Disque dur
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Disque dur Disque dur
Date d'invention
13 septembre 1956
Inventé par
Reynold Johnson
Se connecte à Contrôleur via : Interface PATA (IDE)
Interface SATA
Interface SCSI
Interface SAS
Segmentation du marché Ordinateur de bureau
Mobile
Entreprise
Consommateur
Autre/divers Fabricant courants : Hitachi
Samsung
Seagate
Western Digital
Un disque dur, en anglais hard drive (HD) ou hard disk drive (HDD), est une mémoire de masse magnétique très utilisée dans les ordinateurs.
Schéma d'un disque dur
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Principe de fonctionnement Dans un disque dur, on trouve des plateaux rigides en rotation. Chaque plateau est constitué d'un disque réalisé généralement en aluminium, qui a les avantages d'être léger, facilement usinable et non magnétique. Des technologies plus récentes utilisent le verre ou la céramique, qui permettent des états de surface encore meilleurs que ceux de l'aluminium. Les faces de ces plateaux sont recouvertes d'une couche magnétique, sur laquelle L'intérieur d'un disque dur dont le plateau sont stockées les données. Ces données sont écrites a été retiré. Sur la gauche se trouve le bras en code binaire [0,1] sur le disque grâce à une tête de lecture/écriture. Au milieu on peut voir de lecture/écriture, petite antenne très proche du les électro-aimants du moteur du plateau matériau magnétique. Suivant le flux électrique qui traverse cette tête, elle modifie le champ magnétique local pour écrire soit un 1, soit un 0, à la surface du disque. Pour lire, c'est le même principe qui est utilisé, mais dans l'autre sens : le champ magnétique local engendre un flux électrique au sein de la tête qui dépend de la valeur précédemment écrite, on peut ainsi lire un 1 ou un 0. Un disque dur typique contient un axe central autour duquel les plateaux tournent à une vitesse de rotation constante. Les têtes de lecture/écriture sont reliées à une même armature qui se déplace à la surface des plateaux, avec une tête par plateau. L'armature déplace les têtes radialement à travers les plateaux pendant qu'ils tournent, permettant ainsi d'accéder à la totalité de leur surface. L'électronique associée contrôle le mouvement de l'armature ainsi que la rotation des plateaux, et réalise les lectures et les écritures suivant les requêtes émises par le contrôleur du disque. Les firmwares des disques durs récents sont capables d'organiser les requêtes de manière à minimiser le temps d'accès aux données, et donc à maximiser les performances du disque.
Mécanique Plateaux Les plateaux sont solidaires d'un axe sur roulements à billes ou à huile. Cet axe est maintenu en mouvement par un moteur électrique. La vitesse de rotation est actuellement (2007) comprise entre 3600 et 15000 tours/minute (l'échelle typique des vitesses est 3600, 4200, 5400, 7200, 10000 et 15000 tours/minute). La vitesse de rotation est maintenue constante. Les plateaux sont composés d'un substrat, autrefois en aluminium (ou en zinc), de plus en plus souvent en verre, traités par diverses couches dont une ferromagnétique recouverte d'une couche de protection. L'état de surface doit être le meilleur possible.
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Tête de lecture/écriture Fixées au bout d'un bras, elles sont solidaires d'un second axe qui permet de les faire pivoter en arc de cercle sur la surface des plateaux. Toutes les têtes pivotent donc en même temps. Il y a une tête par surface. Leur géométrie leur permet de voler au-dessus de la surface du plateau sans le toucher : elles reposent sur un coussin d'air créé par la rotation des plateaux. En 1997, les têtes volaient à 25 nanomètres de la surface des plateaux, aujourd'hui (2006) cette valeur est d'environ 10 nanomètres. Le moteur qui les entraîne doit être capable de fournir des accélérations et décélérations très importantes. Un des algorithmes de contrôle des mouvements du bras porte-tête est d'accélérer au maximum puis de freiner au maximum pour que la tête se positionne sur le bon cylindre. Il faudra ensuite attendre un court instant pour que les vibrations engendrées par le freinage s'estompent. À l'arrêt, les têtes doivent être parquées, soit sur une
Le bras supportant les deux têtes de lecture/écriture. Les rayures visibles sur la surface du plateau indiquent que le disque dur était en panne, victime d'un «atterrissage».
Le moteur du bras, les deux parties blanches de part et d'autre de la bobine sont des aimants. Le couvercle contenant deux autres aimants a été retiré pour faire apparaître le pivot et la bobine.
zone spéciale (la plus proche du centre, il n'y a alors pas de données à cet endroit), soit en dehors des plateaux. Si une ou plusieurs têtes entrent en contact avec la surface des plateaux, cela s'appelle un atterrissage et provoque le plus souvent la destruction des informations situées à cet endroit. Une imperfection sur la surface telle qu'une poussière aura le même effet. La mécanique des disques durs est donc assemblée en Tête de disque dur de 1970 salle blanche et toutes les précautions (joints, etc.) sont prises pour qu'aucune impureté ne puisse pénétrer à l'intérieur du boîtier (appelé « HDA » pour Head Disk Assembly en anglais). Les technologies pour la conception des têtes sont (en 2006) : • Tête inductive • Tête MR - MagnétoRésistive • Tête GMR - Giant MagnétoRésistive
Électronique Elle est composée d'une partie dédiée à l'asservissement des moteurs et d'une autre à l'exploitation des informations électriques issues de l'interaction électromagnétique entre les têtes de lecture et les surfaces des plateaux. Une partie plus informatique va faire l'interface avec l'extérieur et la traduction de l'adresse absolue d'un bloc en coordonnées à 3 dimensions (tête, cylindre, bloc). L'électronique permet aussi de corriger les erreurs.
