�me session.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. iv services de soutien du programme1 20 publications de l�unesco 20.1 office des presses de l�unesco la conf�rence g�n�rale, soulignant l�importance des publications de l�unesco pour l�ex�cution du programme de l�organisation et pour une meilleure connaissance de ses activit�s par les diff�rentes communaut�s intellectuelles du monde et par le public, rappelant ses r�solutions 23 c/20.1 et 23 c/20.2, invite le directeur g�n�ral � poursuivre ses efforts tendant � am�liorer le contenu, la qualit�, la diffusion et la commercialisation des publications de l�unesco : (a) en s�entourant des avis : (i) du conseil des publications, charg� de le conseiller sur la politique g�n�rale de l�organisation en mati�re de publi cations, et de lui soumettre en particulier des recomman dations concernant le plan des publications de l�unesco ; (ii) du comit� de lecture, charg� de contribuer, en �troite liaison avec les secteurs du programme, � la d�finition des publics vis�s et � l�examen des manuscrits pour s�assurer de leur qualit� et de leur conformit� avec le plan des publications ; (b) en veillant � avoir plus largement recours aux contrats de co�dition en vue d�assurer une plus grande diversification linguistique des ouvrages, de r�duire les frais d��dition et d��tendre la diffusion des publications ; 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commissioni�la29e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. services de soutien du programme (c) en renfor�ant dans toute la mesure du possible la d�centralisation des activit�s de fabrication, de promotion et de diffusion des publications. 20.2 publications de l�unesco la conf�rence g�n�rale, 1. prend note du document 127 ex/17 intitul� "rapport du directeur g�n�ral sur les publications" que le conseil ex�cutif a examin� � sa 127e session ; 2. fait siennes les dispositions de la d�cision 127 ex/5.6.1 que le conseil ex�cutif a adopt�e � ce sujet.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. budget r�solution portant ouverture de cr�dits pour 1988-19891 la conf�rence g�n�rale d�cide ce qui suit : i. programme ordinaire a. ouverture de cr�dits (a) pour l�exercice financier 1988-1989, il est ouvert par les pr�sentes des cr�dits d�un montant global de 350.386.000 dollars aux fins ci-apr�s : 1. r�solution adopt�e � la 37e s�ance pl�ni�re, le 20 novembre 1987.
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le directeur g�n�ral fera tout son possible pour maintenir�5%le taux d�abattement pour d�lais de recrutement, �tant entendu cependant que toute augmentation des d�penses de personnel qui pourrait se produire en cas de modification de ce taux devra �tre absorb�e dans les limites du budget approuv�. (b) il pourra �tre engag� des d�penses jusqu�� concurrence du total des cr�dits ouverts aux titres i � Viii du budget, conform�ment aux r�solu tions de la conf�rence g�n�rale et aux r�glements de l�organisation, �tant entendu que :
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. budget (i) la r�serve budg�taire pr�vue au titre vii du budget pourra �tre utilis�e par le directeur g�n�ral, avec l�approbation du conseil ex�cutif, pour couvrir : les augmentations pendant l�exercice biennal, en application des d�cisions de la conf�rence g�n�rale, des d�penses de personnel pr�vues au titresi�VIdu budget ; les augmentations pendant l�exercice biennal des d�penses de biens et services pr�vus aux titresi�VIdu budget. toute somme pr�lev�e en vertu de cette autorisation sera vir�e du titre vii du budget � l�article budg�taire appropri� ; (ii) la provision destin�e � couvrir les fluctuations du cours du dollar des etats-unis d�am�rique, qui figure au titre viii du budget et qui a �t� fix�e sur la base d�un taux de change de 6,04 francs fran�ais et de 1,50 franc suisse pour un dollar des etats-unis, pourra �tre utilis�e par le directeur g�n�ral, le cas �ch�ant, lorsque les taux de change du dollar des etats-unis par rapport aux francs fran�ais et suisse seront inf�rieurs � ceux qui sont pr�vus (6,45 francs et 2,01 francs suisses pour un dollar des etats-unis) aux titresi�VIdu budget approuv� par la conf�rence g�n�rale. inversement, si les taux de change du dollar des etats-unis par rapport aux francs fran�ais et suisse sont sup�rieurs � ceux qui sont pr�vus (soit 6,45 francs fran�ais et 2,01 francs suisses pour un dollar des etats-unis) aux titres i � Vi du budget approuv� par la conf�rence g�n�rale, les sommes ainsi �conomis�es seront port�es par le directeur g�n�ral au cr�dit du titre viii du budget. toutefois, les sommes inscrites au titre viii ne pourront en aucun cas �tre vir�es � d�autres fins, nonobstant les dispositions des paragraphes (d) et (e) ci-apr�s. en cas d��cart entre l��quivalent en dollars des etats-unis des contributions payables en francs fran�ais converties au taux de change de 6,04 francs fran�ais pour un dollar et l��quivalent en dollars des etats-unis de ces contribu-tions converties au taux de change op�rationnel des nations unies en vigueur � la date de leur enregistrement au cr�dit d�un compte bancaire de l�organisation, la somme correspondant � cet �cart sera port�e, selon le cas, au d�bit ou au cr�dit du titre viii. (c) de plus, si � la fin de l�exercice biennal, il subsiste au titre viii un solde cr�diteur ou d�biteur, pouvant �tre d� � l�une des causes suivantes : (i) le profil des d�penses en francs fran�ais est diff�rent de celui des rentr�es de contributions mises en recouvrement dans cette monnaie pour l�exercice biennal, (ii) le pourcentage effectif des d�penses en francs fran�ais est diff�rent du pourcentage estimatif utilis� pour le calcul des contributions des etats membres, (iii) le taux de change du dollar des etats-unis par rapport au franc suisse est inf�rieur ou sup�rieur au taux de 1,50 franc suisse
pour un dollar, ce solde sera ajout� au montant estimatif des recettes diverses pour 1992-1993 ou retranch� de ce montant selon le cas.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. budget (d) (e) (f) (g) (h) (i) sous r�serve des dispositions du paragraphe (e) ci-dessous, le directeur g�n�ral peut op�rer des virements de cr�dits avec l�approbation du conseil ex�cutif ; toutefois, dans des cas urgents et particuliers, le directeur g�n�ral peut op�rer des virements de cr�dits, en fournissent par �crit aux membres du conseil ex�cutif, lors de la session qui suit cette op�ration, des pr�cisions sur les virements et sur les raisons qui les ont motiv�s. sous r�serve de la restriction concernant le titre viii du budget �nonc�e � l�alin�a (ii) du paragraphe (b) ci-dessus, le directeur g�n�ral est autoris� � op�rer des virements de cr�dits si le montant estimatif des d�penses correspondant � un article budg�taire donn� est sup�rieur au cr�dit ouvert au paragraphe (a) ci-dessus en raison du changement dans la proportion des d�penses en francs fran�ais, en dollars des etats-unis et en d�autres monnaies par rapport � celle pr�vue lors de la pr�paration du budget. il est �galement autoris� � op�rer des virements entre les cr�dits pr�vus pour les d�penses communes de personnel si les besoins r�els au titre d�un article budg� taire correspondant � ces d�penses sont sup�rieurs aux cr�dits ouverts � ces fins. il fera conna�tre au conseil ex�cutif, � sa session suivante, les d�tails des virements op�r�s en vertu des pr�sentes autorisations. le directeur g�n�ral est autoris�, avec l�approbation du conseil ex� cutif, � ajouter aux cr�dits ouverts au paragraphe (a) ci-dessus les fonds relatifs aux services d�administration et d�ex�cution qu�exige la mise en oeuvre des projets du programme des nations unies pour le d�ve loppement, dans la mesure o� le volume de ces projets se r�v�le plus grand que pr�vu et o� les services suppl�mentaires correspondants peuvent �tre financ�s � l�aide des contributions vers�es � l�unesco par le programme des nations unies pour le d�veloppement au titre des d�penses d�appui des organisations pour 1988-1989 en sus du montant sp�cifi� dans la note 1, paragraphe (iii), de la pr�sente r�solution. inversement, si le volume des projets et des services correspondants se r�v�le moindre que pr�vu, le directeur g�n�ral est autoris� � prendre, avec l�approbation du conseil ex�cutif, des mesures appropr�es pour r�duire les cr�dits ouverts au paragraphe (a) ci-dessus. le nombre des postes �tablis au si�ge et hors si�ge imputables sur les
cr�dits ouverts au paragraphe (a) ci-dessus est de 2.081 en 1988 et de 2.082 en 1989 (voir la note 2 ci-apr�s). le directeur g�n�ral pourra n�anmoins cr�er, � titre temporaire, des postes suppl�mentaires en exc�dent de ce total, s�il estime que leur cr�ation est indispensable � l�ex�cution du programme et � la bonne administration de l�organisa tion, et si elle n�exige pas de virements de fonds que le conseil ex�cutif doive approuver. b. recettes diverses pour le calcul des contributions des etats membres, un montant estimatif de 14.510.640 dollars au titre des recettes diverses (voir la note 1 ci-apr�s) est approuv� pour 1988-1989. le montant estimatif des recettes diverses de 14.510.640 dollars inclut la somme de 4.025.200 dollars repr�sentant le premier versement � restituer aux recettes diverses en 1988-1989 au titre de l�amortis sement du compte pour le versement des primes et indemnit�s de cessation de service en application de la r�solution 38 adopt�e par la
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. budget conf�rence g�n�rale � sa vingt-troisi�me session et de la d�cision 4.2 (par. 174 (d)) adopt�e par le conseil ex�cutif � sa 125e session. conform�ment � ces r�solutions, le directeur g�n�ral est autoris� � prendre des mesures d�aust�rit� afin d�effectuer des �conomies de 4.025.200 dollars � l�int�rieur des cr�dits ouverts par la conf�rence g�n�rale pour 1988-1989 "sans affecter l�int�grit� du programme" (23 c/r�solutions, 38, par. 2(c)). c. montant des contributions des etats membres (j) conform�ment aux dispositions des articles 5.1 et 5.2 du r�glement financier, le montant des contributions des etats membres s��l�vera donc � 335.875.360 dollars. d. pr�visions suppl�mentaires (k) les d�penses impr�vues et in�vitables rendues n�cessaires au cours de l�exercice financier, pour lesquelles aucun cr�dit n�a �t� pr�vu au budget et pour lesquelles le conseil ex�cutif jugerait impossible de proc�der � des virements � l�int�rieur du budget, feront l�objet de pr�visions de d�penses suppl�mentaires, conform�ment aux dispositions des articles 3.8 et 3.9 du r�glement financier. ii. sources des nations unies (1) le directeur g�n�ral est autoris� : (i) � coop�rer avec les organisations et programmes du syst�me des nations unies, conform�ment aux directives de l�assembl�e g�n�rale des nations unies et aux proc�dures et d�cisions de l�organe directeur int�ress�, et en particulier � participer, en tant qu�agent d�ex�cution ou en coop�ration avec un autre agent d�ex�cution, � la mise en oeuvre de projets ; (ii) � recevoir toutes sommes et autres ressources que ces organisa tions et programmes pourraient mettre � la disposition de l�unesco pour lui permettre de participer, en tant qu�agent d�ex�cution, � la mise en oeuvre de leurs projets ; (iii) � engager des d�penses pour l�ex�cution de ces projets, compte tenu des dispositions des r�glements financiers et administratifs appropri�s de ces organisations et programmes et de l�unesco. iii. autres fonds (m) le directeur g�n�ral peut, conform�ment au r�glement financier, rece voir des contributions des etats membres et des organisations inter nationales, r�gionales ou nationales, de caract�re gouvernemental ou non gouvernemental, pour le paiement, sur leur demande, de traitements et indemnit�s de personnel, de bourses, de subventions, de mat�riel et autres d�penses connexes, afin d�assurer l�ex�cution de certaines t�ches conformes aux objectifs, aux orientations et aux activit�s de l�organisation.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. budget note 1 : le montant total des recettes diverses repose sur les estimations suivantes :
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. budget note 2 : les chiffres de 2.081 postes en 1988 et 2.082 postes en 1989 reposent sur les estimations suivantes :
1. comprend les cinq postes pr�vus au budget du grand programme i et les quatre postes pr�vus au budget du grand programme xiv, qui sont rattach�s au bureau d��tudes et de programmation.
