Recueil de Poésie Nadjma
Vert comme l'espoir Vert comme l'espoir L'espoir dont nous cherchons tous Tous, sans succès Le succès, nous ne connaissons pas la définition La définition, la vraie Vraie, oui, c'est vrai, nous somme aveugle Aveugle de la vie La vie, dont nous nous traversions les étapes Les étapes, il y en a tellement Tellement, qu'on en peut les compter Les compter ? Personne a essayer Essayer de retrouve l'espoir Pour circuler ces étape La mer La mer a pour frère Les oiseaux marins, Les poissons marin, Et d'autre encore Dont mous ne savons Pas encore leurs noms Mais la mer La majestueuse mer Les connais par cœur Comme une poésie Dont les auteurs sont Charles Baudelaire Joseph Birronneau Et d'autre encore Dont nous ne savons Pas encore leurs noms Mais la mer Ma majestueuse mer Les connais par cœur Comme une poésie Dans la vie Dans la vie Les cormorans Les goélands Remplissent la joie De tous Ce sont les cœur De la terre Au fond de leurs yeux Les aiguilles tournent vite San perdre de temps
Sans perdre d'espoir Car dans la vie Les cormorans Les goélands Remplissent la joie De tous Les oiseaux de l'automne vert, orange puis rouge Ces feuilles qui bouge pour dire "automne" Au bonhomme Qui parcourt les rues Ou regarde les grues Sans essayer de les écouter ou d'entendre les oiseaux crier A force, ils perdent leur souffle Alors enlevez vos pantoufle Préparez-vous et sortez Écoutez-les... Moi et la violence La violence et moi Nous sommes comme des oies la violence torture les gens Et moi je les aide La violence est une queue Et moi, je suis l'animal La violence regarde l'heure Et moi, je regarde les minutes Moi et la violence Nous sommes des existence Différent
La tristesse Quand la tristesse t'envahis Tu ne peut rien faire pour toi ce que tu ressent tout d'abord c'est la vie la vie qui règne en toi comme un roi Misère et peine tout a une fin Mais le plus dur est le début Mais...finalement...en vain Si on l'aurait su... La vie serait un paradis Non, une tristesse
mais rien peu changer cette peine C'est le destin qui la choisie Le monde Le monde est puissant, Car il y a des pierres Les plus magnifique Certains sont en argent Et d'autre sont en or Les plus féerique Oh, les plus magique C'est ceux qui renferment Les plus beaux poème Oh, et ce poème En est un, des plus beaux Secret Les sentiment Sont enfermer à clef, Dans un cœur invisible Qui est là où on ne sait pas Mais on sait qu'il est en nous Qu'il restera en nous Et nous nous resteront là Là sur terre à attendre notre mort Qui viendra un jour Mais quand ? Ceci est renfermé dans un secret bien gardé ! Joyeux anniversaire Ce jour, il est pour toi Il y a douze ans, tu es née En février ton mois Nous allons le fêter Avec la joie et le sourire Nous allons nous éclater Avec le rire Nous allons bien jouer Pour te dire "Que tu as grandis ! " Puis, nous allons ouvrir Tous les cadeaux de tes amies Mais le mien, il ne s'ouvre pas Je veux pas dire qu'il y en a pas Je veux dire qu'il vient du cœur
Du plus profond de mon cœur Son choix Dans notre vie, Nous avons tous fais un choix Un effort, Pour pourvoir être heureux Après la mort, Certains ce sont trompé, L'erreur, veut dire qu'on était aveugle D'autre on eu raison, Leur effort a été récompenser, D'autre ne croient pas en tous cela Et pense qu'après la mort, il y a rien... Chacun son choix Cela ne veut pas dire qu'on ne doit pas respecté Les chrétiens, les musulmans, les juifs Nous avons tous fait un choix, Soit on sera puni, Soit on sera récompensé. Il ne faut juste ne pas être aveugle. La souffrance Ton cœur s'abime Tes yeux sort de leur cocon Tant de souffrance T'ont envahie, que la guerre Est une fourmi A côté de la souffrance Quelle t'a rejeté ! Celle-ci à d'abord touché Les gens que t'aime Et leur cadavre Ta relancé cette souffrance Comme une balle De sang... Les Hommes Noir, blanc Peur importe Nous sommes des Hommes ! Des être humains Femme, homme Peu importe, Nous sommes des Hommes ! Nous ne sommes pas des animaux, Mais des Humains aveugles....