Nota. — Pour donner aux lecteurs un aperçu de la différence qui existe entre le Dictionnaire du P. Basile de Glemonà, publié par Deguignes fils, en 1813, selon l'ordre des Radicaux ou Clefs, et celui dont on publie aujourd'hui la première livraison (comprenant les dix premiers Radicaux), on se borne à reproduire ici textuellement la première page de ce même Dictionnaire (les additions en français ne sont pas du P. Basile, mais de l'éditeur). On peut en faire la comparaison. PREMIÈRE CLEF.
2 TRAITS.
l'unité,de la priorité et dela pcr* Clefde f'ection: un, unité,parfait, Clavisunitatis,prioritatiset perfectionis : y (1) unus, primus. Ty'-x, primus, perfeclum, simile; x-tâ, ccelum ;ecp.iale, ; x sang, per totam vitam;x-sïn, toto corde; x-x, singillatim.
— . Dixmille. millia. ,/J Decem Oùan (•i) T. Mesurededixpiedschinois. ^X^ Mensuradecempedumsiuensiuin. Tchângx-foù,maritus; x-jin, velyo-x, soccr; CARACTÈRES JOINTS A LACLEF. domus; là-x, mutuè (5) fang-x, Bonziorum 1 TRAIT. pugnare. — Trois. Porter,fort,robuste. -—- Numerustrès. Ty'-x,tertius; tsdy-x,repeT Geslare,fortis, robustus,substituereloco sân titis vicibusseu efficaciter.Legituretiam Tïngalterius,littera temporariainter cliy-kân (G)sdn,iterùm;x-sc,diùcogitare ; tsdy-x,multoties. (2) MCn-x,plebs;pïng-x,milites: lîng-x,puEnhaut, dessus,suprême,parfait,aller. pillus omnibusdestituais;x-hiên,triennii h Suprà,superior,nobilis, rex, altus,ascentempusquo filiiobmortempareiltumcessanta muneribuspublicis; tching-x,com- Chàngdere, ire.Tây-x,supremus: pluris;estimare, plere auuuiuaitatis1Gvel 18; x-hiâng, (7) hoàng-x,imperator;x-pèn,libellumimpecarophvllum. ratori porrigere;x-chy',olim; x-oii,mendies; x-tf', coelimoderator.Legituretiam L. Sept, numerus [j Septem, septinuis. Chàng, à locoinferioriad superioremascendere: x-chïng,tonustertius. Ts'y Ty'-x,septimus. (3) —L'explication decesseptpremiers caractères la premièrepageduDictionnaire chinois,quicomprennent danscette grandin-folio , publiéen1813, en prendpresquetroisdansle nôtre;etlederniercaractère expliqué le n°S13,n'estquelen°582dansceluiqui a étépubliaparDeguignes fils.Il y a donc,danscette livraison, de plusexpliqués première livraison,231caractères quedanslamêmepartiedel'in-folio. NOTREDICTIONNAIRE COMPREND: 1°Environ touslescaractères chinois usuelsduDictionnaire de Khâng-hi, aunombrede31,21h, impérial la plupartdesdéfinitions dansl'explication ona reproduit des9,520caractères dansle desquels compris Hân-tsfu-si-l duP.Dasile deGlemona, définitions revuessurlestextesoriginaux etconsidérablement augmentées 2°Lareproduction encaractères chinoisdesexpressions etdesplirasesexplicatives composées ; caractèresomisdanslesmanuscrits duP.Basile etdansl'édition in-folio de 1813 quel'onpossède, ; 3"Lesêtymotogies descaractères tiréesdeslexicographes chinois les plusestimés,principaleexpliqués, mentduChoûe-wên; WLaprononciation descaractères seloncellesdela languemandarine, delalangueannamite, expliqués, desdialectes deCanton,delaprovince duFou-kicn et duJapon; 5° UnIndexdesprincipaux motsfrançais,avecrenvoisauxcaractères chinois etc. expliqués,
DICTIONNAIRE
KÏY.MOLOGJOl'i:
CHINOIS-ANNAMITE
LATIN-FRANÇAIS.
—TYPOGRAPHIE PARIS. DEFIRMIN DIDOT FILSETCOMPAGNIE, FRÈRES, del'Institut deFrance, rueJacob, B6. Imprimeurs
AVANT-PROPOS.
Les personnes qui s'occupent des langues orientales en France, ou qui voudraient s'en occuper (principalement de la langue chinoise), désiraient depuis longtemps la publication d'un Dictionnaire chinois propre à faciliter leurs éludes, et expliqué dans une langue qui les dispensât d'en apprendre préalablement une ou plusieurs autres pour pouvoir se servir utilement de ces instruments de travail qui sont expliqués dans des langues étrangères, et que, de plus, on trouve difficilement en Europe dans le commerce de la librairie. # Cette pénurie des dictionnaires chinois se comprend d'ailleurs facilement par cette considération que, depuis quelques années, les relations politiques et commerciales entre l'Europe, les Etats-Unis et l'extrême Asie, ont pris un développement qui s'accroît de jour en jour, et que la langue chinoise est la langue officielle, non-seulement du vaste empire de la Chine, qui renferme une population industrielle de plus de quatre cents millions d'àmes, mais encore : delà Cochinchine, ou Empire d'Annam, dont trois provinces appartiennent aujourd'hui à la France; du royaume de Corée, et même, à un certain point, du Japon, qui a emprunté sa civilisation à la Chine, et où l'on réimprime constamment les livres canoniques, historiques, scientifiques et littéraires de cet empire, ainsi que les meilleurs dictionnaires chinois, en les expliquant en japonais. Il peut donc paraître étrange qu'un pays comme la Chine, dans la capitale duquel résident un ministre plénipotentiaire français, et des consuls français dans ses ports ouverts au commerce ; un empire de cette étendue, avec lequel nous avons contracté des traités, ne puisse communiquer avec
VI
AVANT-PROPOS.
nos nationaux que par l'intermédiaire d'une langue qui leur est étrangère , et que la France soit presque la seule des grandes puissances européennes qui manque encore du plus utile et du plus indispensable des moyens de communication intellectuelle entre deux peuples : un Dictionnaire dans les deux langues de ces mêmes peuples. Dès les premières années de sa fondation, la Société asiatique de Paris conçut le projet de pourvoir à ce besoin avec les moyens dont elle pouvait alors disposer : la lithographie. M. Abel-Rémusat, l'un de ses plus illustres fondateurs, disait dans un Rapport lu à la Société le 2 mars 1829 : « Une nouvelle édition du Vocabulaire du P. Basile (celui-là même qui « avait été publié en 1813) est un besoin réel que Ton reconnaît surtout « quand on se livre assidûment au travail de la traduction; mais il faut « que cette édition soit plus exacte , plus correcte, plus complète que la « première ; que l'ordre de l'original y soit mieux observé ; que les super« fluités en soient élaguées, et surtout que la forme matérielle en soit telle « qu'on puisse commodément la consulter, la feuilleter, la porter d'un « endroit à un autre, sans éprouver cette lassitude physique (l'édition en « question forme un volume grand in-folio) qui nuit à la rapidité des re« cherches, à la facilité des vérifications, et, par conséquent, à la diffusion « des connaissances élémentaires.. » Dans un Prospectus-spécimen publié en juin i83y, cinq ans après la mort de l'éminent professeur, celui qui écrit ces lignes disait déjà : « Ce que M. Abel-Rémusat, auquel l'étude de la langue chinoise est redevable des progrès qu'elle a faits depuis quelque temps en Europe, avait si souvent formé le projet d'exécuter, et qu'il encourageait de tous ses efforts; ce que plusieurs essais infructueux n'avaient pas encore permis de réaliser, nous osons l'entreprendre aujourd'hui, avec des moyens d'exécution infaillibles (1), qui dépassent même tout ce que l'on aurait pu espérer il y a quelques années ; et si les encouragements que M. Rémusat savait si bien mettre à la disposition des personnes zélées, pour favoriser les progrès de l'étude du chinois, ne nous manquent pas, la typographie française aura bientôt doté le monde savant d'un monument que l'on n'aurait jamais attendu d'elle ; car nous donnons beaucoup plus, dans l'édition du Dictionnaire annoncé ci-dessus, que le savant professeur n'en demandait à la litho(1) Cesmoyensétaientles nouveauxtypes royale,sousla directionde l'auteurdece Dicchinoisgravéssur poinçonsd'acier par feu tionnaire,d'aprèsun système de séparationdes M.Marcellin del'écriturechinoise. Legrand,graveurde l'Imprimerie élémentsséparables
AVANT-PROPOS.
VII
graphie. Toutes les expressions chinoises composées, les phrases chinoises citées seulement en lettres latines dans les divers manuscrits du P. Basile de Glemonà, et dans l'édition in-folio publiée en I8I3 par ordre de Napoléon, seront reproduites en caractères chinois dans notre édition (voir le .Spécimen), ce qui lui donnera un avantage immense et inappréciable pour l'étude européenne de cette langue figurative, dont on ne peut acquérir l'intelligence que par les yeux : les expressions syllabiques de la langue parlée, au nombre seulement de 4%° (portées à i,2o3 par la variation des accents), devant servir à articuler, et par conséquent à transcrire en lettres européennes alphabétiques les trente à quarante mille caractères figuratifs et idéo-phonétiques de la langue chinoise écrite. » Le Dictionnaire que j'annonçais ainsi en 1887 était expliqué en latin seulement, et sa publication ne reçut pas d'encouragement. Le savant illustre qui avait décidé la Société asiatique de Paris à publier à ses frais une nouvelle édition lithographiée du Vocabulaire du P. Basile (dont les premières feuilles seulement ont été exécutées) ; qui favorisait avec tant de désintéressement tout ce qui pouvait contribuer au progrès des études chinoises , dont il est encore et restera le plus glorieux représentant ; l'éminent professeur qui attirait à son cours si instructif du Collège de France des auditeurs de tous les points de l'Europe, M. Rémusat, n'était plus là pour encourager une publication qu'il avait tant désirée : il était mort depuis cinq ans, et avec lui le grand et honorable enseignement de la langue chinoise en France. En mai 1840, je publiai le Prospectus-spécimen d'un autre dictionnaire avec la prointitulé : Dictionnaire étymologique chinois-latin-français, en et dans les dialectes de annamite, nonciation, des caractères expliqués, Canton, du Fou-kien et du Japon. Cette seconde tentative n'eut pas plus de succès que la première. La même personnalité malfaisante qui avait fait échouer la première fit aussi échouer la seconde. fois (et certainement J'entreprends donc aujourd'hui pour la TROISIÈME pour la dernière) une publication qu'aucun devoir public, aucune fonction salariée, ne m'imposaient. Mais je ne pouvais m'empêcher de regretter chaque jour de voir la France rester en arrière des autres nations pour la publication d'un Dictionnaire (1) dans lequel notre langue, autrefois la celledu Bridgman,Canton,1847, 1 vol. petit in-8°), (1) En faitdeGrammaires chinoises, P. Prémare(NotitialingumSinicse.Malaccse,qui estun vrai trésor; et cellede M. Abelchinoise, 1831,in-4", et traductionanglaisepar J. G. Rémusat{Elémentsdela Grammaire
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AVANT-PROPOS.
plus répandue dans le monde civilisé, tiendrait une grande place, el pourrait alors pénétrer au milieu dé ces populations de l'extrême Orient, où elle est restée jusqu'à ce jour presque complètement inconnue. Et cependant, c'est la France qui a fondé l'étude du chinois en Europe; c'est l'ancienne monarchie qui, depuis Louis XIV, avait le plus encouragé les grandes publications relatives à la Chine •; c'est elle aussi qui avait créé à Paris, en 1814, le premier enseignement public de la langue chinoise, aujourd'hui si déchu. Enfin, c'est aussi sous Napoléon Ior, et par son ordre, que le premier Dictionnaire chinois-européen a été publié. Si, depuis plus de trente années, mes efforts persévérants et désintéressés pour favoriser l'étude du chinois, parla création d'un corps spécial de caractères de cette langue, accueilli partout avec faveur, excepté en France (i), et par la publication de nombreux ouvrages sur la Chine ou relatifs à la Chine, n'ont pas obtenu les résultats que j'avais peut-être le droit d'en attendre, je pourrais en faire connaître ici la cause. Mais je laisse à l'avenir le soin de rendre à chacun la justice qui lui est due. La première Livraison-spécimen du Dictionnaire étymologique chinoisannamite latin-français, que je publie aujourd'hui, comprend (à quelques caractères près) les Dix premiers Radicaux de la langue chinoise. J'ai ajouté aux caractères chinois expliqués et aux expressions composées, à la suite de la prononciation mandarine, la prononciation annamite, à cause de nos nouvelles possessions de la Cochinchine, où la langue chinoise est, depuis deux mille ans, la langue officielle administrative, et dont le Code est celui de la Chine aujourd'hui même, en vigueur. Il n'y a de différence qu'un petit nombre d'articles modifiés et ajoutés pour approprier ce Code, rédigé en pur chinois, à la population de la contrée. Cette livraison peut suffire pour faire apprécier mon travail. Si le public l'accueille avec quelque faveur, j'en continuerai l'impression. Dans le cas contraire, j'abandonnerai à d'autres la tâche longue et pénible que j'ai entreprise avec mes propres forces, sans aucun secours étranger, et sans m'aveugler sur son succès. Je dois ajouter toutefois que, depuis longtemps, je n'ai rien épargné pour me procurer tous les moyens d'arriver en Europe à une connaissance de clarté Paris,1822),quiestun chef-d'oeuvre et de logique,peuventdispenserd'en désirer de meilleures, à moinsque l'on ne préfèrecertainsExercices en 1842,avec pratiques(publiés d'autrespamphletsgrossierset mensongers du
mêmeauteur),dontceluiquiécritcesligneset l'honnêtetépubliqueont fait depuislongtemps justice. à la findecet (1) Voirla Noieadditionnelle Avant-Propos.
AVANT-PROPOS.
IX
approfondie de la langue et de la littérature chinoises. Pour ne parler ici que des Dictionnaires rédigés dans cette langue, j'en ai pu faire successivement l'acquisition, à très-grands frais, de plus de vingt, dont je donne ici l'énumération par ordre d'ancienneté, parce qu'elle pourra intéresser le lecteur. i. RM yf|| Eïdh yà. « Recueil des expressions admises par l'usage ». C'est le plus ancien recueil des caractères chinois, disposéspar ordre de matières, dansle genre de YAmara-Mcha pour la langue sanskrite. Il est attribué par les Chinois au prince Tchéou-koûng,qui vivaitdans le onzièmesiècleavant notre ère, et qui l'ut, avecson père Wên-wâng, le premier interprète des Koda de Foûh-hî, l'inventeur des premierslinéamentsde l'écriturechinoise. — Trois éditionsdifférentesaveccommentaires. 2. Sjb '\t mtL -r*. C/ioûe wên kicii tsèu. « Dictionnaire explicatif des « caractères », par Hiù-chùi, qui le termina, selon la date de sa préface , l'an iai de notre ère. Edition en la volumes ou peu chinois, et 4° kioûan ou sections, contenant les commentaires de Siu. C'est ce dictionnairedont Prémare a dit {Notitia lingax Sinicse,p. 7) : < Diumul« tumqueterendus est 111e liberomnibus qui veram litterarum analysim scire cupiunt, « sed a paucis intelligitur. » — Deuxéditions différentes. 3. y^ ^pfp7j V Loû/i chou koû. « Les causes de formations des six « classes de caractères. » Ouvrageen 33 livres,composépar Tdï-toûng, qui vivaitsous le règne de la dynastie mongole, et publié pour la premièrefois en 1318. Ouvragetrès-remarquable. 4. y^ "|lp /Kjîg vM Loûh chou tfsîng hoên. « Recueil choisi des six « classes de caractères », composé par 'Weï-kiao, et publié en six livres. Edition de i54o. Le P. Cibot,qui l'a eu en sa possession,dit de ce livre : « J'ai fait encore beaucoup « d'usage du Lieou tsing hoen, qui est un chef-d'oeuvred'érudition et de critique, « j'ai presquedit de morale et de philosophie.» 5- Tf. JE. R^I îfffl ^" tchlê ywn soriï. Dictionnaire rédigé par ordre de tons et de consonnances finales, et publié en 1397.—'JO Pen ou v°lumesLes exemplesperpétuelsd'expressions composéesde deux et de trois caractères qui y sont donnés (tirés des Kîng, des Historiens, des Poêles, des Philosophes, classéspar ordre), seraient fort utiles pour composerun grand dictionnairedu même genre. Il a servidebase au Pëi-wtn-yûn-fùu, dont il sera questionci-après.
X
AVANT-PROPOS.
^' iL ffi- ff@ Jfcf Ou.tch'ê yi'mfoù. Dictionnaire rédigé par ordre de tons et de consonnances finales et initiales d'un nouveau système. C'estcelui que le Rév. Morrison(1) dit,'dans la Préfacede son Dictionnaire tonique chinois-anglais, avoir pris pourbase, en le comparantà celuide Khâng-hîet au «Dic« tionnaire alphabétiquedes missionnaires catholiques(du P. Basilede G-lemonà).» Il fut publié en 1708, en 22 volumes,et il a été longtemps introuvableen Chine. J'en possèdeun autre exemplairemanuscrit copié à Pé-king, d'une très-belle et très-élégante écriture. — 22pèn ou vol.in-8°. 7. j£ JTL. yfà Tching tseûVoùng. « Explication des caractères exac» tement formés ». — 32 pèn ou vol. in-8°. Dictionnairerédigé selonl'ordre des 214 Radicaux ou Chefsde classes (poû), par TchângTsé-liëh,qui vivait sous les Mîng. Édition publiée en 1671, 32vol. in-8°. Ce dictionnaire est un des plus savants de tous ceux qui ont été composés par des Chinois; il peut être d'un très-grand secours pour expliquerles livres bouddhiques traduits ou rédigésen chinois. 8. =l§ E|p J5j qc. r^j 'Hiâï chïngp'întséu tlsiên. Dictionnaire rédigé aussi selon l'ordre des consonnances classées d'après les groupes phonétiques. — 18 pèn ou volumes. Il fut composépar Yû Hiêu-hl et Yû Hiên-têh, son fils, qui le publia en 1677.Il comprend 32,895caractères,lesseuls usitésde la langue chinoise, accompagnésd'excellentes définitionstrès-utiles pour bienconnaîtreles moeurset coutumesde la Chine. C'estun de ceuxdont le P. Basilede Glemonàs'est serviavecle plusd'avantagepour la compositionde son dictionnaire. p. Jg |m qi <sg T'sêng poh tséu lwéi. « Le Dictionnaire Tséu 'wéï (Recueil de caractères expliqués) augmenté » ; composé en 1615 par Meï Tan-seng, et classé selon l'ordre des 214 Radicaux. — i4 pen ou vol. in-8°. 10. ^fr 'S* ~f- SBC Yùh Pângtséu 'wéï. Abrégé du dictionnaire précédent. Edition de poche, de iy36. — 4 v°l- in-ia. ir.
:|K^ TL <sg Tchouàn tseû 'wéï. Dictionnaire des anciens caractères de forme tchouàn ou ancienne, composé par Toung 'Weï-fou, et publié en 1691. — 12 pèn ou vol. in-8°.
ChineseandEnglish,arrangedalphabetically. Macao,1819,2vol.in-4°. (1) ADictionary
AVANT-PROPOS.
XI
12, Am 7C Jp£ |EE T^ jfïï.. l'w Zf'rtg'Khâng-hl tséu tien. Dictionnaire impérial de Khâng-hî, rédigé selon l'ordre des 214 Radicaux, par trente des principaux membres de l'Académie des Hân-lin. Edition de 1716, 4o peu ou vol. in-4°. — Autre édition en petit format, 32 vol. in-12. C'est sur un exemplairede choix, de la grande édition impériale de ce dictionnaire (publiéesous les yeux dé Khâng-hî, avecunePréfacede sa main),et offrantcettegrande élégancede formes que,présentent leséditions impérialesexécutéessous son règne), qu'ont été calquéset réduits les types chinois gravéspar M. MarcellinLegrand. Aussi on peut affirmerqu'ils représententlesformesles plus belleset les plus élégantesde la typographiechinoise. i3. \|p % \J[ ;£ f jj Jjf Yû ting Pèi wên yûn fou. Grand Dietionnaire de la littérature chinoise, rédigé par ordre impérial. — Edition de 1711, i3o ^è/îouvol. in-8°. C'estun vrai « Trésorde la langue chinoise », rempli d'une multitudeinnombrable d'exemples,et d'une impressiontrès-compacte,rédigé par ordre du célèbreempereur Khâng-hî, avecune préface de sa main. Il est d'un prix très-élevéet rare en Europe. Yû ting P'ïng tséu loûï piên. Grand i4- ^ /£ |jf ^ Jj f§ Dictionnaire encyclopédique des expressions composées, rédigé par ordre impérial. — i3o pèn ou vol. in-8°. Publié en 1726. Ce magnifiqueouvrage, chef-d'oeuvred'impression(tirage spécialà l'usage de l'empereur, et dont aucune publication européenne ne peut donner l'idée), porte en tête uneNotice manuscritede la main du P. Amiot, ainsi conçue: « r Ce livre est un Dictionnairedansle goûtde Robert Etienne pour le latin, et de « celui de l'Académiepour le français (c'est-à-dire,la premièreédition, dans laquelleles « mots sont classés par familles). Mais comme les caractèreschinoisne peuvent être « rangés par ordre alphabétique,on les a rangés ici par ordre de classesdes choses: « le Ciel, les Astres, les Météores, la Terre, etc. « 2° Cedictionnaireestle seul où l'on trouve la significationdes caractères accou« plés , c'est-à-dire qui acquièrent une significationnouvelle qu'ils n'ont ni l'un ni « l'autre (dans leur état de séparation).Faute de la connaître (cette significationnou« velle), ceux qui croient savoir le mieux le chinois peuvent se tromper à chaque « phrase et traduire d'une manièreridicule. c 3° Cette édition est du règne de Young-tching (fils de l'empereur Khâng-hîqu i « en avaitordonnéla rédaction),de l'impression du palais, et un chef-d'oeuvrede ty« pographie chinoise. Cet exemplaireest un de ceux qui ont été présentésà l'empe« reur ; c'est tout dire pour le papier, l'exactitude,etc. Il serait inutile d'en demander .1un second; l'occasionqui a procuré celui-cine revient pas deux fois. « A Pé-King, ce 20 septembre1767. »
XTI
AVANT-PROPOS.
i5. 2gJf ~V -j|jf fit Yi wên tfoïing Van. « Examen général des caractères classiques ». —^o pèn ou vol. in-8°. Publié en I8OD. Dictionnaireclasséselonl'ordre des214Radicaux,parChâ-moûh, qui passa, dit-on, trente ansde sa vieà le rédiger.Il présenteles formesclassiquesanciennesetmodernes de chaque caractère expliqué, et fut terminé en 1798.L'impression en est fort belle. C'est, avecle Dictionnaireimpérial de Khâng-hî, celuiquej'ai suivi de préférence. Il a, sur le premier, l'avantaged'être dégagéd'une foule de choses peu essentielles; d'avoir des définitionsnettes et clairesque je me suis attachéà reproduire en transcription (commepreuvesjustificativesdes significations données), et d'offrir, à la suite de l'explicationde chaquecaractère, les différentes formesanciennesen tchouàn de ces mêmes caractères, avec l'indication des livres et des inscriptions anciennes d'où ces formes ont été tirées. 16. 3p|f 2$C IM T|» ^ wên pi Van.Nouvelle édition du Dictionnaire précédent, publiée en 1806. — 4° Pen ou v°l- in-8°. 17. I7y "prf %S Ipë Széyin chïh i. « Sens expliqué des caractères compris dans les quatre tons ». Edition de 1821. — 12 pèn ou vol. in-8°. Ce Dictionnairedonne seulement une brève explicationdes 9,550 caractères classiques, rangés selonl'ordre desa14 Radicaux, compris dans le Pêï wên ytin fou, en ndiquantminutieusementles tons dont ils sont affectés,et en renvoyant,pour de plus amples explications,à ce mêmeDictionnaire énoncé ci-dessus,auquel il sert d'Index. 18. 1iP M ^ IT ïft X M. Yd tcM *sênS ,inS tisinS wên ***>.»• Dictionnaire mandchou-chinois par ordre de matières, avec la prononciation figurée des caractères chinois, en mandchou, et des mots mandchous en caractères chinois. — 6 vol. in-4°. Edition de 1771. til lhôk pïh wèn kian- i)'cti°nnairc j9- EH fH -p* Ht Se iHSzé mandchou-mongol-tibétain-chinois, par ordre de matières, avec la prononciation du chinois en mandchou. — 10 pèn ou vol. in-4". 20. j— -/g- -fîp |jg San 'hôh pieu làn. Dictionnaire synoptique mandchou-chinois-mongol, par ordre de matières. — 12 pèn ou vol. grand in-8°. Edition de 1792. 21. j^Jy TH "H* Oufâng youên yin, Vocabulaire systématique des cinq tons chinois. — 2 vol. in-8°.
AVAYl'-l'HOI'OS.
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22. fsj ^r gX 5;|ê Hiû tséu tchoû chïk. Traité des mots vides, c'està-dire, des particules chinoises qui constituent les rapports des mots entre eux dans la grammaire danoise. Manuscrit copié à Pé-king. — Ce traité important rentre dans la lexicographie. 23. VM .TELPR nil Hân-tsèu si jïh. « Sinicorum characterum Europea « expositio ».