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marge permettant au directeur g�n�ral de cr�er des postes, dans la limite de 4 % du nombre de ceux inscrits au budget approuv� par la conf�rence g�n�rale, afin de r�pondre aux exigences du programme 83 83 ces chiffres ne comprennent pas les postes temporaires, les postes d�ex perts unescopas, le personnel d�entretien et de s�curit�/1, ni les postes �tablis imputables sur des activit�s conjointes ou sur des fonds extrabudg�taires (par exemple, les postes imputables sur le fonds d�information, de liaison et de relations avec le public, le fonds des publications et du mat�riel auditif et visuel, etc.) ; en vertu de la pr�sente disposition, le directeur g�n�ral peut autoriser la substitution temporaire d�un poste � un autre poste qui se trouve vacant. 1. les postes du personnel d�entretien et de s�curit� (au nombre de 278 pour 1988 et 287 pour 1989) sont inclus dans le budget des d�penses de personnel des secteurs concern�s.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. vi r�solutions g�n�rales1 22 22.1 22.2 contribution de l�unesco � la paix et t�ches de l�unesco en ce qui concerne la promotion des droits de l�homme et l��limination du colonialisme et du racisme application des r�solutions 22 c/18 et 23 c/24 relatives � la contribution de l�unesco � la paix et aux t�ches de l�unesco en ce qui concerne la promotion des droits de l�homme et l��limination du colonialisme et du racisme/2 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le point 6.3 de son ordre du jour (contribution de l�unesco � la paix et t�ches de l�unesco en ce qui concerne la promotion des droits de l�homme et l��limination du colonialisme et du racisme), 1. prend note avec satisfaction du rapport pr�sent� par le directeur g�n�ral dans le document 24 c/17 ; 2. invite le directeur g�n�ral � suivre les progr�s accomplis dans l�application des r�solutions 22 c/18 et 23 c/24 et � pr�senter un rapport � ce sujet � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session. appui � l�accord d�esquipulas ii la conf�rence g�n�rale, consid�rant que l�accord d�esquipulas ii, sign� � guatemala, le 7 ao�t 1987, par les pr�sidents des r�publiques du costa rica, d�el salvador, du guatemala, du honduras et du nicaragua, consacre 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commissionv�la36e s�ance
pl�ni�re, le 19 novembre 1987. 2. r�solution adopt�e sur la proposition du bureau de la conf�rence g�n� rale � la 26e s�ance pl�ni�re, le 6 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales la d�termination des pays d�am�rique centrale d�assumer pleinement la t�che historique qui consiste � forger un destin de paix pour l�am�rique centrale, consid�rant que les peuples d�am�rique centrale souhaitent parvenir � une situation de paix, de stabilit�, de d�veloppement et de justice, selon leur volont� propre et leur exp�rience historique, sans interventions ext�rieures et dans le respect des principes de libre d�termination et de non-ing�rence, reconnaissant que le groupe de contadora form� par la colombie, le mexique, le panama et le venezuela, et son groupe de soutien, compos� de l�argentine, du br�sil, du p�rou et de l�uruguay, ont accompli une t�che remarquable en faveur de la paix en am�rique centrale et ont r�affirm� qu�il appartient aux nations de la r�gion de prendre les d�cisions voulues pour atteindre ce but, rappelant qu�en 1985, l�unesco a d�cern� le prix simon bolivar au groupe de contadora pour sa contribution � l��tablissement et au renfor cement de la paix dans la r�gion, notant qu�en cette ann�e 1987, le prix nobel de la paix a �t� d�cern� au pr�sident du costa rica, m. oscar arias, pour sa contribution au processus de paix en am�rique centrale, 1. exprime son plus ferme appui � l�accord d�esquipulas ii, concr�tis� par le plan de paix sign� � guatemala, le 7 ao�t 1987, par les pr�si dents des r�publiques d�am�rique centrale dans le cadre de leurs efforts pour assurer la paix dans la r�gion et r�affirme sa recon naissance pour les d�marches engag�es par le groupe de contadora et son groupe de soutien ; 2. demande � la communaut� internationale d�apporter son ferme appui � l�initiative des pr�sidents des r�publiques d�am�rique centrale, en tenant compte du fait que la paix est indispensable au progr�s dans les domaines de l��ducation, de la science, de la culture et de la communication. 22.3 contribution de l�unesco � l�ann�e internationale de la paix la conf�rence g�n�rale,
prenant note du rapport du directeur g�n�ral sur la contribution de l�unesco � l�ann�e internationale de la paix (24 c/19), rappelant la recommandation n� 172 de la conf�rence mondiale sur les politiques culturelles organis�e par l�unesco � Mexico (mondiacult, 1982), estimant que les buts et les principes �nonc�s dans l�acte constitutif de l�organisation sont toujours d�actualit�,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales notant que, dans le cadre de approuv�s pour 1986-1987 (23 par. 11428 (e)), un colloque culturels et des artistes au �t� organis� � l�occasion de
la mise en oeuvre du programme et budget c/5 approuv�, grand programme xi, international sur "le r�le des agents service de la paix" (potsdam, 1986) a l�ann�e internationale de la paix,
consid�rant que les agents culturels et les artistes �minents venus d�afrique, des etats arabes, d�asie et du pacifique, d�europe, et d�am�rique latine et des cara�bes pour assister au colloque ont �chang� leurs vues dans un esprit ouvert, sans pr�jug� aucun, et ont adopt� des recommandations communes concernant la suite � donner � leur r�union, en d�pit de leurs diff�rences de croyances, de traditions culturelles et de conceptions, 1. invite le directeur g�n�ral : (a) � porter de fa�on appropri�e � la connaissance des etats membres et des organisations non gouvernementales concern�es les recommandations du colloque ; (b) � transmettre ces recommandations au comit� intergouvernemental de la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel en l�invitant � les �tudier ; (c) � envisager, dans le cadre du programme et budget pour 1988-1989 (24 c/5), les modalit�s de la cr�ation d�un prix international de la paix qui r�compenserait une contribution artistique remarquable � la promotion de la paix, de la confiance et de la compr�hension internationale, conform�ment � une recommandation du colloque ; 2. recommande aux etats membres de donner tout l��cho possible aux pr�occupations exprim�es par le colloque ; 3. invite les organisations internationales non gouvernementales ainsi que les agents culturels et les artistes � tenir compte de ces pr�occupations dans leur activit�. 23 promotion des contacts et de la coop�ration entre sp�cialistes de l��ducation, de la science et de la culture afin de contribuer � la r�alisation des objectifs de l�unesco la conf�rence g�n�rale, r�affirmant la conviction, exprim�e dans l�acte constitutif de l�unesco, "qu�une paix fond�e sur les seuls accords �conomiques et politiques des gouvernements ne saurait entra�ner l�adh�sion unanime, durable et sinc�re des peuples et que, par cons�quent, cette paix doit �tre �tablie sur le fondement de la solidarit� intellectuelle et
morale de l�humanit�",
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales rappelant que, conform�ment aux buts �nonc�s dans l�acte constitutif de l�unesco et � la fonction intellectuelle de l�organisation, ses principales missions sont notamment, ainsi qu�il est dit dans son deuxi�me plan � moyen terme, de "contribuer � une r�flexion continue sur les probl�mes du monde actuel de mani�re � faire progresser la conscience de la communaut� de destin qui unit d�sormais les individus comme les peuples", et de "susciter et encourager le renouvellement des valeurs dans la perspective d�une authentique compr�hension entre les peuples et faire ainsi avancer la cause de la paix et des droits de l�homme", consciente � cet �gard de la grande importance que rev�tent la coop�ration, les �changes et les contacts � l��chelle internationale entre repr�sentants du monde de l��ducation, de la science et de la culture, pour la formation et l�affirmation d�id�es et de concep tions nouvelles, qui proc�dent de l�interd�pendance et de l�int� gration croissantes du monde tout en tenant compte de la diversit� des points de vue, des courants philosophiques et artistiques et des �coles scientifiques, 1. recommande aux etats membres : (a) d�encourager la participation des membres de leur communaut� scientifique et culturelle et de leurs personnalit�s litt�raires et artistiques � une coop�ration internationale ax�e sur la recherche d�approches nouvelles de la solution des probl�mes plan�taires qui se posent � l�humanit� et sur le d�veloppement d�une pens�e nouvelle qui r�ponde aux r�alit�s du monde contemporain ; (b) d�orienter en cons�quence l�action de leurs commissions nationales pour l�unesco et de leurs associations de sp�cialistes, de cr�a teurs et autres organisations p�dagogiques, scientifiques et artistiques, et d�apporter l�appui n�cessaire � leurs initiatives visant � activer la coop�ration et les contacts qui facilitent la compr�hension internationale dans l�esprit des buts et des id�aux de l�unesco ; 2. invite le directeur g�n�ral : (a) � tout mettre en oeuvre pour renforcer le r�le de l�unesco en tant qu�instrument de la coop�ration intellectuelle internationale, lieu et centre de rencontres entre p�dagogues, savants, �crivains, peintres et artistes, journalistes et autres intellectuels cr�ateurs ax�es sur la recherche des id�es et des valeurs les plus propres � favoriser l�instauration d�un climat de paix et de compr�hension internationale et � faire prendre conscience aux �tres humains qu�ils appartiennent � une civilisation commune et sont solidairement responsables de son avenir ; (b) � utiliser tous les moyens et toutes les possibilit�s � sa dispo
sition pour associer les personnes mentionn�es ci-dessus et les organisations non gouvernementales � l�action de l�unesco, et en particulier aux activit�s et projets visant � �lucider les grands
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales probl�mes contemporains et � t�cher d�y apporter les solutions les plus constructives du point de vue des int�r�ts et des valeurs sup�rieurs de l�humanit� ; (c) � tenir d�ment compte, en particulier, des conclusions et recom mandations formul�es ces derni�res ann�es par les participants aux rencontres internationales de scientifiques et d�intellectuels cr�ateurs, et � prendre les mesures n�cessaires pour les faire conna�tre et les diffuser largement ; (d) � informer la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session, sous la forme la plus appropri�e et notamment dans le cadre du document 25 c/11, des mesures prises pour donner suite � la pr�sente r�solution. 24 contribution de l�unesco � la promotion de la coop�ration internationale dans le domaine de la jeunesse la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�solution 23 c/26.4 concernant le r�le de la jeunesse et les dispositions du deuxi�me plan � moyen terme contenues dans la note sur les orientations dans le domaine de la jeunesse (22 c/4), ayant � l�esprit les recommandations du rapport final adopt� au congr�s mondial de la jeunesse (barcelone, 8-15 juillet 1985) et la d�claration de barcelone, prenant note de la r�solution 37/48 dans laquelle l�assembl�e g�n�rale des nations unies a invit� les institutions sp�cialis�es � apporter leur soutien � la mise en oeuvre du programme des nations unies pour l�ann�e internationale de la jeunesse et � son suivi, et dans laquelle l�assembl�e g�n�rale s�est �galement d�clar�e consciente de la contribution substantielle que l�unesco apporte � la promotion de la coop�ration internationale dans le domaine de la jeunesse, r�affirmant que les jeunes repr�sentent une part consid�rable et toujours croissante de la population mondiale et ont un r�le de plus en
plus important � jouer dans la solution des grands probl�mes auxquels l�humanit� est confront�e, et qu�il est par cons�quent n�cessaire de leur offrir des possibilit�s de plus en plus larges de participer activement � tous les aspects de la vie sociale, �conomique, politique, �ducative et culturelle de la soci�t� dont ils font partie, reconnaissant le droit de la jeune g�n�ration � vivre dans la paix, la libert� et la s�curit� sur le plan social, ainsi que ses droits � l��ducation, au travail et � la promotion professionnelle,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales convaincue que le fonctionnement efficace des canaux de communication entre l�unesco, la jeunesse et les organisations de jeunesse est une condition fondamentale � remplir pour que les jeunes soient bien inform�s de l�oeuvre accomplie par l�unesco et y participent activement, prenant note avec satisfaction du rapport du directeur g�n�ral sur la contribution de l�unesco � l�ann�e internationale de la jeunesse et � la promotion de ses objectifs pour l�avenir (24 c/20), 1. recommande aux etats membres et � toutes les institutions int�ress�es : (a) de participer activement � la mise en oeuvre du programme relatif � la jeunesse qui est pr�vu dans le projet de programme et de budget pour 1988-1989 ; (b) de tenir compte des aspirations de la jeune g�n�ration � la recherche commune d�une solution aux probl�mes nationaux et internationaux en adoptant des strat�gies appropri�es concernant les politiques de la jeunesse, ainsi que des mesures l�gislatives se rapportant aux th�mes examin�s par le congr�s mondial sur la jeunesse, � savoir : "jeunesse, �ducation et travail", "jeunesse et d�veloppement culturel", et "jeunesse, compr�hension mutuelle et coop�ration internationale", et aux objectifs de l�ann�e internationale de la jeunesse : "participation, d�veloppement, paix" ; (c) d�aider les organisations de jeunesse nationales � mobiliser les jeunes et � les faire participer � la vie de la soci�t�, tant � l��chelon national qu�au niveau international ; (d) de promouvoir l��change de donn�es d�exp�rience entre leurs orga nisations de jeunesse et celles d�autres etats membres, ainsi que l�organisation de r�unions internationales de la jeunesse ; 2. invite le directeur g�n�ral : (a) � continuer, dans le cadre du programme et budget approuv�s, d�accorder une attention particuli�re aux activit�s de l�unesco pour la jeunesse et de les renforcer, en mettant particuli�rement l�accent sur les activit�s concr�tes men�es non seulement � l�intention des jeunes mais aussi avec et par les jeunes ; (b) � pr�ter toute l�attention voulue � une ex�cution suivie des activit�s pr�vues dans le projet de programme et de budget pour 1988-1989 en ce qui concerne la jeunesse (24 c/5, appendice b/xv -r�sum� des activit�s pour la jeunesse) et � veiller, en parti culier, � ce que la jeunesse participe directement � d�importants projets � long terme de l�unesco, tels que la d�cennie mondiale du d�veloppement culturel, le plan d�action pour �liminer l�analpha b�tisme d�ici � l�an 2000 et le plan de d�veloppement de l��duca tion pour la compr�hension, la coop�ration et la paix inter nationales ;
(c) � assurer, d�s l�exercice biennal 1988-1989, une coordination et une �valuation plus compl�tes, au sein du secr�tariat, de tout ce qui a trait � la jeunesse en renfor�ant les activit�s de la divi sion de la jeunesse, dans les limites des ressources disponibles ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales (d) � encourager, de mani�re appropri�e, le dialogue entre les organi sations de jeunesse nationales et internationales ayant des opinions philosophiques et politiques diff�rentes sur une collabo ration �ventuelle � la solution des probl�mes les plus urgents auxquels l�humanit� doit faire face, ainsi que sur des questions se rapportant � la participation des jeunes � la vie sociale, dans le cadre du programme et budget approuv�s pour 1988-1989, et notamment d�une activit� telle que la rencontre internationale d��tudiants pour favoriser la r�flexion et l�action des jeunes en faveur de la paix, du d�sarmement, du d�veloppement et du respect des droits de l�homme (par. 13322, al. 3.1) ; (e) � consulter plus largement les principales organisations inter nationales non gouvernementales de jeunesse et � les associer davantage � la conduite de ces activit�s, par la voie de la consultation annuelle des organisations non gouvernementales de jeunesse internationales, r�gionales et nationales (par. 13320, al. 1.1) et des autres m�canismes appropri�s ; (f) � aider les etats membres int�ress�s � �laborer des politiques et des programes concernant la jeunesse dans les domaines de l��du cation, de la science, de la culture et de la communication, et � encourager les �changes de donn�es d�exp�rience � ce sujet aux niveaux r�gional et international ; (g) � �tablir une politique plus coh�rente et clairement unifi�e relative � la jeunesse et � consacrer � la jeunesse une attention plus soutenue dans les futurs programmes biennaux ; (h) � continuer de coop�rer avec le syst�me des nations unies, notam ment avec l�oit, la fao, l�oms, la commission du d�veloppement social du conseil �conomique et social et le centre pour le d�ve loppement social et les affaires humanitaires ainsi qu�avec d�autres organisations intergouvernementales comp�tentes, en vue d�assurer une approche globale et coordonn�e des politiques et des programmes relatifs aux jeunes, en tenant compte de la contri bution du groupe ad hoc interinstitutions sur la jeunesse ; (i) � pr�senter � la conf�rence g�n�rale, � sa vingt-cinqui�me session, un rapport sur le suivi et la mise en oeuvre de la pr�sente r�solution. application de la r�solution 23 c/27 concernant les institutions �ducatives et culturelles dans les territoires arabes occup�s la conf�rence g�n�rale, rappelant la convention de gen�ve (1949), la convention de la haye (1954), la d�claration universelle des droits de l�homme et le pacte international relatif aux droits �conomiques, sociaux et culturels,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales consid�rant que les �tablissements d�enseignement sup�rieur devraient constituer des communaut�s libres d�intellectuels et d��tudiants jouissant des franchises universitaires mondialement reconnues, estimant que l�existence et le libre fonctionnement de ces �tablissements constituent des �l�ments fondamentaux et essentiels de l�affirmation et du renforcement de l�identit� culturelle du peuple palestinien, ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral (24 c/21 et add.), constatant que le rapport pr�sent� par le r�v�rend p�re e. bon�, suite � la mission dont l�a charg� le directeur g�n�ral conform�ment � la r�solution 23 c/27, fait �tat, sur la base de constatations ou de conclusions tir�es de t�moignages probants et concordants, de plusieurs formes de violations des libert�s acad�miques, 1. r�affirme les pr�c�dentes d�cisions et r�solutions de l�unesco concer nant les institutions culturelles et �ducatives dans les territoires arabes occup�s, telles qu�elles ont �t� adopt�es ; 2. d�plore vivement toutes les violations des libert�s acad�miques, sous toutes leurs formes, telles qu�elles sont relat�es dans le rapport du r�v�rend p�re bon�, et consid�re qu�elles constituent une grave menace pour l�identit� culturelle du peuple palestinien et une violation des instruments juridiques internationaux, notamment du pacte international relatif aux droits �conomiques, sociaux et culturels ; 3. d�plore les pratiques d�obstruction et de r�pression des autorit�s d�occupation contre les institutions �ducatives et culturelles dans les territoires palestiniens et les autres territoires arabes occup�s, qui pourraient menacer l�existence m�me de ces institutions ; 4. demande aux autorit�s d�occupation de respecter les conventions de gen�ve et de la haye en annulant toutes les mesures prises, tous les actes commis, toute discrimination en mati�re d�imposition de taxes et droits de douane pour l�importation de mat�riel culturel, �ducatif et scientifique, ainsi que toutes les ordonnances militaires �dict�es contre les institutions �ducatives et culturelles, et de sauvegarder les libert�s acad�miques des universit�s et autres institutions �ducatives et culturelles de mani�re qu�elles puissent mener leurs activit�s sans entrave ; 5. remercie le directeur g�n�ral et son repr�sentant, le r�v�rend p�re e. bon�, pour les efforts entrepris en vue d�assurer l�ex�cution des d�cisions et r�solutions de l�unesco concernant les