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Contrôleur de disque Un contrôleur de disque est l'ensemble électronique qui est connecté directement à la mécanique d'un disque dur. La mission de cet ensemble est de piloter les moteurs de rotation et de déplacement des têtes de lecture/enregistrement, ainsi que d'interpréter les signaux électriques reçus de ces têtes afin de les convertir en bits ou réaliser l'opération inverse afin d'enregistrer des données à un emplacement particulier de la surface des disques composant le disque dur. Sur les premiers disques durs, comme par exemple le ST-506, ces fonctions étaient réalisées par une carte électronique indépendante de l'ensemble mécanique. Le volumineux câblage d'interconnexion a rapidement favorisé la recherche d'une solution plus compacte : le contrôleur de disque se trouva alors accolé au disque donnant naissance aux standards SCSI et IDE.
Une carte contrôleur de disque dur IDE accolée à son disque
L'appellation « Contrôleur de disque » est souvent employée par erreur en remplacement de « Contrôleur ATA » ou « Contrôleur SCSI ». En effet un contrôleur de disque pilote juste la partie mécanique d'un disque dur, pendant que les autres pilotent des périphériques variés : disque dur bien sûr mais aussi lecteur de CD, dérouleur de bande magnétique, scanner, etc.
Types d'interface des disques durs Les interfaces des disques durs ont largement évolué avec le temps dans un souci de simplicité et d'augmentation des performances. Voici quelques interfaces possibles : • Storage Module Device (SMD), très utilisée dans les années 1980, elle était principalement réservée pour les disques de grande capacité installés sur des serveurs. Un disque dur à interface SCSI
• SA-1000 un bus utilisé en micro informatique, d'où le ST-506 est dérivé.
• ST-506, très utilisée au début de la micro-informatique dans les années 1980. • ESDI (Enhanced Small Device Interface), a succédé au ST-506, qu'elle améliore. • L'interface IDE (ou PATA par opposition au SATA, voir plus loin), la plus courante dans les machines personnelles jusqu'à 2005, appelée aussi ATA (AT ATACHMENT), à ne pas confondre avec S-ATA, cette dernière l'ayant remplacée. • SCSI (Small Computer System Interface), plus chère, mais offrant des performances supérieures. Toujours utilisée et améliorée (passage de 8 à 16 bits notamment, et augmentation de la vitesse de transfert, normes SCSI-1, SCSI-2, SCSI-3). • SAS (Serial Attached SCSI), combine les avantages du SCSI avec ceux du Serial ATA (elle est compatible avec cette dernière).
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• Serial ATA (ou S-ATA), est une interface série, peu coûteuse et plus rapide qu'ATA (normes SATA et SATA II), c'est la plus courante désormais (2008). • Fibre-Channel (FC-AL), est un successeur du SCSI. La liaison est série et peut utiliser une connectique fibre optique ou cuivre. Principalement utilisée sur les serveurs.
Alimentation électrique • Elle s'effectue en général par un connecteur Molex. Beaucoup de disques durs Serial ATA n'utilisent pas de connecteur molex pour être alimentés mais une prise longue et plate caractéristique de cette norme de transfert.
Géométrie Chaque plateau (2 surfaces) est composé de pistes concentriques. Les pistes situées à un même rayon forment un cylindre. Ici 3 plateaux ; 6 têtes de lectures car 6 surfaces à lire.
Géométrie d'un disque dur
La piste est délimitée en secteurs (aussi appelés blocs) contenant les données.
Géométrie d'une surface. Les pistes sont concentriques, les secteurs contigus.
Il faut donc trois coordonnées pour accéder à un bloc (ou secteur) : 1. le numéro de la tête de lecture (choix de la surface) 2. le numéro de la piste (détermine le déplacement de la tête)
Disque dur 3. le numéro du bloc (ou secteur) sur cette piste (détermine à partir de quand il faut commencer à lire les données). Cette conversion est faite par le contrôleur du disque à partir de l'adresse absolue du bloc (un nombre compris entre 0 et le nombre total de blocs (moins 1) contenu sur le disque). Les secteurs extérieurs et intérieurs n'ont pas la même taille physique. Sur les premiers disques, une surface était formatée en usine et contenait les informations permettant au système de se synchroniser (de savoir quelle était la position des têtes à tout moment). Cette surface était dénommée « servo ». Par la suite, ces zones de synchronisation ont été mixées entre les blocs de données, mais elles sont toujours formatées en usine. Typiquement donc, on trouvera sur une piste une succession de : 1. 2. 3. 4. 5.
un petit « blanc » ou « espace » (« gap » en anglais), une zone servo, un en-tête contenant le numéro du bloc qui va suivre, les données, une somme de contrôle permettant de corriger des erreurs.
Format d'un secteur. Il ne contient pas seulement les données stockées, mais aussi un préambule permettant de synchroniser le système d'asservissement du disque, un en-tête avec l'identifiant du bloc et enfin une somme de contrôle (Σ) permettant de détecter d'éventuelles erreurs.