XIV
AVANT-PROPOS. Savants étrangers correspondants de l'Académie des sciencesde Paris, et auquel, jusqu'à ce jour, personne n'avait attribué un aussi importanttravail. Je dois dire, toutefois, que ce Dictionnaire, quelque bon qu'il soit, ne m'a été d'aucun usagepour la rédaction de mon propre travail ; d'abord parce que je ne le possède que depuistrès-peu de temps (depuis le 22 juin 1866),et parce qu'il estconsacré exclusivementau langage de la conversation chinoise, tandis que celui que j'offre aujourd'huiau publicl'est principalementà celuides livres, quoiqu'ilcomprenne un assezgrand nombre d'expressionscomposéesdu langagemoderne. Un autre Dictionnaire français-latin-c/iinois a été composé récemment par M. l'abbé Perny, des Missionsétrangères, Provicaireapostoliquede Chine, où il a passé vingt ans. La publication de ce Dictionnaire,qui serait très-utile, est préparée. Cesont les numéros 12 et i5 des dictionnaires chinois énumérés ci-dessus que j'ai pris pour base de mon travail. Le premier, le Dictionnaire impérial de Khàng-hî, renferme l'explication de 49,o3o caractères chinois'différents, dont 1,995 sont des formes primitives tombées en désuétude, de sorte que le nombre eh est réduit à 47,o35. Mais, de ces derniers, il faut encore retrancher (pour avoir le chiffre réel des caractères chinois en usage, et employés dans tous les bons auteurs, y compris les Kîng), les formes incorrectes, inusitées, etc., signalées comme telles dans le Dictionnaire impérial (el non comprises dans celui de Châ-moûh, le I-wên-t'oûng-làn), au nombre de plus de 6,000 ; ensuite les caractères sans significations bien déterminées, qui s'élèvent à plus de 4?ooo ; il n'en resterait donc qu'environ 36,000. Encore sur ce dernier chiffre y en a-t-il un grandnombre qui sont des formes archaïques, employées seulement dans les anciens Kîng, ou ne se rencontrent que dans quelques anciens auteurs ; dans les écrivains hétérodoxes, comme ceux de la secte bouddhique ; de sorte qu'en définitive, le nombre total des caractères classiques expliqués dans ce Dictionnaire (y compris même un grand nombre de synonymes homophones) est de 3i,2i4 (le P'in-tséu-l'siën n'en renferme que 32,895). Et ce nombre est encore bien au-dessus de celui qui comprend le matériel courant de la littérature chinoise. On pourra s'en faire une idée quand on saura que, dans le grand Dictionnaire par ordre tonique cité précédemment (le Péi wên yiui fou, n° i3, qui embrasse toute la littérature chinoise classique), le nombre des caractères différents qui s'y trouvent expliqués ne s'élève qu'à 10,362 , encore y en a-t-il 812 qui ne diffèrent des autres que par la prononciation tonique, ce qui en réduit le nombre réel à g,55o. Et cependant, ce grand Dictionnaire est rempli d'innombrables citations d'expressions composées de deux, trois et quelquefois quatre caractères,
AVANT-PROPOS.
XV.
tirées de tous les ouvrages de la littérature chinoise, en vers et en prose, dans lesquelles expressions entre toujours le caractère expliqué, comme cela a lieu aussi dans le Dictionnaire n° i4, le Pilng tséu loui piên. On voit donc combien les chiffres de 80,000, 100,000 et autres, que l'on a l'habitude de donner comme étant ceux qui forment le matériel de la langue chinoise, sont exagérés (1). Le Dictionnaire dont je présente aujourd'hui au public la première livraison comprendra environ 3o,ooo caractères chinois expliqués (tous ceux du Dictionnaire impérial de Khâng-hî, à peu d'exceptions près), tandis que le Dictionnaire grand in-folio, publié en 1813, sous le nom de Deguignes, n'en contient que I3,3I6. En outre/ aucun des caractères chinois qui devaient entrer dans les explications ne s'y trouve reproduit, tandis que, dans celui que j'ai entrepris, non-seulement presque tous ces caractères qui forment les exemples et les expressions composées ont été insérés, mais, de plus, un grand nombre d'autres, tirés de sources le plus souvent indiquées. On verra, dans ces exemples de citations et d'expressions composées, un emploi inattendu d'une partie des éléments constituant environ les trois quarts de tous les caractères chinois : les éléments ou groupes phonétiques, redevenus ainsi, pris isolément, des caractères entiers, ayant une signification primitive idéographique propre, et formant alors (dans les types chinois divisibles gravés par M. Marcellin Legrand) un second corps de caractères, d'wratiers moindre en grosseur que les caractères expliqués; ce qui, pour un certain nombre d'entre eux, permet même de les employer dans les lignes, sans inconvénients typographiques. Quelque peine que je me sois donnée pour, rendre mon travail le moins défectueux possible, personne mieux que moi ne saura reconnaître tout ce qu'il laisse à désirer. Craignant de donner à ce travail une étendue démesurée, j'ai dû restreindre beaucoup le nombre des expressions composées et des citations servant d'exemples ; je me suis borné aux principales, et le plus souvent à celles que me fournissaient les dictionnaires chinois classi(1) Selonle OuKi'ngwên.tséu,il n'y aurait caractèresdifférents ; encore,dansce dernier dansles CinqKiugcanoniques que3,335carac- Recueil,y en a-t-il 928qui nese rencontrent tères différents,et 4,754en y comprenant les quedansle Eùlh-yà,oule Vocabulaire parorOUQuatreLivresclassiques.La col- dredematières.Il restedoncmoinsde 6,000 SSC-CILOÛ, lectionditedesTreizeKîng(Clûhsdn Kîng), caractères différents quiconstituenttoutelalanleHiào guechinoisepourl'époquedeConfucius. C'est eusus:le/-/;,le Tclwou-B, quicomprend de Ko-lianget à peuprèslemêmenombrequel'ontrouvedans Kliig,les grandsCommentaires surle Tcliùn-t'sieôu de Confucius, toute la Bible,comme,d'ailleurs,dans les K'oung-yang et \e£i'd!t-fà,ne comprend des civilisations également que6,544 autres monuments primitives.
XVI
•
AVANT-l'llOl'OS.
([ues,que j'ai suivis de préférence. Cependant j'en ai admis aussi tirées d'autres sources, quand elles m'ont paru utiles à reproduire. Dans mes deux premiers prospectus-spécimens, les formes anciennes des caractères primitifs et figuratifs, si importantes à connaître pour obtenir une intelligence exacte et approfondie de ces mêmes caractères, étaient représentées (comme on peut le voir au Radical g, et aussi dans mes SINICO-ZEGYPTIACA, i84f*) ; mais la mort de l'iiabile graveur, qui me secondait alors dans mon entreprise, ne me permet pas aujourd'hui, à mon grand regret, de les reproduire (i). Quand on connaît les nombreux et grands travaux lexicograpbiques que les Chinois ont faits sur leur langue, les Européens doivent se résoudre, dans les leurs, à n'en donner qu'une bien imparfaite idée. Il faudrait une association de plusieurs personnes, et plusieurs vies d'homme, pour pouvoir publier eu Europe un Trésor de la langue chinoise à l'instar des Dictionnaires nosi3 et i4 énoncés ci-dessus, dont la traduction d'un seulformerait bien 4" à 5o vol. in-folio comme ceux de la dernière édition du Thésaurus linguoe groecoepubliée par M. Amb. Firmin Didot. Onpourra juger de ces proportions quand on saura que l'explication, dans le P éï-wên-yûn-foh (n° i3), d'un seul caractère : jfiffl chin, 'Esprit, génie', avec les citations des expressions composées de deux, trois et quatre caractères (au nombre de a56), dont fait partie celui qui est expliqué, a pris, dans la traduction anglaise faite par M. W. H. Medhurst, 78 pages in-8°. Et ce missionnaire estimait que la traduction complète du même Dictionnaire exigerait bien i4o volumes in-8° de 1,000 pages chacun! Dans le P'ïrig- tséu loùipieu (n° 14), le seul caractère =^_ T'iën, ' Ciel ', occupe 428 pages, dont la traduction exigerait bien un volume in-8° aussi d'environ 1,000 pages compactes. Quand de pareils dictionnaires, et les innombrables ouvrages qui y sont continuellement cités, seront mis à la portée de ceux qui écrivent sur l'histoire, les idées, les moeurs, les coutumes et la civilisation des Chinois, ces écrivains pourront en parler avec quelque assurance. desformesan(I) Toutefois,cetteomission cienneset figurativesdes caractèreschinois, touteregrettable qu'ellesoit au pointdevuede de l'écriturechil'histoireet dela paléographie noise,ne diminueenrienlesmoyensd'apprendre la languedansles dictionnairesoù ces Paris, le 4 d'octobre 1866,
formesanciennesmanquent(et c'est le plus grandnombre,cetixordonnés parKhàng-hlluimêmesont dansce cas),tous leslivresécrits anciennementen hoh-wSnayant été, dès le commencement denotreère, transcritsdansles formesmodernes;
NOTE
ADDITIONNELLE DELAPAGEVIII
SUR LA GRAVUREDES NOUVEAUXTYPES CHINOIS EMPLOYES DANSCETTEPUBLICATION.
Dès l'année 1832, j'avais formé le projet de publier plusieurs ouvrages des anciens philosophes chinois, en les accompagnant de deux traductions : l'une latine littérale, et l'autre française, avec des extraits nombreux des commentaires originaux. N'ayant pu obtenir de les faire imprimer à l'imprimerie du gouvernement (qui d'ailleurs ne possédait que des types chinois démesurés et grossiers), je proposai à M. Marcellin Legrand , l'habile graveur de cette imprimerie, d'entreprendre sous ma direction la gravure d'un corps de caractères chinois sur poinçons d'acier, d'après un système qui réduirait le nombre de ces poinçons d'environ les cinq sixièmes, ce qui permettrait, avec quatre à cinq mille types différents, de reproduire par l'impression les trente à trente-deux mille caractères usuels différents du Dictionnaire impérial de Khâng-hî. Cette proposition fut accueillie, et quelques années après, en 1837, je publiais, comme je l'ai dit ci-dessus, le Prospectus d'une nouvelle édition (revue sur plusieurs manuscrits et sur les textes originaux) du Dictionnaire chinoislatin du P. Basile de Glemonà, paru en 1813, sous le nom de Deguignes fils, et je publiais aussi en chinois, en latin et en français, à l'aide des nombreux types ainsi gravés, le premier des livres politiques et moraux de Confucius (le Ta ihiôh, ou la ' Grande Étude'), avec la traduction complète du commentaire du célèbre philosophe Tchou-hi; et la première livraison, aussi en chinois, en latin et en français, du Livre de Lao-tseu, le Tào-tëh-kîng, avec la traduction de nombreux commentaires. Si les autres livraisons de ce dernier ouvrage n'ont pas été imprimées depuis, on peut en connaître la cause dans mon Supplément aux VINDICLE SINICE,paru en 1843. Aussitôt après ces deux publications, faites à mes frais, l'attention des personnes qui, en Europe et en Asie, s'intéressaient aux progrès des études chinoises, se porta sur les nouveaux types chinois avec lesquels ces publications avaient été imprimées. Dès 1840, M. Alexandre de Humboldt, m'ayant consulté b
XV11I
NOTEAMJITIONJSELLE.
au sujet de ces mêmes types, en assura une frappe de M. Marcellin Legrand, laquelle fut livrée l'année suivante au gouvernement prussien, sur un Certifié conforme portant la date du lor mars 1841, qui m'avait été demandé. Quelques années après, en 1844, une autre frappe plus complète de ces mêmes types chinois divisibles fut livrée à la Mission presbytérienne des États-Unis établie en Chine. Depuis cette époque, cette mission s'en est servie pour imprimer un grand nombre d'ouvrages écrits en chinois, et d'autres destinés à renseignement de cette langue ; et ces éditions font l'admiration des indigènes (1). Une imprimerie de Macao possède aussi ces caractères. Cependant, dès avant 1844, plusieurs Lettrés furent si frappés de l'apparition en Chine de ces nouveaux types que les auteurs d'un grand Traité de géographie historique universelle (2) (la Chine exceptée), publié la même année par Lin, gouverneur général ou Vice-Roides deux Kouâng (les provinces de Kouangtoung et de Kouang-si), en font une mention spéciale. On m'y désigne nominativement comme étant le promoteur de ces nouveaux types, et on ajoute que « des hommes de Prusse (M. de Humboldt sans doute et le roi de Prusse Frédéric-Guillaume IV) avaient encouragé l'entreprise de leurs deniers (par l'achat d'une frappe de M. Marcellin Legrand) (3). » en « ville.D'aprèsquelquesspécimens (1) Dès1845,cette« nouvelleimprimerie qui ontété typeschinoisdivisibles» publiaità Ning-po " publiés,cestypeschinoissont,sousle rapport TheChineseSpeaker,en chinoiseten anglais, « de la /messedestraitset de l'exactitude des de R. Thom, d'unegrandebeautétypographi- « proportions,SUPÉRIEURS A TOUS CEUX QUE traduiten chi- « LESOUVRIERS POURRAIENT PROASIATIQUES que, et ensuitele Pentateuque aussi « DUIRE. Ilssontcxtraordinairement netsetbeaux nois,puisune quantitéd'autresouvrages » traduits ou écritsen chinois,dontle nombre « (theyareexceedingly neatandhandsome). d'unlaborieuxet savantmisaujourd'huis'élèveà plusde cent.L'Université Le témoignage d'Oxfords'est aussiprocuréunefrappe encore sionnaire,quiavait passéla plusgrandepartie Le- desavieen Chine,et quis'étaittantoccupéde incomplètedescaractèresdeM.Marcellin grand,car, en 18G3,il est sortidesespresses la publicationdegrandsouvragessur la langue uneGrammaire dela languechinoise(AHand- chinoise,peutfairejugerde lavaleurdesobjecbookof the Chineselanguage),par le Rév. tionsfaitesenFrancecontrelestypesenquestion. JamesSummers,et imprimée avecles typesen ; (2) Le Haï Itouet'où tehi, en 50 kiouan Paris;n°123(i. question; et la mêmeUniversitéa commencé liv. 49,éd.de1844.Bibl.inip.de (3) Dansla 3° éditiondumêmegrandTraité l'impressiond'un u Dictionnairemanuelchi» du mêmeauteur,en employant de Géographie aveccartes,augmenté nois-anglais, historique, de 50livreset publiéeen 1853,quejepossède, aussilesmêmestypes. LeRév.Medhurst,quia publiétant debons lamêmementionestreproduite (L. 81,f°G,r"). entre autresunDictionnaire chinois- C'estla Germanie etlaPrussequiy sontsignaouvrages, à Bataviaen 1842(2 vol. léescommeles paysd'Europequi ont produit anglais,lithographie (Chang- leplusdesinologues (cequiestloind'êtrevrai). in-8°),etunDictionnaire anglais-chinois hai.1847,2 vol.in-8°),disaitdès1838{China, Ony dit demoi: «Il y a aussiPao-ti-a,natif « dela Germanie(cequi est aussiuneerreur ilsStateand Prospects,p. 5G6)! chinois « géographique .iUnessaidefondredestypesmobiles et historique), quiestfixe main«a étéfaità Paris,sousladirectiondeM.Pau- « tenantdans le royaumede France,où il a « thier,membrede laSociétéasiatiquedecette " faitsrraverdescaractèreschinoismobilesd.r
NOTEADDITIONNELLE.
XIX
Ainsi ce sont des étrangers, et les écrivains chinois le constatent, qui seuls ont encouragé une entreprise qui devait faire honneur à la France ! Je me trompe : le Jury international de l'Exposition universelle de 1855 décerna à M. Marcellin Legrand une médaille de première classe, en disant de lui (Rapports du Jury, t. II, p. 591-592) : « Graveur particulier de l'Imprimerie impériale, qui lui a confié l'exécution .« de ses plus beaux types modernes. «De plus, inventeur et ayant apporté des perfectionnements importants à la « fonderie à la machine. « M. Marcellin Legrand a des relations étendues dans les différentes parties a du monde, où ses caractères chinois, japonais et autres, sont très-recherchés. «Il est le premier fondeur du commerce qui ait fait des dépenses considérables « pour la gravure des caractères orientaux; il a, à ce titre, exercé une grande « influence sur la bonne exécution des ouvrages imprimés dans ces langues, « dont l'étude tend à se répandre de plus en plus. » Eh bien ! ce graveur qui avait passé plusieurs années de sa vie à graver un corps de caractères chinois sur poinçons d'acier comme il n'en avait jamais été et comme il n'en sera pas de longtemps gravé; cet artiste si habile, qui, à ses frais et à ses risques et périls, avait cru faire une chose honorable pour son pays et pour l'avancement des études chinoises en France, est mort après avoir vu le grand établissement, auquel il avait consacré la plus grande partie de son existence, repousser constamment ses types chinois, parce qu'ils ne convenaient pas (pour certaines raisons) à un homme qui, depuis plus de trente ans, s'est adjugé sans mandat le monopole du chinois en France (qu'il prétend seul connaître), où rien ne se fait officiellement en chinois et concernant le chinois que selon son bon plaisir ! Et voilà pourquoi le premier et le plus ancien grand établissement typographique de l'Europe, l'Imprimerie impériale de France, en est réduite à ne pas pouvoir imprimer une page de chinois. Denique quid verbisopus est? Spectemuragendo. fOVIDE.I « royaumeduMilieu.Deshommesdelà Prusse « Tchoùng-koue liok-iséupan; Pou-lo-sse jin <(ontaussifournidesfondspourl'aideràache- « yïkick'oiïht'sàï isoâtch'iiigk'i.sze).» .
DICTIONNAIRE ETYMOLOGIQUE CHINOIS-ANNAMITE
LATIN-FRANCAIS.
*£ T wan—, deciesmilleunum. 1er RADICAL. §P unefoispourtoutes. jïj |
-<. ' composées: plesde phrases et d'expressions — k'"S'1"àmPrimuméftî [de 1859). le Ciel(est)le nombre1, la [I H'ZC. ^C: * i ,r» — *'"''» aussitôtque.(ÉditdeHieu-fouiig Terrele nombre2. (Y-K.). y\. TV± — yang,eodemmodo.Idem. il- ' ". T uU —-le Tao (ou laRai- I-IâÊ —d'ang,dela mêmemanière. i^ TjrJÇ son il]|f. /-)-*_ 0 | /T. suprême) pro- T ifctj —khi, simul.Unà. ' duisit1, 1produisit2.—Pris commeverbe', au I /C&—khi, en mêmetemps. [deorsum. ton', il signifie:unifier.(Lao-tseu). nuncsursum, î nunc chàiig,—'hia, A —^ t j££~jT Ju ex duabusn>ocibus facitIL I. | "TVI —tantôten haut, tantôten bas. Q |E| JîfJ ^ imam.Réunirdeux sons — Mf t-,t, tàojtsiéoussè, moxut pervenit et n'enfairequ'un(danslaprononciation).IZt] voyelles Xlifê/l/G slatimmorluus est. T ta J& ti—,primus. T_î —,Coelum, lotum. -f— I thîoen—, nomd'uneétoilequi est y du ^ d'ai le —, Ciel,tout. J\. I Dragon. jfï |. d'e—,premier./V j T. I tàï •—,MagnumUnum;CoeliSpirilus. Cecaractèreestlu lu et khi dansle Cln-Kîng ou ' Livredes vers', ancienschantspopulaires. J\. I thoï—,le GrandUn; l'Espritdu-Ciel. De plus : Petitesétoilesprès a du Dragon. — Répétéen tètedes dansles paragraphes, . T Coelum,Terraet MagnumUnum. faceset autresexposés de sujet, il remplaceprétout —"I San—, tam—, LestroisUN,c.-à-d.: le Ciel, la autresigneénumératif. Terreet le GrandUn auquellesanciensChinois DÉFINITIONS. Dans l'originedeschoses,il n'y offraientdes sacrifices enimmolantun boeuf.Le GrandUnétait,seloneux,le Souilleou Air pri- avait que le ^Ht",TAO (ou la Raisonprimordiale subsistait dansle —UN(ouI'UNITÉ) mordialKhi, avantla séparationdes deux pre- suprême) qui forma,en le divisant,leCielet;la Terre, miers.(Dictionnaire impérialde Khàng-hi), dontelle et avec lequelelledonna l'existenceà tousles singuli,singillatim. (Lun-yu.Meng-ts.).êtres.(Dict.Choïie-wên, de Hiu-chin). 1ï—, nh'àt—,l'un... l'autre;séparément, pardivi- «Le TAÔ(la Raisonprimordiale) produisit1, T T|7—làï,primo,primum. (Koutin hoà). [sion 1 produisit2, 2 produisit3, 3 produisit tousles | /\ —loi,d'abord,premièrement.(Style mod.). êtres.» ch. (Lao-tseu, Tao-te-King, 42). I tL — sèng,per totaml'itam. « La voiedans le saint laquelle (ou l'homme j 2J2— sinh, pendanttoutela vie. accompli. chingjùi,) marche,est l'Unité(ou la — sîn, totocorde.(Meug-tseu). selon perfection, tchiug, l'interprétationduphiloIf >\\— tant,detoutsoncoeur,detoutesonâme. sopheTchou-hi).» (Tchoûug-yoùng, ch. 28). — koûe,unum,vel,totumimperium. (M. t s.). « Le «N I'UNITÉ est le substratum (ou ) Itnt p5|— quoe,tout le royaume.(Meng-ts.). universel(thoitngihï) du ^@LTao ( ou de la ||f T tchouàn—,toioanimoopcriincumbere.[objet. s}5-l chuyên,-— toutesonattentionsurun Raisonprimordiale simappliquer suprême);c'estl'essence —-
1er RADICAL, 2 TRAITS. ' —-nîng,valdi comniendare. pie, incorporelle(cliù/i) de la vertu céleste fortement. (ihioen te); c'estl'origineoula sourceprimordiale IjuX -j- —ninh,recommander Enjoindre. del'élémentéûiérc£3 khi,lequeldonnenaissance à deslitutus. —, pupillusomnibus lal'orme corporelle; ffl,c'estlaracinedesnombres ; tling linli—, orphelindénuéde tout. Trompé c'estl'élémentactifdugrandprincipemâle(ydng); Plebs. [danssesespérances, d'an—, populationcontribuable. c'est,en un mot,la Raisonprimordialeembras-Rmîn—, santtout ce qui n'a pas de formesvisibles.Le f~f_ pîug—, miles,milites GRAND UN(TAÏÏ) senommeaussi: forcepuissantey"\ bink—,soldatsnon contribuables. expansive(commecelled'unarc : làdng); com- H|t. noûng—,agricole!. mentpourrait-on le figurer?Il a produitle Ciel: /Pï nông—,agriculteur,cultivateur. il a produitla Terre; touslesêtres Loii-ting,nom d'un géniechezles Tao-sse V*Ctlu'oen; de la natureprocèdentde ce graudUNincom- Lutin(?). Ting-toiiiig,onomatopée : tintement; Lesquantitésnumériquesquece Un bruitproduitpar le chocde corpssonores.Joùpréhensible. ou cetteUnitéproduitne peuventêtre énoncées;ting, ulcère. Kic-ting,espècede vers. Employé c'estpar la réduplication commeGroupe qu'ellessont créées;il aussi phonétique. n'estrien qui ne tiresonorigine de l'Un (ou de ETYM.Cecaractèrereprésentaitdansl'origine laforme C'est on le sortant d u d'une à fixer épineoud'unclouservant pourquoi ligure j'Unité). de ' fort, robuste, objets: /^ Sasignification Non-Être : ~EI woù,aveclaformedel'Être: les dur cellede ' ', lui J vientde ' là, de mêmeque de dix.En -f% y Au. Les Koiiade Foû-hi, les caractères marquerle temps dausle cycle graphiquesde Thsang-kieprocèdentde l'Unité parlantde l'année,c'est,le ' milieudu printemps et de l'automne', époqueoùl'onoffre,dessacrireprésentéepar un seultrait — • Maisce Un, ficesà Confucius et à d'autreslettréscélèbres. cette Unité, d'où procède-t-elle? De l'élément ~C Khào. A.hhoai.Y.k'hô. [Car.fig.] J.j/w,.condensée vitalincompréhensible exhalatam qui constituenotre proJ J (3)Souffle, vapeur, pre intelligence.C'est par l'étude, la médita- quisembles'évaporerdifficilement-\- Ci: piton tion,que l'on parvientà celteUnité, que l'on du précédent. L'opposé remontejusquesauxtracesou vestiges du Non' Hô.Forme du caractèreUOÏ ) (3a) primitive j Etre: ^r_i woù, que l'on découvreque le Un, A. thât.C.ts'at.F.tclhit.5.sitsi. t;bT'sï. (4) Septem.Numerusseptimus.Nomen ou l'Unité, ', estla grandemèredescaracproprium.Sept.Nombresept; celuidu premier tères de l'écriture (ou signesgraphiqueschi- principemâleYàng.N ' ompropre. tous les traits du âië î ti —, septimus. ordinaux. nois).C'est aussila mèrede [nombres sont fît I d'ê —, septième.Le caractère dessinet dela peinture.Lestraitssupérieurs ti formeles commela formeduCielquinouscouvre;lestraits —-I sân—, nomen plantaimedicinalis. inférieurssontcommela formede laTerreet de —*| tam—, nomd'une plantemédicinale. ce qu'ellerenferme ; ceuxdu milieusont comme h. TTA— tchîng,septem potentioe. laformede l'hommequ'elleporte. » (Dict.Loti •'ClILA — chânli,lesseptpouvoirs chouthsînghoèn.K. 1, fol. 1-2). [Jap.ti, tel. qui sont: le Soleil,la Luneet les gouvernants, CinqPlanètes. An.d'inh.Cant.ting. Fok.tëng. (Choû-King.) et Groupe Caractère TTïng. combiné, (2) Lilteraïemporariainler Cliï-kan ETYM. phonétique locoaltérais,s/gricolavectigaSubslituere quarto. 2 TRAITS susdu (en Radical). lia solvens.Nomenproprium.•—CaractèrecycliWa'n. Decem millia.Dixmille.|â' —T_que,le 4edansla série de 10. Substituerà la yj (5)Formeabrégéedu caractèrepjj placed'un autre.Fort,robuste.Agriculteur payant —I— Tchàng. A. tru'o'ng. C. tcheung. l'impôt.Nompropre. Viri ^X^(6)MensiiradccempedumSinensium. — kién, ItrienniïiempusquoJil'ù obmor- in senectute denominatio. Mesure dedixpiedschiIHtt |/J| —nhàn,\ temparentumcessantà muneri-nois(3m,55,nm). donnée Qualification honorifique dedeuildetroisans,pendant auxpersonnes buspublias.Temps honorable -\-Qualification âgées. apont leur ouleur lesfils mère qui perdu père lequel à desamis. pliquée seretirentdesfonctions publiques. — liâng,meliri. »Ji î tchîng—,complere annumoetatis 1Cesclaves multUudo. navisIraliitur. r^t I pch—,injima pch—,funis quo || | bach—, ladernièreclassedu peuple. §T | bâ' —, câblepourhalerlesbateaux. ÉTYM. koùng—, meckanicus. Cecaractèreest composé .fî'jmirmail! IT | cong—,ouvriersdanslesarts mécaniques.qui tientle signe ordinairement dix.On -+ ajoute ' [mou. une ' goutte à ce caractère,ce qui est une |=t Twoù—, theieSinensis species. J»3I ô—,espècede thé.VoirlePeuthsaokhang faute (Ch.w.).-t- Groupephonétique. . .