institutions susvis�es et se f�licite de la haute qualit� du rapport qui lui est soumis ; 6. reconna�t que la coop�ration dont a b�n�fici� le r�v�rend p�re bon� pour mener � bien impartialement sa mission semble offrir une bonne occasion d�envisager une action nouvelle et constructive sous les auspices de l�unesco ; 167
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales 7. invite le directeur g�n�ral � examiner, avec les parties concern�es, les moyens de permettre � l�unesco de faciliter et de renforcer une coop�ration constructive afin d�aider les institutions �duca tives palestiniennes � jouer le r�le �ducatif qui leur incombe dans le d�veloppement des zones consid�r�es, la transmission de leur patrimoine culturel et l�acquisition des connaissances, en collaboration avec d�autres institutions ; 8. invite le directeur g�n�ral � demander au r�v�rend p�re bon� de compl�ter sa mission en examinant d�autres institutions �ducatives et culturelles des territoires arabes occup�s, y compris j�rusalem et le golan, et � faire rapport au conseil ex�cutif � sa 130e session ; 9. invite le directeur g�n�ral � renouveler son appel aux etats membres et aux organisations intergouvernementales, en l�adressant aussi aux fondations et aux particuliers, en vue d�alimenter le compte sp�cial ouvert au sein de l�unesco pour accorder des bourses aux �tudiants des territoires occup�s ; 10. d�cide d�inscrire cette question � l�ordre du jour de sa vingtcinqui�me session, en vue de prendre la d�cision appropri�e. proposition en vue de la proclamation par l�organisation des nations unies d�une ann�e internationale de la famille la conf�rence g�n�rale, prenant en consid�ration la d�cision 127 ex/5.3.1 du conseil ex�cutif, 1. approuve le principe de la proclamation d�une ann�e internationale de la famille, dont la c�l�bration devrait favoriser une r�flexion d�ensemble sur les probl�mes et les besoins de la famille et encourager les gouvernements � �laborer des politiques �conomiques, sociales et culturelles en sa faveur ; 2. prie le directeur g�n�ral : (a) de porter la pr�sente r�solution � la connaissance de l�assembl�e g�n�rale des nations unies, lorsque celle-ci sera saisie du rapport que lui soumettra le secr�taire g�n�ral en application de la r�solution 1987/42 du conseil �conomique et social ; (b) d�apporter la contribution de l�organisation � la pr�paration dudit rapport.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales quaranti�me anniversaire de la fondation de l�unesco1 la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�solution 23 c/23 relative � la c�l�bration du quaranti�me anniversaire de la fondation de l�unesco, prenant acte du rapport du directeur g�n�ral sur ce point (24 c/18), notant avec satisfaction que cet anniversaire aura �t� l�occasion de rendre un hommage m�rit� aux r�alisations impressionnantes de l�unesco au service de la paix, de la coop�ration internationale et du progr�s de tous les etats et de tous les peuples dans les domaines de l��ducation, de la science, de la culture et de la communication et, en m�me temps, de rechercher les moyens d�exploiter dans l�avenir encore plus compl�tement et plus effica cement � ces fins les possibilit�s inh�rentes � l�organisation, soulignant qu�� l�occasion des activit�s organis�es pour c�l�brer cet anniversaire, la communaut� internationale a manifest� sa convic tion que l�organisation saura encore mieux se montrer � la hauteur du r�le irrempla�able et de la responsabilit� qui lui incombent en ce qui concerne le d�veloppement de la coop�ration intellectuelle, l��change international de donn�es d�exp�rience et le travail intellectuel de base dans les domaines de l��ducation, de la science, de la culture et de la communication, sachant gr� aux etats membres et aux organisations internationales non gouvernementales des activit�s qu�ils ont organis�es � l�occasion du quaranti�me anniversaire de la fondation de l�unesco, 1. invite les etats membres : (a) � travailler � l�instauration d�un dialogue permanent, constructif et fructueux entre tous les etats membres et leurs commissions nationales comme entre les divers groupes d�etats et de r�gions, afin que l�organisation, consciente des int�r�ts de toute l�huma nit� et forte d�un large consensus, soit, dans l�avenir aussi, en mesure de s�acquitter efficacement des fonctions qui lui sont assign�es par son acte constitutif ; (b) � montrer par l�exemple ce que pourraient �tre les relations
internationales de demain, en lan�ant des actions en commun associant tous les groupes d�etats et toutes les r�gions en vue de r�soudre les probl�mes mondiaux conform�ment aux objectifs de l�organisation ; (c) � contribuer activement � la mise en oeuvre des programmes et plans de l�organisation adopt�s conjointement et � encourager leurs scientifiques et chercheurs, leurs sp�cialistes et leurs institutions les plus comp�tents � s�associer � cet effort ; 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commissioni�la29e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales (d) � centrer de plus en plus les activit�s de programme de l�organi sation sur le travail intellectuel de base n�cessaire � la solu tion des probl�mes auxquels l�humanit� doit faire face d�urgence dans les domaines de l��ducation, de la science, de la culture et de la communication ; (e) � s�attacher tout particuli�rement � assurer � l�organisation un rythme de travail r�gulier et un fonctionnement efficace ; (f) � favoriser effectivement la diffusion d�une information objective et d�taill�e sur l�organisation et ses activit�s ; 2. appelle les �ducateurs, scientifiques et chercheurs, personnels cultu rels, journalistes et intellectuels, ainsi que leurs associations et organisations nationales et internationales, � pr�ter un appui actif aux objectifs, principes et activit�s de l�unesco comme � la coop�ration intellectuelle multilat�rale en g�n�ral, et � apporter � cette fin leur contribution propre � la coop�ration inter nationale et au dialogue entre tous les etats et tous les peuples dans cet esprit ; 3. invite le directeur g�n�ral : (a) � proposer des mesures propres � aligner de plus en plus l�acti vit� de l�unesco sur les plus hauts niveaux internationaux de connaissance et � les concentrer sur le travail intellectuel de base dans les domaines de l��ducation, de la science, de la culture et de la communication, ainsi qu�� offrir aux scienti fiques, chercheurs et sp�cialistes les plus comp�tents la possibi lit� de prendre part � des �changes internationaux d�information et de donn�es d�exp�rience et de travailler en coop�ration ; (b) � consacrer davantage de place dans les p�riodiques de l�organisa tion aux r�sultats de l�ex�cution du programme et aux m�thodes de pointe utilis�es par l�unesco dans ses activit�s, en vue d�offrir des suggestions utiles aux etats membres ; (c) � mettre de plus en plus � profit, pour la r�alisation des projets entrant dans les divers programmes, les possibilit�s que peuvent offrir les etats membres et � assurer ce faisant une repr�senta tion �quilibr�e des divers groupes d�etats ainsi que des diverses r�gions et cultures ; (d) � poursuivre syst�matiquement les efforts visant � am�liorer le fonctionnement de l�organisation, en faisant un usage plus effi cace des moyens dont elle dispose et en offrant plus rapidement au public une information plus d�taill�e sur l�action concr�te qu�elle m�ne ; (e) � lui soumettre en temps voulu des propositions en vue de la c�l�bration du cinquanti�me anniversaire de la signature et de l�entr�e en vigueur de l�acte constitutif de l�unesco ; (f) � lui faire rapport, � sa vingt-cinqui�me session, sur la mise en oeuvre de la pr�sente r�solution.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales 28 appel en faveur de l�universalit� de l�unesco1 la conf�rence g�n�rale, r�affirmant son attachement au caract�re universel du syst�me des nations unies et de ses institutions sp�cialis�es, soucieuse d�encourager et de renforcer l�universalit� de l�unesco, 1. lance un appel aux etats qui se sont retir�s pour qu�ils reprennent leur place dans l�organisation ; 2. invite les etats qui ne sont pas encore membres de l�organisation � le devenir ; 3. prie le directeur g�n�ral d�entreprendre les d�marches appropri�es pour donner effet � la pr�sente r�solution et de faire rapport � ce sujet au conseil ex�cutif. 29 appel � l�iran et � l�irak1 la conf�rence g�n�rale, rappelant le noble objectif inscrit dans l�acte constitutif de l�unesco, d�apr�s lequel le r�le de l�organisation doit �tre �tabli sur le fondement de la solidarit� intellectuelle et morale de l�humanit�, profond�ment attrist�e par le conflit qui oppose l�irak et l�iran et qui a entra�n�, dans chacun de ces etats membres, des pertes inesti mables en vies humaines, notamment parmi les populations civiles, et des dommages irr�parables pour leurs institutions �ducatives, scientifiques et culturelles ainsi que pour leur patrimoine cultu rel et leur environnement naturel, qui font partie du patrimoine de l�humanit� tout enti�re, rappelant les efforts d�ploy�s par les instances internationales en direc tion des deux pays, r�solue � exercer la responsabilit� qui lui incombe d�encourager la recherche d�une solution juste et globale,
d�cid�e �galement � remplir son devoir en vue d�assurer au mieux, malgr� ce terrible conflit, la protection des institutions scientifiques, �ducatives et culturelles des deux etats parties ainsi que de leur patrimoine culturel et naturel, 1. r�solution adopt�e sur la proposition du pr�sident de la conf�rence g�n�rale � la 38e s�ance pl�ni�re, le 20 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. r�solutions g�n�rales 1. lance un appel solennel aux deux etats membres parties au conflit pour qu�ils recherchent une solution sur la base du respect mutuel de la souverainet� et de l�int�grit� territoriale de chacune et de la non-ing�rence d�une partie dans les affaires int�rieures de l�autre ; 2. fait �galement appel aux gouvernements des deux pays pour qu�ils observent strictement les principes et r�glements humanitaires internationaux, en particulier ceux qui concernent la protection du patrimoine culturel et naturel ; 3. invite tous les gouvernements et la communaut� internationale dans son ensemble � contribuer � donner une issue pacifique et juste � ce conflit et � assurer la protection du patrimoine culturel et naturel mis en p�ril par les hostilit�s ; 4. prie le directeur g�n�ral d�entreprendre toute d�marche qui serait de nature � permettre d�atteindre ces objectifs, si chers � la com munaut� internationale, et de faire rapport � ce sujet au conseil ex�cutif.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. vii action normative de l�organisation premiers rapports sp�ciaux pr�sent�s par les �tats membres sur la suite donn�e par eux � la recommandation r�vis�e concernant la normalisation internationale des statistiques relatives � la production et � la distribution de livres, de journaux et de p�riodiques1 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� les premiers rapports sp�ciaux pr�sent�s par les etats membres sur la suite donn�e par eux � la recommandation r�vis�e concernant la normalisation internationale des statistiques rela tives � la production et � la distribution de livres, de journaux et de p�riodiques adopt�e par la conf�rence g�n�rale � sa vingttroisi�me session (24 c/30 et addenda), ayant pris note du rapport du comit� juridique sur ces rapports sp�ciaux (24 c/121), rappelant qu�aux termes de l�article 18 du r�glement relatif aux recomman dations aux etats membres et aux conventions internationales pr� vues par l�article iv, paragraphe 4, de l�acte constitutif, la conf�rence g�n�rale, apr�s examen des rapports sp�ciaux, "consi gnera ses observations sur la suite donn�e par les etats membres � une convention ou � une recommandation dans un ou plusieurs rapports g�n�raux qu�elle r�digera aux dates qui lui para�tront appropri�es", rappelant les termes de sa r�solution 10 c/50, 1. adopte le rapport g�n�ral (24 c/121, annexe) dans lequel sont consign�es ses observations sur la suite donn�e par les etats membres � la recommandation ci-dessus mentionn�e qu�elle a adopt�e � sa vingt-troisi�me session ; 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� juridique � la 35e s�ance
pl�ni�re, le 18 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. action normative de l�organisation 2. d�cide que ce rapport g�n�ral sera transmis aux etats membres, � l�organisation des nations unies et aux commissions nationales, conform�ment � l�article 19 du r�glement susmentionn� ; 3. invite les etats membres dont les rapports ne sont pas encore parvenus � l�organisation ou ne contiennent pas les indications prescrites par la r�solution 10 c/50 pr�cit�e � les faire parvenir ou � les compl�ter. annexe -rapport g�n�ral sur les premiers rapports sp�ciaux pr�sent�s par les etats membres au sujet de la suite donn�e par eux � la recommandation r�vis�e concernant la normalisation internationale des statistiques relatives � la production et � la distribution de livres, de journaux et de p�riodiques adopt�e par la conf�rence g�n�rale � sa vingt-troisi�me session introduction 1. l�article viii de l�acte cons titutif de l�unesco dispose que "chaque etat membre adresse � l�organisation, aux dates et sous la forme que d�terminera la conf� rence g�n�rale, des rapports sur la suite donn�e aux recommanda tions et conventions vis�es � l�article iv, paragraphe 4". chacun des etats membres soumettra les recommandations ou conventions adopt�es par la conf�rence g�n� rale aux autorit�s nationales comp�tentes dans le d�lai d�un an � partir de la cl�ture de la ses sion de la conf�rence g�n�rale au cours de laquelle elles auront �t� adopt�es (article iv.4 de l�acte constitutif). 2. l�article 16 du r�glement relatif aux recommandations aux etats membres et aux conventions internationales adopt�es par la conf�rence g�n�rale dispose que les premiers rapports sp�ciaux relatifs � toute convention ou recommandation adopt�e seront transmis deux mois au moins avant l�ouverture de la premi�re session
ordinaire de la conf�rence g�n� rale qui suit celle o� la conven tion ou la recommandation a �t� adopt�e. le r�glement dispose �ga lement, aux articles 17 et 18, que la conf�rence g�n�rale en prendra connaissance et consignera ses observations dans un ou plusieurs rapports g�n�raux. 3. conform�ment aux dispositions de l�article 32.2 du r�glement int�rieur de la conf�rence g�n� rale, le comit� juridique a pour t�che d�examiner ces premiers rap ports sp�ciaux. le comit� a saisi des documents 24 c/30 addenda qui reproduisent rapports. �t� et ces 4. sur comit� la base juridique du (24 rapport c/121), du la conf�rence g�n�rale, conform�ment � l�article 18 du r�glement pr� cit� relatif aux conventions et recommandations, a consign� dans le pr�sent rapport g�n�ral les observations ci-apr�s. observations de la conf�rence g�n�rale 5. les copies certifi�es conformes de la recommandation ont �t� trans mises aux etats membres par lettre circulaire du 27 janvier 1986 (cl/2992). dans cette lettre, le directeur g�n�ral rappelait les dispositions du paragraphe 4 de l�article iv de l�acte constitu tif, qui font obligation aux etats membres de soumettre la recomman
dation aux "autorit�s nationales comp�tentes" dans un d�lai d�termin�. 6. par la m�me occasion, le directeur g�n�ral a communiqu� aux etats membres un document intitul� "m�morandum concernant l�obliga tion de soumettre les conventions
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. action normative de l�organisation et recommandations adopt�es par la conf�rence g�n�rale aux autorit�s nationales comp�tentes et la pr� sentation des premiers rapports sp�ciaux sur la suite donn�e � ces conventions et recommandations". 7. les etats membres ont �t� invit�s ult�rieurement, par lettre circulaire du 7 f�vrier 1987 (cl/3047), � faire parvenir dans les d�lais prescrits, c�est-�-dire avant le 20 ao�t 1987, les pre miers rapports sp�ciaux sur la suite donn�e � la recommandation, afin qu�ils puissent �tre commu niqu�s en temps utile � la conf� rence g�n�rale. 8. la conf�rence g�n�rale note que seuls 12 etats membres ont envoy� leurs rapports au secr� tariat/1. ce chiffre montre qu�en d�pit de l�obligation que leur en fait l�acte constitutif, de l�importance que la conf�rence g�n�rale a attach�e � la proc�dure des rapports, et du r�le d�cisif que cette proc�dure doit jouer dans le contr�le de l�application des normes �nonc�es par elle, la grande majorit� des etats membres n�en a pas tenu compte. la conf� rence g�n�rale regrette cet �tat de fait et prie les etats membres qui n�ont pas soumis leurs rap ports de le faire dans les meil leurs d�lais. 9. a sa douzi�me session, la conf�rence g�n�rale soulignait d�j� � quel point il importe que tous les etats membres remplissent la double obligation qui leur incombe aux termes de l�acte cons titutif : d�une part, l�obligation de soumettre les conventions et les recommandations adopt�es par la conf�rence g�n�rale aux auto
rit�s nationales comp�tentes dans le d�lai d�un an � partir de la cl�ture de la session de la conf� rence g�n�rale, et d�autre part, celle de faire rapport sur la suite donn�e � ces instruments. 10. le r�le de ces dispositions de l�acte constitutif est en effet essentiellement, d�une part, d�as surer une mise en oeuvre et une application aussi larges que pos sible des instruments adopt�s, et d�autre part, de permettre � la conf�rence g�n�rale -et par suite aux etats membres euxm�mes -de mesurer l�efficacit� de l�activit� normative de l�organisation. 11. par sa r�solution 10 c/50, la conf�rence g�n�rale a invit� les etats membres, lorsqu�ils pr�sen tent un premier rapport sp�cial, � y indiquer, dans la mesure du possible : "(a) si la convention ou la recom mandation a �t� soumise � l�autorit� ou aux autorit�s nationales comp�tentes, con form�ment � l�article iv, paragraphe 4, de l�acte cons titutif et � l�article pre mier du r�glement relatif aux recommandations aux etats membres et aux conventions internationales ; (b) le nom de l�autorit� ou des autorit�s comp�tentes de l�etat qui soumet le rapport ; (c) si cette autorit� ou ces auto rit�s ont pris des mesures pour donner effet � la conven tion ou � la recommandation ; (d) la nature de ces mesures." 12. a sa douzi�me session, la conf�rence g�n�rale a approuv� l�interpr�tation suivante des termes "autorit�s nationales comp� tentes" qui figurent � l�ar ticle iv, paragraphe 4, de l�acte 1. r�publique f�d�rale d�allemagne, bulgarie, chili, finlande, irak, irlande, japon, maurice, nou velle-z�lande, r�publique d�mo cratique allemande, suisse, union des r�publiques socia listes sovi�tiques.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. action normative de l�organisation constitutif. il s�agit de celles qui ont le pouvoir, en vertu de la constitution ou de la l�gislation de chaque etat membre, de prendre les mesures l�gislatives, r�gle mentaires ou autres, n�cessaires pour donner effet aux conventions ou aux recommandations. il appar tient au gouvernement de chaque etat membre de pr�ciser et d�in diquer quelles sont les autorit�s qui sont comp�tentes � propos de chaque convention et recom mandation. 13. la conf�rence g�n�rale a par ailleurs pr�cis� � sa treizi�me session qu�il convenait dans ce contexte de distinguer entre les autorit�s qui sont comp�tentes pour "prendre" les mesures l�gis latives ou r�glementaires, et les services gouvernementaux charg�s d��tudier ou pr�parer les mesures susceptibles d��tre prises par ces autorit�s et de faire � ces der ni�res des propositions � cet �gard. la d�finition adopt�e par la conf�rence g�n�rale indique bien que l�obligation prescrite � l�article iv, paragraphe 4, de l�acte constitutif vise les premi�res et non les secondes. 14. la conf�rence g�n�rale croit, par ailleurs, devoir rappeler � nouveau que l�obligation de sou mettre les instruments adopt�s par la conf�rence g�n�rale aux "auto rit�s nationales comp�tentes" s�im pose � tous les etats membres et par cons�quent � ceux m�mes de ces etats qui n�ont pu se prononcer en faveur de l�adoption de l�instru ment dont il s�agit et alors m�me qu�ils ne jugeraient pas souhai table de donner effet aux disposi tions d�une recommandation.