Mesurer la capacité La capacité d'un disque dur peut être calculée ainsi : nombre de cylindres * nombre de têtes * nombre de secteurs * nombre d'octets/secteur (généralement 512). Cependant, les valeurs de cylindre, tête et de secteur ne sont pas exactes pour les disques utilisant le zone bit recording (enregistrement de morceau zonal Laughing), ou la translation d'adresses. Sur les disques ATA de taille supérieure à 8 Go, les valeurs sont fixées à 16383 cylindres, 16 têtes, 63 secteurs pour la compatibilité avec les systèmes d'exploitation plus anciens. Exemple avec un disque dur S-ATA Hitachi de fin 2005 : 63 secteurs * 255 têtes * 10011 cylindres * 512 octets/secteur = 82343278080 octets soit 76.688 Gio (ou 82.343 Go).
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Performances Le temps d'accès et le débit d'un disque dur permettent d'en mesurer les performances. Les facteurs principaux à prendre en compte sont : 1. le temps de latence, facteur de la vitesse de rotation des plateaux. Le temps de latence (en secondes) est égal à 60 divisé par la vitesse de rotation en tours par minute. Le temps de latence moyen est égal au temps de latence divisé par 2 Pour lire le secteur (en vert) situé sur une piste interne à (car on estime que l'opposée de la tête de lecture (en rouge), il faut déplacer la tête vers l'intérieur (TSeek), attendre que le bloc arrive sous la tête statistiquement les données sont (TLatence) puis lire la totalité du bloc (TTransmission). Il est possible à un demi-tour près des têtes). d'optimiser le temps d'accès en prenant en compte la vitesse de Dans les premiers disques durs, rotation pendant que la tête se déplace. jusqu'en 1970, le temps de latence était d'un tour : on devait en effet attendre que se présente la home address, rayon origine (1/2 tour) devant les têtes, puis on cherchait le ou les secteurs concernés à partir de cette home address (1/2 tour). IBM munit des disques 3033 d'une piste fixe entière destinée à l'adressage, et qui éliminait le besoin de home address. 2. le temps de recherche, ou seek time en anglais, est le temps que met la tête pour se déplacer jusqu'au cylindre choisi. C'est une moyenne entre le temps piste à piste, et le plus long possible (full-stroke). 3. le temps de transfert est le temps que vont mettre les données à être transférées entre le disque dur et l'ordinateur par le biais de son interface. Pour estimer le temps de transfert total, on additionne ces trois temps. On pourra rajouter le temps de réponse du contrôleur, etc. Il faut souvent faire attention aux spécifications des constructeurs, ceux-ci auront tendance à communiquer les valeurs de pointe au lieu des valeurs soutenues (par exemple pour les débits). Voici deux disques comparés. Le premier, le DEC RP07 équipait les ordinateurs DEC des années 1970-80, tandis que le Maxtor est un disque de 3,5 pouces récent (2004). Ils peuvent tous les deux être considérés comme des disques haut de gamme au moment de leur mise sur le marché. DEC RP07
Maxtor Atlas 15k
Hauteur (cm)
118
2,6
Largeur (cm)
67,3
10,1
Profondeur (cm)
83,8
14,7
Poids (Kg)
181
0,81
Capacité (Mo)
516
150528 (150.5 Go)
3633
15000
Vitesse de rotation (t/m)
Disque dur
8
Temps de latence moyen (ms)
8,3
2
Seek time piste à piste (ms)
5
0,3/0,5
Seek time maximum (ms)
-
9
Seek time moyen
23
3,4/3,8
Taux de transfert maximum (Mo/s)
2,1
100
-
98
Nombre de surfaces
16 + 1 servo
8
Nombre de plateaux
9
4
Secteur/piste
-
50
512
512
MASSBUS
SCSI Ultra 320
Taux de transfert soutenu (Mo/s)
Octets/secteur Interface
L'ajout de mémoire vive sur le contrôleur du disque permet d'augmenter les performances. Cette mémoire sera remplie par les blocs qui suivent le bloc demandé, en espérant que l'accès aux données sera séquentiel. En écriture, le disque peut informer l'hôte qui a initié le transfert que celui-ci est terminé alors que les données ne sont pas encore écrites sur le média lui-même. Comme tout système de cache, cela pose un problème de cohérence des données.
Capacité de stockage Les disques durs ayant les capacités les plus importantes sur le marché dépassent les 2 To (téra-octets) (2008). La capacité des disques durs a augmenté beaucoup plus vite que leur rapidité, limitée par la mécanique. Le standard 2008 est de 500 Go pour les PC de bureau (à partir de 0,1 € par Go en août 2008) et de 160 Go pour les PC portables. Le standard 1997 était de 2.0 Go pour les disques dur de 3.5 pouces
Formats Les dimensions des disques durs sont normalisées : • 19 pouces pour les anciens disques (à interface SMD). • 8 pouces : génération suivante, permettant de mettre deux disques sur une largeur de baie. • 5,25 pouces : format apparu dans les années 1980, on le trouve aussi en demi-hauteur. • 3,5 pouces est la taille standard depuis de nombreuses années jusqu'à ce jour. • 2,5 pouces pour les ordinateurs portables à l'origine et installé sur certains serveurs depuis 2006. • 1,8 pouce pour les baladeurs numériques, les ordinateurs ultraportables, certains disques durs externes. Les plus petits disques entrent dans la catégorie des microdrives, avec une taille de 1 pouce.