5
1er RADICAL, —-
a TRAITS.
— San.A.tam.C.sàm.F.sàm.J.son.Syn.à\ T /r*— woù,antèmeridiem. „ (7)Numerustrès.Nombretrois. g!> I | — ngo,avantl'heurede midi. 1 tàï—, supremus. Lu sàn, iterum,denouveau. ïï-vfflB,troisième. — kâng,•«-wncu/a. honori/'iT | toi —, letrès-élcvé.Dénomination —c«''£ïlestroislienssociaux: 1. entre ifiquedonnéeà Lao-tseupar sessectateurs,et au JpPHl Iiîiïi le princeet sesministres ; 2. entreun pèreet ses '' pèredécédé' de l'empereurrégnant. entants;3. entrelemariet la femme. | Thoàng—, imperalor. £t — pào,trèspretiosi. ;3h I hoàng—, nom donné à l'empereurde la — bàd. Les trois termesde la triade (Chineet auxsouverainsde la France, dansles IÔjfe jfH : Bouddha,la Loi(Dharmd) et l'As- 1traitésde 1844et 18GO. bouddhique semblée(Sanga). 2fi|| Tthsîn—, consanguinitate superior î —U— ts'àï, trèspotentioe. jtf/l I thàn—,d'originehaute,céleste.(Y-K.). — lestrois de la 1 nature, | <J tài, puissances Ttséu 'hiâeûlh—, ex imoascenditin quisont: le Ciel,laTerreetl'Homme. | I fill I "h"»1-Il monted'unlieu inférieurà g~V~T —kouàng,trèsluminaria. I VTj 1 unlieu supérieur.Yùnchàngyiit'iân, lesnuages lestroiscorpslumineux,le So- ' s'élèvent'versle ciel.(Y-King). | /C —'J<""!S> NOTA. Lesrédacteurs du Dictionnaire leil, la Luneet lesÉtoiles. impérial ' Khang-hi fontremarquer, à proposducaractère termeditnri (etposteàagere.Tà-hio). de chàng,que l'on devraitl'affecterdu ton IjJΗssé, jCi—'"') méditertroisfois(avantd'agir). sa signification impliquel'idée de fXS î tsàï—, repentisvicibus,seucfficaciter. ± lorsque repos, et duton ' lorsqu'ilimpliquel'idéede TJ* | tai—, à plusieursreprises,efficacement. Ceprincipeestgénéralement appliqué, DJÉFIN. Lenombretroisestlavoieoula Raisonmouvement. et commentateurs chinois, par les grammairiens (tào)du Ciel,delaTerreet del'Homme(Ch.w.). au nombre de caractères très-grand ' qui passent Les nombrescommencent à 1, se terminentà d'une 'à nominaleou qualificative 10, et sont parfaitsà 3. (Sse-ki).Lenombre1 une qualification ' verbale'.Lecaractère c i-dessus a produit 2; 2 a produit3; 3 a produittoutes signification choses.(Lâo-tsèu), [i.j'oo. faitexception. chàng, en construction,se placeaprèssou A. tlm'o'ng.C.chéung.F. siàng. : ± régime. OnlitdansMeng-tseu P luris Nob'dis. Altus. ±Chàng. (8)Suprà,superior. M ?/77 L wànglïyù tchàochàng» iienerabilis. Ascendere. Nom.propr.En oestimare; haut; supérieur par sonrang.Noble.Élevé. On Ï-J--IL J]i i pt JQ Rexslabatad slagimmsuprà. nomme' supérieur'(chàng)celuiquioccupeune Leroiétaitsursonétang.(I.I,§2). iteri«^*ra/i. unvoyage. Entreprendre positiondignede respect,parcequ'onn'osepas —Loû-chàng, ex iiinereprocederc,arriver de sepermettre delui donnerla qualification Chàng'loû, de tsdn, ' — ' vénérable (réservéeaux personnesd'une vie voyage Cliàng-ho'ung, arcusnennimarcuiap— Au tare. Mettreune corde à son arc. — Chàngsainteet vénérable).(Dict.de Khâng-hî). dienatalidonumalicuiofferre.Offrirun ton 'chàng: s'élever,s'avancer. : Es- che'011, Figurément présentà quelqu'unle jour desa naissance. timerà unhautprix.Ane.formes: I ÉTYM.Cecaractèreest l'opposédu suivant;il 'hiâ, supràet infrà;sursum,deorsum. est indicatif. ~|T— J./-a.A.F. I —ha, enhaut,enbas.Méth.Plusoumoins.. -jç| ''Hià.A.ha.C./ifl.F.Aflj. ~-*~ Vi- « —ti, Ccclimoderator. (9)Infrà;inferior.Secundarius Descend ère.Decidere. Abire. deschoses.lis.Injimus.Subdïtus. fT —d'ê, le Suprêmeordonnateur Bas. l'opposéduprécédent.Secondaire. coeloproedominans, coeeaSinensiumInférieur, [ «Virtusin Vil.Infime.Sujet,par position,commeun miniscleitas.» Basilems.] tre à l'égardde sonsouverain,un princefeuda| -A —pèn, libellantimperatori porrigere. à l'égardde son suzerain.(I-li). Au ton à l'empereur. taire I '-\>—bo'n,présenterunmémoire khi ' : Descendre.Déchoir: / koi'teï hiâ tsiàn,de Tjjjtt tchào,iiwisere aalam, adiré Imperaïorem l'état noble(koùeï)il descendà celui de vilain —' allerà la cour. trào, causa. I "i/J— [of/icii (tsiàn). ('Y-K.).Tomberen bas.En parlant des koù,remotissima ' herbes antiquilas. ondit ling; en parlantdes'feuilles'on la pt —cd, reculée. 1-j- — l'antiquité plus (Ma-t.l.). dit/o. (Eulh-ya). de Disparaître. (Tcheou-li).Coup TJIT- chi,olhn,tempusremotum. marteausur un timbre; uneheuresonnée.Nu— dans j Pi. — th'ê, autrefois, l'ancientemps. méraledescoupsfrappés. lunoeprimadies.(Ch.-King).~r*T 'hiâ—, descendere ad inferiorcs. — jïh,primte nhdt,le premierjour du premiermois. I I ha —, descendreparmi ItjlP — sesinférieurs. siùn,primamensisdecas. T hôeï—,inferioribus îïf benefaccre. décadedumois. lûàn, I/-.13j— jgj | hué —, fairedubienà sesinférieurs. — liïoh,première 'adiréscholam. liabere. —' '" Mcnlem f î sm I&-jr —• hoc,allerà l'école,au collège. ' aTO"'un projetdansl'esprit. '\S I '°'m— irecivitatem — kîng, regiaîn StRî t'sîn , consanguinitate inferior. I-i/y, — kinli,allerà la capitale. WlI thàn—,d'origine inférieure, terrestre.(Y-K.). —-T^K p'ing,ascendere lances. t3 Ttsoû—,pedibusinfrà. [élevé. — | | binh,peserdansla balance /t j tûc—,jig. pronomToi,Vous,dansle style
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1er.RADICAL, —
3 TRAITS.
chiu—, parlesverendse. — koûo, nonsuperandum. [secrètes. [dusuperlatif. tî | thdn—, les partiesdu corpsinférieuresou Ijjjjï rT5— qud,qui ne peutêtre surpassé. Formule — tc'hîng,non-neperfection? z£ î chèoU'—, subditus,subjectus. — thànli, n'est-cepasvrai? Expr.finale. J^ | thu —, sujet,(litt.hommesousla main). (*4i JJXi —cheôu,operimanusadlùbere. chî, semper(litt. sinetempore).[jours. thu, mettrela mainà l'oeuvre. Ir-f* J^ — Itft— IJy— thi,sanstemps déterminé,c.-à-d.tou— ma, ex equodescend ère. î _L pî —•chï jïh, nondecemdierum. de cheval. md,descendre IfTr *m)— Il f-J — thànnhdt,dansmoinsdedixjours. — T-Jb. tséu,aliavice. «L'anciencaractèrereprésentait ETYM. lesailes I J\_ — thu, uneautrefois,unesecondefois. d'unoiseauqui nepeutseretourneren volantpour —wén,ab inferioribus redescendre enbas. La inquirere. lignesupérieurefigurele IHH |n| —vân, s'enquérirauprèsde sesinférieurs.cielqui luiformeobstacle.» (Ch.w.). — khi, deponere molesliam. V Yù, idemac Rad. 134,8 tr. riËt I£=j jj^ — khi,rejeter,oublierseschagrins. "J (11)formeabrégéedu caractèrey\ T pf —yotieï,proximome/tse. Mien. A. mien.C.min.F. bien,i.fen. tf-t — I JJ nguyet,le moisprochain. _J(12)Parvuspariesad declinandos sagitcorona.Murpourse —tching,munusquoditinerantibus offertur. tarumictus.Moenium "-Ç;—Ir'mh,présentoffertaux voyageurs ennemis.Créneaux.QuipréserIpf par verdesprojectiles ne se l'hôtequi lesreçoit. laissepas voir.(Ch.w.). Caractère figuratif. "T*î tséu chàng eàlh —, ex alto desffr K'âï. A.cdi. C.hoi.F. Ic'oi.J. kats. Mendier êî r. jnj | cendit infrà. Il descendde haut \J (13)Mendieare. Accipere.Dare. en bas.—Fdng-'hid,deponere. Déposer.'Sid-jrit, Recevoir.Donner Pleuvoir.'Jfià-sitié, pluere. ningere.Neiger.'Hia- T2Z1 \ \ — tsèu;—jin, mendicus. tàn, ovaparère.Pondredesoeufs. | J 0 | /Y —thu; —nho'n,mendiant,[tchou. estindicatif.(Ch.w.). ÉTYM.Cecaractère C.tc'hao.F.t'ieou.J. ~T~fTohèou.A.Su'u. A. bât. C.pat. F. put. J. fols. Litteratemporaria à primahordtts-y*Poûh.Non. J^L (,/|) /\\ (10) Nonposse.Non volere.Non quead lertiam mediam noctemHorasecundo post Nomenspirilùs.Caractèrehorairemarequidem.Minime.Particule négativemarquant matutina. une interrogationdubitative.Non; quantle tempsqui s'écouleentre 1 heure et 3 quelquefois noneneffet.Pointdutout.AutonpHng,luefeoâ aprèsminuit.Ferde lance.Javelot.Nomd'un Au ton khiu lue dubitative. ', particule feoû, EspritouGénie. verbenégatif:Ne paspouvoir.AuIonjïh, synopf Tbsiè.A.tha. C.tc'hi.F. tc'liia.3.Sjô nymedefëh, ' non'. Auton chàng,particulein- JdL' Sed,Cwterum, (15)Adverbium, Item,El, terrogativc. nj.g. pou-ldn, Istud,Modo,Particulaadversativa; — jân, s'uiminus.Minime. non solum... sedetiam. E st thsié, .litteraauxiliaIMi j|jj — nhién,nnllement;pasdutout. ris; sxpèestprincipium nihilsignificans : c lausulx, —jïh, intranonmultosdies. inconsideraiè heii-thsic, thsiè-mdn, operari; pro f-| — nhal,dansun petitnombrede jours. mine neproperes.Particuleauxiliaire,dans le ITrt T4t*t—joû,nonsicut;nonestmeliusquam. discours,laquellea un grandnombred'acceptions.(Voirle lîiù tsedtchùchî).Mais.Aussi.En I 7>(J— nhiï',ce n'estpasà comparer. Cetteexpression plus. Et. Aussitôt; immédiatement. marquedansla phrasela su- outre.DePronomdémonstratif Ceci (Chî-K.). delachosequisuitsurcellequiprécède (Ssé-ki). périorité — yâo,ne njelis,nondebes. Particuleexplétiveinitialeet finale.Placéedevant un verbe, ellemarqueune intentionimpérative IJSJ fÇ — jeu, expression prohibitive. : TKfc— kàn,no«audeo.[défendrede faireqqc. ou unerecommandation ama. I l^ç tchù,sislcgradum 'aï, I fjX.— cdm,expressionde courtoisiepour se — khô, nonpotest,id est: nonlicet. ;SJ.—nqu'o'i,aimez.| |JC chû,arrêtez-vous. IKg.— — nonilaproperes. — celane convient ne hhà, Ijjïfj pas, peutpas /™ — màn, mon,ne vouspressezpastant. I^,Bt necesse nonest. .— pïeh, [être. Dansle Agir inconsidérément. (Tchouang-tseù). t'àt, il n^est nécessaire. IM iJQ— Livredesversc'est souvent,à la fin des — chi,nonest,pas vers,un nonita est. 1 caractèrepurementexplétifet pourla rime. 1EJ J^ — thi, celan'estpas ainsi MXî — fou,jàu—, et tamen,insuper — ï, nonne?(Lùn-yû). I-I-. /C 0i^j j — phù, nién —, et cependant, — n 'est-ce dubitative. diec, 1-k'jY'— pas?Négation même.Expressions quand qui indiquentcomme nondum. tsêng, une réponseanticipéeà une objectionprésumée. — encore. A dverbe d e I&s^=j— tang,pas temps. ÉTYM.L'ancienneforme figuraitune table tch, nonposseagere. dontles supportsavaientdeuxtraverseset por— à. taientsur le sol.(Ch.w.).C'étaitunetabledont 140 J^f — d'ac.ne pas pouvoirse déterminer tchî,nonscire,volere. onseservaitdanslessacrifices. Les inscriptions — Ikn]i\*— tri, êtredansl'indécision. gravéessurlesvaseset surlesclochesreprésentent ce caractèresousune formepyramidaleavec Mi, nonattingere,i)el assequi. I pointaumilieu. ITÎ IX.—cap,ne pasatteindreun but proposé. Iun
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1er RADICAL, —
4 TRAITS.
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ko. C.fâo.F.k'ieou.3. -p-P'éi. A.phi. C.p'i. F. phi. J.Ji. [fig.s.] l'~r~v|K'ieou.A.kheo. Terra elevata ^1^,(16) Magnum.Valdè. Offerre,Nomen (t'ii chikao tclièj. J-y- (18) montis.Grand.(Choù-K.).Extrêmement.Offrir L J Collisseupamismons.Locuscircumcircaeminens etin mediodéclins.Magnum.Va(uneloiau Ciel).Nomdemontagne. ETTM. Caractèrefigurantla formeet le son. cuum.Nomenproprium.Tertreélevésansla main ttt. Chi'.A.th'ê.C.chai.F.si.hsei.Syn.tL de l'homme.Collineoulieu élevéde touscôtés Soeculum. Vita.TrigintaT avecune dépressionau milieu.(Kh.lu). Grand THI (17)Tempus. ondoitdu respect) annorum (enparlantdeparentsauxquels Hereditarius. spatium. Nomenproprium. propre. une Nom Temps.Siècle.Vie.Unegénérationd'homme, duréede30années.Héréditaire. Nompropre. Jmï!î youên—, terra elevataetrotundaubiCcclo offertur.Tertrerondet —kiâ'i,munclus. | hoaii—,sacrificium Soeculum. [temps.]\$] élevé oùl'onoffredessacrifices au Ciel. — 'e monde. leslimitesdu 1133 jY' S""> [Litt. — fah,soeculorum omnium -{--ï fàng—,terra quaclrata u biTerroesacrificatur. exemplar. I phu'o'—,Tertrecarré oùl'on sacrifieà la i 2* —phap,le modèlede touslessiècles. fj I?/-fTerre. — kiâ, noh'dis familia. O Tnî —,nomenmontisuhi Confuciiparentes Ifcî* ;jC— già, famillenoble,héréditaire. Nomd'unecolline lui I Jù—, filiumrogaverunt. î ^r —tsùn,soeculorum honoratissimus. Khoung-tseu, I -g — ton, le plus vénérédes siècles.Titre oùle père et la mèrede unegrâceà leurfils. (Coufudonnéà FohouBouddha ses sectateurs;en cius),demandèrent [taies. par sàn—, locusuhi habitanthominesimmorsanskrit lâkadjit,le ' conquérantou vainqueur—.î —" ou desmondes'. I tam—, lieuoù habitentles immortels, divinisés. mundidominas. [deBouddha.anachorètes tchù, —chu, le Seigneurdumonde.Autrenom LLI pi —, | transcriptiondumotsanskritbliik14~K— J-L| li —,{chou,quisignifie'mendiant'. C'est ssé,soeculorum negolia. donnéà certainsreligieux bouddhistes qui 1"ifc" g*"— siC,lesaffairesdu siècle,dumonde. lenom fontprofession de mendicité. «Les ou Sàng-mên, tâï, hominum d'années. generatio. [30° seretirent dansl'intérieurde religieux T ao-sse, — une dai, une IJJ génération,comprenant leurscommunautés re; lesPi-khieou(bliikchous, I —jîn, soeculorum homines. [tion. ligieuxbouddhistes) la mendicité. » — pratiquent V leshommes d u nho'n, l a IVb.— / siècle, généra-(Weï-choû). î thsè hxc hoc ill, —, vita, soeculum. — li, dix famillesde dixpersonneschaU{;| thu —, cettevie,cemonde-ci. IÏFJ 3l cune,réuniesau mêmelieu,et •J? î lâï —, vitaadvenicnda, fulura lesmêmesusages.(Tchouàng-tseu.).pratiquant /|C | lai —, vieà venir,vie future. Nompropreservantà formerbeaucoupde —, totum
M
1« RADICAL, — 2° RADICAL, 12 | DE5 A 10TBAITS qui ferait supposer(pie les vasesen question étaientcomposés dece métal. Thièn. A. f/item. C .F. l'/iiém. , T. ( en. rjEp • Lambere. A iunco |Zy (20) trakere. L écher. _ avecun traîner crochet(enformede langue). 2eRADICAL. F.sin.J.jôo. Tchïng,A.thu'd.C.ching. | ^K ZjZ* /-yJ ~^s^(22)Abjicere. (Componitur I l| quelconque.Ici estunenuméralespéciale, individuelle etpartitive »> : semel ut l'iu et significans abjicere ^5C La première-variante,avecle Rad.homme (9), quandon le veut, pour les ' personampliusnonrepelalur).Repousser; rejeterdema- s'emploie, avecle Rad. bambou(118) nière à ne pas être obligéde recommencer. — nes'; et 'la seconde, modicum Sién-tieôu, pourles choses' quid. I [T joh yebuï ho tch'in,«0 ! si f\-_ Ancienneformedu car. Ciel: ~T~Î ii -£• TJ pj I JE j'avais un ministrehabile! » 7\. /LVoy. leRad. 37, 1trait. — Aileorientaleet aileoccidentale J£4- Ping. A. tinh.C.ping.F. peng.J. fei (ChourK.). palais.«Au premiermoisdu printemps,le vlr . (23)Conjunctio: Et. Cum.Simul. Singuli. d'un du Ciel (l'empereur)habite l'aile gauche Omnes.Conjonction : Et. Avec.Ensemble. 4?-t fils mois ko)quifait faceà l'orient; autroisième Chacun.Tous. — Forme vulgaire de j£Jf. (tsb dela mêmesaison,il habitel'ailedroite(yéou —fèï,nullomodo. ko).« (Li-Ki,yûeï-ling). I4Jjy —phi,d'aucunefaçon. gia. C.F. ci.J. a. Furcaet quod^y Ya. A. —hîng,pcr eamdem-viam incedeve. | (28)libetin duospartessicdividiturad — m archer d anslamême voie. liùnh, 1/r\jj — instaripsiuslitleroe. Extremum manùsinter lï, totis-viribus. et digitum.Fourche,branched'arbre quidigitum se bi— detoutessesforces r éunies. JJ lue, 1-J-. onappelleyà lesbran; dansle Kiâng-nân — ming,sesemorti,ut aliusmoriatur, furque chesdesarbres.(,T.-\v. p. 1.).Extrémitéfourchue soi-même à desobjets,comme [A P|ï — mt'nh,exponere. S'exposer cellededeuxdoigtsdelamain la mort pour causercelled'un autre.Au-dessusécartés estla figured'une' colline', ce qui indiqueque — yà-theôu,ancilla,famula. cet emblèmede l'autoritéest porté ' haut'. —gia dàii,servante,domestique -f- Groupephonétique. 3 TRAITS. toe. J. to. Vas-viniquo utunjlfJTèou.F. A. troung. C. tchoung.F t-t-j Tehoùng.' H2 (24)turin sacrifiais.Vaseà vindont on T~^(29)tioung.J, tchiou.Quodad nidlam se sertdanslessacrifices. LeChoue-wên (Chi-K.). déclinâtpartem, nec excedit,necdéficit, dicitur ' auRad.del'or(-*>*•R.167); ce ' tehoùng jointcecaractère (p'iïp'iên, poii i eidhwoûkoùo,pou
3' RADICAL, ^ 14 3 TR. | Rectitude —lnng,promovere hélium;rebcllare./.;; tdd'véï ' tchoùng'). (Pin-tseu-tsien). susciterunerévolteintérieure. in liomineà Cceloi«- Itljjta naturalis;semina"virlutum 3-t[- •—hu'ng, "onestiis"'dita. Intus,intrà, in. In medio.Dimidium.Per- ~Jfî îîl i10"—yomiS' Nomen cela nesertà rien. • /Eqnale. proprium. I />J bat—dung, fection.Plénum. . Tono' : Scopumattïngere.Approbariin ccr- ETYM.Ce caractèreest 'forméd'une figure taminc. à ' anglesdroits partagéed'unemaDroituregéométrique Milieuparlait.(Cliou-K. nière égaleparune ' lignedroite' ; il estde la Tchoùng-y.). naturelle.(Tchéou-li).« Les anciensempereur;classeindiquantla chose.+ Groupephonétique. « Yao, Chun, Yu, Wen-wànget Wou-wâng, -f* Khâï. F. haï.J. Loin.Gramen,lierha. et Klioung-tseu se « Tcheou-koung (Confucius) T^ (30) Herbe,plantes herbacéescroissant cette doctrine,que « transmirent successivement et enconfusion. (Ch.vt\). pêle-mêle l'homme étaittout entière «l'étudedu coeurde ' ' ' =4;.-Foûng.A.phong. C.fwig.F. hong.J.bô. dece milieu ou droi«dansla connaissance Herba luxurians. Faciepinguis;fa| (31) « Ce dil «turc naturelle'. (Tseu-weï). milieu, ciès venusta.Herbeluxuriante. Au fig. Visage icl'auteurdu Pin-tseu-tsien, quin'inclined'aucui d'un aspectagréable.(Chi-K.).Caractère « coté,quinerestepasenarrièredubut ni neh plein; liguratif.+ Groupephonétique. « dépasse,n'estpasun corps,unesubstance(une anciennement F. lioiian.i.kouan « ligne)déterminée; ce sontlestempset lescirjJTj Kouàn, A. qudn.C « constancesqui le déterminent(soin dit eiill / | (32) Capillosneeterein formantduorum Juveitis ciisciï).» — Au milieu, dansle seinde. ciAi commun,quodest propriumpeirvulorum. Nouersescheceprintemps,c'est ' dansle sein' du principequijamneclitcapillos.Adolescent. nais veuxsur la têtedemanièreà formerdeuxcornes cemâle(Ydng,le soleil)que toutesleschoses cisent, se' produisent;en automne,c'est ' dan: à la façondes adolescents chinois.Fig.Adoles« lesein du principefemelle(Yin)que toute: cent.Dansla languevulgaire,onnommecesdeux ciles chosesprennentleur completdéveloppe-'cornestsoimg-kid. -\- Car.figuratif [J. kouan —Moitié cement. » (1ersHau,dans Khang-hî). trfa Tch'ouàn. A.qudn.Ctdi'un.T?.tch,ouan. Contenant tout. (1e'' (Li-Ki). (Lie-tseu).Parlait. •-j-' (33)Filotrajicere,inlineamcogère.Nu— Auton ', il signifie rerumin lineamcoactarum, ut rosariorum, Han).Égal.Nompropre. mérale Ê tre Atteindrele but entirantà la llèclie. rcçi monetarum Enfiler.Particulenumérale S inensium. au danssesexamens(atteindreson but, figuré) deschosesenfilées commedes grainsde ensemble, De plus : Rendremanifeste;produireau grain chapelets,despiècesdemonnaieschinoises. sommaire. (Tcliéou —kouàn,filo insercre. jour.(Tcliouang-tseu).Résumé (utmonetas). concorder avec.(Li-ki.Tso-tch.) li).Correspondreà, faireuneenfiladedemonnaies. 1"fifc J?{—quàn, T I —jîn, médiat or, intercessor. — tsèu,l Onappelleaujourd'huiainsiles I /V — nho'n,médiateur,négociateur,[perius 1]T Y —tu, j bons ou cédillesdesmandarins T..Tjîn—,facieipars internares et labrumsu préposés à la gardedes grenierspublics. /V | nho'n—,partiedu visageentrelesnarine poiî kouàn—, style ijfc t wéni -Jf j§^ ~jf Ttat —kotie,Sinarumimperiiim. [etla lèvresup A JtZi> incohérentdont les idées / /P J», | du la Chine I jzîl—qu'ôc,le royaume milieu, nesont bien entreelles.Luhoiuin, pas agencées — i, 'vousconforme. il signifieassuetus,accoutumé à : ciII s'estaccouà sesvoeux. I^£ j[vj,— y, conforme cctumé(Itoiiân), en voyageant, auxmoeurs et coumédium immutabile. —yoûng, «tûmesdesbarbares.» (Chî-K.Tà-ya). — danslemilieu.Ti l'Invariabilité dong, Caractèreindicatif, Itfc /3f dusecond -f- Gr.phonétique, desQuatreLivresclassiques ETYM. tre F.tch'wanJ.san.[G.fig.] — sîn, corsincerum, rectum. lifcj Tch'ân.A.ran. ad carnesasy | (34)Ve.ru.Instrumentum t'âm,coeurdroit, sincère.(Chî-K.). sandas. IjC l\\ — Gril.Ustensile pourrôtirlesviandes. — kiên,inmedio.Numérale cubiculornm. deseh. àc |/J| —«/«;-,danslemilieu.Numérale 1HH — foiing,exvendinclementid infirmus. 3eRADICAL. par l'infl.duveut .^ ëji ITFf fSh—phong,renduinfirme — tâng,regniadminister ; régi à decretis — dang,ministred'Etat. "fEJ C.tchii.F.tchù.H.lchou. I^jî ^' Tchù.A.chu. Dominas. —choii,amanuensis à secretis. Prince,souve(35)Princeps. intimeou particulier. rain, maître.[Soepèin librisnihil aliud quam 13 —tlio', secrétaire 1^TJ.H— siâng,adjutorin consiliis regiis. punctumsignilicat.] une privé. ETYM. Ce caractèrefiguraitanciennement I \ jj —tu'o'ng,assistantduconseil secundarius. ce qui T Cp —-kiûn,armorum minister flamme ; . « C'est, dit le Choue-wèn, I t|3.— qu'an,ministrede la guerreen seconc setient tj droit,détachéde tout support,et qui fait observerà — tclling,magistraluum cwilium T"~T* partage.» Cha-moiï prteses. a le savoiren«cetteflamme celle — e st d irecteur d e l'Intérieur. ce quigouverne diliih, sujetque I |£ — secundarius. — tchîng, a djutor le : corps del'Intérieui j ^ ^ £ j ^ {^ Tenu duministère 7Jy— tltttd,assistant 1~T —nièn, homotrigintaannosnatus.[âg< tchè, ï chi'nichl TCHU ts'aïyi. Cetteflammeinou lumineuse, ccntinue-t-il,a sonsiège IAj -^p" — nié»,hommearrivéan milieudeso telligente 13
2e RADICAL,
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3e RADICAL,
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3 TRAITS.