15. la conf�rence g�n�rale cons tate que les rapports ne con tiennent pas toujours toutes les indications sur les points �nu m�r�s dans la r�solution 10 c/50. la conf�rence g�n�rale prie de nouveau les etats membres de s�ef forcer � l�avenir de fournir ces informations. 16. en conclusion de ces observa tions, la conf�rence g�n�rale sou ligne une fois de plus l�importance qu�elle attache � la bonne ex�cu tion par les etats membres des obligations qui leur incombent aux termes de l�acte constitutif en ce qui concerne la soumission des instruments internationaux aux autorit�s comp�tentes et la proc� dure de pr�sentation des rapports sur la suite donn�e � ces instruments. 17. conform�ment aux dispositions de l�article 19 du r�glement rela tif aux recommandations aux etats membres et aux conventions inter nationales pr�vues par l�ar ticle iv, paragraphe 4, de l�acte constitutif, le pr�sent rapport g�n�ral sera communiqu� par les soins du directeur g�n�ral aux etats membres, � l�organisation des nations unies ainsi qu�aux commissions nationales.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. viii questions constitutionnelles et juridiques 31 modifications de l�acte constitutif et du r�glement int�rieur de la conf�rence g�n�rale1 31.1 modification de l�article v, paragraphe 4, de l�acte constitutif la conf�rence g�n�rale, ayant examin� les documents 24 c/26 et add. et 24 c/100 rev.1 et pris note du rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/123), d�cide d�ajouter � l�article v, paragraphe 4, de l�acte constitutif, un alin�a (d) libell� comme suit : "en cas de retrait de l�organisation d�un etat membre dont un ressortissant est membre du conseil ex�cutif, le mandat de ce membre prend fin � la date � laquelle le retrait devient effectif." 31.2 modification de l�article xv, paragraphes 2 et 4, de l�acte constitutif la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/26 et add. et pris note des rapports du comit� juridique � ce sujet (24 c/125 et 24 c/129), 1. d�cide de modifier l�article xv, paragraphe 2, de l�acte constitutif en y ajoutant une quatri�me phrase libell�e comme suit : "toutefois, si un etat s�est retir� de l�organisation, il suffit qu�il d�pose un nouvel instrument d�acceptation pour en redevenir membre ;" 1. r�solutions adopt�es sur le rapport du comit� juridique � la 35e s�ance pl�ni�re, le 18 novembre 1987. 177
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions constitutionnelles et juridiques 31.3 31.4 31.5 2. d�cide d�ajouter au paragraphe 4 de l�article xv de l�acte constitutif, apr�s les mots "nations unies", les mots suivants : "ainsi qu�au directeur g�n�ral". suppression des dispositions transitoires qui figurent dans l�acte constitutif en tant qu�articles iv.f.15, v.c.13 et vi.7, et suppression des dispositions transitoires qui figurent dans le r�glement int�rieur de la conf�rence g�n�rale en tant qu�articles 1a et 95a/1 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/26 et add. et pris note du rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/130), 1. d�cide de supprimer de l�acte constitutif les dispositions transitoires qui y figurent en tant qu�articles iv.f.15, v.c.13 et vi.7 ; 2. d�cide de supprimer du r�glement int�rieur de la conf�rence g�n�rale les dispositions transitoires qui y figurent en tant qu�articles la et 95a. proposition d�amendement � l�article ii, paragraphe 6, de l�acte constitutif la conf�rence g�n�rale, ayant examin� les documents 24 c/26 et add. et 24 c/100 rev. et pris note du rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/122), 1. invite le directeur g�n�ral � communiquer aux etats membres et aux membres associ�s, dans les d�lais prescrits, le texte de l�amende ment propos� � l�article ii, paragraphe 6, de l�acte constitutif, sous la forme recommand�e par le comit� juridique, afin qu�ils l�examinent dans le contexte des articles xiii et xiv de l�acte constitutif ;
2. d�cide d�examiner ce projet d�amendement � sa vingt-cinqui�me session. proposition constitutif/1 d�amendement � l�article vi, paragraphe 2, de l�acte la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/98 et pris note du rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/128 et corr.), 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� juridique � la 36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions constitutionnelles et juridiques rappelant que l�unesco, comme les autres organisations du syst�me des nations unies, a son propre acte constitutif et jouit de l�autono mie au sein de ce syst�me, consid�rant toutefois que la proposition de limiter le nombre de mandats du directeur g�n�ral a des implications d�ordre politique pour l�ensemble du syst�me des nations unies, 1. invite les etats membres � �tudier les cons�quences de la limitation du nombre de mandats du directeur g�n�ral de l�unesco en tenant compte des implications susmentionn�es ; 2. d�cide de r�examiner cette question � sa vingt-cinqui�me session. 31.6 proposition d�amendement � l�article ix, paragraphe 3, de l�acte constitutif la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/26 et add. et prie note du rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/124), d�cide de reporter � sa vingt-cinqui�me session l�examen de la proposition d�amendement � l�article ix, paragraphe 3, de l�acte constitutif. 32 examen des textes constitutionnels et r�glementaires du point de vue de la forme et de la langue1 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/25 et pris note du rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/131), 1. invite le conseil ex�cutif � proc�der � un examen d�ensemble des textes constitutionnels et r�glementaires, du point de vue de la forme et de la langue, dans leurs diff�rentes versions linguistiques ; 2. invite le directeur g�n�ral � communiquer aux etats membres et aux membres associ�s, dans les d�lais statutaires, les modifications que le conseil ex�cutif aurait d�cid� de proposer � l�acte consti tutif, et � faire rapport � la conf�rence g�n�rale � sa vingtcinqui�me session sur ces modifications ainsi que sur celles que le conseil sugg�rerait d�apporter aux textes r�glementaires.
1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� juridique � la 36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions constitutionnelles et juridiques examen des mesures n�cessaires pour pr�ciser quelles seraient les obligations financi�res d�un �tat membre qui se retire de l�organisation au cours d�un exercice budg�taire biennal, y compris l��ventualit� d�une demande d�avis consultatif � la cour internationale de justice sur l�interpr�tation qu�il convient de donner � l�acte constitutif � ce sujet1 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/27 et le rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/132), rappelant qu�� sa vingt-troisi�me session, elle a, dans sa r�solution 23 c/09, partie ii, pris note des conclusions du comit� juridique exprim�es dans son rapport (23 c/103) sur l��tude � laquelle il avait proc�d� au sujet de l��ventualit� d�une demande d�avis consultatif � la cour internationale de justice sur les obliga tions financi�res d�un etat membre qui se retire de l�organisation au cours d�un excercice budg�taire, et r�affirmant que la r�solu tion susmentionn�e demeure applicable, notant que le comit� juridique confirme ses pr�c�dentes conclusions � ce sujet, consid�rant que le conseil ex�cutif, � sa 125e session, a adopt� la d�cision 8.2 dont les paragraphes 8 et 9 se lisent comme suit : "8. d�cide de rendre compte � la conf�rence g�n�rale � sa vingtquatri�me session de la conclusion du conseil selon laquelle, de toutes les mesures possibles examin�es en vue de clarifier pour l�avenir les obligations mentionn�es au paragraphe 6 ci-dessus, la meilleure serait celle qui consisterait � modi fier l�article ii.6 de l�acte constitutif pour lever toute ambigu�t� quant � son interpr�tation ; 9. d�cide en outre d��tudier � nouveau, lors d�une session ult� rieure du conseil, l��ventualit� d�une demande d�avis consul tatif � la cour internationale de justice", consid�rant d�autre part que, dans le cadre de ladite d�cision 8.2, le conseil ex�cutif n�a pas exclu le principe d�une telle demande d�avis consultatif,
1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� juridique � la 36e s�ance pl�ni�re, le 19 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions constitutionnelles et juridiques tenant compte de sa d�cision de reporter � sa vingt-cinqui�me session l�examen des propositions d�amendement aux articles ii.6 et ix.3 de l�acte constitutif destin�es � clarifier les obligations finan ci�res d�un etat membre qui se retire de l�organisation au cours d�un exercice budg�taire et � lever toute ambigu�t� d�interpr�ta tion � cet �gard, estime que, dans ces conditions, il serait n�cessaire que le conseil ex�cutif continue d��tudier l��ventualit� d�une demande d�avis consultatif � la cour internationale de justice et fasse rapport � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. ix questions financi�res1 34 rapports financiers 34.1 rapport financier et �tats financiers v�rifi�s concernant les comptes de l�unesco pour l�exercice financier clos le 31 d�cembre 1985 et rapport du commissaire aux comptes la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/43, 1. rend hommage aux travaux du comptroller and auditor-general du royaumeuni, qui a exerc� depuis 1951 les fonctions de commissaire aux comptes de l�unesco ; 2. re�oit et accepte le rapport du commissaire aux comptes ainsi que les �tats financiers v�rifi�s concernant les comptes de l�unesco pour l�exercice financier clos le 31 d�cembre 1985. 34.2 rapport financier et �tats financiers v�rifi�s relatifs au programme des nations unies pour le d�veloppement au 31 d�cembre 1985 et rapport du commissaire aux comptes la conf�rence g�n�rale, notant que le conseil ex�cutif a approuv� en son nom, comme elle l�y avait autoris� par sa r�solution 23 c/33.2, le rapport du commissaire aux comptes ainsi que les �tats financiers v�rifi�s relatifs au programme des nations unies pour le d�veloppement au 31 d�cembre 1985, 1. re�oit ce rapport et ces �tats financiers ; 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission administrative � la 32e s�ance pl�ni�re, le 14 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res 34.3 35 35.1 2. autorise le conseil ex�cutif � approuver, en son nom, le rapport du commissaire aux comptes ainsi que les �tats financiers v�rifi�s relatifs au programme des nations unies pour le d�veloppement au 31 d�cembre 1987. rapport financier et �tats financiers int�rimaires concernant les comptes de l�unesco au 31 d�cembre 1986 pour l�exercice financier se terminant le 31 d�cembre 1987 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/45 et son addendum, re�oit et accepte le rapport financier du directeur g�n�ral ainsi que les �tats financiers int�rimaires de l�unesco au 31 d�cembre 1986 pour l�exercice financier se terminant le 31 d�cembre 1987. contributions des �tats membres bar�me des quotes-parts la conf�rence g�n�rale, rappelant l�article ix de l�acte constitutif, qui dispose, au paragraphe 2, que c�est elle qui "approuve d�finitivement le budget et fixe la participation financi�re de chacun des etats membres", consid�rant que le bar�me des quotes-parts des etats membres de l�unesco est toujours �tabli sur la base de celui de l�organisation des nations unies (qui comprend un taux minimal de 0,01 % et un taux maximal de 25 %), sous r�serve des ajustements rendus n�cessaires par la composition des deux organisations,
rappelant qu�� sa vingti�me session, dans la r�solution 0.71, elle a admis la namibie comme membre de l�unesco, et tenant compte de la r�so lution 19.32 de sa dix-neuvi�me session, par laquelle elle a d�cid�, au paragraphe 2, de suspendre les contributions de la namibie � compter de 1977 jusqu�� ce que ce pays ait acc�d� � l�ind�pendance, d�cide ce qui suit : (a) le bar�me des quotes-parts des etats membres de l�unesco pour l�exercice 1988-1989 sera identique � celui que la conf�rence g�n�rale a approuv� � sa vingt-troisi�me session pour les etats membres pour 1986-1987, lequel est bas� sur le bar�me des quotes parts adopt� par l�assembl�e g�n�rale des nations unies � sa
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res (b) (c) (d) (e) (f) quaranti�me session ; les montants des contributions seront �tablis sur la base des quotes-parts assign�es � chaque etat membre, en proportion du total de ces quotes-parts, comme indiqu� en annexe ; les nouveaux membres qui d�poseront leurs instruments de ratifica tion apr�s le 28 f�vrier 1987 auront � payer pour les ann�es 1988-1989 des contributions calcul�es comme suit : (i) etats membres de l�organisation des nations unies qui figu rent au bar�me de cette organisation : selon la quote-part que leur assigne ce bar�me ; (ii) etats membres de l�organisation des nations unies qui ne figurent pas au bar�me de cette organisation : selon la quote-part qui leur est assign�e par l�assembl�e g�n�rale des nations unies ; (iii) etats qui ne sont pas membres de l�organisation des nations unies : selon la quote-part th�orique probable qui leur serait assign�e dans le bar�me de cette organisation ; le montant des contributions des nouveaux etats membres fera l�objet, au besoin, de nouveaux ajustements, calcul�s selon la formule ci-apr�s, pour tenir compte de la date � laquelle ils sont devenus membres de l�organisation : (i) 100 % de la contribution annuelle si l�etat est devenu membre avant la fin du premier trimestre de l�ann�e ; (ii) 80 % de la contribution annuelle s�il est devenu membre au cours du deuxi�me trimestre ; (iii) 60 % de la contribution annuelle s�il est devenu membre au cours du troisi�me trimestre ; (iv) 40 % de la contribution annuelle s�il est devenu membre au cours du quatri�me trimestre ; les contributions des nouveaux etats membres seront comptabilis�es
conform�ment � l�article 5.2 (c) du r�glement financier ; ces etats ne pourront donc b�n�ficier de la r�partition ni d�un �ventuel exc�dent accumul� dans le titre viii du budget, ni d�un �ventuel exc�dent budg�taire dans les autres titres du budget de l�exercice financier 1988-1989 ; les contributions des membres associ�s sont fix�es � 60 % de la quote-part minimale des etats membres et seront comptabilis�es sous la rubrique "recettes diverses" ; les contributions des membres associ�s qui deviendront etats membres dans le courant de l�exercice 1988-1989 seront calcul�es selon la m�thode indiqu�e au paragraphe 8 de la r�solution 18 adopt�e par la conf�rence g�n�rale � sa douzi�me session (1962).