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Microdrives Les microdrives ont été créés par IBM. Le début de leur développement date de plus de 10 ans mais ils n'ont été commercialisés que très récemment, pour répondre aux besoins des baladeurs numériques et surtout de la photographie numérique. Les disques ''microdrive sont au format des cartes mémoires CompactFlash (CF type 2) et sont utilisés de la même manière. Leur capacité varie de 384 Mo à 8 Go. Ils sont néanmoins plus chers (mécanique de précision avec systèmes antichocs), plus fragiles cependant, et consomment davantage à cause de leur micromoteur. Ils sont principalement utilisés dans les appareils photos professionnels et dans certains lecteurs MP3 en raison de leurs capacités importantes. Ce succès a rendu leurs prix plus abordables. Depuis environ 2007, ce type de disque dur est en concurrence frontale avec les mémoire flash, qui sont moins sensibles aux chocs, car faites d'électronique pure, et dont le coût devient de plus en plus abordable.
Fabricants Le nombre de fabricants de disques durs est assez limité de nos jours, en raison de divers rachats ou fusions d'entreprises, voire l'abandon par certaines entreprises de cette activité. • • • • • • • • •
Cornice ExcelStor Fujitsu GS-Magic Hitachi GST Samsung Seagate Toshiba Western Digital
Constructeurs historiques : • • • • • • • • • • • •
Bull périphériques CDC (Imprimis) Conner Peripherals Hewlett-Packard IBM Maxtor Micropolis NEC Quantum Storage Technology Tandem Univac
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Émulation Parfois il est nécessaire d'avoir un périphérique en tout point similaire à un disque dur, mais avec des temps d'accès beaucoup plus rapides, au détriment de la capacité. Il y a deux façons d'atteindre ce but : soit par l'utilisation d'un disque SSD, soit par la création d'un disque virtuel, comme décrit ci-dessous.
Les disques virtuels Parfois aussi appelés RAM Disques. C'est un artifice qui permet d'émuler un disque dur à partir d'un espace alloué en mémoire centrale. Sa création, son effacement et son accès se font par le biais d'appels systèmes (le noyau peut contenir des pilotes adéquats). Les temps d'accès sont extrêmement rapides ; en revanche, par construction, leur capacité ne peut excéder la taille de la mémoire centrale. Les données étant perdues si la mémoire n'est plus alimentée électriquement, on les utilise en général pour des fichiers en lecture seule, copies de données sur disque, ou pour des fichiers intermédiaires dont la perte importe peu. • rangement de données très souvent consultées (par exemples fichiers .h en langage C) • rangement de fichiers intermédiaires de compilation (sous Linux, fichiers .o)
Le concurrent du HDD : le Solid State Drive Un SSD (pour Solid State Drive) a extérieurement l'apparence d'un disque dur classique, y compris l'interface, mais est constitué de plusieurs puces de mémoire flash et ne contient aucun élément mécanique. Il est parfois appelé, à tort, "disque SDD". Par rapport à un disque dur, les temps d'accès sont très rapides pour une consommation généralement inférieure[1], mais lors de leur introduction, leur capacité était encore limitée à 512 Mo. En 2009, on trouve des modèles de 128 Go à des prix d'environ 350 $ ce qui reste nettement plus cher qu'un disque dur. A leur arrivée sur le marché en 2008 les SSD souffraient d'un défaut: leur nombre de cycles d'écriture était limité de 100000 à 5000000 pour les meilleures cellules, leur donnant une durée de vie limitée (de plusieurs années, comptez entre 50 et 100 ans) ce qui reste largement suffisant pour une utilisation classique. Il faudra attendre fin 2008 pour que pratiquement tous les modèles règlent leurs problèmes d'instabilité/débit. Les disques durs classiques ne souffrent théoriquement pas de ces limitations et cela est principalement dû à la technologie qui diffère. Depuis 2008, on voit la commercialisation de portables (généralement des ultra portables) équipés de SSD à la place du disque dur, par la plupart des grands constructeurs (Apple, Sony, Dell, Fujitsu, Toshiba...).
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Disques durs hybrides A mi-chemin entre le disque dur et le SSD (Solid State Drive - entièrement composé de mémoire Flash), les disques durs hybrides sont des disques magnétiques classiques accompagnés d'un petit module de mémoire Flash. Développé en priorité pour les portables, l'avantage de ces disques est de réduire la consommation d'énergie, d'augmenter la vitesse de démarrage et d'augmenter la durée de vie du disque dur. Lorsqu’un ordinateur portable équipé d’un disque hybride a besoin de stocker des données, en fait, il les range temporairement dans la mémoire flash ce qui évite aux pièces mécaniques de se mettre en route. L'utilisation de la mémoire Flash devrait permettre d'améliorer de 20 % les chargements et le temps de démarrage des PC. Les PC portables devraient eux profiter d'une augmentation d'autonomie de 5 à 15 %, ce qui pourrait se traduire par un gain de 30 minutes sur les dernières générations de PC portables.