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Nomenpropr originairedansl'intérieurducoeur: JQ^>sin.Elle Quodin aliquâre est proecipuum. est droite, ne penchant d'aucun côté. Le Maître,seigneur.Chef.Dominer, diriger, gouvercoeurlui-même ner.Nompropre.« Celuiquifaitde grandesac (oul'organedu sentiment) appar- '« tient à l'élémentigné: ;j^ ho. Cet organedu lionset quirépandauloin ses bienfaits;qui sentimentest de la nature des intelligen-« estéclairéetinstruit,etdontlespensées sonttouces lumineuses (sin tchi, ckinmingyè). Lefeu «« joursdignesd'admiration;qui aimele peuple à ce qui estrouge. Le et se plaîtdanslasociétédeshommesinstruits appartientoriginairement coeur(oul'organedu sentiment)est aussirouge, « (leslettrés),celui-làpeut êtreappeléun vérimaissansmélange defaux.Cetteflamme maître tchù: iieriintelligente« tableseigneuret » (Auteurc(/itédansjustilioe, ou spirituelleet lumineuse,quia pour basela (ctatis dominus). Khang-hi.). droiture,est le principedirigeantde toutesles Tchohestune qualification que l'on donneaux actions[tsaïwén ssé tchèyè). (I-wên-pi-lari). » ministresdu rang de Tà-foù.On appelletchoh Cecaractèreestfiguratif;il représentela flammeceluiquireçoitquelqu'uncommeun hôte,en opqui brûle au-dessusd'une lampe.» (Loù chou positionàceluiquiestreçu,quel'onnommepin : tching'o.). ré- âtfilîis-ïf tc/l"«"«tchuydn. PKn j". '"3o -fciS.lt-il It M il '"iloPin,.wêiP'njàn; I (35 h).Cestroisgouttesouflammes, > ^ pétéessouscette forme,se prennent, « Quel'hôtequiest reçuse comportecommeun dans lesancienslivresbouddhiques traduitsen hôte reçu; que l'hôte qui reçoit se comporte chinois,pourle caractèreta. i (n°187),pronom commeunhôterecevant.» (Li-Ki). démonstratif despersonnes1/ éloignées ; et dans —,pîn, excipiens hospesdiciturtchù; l'écriturethsàoou cursive,c'est le caractère (gp.' 1^ —,t'an, exceptus hospesdiciturpîn. commetermecomposé, signifieaussi p '/n'a.Cesmêmestrois gouttesou flammesTchoù-pln, intitulé Nié-pdnhôtesen général,sansdistinction. ont, dansle livre bouddhique — tsàï, gubernare,regere. del'existence King,surle Nirvana,ou ' cessation ^p — té', gouverner, mortelle', lesensd'unetriadesuprême,figurée Idb diriger. — chèou,custodire, aussipar troisy eux.et troisétoiles,etsur lesquels servare. — lesécrivains sont loind'être conserver. signes bouddhiques I>^^ thu, garder, d'accord.(VoirieTching-tseu-thoung, sub-voce). —i, —t'ê, quiprésideaux sacrifices:sacriiicaOrbiculus. Piluloe médicinales. Ro/^U (3G) tseù—, liberum arbitrium. [même. tundum.Globule.Pilulesmédicinales. Rond.On ItEj volontémaîtresse d'ellepj lu—,libre-arbitre, nommeainsi,engénéral,toutechoserondecomme 'an—,beuefactor. in [Qui b énéficia aliquem un oeuf, ou roulante.(Kh. h.). Nompropre. ItgJ l(n an —, bienfaiteur. [contulii]. Formevulgaire~tï koûng—,filialrégis,uel imperatoris. + Groupephonétique. filles d u souverain. 2^ công—, Iyt (Kh.hi.)3 TRAITS. T tchângkoûng—, régissorores. MTt 2^ I truo' công—, lessoeursde l'empereur. KL Tân. A. don. C.F. tin. 1. tan. cnnl—>tabellce in templis defiinctorum. iïttfa1 ruheus. R uhrum. Cinnaharis Color J J (37) tablettesdesdéfunts,etc. 'P'r I th'dn—, Couleur Cinabre natwa.Minium.Rouge. rouge. _f—I thîoeu—,Coelidominus., natif.Vermillon. Nompropre. A I thièn—, le.Seigneurdu Ciel.(Termeem— sin,sinecrus, sinefalsilate. les ployé par catholiquespour si— ' Dieu'missionnaires IY)[_^ —t'àm,sincère,sansfausseté. en chinois). gnifier TT .L châ, arenaruhra. . |4-JJ kià —,paterfamilias. | yky — sa, terreoupoussièrerouge. ^V I gia—, pèrede famille,maîtredemaison. delere. T 5A? î—,tolamalicujussontis familiam j"t^Ttien—, stabularius. 'y-^?I di—,anéantirtoutelafamilled'uncriminel. /fj | d'ién—,chefdesécuriesdel'empereur. iLT Tmèou—, nomen monlis, regni. florum, ETTM.Ce caractèrereprésenteun support — decertaines tfT. I mail nomd'unemontagne, ouchandelier an-dessusduquelbrille unemèche fleurset d'unroyaume.C'est lenom d'unefleur defeu.Dansl'ancienne ce signeest placé : la pceoniadansuue habitation,unforme, célèbredans les poésieschinoises Il estfiguratif. temple. mcoii-tdn. Gr.phonétique. -f—tchâo,imperatoris mandalum. [rouge). A.linh C. tsing.F. tam.J. tan. éd\limpérial (marquédupinceau #Tsing. Puteus.Nomen Puits.Nom IifJJP'fj,—tchieù, (39) proprium. ÉTYM.Caract.figuratif. Hiu-chindit que le propre.Ce caractère,que l'on mainteremplace signequireprésentel'ouvertured'un puits avec nantparsaformemoderne(R. 7, 2), représentait un point, ou une autre goutte au milieu, en la distribution dehuitfamilles ran' des anciennement figurelaforme.C'estla .' pierrephilosophale géesautourdu puitscommunplacéau centre,et sectateurs duTao.-+-&•.phonétique. •dontla gouttefiguraitla cavité.(Ch.w.). Dansla -^l—Tchù.A.chu'.C.tchu.F. tchoii.S.chou. formemoderne,cette gouttea été supprimée Rcx. -+-Groupe ~T*.(38) Dominas;dominari,proeesse. phonétique.
18 3 TRAITS. ' C'est finien' espaceet en temps l'opposéde / 4eRADICAL. [tus. tsdn, récent'. Attendre. —ptli, à longotemporeséparât us; sejuncF. J. bets. K.phi!et:C.p'it. p'iet. ff>\—biêt,séparé(devous)depuislongtemps, ad sinislram. Inclinéà In.I yP'iëh. (40) liescurvatoe t ^-, — yàng,à multotemporeexspectatus. à gauche. | J-|J— ngu'ong,(je)désire(vous)voir depuis gaucheet commefigurantunedirection (Ch.w.). Lui : parvenirà. de politessesonttrès[Cesexpressions ad dexlram,longtemps. "T Fëh. [Car.fig.].Rescurvatoe dansle chinois]. fréquentes styleépistolaire V (41)Inclinéà droite.(Ch.w ). L'opposé ÉTVM. ce caractère Selonle Choûe-wên, ' re' du précédent. présentedanssa formeles deuxjambes d'un Ducere;ïnducere.Clarum hommequi s'appuie par derrièresur un sup; menercomme par la port. + Groupephonétique. ri. (42) Conduire forme -<*Tseh. Racines de plantes et d'arbustes main.Clair,manifeste.(Ch. w.).L'ancienne était figurative. "C (49)dontlespousses,sortieshorsde terre, sur elle. Delà lesensde : "t I. FluoréCouler.(Ch.vv.).Cestroisder- semblents'appuyer nesontpasemployés' s'appuyersur' qu'il a qqf.+ Gr.phon. V*.(43)nierscaractères chi. actuellement, quoiqu'ilssoientcitésdansquelques ->r Tchî. A. chi.C.tclii.F. tcld.J. si, ' nomidictionnaires. Litteraauxiliaris; <_, postposila (50) ' ' ' A nghê.Y.ghéy.J. ghei.Herbas nibus facit genitivum ; i>erbisfaeit,relativa, : Ille,isle;suus.Item: ProXYi'.(44)prxcidcre;metère.Aptedisponere.participia.Pronomen I hoù min tchi K.l,ch.2, t'soùng tchi. « représentelesoufflequisort difficilement dela « bouche.» + Gr.phonétique. HAFQ^ Vi I Idebpopulushic sequitureum. ce le suit. s/ (47) Formeanciennedu caractère~2~ C'estpourquoitout peuple /\ où, cinq. Cetteformeest maintenant/7 commer-£ Jt ff{ fi J? W Hf^ leùlhpUyénT* A employée pourlechiffre4 dansl'écriture * ciale.Gr phonétique. quel'on aime, l'égardde sesparents»et de ceux onestsouventpartial. (Li-ki,et Tâ-hifih,c. 8). 2-4 TRAITS I Lecaractèrey* tchi est aussi pris dansune t-t K/ièou-A. cu'ii.C.kao.F.kéou.J.Mo. acception de rx? tchi, presque synonyme (thoùng) /V (48)Diu.Longotempore;diutiùs; sine «serendreenmilieuéloigné,»tandisque le preJamdudum. Jamdiii.Longuedurée. miersignifie« serendredansun lieu rapproché interm'issione. Caractère Depuislongtemps. qui exprime(dansle « deceluioù l'on se trouve.» (Khâng-hî).Ce une duréeperma-mêmedictionnaire citedesexemples à l'appuide Y-Kînget le Tchoûng-yoûng) nenteet sansinterruption ; dansLao-tseu ' l'in- sondire, et ajouteque,dansl'un et l'autrecas, 17
4« RADICAL,
J
5 A 6 TRAITS. 4e RADICAL, / 20 19 Toûï. A. dût.C.F. sont lesensetlesonde tchi,commeprononciation, t^f tuf. ,T.tai.—Gr.ph. cumulus. Amas, lesmêmes.Cetteobservation ;terroe expliquerait pourquoi \~\ (57)Agger,acervus tant monceau deferre. Cecaractèreestd'anc.forme. il y a dansla languegraphiquedesChinois ' decaractèresqui sont priscomme synonymes ',' kwai.J. koai.—Gr.phonét. -jyj*K.oûaï.F. du ' son', la à causede la seuleressemblance suivant. —J-~(58)Formevulgaireducaractère ' forme' n'en ayantaucune; et pourquoiaussiil (Tching-tseu-thoung). [phon. ' danscettemême' langue ~f~. Koûaï.h.quai.CF.kwai.J.ltouai.—Gr y a tant decaractères ' son' de 2 graphiquequi ne 'représententqueàlel'exclusion Peiversus. Malus. C allidus -^J* (59) Pervers, certainsmotsde la langue parlée', méchant,rusé.Etrange. ' graphique '. detoutesignification — lî, peiversus,malus. des ETYM.Cecaractèrefiguraitprimitivement méchant. Iïrf [7^— lé, pervers,malintentionné, roseauxsortantdeterre.(Ch. w.). —khiào, a stulus, ' vafer, ingenio p romptus. .1.sa. sa. C.telut.F. tchay. //f=1Tohâ A. Statim.Inopinatb.Breri I-fjZJ —saô,rusé,astucieux,adroit. \-~(51)Derepentè. A.thang.G. ching.F.séng.i.jô. £3p-*;T'chïng. Iridium.Toutà coup.Soudain;inopiné- ^jV tempore. (60)Regere; gubernarecurrumquatuor ment.Commencement. Ascendere.Opportunitatem equorum. arripere. — jàn, derepentè. Tono' : Quadriga.Binarium rerum numérale. — s oudain. Item: IRfè j,jj nh'ïm, Quaternarium' sagittarum,avittm — k'ién, inopinatb videre. numérale.Agger in equorum, quoquatuoreminentcolles. — Men, voirtout à coup. n3> t& Gouverner /L ; dirigerdeschevauxattelésà un char, 1J3J Saisirl'occaA.hô. C.F.'oH.J./io.Syn.J /?f à un quadrige.Montersur.(Y.-K.). çff Hoû.Littcra in sion favorable.(Meng-ts.) Auton ' : Char, quainfine interrogatwa ; ' clauJ (52) ' t deschosesbinaires; des •suloemediodénotâtet significatad ', vel in ; drige.Particulenumérale dubi- chosesou couplesquaternaires;deschevaux; dativumetiamfacit. Particuleinterrogative, de ; flècheset d'oiseaux.Terreoùdomitativeà lafin de la phrase; dansle contexteelle (Li-ki) : Multiplier. aussile rapportdu nentquatrecollines.En arithmétique : A,Dans.Elleexprime signifie ' datif. Quelquefois particule explétive'. ~Xi&rtI iPjfcP°Mlj°ù—cnh nons,cutarripere Il n'y est? i ftr I zp^yoecasionem, opportunitatem. /^* î î—, anjustiun R. | nghï —, est-cejuste?celaconvient-il? arien de tel que de saisirl'occasion.(Meng-ts.). Tni — chi, opportunitatem —, licet-ne? jjtFTkhô arripere. — tnh saisirl'occasion J I klia —, celasepeut-il?celaest-ilpermis? | I)5J" opportune. -— Tk'î —, secundum foung, |]5 co' —,forsitan. il peutarriverque. arripere-ventum. — saisir un 5SÎ| peut-être; IT-rf jïlv pkong, ventfavorable. — ma, equumconscendere. l'anciencaractère ETYM.Selonle Choiïe-wên, « figuraitleson» s'échappant dansl'airet y pre- ITË Jiy —ma,monteruncheval. nantune forme.-\- Groupe *$*î kià —,genealogia phonétique. particularisfamilioe.Lid'une famille,[brihistorici, Gr.ph. ^ I gia—,généalogie =3j T&h.k.phap.C.fat.F.Iwat.hfô. T -^ têt lcsiàn—tcldkoûeli. {hhiûefrienfè). Vaeuum.~~f* -
4 A'10. TRAITS. 22 S0RADICAL, 7. — veniamprzebere. yen,ad loquendum clique,le seconddansla sériede 10. 1, premier, danscertainesémiméralions ouséries; 2, second, I-1-pt — ngôn,accorderlafaveurde parler. pi'iscommecaractèredu cycle. Courbe,penché. »pt Yè.A. dà. C.ya. F. yea. J; ya. (Jueuede poisson.(Eulh-ya).SuppléerdescaracTNi (68)ParticulaEliam,Et, Item,Insuper. tèresomisdansuntexte Nompr. Syn.de - Litterajinalis,instarpunctifinalis.Particule auxi— niào,hirundo. très-variés.Elle est ' résomptive liaireà sens desphrases,et elle signifie: 1ÉÎ mj — d'ied, hirondelle. au commencement M î k'iâh—, primuset secimilus. entredeux Et, Aussi,même.Quandellesetrouve '. membresd'unephrase,elleest ' interrogative \ | giàp —, premieret second;À, B. à la fin, c'est une particule' explélive T. Ttâi—, primumprincipium. [Tao. Placée dela voix. / V | tlio'i—, premierprincipedans la sectedu qui tenninel'émission — médium, T±£ tchè, [de quolociitchoûng 1 Yla A.««..CF.yin..T.m.[Car.fig.].Gr.ph. Jl| abscondere. H tus est.Lemilieu(dontila étéquestion). \ i(C3)Absconditum; Caché;ca- T I iz _L..T. iclitchè peu yè, virtitsea (est) cher.(Yu-pien).Anc. formedeyin.(R.170,tr.H). ^£j cnimverb. lEF' H 4 {Lafundamentum Oiseau a u bleu xi. Y&h,yëh. plumage foncé; 0 II d'hirondelle dont le chant f jUyèpouhchikôujmyè, l L(64) genre El I /C PI /* Vii et nonverumest.unus n'estqu'uneespècede cri. homo.Et unhomme. cen'estcertespasvéritablement I* Miè, m'. C. mat.F. bëà.,T.ba. :' «F |lf khb hoû? kho yè. Potest-ne fjF 3f/ In i n^Jj (65)Obliquas. lingudregiùSi-Ida, ffilPotest.Peut-il?Il peut. J T o J VideLiao-sse:His- LTTM. canlator sse-mièappellabatur. L'originede cecaractèreserait singutoriaregniLiao.Nomenproprium.Oblique.Dans lière,selon le Choûe-wên. Sonancienneformerela languedes peuplesdu royaumede Si-hià(à présenterait les parties cachées(pudenda)de la l'ouestde la Chine)un magiciens'appelaitsse- femme.Cha-moii faitobserverà ce sujet que les miè.'Voix l'histoireofficielle desLiao(ne siècle). modernes l'ignorent complètement Nompropre. Dansledialectede Canton,ce caractèreest interrogatif: Matyè ; mat y'e jiu ? DE4 A10TRAITS. quis?qui?quelhomme? étrangèrede chiensintroduite F. kieou.J. hioù. Jr; I. Bace Jj K'ièoii.A.cii'uC.kao. Em•QJ,(69) autrefoisà Macao.(Louï-pien). Novem. Multi. Legilureliamk'ieoû, ployé y [j (66) commegroupephonétique. Khieôu, quoddamregnum.Neuf. congregare; Lu kieou,réunir,rassembler. Klùeoii, M K'î. A.kê.C. ki.Y.key.î.koui. Syn.H-f Beaucoup. (70) Sortesmitteread déterminait| nomd'unroyaume. [metica.dumMude dubitat. inslrumenid, quoaliquis Quoddam A&Tti—,nonum. _LI k'ièou—,ars arith- tum quoutuntur, ut Diemon venialet scribatquid Pft | d'e—,neuvième.)\j \ cu'u—,art ducal- quisscirecupit.Consulter le sort pourl'interroger — hoh, congregare. [cul. surdeschoses douteuses. (Ch.w.). SelonleTboungréunit touslesprin- tien(Encyclopédie 1^, Tzf— hap,réunir « Il— de Tou-yéou, qui vivaitsous ces vassaux». (Lûn-yû). NombremystiquelesThâng),danslesÉtats del'occidentde l'Asie, chezlesanciensChinois.Dansle Y-King,le pre- onseservaitdemoutonspour consulterle sort. mier kouaQUsymboledeFoii-hiest interprété Le chefdes devinsétaitappeléssê-ki.(Kli.hi.). parlenombreJT, kièou,9, qui estceluidu ~JQ jijl Tchî. J. chi. Principium. Origo.ft^ F.vulg.de %13 thiên, ' ciel', en tant que «puissanceprimor- ]Zfu(71)Principe,origine'. Loùan. Perturbatus,Perlurbare.?£}\ dialeefficientepar laquellele mondeest gouverné.» {thiênhiàichiyè. Khanghi). OnJit dans SI L (72)Troublé, troubler.F.vulg.de ]ljL Lie-tse: «LeUn ' s'étant -t-r[ Hiëi. i) Hicï-tovlt\,nom de royaume. l'ancienphilosophe HlL (Î3) (Tsi-yùn). transformédevintlenombre9; le 9 transformé 7p1 Joù. A. nhu.C. ii.F. ji, jou. J. jou. estle grandfaîte,oul'extrêmelimitede toutes ïjr"U(ji) Lac.Mamilloe; ubera.Laitduseinde » -{-Groupephonétique. choses(Jvièou). dontellenourritsonenfant.(J.-vr.p. 1.). la femme, —mon,nulrix. T-=^-—liiâng,i«çe/u«m. s^r K'ïh. A.kh'ât.C. hat.F. khit.J. ko/s. L L(67)Rogare;stipemrogitare.Petere;men- IJ3. màu,nourrice.| fE| —huo',encens. y dicare.Dure.Demander ssé—, quatuorubera. l'aumône,mendier.Dontraduitsen HT | tù —, « Les quatre mamellesde Wùnner. — Dansleslivresbouddhiques chinoisdu sanskrit,le motp'ï-k'ieou(ensanskrit Wâng»; locutionqui exprimel'extrêmebienfaiestrendupar k'ïh, 'mendiant'. sance.T'hiën-joh,nomd'une,certaineétoile. bikeltou), Prononcék'i, ce caractèresignifie«toutesles ÉTYM. L'ancienneformereprésentaitun enchosesà l'usagede l'homme(fanyii fin wëh)», fantà la mamelle. commenousdisons«unechose,deschoses.» T^T Yàn. Progrcdi.Alleren avant. (Sup—tseù,méridiens. Tseù-Weï). -pu (75)plémentauDictionnaire — -T*tt IIA Tsïeh. Amputare.. tu, mendiant. I'Y_ J Amputer. de 'pÈy^ — 'an,favorcmpetere. pEu(76)Cecaractèreestsynonyme VoyezleRad. 62, 10tr. IgtJÈJ— an, mendierdesfaveurs 21
23
6e RADICAL, ] 24 5e RADICAL, 7V Pan-louàn,se rebellare,se révolter. jfcT K'hiën. Formevulgairedu caractèreRevoluûo. ÉTTM.L'ancienneformeprésenteun enchevê^pL O7)q,u suittrementdetraits et une confusionqui semblent 10-13TBA1TS. fairenaîtrel'idéeattribuéeà ce caractère. Nom ^A Lin. Trislilia.Tristesse;affliction. rfe£-K'hiên.A..càn.C.kon.V.kdn,k'ien.3.koun. Wr\i (81)d'unanimalau corpsjaune età la -virtus et Coelum. Cali efficacissima sp.(j(Jfi) blanche. Coelum, », queue quoad«subslantiam nunquam quiescens. I. K.y.CF. i.i. its.Avants,cupidus.TeÊ|;r naturelles dicitur thiên; « », operationes etnun- 3Xi (82) cupide.Obstiné. [nax. diciturk'hiën.Iquoad ndefessus. Progredi.Agere etiam JJ-gîNiëh.Avare, V.giep. i.gô.Introducere. Dirigere. sislere. R ex.Forùs. Legiturvertu quamsiccum.Nomen. Diligens. Introduire. 5rCli Diriger.(Khâng-hî) ( 83) LeCiel.La k'àh, proprium. efGcace du Ciel,quinese LeCiel, ' reposejamais. est nommé quant à la ' substance (liingt'kï), ' GcRADICAL. J ^A^ Viên;quant à ses ' opérationsnaturelles Infa(sîngthsing)estnommékhiên.(Tching-tseù). k'ùt.F.kwat.J.kets. jamaiss'arrêtigable.(Pèn-i).Avancer.Agirsans ter. (Chi-ming). L'undesK'ouade Foii-hi.Roi. JKhioûek.A.ouj'e/.C. (84) Uncusad sinistramretortus.Crochet Fort. Diligent.Au ton À,et lu k'hàn,il signifierecourbéà gauche. [retortus. Sec,desséché. kwat.J. tel. Uncus ad.dexlram (Chî-K.).Nomdans propre. Kioueh.F. 1 le Y-Kîng,en ÉlYM.L'ancienneforme, J^ (85)Fer recourbéen senscontrairedu le Ciel,par une' Koù-wèn,représente,à droite, ' précédent. convexe,et, à gauche,les signes haut ligne A.lieu. C. liu.F. lido.J. rô. et ' bas', aveclesoleilaumilieu. LilteraquxverbisadditafacitproeTLiào. (80) Moderari. Tchi.K.ti-i.V.tê.3 .tchi.Regerc. :J£T terita[at nonsemper']. Clarè Perficere.Absolvere. ^LC 9)Diriger.Gouverner.Ane.formede agnoscere. Caractère indiquant,dansle stylemoderne,qu'unechoseest terminée,qu'unecertaine V'p) tchi (Rad.85. 5). actionestachevée,qu'unfait estparfaitement ou A. louânJ. —jân, ^ tionisepilogusquodictain compendium redigun— tâng, res transacta,ad finemperducta. : tur. Furiosè.Cecaractèresignifieordinairement — d'ang, chosedéterminée, conclue. Iji& JJJ « Exciterdes troubles,des émeutes», quoiqu'il — absolutum negolium. ait signifiéprimitivement «Gouverner»,(Eulh- =p-.—szé, affaireterminée,consommée. selonla raison,(Yu-p'ieu). Etre I-jJj su, ya); Gouverner Nom /JH— poûhtëh, clansunétat d'anarchie,sansgouvernement. jde inalorei statu; de Voirsa formevulgaire,n° 72. ^P /[^f— b'dtd'âc, \summobonoet malo. ("y propre. — t'chîn,) Fidelissubditus.Ministerqui, KJ î pâ—, salis; sufficit. bai —,assez;celasuffit, adjuvat.0[2| IpT [T*.— th.'an,) in regimine,proeclarè it H ]'o (oungb)k'ién—, egovidi. [cede. iXiTu I nga'kien—,j'aivu,j'aiprisconnaissan«ïBïtlE + A^TS pris connaisdixit: ego kn >-^ I tchi tào —, ' j'en àai «. jèoulouânt'chi'nchïhjîn, Woù-wdng habeodirigentesministros decem*viros: j'ai dix /'r i^S- I sance', équivalant Vu et apformulequelesempereurs chiministres habilesà gouverner.(Choû-Kîng). Dans prouvé.» C'estla l'encrerougeavecleurpinceau,à la unautre endroitdumêmelivreil estdit : « Il noistracentà ' Mémoires, de décrets',etc., propositions gouverne (louân)à sa volonté;maisil estrespec- findes tueux.» Lecommentaire par leurs ministrescomajoute: «Il ala direc- quileur sont présentés desaffaires,maisil pétents.(VoirleGrandRecueild'éditsde Youngtion[louân),le gouvernement estrespectueuxdansl'intérieurde la maisondu tching,intitulé: Tchoàphi yû tché, en 112volumeschinois,passim.) prince.» ÉTYM.L'ancienneformereprésentaitun ent X'T'—ta, indiscriminatim etfuriosèperçutère. fantsansbras. (Choiïe-wên). à tort età travers. j ] J ——d'à', frapper t] Kiëh. Quisemblesemouvoir.Quia l'aptumultuosè. Verbaimpudica. jân, Parolesindéc. ^\ (87)parencedumouvement. nhiên,Tumultueusement. IMi jf)j— — yân, sineordinesermocinari. DE3 A 7 TRAITS. pt — ng'àn,parlerà tort età travers. I-tYù.A.d'u. C.yïï.F.;'.J.yo.+ Gr.phon. — ~7*^ T *U tsô,sederesineordine. [nion. Concedere. J ($&)Dare.Donare. Ego.PrceI j^ — 'oa>êtreassissansordredansuneréu- positio' In'. Donner(parun supérieurà un in— wéï,sineordine. Accorder.Luyû, Pronomdela première —Louàn-ll,férieur). III-]!L—vï, sansordre; pêle-mêle. : Je, personnedanslesQuatreLivres classiques veritatemobscurare. Obscurcir lavérité.Pien-loudn,Nous.Dansle Chî-King ou ' Livredesvers', ce