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res annexe -contributions des etats membres : bar�me des quotes-parts etats membres quotes-parts etats membres quotes-parts afghanistan 0,01 albanie 0,01 alg�rie 0,14 r�publique f�d�rale d�allemagne 8,16 angola 0,01 antigua-et-barbuda 0,01 arabie saoudite 0,96 argentine 0,61 australie 1,64 autriche 0,73 bahamas 0,01 bahre�n 0,02 bangladesh 0,02 barbade 0,01 belgique 1,17 belize 0,01 b�nin 0,01 bhoutan 0,01 birmanie 0,01 bolivie 0,01 botswana 0,01 br�sil 1,38 bulgarie 0,16 burkina faso 0,01 burundi 0,01 cameroun 0,01 canada 3,02 cap-vert 0,01 chili 0,07 chine 0,78 chypre 0,02 colombie 0,13 comores 0,01 congo 0,01 costa rica 0,02 c�te d�ivoire 0,02 cuba 0,09 danemark 0,71 dominique 0,01 egypte 0,07
el salvador 0,01 emirats arabes unis 0,18 equateur 0,03 espagne 2,00 ethiopie 0,01 fidji 0,01 finlande 0,49 france 6,29 gabon 0,03 gambie 0,01 ghana 0,01 gr�ce 0,43 grenade 0,01 guatemala 0,02 guin�e 0,01 guin�e-bissau 0,01 guin�e �quatoriale 0,01 guyane 0,01 ha�ti 0,01 honduras 0,01 hongrie 0,22 inde 0,34 indon�sie 0,14 irak 0,12 r�publique islamique d�iran 0,62 irlande 0,18 islande 0,03 isra�l 0,22 italie 3,74 jamahiriya arabe libyenne 0,26 jama�que 0,02 japon 10,71 jordanie 0,01 kampuchea d�mocratique 0,01 kenya 0,01 kowe�t 0,29 lesotho 0,01 liban 0,01 lib�ria 0,01 luxembourg 0,05 madagascar 0,01 malaisie 0,10 malawi 0,01 maldives 0,01 mali 0,01 malte 0,01 maroc 0,05 maurice 0,01 mauritanie 0,01 mexique 0,88 monaco 0,01 mongolie 0,01 mozambique 0,01 n�pal 0,01 nicaragua 0,01 niger 0,01 nig�ria 0,19
norv�ge 0,53 nouvelle-z�lande 0,24 oman 0,02 ouganda 0,01 pakistan 0,06 panama 0,02 185
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0,04 0,01 0,20 1,31 0,01 0,03 0,05 0,34 1,26 0,01 0,19 0,01 0,01 0,01 0,01 0,01 0,01 total pour les etats membres sao tom�-et-principe 0,01 s�n�gal 0,01 seychelles 0,01 sierra leone 0,01 somalie 0,01 soudan 0,01 sri lanka 0,01 su�de 1,24 suisse 1,11 suriname 0,01 swaziland 0,01 tchad 0,01 tch�coslovaquie 0,69 tha�lande 0,09 togo 0,01 tonga 0,01 trinit� et tobago 0,04 tunisie 0,03 turquie 0,34 union des r�publiques socialistes sovi�tiques 10,08 uruguay 0,04 venezuela 0,59 viet nam 0,01 y�men 0,01 y�men d�mocratique 0,01
yougoslavie 0,45 za�re 0,01 zambie 0,01 zimbabwe 0,02 70,10 35.2 mise en place, pour une p�riode d�essai de quatre ans, d�un syst�me d�incitation au paiement rapide des contributions la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral sur la possibilit� et l�opportunit� de mettre en place des mesures d�incitation posi tives encourageant les etats membres � payer sans retard leurs contributions ainsi que des mesures �ventuelles pour concr�tiser cette orientation, �tabli conform�ment � la r�solution 23 c/34.3 (doc. 24 c/49 et add.), ayant examin� �galement la d�cision du conseil ex�cutif concernant le rapport du directeur g�n�ral (d�cision 127 ex/8.8), 1. note que les arri�r�s de contributions continuent de provoquer des difficult�s de tr�sorerie et compromettent la capacit� de l�orga nisation de s�acquitter de ses obligations financi�res ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res 2. exprime sa satisfaction aux etats membres qui ont vers� leur contri bution pour l�ann�e 1987 ; 3. prie instamment les etats membres qui ont encore des arri�r�s de verser sans d�lai leurs contributions ; 4. consid�re qu�un syst�me de mesures positives d�incitation au paiement rapide des contributions est souhaitable ; 5. d�cide que sera mis en place, � compter du 1er janvier 1988 et pour une p�riode d�essai de quatre ans, un syst�me d�incitation en vertu duquel les int�r�ts provenant du placement des liquidit�s du fonds g�n�ral pour chaque exercice budg�taire, � l�exclusion des place ments du fonds de roulement, seront distribu�s aux etats membres ayant acquitt� l�int�gralit� de leur contribution pour chacune des ann�es de l�exercice en question, conform�ment � un syst�me de points d�incitation �tabli d�apr�s un bar�me pond�r� tel que celui qu�applique l�organisation de l�aviation civile internationale, l�accumulation des points �tant fonction des dates et des montants des versements effectu�s au titre des contributions dues pour l�exercice en cours, ainsi que des parts des exc�dents budg�taires d�exercices ant�rieurs disponibles aux fins de restitution. la part revenant � un etat membre dans les exc�dents budg�taires disponibles aux fins de restitution sera prise en compte pour d�terminer si cet etat membre a acquitt� l�int�gralit� de sa contribution pour chacune des ann�es de l�exercice financier. la part d�int�r�ts, ainsi calcul�e, revenant � chaque etat membre remplissant les conditions requises devra lui �tre distribu�e � la fin de la premi�re ann�e de l�exercice biennal suivant celui au cours duquel ces int�r�ts auront �t� comptabilis�s ; 6. d�cide de modifier l�article 7 du r�glement financier : (a) en ajoutant au paragraphe 1 de l�article 7 un membre de phrase concernant une nouvelle cat�gorie de recettes � exclure des recettes accessoires et con�u ainsi : "(d) les int�r�ts des placements, � l�exclusion de ceux des placements du fonds de roulement" ; (b) en ajoutant � l�article 7 un nouveau paragraphe 2 libell� comme suit : "les int�r�ts des placements, � l�exclusion de ceux des placements du fonds de roulement, sont utilis�s de la mani�re dont d�cide la conf�rence g�n�rale."
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res 35.3 monnaies de paiement des contributions (eu �gard au titre viii -fluctuations mon�taires) la conf�rence g�n�rale, notant la d�cision 8.9 adopt�e par le conseil ex�cutif � sa 127e session, relative � l��tude sur les mesures susceptibles d��tre adopt�es pour r�duire les effets des fluctuations mon�taires sur les contributions des etats membres, ayant examin� les diff�rentes solutions propos�es par le conseil ex�cutif � cette fin, 1. d�cide, en ce qui concerne les contributions relatives aux ann�es 1988 et 1989, que nonobstant les dispositions de l�article 5.6 du r�glement financier : (a) les contributions au budget seront fix�es sur la base du bar�me des quotes-parts approuv� de la mani�re suivante : (i) en francs fran�ais pour 55 % du total des titresi�VIi du budget, calcul�s au taux de 6,45 francs fran�ais pour un dollar des etats-unis ; (ii) en dollars des etats-unis pour le reste du montant des contributions des etats membres indiqu� dans la partie c de la r�solution portant ouverture de cr�dits pour 1988-1989, c�est-�-dire pour le montant de la partie c diminu� de l��quivalent en dollars des etats-unis du montant en francs fran�ais fix� conform�ment au para graphe 1 (a) (i) ci-dessus, traduit en dollars au taux de 6,04 francs fran�ais pour un dollar ; (b) les paiements pourront �tre faits, au choix de l�etat membre, soit en dollars des etats-unis soit en francs fran�ais et, � moins que les montants mis en recouvrement ne soient re�us simultan�ment dans leur int�gralit�, les sommes vers�es seront imput�es sur les contributions dues au prorata des montants fix�s dans les deux monnaies, par application du taux de change op�rationnel des nations unies entre le dollar des etats-unis et le franc fran�ais en vigueur � la date d�enregistrement du versement au cr�dit d�un compte bancaire de l�organisation ; consid�rant n�anmoins que les etats membres peuvent juger souhaitable de s�acquitter d�une partie de leurs contributions dans la monnaie de leur choix, 2. d�cide que : (a) le directeur g�n�ral est autoris� � accepter, sur demande, le
paiement dans la monnaie nationale d�un etat membre s�il estime qu�il y a lieu de pr�voir de substantielles d�penses dans cette monnaie pendant les mois restant � courir de l�ann�e civile ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res (b) (c) (d) (e) lorsqu�il acceptera le paiement dans une monnaie nationale, le directeur g�n�ral d�terminera, apr�s avoir consult� l�etat membre int�ress�, la part de sa contribution dont le paiement pourra �tre accept� dans la monnaie nationale consid�r�e, compte tenu des sommes �ventuellement accept�es en paiement des bons unesco ; afin que l�organisation puisse effectivement utiliser les devises nationales qui lui auront �t� vers�es au titre des contributions, le directeur g�n�ral est autoris� � fixer pour ces versements un d�lai � l�expiration duquel les contributions devront �tre pay�es dans l�une des monnaies mentionn�es au paragraphe 1 ci-dessus ; l�acceptation de devises autres que le dollar des etats-unis d�am�rique ou le franc fran�ais est soumise aux conditions ci-apr�s : (i) les devises ainsi accept�es doivent pouvoir �tre utilis�es, sans autre n�gociation et dans le cadre de la r�glementation des changes du pays int�ress�, pour couvrir toutes les d�penses de l�unesco dans ce pays ; (ii) le taux de change � appliquer sera le taux le plus favorable que l�unesco pourrait obtenir pour la conversion en dollars de la monnaie consid�r�e � la date o� un compte bancaire de l�organisation sera cr�dit� du montant de la contribution ; (iii) ces versements seront traduits en dollars des etats-unis de la mani�re indiqu�e � l�alin�a 2 (d) (ii) ci-dessus, et imput�s sur les contributions dues par l�etat membre, au prorata des montants fix�s en dollars des etats-unis en francs fran�ais conform�ment � l�alin�a 1 (a) ci-dessus, par application du taux de change op�rationnel des nations unies entre le dollar des etats-unis et le franc fran�ais en vigueur � la date d�enregistrement du versement au cr�dit d�un compte bancaire de l�organisation ; (iv) si, � un moment quelconque au cours des douze mois suivant le versement d�une contribution dans une monnaie autre que le dollar des etats-unis ou le franc fran�ais, cette monnaie vient � se d�pr�cier ou � �tre d�valu�e par rapport au dollar des etats-unis, l�etat membre en cause pourra �tre invit�, sur notification, � faire un versement compl�men taire destin� � couvrir la perte de change sur le solde non d�pens� de la contribution ; en cas d�acceptation de devises autres que le dollar des etats-
unis d�am�rique ou le franc fran�ais, les diff�rences dues aux variations des taux de change qui resteront inf�rieures � 50 dol lars et se rapporteront au dernier versement effectu� au titre des contributions dues pour l�exercice biennal en cause seront pass�es par profits et pertes sur changes.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res 35.4 recouvrement des contributions la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral sur le recouvrement des contributions et des avances au fonds de roulement (24 c/48), 1. exprime sa reconnaissance aux etats membres qui ont vers� leurs contri butions pour 1987 et � ceux qui en ont acc�l�r� le versement en r�ponse aux appels lanc�s ; 2. exprime son appr�ciation au directeur g�n�ral pour les d�marches qu�il poursuit aupr�s des etats membres en vue d�obtenir que les contri butions soient vers�es en temps utile ; 3. rappelle que le paiement des contributions dans les plus brefs d�lais est une obligation qui incombe aux etats membres en vertu de l�acte constitutif et du r�glement financier de l�organisation ; 4. lance un pressant appel aux etats membres en retard dans le paiement de leurs contributions pour qu�ils versent sans d�lai leurs arri�r�s ; 5. demande aux etats membres de prendre les mesures n�cessaires pour verser leurs contributions en totalit� aussi rapidement que pos sible au cours de l�exercice financier 1988-1989 ; 6. prie instamment les etats membres, lorsqu�ils re�oivent la lettre par laquelle le directeur g�n�ral les invite � payer les contributions mises en recouvrement, d�informer celui-ci en temps opportun, dans la mesure du possible, de la date, du montant et du mode de paie ment probables de la contribution qu�ils s�appr�tent � verser, de mani�re � lui faciliter la gestion de la tr�sorerie de l�organisation ; 7. autorise le directeur g�n�ral, lorsque le besoin s�en fera sentir, � n�gocier et � contracter des emprunts � court terme avec des bail leurs de fonds de son choix, afin de permettre � l�organisation de faire face � ses engagements financiers pendant la p�riode 1988 1989, au cas o� la situation de sa tr�sorerie rendrait cette mesure n�cessaire, et le prie de faire rapport au conseil ex�cutif. 35.5 r�glement d�arri�r�s de contributions la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral sur le probl�me relatif aux arri�r�s de contributions du groupe des cara�bes orientales britanniques (24 c/48 et add.), recommande que le directeur g�n�ral retienne sur le montant des exc�dents budg�taires revenant au royaume-uni une somme de 200.822 dollars, en attendant que des contacts directs soient pris avec les divers etats et anguilla et montserrat, pr�c�demment membres du
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res groupe des cara�bes orientales britanniques, pendant la p�riode du 1er janvier 1969 au 31 d�cembre 1985, en vue de recouvrer les montants dus ; le montant ainsi retenu pourrait �tre restitu� en tout ou en partie au royaume-uni � mesure que les divers etats et anguilla et montserrat r�gleraient la part des arri�r�s qui leur serait attribu�e. 36 fonds de roulement 36.1 niveau et administration la conf�rence g�n�rale d�cide ce qui suit : (a) (b) (c) (d) (e) (f) le niveau autoris� du fonds de roulement pour 1988-1989 est fix� � 15 millions de dollars des etats-unis, et le montant des avances des etats membres sera d�termin� suivant la quote-part qui leur est assign�e dans le bar�me des contributions pour 1988-1989, en proportion du total de ces quotes-parts ; le fonds sera normalement constitu� en dollars des etats-unis, �tant entendu que le directeur g�n�ral pourra, d�accord avec le conseil ex�cutif, changer la monnaie ou les monnaies dans lesquelles le fonds est constitu�, de la fa�on qu�il jugera n�ces saire pour assurer la stabilit� du fonds ; les revenus provenant des placements du fonds de roulement figu reront parmi les recettes diverses de l�organisation ; le directeur g�n�ral est autoris� � pr�lever sur le fonds de roulement, conform�ment aux dispositions de l�article 5.1 du r�glement financier, les sommes qui seraient n�cessaires pour financer les ouvertures de cr�dits, en attendant le recouvrement des contributions ; les sommes ainsi avanc�es seront rembours�es aussit�t qu�auront �t� vers�es des contributions pouvant �tre utilis�es � cet effet ;
le directeur g�n�ral est autoris� � faire l�avance, en 1988-1989, de sommes ne d�passant pas 500.000 dollars, en vue de financer les d�penses recouvrables, y compris celles qui concernent les fonds de d�p�t et les comptes sp�ciaux ; ces avances sont faites en attendant de disposer de recettes suffisantes provenant des fonds de d�p�t et des comptes sp�ciaux, des organismes internationaux et des autres sources extrabudg�taires ; les sommes ainsi avanc�es sont rembours�es d�s que possible ; le directeur g�n�ral est autoris� � faire l�avance, en 1988-1989, avec l�approbation pr�alable du conseil ex�cutif, de sommes pr� lev�es sur le fonds de roulement jusqu�� concurrence d�un total de 200.000 dollars pour faire face � des d�penses r�sultant de demandes pr�sent�es par l�organisation des nations unies et se rapportant � des situations d�urgence relatives au maintien de la paix et de la s�curit� ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res (g) le directeur g�n�ral rendra compte � la conf�rence g�n�rale, lors de sa vingt-cinqui�me session, des conditions dans lesquelles il aura proc�d� � des avances au titre du paragraphe (f) ci-dessus et, dans la mesure o� le conseil ex�cutif sera assur� de l�impos sibilit� de rembourser les montants en question � l�aide d��co nomies effectu�es sur le budget de l�exercice en cours, il fera figurer dans la r�solution portant ouverture de cr�dits les sommes n�cessaires au remboursement de ces avances au fonds de roulement ; (h) de fa�on � r�duire au minimum le montant des emprunts qui devraient �tre contract�s � cette fin aupr�s de banques ou d�autres organismes commerciaux de cr�dit, le directeur g�n�ral est autoris�, dans la limite des disponibilit�s et apr�s avoir pourvu aux besoins vis�s aux paragraphes (d), (e) et (f) de la pr�sente r�solution, � faire en 1988-1989 l�avance des sommes n�cessaires pour couvrir les d�penses non amorties de la construc tion de b�timents du si�ge et du r�am�nagement des locaux exis tants qui ont �t� approuv�es par la conf�rence g�n�rale, ainsi que pour financer les �tudes pr�liminaires correspondantes ; il est �galement autoris�, apr�s consultation du comit� du si�ge et en attendant la d�cision de la conf�rence g�n�rale � ce sujet, � faire l�avance de sommes ne d�passant pas 300.000 dollars pour financer les d�penses similaires encourues au titre d��tudes ou de travaux impr�vus qui appara�traient n�cessaires ; (i) le directeur g�n�ral rendra compte, dans son rapport financier pour 1988-1989, de l�utilisation du fonds de roulement pendant cet exercice, en indiquant le montant des int�r�ts produits par les placements du fonds. 36.2 amortissement des d�penses de construction non amorties la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/50 et son addendum, i 1. estime qu�il serait de l�int�r�t de l�organisation qu�� l�avenir, la politique r�gissant l�utilisation et la gestion du fonds de roule ment refl�te l�objectif selon lequel le fonds a en principe pour seule fonction de financer les d�penses budg�taires autoris�es en attendant le recouvrement des contributions que doivent verser les etats membres pendant chaque ann�e de l�exercice financier ; ii ayant not� qu�au 31 d�cembre 1986, le directeur g�n�ral avait pr�lev� sur le fonds de roulement, en application de l�alin�a (i) de la r�so
lution 23 c/35.1, une somme de 13.500.000 dollars pour financer l�amortissement des d�penses d�j� engag�es au titre des travaux de construction, ce qui a r�duit � 1.500.000 dollars le montant disponible pour financer le programme de travail de l�organisation en attendant le recouvrement des contributions,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res jugeant souhaitable de rembourser le plus t�t possible au fonds de roule ment les avances d�un montant de 13.500.000 dollars mentionn�es � l�alin�a qui pr�c�de, de fa�on � reconstituer le fonds pour qu�il puisse servir � financer le programme de travail en attendant le recouvrement de contributions, 2. d�cide que les d�penses de construction non amorties de l�organisation devraient �tre totalement amorties d�ici le 31 d�cembre 1993 au plus tard, le n�cessaire �tant fait pour que les cr�dits requis � cet effet soient inscrits au titre vi du budget des trois pro chains exercices, �tant entendu, en principe, que ces mesures ne devront pas avoir pour effet d�accro�tre la base budg�taire ; 3. prend acte de ce que le directeur g�n�ral devra peut-�tre, pour financer les d�penses de construction non amorties, contracter des emprunts, pour le montant minimal n�cessaire, une fois �puis�es toutes les possibilit�s de remboursement au fonds de roulement, et invite le directeur g�n�ral � faire rapport sur cette question au conseil ex�cutif lors d�une session appropri�e. 36.3 fonds destin� � aider les etats membres � acqu�rir le mat�riel �ducatif et scientifique n�cessaire au d�veloppement technologique la conf�rence g�n�rale, ayant pris note des r�sultats donn�s par l�application de la r�solu tion 23 c/35.3 relative au fonctionnement du fonds destin� � aider les etats membres � acqu�rir le mat�riel �ducatif et scientifique n�cessaire au d�veloppement technologique, autorise le directeur g�n�ral � proc�der en 1988-1989 � de nouvelles attri butions de bons unesco payables en monnaies nationales, jusqu�� concurrence d�une somme de deux millions de dollars. 37 modifications du r�glement financier 37.1 modification de l�article 7/1/2 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/26 et son addendum et pris note du rapport du comit� juridique � ce sujet (24 c/126), 1. 2.