Histoire Les ingénieurs d'IBM n'étaient pas satisfaits des systèmes de stockage sur tambours magnétiques : l'efficacité volumétrique était très faible, les tambours occupaient beaucoup d'espace pour peu de capacité. En 1953, un ingénieur récemment embauché eut l'idée de superposer des plateaux le long d'un axe et d'y adjoindre une tête de lecture/écriture mobile, située sur un axe parallèle à celui des plateaux. Cette tête venait s'insérer entre les plateaux pour lire les informations, mais devait se retirer complètement pour passer d'un plateau à un autre. Un prototype fut construit avec une vitesse de rotation d'environ 1,000 tours/minute. À cette vitesse il était compliqué de maintenir les têtes au-dessus de la surface des plateaux. L'idée fut alors d'injecter de l'air sous-pression au travers de la tête de lecture, ce qui la maintenait au-dessus du plateau. La distance tête-plateau était de 20 μm. En 1955, le premier système de ce type a été dévoilé au public par IBM, il fut baptisé RAMAC (Random Access Method of Accounting and Control), modèle 305, et la production commerciale commença en juin 1957. Jusqu'à 1961 plus d'un millier d'unités furent vendues. Son prix : 10000 dollars (de l'époque) par mégaoctet. Le RAMAC 305 était constitué de 50 disques de 24 pouces de diamètre, deux têtes de lecture/écriture qui pouvaient se déplacer d'un plateau à un autre en moins d'une seconde. La capacité totale était de cinq millions de caractères. Le RAMAC avait déjà un concurrent : le Univac File Computer, composé de 10 tambours magnétiques chacun d'une capacité de 180 000 caractères. Bien que ce dernier ait eu une vitesse supérieure, c'est le RAMAC, qui pouvait stocker trois fois plus d'informations, qui avait le rapport coût/performance le plus intéressant pour le plus grand nombre d'applications. En juin 1954 J. J. Hagopian, ingénieur IBM, a l'idée de faire « voler » les têtes de lecture/écriture au dessus de la surface des plateaux, sur un coussin d'air. Il propose le design de la forme de ces têtes. En septembre 1954 il dessine l'équivalent des disques durs actuels : des plateaux superposés et un axe sur lequel sont fixées les têtes de lecture/écriture. Cela deviendra un produit commercial en 1961 sous la dénomination « IBM 1301 Disk Storage ».
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Fin 1969, trois ingénieurs réfléchissent à ce qui pourrait être pour eux le système disque idéal. Ils tombent d'accord sur un modèle composé de deux disques de 30 Mo chacun, l'un amovible, l'autre fixe. « 30 - 30 » donc, qui est aussi un modèle de carabine Winchester. Le nom est resté, et encore aujourd'hui un disque Winchester désigne un disque dur non amovible (soit quasiment tous les disques produits aujourd'hui). En 1998, année où l'on commémorait le centenaire de l'enregistrement magnétique (inventé par le Danois Valdemar Poulsen), IBM commercialisa le premier disque dur de 25 gigaoctets (Deskstar 25 GP), capacité présentée à l'époque par la presse comme disproportionnée par rapport aux besoins réels des particuliers. En 50 ans, la capacité des disques durs a été multipliée par un facteur 500000 puisqu'un disque dur de 2007 peut atteindre 1 To. Plus de 3,5 millions de téra-octets sont stockés chaque année sur des périphériques stockage de masse de type disques durs magnétiques[2] . La surface occupée par un d’information sur le disque s’est vue réduite d'un facteur 100000 en trente ans recherches et d'innovations, améliorant fondamentalement les capacités de stockage, temps d'accès, l'encombrement et le coût de stockage.
de bit de les
En 29 ans, le prix du mégaoctet a été divisé par 1,3 million. Le constructeur Seagate a par exemple livré son premier disque dur en 1979. Baptisé ST-506, il pouvait stocker 5 Mo de données et coûtait à l'époque 1 500 dollars, soit 300 dollars par mégaoctet. Aujourd'hui (2008), alors que ce constructeur en est à son milliardième disque dur livré, le mégaoctet d'un disque dur ne coûte plus que 0,00022 dollar, soit un cinquantième de cent environ[3] . Il a remplacé efficacement dans les années 1970 les tambours (aujourd'hui obsolètes) et les bandes, reléguant peu à peu ces dernières à de simples supports d'archivage et de sauvegarde dans les années 1990. Dans les années 2000, il se met à concurrencer ces dernières en raison de la baisse de son coût au gigaoctet et de sa plus grande commodité d'accès ; vers la fin de cette même décennie, il commence à être remplacé lui-même comme mémoire de masse, pour les petites capacités (4 à 32 Go), par des stockages à mémoire flash qui, bien que plus onéreux, n'imposent pas le délai de latence dû à la rotation des plateaux. Les disques durs ont été développés à l'origine pour les ordinateurs. Tout d'abord en attachement local, ils peuvent être aujourd'hui organisés en réseaux (NAS et SAN) de capacité et de fiabilité croissantes. Les disques durs font l'objet de multiples usages au-delà des ordinateurs, on peut les retrouver notamment dans des caméscopes, des lecteurs/enregistreurs de DVD de salon, des consoles de jeux vidéo, des assistants numériques personnels et des téléphones mobiles.
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Quelques dates de lancement • Premier disque 1 To : mai 2007 (Hitachi Deskstar) • Premier disque 2 To : janvier 2009 (Western Digital) • ...