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7« RAmr.AT,. 4 TRAITb. 26 > toritéqui procèdede la ' dualité' est faible.» auî K pronomest attribuépar les commentateurs " < Chang-ti_hl^?> 'e souverainsuprême.PrépozxtI **—*secundus; adjuvare; coadjutor;dubitare Jp | d'i—, second;aider; coadjuteur;douter sitiouBans. Syn.pt ^ jRégisfilius.Partiri. Distinguera. /t T foii—,infunderc . Filsde 1 v. g. virilités, [coeurdel'h. l'Empereur. Distinguer. legermedesvertusdansle' t 1 —jîn, paterPartager. ]y | fini —. implanter et mater. su. zt. -gfc-Se, Ché. A. su. G sz. F. J. | / V— nho'n,le pèreet la mère. • ~v -=P" (89)Negolium.Secretum;mysterium. î * poiili—sîn, nonduplexcorde:fidelis ' lies. Opus,opcrari.Officium. Efficere-ut (se).lus- /V I 'Li bât-—l'àm, fidèle et sincère. [liàng. tituere;pcrficere(lïh). Uù; adhibere(yebu).Ser- .A-îS ' I téi "êî f în [/I cEi ei'"' 'vc'— ' siàng vire(Joung).Perpendere(ying).Dirigere(tchi). ' IlUM I ÏÀ' gt nf [Lepremierprincipe]se Affairesordinaires(les grandesse nommentU J et devint deux', pour formerle couple ' tching', ou d'administration ' divisa publique).Tra[liàng: le principemâleYdng, et le vail, charge,occupation,magistrature.Faireen primitif femelleYin).(Y-King.Hi-tse). sorte que. Établir. Employer.Servir.(Li-Ki).principe Examinersoigneusement; ensuite.(Ssé-ki). — Dansl'écritureantique,c'estle caractère régler —t'sîng,negolium./fc î hing—,operari. (90") f- chiing(n"8). Selonle ' Loû .Kïfc — < chou i ', le traithorizontal affaire. tinh, hiaik, peu inférieurindiquele IPJ \\ \ opérer. JfK—.nïeh, officium. le substratum; corps, letrait ! supérieur pluscourt > indique ^ — nghiep,charge,emploi. l'objet; c'est placé'dessus', ' supérieur ' ; ce dernier ' ' -' Tsiào—,parfum dessous negolium; negotiolum. placé ', c'est inférieur'. *J I lieu —,petiteaffaire,de peud'importance. ——Dans l'écritureantique,c'est le carac• (90ï) yèou—, quisealienisnegotiisimpïicat. tère-pT 'hid (n" 9). tT I liu'u —, engagédanslesaffairesd'autrui. ~~J.Tchouh. Petit pas; mouvement en & j to—,molcstus. -4r-I pên —, habilitas. \J (91)avant[fig.] du pieddroit. Lamarcheen À? | d'à—,importun. tJ(SI "dn—>habileté. .avantdu piedgaucheest figuréeparle caractère 7T I koùng—, res publicoe. 4 (R..00),et laréuniondesdeuxmouvements X\, | công—, lesaffairespubliques. est' r£ I tchâï—, delegatinegolium, officium. les deuxsignesréunis(R. 1-i4): 4r 7f- | sai—, affaireoumissiond'un envoyé. figuréepar -L. Ttchù—, secrelariusConcilii. Yù. A. TU.G.jii. F. i. J. 5. Syn.-R Zf. 2C I chu —, secrétaireduConseildesministres. J (92) Dicere.Ire. Litleraauxtliaris Jjï secundus. . velproepositio f toû—, secretarius deserviens [seil. accusulivo casui;sigiùfid'à secrétaire e nsecond du < —, mêmecon- catquein, W ad. Nomenherbveaqualilis fJ7P et no'menarboris. Id. Nomen. $3j T tlioûng—, interpres. proprium.Dire.(Ëulh-yà). ;trtt. | th'ông—, Aller,se rendreà. (Chi-k.). interprèteordinaire. A causede. (1-li). Particuleauxiliairede relation,servant respoliticie. ~jTLI tching—, .[que. ' ' le rapportdes mots,à préciser' àladéter_ miner J£X I chdnh—, affaired'administration publipen' passif' danslesverbes formelesens ' sée.Elle ; j fi 'lue t°ut:vousarriveselon vosvoeux.[Expression ' propre.Yù-yù,expression adverde courtoisie]. ' Aspectd'unemarche | biale: dans '. l'éloignement foumoù,seroircpatriet malri. JH.— ETYM.L'ancienneformefigurele soufflequi IA'j* J*^_ ^(-—^/i«/n'a'K,servirsonpèreetsamère. . < sort dela boucheet s'étenddansl'air. (Choiiciwên).-J- Groupe ~J?~£fâ I poïih kiug—, inexpertus. phonétique. "àt kinh ^I^TZC I —, inexpérimenté. Yû. Ancienne l'ormedu caractèrequi ^ LTYM. L'ancienneforme ' unemainqui; v (W ) précède,employé commegr. pho/i. tientun ' pinceau' avecunefigure bouche', offrant DE2 ainsiunsenscombiné « A 4 TRAITS. de négociations parla pa« rôle,avecla desrésultats par l'é~~*.Yùn.X.v'dn.C.wm.V.in.J.on. « criture.» -J-consignation Syn.-t—f-" Groupephonétique. £\ (93)Dicere,loqui.Circulaire. Dire, y»a,* jpg-Ancienneformeducarnet.(Rad,87, 4) S_. ,parler,exprimer sa penséepar dessons.Dansles -jfl' Voir,pourl'explication, ce mêmeRad.J"* K!nget leshistoriens(ssè),-^^ ydn estemployé commel'équivalent de |—-|yueh,' dire,parler' ! 7eRADICAL. Tournercommedans uncercle: « Le Cielne se —- Eùlh.k.nlu. J. HI.A.F.-Ji. var.sf". (c ' meutpoint; les quatresaisonsfontleurrévo'(90)Duo.Numerus binarius.—"VjDeux.lly, , «< Iution(-2~f fV yûa 'hid, « tournentou se Nombre binaire.C'estleprincipedunombreterres- «i succèdent) », et tous lesêtresde la naturese tre. (Ch.-w.). Selonlephilosophe - «( transforment. «l'au« (Kouau-tsèu).ParticuleexSiun-tseu, ' «torité qui procèdede1''unité est forte; l'au-- plétive. ]
7" RADICAL, Z2 . 2 A.6 TRAITS. 28 à-direle le le le Y-Kîng, Chî-King, Choù-King, ; hocmodo; tali Li-kietle yàn yûn,mulliludinum-voces Tçhùn-thsiéou. [modo. ÉTYM. 1TI —'—voixdclalbule;decettefaçon. ' Hiu-chin dérivece caractèredes deux à l'expression, ' yùnyùn,ainsirépété,équivaut «comme élémentsYàngetYin.(mâleet femelle) quirésiII l'adverbiale:joù t'seu,joii-t'seh, dentdans situé l'espace entrele Cielet la Terre, [cela»; ceeàet là». et danslequel -£/Vf fèn—, perlurliare. ils s'unissent.Cesdeux éléments T77 Iphàn—, susciterdestroubles. sontreprésentés parla lignehorizontale supérieure ÉTYM. Le caractère primitiffiguraitlesvapeurs et horizontale inférieure.+ Gr. phonét. et desvalléeset se la ligne qui s'élèventdes montagnes ï.chei. [t. Tsing.A.tt'nh.Ctsing.V.tehing. On y ajoutaensuitele replientsur elles-mêmes. y\ (90) Puteus.Locusuhi aqua hauritur. signedelapluieëfs» iti,pourenfairelecaractèrePuits; puisede l'eaueu terre. WÊ*ylin, « nuagesvaporeux», et alors-%£ ~T"fTlieuoùl'on locusinter t'iën—, de parietescwloapertus. "25Cyùn devintle synonyme j^j yuëh /\. | thien—,petitecourdesmaisons chinoises. (R. 73).Ch.w. -+-Groupe phonétique. î chi—,puteuscommunis. ho.C.su.F. hoû.J. -fcHoù. A. go. cttm. tyî I tlù—, puitscommun.Foire,marché. ~TÇ Lillerarelative. : mutub,sinutl, l-f (91) —jàu, clarè,distincte. aiùmalia Locusubi' qui occidunt,carnes Colltgere. JJJJ—nhu'ng,clairement,distinctement. dicitur boù'. Mutuellement. Ensem-Ihâx suspendunt, — f'ièn, \Ager in novempartesicquales ble, avec.Réuniraumêmeendroit.L'étalauquel lesbouclierssuspendent leursviandes. Irrl \\\ — dièn, jdivisus,quiagerin oclofamilias — siàng,Adinvicem. unampartent distribuebatur, quorumunaquicque sibï colendam, nonamxerbomnes sinutl accipiebat tu'o',Réciproquement. N.ttH — excolehant. habenlesut oslrew. Régi [sione. vvcb,l'escouchant î AAil— animauxrevêtusd'écaillés, comme sueces, resbenèdisposita ; continenti I Ty-il—'v'c't> IT I lestortueset leshuîtres. , chosesbiendisposées ; de succession ÉTYM. formefiguraitdesobjetscro- continue.Nomd'uneConstellation de l'hémisphère L'ancienne chussetenantensemble. etc.Nompropre. Fig.-+-Groupe piton. austral, * Siouân. A. -T~*Où.A.ngliù.C.'ng.F.nguJ.goA.f. ~J cang.C. karig.Syn.-J-F» jLL (95)Numerus Nomeitpropr. /I . .. (97)Scrulari.Extendere. quinque. Evulgare.^'£J Nombrecinq. Nom propre. On l'appelleaussi Pronutlgare. Scruter,explorer.Étendre.Publier, nombre'médial'. Le nombredu Cielest 5, le promulguer. Nompropre. nombredela Terreestaussi5. (Y-1L). [mérita. I •+• abantiquottsqueruine. /& I ti—,quintus. T -fc—hinf>,quinquc ele- | H jI ^—koù,—kin, -f depuisl'antiquitéjusqu'àcejour. les5élém. j^ï I d'e—,cinquième.| ]}—hàiih, ÉTYM.Cecaractèreestcomposédu signe^2. (Cesont,selonlesChinois:l'Eau,le Feu,leBois, ' deux', et d'un autre qui, danssou ancienne le Métalet la Terre). un ' méandre' ou lignedroitereforme, f igurait — tchàug,quinque •virilités. pliéesur elle-même. Delà le sensde « se déve(i££* if) — thu'o'ng,lescinqvertuscardinales. lopper,» de « s'étendreaveceffortet persévé: la Justice,la Conve-rance.»Ce méandreestdevenule caractère (Cesont la Bienfaisance, et la Sincérité). nance,la Science hoci,qui, répété,estdevenuaussilenomen |tt) da—fàng,quinque mundipartes. noisdesMahométaus, lesquels«se sontétendus 14-. JJ—phu'o', les cinqpointscardinaux.(Ce avecuuepersévérance incessante »danstoutel'Asie. sont: l'Est, le Sud,l'Ouest,leNordetle Centre). T=T Kéng. A.ciinh.C. karig.J. ko.Syn.TÇ — sëh,quinquecolores. J?\ . (98)Terminus. Summum. Cognoscere. "/_ 12? LJ — sac,lescinqcouleurs.(Cesont: leBleu Investi veterum moutimenta. gare gesta, d'azur,le Jaune,le Rouge,leBlancet le Noir). Terme,sommetou limite.anliquilatis scruterles — tsioh,quinquedignitatum gradus. faitset gestesdes anciens,Connaître, et les monumentsde Ifât|lg' — tru'o'c',les cinqordresde dignitésno- l'antiquité. — Cecaractèreestquelquefois biliaires.(Cesont: leskoùng,lièou,pëh, tseiiet fonduà tort par certainsauteursavecle contraduisent nàn,quequelques sinologues parPrince, dent, quiestalorsprononcédemême. précéMarquis,Comte,Baronet Chevalier). [dines. — Km,quinqueproecipuanmi qnrlutum orDE5 AG TItAITS. H,/^flrj— lu'an,lescinqgrandesrelationssociales. (Cesontcelles: duPrinceavecsesMinistres, —tJ Hoâng. X.hu'ông.G.fong.F.hong.i.kid. desPèreset desEnfants,desFrèresaînéset des : Quanlômagis.Potiori y\_i (99)Adverbium Frèrescadets,desEpouxentre euxet'desAmis).jure. A plusforteraison.Employé danslesKinget — kob,quinque leslivreshistoriques. AvecleRadical 15: "vP f ruges. 1fÊ~fL 7fîJ<î— Itlt'ôc,les cinqsortesde grains.(Ce il signifie: aquafrigida.Eaufroide,glacée»/[< sont: le Riz, leMilletpanaché,le Blé sarrasin, T{*Tlâï —, amicum convenire. leFromentet lesLégumineuses). /rZ I lai—, visiterun ami. sieôu—, quoddam instrtimentum musicum. quinqueLibri'canonici. —king, [-£{??— 'V'JL. l'i'nh,lesCinqLivrescanoniques ; c'est- #|_ j tu —, instrumentde musique. -27
~ 30 S" RADICAL. 7e RADICAL, S A 6 TR. sa. J. sia. —L [M* Siê. A.la. C.mse.G. 8eRADICAL. —\ (100)Parum, odicum. Parumper.Peu, eu petitequantité,"isiê, modicum quid.Unpeu. prononcetheoû,prisisoLu so, il est priscommepronomdémonstratif. | Ce Radical,quise lément,manquede signification. Cela,Ces.Danslesvers,finaleqqf.purement phou. Syn.-^ A* X.vdiig.C.moiig. ÉTYM. Cecaractèreest composé de JiQ tn*è, (103)Perdere; plus wquofino n*_pSK ' cela,ces', et de . eitlh, ' deux', signifiant ÙWâng. De' ; delà le sens dedilus.Exlinguere.Mori.Fugere.Oblivisci. auxyeux: ' ces deuxseulement les plaisirset la Perdreson dans ' functus. temps de peu'. en négligeant sesaffaires.(Mcng-tseu). rj-fc Yâ. A. â. C. à,l.a. Var. JJf Syn.-gg- débauche, Éteindreou anéanti. Cesserd'être. anéantir; *-fH(101) Sccundus;alteri /[}}£ lo^i Fuir; sesoustrairepar la fuite;exilé.(Tà-'hiôh). immediatus. Itavocaturphilosophas Metig-tse, quasi Oublier.Défunt.Particulenégative. sed immédiate non liceat Confucioleiptiparari, —)in,fitgitiv us. \ A-— tchih,) seipsum postipsuni potière. J\—nho'n, Il fugitif. \ J\— 'btit, ] perdere. 1—' sot'onlm maritus. /fRrl ' ttfi p'ào"" | ï| y" II /A* et i/J 0, ^f —Jln.,*:ti" nho'ii—,lemarid'unede sessoeurs. considère SWiA M J3l "" cx"c11C pas Lesbeaux-pères de deuxgendresse nomment(derentreren desonÉtat, le royaume possession mutuellement et lesdeux s'appellentde Tcin)comme y in, gendres « (Tà-hioh, unechoseprécieuse. entreeuxyd. (Chî-K.). eh. 10, § 12). et Particuleà sens nondéterminé purement ÉTYM. Danssaforme ' dansle ancienne,ce caractère ' phonétique langagedela conversation. composé dusigne' entrer' (R.12)etdu signe Lesobjetsqui ont l'extrémitéfourchue,comme était ' caché', abscondilmn Par sacomposition (n°5Ci). lesbranchesd'arbres,senomment à; danscecas, signifiedonc' entrer ', ou ' qui estentrédans le caractère(27)et celui-ci,jointyau Rad.arbre il le caché;le néant,l'oubli'. Formeanc. \f\ de préférence. (75),sontemployés Il est aussiquelquefois de 'o (Syn. synonyme 2 TRAITS. ci-dessus) ; danslesancienssceauxsurtout,ces T Kâng.A.cang.G.hliong. deuxcaractères sontsouventprisl'un pourl'autre. v. n-'-Syu.dj; " /Lhàng/TV deuxhom- J~[_t(Wt)Collum. ÉTYM. L'ancienneformereprésente (Legiluretittm mesinclinésdansunsensopposé.(Ch.-w.). in eodemsensu). Itemk'àng: Altum.Error,culpa. -ZT Kïh.A.eue. G.Y.liiU./tiok, Id.+ Gr.plt. Violentus ; pervicax.Operire.; coutegere.Itùmicus, Feslinatio.adversarius. constellalio. Coudel'homme. ÏVA.(10)Urgere ; urgens.Celeriler. Qaoedam Sollicitéaceelerare. Haut, élevéjusqu'aufaite. (Ts.tch.). Presser,pressant.Prompte-(Ch.-w.). meut.Hâte,hâteravecprécipitation. Erreur, faute. (Y-K.)Violent,obstiné.Couvrir, s'étendresur. (Ts.tch.). Ennemi,adversaire(ttk trt 1 wëh—,neproperes. yè). — Lu K'àng,Certaineconstellation. //J I fc ÉTYM.Cecar.est composé dessignesprimitifsiHt ~Y 'ï MbI si "? Ht ! 7F cliin,yen nèhgkÎMÇmainetdeux.Le : Radicaux) homme, bouche, (ou tsoûng. it Si le bonheurne doit pas mecousigne . deux (en haut et en bas, lesautres vrir, s'étendresurrao\, il pourradu moinss'étendresurmesancêtres». (Tso-tchouan). signesau milieu)représentele Cielet la Terre. Siu-kiaïdit à cesujetquecelasignifie: -ta T siàng—, joequales (Ch.-w.). quorumunuspotestalteri « prendrelessaisonsdu ciel (lesobserveret les If) I tu'o' —,\ résistera. Égauxdeforce. « suivre)pour'le profit(desbiens)de la terre.Si iracundus. [porté. et que la « la ' bouche consultel'opportunité ' lescirconstanemI*fe—k'i, ;{!(,—khi, enclinà la colère,irascible, « ' main' saisisse'promptement ' cou' L'ancienne forme le ETYM. " ces, onne peutperdrelesoccasions. » représente Onvoit par cettecitationla manièredontles de l'homme.(Ch.-w.). chinoisanalysentleurscaractères. lexicographes 4 TRAITS. Ilsy trouventbiendeschosesdontnoslanguesaldonnerlamoindre idée. A. ne K'iâo. peuvent giao. C.kao.Syn.rfj^ ^{£ phabétiques s'estenquelquesorteaussi y*^ Leurlangueelle-même %/\ /ffy „3^_(105)Congredi,congressus. matérialisée en perdantbeaucoupde saformefi- Unio.Societas. Arnicas.Collare,Tcslium pars.Mêler ensemble;réunir;réunion(koungyè,holtyà). gurative. Ausurplus,nousne pouvons,dansce diction- Sedit deslinéaments desKoûadeFouh-hidansle naire,quedonner'quelques aperçusdela manièreY-Kîng. Société.Amis.Colletdevêtement.(YângLes dontlescaractèreschinoisont été composés. dialecteprovincial). denombreuxtseù; Chinoisy ontconsacréeux-mêmes volandoeuntibus et , Diciturdeavibus la cl il faudrait,pourbien comprendre volumes, redeuntibus. Vold'oiseaux. 1T I de ces les caractères, primitive reprécomposition ilsle — ï, negoliari,mercaturam exercere. senter,comme fout,dansleurformeantique — di, négocier,fairele commerce. ce nousseraitdifficile defaire ici. ^J I£J qu'il figurative; à ce — foû,tradere. Nousrenvoyons que nousen avonsdit dans [marchandises etc l'écrit intitulé: Sinico-rEgyptiaca, |y — plut,livrer,délivrer, transmettredes I/X. 29
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8e RADICAL, -J-. 7 TRAITS. 32 — chèou,comniunicare, I A — mîng,famamappelere.Gloria:cupidus. transmittere. transmettre. | 'pj — danh,aspirerà se faireunnom. I--£ ^— thu, communiquer, — kouëh,regnopotiri. T27*— tseù, / moneta.chartaceaqad tempove I J — tic', {dynastioe — ku'oc,régnerpendanttant d'années utebantur'. Sung IJ3| fa| t tît — tchoûh,traderealiquemaielaliquod. — youug,pro libitouti. I jjj — xûdt,livrerunepersonne ouunechose. Ilqpf /TJ —dung,userd'unechoseà savolonté. —il, desïstere —foûh,felicitatefrui. aliquâre locoaliénas. une choseà la direction 15j"jEt thé, 1-emeUre /PtiEl—phu'o'c,jouirdela félicité, nHi =f— TITT— hào,sincèrenarrare. [d'imautre. ^y* î yen—, convivari. — hao', exposer,racontersincèrement. ^5Ç*I y'ën —, recevoirdesconvives.(Tso-tch.). | Jçj*— commixlus. ËTVM. Selonle Choùe-wèn, cecaractèreestdéhou,commiscere, confunderc; confondre.Mêlé. rivé du signeabrégéde l'élévation(kaô,R. 189) *-f —lia,mêlerensemble, 1~r~ et du signede la parole(R. 73). Il figuredans T — yeôu,amicitias nectere. — huà,uouerdesrelationsd'amitié. l'ancienneformequelqu'unqui s'avancetenant I.x>KC. ËTVM. L'ancienneformereprésentaitdes jain-. en maindesobjetsd'offrandes. besentremêlées. -f-Gr. ph. (Ch.-w.). -pîj*K'ïng. A.kinli.Cking.J.kei. y\-\ (110)Magnum (tàyë). Collisvaldèemi*y Hàl.A./io't.C./toi.F luii.J.ghei.-\-Gr.ph. milliamillium.Grand.Collinepro^\^ (106)LitleraIwrariaà nondhordnoctlsnens.Decem ad undecimam. Caractèrehoraire indiquantle éminente.(Eulh-ya).Nomde nombre: Dix milpropre. tempsde9 à 11heuresdela nuit, qui estla se- lions.Nom —ssé, Cour.Là oùle filsdu Ciel condeveille.Nomdecettemêmeheurechinoise. —su , \{Regia. — yuëh; luttadécima.Nomenproprium. IfîjK tient sa Cour (ton). PlJ« (l'empereur) ' grand' (làyi), et sséveut lune.Nompropre, Kingalors signifie Ipt JJ —nguyét,dixième ' direla ' foule (ichoàngyè). —•chi,forumnondinarium. nunecariaRegia. 1)3—thi, marchétenu à certainsjoursiixes. jî, T pëh—, Sinensis I-fL. 1, yïh. A.diéc.G.fi. F ek.J. fc/d,ye/i. "\\£i I bac —, Courdu Nord.(Capitaleactuelle : Et. Eliam. de l'Empirechinois.) yX* (10*0Parliculaconjunctiva —-pâo,Nuntiiispublionsurbisprimariic. Cum.Particuleconjonctive : Et. Aussi.Même. —ùâo,Moniteurde la métropole. ^f-pL Deplus{yeôuye).Nompropre. IJiij-t Également. —hda,urbisprimarixdialeclos. "y*Tpoiïh—,Non-ne?Ita-neverti? I^pfp]IJ —khoât,dialectede Pë-king.' /Y>| b'dt—, N'est-ce pas?N'est-ilpasainsi? T £7—ko,—haà,etiampotest, , valdètristis. etiambenè. , qui inspirela tristesse. IrifJ a I /ij-—khd,—hao',oui, celase peut, 1| | ËTVM.Car.composédu signeabrégédel'éléc'estbien.Marqueparticulière d'assentiment. vation R. 2. 11estfiguratifparcombinaison. ~Y î i/V -^ypoiih— chouëhhoiil (Lùn-yû). -. Tetdu .*Lin. A. làm. F. .Uni.Horreum.Locus 'y I pt/L j Nonneetiamjucundum! (111)ubi grana recondunlur.Grenier ËTVM. L'ancienne forme unhomme |B|conserver les grains.Ancienneformedu lesbrasretombantlelongdureprésentait pour Gr. +corps. plwn. caractèrelia, R. 53, 13tr. W§ 5 ET,C TRAITS. DE7 A 19 TKAITS. 'f^f*Hêng.A.'han/i. Chang'.V.heng.i.kiaô. X (108)Penetrare.Coelivirtusproutrébus -f^f T'ïng. A. dinli.C.ting.J.li.-\-Gr. ph. .Porticusseuatria in liùspublicis incremenla tribuit.Legituretiamhiâng,in eodem *^j (WX) solamen etrequiem. sensu.Pénétrer.Vertuou Item: Porticus influencedu Cielen ad itinerantium tant qu'elle fait croître toutechose.Il signifie, in hortis. Quiescere.Morari.Mquale.Rectum. dansleY-Kîng,«la réunionde toutce qu'il y a Portiqueou pavillonérigéà distancesurlesvoies de grandet de biendanslanature» (Jdâichi hoéî publiquespour servird'asileaux voyageurs. PaLieudehalte estsouventprispourle suivant. villondejardin.Belvédère. yè). Cecaractère Reposer. -+-Groupe phonétique. [J. kiaô. et de repos pourles troupesenmarche.Égal, p-t*'Hiàng A.hu'o'ng.C.héong.F. hiang. uni, droit. Erectus,qui est érigé, debout. -^J""(109) Inferioresofferresuperioribus (< !I | t'ïng-t'îng, Nomd'unemontagne. 'Idafimgchàng).Sacrijicare (tsiyè). Oblatis frui. Inférieursoffrantqqc.à leurssupérieurs. Sacri- J Jfc —•ping, binli.planum. fier(auxEspritsouGénies).Jouir desoffrandes. I \~— égalisé,surfaceplane. — Selonle Li-ki,l'actedescinqordresdemandawoù,meridies.Reclus. — rinsse rendantà la couravecleurs présentsse 1U- \ ngo, heuredemidi.Droit,vertical. —toûh,) in meliorem nommait -\- Recipere. Recevoir; ordiucmsesetranshiàng. — tsi,sacrijicare;sacrijicium —d'oc,fformare.Améliorer sanaturephy|.=k Bp. o f erre. IM^ /j\ —•té, sacrifier; offrirun sacrifice. de Si-ngau-fou). sique. ( Lao-tseù. Inscription — chéou,oetatis ÉTYM. Composédu caractère' haut' abrégé longinquitale frui. !|j=; j5y— tho,jouird'unelonguevie. et du groupephonétiqueJ ting.(Ch.-w.).