r�solution adopt�e sur le rapport du comit� juridique � la 35e s�ance pl�ni�re, le 18 novembre 1987. voir �galement la r�solution 24 c/35.2. 193
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res d�cide d�inclure dans l�article 7 du r�glement financier un nouveau para graphe 5 (le paragraphe 4 actuel devenant le paragraphe 6) libell� comme suit : "7.5 le directeur g�n�ral peut recevoir des contributions en esp�ces vers�es par les etats qui, sans �tre membres ou membres associ�s, participent � certaines activit�s de programme ou b�n� ficient de certaines facilit�s ou de services de la part de l�organisation ; il en rend compte au conseil ex�cutif." 37.2 modification de l�article 12, paragraphes 1 et 2/1 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/26 et son addendum et pris note du rapport du comit� juridique (24 c/120), 1. d�cide de modifier le texte de l�article 12, paragraphe 1, du r�glement financier de fa�on qu�il se lise comme suit : "un commissaire aux comptes, qui est le v�rificateur g�n�ral des comptes d�un etat membre (ou un fonctionnaire de titre �quivalent) est nomm� par la conf�rence g�n�rale selon les modalit�s qu�elle d�termine et pour le contr�le des comptes de l�exercice financier suivant sa nomination. sauf d�cision contraire de la conf�rence g�n�rale, il est reconduit dans ses fonctions pour les deux exer cices financiers suivants, apr�s quoi la conf�rence g�n�rale doit proc�der � nouveau � la nomination d�un commissaire aux comptes" ; 2. d�cide de substituer dans la version fran�aise de la derni�re phrase de l�article 12, paragraphe 2, du m�me r�glement, le participe "d�charg�" au participe "relev�" et de faire de m�me l� o� c�est n�cessaire, c�est-�-dire dans les versions arabe, chinoise, espa gnole et russe. 37.3 modification de l�article 12, paragraphe 6 la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/51, d�cide de modifier l�article 12, paragraphe 6, du r�glement financier comme suit :
"la conf�rence g�n�rale peut demander au commissaire aux comptes de proc�der � certains examens sp�cifiques et de d�poser des rapports distincts sur leurs r�sultats. le conseil ex�cutif, agissant sous l�autorit� de la conf�rence g�n�rale, a la m�me facult�." 1. r�solution adopt�e sur le rapport du comit� juridique � la 21e s�ance pl�ni�re, le 12 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res 38 nomination d�un nouveau commissaire aux comptes1 la conf�rence g�n�rale, rappelant l�article 12 du r�glement financier de l�organisation, et en particulier le paragraphe 1 de cet article, tel qu�il a �t� modifi� par la r�solution 24 c/37.2, 1. rend hommage au commissaire aux comptes de l�organisation internatio nale du travail qui a assur� la v�rification ext�rieure des comptes de l�unesco pour 1986-1987 ; 2. d�cide de nommer m. jeroom van de velde, premier pr�sident de la cour des comptes de belgique, commissaire aux comptes de l�organisation pour une dur�e de deux ans afin d�assurer la v�rification des comptes de l�unesco pour l�exercice financier 1988-1989. 39 rapport du directeur g�n�ral sur la situation budg�taire de l�organisation en 1986-19872 39.1 pr�visions suppl�mentaires la conf�rence g�n�rale, i ayant examin� les pr�visions suppl�mentaires pour 1986-1987 pr�par�es par le directeur g�n�ral, conform�ment � l�article 3.8 du r�glement financier, en vue de couvrir le d�ficit du titre viii du budget, estim� � 39.768.000 dollars des etats-unis, imputable � la d�pr� ciation du dollar des etats-unis (24 c/40 rev.), notant qu�en application de l�article 3.9 du r�glement financier, le conseil ex�cutif a prolong� l�autorisation provisoire donn�e au directeur g�n�ral d�engager des d�penses suppl�mentaires pour le montant strictement n�cessaire jusqu�� concurrence de 7,5 % (21.700.420 dollars) de la totalit� des cr�dits ouverts pour 1986-1987 (127 ex/d�cisions, 8.4, paragraphe 7), 1. approuve d�finitivement la d�cision prise par le conseil ex�cutif � cet �gard ; 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commission administrative � la 34e s�ance pl�ni�re, le 16 novembre 1987.
2. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission administrative � la 27e s�ance pl�ni�re, le 6 novembre 1987. 195
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res prenant �galement note de la recommandation du conseil ex�cutif � la conf�rence g�n�rale d�approuver, � sa vingt-quatri�me session, le montant total n�cessaire des pr�visions suppl�mentaires pour 1986-1987 (127 ex/d�cisions, 8.4, paragraphe 9), 2. prie instamment le directeur g�n�ral de r�aliser des r�ductions budg� taires suppl�mentaires -se situant dans une fourchette de 1 � 3 millions de dollars -sur l�exercice biennal 1986-1987, en vue de r�duire le montant global des pr�visions suppl�mentaires ; ayant not� que le directeur g�n�ral a pris des mesures pour absorber au moins 1 million de dollars du d�ficit estimatif du titre viii du budget, 3. approuve des pr�visions suppl�mentaires d�un montant total maximal de 38.768.000 dollars, ce montant devant �tre d�duit de la provision n�gative inscrite au titre viii (fluctuations mon�taires) du budget pour 1986-1987, �tant entendu que toute augmentation ou diminution du d�ficit total qui pourrait intervenir avant la cl�ture de l�exercice fera l�objet d�un rapport que le directeur g�n�ral soumettra au conseil ex�cutif � sa 129e session et d�cide que les �conomies qui pouraient �tre r�alis�es d�ici � la fin de l�exercice biennal seront revers�es aux etats membres conform�ment � l�article 4.3 du r�glement financier ; ii 4. d�cide que l�ouverture des cr�dits suppl�mentaires correspondants devra �tre financ�e par des contributions des etats membres calcul�es sur la base des taux assign�s � chaque etat membre dans le bar�me des quotes-parts �tabli par la conf�rence g�n�rale � sa vingttroisi�me session, rapport�es au total de ces taux - �tant entendu que la contribution incombant � tout etat qui serait devenu membre de l�organisation apr�s l��tablissement de ce bar�me devra, de m�me, �tre calcul�e suivant les principes �tablis par la conf� rence g�n�rale � sa vingt-troisi�me session dans sa r�solu tion 34.1;la question de la monnaie de paiement de ces contribu tions sera r�gl�e conform�ment � la r�solution 34.2 adopt�e par la conf�rence g�n�rale � sa vingt-troisi�me session; 5. d�cide en outre que, pour le calcul des contributions � mettre en recou vrement aupr�s des etats membres au titre des cr�dits suppl�men taires susmentionn�s, des ajustements seront effectu�s afin de r�duire le montant total � payer, par d�duction des montants suivants : (a) 7.781.000 dollars correspondant � l�exc�dent enregistr� au titre vii (r�serve budg�taire) du budget de 1986-1987 ; (b) l�exc�dent des recettes diverses par rapport au montant
estimatif pour 1984-1985, qui n�a pas encore re�u d�affecta tion pr�cise, soit 5.989.831 dollars ; (c) 4.500.000 dollars provenant de l�exc�dent des recettes diverses pr�vu pour 1986-1987 par rapport au montant estimatif ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions financi�res 6. consid�re qu�en application des articles 4.3, 4.4 et 5.7 du r�glement financier, les exc�dents budg�taires de l�exercice 1984-1985 et des exercices ant�rieurs devraient servir � r�duire, par des d�ductions individuelles, les contributions demand�es au titre de l�ouverture de cr�dits suppl�mentaires ; 7. d�cide �galement que les contributions mises en recouvrement aupr�s des etats membres au titre de l�ouverture de cr�dits suppl�mentaires devraient �tre consid�r�es comme dues et exigibles � la m�me date que les contributions leur incombant pour la premi�re moiti� de l�exercice 1988-1989 ; au 1er janvier 1989, le solde impay� de ces contributions sera consid�r� comme l�arri�r� d�une dette �chue depuis un an. 39.2 contributions volontaires en vue de r�duire le d�ficit budg�taire de l�organisation la conf�rence g�n�rale, notant que les fluctuations mon�taires ont entam� la capacit� de nombreux etats membres, et en particulier des pays en d�veloppement, de payer leurs contributions, 1. invite les etats membres qui sont en mesure de le faire � verser des contributions volontaires avant le 31 d�cembre 1987, pour r�duire le d�ficit financier de l�organisation imputable aux fluctuations mon�taires ; 2. d�cide que ces contributions volontaires seront d�duites des pr�visions budg�taires suppl�mentaires approuv�es pour 1986-1987 par suite du d�ficit enregistr� au titre viii du budget.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions de personnel1 40 statut et r�glement du personnel la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 24 c/55, prend note des renseignements que le directeur g�n�ral lui a fournis dans ce document. 41 traitements, allocations et prestations 41.1 personnel du cadre organique et de rang sup�rieur la conf�rence g�n�rale, i ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral sur les traitements, allocations et prestations du personnel du cadre organique et de rang sup�rieur (24 c/56), 1. 2. prend note des changements intervenus depuis sa vingt-troisi�me session dans les traitements de base et les allocations ainsi que dans le calcul de la r�mun�ration consid�r�e aux fins de la pension ; note les mesures appliqu�es par le directeur g�n�ral aux membres du personnel du cadre organique et de rang sup�rieur ; 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission administrative � la 32e s�ance pl�ni�re, le 14 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions de personnel ii consciente qu�il se pourrait que la commission de la fonction publique internationale pr�sente � l�assembl�e g�n�rale des nations unies des recommandations affectant les traitements, allocations et autres prestations vers�s par les organisations qui appliquent le r�gime commun des traitements et allocations, 3. autorise le directeur g�n�ral � appliquer au personnel de l�unesco les mesures qui pourraient �tre adopt�es par l�assembl�e g�n�rale des nations unies, cette application prenant effet � la date qu�aura fix�e l�assembl�e g�n�rale ; 4. invite le directeur g�n�ral � faire rapport au conseil ex�cutif sur toutes mesures prises pour donner effet � la pr�sente r�solution. 41.2 personnel de la cat�gorie de service et de bureau la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral sur les mesures qui ont �t� prises en application de la r�solution 23 c/40.2 concernant les traitements, allocations et prestations du personnel de la cat� gorie de service et de bureau au si�ge (24 c/57), 1. prend note des r�visions apport�es au bar�me des traitements et � l�allocation pour enfants � charge qui sont entr�es en vigueur le 1er d�cembre 1986 ; 2. autorise le directeur g�n�ral : (a) � participer, avec la commission de la fonction publique inter nationale, � la r�alisation, en 1988 et 1989, d�une enqu�te sur les meilleures conditions d�emploi � Paris et � examiner avec elle dans quelle mesure le syst�me d�ajustements actuel est appropri� ; (b) � continuer, entre-temps, d�apporter au bar�me des traitements du personnel de la cat�gorie de service et de bureau des ajustements, pris en consid�ration aux fins de la pension, d�un taux de 4 % chaque fois que l�indice g�n�ral trimestriel des taux de salaire horaire publi� par le minist�re fran�ais du travail enregistre une variation de 5 % par rapport � l�indice de base pr�c�dent. 42 r�partition g�ographique du personnel et plan d�ensemble � moyen terme (1984-1989) pour le recrutement et le renouvellement du personnel a sa 32e s�ance pl�ni�re, le 14 novembre 1987, la conf�rence g�n�rale a d�cid� de renvoyer � sa vingt-cinqui�me session l�examen de la r�partition g�ographique du personnel et celui du syst�me des contingents.