Notes et références [1] http:/ / www. presence-pc. com/ tests/ SSD-disque-dur-consommation-22801/ [2] Jean-Baptiste Waldner, « Nano-informatique et Intelligence Ambiante - Inventer l'Ordinateur du XXe siècle (http:/ / fr. wikipedia. org/ w/ index. php?title=Special:Booksources& isbn=2746215160) », dans {{{périodique}}}, Hermes science, 2007, p. p176-p177 [3] 01net - Seagate a livré son milliardième disque dur. (http:/ / www. 01net. com/ editorial/ 378991/ seagate-a-livre-son-milliardieme-disque-dur/ )
Voir aussi • Clusters - NAS - RAID - SAN - SSD - JBOD
Liens externes • Encyclopédie des disques durs (http:/ / www. smarthdd. com/ fr/ help. htm) • 100 ans d'enregistrement magnétique (http:/ / web. archive. org/ web/ 19991109062101/ www. ibm. com/ news/ 1998/ 11/ 112. phtml) • Fonctionnement d'un disque dur (http:/ / stielec. ac-aix-marseille. fr/ electron/ cours. htm#informatique) (vidéo au format mp4 de 85 Mo) • Article sur les disques durs (http:/ / www. vulgarisation-informatique. com/ disque-dur. php), résumé des notions principales, • le premier disque dur (http:/ / www. futura-sciences. com/ news-premier-disque-dur-cinquante-ans_9493. php) Source: http:/ / fr. wikipedia. org/ w/ index. php? oldid=38627531 Contributors: -=El Pingu=-, 16@r, 2E9VWCE8, A3 nm, Afsgang, Aleks, Alno, Alvaro, Archaos, Archeos, Belug, Bob08, Boism, Bono, Boretti, Bub's, CTanguy, Chaps the idol, Cheap, Chl, Chninkel, Chtimi44, Claudelepoisson, ColibriDesMontagnes, Coolbaby, Cr0vax, Céréales Killer, Dafotec, David Berardan, David.Monniaux, Denis Dordoigne, Dntt, DocteurCosmos, DonCamillo, Du43l, Effco, El Diablo, Francois Trazzi, Freewol, Ftiercel, GCloutier, GDSG, GabHor, Gede, Ghislain Montvernay, GillesC, Gloran, Gnarg, Grimlock, Grondin, Guillom, Hama90, Hemmer, Hevydevy81, Historicair, Hémant, IAlex, INyar, ImAzIr, Inestella, Iryngael, J-L Cavey, Jbw, Jef-Infojef, JihemD, Jrouquie, Jsnogu, Julien1311, Jydidier, Kelson, Klein, Korrigan, Kozaki, Kuja IX, La pinte, Laddo, Lecybermax, Lgd, Lmaltier, Looxix, Lurulu, Lyapounov, Madlozoz, Malta, Manchot, Marc Mongenet, Marcel.c, Markadet, Max81, Maxlelubre, Med, Medium69, Melkor73, MetalGearLiquid, Mig, Mike2, Mikue, MisterMatt, Moncef BOURAOUI, Morus, Moumousse13, Mro, NaSH, Nataraja, NicoV, Nicolas Ray, Niwat, Nono64, Olrick, Orthogaffe, Oxo, Oz, PJC, Palica, Papier K, Pem, Phe, Pixeltoo, Poil, Pok148, Pulsar, Pyerre, Raizin, RamaR, Raph, Remike, Rigolithe, Romainhk, Ryo, Sakharov, Sam Hocevar, Sarenne, SartMatt, Sebleouf, Semnoz, Shakki, Sherbrooke, Shunt, Sitelec, Skiff, Slm85, Solensean, Spooky, SuperHeron, Sylfred1977, Tchai, Tegu, Thrashboul, TiChou, Titus72, TooNs, Trusty, Turb, Valéry Beaud, Vascer, Vash06, Vengeurz, Vi..Cult..., Wichtounet, Xic667, YolanC, Yves30, Zaballe, Zedh, Zetud, script de conversion, 326 anonymous edits
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1. APPLICABILITY AND DEFINITIONS
This License applies to any manual or other work, in any medium, that contains a notice placed by the copyright holder saying it can be distributed under the terms of this License. Such a notice grants a world-wide, royalty-free license, unlimited in duration, to use that work under the conditions stated herein. The "Document", below, refers to any such manual or work. Any member of the public is a licensee, and is addressed as "you". You accept the license if you copy, modify or distribute the work in a way requiring permission under copyright law. A "Modified Version" of the Document means any work containing the Document or a portion of it, either copied verbatim, or with modifications and/or translated into another language. A "Secondary Section" is a named appendix or a front-matter section of the Document that deals exclusively with the relationship of the publishers or authors of the Document to the Document's overall subject (or to related matters) and contains nothing that could fall directly within that overall subject. (Thus, if the Document is in part a textbook of mathematics, a Secondary Section may not explain any mathematics.) The relationship could be a matter of historical connection with the subject or with related matters, or of legal, commercial, philosophical, ethical or political position regarding them. The "Invariant Sections" are certain Secondary Sections whose titles are designated, as being those of Invariant Sections, in the notice that says that the Document is released under this License. If a section does not fit the above definition of Secondary then it is not allowed to be designated as Invariant. The Document may contain zero Invariant Sections. If the Document does not identify any Invariant Sections then there are none. The "Cover Texts" are certain short passages of text that are listed, as Front-Cover Texts or Back-Cover Texts, in the notice that says that the Document is released under this License. A Front-Cover Text may be at most 5 words, and a Back-Cover Text may be at most 25 words. A "Transparent" copy of the Document means a machine-readable copy, represented in a format whose specification is available to the general public, that is suitable for revising the document straightforwardly with generic text editors or (for images composed of pixels) generic paint programs or (for drawings) some widely available drawing editor, and that is suitable for input to text formatters or for automatic translation to a variety of formats suitable for input to text formatters. A copy made in an otherwise Transparent file format whose markup, or absence of markup, has been arranged to thwart or discourage subsequent modification by readers is not Transparent. An image format is not Transparent if used for any substantial amount of text. A copy that is not "Transparent" is called "Opaque". Examples of suitable formats for Transparent copies include plain ASCII without markup, Texinfo input format, LaTeX input format, SGML or XML using a publicly available DTD, and standard-conforming simple HTML, PostScript or PDF designed for human modification. Examples of transparent image formats include PNG, XCF and JPG. Opaque formats include proprietary formats that can be read and edited only by proprietary word processors, SGML or XML for which the DTD and/or processing tools are not generally available, and the machine-generated HTML, PostScript or PDF produced by some word processors for output purposes only. The "Title Page" means, for a printed book, the title page itself, plus such following pages as are needed to hold, legibly, the material this License requires to appear in the title page. For works in formats which do not have any title page as such, "Title Page" means the text near the most prominent appearance of the work's title, preceding the beginning of the body of the text. A section "Entitled XYZ" means a named subunit of the Document whose title either is precisely XYZ or contains XYZ in parentheses following text that translates XYZ in another language. (Here XYZ stands for a specific section name mentioned below, such as "Acknowledgements", "Dedications", "Endorsements", or "History".) To "Preserve the Title" of such a section when you modify the Document means that it remains a section "Entitled XYZ" according to this definition. The Document may include Warranty Disclaimers next to the notice which states that this License applies to the Document. These Warranty Disclaimers are considered to be included by reference in this License, but only as regards disclaiming warranties: any other implication that these Warranty Disclaimers may have is void and has no effect on the meaning of this License.