9° RADICAL, 34 H0M0> L'HOMME. j\/\î A. C. le plusintelligentde touslesêtresde.l'univers. •jif Hâng.C lu'o'ng. Hong.Syn.i-Q estle ' produitvirtuel' ^TJj (113) redore,conjidere(sinyè). f]/y\ D'aprèsle Li-ki,Vhomme Clarion(mïngyè).Solissplendor.Nomen (tëh)duCielet dela Terre;l'uniondugrandprinproprium. etdugrandprincipefemelle Croireà; sefierà. (Meug-ts ). Brillant;clartédu cipetak\e(Ydng) (Yin); la réunionde l'espritpur et de l'espritsubstansoleil.Nompropre tiel; la fleuret l'essencedes cinq éléments(jin l-^ztî sûl—, intégrajidelitas. telle: thiënti tchitëh; YinYângtchikido;kotie-i |pf I lin —, fidélitéà touteépreuve. chintchihoe'C; ou hingtchisieoûkhi). "~T~* j "T"t'iën— \\aà,jarndiescit? Le caractère jin forme,ungrandnombred'ex/\. I J tiilen— lieu,il fait déjàjour. Ainsion s'ensert pourdécomposées. -fLf Pôh. A. bac.F. pâk.J. fakf. Hô-nàn pressions signerles mandarins,les officiersdu gouverneterrainprovincid '==^J(114)Quxdam les lettrés, en oppositionà min' plebs', Nomdelieu de la provincedeHô-nàu.Lieu de ment, Il indiqueaussile paysnatal,la nationapeuple. résidencedel'ancienempereurTcliing-tang, dela litéquand il estjointà unnomdelieu, de pays, dynastieChaug(1780av.J.-C). Il y a troisloca- decontrée. Jointàdesnomsd'arts,de métiers,de litésdecenom: l'uneau midi, l'autre'au nord, professions, il formedesnomsconcretsqui désiet l'autreà l'ouest. gnentceuxquiselivrentà cesarts,à cesmétiers, à cesprofessions •^f-f*Choh.k.thiie.Quis.Quare.Vronominter; qui lespratiquent. ?VariantesyP/L (115)rogatif Qui?Pourquoi c'estl'humanité J'H'i'".r"' l'homme, A A" ift / V |—tLamême.(Chi-ming, citédansKli.hi.). de 9îf (B. 39, 8)q. v. nouymiqne demodes—, unushomo. | Expression jî=f T'àn. k.d'an.'F.ih'an.i.tan.-^-Gr.piton. Iï nhà'l—, un homme.(tie employéepar des g| (116)Fidelis, sincerus.Perfection.Maen parlantd'eux-mêmes. gnum.Multian.Legituretiamtchên. Nomenpro-princes Fidèle;sincère.Par- .' T eûl—,pateret mater.'-£*j niù—,foemina. prium.Nomen regnimaritimi. fait. Grand. Beaucoup.Nompropre.Nomd'un I nid—,lepèreetlamère.y\| mi'—,la femTuâu—, mas. 1~fT fan—,quisquis. [me. royaumemaritimeétranger. JJ] =4?Ttchùn-tchën,marchedifficilesans progrèsJ] J nain—,mâle./L | phdm—,quiquecesoit. HJjI sensible.(J. w. p. 1.). liomines. -/-*Tkôu—, antiquitatis J. bi. cô—, les hommesde l'antiquité. ~fêa Wèï. À. w'.F. bé. H | Invictus à labore.Wèi- §É î chén—,bonusvir. KaXè; ,^BT* (117)Indefessus. xàyaGôs. wèi: Itidefessè. (Y.-K.).Idemlegitur: ' wêï' .*Ca- ta I thiën—-, hommevertueuxet bon. D'une manière nari; conatus. Infatigable. infatiga- T ngfih—, maluset ble.S'efforcer; effortsrépétés.(Chî-K.).Nom delieu. jjjj àc homme nequamhomo. )(ii | —, méchant,vicieux. -L T ta—,magnates.X I siào—,homovilis. lesgrands J | tieu—,petithomme. 9° RADICAL./V | d'ai—, J\. 4, anc. f. fo 71 tchù—,dominas. ' dece ±1 I chu—,maîtredemaison ' OBSERVATIONS. ti> Tk'ià—, domesticus. ' ou' Lesnombreuxdérivés ' Radical dérivés Signegénérique', quise già —, domestique. [eus. montent àplus de700,sontpresque touscomposés%^| W J màï—,mercator."T"Tkoung—, mechaniou4 1"dusignegénérique J\. J_ | cong—,mécanicien. figuratif jin, Jï | mai—,négociant. li/teratus, r£ Ttchàï—,legatus. ...jeu (gainsliomo),et 2°de différents' groupes' ±T ssé—, | si—,docteur,lettré 2c \ sa'—> envoyé. n'ontici,pourla plupart, placésà droite,lesquels d'autrcvaleur celleduson,c.-a-d.dela pro- 3z Tfàn—, extraneus. que nonciation dumotde la langueparléequeleca- 'JU | phen—, étrangerde l'ouest. ractèreestdestinéà représenter. advenu. Touscescarac- ~=hTi —, tères(àpeud'exceptions donc /^ I di —•étrangeren général; barbare. près)appartiennent à la5°classedéformation descaractères nommés néï—,meauxor.£&I tsûn—,veslrauxor ' s'adjoignent le son'. Cesontdes AI | nài—,mafemme.-t§kiâï-chîng, qui | t'on—,votrefemme. caractères réellement (Voirnos -U T fou—,regulorumuxor. idéo-phonétiques. Paris, 1842,p.' 42et suif.). J\_ I phu—,femme Sinico-^Lgyptiaca. desprinces. le ' groupephonétique contribue au Quelquefois omnes liomines. , ' ' ' senstoutàla sa foispar ' forme etparle son', IT | , tousleshommes. oula ' prononciation luiest — k'ëh, hospes. qui propre. pi — khdch,unhôteenvisite 1>i? A.nho'n.C.fan, F. 'jin. ï.jin, nin. -£f*T mèou—, quidamhomo. AJln.(118)Homo.Vir. L'homme.Selonle ^ I ma—, un certainhomme l'hommereprésentépar ce caractère Bp ï ching—, sanctusvir, Choiie-wên, ' figuratif'est, danssa nature,l'êtrele plusnoble :£ I thdnli—, un sainthomme. du Cielet dela Terre [t'iënli tchi sing kouèï hièn—, homo. tsoûïtchèyè).SelonChah-moh c'est tî I hièn—, sapiens unhommesage (I-wen-pi-lan), 33
36 35 9e RADICAL, \ 2 TRAITS. ' mordiale qui donnelavie à tous les êtresvi~\* Tyii ï —, egounushomo. ' chay I d'u'-nhà't—,moi,simplehomme.C'est vants.Quandil s'agitdeYHomme,c'estla Ce rité, l'humanité, ', agit. ainsiques'appellent souventlesempereurs. jin qui son par quoi (K.hî). de âme,deson supériorité —, discipuli.[' hommesdelà porte'. l'hommemontrelasur les intelligence (ling) ' tous lesautresêtres, c'est mon—, lesdisciplesd'un' philosophe , mmén ' sont parsessentiments de charité,de commisération, Danslesidéesdes Chinois,les Chîng-jîn cité dans les sagesde l'antiquitéqui, douésdefacultésex- d'humanité'. (Loiïh-chou-tching-'o, Khâng-hi). ont atteint, commeConfucius, la traordinaires, perfectionhumaine;les seconds,les ' hièn-jîn', /-Lj Lëh.A. lac.C. F. lék.J ryok.[fig.sou], sontles sagesde secondordre qui ontapproché \/J (121)Residuum, Ninima,vel superjluum. despremiersparleurseffortsincessants.Dansles décimapars, seu,e decemuna.Résiduou fraction vers, et pour,la ' rime', ce caractèrese pro- denombre.Superfluou reste des sacrifices;la dixièmepartie.Lu lïh, diligens,vires exercerez nonceyen,yàn. formedun° 2, quirepré-/ô^ Diligent.Exercersesfacultésintellectuelles. h. Ancienne Z~CSynonymedu Radical144. N'est pas "l sente un clou Cguréainsi: | chëh.A.thdp.C.cliap.Y'.sip.J I J usité. .chip. numerus.NomÎTT Tsëh. A.trac.C.tcliak.F.tcliek.3.dsik. ^Chili, (119)Denariushominum Adlatusadsistere. Curbre dedix hommes.Dansl'antiquité,deuxpelo- jj V (122).Inclinatus. mar- vum.Verhorunisinicorum tonusnon planas. Intons,de cinqhommeschacun,formaienten dedix.(Khâng-hi). Dansle Chî- cliné.Setenirauprèsdeqqn. Courbé.Toninégal cheuneescouade des vers),un tcliàngou chapitreest dansla prononciation descaractèreschinois. Kîng(Livre T accents —, appelécliïh. distinguésdansla versifip'ing les accents 1'utensiliadomestica. H — kiûh, /[> |" I cationchinoise;p'ing comprend î rf-zft--w® | — id. decenom(chànget 'Ida); tsëh,lesaccents' chàng. | ^-%—eu, I T^/J cA,ustens.domestiques. ' ' affectéesde l'accent Ainsiappelésparcequ'ilssontde dixespèces. ' k'iûet' jïh. Les' syllabes •—mo,auis?Locution dans p'ing 'sont dites égales'; cellesaffectées des interrogative accents tsëh':'', sontdites' inégales'. /Z» le stylevulgaire. IHfc— tsiëh,concubina, veluxorsecundaria. ETYM. Rad. 'homme',-+-'groupephonétique ' chïh,dix, oufemme desecond et significatif = 10 hommes. ITV ~£Ç—thiéc,concubine rang. /_ Jîn. A. nho'n.C.yan. F. jin. J. jin. ± Ttchïh—, speciesmonetoe. |_—(120)Chantas,humanitas, pietas;misc- ')y | xich—, espècedemonnaierougeâtre. ricordia. Interiormrtutumconcentus;charitas /T7 FOÛ.C.Y.hoù.~i.fou.Darc.Donner un^Javeclamain.Ane.forme |jj omniumvirtutumnexus; virtutum |,X.(123)objetàqq. commiserativa /K sinicarum Nomén piété, Foû.A.phû.G.fod.¥.houJ.fou.[f\g. son] regina. proprium.Charité,cardiII (124)Prosternere. Lahi;cadere humanité.Réuniondescinqgrandesvertus Dejicerc. touteslesautresver- Se prosterner.Jeter bas. TomberLufeou . se nales(V.n° 95),comprenant Nompropre. prosternerlafacecontreterre. tus ettouslesactesdebienfaisance. «L'humanité Il* K'iêou.A.euà. Ctcheou.Y.kiù. i.kiou, (jîn),est-ildit dansle Li-ki(li«.y un), estlefondement dela justice,l'essence en \/U (125)Pur. Jungere.Unire.Odisse;inila des « quelquesorteincorporée de (t'ï) pratique micus. Couple; Joindre; unir. Haïr; ennemi. « devoirs.Ceuxqui ont obtenucettevertu sont (Chi-Kîng). Nompropre. « dignesde vénération.» [equidem. ÉTYM.Caractèredelaclasse' figurantle son'. l JTJ—tchè: jîn yè, humanitas : homo I jj Pâh. F. pat. J. liais-.Nomen proprium. I/V (126)Nompropre.(Tseu-'weï). I±£ pj / v Iji — gid nho'ndd,l'humanité,c'est ul'homme est-il d itdans /tt Nom de la même», mèrede l'ancien leTchoûng-yoûng. Tchàng. l/L (127)philosophe Meng-tse. S ZE.R$l î F? 0] H fi Uùn-tsèuVi jin, isoA« tchàngjin. 71 Kïn. A. 1dm. C. kam.F. /dm.J. Kn. fa T Bfi I /t MKA Le Princeoul'hommesupérieur,quis'incorpore '--f (128)In hoctempore;mine.Modo.Ence Encemoment. Maintenant. Particuleex(t'î)la charité,l'humanité,quisel'identifie,suffit temps-ci. à civiliser(litt.à agrandir,lehang, primant' à l'instantmême'. (Khâng-hi). par celamême à élever)leshommes. (Y-King). [cleas. ftïï I ifrî l H î J0l"l~' eûl7~>mouh—>mmc< JTJî ko—,fructuumnu- 7"r I llll I H I nHU'—> "'" —t muc—> '""' maintenant,encemomentmême. J —thu,semence.~ffii \ qud—,noyaudefruit. eodemtempore, 1~J?—Vx,semcn. T pj—yuëhyhocmense. —, ocidipupilla. pt Tmouh H—nh'dt,cejourd'hui.| JJ—nguyèt,dansce PJ I mue—, pupillede l'oeil. Ipt—]ih,hodiè — hioûng,humanus I iX~— sîng,hàcviid arnicas. [mois In/[j — huinh,un amibon, charitable. I 2JQ—sinh,danscettevie. — hocswculo. ETYM. Le caractèrey^youdn (R. 10,2) est chî, Hy — ihi, danscesiècle composé . ' deux', et du signe/ [_i Itrf: ' hommeducar. du signe + î koù—, antiquiet récentes. '. Lecar. jin estaussicomposé ' homme'et du signe'deux'. ' Quandil s'agit pt | cd —,lesancienset lesmodernes de cecar. estdouteuse. du Ciel, c'est Youdn,la vertu originaire,pri- ETYM. L'étymologie
9e RADICAL, \ 3 TRAITS. 38 J. kai. Sustinere.Pouvoir, vaincre.(Ch.-w.).Porter; /\^ Kiâï. A. giai. C.V.kai. Auxiliari.Magnum. Par- soutenir. J\ (129)Terminus. vum.Lorïca.Solus.In bonoperseverare. Interrum- T i-—\—kiën, humcrisgestarc. limite.Séparation.(Y-K.).Assister. | J^ — Idén,portersur sesépaules.(Chî-K.). père.Terme; Cuirasse. | ^.m _ sj, (jmmattenté,diligenter. Chî-K.).Grand.(Id.).Petit.(Yaug-tse). avecdiligence. Seul, sanscompagne(en parlant des animaux). | q>|l| _ t(, très-attentivement, Persévérer danslesmeilleures limites.(Eûl-yà).In/ t Ssè A.sL c „ p su j c/ii;sLrf s i terrompre.Nomderoyaume.Nompropre. \^£ (134)Studere.(Ch.w.).Proefecturam gerens.Iiwestigare.Inlerpres(thoûng-ssé). Étudier. -jft T qp J^ ffik'ieou—yùlikoùe;petereauxil'w" à Demander *f>I J A m magnoregno. Fonctionnaire Nomde magistradessecoursà ungrandEtat. (Tsoh-tchouàn). ture.Fairedespublic.(Li-ki). investigations. Interprète. (Chî-K.). —ji», ïaumliam.Auxiliaires. «Netriom-*SH «, Tfëh wënfëhssè;n'étantpas soumisà î 1— l'aide ce /\ nlio'n,i d'auxiliaires, des humiliantes I pherqu'à j\S\Xi\j\] | ; investigations n'estpasunepreuvedegrandebravoure,v (lu.). ijH»Y wëh wàngkiiin-lsè.(le peuple)ne A}Tling—, servushonoratus #-JlH/PÎ J trompepassessupérieurs.(Chî-K.). (liais). Sin. Ancienne formede /i P I lành—, votredomestique. /pt X î siào—,servusparvus(meus), Ii—*(135)Voy.ci-après,7tr. | pzf /.T, T'a. A.tha.CF.t'dJ.la.Syn.Ai* O* J I lieu—, mondomestique. IU j pâo —,\coadjutoragricolarumpnesidis, Itli (136) Pronomen.Me. Ipse.| Q 0Q 0 Al'ius. |^C I bu'ù—,\ quiadestrégiterrasaranti. Quis(clioùï)}Pronom opposéà celuides ' tfa I koûeï—,fdius-velfratresdominalionis itue. ' personnes éloignées (pi) etdifférentdeceluides lefilsoules f rèresde votre Lui. seigneurie,'personnesprochaines(t'sèu)'.(Khâng-hî). ^H I qui—, t. Tmoûh—,magnum gelu(quasiarborumlorica).Elle.Eux. Elles.Pronominterrogatifqui?(I-wênet complément d'un verbeactif. 7fî | m'de—,grandegeléequicouvrelesarbresde pi-làn).Sujet <pronom II interrogatif.(Yiih-pien). —, uiiushomo. [glaçons.Quelquefois ' j ïnhdt —, unhommeordinaire.(Seditdesoi signifieaussi'sans droiture,dépravé,pervers'. | •££î tsiëh—, sincerus,ingenuus.[parmodestie).|î -ù 7]Lt£ ~Kî kiùn-tsc tchingeiilh poûkt'a. /M J IL III)"\ | le sageestdroit,sincèreet non gP I ti'ét—,sincère,ingénieux. aliodie. î CI—jïh, ['pervers'.(Yaug-tse). —jân, subilb,derepenlè. I H — "h'àt, un autrejour. IM 5m— nhùn,toutà coup.Soudain. unhomme J Ji —j"m,alius homo. ETYM. L'anciencaractèrereprésente I /*• — nho'n,un autrehomme. entredeux«limites». (Ch.-w.). Z-Tt.3ïnS;jèn,A..nhung.C.yng.F.jeng.3.jj5, J -fc—fàng,alia regio. \/J (130) Quia. Juxld. Sicut.Sicutanteh. I /J—/>""o, uneautrecontrée. î |4.At tïli, suus. Coidïnuare. Iterum.'Nomenregni.Nomenproprium. Parceque; pour tellecause. (Lûn-yù).Scion; 1\\~J — dïch, le sien(delui), commeavant.Continuer.De nouveau.Nom de M T fou—, humeris res ge.stalm. Nompropre. Ja | phu— toutechoseportéepar desboeufsou royaume. — — I^ deschevauxestainsiappelée.(Khâng-hî). Lut'6, fouh,et TMr— jàn. "eutantea. et^ | /^ nU'ûn,commeavant. il signifieaussi,seul: toutcequi est portéà dos | ]%.—phuc, — sûu,proavifdius. d'animaux.(lb.). [telw. U!£ % - t'en,petit-fils. tJLTchkng. A.truVng.C.tcheuiig.V.timig.J. >nonasseqia. nomengenericum. Inniti. T| _ 1^(137) Armorum | | -, ne pas attemdreau butdesesdésirs. LegUur etiamtchàog Nomgé|]él.ique desarmesde' II T'soûng. A.tông.Obsequi. obObechre; sur; seconfierà. Se litauton S'appuyer A. Ab. Ex.De.Suivre. guen.e. jansce derniersens. jy\(\%\) seeundare. à. Préposition Obéir.Seconformer marquantl'a- t-r- T ta dimicare;bellum. danslesdiction-J J | dd—, blation.Cecaractèreestemployé ^, combattre;combat, ' naireschinoispour marquerla dérivation'. y. j pîng_; armamiiitaria. î -fa —làï,abinilio. -jjj | bin/i—, armesde guerre. T iK—siaô,àpuero. | J —tiéu, desl'enfance.| /^—lai, dèsle pr. ^jj Tï . succurrere. — pou—,minquam.j| |. hi —, secourir. fMJ* jk î ~YT- poulàï,— Vallai -b'àt-, jamais. I Tl Tchin Capim -i; /((Vffito(ch w } Aj ETYM.Cecar. représente deuxhommes quim Cheveux ; quia unegrande ^ (i38) • épais • chesesuivent.Cestlatonneprimitive du caractère U T velure. , nC ™ • du i. signe ;homme » du i signe •; r et . . . , , ompose poils l'01'me »nc'ducar-'I111* 1"1(5ir„0:/fffi K On emploie ce ' groupe'avecle R. 190. AJ (R. 59). ' L ._ IA (132)C'estle nomdeFohouFoe, \JV ! , %, J*"* liouddha. 44- foù- K-l',m[»" [°ar- "S"1'']Don» I g (139)Dare;tradere.Jyomenpropr. 3 IKAIIS livrer.Nompr. (Kîn-kâng K. ) uer^trausmettre, si.[fig.s.l. A. I fën—,proecipere, mandare. Z~YTsè.A.tu .Ctsai.¥.tchû.3.chi, I~y (133) Passe, subjicere (khëh).Gestare.JJ \ phàn—, ordonner,chargerde. 37
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9° RADICAL, 4 .3 TRAITS. 40 I kiâo traaere. tchi Mille —, militum dux.Milleasses -J=j jin tchàngyè). simultrajeçti. livrer. Herbxluxuriantes.Chefde mille ^ | giao—,transmettre, î t'oh alicul hommes. Millepiècesde monnaie de cuivre(fsiêri) —, credere. J.-^ aliquld luxuriantes. ~JLi I *''a'c—,confierquelquechoseà quelqu'un.réuniespar uneligature.Herbes ÉTYM.Cecaractèreest ' figuratif en même —, commendare. n|M î choïih significatifs (celuide /ajj | chiu—, confierauxsoinsde quelqu'un.' tempsqu'unde seséléments le 'son '. ' droite, m ille)comprend ETYM. Cecaractère e st du main composé signe J.0 (à droite)et du signe' homme'auquelcettemain /IJT Hàn. Le mêmequesonsynonyme tend quelquechose.(Ch.-w.).De là le sensde Rad.64, 7tr. V.l^f I J (147)phonétique. donner,transmettre. A4r *>yïh.A./^'tfï.C.F.g(viit,gitjMtz. [fig.s.] sin.F. sien,J. sen. |£j(148) Fortis,robustus.Valens.Fort, ro/|K Sien.A.tien.C. buste. hommes vel beatisectse | f-1—I Courageux. (140)Immortcdes / T. Ta. A. d'ai. (HàïIchoûngtl ming).Nom Tdo: JjgL. Hommes selonlessectateurs du qui, Tâo(etde Bouddha), ontacquisl'immortalité. «Des | /V (149)d'uneterresituéeaumilieudelamcr « vieillards /Xi ïloân. A.d'o'n.C¥.hwdn.J. hun.[fig.s.] ne meurentpoint(dans lescondiqui ' « tions ordinaires) sont dits immortels'(sien). \)u (150)Zew'iy/£'pè.Léger.Lufân,mèmesens. « Etre sien, c'est être élevéd'unétat inférieurà Pôh, cho.[fig.s.]Ligare.Moderuri ; comA/-t « un étatsupérieur(tsiën) ; cetétatsupérieur,c'est Lier. Modérer, \~J (151) pescere (yoli yè). « laretraitesolitaireauseindesmontagnes. » (Tsi(Choiïe-wèu). C'estaussilà le sensde la apaiser. ming,dansKhâng-hi). / TyTâï.A.d'ai.C. F.taé,lai, J. dai. [fig.s.] ducaractère estformédu composition qui signe | \i(152) Generatio. Regumséries.Vices//«'homme' et du signe' montagne'!H (R.46). Unegénération. Une plere;locoalterius.Vicarius. hù —, I quinque siensunt:coelum, spiritus, dynastiequi tientla place d'uneautre. Remplir anima humana. £| I ngu—, (terra,aqua, lesfonctions d'uneautre.N. [legatus. Kin-siên,veljîn-jôh,veltchë-lciohsien,suntno— ngo,locomei. T pr. k'iouân, de4-iSè— minaspiriluum sectxFoeet Tâo. — àma Idll$% nga, place | *'fë—X7«e«,envoyé. avis;quantvelocissimè. Tâï-siën,quoedam . I sàn—,j1resfamilix imperatorioe antiquw, yV Hiën. Homosedenssupramontem. —" [fig.] I tam—,\scilicet:'Hià,Yin et ïcheoû demeurant sur unemontaXU (141)Homme lesgénérations successives. le mêmequele précé- Llh-ldi, gne.Cecaractèren'est J. r/, rei (pour/(').' /v Ling.A.lcinh.C7.ling. —par, dent. (Choïie-wèn). CeltedéfinitiondeHiu~\i (153)Leges.Edictum.Prohibere.Manchin fait voir que le caractèreprécédent,sien, dare.Edicere. eminens. BoNobilis;fionoratus,* n'avaitpas,danssacomposition, leRad.'homme', Voxloquendihonorijica. Lois.Édits.DéfenmaisbienleRad. 14 (Jïh,ingredi),avec' lequelil tmm. Oublier. Noble,honoré;d'unrang a une Lessienou immor-dre. Ordonner. granderessemblance, honorifiqueet de courtoisie Expression tels' en questionsont donc,d'aprèscetteétymo- éminent. usageenversles personnesaveclesloin dontonl'ait logie,ceuxquiseretirentdanslesmontagnes, onse trouve; par exemple: quelles du monde,pour y terminerleursjours. — tsùn,nobilistuuspater. Hiënsignifie aussi: « quiparaîtsemouvoiravec et lenteur». IJàr Jgl— deV.E.). négligence — *d«,votrenoblepère(ou,lepère nobilistua mater. t'àng, [E.). A~f T'ohà. Puella (c/iàonia yè). GenioinJj!.— d'ang,votrenoblemère(oulamèredeV. \\2 (142)dulgere(kiâoï yè). Legituretiam1}î/i — nobilis tuus tôh .•pronomen thâ (136);llle, llla. Jeunefille. làng, Jilifts. Iftff f{f —lang,xotrenoblefils(oulefilsdeV.E.). (Ch.-w.).Selivreràtoutessesfantaisies. (Yu-pien).Auton hià suivantes: Se prendaussipourle pronomT'a (n° 136).I,-^ p'ïng, il a lesdéfinitions de'XXI /-J- I szè-lî'.ig, II, Elle, Eux.De plus,il est synonyme famuli; servire. Servir.(Meng-tse). Hoûng. Venterrotundus(tafoïihyè). lytl I su —, domestiques. X~f' ventre(Cli.-w.).Nomd'homme. ling-ling,campanulx sonilus.Ling-ling, | I (143)Gros onoI\ T'hoûug. A. d'ông, F. F. long.3. tô. IT | matopée;son d'uneclochette.Nompropre. ~J*.(144)Ce caractère,dansles livresdes Ting-ling,nomd'un pays. idem. Tao-sse,est pris pour(R. 30, Z)VE\Simul; OJ I, yi. A.(/('.C.F./. .T.i. Ane.forme Cum.Convenire Vasvini.Ensemble, |PJ le même. V^A(151)Ciim(utcausale).In. Pcr.Con-ppt Avec.Convenir. Vaseà vin.Nompropre. Causa.A, vel, Ab.Facerc.Uti.Fi/lire,de" Jim.,T.ji'n.[fig.s.]. forme. sinere.Avec.Dans.Pai. Conformément. Acause /fTl Jin. A.nhdn.C.F. S'iiùcorum, de. Seservirde; faireusage.Finir; cesser.(Meng|/j (145)Mensuraoctocubitorum Metirïprofunditatem Commeparticule,ce' caractèremarquela (fouchi'n).Mesurede 8 pieds tse). chinoisoude3 coudées de cetteme- 1manièreoul'instrument s'il est placéavantle (la longueur surea étédifférente selonlesépoques). (V.Khang-verbe;le ' résultatou l'intention's'il ne vient hi). Mesurerune profondeurquelconque.Ceca- qu'après. igilur. ge. I sô—, ideb, ractèreest souventprispoursyn. de Sjwa tp/j )J\ I so'—, c'estpourquoi. T'siën.A.thién. J.clien. î chi G.¥..tc/t'cen. EJ —, propterhoc. /-*f* millehominibus I |(146) Proepositus (tlsién /£ I thi —, à causedecela