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de bi�lorussie
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions de personnel situation de la caisse d�assurance-maladie la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le rapport du directeur g�n�ral sur la situation de la caisse d�assurance-maladie (24 c/62 et add.), ayant pris note du d�ficit du compte d�exploitation de la caisse pour l�ann�e 1986 et la p�riode allant du 1er janvier 1987 au 30 septembre 1987, consciente de la n�cessit� de voir la caisse d�assurance-maladie assurer son �quilibre financier � moyen et � long terme, reconnaissant qu�un syst�me d�assurance-maladie garantissant un niveau de prestations ad�quat constitue un �l�ment indispensable de protec tion sociale de l�ensemble du personnel de l�organisation, 1. appuie les mesures d�aust�rit� qu�a prises le directeur g�n�ral pour sauvegarder l��quilibre financier de la caisse d�assurance maladie ; 2. invite le directeur g�n�ral � suivre de pr�s l��volution de la situation financi�re de la caisse et � faire rapport � la conf� rence g�n�rale, � sa vingt-cinqui�me session, sur toutes autres mesures qu�il aura adopt�es ainsi que sur celles qu�il se propo serait de recommander pour d�cision � la conf�rence g�n�rale ; 3. invite en outre le directeur g�n�ral � faire ult�rieurement des propositions, quand la situation financi�re de l�organisation se sera am�lior�e, visant � doter la caisse des moyens n�cessaires pour maintenir les remboursements de frais m�dicaux � un niveau appropri�.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. xi questions relatives au si�ge 46 mandat du comit� du si�ge1 la conf�rence g�n�rale, ayant pris connaissance du rapport du directeur g�n�ral (24 c/66) et du rapport du comit� du si�ge (24 c/64), rappelant les dispositions des articles 42, 45 et 47.2 de son r�glement int�rieur, 1. d�cide de reconduire le mandat du comit� du si�ge, compos� de 25 membres, jusqu�� la fin de la vingt-cinqui�me session de la conf�rence g�n�rale ; la r�partition g�ographique des si�ges sera conforme � celle du conseil ex�cutif ; le comit� �lira un bureau compos� d�un pr�sident, de deux vice-pr�sidents, d�un rapporteur et de deux membres, de fa�on que chaque groupe g�ographique soit repr�sent� ; 2. d�cide que le comit� se r�unira chaque fois qu�il sera n�cessaire, � la demande du directeur g�n�ral ou sur l�initiative de son pr�sident, pour conseiller le directeur g�n�ral sur toutes les questions relatives au si�ge de l�organisation, soumises par lui-m�me ou par l�un des membres du comit�, et pour formuler � l�intention du directeur g�n�ral tous avis, suggestions, orientations et recom mandations � cet �gard ; 3. d�cide que, dans le cadre de ce mandat, les travaux du comit� concerneront aussi bien les probl�mes de construction, d�am�na gement, de conservation, d�entretien, de d�coration, d�utilisation et de s�ret� et de s�curit� des b�timents et des installations techniques du si�ge proprement dits que, d�une mani�re g�n�rale, la gestion de l�ensemble des services communs qui conditionnent 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commission administrative � la 32e s�ance pl�ni�re, le 14 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. questions relatives au si�ge directement le fonctionnement du si�ge et qui int�ressent aussi bien le secr�tariat que les d�l�gations permanentes et les organi sations non gouvernementales qui occupent des locaux de bureaux au si�ge ; 4. invite le comit� du si�ge � faire rapport � la conf�rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session sur les travaux effectu�s dans le cadre ci-dessus d�fini.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. xii m�thodes de travail de l�organisation 47 m�thodes d��laboration du projet de programme et de budget pour 1988-1989 et techniques budg�taires1 la conf�rence g�n�rale, i ayant examin� les m�thodes d��laboration du projet de programme et de budget pour 1988-1989, 1. constate que les techniques budg�taires arr�t�es par la conf�rence g�n�rale dans sa r�solution 22 c/44 et par le conseil ex�cutif dans sa d�cision 125 ex/7.3 ont �t� correctement appliqu�es par le directeur g�n�ral lors de l��laboration du projet de programme et de budget pour 1988-1989 (24 c/5) ; 2. d�cide que les �l�ments ci-apr�s seront compris dans le cr�dit de 313.020.500 dollars pr�vu pour les titresi�VIdu document 24 c/5 : (a) le cr�dit de caract�re obligatoire destin� � couvrir l�augmenta tion de 300.000 dollars de la contribution de l�organisation � la caisse d�assurance-maladie au titre des participants associ�s ; (b) toute augmentation des d�penses de personnel qui pourrait d�couler d�une modification du taux de renouvellement du personnel ; (c) la r�serve pour les projets de r�solution pr�sent�s par les etats membres et approuv�s par la conf�rence g�n�rale ; ii consciente de la corr�lation qui existe entre l�application des techniques budg�taires de l�organisation concernant, en particulier, le calcul de l�inflation et des fluctuations mon�taires, d�une part, et les contributions des etats membres, d�autre part, 1. r�solution adopt�e sur le rapport de la commission administrative � la 27e s�ance pl�ni�re, le 6 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation 3. invite le conseil ex�cutif � accorder une attention paticuli�re � cette corr�lation lors de l�examen des techniques budg�taires de l�organisation auquel il doit proc�der en 1988. 48 politique et direction g�n�rales1 48.1 conf�rence g�n�rale et conseil ex�cutif la conf�rence g�n�rale, ayant � l�esprit les recommandations formul�es par le conseil ex�cutif � sa 127e session (127 ex/d�c., 5.1.2) concernant la simplification de l�ordre du jour et des proc�dures de travail de la conf�rence g�n�rale, et � sa 126e session (126 ex/d�c., 5.1.2 (annexe)) concernant l�am�lioration du fonctionnement du conseil lui-m�me et de ses m�thodes de travail, etant d�avis que la dur�e des sessions � venir de la conf�rence g�n�rale et du conseil ex�cutif pourrait �tre abr�g�e par suite du n�cessaire all�gement de leur ordre du jour, sans pr�judice de la n�cessit�, pour la conf�rence g�n�rale, d�examiner � sa prochaine session le troisi�me plan � moyen terme, en sus de ses travaux ordinaires, i 1. invite le conseil ex�cutif � entreprendre une �tude sur les voies et moyens de r�aliser ces objectifs sans pr�judice des obligations constitutionnelles et de l�efficacit� de la conf�rence g�n�rale et du conseil ex�cutif ; ii notant qu�une r�duction de cinq jours ouvrables de la dur�e de la conf� rence g�n�rale entra�nerait des �conomies de l�ordre de 500.000 dollars au titre i (chapitre 1) du programme et budget, etant d�avis que des �conomies suppl�mentaires peuvent �tre r�alis�es dans ce domaine et dans d�autres, par exemple en r�duisant le volume de la documentation, 2. invite les etats membres � faciliter la mise en oeuvre des mesures d��conomie propos�es, tant dans leurs demandes de documentation que par un strict respect de la dur�e pr�vue des d�bats ;
3. invite en outre les etats membres � tenir compte d�s maintenant de la n�cessit� de s�lectionner soigneusement le nombre de questions � proposer pour inscription � l�ordre du jour de la prochaine session de la conf�rence g�n�rale, que ces propositions �manent 1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commission administrative � la 32e s�ance pl�ni�re, le 14 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation des etats membres eux-m�mes ou qu�elles r�sultent de d�cisions prises au cours de la pr�sente session de la conf�rence g�n�rale ainsi que des sessions � venir du conseil ex�cutif ; iii notant qu�une r�duction de cinq jours ouvrables en moyenne de chaque session du conseil ex�cutif entra�nerait des �conomies de l�ordre de 500.000 dollars au titre i (chapitre 2) du programme et budget, 4. invite le conseil ex�cutif � s�efforcer de raccourcir, dans la mesure du possible, la dur�e de ses sessions afin d�atteindre cet objectif et de r�aliser de nouvelles �conomies/1 dans ses d�penses de fonctionnement, en particulier au titre des frais de voyage, des indemnit�s journali�res de subsistance et des frais de r�ception, sans pr�judice de ses responsabilit�s statutaires ; 5. invite le conseil ex�cutif � prendre une d�cision sur ce point, au plus tard � sa 130e session ; iv 6. d�cide que toutes les �conomies ainsi r�alis�es aux chapitres pertinents du document 24 c/5, tant pour la conf�rence g�n�rale que pour le conseil ex�cutif, devront �tre transf�r�es au titre vi du budget pour couvrir les d�penses de construction non amorties ; 7. d�cide, dans l�intervalle, de garder en r�serve une somme de 1.240.000 dollars sur les cr�dits ouverts au titre i, chapitres 1 et 2. 1. montant indicatif des nouvelles �conomies � r�aliser au titre i, chapitre 2 : frais de voyage : remboursement des billets d�avion des membres du conseil ex�cutif ou de leurs suppl�ants sur la base de la classe affaires au lieu de la premi�re classe pour les vols ne d�passant pas 5 heures, soit une r�duction de 100.000 dollars nombre de billets d�avion � rembourser aux membres du conseil ex�cutif r�sidant � Paris r�duit � un aller-retour par an 60.000 dollars indemnit�s journali�res de subsistance : �conomies dans le budget pr�vu pour les indemnit�s journa
li�res de subsistance payables aux membres du conseil ex�cutif r�sidant � paris 60.000 dollars frais de r�ception : r�duction globale 20.000 dollars
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation 48.2 services de la direction g�n�rale la conf�rence g�n�rale, rappelant les d�cisions 120 ex/3.1 et 120 ex/5.1.2 dans lesquelles le conseil ex�cutif a fait siennes les recommandations de son comit� temporaire (120 ex/3) relatives � l��valuation des activit�s de l�organisation, ainsi que sa r�solution 23 c/46, rappelant en outre la cr�ation par le directeur g�n�ral, en janvier 1985, de l�unit� centrale d��valuation, et prenant acte des fonctions et du r�le de cette unit�, tels qu�ils sont �nonc�s dans le docu ment 23 c/5, en ce qui concerne le rassemblement et l�analyse des r�sultats des diff�rentes activit�s d��valuation destin�es � am�liorer l�ex�cution des programmes en cours et la pr�paration des programmes futurs, appelant l�attention sur la n�cessit� de renforcer la capacit� de l�unit� centrale d��valuation pour lui permettre d�orienter efficacement les diverses activit�s d��valuation des diff�rentes divisions et sections du secr�tariat et de diriger la mise en oeuvre g�n�rale de ces activit�s, reconnaissant qu�un syst�me d��valuation est un instrument important qui doit permettre aux etats membres d�appr�cier l�efficacit� des activit�s de l�unesco, soulignant l�importance du travail de l�unit� centrale d��valuation dans la mise en oeuvre du syst�me d��valuation de l�organisation, et exprimant sa ferme conviction qu��valuer r�guli�rement l�impact des programmes de l�organisation peut aider le secr�tariat et les etats membres � prendre des d�cisions quant aux ajustements oppor tuns � op�rer dans la planification, la programmation et l�ex�cu tion des programmes, notant qu�� ce jour, pour un total de 151 programmes et sous-programmes de l�unesco, l�unit� centrale d��valuation a r�alis� 9 �valuations d�impact ou �tudes apparent�es, qui ont �t� pr�sent�es au conseil ex�cutif, estimant que le r�le et la capacit� de l�unit� centrale d��valuation doivent encore �tre renforc�s, en accord avec son mandat,
invite le directeur g�n�ral : (a) � �tablir, dans les limites des ressources existantes, un rapport sur les initiatives prises en vue d�am�liorer le fonctionnement de l�unit� centrale d��valuation et � le pr�senter au conseil ex� cutif � sa 129e session ; (b) � pr�senter des suggestions sur l�implantation administrative de l�unit� centrale d��valuation au sein du secr�tariat afin de lui assurer une plus grande ind�pendance de fonctionnement sous l�autorit� directe du directeur g�n�ral ; (c) � d�finir, en termes qualitatifs et quantitatifs, comment l�unit� centrale d��valuation pourrait �tre renforc�e � l�avenir.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation 49 principes directeurs pour la c�l�bration des anniversaires de personnalit�s �minentes et d��v�nements historiques1 la conf�rence g�n�rale, consid�rant que la comm�moration internationale d��v�nements marquants et de personnalit�s �minentes dont les oeuvres ont eu des r�percus sions universelles dans les domaines de comp�tence de l�unesco apporte une utile contribution � la r�alisation des objectifs de l�organisation, consciente n�anmoins qu�eu �gard � la multiplicit� et � la diversit� des anniversaires dont la c�l�bration pourrait �tre jug�e souhaitable, il est n�cessaire d�adopter une appoche r�fl�chie pour faire en sorte que l�unesco tire de ses activit�s dans ce domaine le meil leur profit possible du point de vue de son image dans le public, 1. estime n�cessaire que soit mise en place une proc�dure appropri�e concernant les demandes de participation de l�unesco � la c�l�bra tion de ces anniversaires et les modalit�s de cette participation ainsi que l�inclusion d�activit�s correspondantes dans le programme et budget ; 2. invite le directeur g�n�ral � entreprendre une �tude pour �valuer, en coop�ration avec les etats membres concern�s, les activit�s pass�es de l�organisation concernant la comm�moration d��v�nements marquants et de personnalit�s �minentes et � proposer au conseil ex�cutif, � sa 129e session, des principes directeurs pour les activit�s futures dans ce domaine. 50 d�finition des r�gions en vue de l�ex�cution des activit�s de caract�re r�gional1 50.1 participation des etats membres suivants aux activit�s r�gionales de l�organisation dans la r�gion asie et pacifique arabie saoudite, bahre�n, egypte, emirats arabes unis, irak, jordanie, kowe�t, oman, qatar, r�publique arabe syrienne, y�men, y�men d�mocratique la conf�rence g�n�rale, consid�rant la r�solution 23 c/50 par laquelle elle avait d�cid� de renvoyer � sa vingt-quatri�me session la question relative � la participation aux activit�s r�gionales de l�organisation en asie
1. r�solutions adopt�es sur le rapport de la commissioni�la29e s�ance pl�ni�re, le 13 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation et dans le pacifique des onze etats membres suivants : arabie saoudite, bahre�n, emirats arabes unis, irak, jordanie, kowe�t, oman, qatar, r�publique arabe syrienne, y�men et y�men d�mocratique, prenant en consid�ration le d�sir manifest� par l�egypte de participer aux activit�s r�gionales men�es par l�organisation dans la r�gion asie et pacifique, prenant �galement en consid�ration l��tude de faisabilit� effectu�e par le secr�tariat sur les incidences budg�taires de la participation des pays consid�r�s aux activit�s r�gionales de l�organisation en asie et dans le pacifique, telles qu�elles sont indiqu�es dans l�annexe au document 24 c/38, convaincue que cette d�marche est de nature � renforcer la coop�ration en vue de l�enrichissement interculturel et �ducatif, la promotion et le transfert des connaissances scientifiques et techniques, et la compr�hension entre les peuples, 1. reconna�t que la mise en oeuvre d�une telle coop�ration sur une base r�ciproque devrait se faire progressivement, sans incidences financi�res pour la r�gion h�te, �tant entendu qu�elle devrait se situer au niveau des r�unions � caract�re non repr�sentatif, � savoir les r�unions des cat�gories v � Viii, telles qu�elles sont d�finies dans la r�solution 14 c/23 relative � la classification des r�unions convoqu�es par l�unesco ; 2. d�cide de recommander aux pays des deux r�gions concern�es d��valuer l�exp�rience acquise dans ce domaine avant d�entreprendre, d�un commun accord, toute autre d�marche. 50.2 participation d�aruba, membre associ�, aux activit�s r�gionales de l�organisation en am�rique latine et dans les cara�bes la conf�rence g�n�rale, ayant examin� les documents intitul�s "d�finition des r�gions en vue de l�ex�cution des activit�s de caract�re r�gional" (24 c/102) et "admission d�aruba comme membre associ� de l�organisation" (24 c/103), rappelant ses r�solutions 13 c/5.91 et 18 c/46.1, dans lesquelles sont �nonc�s les principes r�gissant l�inclusion des etats membres dans
les diff�rentes r�gions g�ographiques en vue de l�ex�cution des activit�s du programme, rappelant �galement sa r�solution 19 c/37.1, aux termes de laquelle elle a d�cid� "de prendre toutes les mesures appropri�es en vue de com pl�ter la liste des etats membres fond�s � participer aux acti vit�s r�gionales de l�organisation",
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation ayant examin� la demande pr�sent�e par aruba en vue d��tre admise dans la r�gion d�am�rique latine et des cara�bes aux fins de l�ex�cution du programme, d�cide, apr�s avoir admis aruba comme membre associ� de l�organisation, de l�autoriser �galement � prendre part aux activit�s de l�unesco dans la r�gion d�am�rique latine et des cara�bes. modification du nom et du statut du corps commun d�inspection des nations unies la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�solution 20 c/39.1, dans laquelle elle a accept� le statut du corps commun d�inspection, prenant note de la d�cision 127 ex/3.3.1 du conseil ex�cutif, prenant note aussi des recommandations du groupe d�experts intergouverne mentaux de haut niveau charg� d�examiner l�efficacit� du fonction nement administratif et financier de l�organisation des nations unies, que l�assembl�e g�n�rale des nations unies a approuv�es dans sa r�solution 41/213, consid�rant que, conform�ment � la recommandation 63 formul�e par le groupe, l�assembl�e g�n�rale des nations unies examinera � sa quarante-deuxi�me session une modification du statut du corps commun d�inspection consistant � d�nommer celui-ci corps commun d�inspection et d��valuation, pour manifester l�importance nou velle attach�e � l��valuation dans les travaux du corps commun d�inspection, consid�rant en outre qu�il se peut que cette modification prenne effet avant la prochaine session de la conf�rence g�n�rale, invite le conseil ex�cutif � �tudier les modifications apport�es au statut du corps commun d�inspection une fois qu�elles auront �t� approuv�es par l�assembl�e g�n�rale des nations unies, � prendre les mesures voulues pour faire en sorte que l�unesco continue de
b�n�ficier de l�activit� du corps commun d�inspection, et � faire rapport � la conf�rence g�n�rale, � sa vingt-cinqui�me session, sur les dispositions qu�il aura prises. 1. r�solution adopt�e sur la recommandation de la commission adminis trative � la 32e s�ance pl�ni�re, le 14 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation 52 langues de travail de l�organisation
(commentaire note 18/11/1996 15:17:50 attention! voir corr. � la 3�me page.) 52.1 elargissement de l�utilisation de la langue russe la conf�rence g�n�rale, ayant examin� le document 23 c/39, rappelant ses r�solutions 20 c/38.11, 21 c/41.1, 22 c/47.1 et 23 c/51, dans lesquelles sont soulign�es l�importance de la langue russe et la n�cessit� d�accorder progressivement � cette langue le m�me rang que celui dont b�n�ficient les langues de travail d�usage plus courant de l�organisation, 1. note les mesures prises par le directeur g�n�ral en application desdites r�solutions ; 2. prie le directeur g�n�ral de faire tout ce qui est possible, compte tenu de la compression des d�penses de l�organisation et des r�ductions qui en r�sultent pour ce qui concerne le volume de la documentation et le nombre des publications de l�organisation, en vue de donner � l�utilisation de la langue russe le niveau le plus appropri� dans les limites des cr�dits figurant au programme et budget approuv�s pour 1988-1989, et de prendre les mesures n�ces saires pour �largir l�utilisation de cette langue ; 3. invite le directeur g�n�ral � pr�senter � la conf�rence g�n�rale, � sa vingt-cinqui�me session, un rapport sur la mise en oeuvre de la pr�sente r�solution. 52.2 utilisation de la langue chinoise la conf�rence g�n�rale, rappelant sa r�solution 18 c/43.11, intitul�e "utilisation progressive du chinois comme langue de travail de la conf�rence g�n�rale et du conseil ex�cutif", exprimant sa satisfaction des mesures prises par le directeur g�n�ral en vue d�appliquer cette r�solution, appr�ciant les efforts d�ploy�s par le directeur g�n�ral pour �largir
l�utilisation de la langue chinoise au sein de l�organisation, consciente du r�le que joue l�organisation en tant que centre de conver gence, d��change, d�appr�ciation mutuelle et d�interaction de multiples cultures, ainsi que de la mission historique qui lui incombe dans ce domaine, 1. r�solutions adopt�es sur la recommandation de la commission adminis trative � la 32e s�ance pl�ni�re, le 14 novembre 1987.