2. VERBATIM COPYING
You may copy and distribute the Document in any medium, either commercially or noncommercially, provided that this License, the copyright notices, and the license notice saying this License applies to the Document are reproduced in all copies, and that you add no other conditions whatsoever to those of this License. You may not use technical measures to obstruct or control the reading or further copying of the copies you make or distribute. However, you may accept compensation in exchange for copies. If you distribute a large enough number of copies you must also follow the conditions in section 3. You may also lend copies, under the same conditions stated above, and you may publicly display copies.
3. COPYING IN QUANTITY
If you publish printed copies (or copies in media that commonly have printed covers) of the Document, numbering more than 100, and the Document's license notice requires Cover Texts, you must enclose the copies in covers that carry, clearly and legibly, all these Cover Texts: Front-Cover Texts on the front cover, and Back-Cover Texts on the back cover. Both covers must also clearly and legibly identify you as the publisher of these copies. The front cover must present the full title with all words of the title equally prominent and visible. You may add other material on the covers in addition. Copying with changes limited to the covers, as long as they preserve the title of the Document and satisfy these conditions, can be treated as verbatim copying in other respects. If the required texts for either cover are too voluminous to fit legibly, you should put the first ones listed (as many as fit reasonably) on the actual cover, and continue the rest onto adjacent pages. If you publish or distribute Opaque copies of the Document numbering more than 100, you must either include a machine-readable Transparent copy along with each Opaque copy, or state in or with each Opaque copy a computer-network location from which the general network-using public has access to download using public-standard network protocols a complete Transparent copy of the Document, free of added material. If you use the latter option, you must take reasonably prudent steps, when you begin distribution of Opaque copies in quantity, to ensure that this Transparent copy will remain thus accessible at the stated location until at least one year after the last time you distribute an Opaque copy (directly or through your agents or retailers) of that edition to the public. It is requested, but not required, that you contact the authors of the Document well before redistributing any large number of copies, to give them a chance to provide you with an updated version of the Document.
4. MODIFICATIONS
You may copy and distribute a Modified Version of the Document under the conditions of sections 2 and 3 above, provided that you release the Modified Version under precisely this License, with the Modified Version filling the role of the Document, thus licensing distribution and modification of the Modified Version to whoever possesses a copy of it. In addition, you must do these things in the Modified Version: A. Use in the Title Page (and on the covers, if any) a title distinct from that of the Document, and from those of previous versions (which should, if there were any, be listed in the History section of the Document). You may use the same title as a previous version if the original publisher of that version gives permission. B. List on the Title Page, as authors, one or more persons or entities responsible for authorship of the modifications in the Modified Version, together with at least five of the principal authors of the Document (all of its principal authors, if it has fewer than five), unless they release you from this requirement. C. State on the Title page the name of the publisher of the Modified Version, as the publisher. D. Preserve all the copyright notices of the Document. E. Add an appropriate copyright notice for your modifications adjacent to the other copyright notices. F. Include, immediately after the copyright notices, a license notice giving the public permission to use the Modified Version under the terms of this License, in the form shown in the Addendum below. G. Preserve in that license notice the full lists of Invariant Sections and required Cover Texts given in the Document's license notice. H. Include an unaltered copy of this License. I. Preserve the section Entitled "History", Preserve its Title, and add to it an item stating at least the title, year, new authors, and publisher of the Modified Version as given on the Title Page. If there is no section Entitled "History" in the Document, create one stating the title, year, authors, and publisher of the Document as given on its Title Page, then add an item describing the Modified Version as stated in the previous sentence.
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Licence J.
Preserve the network location, if any, given in the Document for public access to a Transparent copy of the Document, and likewise the network locations given in the Document for previous versions it was based on. These may be placed in the "History" section. You may omit a network location for a work that was published at least four years before the Document itself, or if the original publisher of the version it refers to gives permission. K. For any section Entitled "Acknowledgements" or "Dedications", Preserve the Title of the section, and preserve in the section all the substance and tone of each of the contributor acknowledgements and/or dedications given therein. L. Preserve all the Invariant Sections of the Document, unaltered in their text and in their titles. Section numbers or the equivalent are not considered part of the section titles. M. Delete any section Entitled "Endorsements". Such a section may not be included in the Modified Version. N. Do not retitle any existing section to be Entitled "Endorsements" or to conflict in title with any Invariant Section. O. Preserve any Warranty Disclaimers. If the Modified Version includes new front-matter sections or appendices that qualify as Secondary Sections and contain no material copied from the Document, you may at your option designate some or all of these sections as invariant. To do this, add their titles to the list of Invariant Sections in the Modified Version's license notice. These titles must be distinct from any other section titles. You may add a section Entitled "Endorsements", provided it contains nothing but endorsements of your Modified Version by various parties--for example, statements of peer review or that the text has been approved by an organization as the authoritative definition of a standard. You may add a passage of up to five words as a Front-Cover Text, and a passage of up to 25 words as a Back-Cover Text, to the end of the list of Cover Texts in the Modified Version. Only one passage of Front-Cover Text and one of Back-Cover Text may be added by (or through arrangements made by) any one entity. If the Document already includes a cover text for the same cover, previously added by you or by arrangement made by the same entity you are acting on behalf of, you may not add another; but you may replace the old one, on explicit permission from the previous publisher that added the old one. The author(s) and publisher(s) of the Document do not by this License give permission to use their names for publicity for or to assert or imply endorsement of any Modified Version.