42 9° RADICAL, \ 4 TRAITS. 41 ZK, Nî, î. Encomposition : nî-hoân,ignarus; IL Tkou—, oblianecausant;ideireb. | ^ (1*>4) qui a i'aird'unignorant,[fig.s.] pourcela; à causedecela. p)( I k'ô—, / pt Wâh. Nomenregionis. — (wéï,reputare,existimare. comme. ][-} (165)Nomde pays. I45> [Sj — mi,estimertel, considérer les styles,joue danstous Z/r ^>woù. A.ngo.C. 'ng.F. ngou.J. koo. Cecaractère,très-usité ' : \yum. Par numerus. souventlerôled'un ' articledéterminatif || (1GG) Duplex./Èquale.SoLesdeuxparties cii.Nomen •£§ft+t —cliïwêïkio,ibrectumreputarecurproprium.liombTe\)air. 1BJ 7c n PH Croirele droitcourbe,levraifaux. d'untoutégalesentreelles.Nompropre,[fig.s.] LeChoûe-wèn dit cecaract.'figuratif. A.kién.C.Aire. F. kien.J. ken. ETYM. A]\- Kièn.Dividere. Partiri. Legitur etiam (167) perturbatus, inquietus.kién\\; Numérale '/Tff Woûh.Concitatus, rerumet negotiorum.Diviser; I/L (155)Agité,troublé,inquiet.(Y-Kîng). aussikién. Dansce cas, ( Ch.w.). I f-, P'ân. Tollerese. Formevulg.de ;(gffcpartager. 'Selit ' numérale desarla deschoses c'est partagées, sousleR. 64 15 V oir tr.). 2fS TV (156) (à ticlesdecommerce. (Loûhchoukoù). 4 TRAITS. |jf I ssé—,negolium nhdt—,unechose,^p*| su —, uneaffaire 1ï—,resuna. Rebellare. Reverti.Se révolter,t^ ttZ. Twëh—, utensilia. /t^ Fàn. Laforme fIX.( 157) plusenusageest(R.29)fA. ']//} j mât—, desustensiles troublé. ï—î, unavestis 1,1 Tchâo.Vultùperterritus.Visage \ nhdt—y,unvêtement. \'y (158)Lutchâo: quiestdepetitestature. 1-4tiâo—,index,syllabus. A/ri Yàng et Nîàng.A. nghuo'ng.CyeungI "J (159)F.giang.J. kiô.—Erectocapitein tî | d'iéù—, listedediversarticles. altumaspicere(kih cliebuwàng yè). Suspicere.£f Tkôh—, quoeque capita. Innïtlmo- O I câc—, chaquechapitred'unlivre. Yàng : A superiorealiquidexpectore. duRad.t'àn (190,4). raliter (chiyè,tseûyè). Regarderen hauten leAlfaT'àn. Synonyme LuYàng : Attendreqq. Lut'àn, vantlatête.Contempler. (168)Capilliprolixi I/U etpendentes. chose d'un supérieur.Se confieren quelqu'un. il signifie:Sistere,quiescere, S'arrêter,sereposer. Nompropre. IK Kiàï. A.giâi. C.F.kâi.J. kai. [fig.s.] Ar î kieoù—,jamdudumdesiderote. \)\ (169)Bonum(che'nyè). Magnum(tàyè). désire v ousvoir. longtemps je /V | ku'ù—,depuis Famulus. Bon.Grand.Domestique. attente,espérer. /v T ling—, Dominationis wàng, sperare; Yàng e xpectatio; t-estroe famulus. — yedu,expectore; être dansl'attente. *JÏ I lành—, leserviteurdeVotreSeigneurie. — mou,desiderare;désirer. meusfamulus. sink'i mou);in cordede ijv Tsiào—,mon Il signifieaussi{tchoûng domestique. C'est' l'expression de J | ùêu—, aliquocumamorerecogitare. '. ' ^ Tk'iao—, alicujuspatronum agere. désiretd'attented'uncoeurpleind'affection du signe' homme X. I thiên—,seconstituerlepatrondequelqu'un ÉTYM. Cecar. est composé Yào. En : non et dugroupephonétique composition Yào-k'ido, significatif yàug A^\ extensus Distortum. l/V (170) chinyè). unmu(poiih Kiên.En compositionkièn-tchoù, /^ IJr'. Fûng. Nomd'un 'immortel' dela secte I-[ (160)sicien.Luking, grand,attentif,[f.s.] 1^ (171)duTào.(Yu-pieu); IU T'sé. Synonymedu Rad. 76 U Nom l~~f Jin. A.nhdm.C.yam.F.jim.J. jin.[f.s.] (A (161) d'homme,a T'sze-fei\ était |T~ (172)Protegere(pàoyè). Amico fidelis. ceunhommehabiledansl'art defabriquerlesar- Muheri Mimasexsequi(tdng « mesde guerre.« (Sun-tse). àptus.Posse(k'àn yè). [fig.s.] [tsiô. Legituretiamjin : Posse,subjicere (khëyè).Uti Âti-tTohoûng.K.trong.G.tchung.V. tiong.J. yè). Id quodquasisuper Munus, o fficium. (yoûng y è). inter secundus Secundus ; fratres |^ (162) (foùyè)t*Nomcn humerasportatur proprium.Protéex quatuorannitemporibus. mensiscujuslibet Infe- ger.(Ch.w.).D'unendelitéàtouteépreuve.(Kh.h.). Instrumentum musicum. rior.Médium. Nomenproavecaménitéuneamitiémutuelle(igan vrium.Frèrepuîné.Le secondmoisdechacunePratiquer sin yoiiehjin). Apteà remplirdesfonctions siâng saisons d el'année. I nférieur. L enombre desquatre Occuperunechargepublique.Supporde trois.Instrumentde musique.Nompr. publiques. moyen ter. — Selit aussijin ; dansce cas, il signifie: — toûng,médiumhyemis. oufaireusagede, Avoirle pouvoirde; employer, y~ — d'ong,le milieude l'hiver. l'onportecomme surlesépaules(aufiguré). IA. ce que I O — nî, nomenConfucii. Tseng-tseudisait: «L'hommequi veut devenir ni, petitnomduphilosophe Khoung-tseu.«un savant(ssé)nedoitpasêtresansforced'âme I /Q — —foù,avunculus natummor. «et sansénergiede caractère ; sonfardeau(ousa IHs3
43
9e RADICAL, A 4 TRAITS. M sibiassumere. )£$I tâng—, officium Époux.Résister.Droit. Cacherquelquechose jg I d'ang—, sechargerd'unemploipublic. Nompropre,[iig.s.] M— t'soûng,geniovelsuoarbitrantindulgcre. mi.i.A.;.C.F.;.].i.[f,g.,] H t[— tông,se livrerasesfantaisies. Litteraaux'diaris.Ille, 1/ (187)Connectera. —i, sibimutubindulgere. [Traitécliin. angl. illa. Solum.Quia.—Yoh-ï : tristis.'Oii-ï: sonuslel'unpourl'autre. gentium.I-yùn:quidamsapiensantiquus.Cogno1^jl£i>—j',avoirdel'indulgence /— t">T .ûj J2j I ji'ni Twêi—, associari. Levissima Similis(sidngssê reisimilitudo. je). Sem- fiy I vi —, êtreassociéspour unmêmehut. blableen apparence.(Ch.w.). Entrevoir. Légère ETYM. Cecaractèreestdelàclassedes' combiressemblance. nés', songr. phon.étantaussile nombre5. 4-ttTsiàng—, alleralteriferè similisest, /-fc K'i. A.ki. C.F. ki.J. ziki.[fig.s.] l'un à l'autre. TH I tu'o' —,presquesemblables \}C (191)Dare(yuye).Habilitas,subt'dilas. Celuidontla penséeestcon- Donner. A7\. Tchoûng. (Ch.\v.).Habileté.Ruse,malice,fraude. \2^\ (177)tinuellement aveclamultitude (tchi >f?î T-w\ tùjin —k'iào: multihomines Ch. w.).Troublé, (sunt) kïhtchoûng yè. effrayé. (Tse-w.): ' homme' ^A ! "^7habilitateproedi/i.(l,ao-Ue,T!ao-teK.) ETYM. Cecaractère,composé duRad. ' ' ' Cesontles etd'uncaractèrequi signifiepublic,commun', dont talents,l'habileté est question.« Ceuxqui enscientifique à ' privé,personnel sont douéspénèopposé ', estde la classedes il«trentou ' combinés lesloisduCielet de la ', c'est-à-diredecelledontleséléments« comprennent mais ils ne comprennent concourent parleursfiguresà formerunsenscom- « terre, pas cellesde l'homme t'iên ti eùlhpouht'oùngjfn, plexequise révèlepourainsidireà la vue. (t'oùng « k'i. » yoiieï À K'i. A.//«'.C.F.k'i.J. ki. [fig.s.] Yang-tsè). F. kok.ï.fed. Ir. (178)Summis pedibusinnixumrespicere. yfJi Foûh. A.plaie. C.fuk. \J\. (192)Prosternere;humiliare se; sub/iSe leversur K'i-iidng,k'i-màng:avideexpectore. ses piedspourregarder.S'avancerpour mieux cereseet alios. Abscondere Se pros; recondere. sevaincreet soumettreaussi voir.(J.w.p. 1.).Lescomposés k'i-wdng,k'i-mângterner;s'humilier; lesautreshommes.Cacher,tenirsecret.Lu feéu, : Regarderavidement. signifient desoeufs. Nompr.K'ïh-foûh,Nomderoy. /l-t~ P'éï.Nomdedeuxfleuves.Onécrit aujour- couver Foiih-hi,ancienempereurchinois,l'invenIIp (179)d'huicecar.avecleRad.85,q. v. de l'écriture I2É? vglteur despremierslinéaments anciennerempliepar chinoise Magistrature A~^lYuh.des et desKoùaquiportentsonnom. I J (180) femmes.(Ch.w.)VoirauR. 38. I t'sâng—,abscondere. _^ Tsân—, I tempus resnon Jfc /fft Tiào.A.^'ie/i.En com^.Tido-tdng, VmI tàxg—»cacher. —' | tant—, \ valdè I yf(181)communitereveniens (pout'chdngye). hocest,quodsextalunadividiturin tria /=-fîTûn. Stupidus, sensùsexpers.[fig.s.] calidum, scilicettsoûh-foûh foûh, (primumfouh),tchoûngIHi (182)Stupide,grossier.Touffus,épais. foûh(médium vel terfoûh)etmôh-foûh(ultimum Vèn. Prxcidere. DéSepararc. Séparer. tium ultimum esta valdècalidum.i> Âjfjt foûh); ly-l (183)tacherpar incisionou rupture. /_KFàh. A. phat. G.fat. F. hwat.i. pats. mêmequ'avecleRad.GO.Voy. IJXiYùh. Le debellare |^ (193)Superiorem subditus,diciServus. S erviteurà Dans IX-(184) gages. tur tching(R. GO,5); oequales semutubimpetere, certainsdialectes•Rejeter. diciturfâh. Abscondiiis 'vexilliset nonpercusso Timide,craintif. tympanoaliquem /tf Sin. A. tdm.Timidus. dicilurt'sin(R. 9, 7= invadere, I li (185)Sin-sin,adv.Aveccrainte,[fig.s.] invadere) vexilliset cuminstrumentis, ; explicatis A. khang.C.F. hong.i'.kôo. tympanosonante,invadere,diciturfâh. (Vid.Pin/f-L ' JL K'àng. Par. Conjuges. Resistere.tse-tsien,s. v.). Adhuc: Jactarese. Quoddam (18G)Copulare. Rectum. Aliquidrecondere.— K'àng-li: marituset sidus.Faireune guerrerégulièreà desennemis uxor.K'dng-tcluh : homoreclus.Accoupler.Couple. Attaqueraveclesarmesde guerre,au bruit des
45 9e RADICAL. 4 S TRAITS. 46 instrumentset lesétendardsdéployés. Faireéta- —hî woù-r- Ductor;quiexercitum [pe. prsecedit. Se-vanter.De plus : Abattre ILv| i>à—,chefmilitaire unetroulagede sesmérites, quicommande une dubois.Ravager contrée.Punirdesrebelles. T Ji» Tta tsoûng—, vêtusconciliiproeses. deguerre.Nomd'uneétoile. Instruments 7T>I d'ailong—, ancienprésidentduconseil / T.Hïêu. A.huit. C.yau.F. Mû,lut.,T.kiô. /v du tribunaldesrites. (Tchcou-li). \/\< (194)Bonumet pulchrum(mêicliényè). LuPâ, primusinterregulos;regulorum princeps. Parcere.Dimittere.Cessare.Repudiare. Gratulari. Le premierd'entrelescinq anciensprinces féoNe; cavene.Bonet beau.Épargner, Déménager. dauxfameuxpar leursbrigandages. Féliciter . Paît, pêcher;congédier. Renvoyer. pro/-f- Koù. A. cô.C.F. /cou.J. ko. [fig.s.] — pâli, netimeas. [hibitive. I J-f (208) Nundinariifori vecligalia(du — I P| ba,necraignezpas, IJ,f^t n'ayez pasdecrainte. c/tôuï).Derei pretiodisputare(lûnkiayè).Quanti Itt î siâug—, ex utraqueparte désistera. resmaleatdisceptare (lûnwëhhoyè) Taxesimpo| fl I lu'o'ng—, sedésisterde part et d'autre. séesdanslesmarchés (Kh.lu.). Débattrele prix formeducar.woh: l£j d'unemarchandise. /f- Où. Ancienne Différersur la valeurd'une I^C (1^5)Manupercutere. \Èj'- chose,d'unobjetdecommerce. Vilipend-ere. aveclamain.Insulter.V n°321. — leâng,conjectare valeat. Hommefrappant quantialiquid sur le prix l^y Hiên. Inobsequens; (/tanyè). IJ§L §3 — lu'o', fairedes conjectures pertinax IT (190).Indocile,obstiné.(Cli.w.).Haine d'unechose,chercherà l'estimerà savaleur. inextinguible. (J. w.p. 1.). : Complètement /IjrKoQa. En composition / X*Ho.A.hod.G.fo.[Car.comb.et fig.le s.] divisé: l/AV(209) séparé, — sîe, absolutè l/v(197) Vtensilia Ce dansl'aue. écriture/4A\£t caractère, — tchàng,navisonerarioe naetclerus. \/J \\Ai(210) t cliéou.estlen"ViG,quodvide. 1pPC Patrond'unvaisseaumarchand. /A Ni. A.né.C.ni.F. ji. i.ji, ni. Var.lfo IV\ Klo. [fig.s.]Mutuo(s>Àng-yè). PronomenrH.Pron.de la2e p.s. |£y HJM211) \]\ (198)Mutuel,réciproque.(Car.suppl.). —mên,vos. T Af-i—tïh, tuus. ZTTYîng.Lemèmequesonhomon.j/wg-^w —mon,vous.| pi y—d'ich,detoi,letien. l/T (199)Adv.D'unemanièrehâtive. |~r; T4P T fet \h~~ ngbpoùhsiàngkh.T\i, Ego,(vel) Lupêï, l~lt~ I iX /T 1HPX«*'«'dealteronil curât. l~y Poù.Nomd'unemontagne. ce caractère est de |_Q \^y (200) synonyme /O Ni. Formeprimitivedu caractèreprécénomen. Z^t*Néï. Hominis l/u (212)dent,qui en estun homonyme. \Y3 (201)Nomd'homme f. s. Szïh.Superbus. /4HProdigus.(tc'lùyè). / Tobîn.Éliminer.Retrancher. Rejeterce Vaniteux. Il±k.(213)Orgueilleux. Prodigue. a de l/L (202)qu'ily plusimportant.(Hoaï- /OiPià.a.A.ban.C.p'ûn.Y.p,wan.J.fan.[L s.] locale. [ndn-tse), Z4\. Ching.Expression [^(214) Grandiorforma (ta mào).Socius, Produire del'eau I/T (203) (tchoiikclwùï). coîlega in a/iquo;Inniti(ïyè). (liiiyè).Confidere Granddeforme.(Ch.w.). Comilari, 5 TRAITS sequi(p'éî-yè). associé.Se fier, se reposersur. AcCompagnon; tenir compagnie. /-L Hiên. Formevulg.duN°196.[fig,s.] compagner; violent.Colèreimplacable.|nt Tt'oûng—, sociiejusdemlociatqueordinis. | j^ (204)Haineux, Junctis'viribus (lolilïliyè).Indefes- |fj| I d'ông—,compagnonsdemêmerangetqualité. /XTJNÔU.sus toutes Ittî Ôl î 7^'"' h°e' tcnâ°—k'a> |y*Jt(205) (king-lïhyè).Réunissant ] redireaulam,cosesforces.Infatigable, )| 'jyj | ffât hâitrieâ—gia, ) mitari quadri[fig.s.] retournerà laCourpouraccompagner S. M curtum,exiguum. /jTj Tchoûh.Brève, [fig.s.] gam, Tsoûh. Tristilia; tristâri (yeôuyè). IjB (206)Bref,court,exigu. /(*pWXt(215)Tristesse.S'affliger. (Kh.hî). /t^tPëh. A.bd.G.pdk.F.pek.J.fak. fig.s.] silentiosus. Videseq./jjj. Patris I fi) (20'l)/Etate major(tclidng fra/tjrt Hëh. Quietus, yè). silencieux. ter major.Fratermajor.Dignitasmagnateriiaà ||q (216)Tranquille, Syu.deIJ1II. avis.Cognomen. Le premierparl'âge. /A Llng. A.linh.C.ling.Y.leng.J. lei.[fig.s.] rege.Nomen Ludere(lùngyè).Faw.). Frèreaînédesonpère. Le3°desordres I P (21T)Solus (Ch. (tuhyè). de distinctions publiques'dont l'on a dérivéles mulus.Seul,sansfamille.(Kh.hî.). JouerdesconomsdeBey,Beg,etc.Nomd'un oiseau.Nompr. médies,comédien.(Ch.w.). Serviteur(ssè-ling) — fou,patrisfrater major.Patruus. —jîn,musicus, musicorum primarius. oncledu côtédu père. IfU_J£—• nliân,musicien,chefde musique. IIJ V— —phû, — uxor. mou,patrisfratrismajoris î c(A li, solers,perspicax. — lo'i, habile,perspicace. mdu,tante,femmedufrèreaînédupère. | /)*{] HitJ- — — î fe. chûh; patrisfrater majordiciturpëh, qu'avecle R. 130. /Jj Le mêmecaractère | JPvmmorverbdiciturchîih à cetteplace. |(l| (218)Voirl'explication
9e RADICAL, A 5 TRAITS. , 48 IVLYào.Le mêmequ'avecle Rad.64, q. v. «jardinpublic[tchoûngyouên, jardindelàfoule)», I A/J(219)Alïquidmanibus frangere. paraît être la transcriptionde sanghàrdma(de• videri. Ipi (229)bens(Jwàtcliimào).Ineptus,balbus. Ex. ^f| I tu'o —, paraîtresemblables. Quia uneforteconstipation. Inepte.Bègue. — chi,-verum videtur,et nonest. CecaracjTX Tchîng.Encomp.tchïn-koùng. ItEf /£ — tlu, celaparaîtvrai,etil ne l'est pas. I |r (230)tèredésigneunepersonne: Quipa— féï,falsumvidetur,et nonest. 141; 7p—phi, celaparaîtfaux,et il ne l'est pas. raîtsehâter, agitéde crainte. Habetetiamhxclitieralocumincomparai Y.tien.J.ten.[f.s ] ivis.Ce /(Il T'ièa.A.d'ién.G.t'in. car. a un sensparticulierdansles comparaisons. IPJ (231)Agricultura(tchi tienyè). Agros Ex. : yèouchingSSÉngbtïh; yebupoïïlijoù ngb colère,arare(tsohtien).Antiquitus curmagnatum tïh. Suntmepotiores;suntquibusegopotiorsum. rus(kohkîngkhi).Venari(lïhyè).Agriculture. La« Il y ena qui sontsupérieurs à moi(quiparais- bourer.Dansl'antiquité,Chardesgrandsnommés « senttels); maisil y ena aussi(parmieux)aux- King.Chasser,chasse. « quelsje suissupérieur.» Hân. Lemêmequ'aVec leR.164.[fig.s.] /if. /O Formearchaïqueducar. pré-j»T | [J (232)Semiebrius.A moitiéivre. I (EJ(225)cèdent,ainsiquelesuiv./Ji>» /-t- Màï.Nomenmedicinx(yoli ming).[fig.s], llm K'iâ. A.gia.C.k'ê.F.këd.J.kâ.[fig.s.]' desbarbares |/jv (233)Nomd'unmédicament ' I/J|-l(226)Caractèrepurement phonétique orientaux. enchinoisde plusieurs qui entredansl'expression Ane.formede (R. 79) ~JjT nomsbouddhiques boud- TÇI Ssè.A.tu. empruntésaux ouvrages mori.Mourir. Mors, 7/V(234) 7Q dhiquessanskritsdansles traductions en a qu'on /rt Tân. A. d'an. C.F.tdn.J. tan. [fig.s.] faitesen chinois,depuisleIVesiècledenotreère. Le Tching-tsè-thoùng, [P (235)Multitudo(t'od yè); Quicumque, dictionnaire chinoisdont le rédacteur citesouventdeslivreset destermes i omnes(fànyè). Particula: Tantum,tamen,solum, donneplusieurs decestermesdansla sed,si.Inanis.Decipere, bouddhiques, fallere(tchdyè).Nomen composition desquelsentrekià, commek'id-ldn, proprium.Multitude;unnombreillimité.Autant; : qu'il dit être le nomd'un Espritou d'un Génie senlement;mais,—si. Vide.Tromper. • cependant; (clunming).CependantcetteexpressioncorresNompropre. Selonle Choûe(Hoaï-nân-tsè). au mot sanskritvihdra, qui veut direun1 wèn: Vêtement pond simpleâ courtesmanches(sïliyè) ' monastère ' — ma, equuseffrenis. ', ou' demeure deceuxquisesontséSS — ma,chevaleffréné.Débridé. parésdumonde; Seng-kia-lan, qu'ilexpliquepar 1PÊ 47