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation tenant compte de ce que la langue chinoise est utilis�e par plus du cin qui�me de la population mondiale, qu�elle est un des principaux instruments de communication de la civilisation humaine depuis les temps les plus anciens, que l��largissement de son utilisation au sein de l�organisation est d�une grande importance pour la r�alisation des objectifs fix�s dans l�acte constitutif de l�orga nisation et que le nombre de ceux qui, dans le monde actuel, apprennent et utilisent la langue chinoise ne cesse de cro�tre, reconnaissant que le potentiel de la langue chinoise en tant qu�instrument efficace de communication internationale n�est pas encore pleine ment mis en valeur, estimant que la langue chinoise doit se voir accorder le m�me rang que les autres langues de travail d�usage courant au sein de l�organisation, 1. invite le directeur g�n�ral � prendre les mesures n�cessaires pour maintenir, dans la pratique, durant l�exercice 1988-1989, l�utili sation de la langue chinoise au m�me niveau qu�au cours de l�exer cice pr�c�dent, et pour en �largir l�utilisation ; 2. invite �galement le directeur g�n�ral � examiner les mesures � prendre pour donner progressivement � la langue chinoise, au cours de la p�riode du troisi�me plan � moyen terme, le m�me rang que celui dont b�n�ficient les autres langues de travail d�usage courant de l�organisation, et � pr�senter un rapport � ce sujet � la conf� rence g�n�rale � sa vingt-cinqui�me session. 52.3 application des r�solutions 18 c/43.31 et 19 c/38.11 tendant � assurer � la langue espagnole une �galit� effective de traitement avec les langues de travail de l�organisation ayant la plus grande diffusion la conf�rence g�n�rale, confirmant ses r�solutions 18 c/43.31 et 19 c/38.11, qui accordent � la langue espagnole un rang �quivalant � celui des langues de travail de l�organisation ayant la plus grande diffusion, soulignant que l�espagnol est le moyen de communication de plus de 20 etats et de quelque 300 millions de personnes dont c�est la langue maternelle, ainsi que la constante et vigoureuse expansion d�mo graphique et culturelle de la population de langue espagnole, rappelant que, pour les raisons susmentionn�es, la langue espagnole
devrait �tre reconnue comme il convient par les organismes inter nationaux et en particulier par l�unesco, compte tenu de l�impor tance fondamentale que rev�tent les langues dans les domaines de la culture, de l��ducation, de la science et de la communication, lesquels rel�vent de sa comp�tence sp�cifique,
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation consid�rant en cons�quence qu�� l�unesco, indispensables � une ex�cution �quilibr�e que, lorsqu�il est n�cessaire de r�aliser activit�s en rapport avec elles, elles ne de r�ductions qu�en dernier recours,
les langues sont des �l�ments du programme, si bien des �conomies dans les devraient faire l�objet
ayant constat� qu�en d�pit des dispositions des r�solutions pr�cit�es, la langue espagnole a subi r�cemment un important recul en pourcen tage par rapport aux autres langues de travail de l�organisation ayant la plus grande diffusion, notamment en ce qui concerne les publications autres que les p�riodiques, et que ce recul relatif ne peut �tre justifi� par les restrictions budg�taires impos�es � l�unesco, ayant constat� de m�me qu�en ce qui concerne les p�riodiques, la revue "impact" et la "revue internationale des sciences sociales", qui pr�sentent un int�r�t particulier et font l�objet d�une diffusion sp�ciale, ne sont pas publi�es en espagnol et qu�il en va de m�me du bulletin "les nouvelles de l�unesco", consid�rant qu�au cours des derniers exercices biennaux, pratiquement aucun manuscrit espagnol n�a �t� retenu pour servir de base � des publi cations non p�riodiques, constatant que, parmi les unit�s de publication des divers secteurs qui composent le secr�tariat, seule celle du secteur de l��ducation compte un fonctionnaire du cadre organique qui soit hispanophone, ce qui limite le nombre des publications de l�unesco en espagnol et, par voie de cons�quence, l�acc�s des pays parlant cette langue � ces publications, notant que le projet de programme et de budget pour 1988-1989 envisage l�organisation de r�unions de la cat�gorie ii et de r�unions devant se tenir dans des pays hispanophones sans pr�voir de services d�interpr�tation ni de documentation en espagnol, contrairement aux dispositions de la r�solution 19 c/38.11, 1. remercie le directeur g�n�ral des efforts qu�il a d�ploy�s pour donner � la langue espagnole la place qui lui revient au sein de l�orga nisation, mais n�en exprime pas moins sa pr�occupation devant l��volution observ�e ces derniers temps ; 2. invite le directeur g�n�ral � faire tout son possible, dans les limites
du budget pour 1988-1989, afin que : (a) l�espagnol soit effectivement trait� sur un pied d��galit� avec les autres langues de travail de l�organisation ayant la plus grande diffusion, conform�ment aux r�solutions susmentionn�es ; (b) la position de l�espagnol, notamment dans le domaine des publi cations, fasse l�objet d�un juste r��quilibrage ; (c) il soit rem�di� aux lacunes en mati�re de services d�interpr� tation et de documentation en espagnol dans le cas des r�unions de la cat�gorie ii, de celles qui se tiennent dans les pays hispano phones et, d�une mani�re g�n�rale, de celles qui peuvent pr�senter un int�r�t particulier pour ces pays ;
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. m�thodes de travail de l�organisation (d) l�usage de l�espagnol soit encourag� parmi les membres du secr� tariat, notamment dans les cas o� la nature m�me de l�activit� l�exige. 52.4 utilisation de la langue portugaise � l�unesco la conf�rence g�n�rale, rappelant la recommandation n� 73 de la conf�rence mondiale sur les politiques culturelles, tenue � Mexico en 1982, dans laquelle il �tait demand� au directeur g�n�ral d��tudier la possibilit� d�introduire le portugais comme langue de travail de l�unesco, rappelant sa r�solution 23 c/31.2 par laquelle elle a d�cid� d�inclure le portugais dans la liste des langues officielles de la conf�rence g�n�rale, ayant en vue, comme but ultime, la mise en oeuvre int�grale de la r�solu tion susmentionn�e de la conf�rence mondiacult, tenant compte du fait que, vers l�an 2000 il y aura plus de 200 millions d�hommes parlant la langue portugaise, prie le directeur g�n�ral : (a) d��laborer une �tude sur la possibilit� d�introduire graduellement la langue portugaise comme langue de travail de l�organisation � partir de 1990, en tenant compte, d�une part, de l�importance de cette langue, parl�e dans cinq continents, comme moyen de communi cation internationale, comme instrument de rapprochement entre les peuples et comme moyen d�expression des identit�s culturelles, dans la perspective de l�objectif reconnu par l�unesco qui consiste � promouvoir la pluralit� culturelle en son sein, et d�autre part, des disponibilit�s financi�res de l�organisation ; (b) de veiller � ce que certaines �tudes et publications importantes de l�unesco soient �dit�es en portugais ; (c) de continuer � faire para�tre dans la collection des oeuvres repr�sentatives de l�unesco les �crits les plus marquants des litt�ratures de langue portugaise ; (d) de faire publier en langue portugaise les oeuvres repr�sentatives de la litt�rature universelle ; (e) d�appuyer par des moyens appropri�s les capacit�s nationales d��dition des pays africains de langue officielle portugaise, notamment dans le domaine des manuels scolaires et autres ouvrages didactiques ;
(f) d�encourager l�utilisation de la langue portugaise par les fonc tionnaires des bureaux r�gionaux de l�organisation, notamment en afrique.
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document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. annexe: liste des pr�sidents, vice-pr�sidents et rapporteurs de la conf�rence g�n�rale et de ses organes on trouvera ci-dessous la liste des pr�sidents, vice-pr�sidents et rappor teurs de la conf�rence g�n�rale et de ses organes (vingt-quatri�me session) : pr�sident de la conf�rence g�n�rale m. guillermo putzeys alvarez (guatemala) vice-pr�sidents de la conf�rence g�n�rale les chefs des d�l�gations des etats membres ci-apr�s : autriche, br�sil, cameroun, canada, chine, ethiopie, france, ghana, ha�ti, inde, irak, r�publique islamique d�iran, italie, jama�que, japon, jordanie, liban, mongolie, mozam bique, n�pal, nig�ria, nouvellez�lande, ouganda, pays-bas, p�rou, r�publique d�mocratique allemande, r�publique socialiste sovi�tique d�ukraine, r�publiqueunie de tanzanie, soudan, suisse, tunisie, union des r�publiques socialistes sovi�tiques, uruguay, y�men, za�re, zimbabwe. commission i pr�sidente:mme savitri suwan sathit (tha�lande)/1 vice-pr�sidents:m. domingos van-
dunem (angola), m. siegfried kaempf (r�publique d�mocratique allemande), mme diana espino de ortega (uruguay), m. ahmad muham mad hashim (y�men) rapporteur : mlle genevi�ve rouchet (france). commission ii pr�sident : m. jaroslav kubrycht (tch�coslovaquie) vice-pr�sidents : m. adamou ndam njoya (cameroun), mme vivanne rivera de solis (costa rica), m. georges markou (gr�ce), m. shouaib almansouri (jamahi riya arabe libyenne) rapporteur : m. david macintyre (australie) commission iii pr�sident : m. marcel roche (vene zuela) vice-pr�sidents : m. klaus thurau (r�publique f�d�rale d�alle magne), m. abdellah maslout (maroc), m. leland villadolid (philippines), m. ignacy malecki (pologne) rapporteur : m. michel favereau (madagascar) 1. mme savitri suwansathit a �t� �lue � la suite de la d�mis sion de m. majeed khan (bangladesh). 219
document produit par reconnaissance optique de caract�res (ocr). des erreurs orthographiques peuvent subsister. pour acc�der au document d'origine sous forme image, cliquez sur le bouton "original" situ� sur la 1�re page. annexe commission iv pr�sident : m. alphonse blagu� (r�publique centrafricaine) vice-pr�sidents : m. sergio mar tinez baeza (chili), m. r�za feiz (r�publique islamique d�iran), mme ba diye (mauri tanie), mme natasa kohutikova (tch�coslovaquie) rapporteur : m. georges-henri dumont (belgique) commission v pr�sident : m. iba der thiam (s�n�gal) vice-pr�sidents : m. juan luis martin chavez (cuba), m. harsja w. bachtiar (indon�sie), m. a. c. zijderveld (pays-bas), m. hicham haddad (r�publique arabe syrienne) rapporteur : m. alexandre s. slip chenko (r�publique socialiste sovi�tique d�ukraine) commission administrative pr�sident : m. andri isaksson (islande) vice-pr�sidents : m. juan archi baldo lanus (argentine), m. ale xandre b. demine (r�publique socialiste sovi�tique de bi�lo
russie), m. pierre foulani (niger), m. hussein bayoumi el sayih (soudan) rapporteur : m. nobuo nishizaki (japon) comit� de v�rification des pouvoirs pr�sident : m. edward victor luckhoo (guyana) comit� des candidatures pr�sident : m. mohamed fathallah el-khatib (egypte) vice-pr�sidents : m. idris tain (malaisie), m. musa justice nsibande (swaziland) comit� juridique pr�sidente : mme elsa kelly (argen tine) vice-pr�sident : m. g.j. leibbrandt (pays-bas) rapporteur : m. amer jomard (irak) comite du si�ge pr�sident : m. wilhelm breitenstein (finlande) vice-pr�sidents : m. laurent-marie biffot (gabon), m. guillermo putzeys alvarez (guatemala) rapporteur : m. ananda guruge (sri lanka) groupe de r�daction et de n�gociation pr�sidente : mme attiya inayatullah (pakistan)