5. COMBINING DOCUMENTS
You may combine the Document with other documents released under this License, under the terms defined in section 4 above for modified versions, provided that you include in the combination all of the Invariant Sections of all of the original documents, unmodified, and list them all as Invariant Sections of your combined work in its license notice, and that you preserve all their Warranty Disclaimers. The combined work need only contain one copy of this License, and multiple identical Invariant Sections may be replaced with a single copy. If there are multiple Invariant Sections with the same name but different contents, make the title of each such section unique by adding at the end of it, in parentheses, the name of the original author or publisher of that section if known, or else a unique number. Make the same adjustment to the section titles in the list of Invariant Sections in the license notice of the combined work. In the combination, you must combine any sections Entitled "History" in the various original documents, forming one section Entitled "History"; likewise combine any sections Entitled "Acknowledgements", and any sections Entitled "Dedications". You must delete all sections Entitled "Endorsements."
6. COLLECTIONS OF DOCUMENTS
You may make a collection consisting of the Document and other documents released under this License, and replace the individual copies of this License in the various documents with a single copy that is included in the collection, provided that you follow the rules of this License for verbatim copying of each of the documents in all other respects. You may extract a single document from such a collection, and distribute it individually under this License, provided you insert a copy of this License into the extracted document, and follow this License in all other respects regarding verbatim copying of that document.
7. AGGREGATION WITH INDEPENDENT WORKS
A compilation of the Document or its derivatives with other separate and independent documents or works, in or on a volume of a storage or distribution medium, is called an "aggregate" if the copyright resulting from the compilation is not used to limit the legal rights of the compilation's users beyond what the individual works permit. When the Document is included in an aggregate, this License does not apply to the other works in the aggregate which are not themselves derivative works of the Document. If the Cover Text requirement of section 3 is applicable to these copies of the Document, then if the Document is less than one half of the entire aggregate, the Document's Cover Texts may be placed on covers that bracket the Document within the aggregate, or the electronic equivalent of covers if the Document is in electronic form. Otherwise they must appear on printed covers that bracket the whole aggregate.
8. TRANSLATION
Translation is considered a kind of modification, so you may distribute translations of the Document under the terms of section 4. Replacing Invariant Sections with translations requires special permission from their copyright holders, but you may include translations of some or all Invariant Sections in addition to the original versions of these Invariant Sections. You may include a translation of this License, and all the license notices in the Document, and any Warranty Disclaimers, provided that you also include the original English version of this License and the original versions of those notices and disclaimers. In case of a disagreement between the translation and the original version of this License or a notice or disclaimer, the original version will prevail. If a section in the Document is Entitled "Acknowledgements", "Dedications", or "History", the requirement (section 4) to Preserve its Title (section 1) will typically require changing the actual title.
9. TERMINATION
You may not copy, modify, sublicense, or distribute the Document except as expressly provided for under this License. Any other attempt to copy, modify, sublicense or distribute the Document is void, and will automatically terminate your rights under this License. However, parties who have received copies, or rights, from you under this License will not have their licenses terminated so long as such parties remain in full compliance.
10. FUTURE REVISIONS OF THIS LICENSE The Free Software Foundation may publish new, revised versions of the GNU Free Documentation License from time to time. Such new versions will be similar in spirit to the present version, but may differ in detail to address new problems or concerns. See http:/ / www. gnu. org/ copyleft/ . Each version of the License is given a distinguishing version number. If the Document specifies that a particular numbered version of this License "or any later version" applies to it, you have the option of following the terms and conditions either of that specified version or of any later version that has been published (not as a draft) by the Free Software Foundation. If the Document does not specify a version number of this License, you may choose any version ever published (not as a draft) by the Free Software Foundation.
How to use this License for your documents To use this License in a document you have written, include a copy of the License in the document and put the following copyright and license notices just after the title page: Copyright (c) YEAR YOUR NAME. Permission is granted to copy, distribute and/or modify this document under the terms of the GNU Free Documentation License, Version 1.2 or any later version published by the Free Software Foundation; with no Invariant Sections, no Front-Cover Texts, and no Back-Cover Texts. A copy of the license is included in the section entitled "GNU Free Documentation License". If you have Invariant Sections, Front-Cover Texts and Back-Cover Texts, replace the "with...Texts." line with this: with the Invariant Sections being LIST THEIR TITLES, with the Front-Cover Texts being LIST, and with the Back-Cover Texts being LIST. If you have Invariant Sections without Cover Texts, or some other combination of the three, merge those two alternatives to suit the situation. If your document contains nontrivial examples of program code, we recommend releasing these examples in parallel under your choice of free software license, such as the GNU General Public License, to permit their use in free software.
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