9e RADICAL, -f S TRAITS. 49 50 Le Clioiie-wèn dit que ~Y î poùh—, nonsolum. ÉTYM. ce caractère est ' ti dusigne' phonétique fy I b'àt —, non-seulement. composé (à droite), q ui Tohù. A. tru. Di'ustare(Icicou lïh yè). a la signification Ai*-* parlui-mêmede '' bas', auquel Rester l'ona la suitele Radical homme'. \^f (23G)Expectare(l'ingyè). longjointpar Attendreen regardant. /->- Tohû.A. chà.C.tchii.F. tchè.J. djioo. tempsdebout.(Choiïe-wên). « L'ayantsuividesyeuxjusqu'àce qu'il le perdît Stare(lïhyè). MoIX (245)Sislere(tclàyè). « de vue, il resta longtemps deboutà la même rari (kiàyè).S'arrêter.Setenirdebout.Demeurer. Hplaceen pleurant.»(Chi-Khig). I TJ-— tsàï, i ., ' [fig.s.]. kiù—,habitare. A/r? Poù. A.bô.C.pb. F.poil.i.po. [fig.s.] MI | eu—,habiterdansiuilieu. | ft —tâi, j1 If|J (237)Circuitus ; circuire(piényè). Untsàin*''—' "*' habitat? [t-il? I Entendère,dispergere. Circuit;contour-êHK^Bï dequaque. Pi VI I tai na li—, où, en quellieuhabitener detoutepart. Etendre;disséminer. ~YTjîn poiih—,ferre nequeo. )77 /fit Voù.A.a>«.Contemnere; illudere.[fig.s.] j[î£/j>| nha'nb'àt—,je ne puisle supporter. ! y- (238)Mépriser;railler.FormeancienneÏÇjTlieôu—, detinerealiquem domi. dumêmecaractèreayant 7 traits.Voy. ]33| lu'u—, retenirquelqu'un,par ex. chezsoi. — chèou,ab opèrecessare, car. qu'avecleRad.113.jjj Â-\~Kiû. Même IZ» (239)Malaavertere.Écarter,détour-/|l It^^T"—thu, cesserd'avoirla mainà l'oeuvre. nerdesmalheurs;etc. [fig.s.]. A~h Tsô.A.ta. C.tso.F. tcho.J. sa. [fig.s.] /«f»'Pi. Nonrectum,pravum.[fig.s.] I/T (246)Adesse,auxdiari(fouyè).Adjutor |/X (240)Quiestpleinde fausseté;dépravé. (eùlhje). Aiderquelqu'undanssesfonctions;asinavorumsister.Conseiller.Ministre. jtTJ Châo.A.tlùêu.Situsmajorum .Lucnào:rectumfaci-_L.î loûh—, sexconsiliarii TOU Foïi-hï. | ]Î!J(241)aulddispositus nus(liiàïhingyè). Tablettedesancêtres. Bonneaction./• | lue—,lessixministres del'anc.emp.Fou-hi. Selonle Choiïe-wên, ce caractèresignifie répété(tsè-tsè)signifie: ' ETYM. /[IL Tsè. Cecaract. de lamain', étant composédu signe IU-L(242)Valdèparvus; ingéniaetbonismo- ' assister ' ribusdestitutus (siàoyè).Très-petit,au propre; et ' main et du Rad. ~T ' koàng(48),quisignifie• au fig.hommedépourvudetalentsetde principes. ouvrier'. AvecleRad. homme', c'estl'homme Au* -£?FI « Leshommesde ' talentsin- éclairéqui aideunsouveraindeseslumières. Yeôu.A.hu'ù.C. 1] I 1/X n /£. férieursetdemauvaisprincipes' A-J-* yau.F. yù.J. iou.[fig. s.]. «.(tsè-tsè), ceux-làont debellesdemeures. » (Chîl'tJ (247)Auxdiari(tsôtsôuyè). Opem ferre. xVider. Kîng,Siao-yà).[lig.s.] Secourir,protéger.(Chou-Kîng). /.L Wéi.A.-M.C.wai.F. ui. J. H. [fig.s.]- L "Tt Zp TTTP chàngl'iênfoû — 'hiamin; I IL (243)Conditioregularis(wéïtc/iè: tching _L.yx."j* I I PQsupremumCoelumconvenienler débitas,dicitur(wêi.Di- subvenitmiserispopulis. « Le Ciel suprêmeest yè).Status,seulocuscuique Numérale gnitas.Disponere. personarum magistra-venuausecoursdupeuplemisérable quia eucontusdegentium. État, rang,condition propresdesin- fianceenlui. » (Cliôu-Kîng, Thâng-kâo). : Siégerdechaquecôtéd'un ÉTYM.Ce caractère,selonle Choûe-wên,ne dividus.Primitivement (Ch.w.).Place,état que chacundoitoc- doitêtrecomposé quedela partiedroitequi,dans portique. désirenepassortirdesa condition,sa formeactuelle,est le ' groupephonétique '. cuper,ciLesage mettreen Celui-ci est composé du signe' main' et du signe desonrang.» (Y-K.).Dignité.Disposer, ' ' figuratifs',lesquelssidespersonnes en dignité. ordre.Numérale bouche',anciennement — li,regere,dominarï. dominer. Gouverner, gnifiaient: ' aiderde la main et de la parole', comme lesministresetserviteursd'unprince.On li —, status,sedes,État,position,situation. ajoutaensuiteà sagauchele signe'homme', à tort, —, vestrxdominationis TJiTî lïh persona. Ce.car.s'écritaussiavecle R. 113. Jf}J | lié't—, VotreSeigneurie. [perialis. selonCha-mou. imI loûng—,thronus Â&tYâng. Corpusnonporreclum velexten.gj t tsioh—,dignitas.OiM l/C (248)sum(t'ipoiihchïnyè).Nonétendu. ffj- | tru'o'c—,dignité.pg| long—,letrôneimp. —, assequisedem. (Kh.hi). Au ton ', mêmesens.Il se prendquelffi î tell quefoispourle n° 159, qui a la mêmeprononj^f | d'àc —, obtenirunesituation. A Tchïh—, perderesedem. ciation. /Jr- Vén.A..bôii.G.t'ai.Y.l'i.J.peii. y^ j th'dl—, perdresa situation,sonemploi. [fig.s.] /Vf Tî. A.d'ê. C.tai. F. tey. J. dei. [fig.s.] 14^ (249).Infirmas,debilis(liëhyè). Hudis, Non deIS (244) allum;humile;demissum; 'vilis; exteriore figura rudis(t'soûmâo).Infirme, nùttere,inclinare. extérieurcommun. L'opposédehaut; bas(aupropre débile.Grossier;vil; d'un etau figuré).Abaissé;abaisser.Pencher. Formevulgairedumême' gr. phon.' avecleRad. 118.Onl'emploieaussivulgairement t$~tt T î kàokâo ,altissimum,humilissimum. pourle car. très-bas. il (Rad.188)JîtJff,maisà tort, selonle1-wén-pi, très-élevé, |PJJrtJI I caocao vilishomo lan(subvoce).^^ Af-t ï —, Idatïhjin,abjectus, 7l- T'ién.A.Jriém.G.tcldm.'F.tium.J.tèn.[t.s.'] I~T~ I Fly / V—,hommeviletabject. I ~T fa rjTj—Hàomingt'éôu,suodecorinotam : fp (250)En composition — teôu,vilipendcre I J TI jzfj inussit.Il a impriméà sonfrontune ; contemnere. — tached'infamie. |-»/ d'au,mépriser,dédaigner. 1/pT
52 9e RADICAL, j 5 TRAITS. 51 i : D'un Ilse Lutc'hên : Explorare,exspectare, gréable.(Chî-K.). prend respîcere.Ob- gnifie leaspectadém. pron. Ce, Cet.Nompr. [tus. server,examiner,regarder.Dansce dernierJhB ilussrpour — se prendpour(K.147, 5). H M sens,ce caractère péï,gibbus.^ Twèï—,pulcher,conten«Lesétudiantsd'aujourd'huilisenta voixbasse IJtiI5J—bai,bossu. ~£(\ n'y—,beau,satisfait. » (Li-ki). : crinessparsi.(Sse-ki). !establettesqu'ilsexaminent. LegituretiamXo Le Choiïe-wên donneaussià ce car.le dicta. ETYM. secretb —mh,verbaadauresalicuj'us parolesditessecrètementà l'o- sensdu pronominterrogatifQuis? Quomodo? Irjlif JJI)—nhiép, Comment? Ille reillede quelqu'un.(Comm. (u°251)(hôyè).Quoi?Pourquoi? Sou-yin). ' ' ÉTTM.Cecaract.est composé duR. homme' dérivedusigne' hommeetdugr.ph. t'ô. [fig.s.]. et Angroupephonétique tien. /S. Chë.A. xà. Cognomen. [.fig.s.]. Hô.A.Aà.C.F. ho.J. o. jJ-\ (254)Surnom.Nompropre. wo, s.]. [fig. tpjf I J (251)Quis(chôuïyè, nà je)? Quomodb y\. Yû. A.du. C.yii. F. i. J. yô. ;rpî (255)Ego(ngbyè). Verborum elegantia. (oûyè)? Quare(yânyè)?Quid (hdhyè, hiyè}? Pronomdela lre perParticulainlerrogativa. Tono' : humerisgestare Nomenlunée4X.Cognomen. Pour- sonne: Je, moi.Abondance élégante d'expressions. (foûyè).Nomenproprium.Qui?Comment? quoi?Quoi?Particuleinterrogative.Lu ho, por- La 4°lunesenommeaussiyûyoueï. tersursesépaules(sensprimitifdu caractère,selon /J. Yïh.A. d'àt. C.yat. F. yit. J. ils. leChoiïe-wên). Nompropre,etceluid'unroyaume |/V(256) Quiescere('an yïh poûhIdoyè). dansle Sî-yiï.(Kh.hî). Quietam agerevilam.Genioindulgere;a tumultibussesubducere. In solitudinemseseabscondera —jîn,quis? 'it—ssé, quidnegotii? \ Il /v —nhôn,qui? | =P—-su,dequelleaffaire? (yintùn yè). Proetermittere; negligere.Nom.pr. vivredans la etle tranquillité repos ;fuirlemonde. #11î \| 7^—ai, PJ-'> \ld. Suivreses propresinspirations.Se soustraireau nlm—,1UOmoihl comment? /k\)| j°/1-'-' \ multum est. tumultedela société;Seretirerdansla solitude. vvoû—,nondum tempuselapsum ses devoirs.(Chou-K.).Nom ET '*"' i' — ' n'y aPasencore longtemps. (Kh. h î). Omettre;négliger jm I Sè-yïh, nom du ' grandhistorien' du Ât |të I woùlà —, | jj î ni — chî, quandb? propre. de Wou-wâug (1134av. J.-C). S JSÎ| vô co' —, ( '| fly—thi, quand? temps ÉTYM.Car.composéduRad. ' homme' et du T ±i£ choûï—,quid?quomodb?Comment?pour' ri pc I thtiy—,quoi?Commesi l'on disait: je Gr.phon. yïh. Peuple', selonle Choiïe-wên. Ane.1/ T n'osepas;commentle ferais-je ?(mouhhànjoûhô). /jftFoh. A.phdt.C.fat.V.hwut. |/]J(257) Aspicereet non perpendere \J^\ Hô-chi,n'est-cepas? (Khâng-hi). chîyè).Alicuiadversari(nïhyè).Reî woûk'ônâï—,nullumestremedium. (h'idnpouh bellis(liyè). SectariusinsignisIndioeorientalis. ÉfjT~fe" J»> J 2f»| vôkhdnai—,lachoseestdésespérée. ' Regarderles objetssansles percevoirdistincte^ Cecaractèrese prendquelquefois répourifïf ment.(Ch.w.). S'opposeraquelqu'un.Ennemi. ' etdu ' . Ilest du homme' R prouver J comp. signe Rebelle.Nomchinoisde Bouddha,lequeln'enest \\o, 'ho, ko. groupephonétique la transcriptionselonl'ancienneprononcia/">r Pïh. C. F. pit.J. pit. ffig.s.]. Habitus que tionpliât,oufat, pour bouddh.Cecaractèren'est l^-i (252)orisetvultùsgravitateet majesiateplus usitéque dans cette acceptionet pour la de quelquesnomsétrangers,comme plenus(yèou'wéï i yè).[Dict.Tseu-'weï,Tseu- transcription tian, Peï-wèn-yun-fou, une Sse-yîn-ehi-i], Implere, ' Sân-fôh-tsi ', nomdonné anciennement 'àRéuet plénum, (mdnyè).[Kh.h.]. Hommequia uneat- partiede l'îlede Soumatra, qui signifie titudegraveet majestueuse conforme à la décence.niondes troisFôh'; ' Jéou-foh',Java; ' FôhPlein.Nompropre.Etantrépété:pïh-pïh,il forme lang-ki',lesFrancs;tousnoms de royaumes, dit une expressionadverbiale: majestueusement. leDictionnaire de Khâng-hi. ETYM. Ce caractère,selonle Choûe-wên, est Le royaumedeFranceétaitconnudesChinois du XVIesiècle.Onle trouve du signe' homme' et du groupephoné- dèsle commencement composé re- citédansleurslivresdèscetteépoque(voirnotre LeDictionnaire tique/)/"/;. Tching-tseu-thoung écritce caractèreavec éditionde MarcoPolo,p. 475),sousle nomde procheà Hiu-chind'avoir le radicaljin (R. 9) ' homme', aulieuduradical /jHt Stt ^K Foh-lang-hi.Cen'est que dansle sin (R.61),' coeur',commeo' nle trouvedansle I7P W SE traité de 1860avecla Chineque ou ' Livredesvers (SectionSiao-ya),l'ona écritcenom?/+ têt Fahhoue(parabréChi-King, et il lui donneun senstout opposé: habitussine viationdeFah-lang--\ 2J |a| là houe)le ' royaume gravitateet majestate(woùwéiiyè). Nousavons deFrance' oudela ' Loi', pourque lesChinois chinoisles plus ne supposentpasqu'ony pratiquela religionde adoptél'opiniondesdictionnaires le I-wan- Fohou Bouddha. importantsetlesplusrécents.Toutefois pi-lannelui donneque le secondsensdeplénum, Onlit dansun autre dictionnairechinois,le plein(mdnyè). citédansle précédent,que, Tching-tseu-thoung, IX* T'ô. A. d'à. C. F. t'o. J. la.Seprend d'aprèslesMémoires du temps,pendantla 7e an' ' | Q (253)pour i-X\ A-iHumerisvel costisnée youngping de l'empereurMing-tidesHan gestare.Pulcher(mèï|lji Qyè). Pron.Ille (pi (en64denotreère),ladoctrinedeFôh commença duMilieu(laChine). yè).Nom.pr. Le transportà dosdebufflesoude depénétrerdansle Royaume chameaux s'exprimevulgairement par lecar. t'ô. C'estuneerreur.DutempsdesThsin(220avant Eteintrépété: t'ô-tkô,il formeunadverbequisi- notreère),desCha-men(religieux et bouddhistes),
53
9e RADICAL, \ 6 TRAITS. 54 d'autres,se rendirentprès de l'empereurThsin ÉTTM.Le Choiie-wên dérivece caractère du ' femme'et d'unautreabrégéqui Chi-hoang,lequel,ayant considéréleur doctrinesigne"25C" nw' commeétrangèreet dangereuse, leslit mettreen signifie'confiance,croyance',joints au radical prison.Du tempsde Wou-ti(l-iO-88av. J.-C.), ' homme', parceque la femmecroit facilement il fut apportéen Chineunestatued'or de Foh,à auxbellesparolesquel'hommelui conte. l'imitationde laquelletoutes cellesqui ont été AA? Toûng. A.(Hong. Nomd'une Cognomen. fonduesdepuisont étéfaites.Maisce nefut réelIy~ (2G1)localitédansle Liao-toung. lementquesouslerègnede l'empereurMing-tides HanqueladoctrinedeFohouBouddhafutreçue GTBAITS officiellement en Chine,quoiqu'elley eût déjà de250ansavant. pénétréplus J.pei.[f.s.]. On lit dans l'ouvragede l'ancien philosophe AXriPéï. A.bôy.G.p'iii.V.pbé. 1/1)4(262) siliquidexutraquepartependais hidtchinKîng, 3. k. f" 1, éd. Lie-tseu[Tchodng oudes ' dixanciensphilosophes Chi-tseu, '), etqui secumdéferre(tdïyû clanclùWangpiênyè)."Speflorissait398ansavantnotreère, que, «dutemps cicseinguliex quolapillipendent.Pendere.Pordontlesboutspendentde chaque de Mou-wang avantJ.-C.),un hommeter uneceinture (1001-945 corps.Ceinturede laquellependentdes qui faisaitdes prodigeset quiétait(l'unroyaumecôtédu de l'extrêmeOccident,serendità sa cour.» Les ornementsen jade (selonles degréset lesfonccen'étaitpasle ' saint tions).Porter quelquechosesuspenduà saceincritiqueschinoisdisentquel'on nommeFoh'. Le ture, hommedel'Occidentque [cultrum parfumcinguloportarc. mêmephilosophe Lie-tseurapporteaussi(lieucité, T"Tt•—tâo, accinctus gladio; gladiumiielpotins K. 4, fJ 3,v°),queKhoung-tseu disaitque«parmi \ /-J —d'ao, porterune épéeà saceinture. it les peuplesdescontréesde l'Occident, il y avait ETYM. Caractèrecomposédu signe' homme', « unhommedelascienceet de la vertules ' rond', et duRad. d'unautre(n°3G)qui signifie plus « éminentes(chi'ng). » Cespassages,selonlesau- 50 rft kîn, ' étoffelégère' servantà ornerles chinoiscités,ontété vêtements. teursdesdeuxdictionnaires faussement considérés commeserapportantà Foh. / XjJtSouh.En eomp. Av? tchouh•—,non Noussommesdu mêmeavis; lesdénominations ' d'extrêmeOccident(del'Asie)', de ' contrées I//V ( 2G2a)extension,|gf nonétendu. A. hôi. Âih Tpéï —, hàcillùc del'Occident ', feraientplutôtpenserà Zoroastre /|Zt Hoêï.En In (2G3) comp. |/p | discurrere.Pereu égardsurtoutauxdatesreculées (Zarathoustra), turhatus.Courirçà etlà. Troublé. lesditescitationsse rapportent. auxquelles ÉTTM. Car.delà5ecl. fig.etson.Voy.Rad.GO, AL-.Tso.A.Icic.C.tsok.F.tchdk.Ane.f. AL~ même groupephonétique. I p (258)Facere,operari(ivêïyè, hîng \ p AtCHoân. Magistratus. Fonctionnaire^fïj* yè). Exordiri(chlyè). Reformare physicèetmoIpcL(263) public.Formeabrégéede [Ef raliter(tsâoyè). Tono", Exoriri(hi'ngyè, k'iyè). Nom Faire ouexécutertoutacte qui produitdes réÀÂf 'Hâh. Cognomen. ' propre.Comp. Faire.Commencer, Réformer sultatsvisibles. phyl*rJ (264)duRad.' homme et gr. phon. et moralement.Auton ", Surgirdu Leâo. Cecar. répété,leào-leào, siquement Â~Jz. signifie: milieudela foule.Nompropre. I Q (265)quiparaîtgrand,étendu,[fig.s.]. — tcliiwéî celui _t, ±133Hfl Ichè, ching, indoHiâng.Encomp.AjfeI young—, Ii£pj ^ dl^J SÊ cIl"exercetoutessesfacultés A^Z. milus.Insou-1/JE| mis, résistant. |ïji (266) et soninfluence pouréclairerlesautreset lesren/A 'Hôh ouk'oh. Congregare, unire.[f.s.] estappeléun ' saint' (chi'ng). dremeilleurs (Lî-ki). I TU(267)Réunir,rassembler (hoh.yè). A^AYâng. A.d'u'o'.C.yeùng.Y.yâng.i.you. {le/ni \-\~ (2G8)Falsum;fuigcre.Dissimulare hommeparaît,et tous lesêtres de la naturele feindre.Dissimuler, Faux; [fig.s.]. yè). avec admiration. » contemplent (Y-King). kxi— tchî, simulâtsenescire. — wên,componere libriim,'versus. —poûh bat ilfeintdenepascomprendre. •/J*' />H tri, I~Y un des des écrits. ^5C—vdn, composer livre, vers, IJ-j —chén, Simulator; [pas. — ssé,agerenegotium. probitatis hypocrites, — pÈ}" thiên,celui quifeintdesvertusqu'iln'a =p — sa', fairedesaffaires,du commerce. 1-S£ Ijfe— yeôu,falsainformatio. [fausse. JU —koûngfoû,operari,laborare.[mains. pj —hua', fairecroirecommevraieunechose I. /\ —congplm, deses I-/travailler,faireoeuvre 1"T* C.F. pdk. .T.pek.[fig.s ]. /g: Pëh. A.bdch. A/-t Kéou. Insipiens.Rudis.[fig.s.] Centum hommes. Cenlurio.Ccntum IfJ (269) Extrêmement borné; grossier. tsiân,wel IPj (259) formésdedix esCent h ommes, sapeem. /-fr N>ng.A.ninh.C. ning. F. leng.J. ni. couades.Chefdecenthommes.RéunionouenfiXy\ (2G0)Eloquiopollens (kèout'sdï yè). ladede centtsiânou sapèques. Habilis Car.comp.durad. 'homme'etdusigne ; idebquisehumililerappellarc volet,dicit: ÉTYM. I inhabilis. Élopoïdining, ego Loquax. ~y Ut pëh, qui signifieICO. tf* | quent.Habilepar la parole.En parlantde soimodestement, ondit: «.Tenesuispasunhomme AfzfHàeï. En /IL Tp'i—,
9e RADICAL, \ 6 TRAITS. 56 AA,M»ng.Bonus(/(ào/è),Bon.(Ts. nomd'unanachorète /"/\ Tsoùen.Ou-tsoûen, w.).%Af dutempsdeYao. l'pj (271)Seprendqqf. dansle sensdeU'pt Ijfc.(281)immortalisé à l'ivrognerie, Très-adonné XJUSi. Parvusmderi (siào mao).Paraître [fig.s.]. /-ft Kia. A.giai.C.Aài.F.Ae.J.Ai.[f.s.]. [lig.s.]. [|2y (282)petit. (Choûe-wên). T'iâo. A.d'ieù.CF. t'iao.l.tou. [fig.s.], I -p (272)Pulchrumiinèi yè). Bonum (hàoyè). />jf, Vïrtuteprxditus(chényè). Beau.Bon.Douéde I/U (283)Solusambulare(toûhhing mdo). vertu.Exemples : Procrastinare. Débile.Quise plaîtà voyagerseul, î I —jîn, mulierformosa. povirêtre plus à souaise.Lu yâo : Remettrede Débile. nAon,unebellefemme. jour en jourà faireunechose.(Siun-tseu). | / V— —yîn,nuntiagrata,jucunda. , laborumimpatiens. , quine supportepas le travail. |jf£ ]EJ—«m,bonnesnouvelles reçuespar lettres. Iî I Kiào.Anhào.Bonum, T /-. — k'îu, pulchraverba. /~r7\ [ses. formosum(hào yè). cii, bellesparoles; phrasesliarmonieu- |^ (284)Robustus (kiënyè).Bon, beau.Ex| hjj — — tchâng,pulchracompositio robuste.(Hoaï-nan-tseu). lilteraria. cellent.Vigoureux, I^fe. 1 I — jîn, homoformosus. Jf? —chu'o',unbeaumorceaude style. •—pïh,pulcherpenicillus. I / v —nho'n,hommeremarquable parsabeauté. I/>vV =pT— Afrf,belleécrituretracéeau pinceau. /yfr T'séu.A..thich.C.t's.F.tc'lioô.J.tsz.[î.s.]. ' ' EXYM. Car. composé du signe homme et du |/^ (285)Quamcelerrimè (pienlïh yè). AuxiIda. (Cli.-w.). liari (tsoûyè).Opportunum. Vicissim. groupephonétique Comparare /-Sr Yïh. Nom d'unemaladie.Se ditd'un (pi yè). Ordinare.Prompt,vif, rapide. Aider. Alternativement. homme Comparer.Mettreen |yP (273) qui, se nourrissantbien, Opportun. ordre.Ala placed'un autreitâï yè). Echanger restedansunétat constantde maigreur. obtenir(kïhyè). /TE Soùh. Manè.Matin; matinal.FormeTSÎ (tîyè). Atteindre, A.dât. //\. du I, yïh. Cyat.¥.yit. J. itsz.[f.s.]. caract. 110.(273")antique (Rad.78).Jy\ IRI (286)Dispositiochoreasagentium(woù ATXEûlh. Ni. A. nh'i. Secundus.Adjutoragere.Ordreobservépar yè). Choreas |J_|. (274) Nomenloci. Nomenproprium.hingliëh desdansesenchoeurs. Hommes qui exécutent Second.Aide;assistant.N. de lieu.N.pr. [f.s.]- ceux exécutentcesdanses. qui F.pèng.i.pi. [f.s.]/jf Pfa»g.A.
38 57 9° RADICAL, \ 6 TRAITS. ' I et de j!}sse affaire', et signifie,parsacomposi- ." eûlh—,secundo. ' ordonnerà unhommed'accomplir tion, =§*" telle I nhi—, secondement. Auton ' : 'kk jj-tldolàï:Laboranlesprwmw donachose,telleaffaire'. /tftt Hîng. X.hinJi.C.yJtt.F. /ie«o-. J.Aei.[f.s.]. re,'dicitur5v ,/jVlâo;Validitésbenè excipere, Ijnj (288)Perfectèefformatum (t'oànghing diciturlàï. parfai- Dansle stylemoderneou vulgaire,le caractère Ic'hingyè).Corpscomplètement développé, tementïormé,et quinepeutpluschanger.(Kh.hi). TJTlàï estemployéà lafin debon ' nombrede lo//jh Sîn. Homoquiambulando propcrat(Jung /\. cutionspourles' renforcer dans lesens de de l'actionindiquéeverscelui l/u (289)yohsidnye). Multitudo(tckoùngl'accomplissement lô mâo).Homme denom- qui enest le sujet; comme; nd-làï, ' prendset qui, étantenrouteavec breuxcavaliers,chercheà lesdevancer.Multitude.viens', c'est-à-dire'apporte'. ETYM.Ce caractèreétait composé, Nompropre. dansl'anÉTYM. Cecar.estcomposé dusigne' homme'et cienneécriture,duradicaldela marcheA etdu ' sidn'',quisignifieaussiavant, groupeactuellàï.Iln'estrestédansl'usage\ quele dugroupe phonétique = ' hommequidevance lesautres'. avecla signification du comdevancer, groupephonétique /a K'àn. X.k'hàn.C.hon.T.k'hdn.3.kan. poséprimitif. etnon I/ÎL(200)Diciturde Homme composito (t'siyè). Classis,se/jiy 1. Ordo;dispositio Fortiterreclus,velrationicon1/? (294)ries(lèiigyè).Cadaver(chiyè).Oraffeclalxurbanitatis. sentaneus(kàngichlh yè). Se dit d'un Hommedre,disposition. Classe,série.Cadavre,[f.s.]. nonaffectée. Hommed'une graveet d'unepolitesse Tch'i. A..zi.C.tch'i.F.tclthi.i.chi,ji.[f.s.] Z^? C'est ainsi droitureinébranlable.(Choùe-wên). 1^(295) Prodigus;prodigere (tc'héyè).Sumest dépeintdansle Lûn-yû. que Confucius et exhiptuosus ( t'dïyè).Magnificentiam sumptus L e Choûe-wèn d érivece caractère du ÉTÏM. bais (tchângtàyè).Prodigue,prodiguer. ' ' Dissiper; d'un autrequisignifiebouche, signe homme', Hommequi déploieune Somptueux. parole',et d'untroisièmequi figureuneeauqui dissipateur. grande magnificence. le couletoujoursdans mêmelit. /FP Wân. Gibbus, Bossu.L'ancien gibbosus. /S Tohïh.A.chat.C.F.tchit.J. chitz.[f.s.]. Siun-tseua dit : « On l|ï (29G)philosophe I3E (291)Firmum;durum;forte (k'iénye). «doitle Rudis.Infirmitasanimi(tch'ïyè).Ferme,solide; «wân).»méprisercommeun bossu(tsidntchîjod [fig.s.]. de dur; fort. Grossier. Maladie;obscurcissement /^.K'oûa. A. kliôa.Taclarese. Magnilol'intelligence. I 7j (297)quus(h'idoyè).Homme — !, quiprogrcdinequit. pleinde luimême aimeà sevanter sanscesse, qui f ne avancer. [fig.s.J. ( Kh.h.). H•£- i—ngat,qui peut /VT^Koûang.Mag- T K— fân, conriIrfo 'Hâi\ En comp.K'I-'hâï : Non.com l/L(298)n«m.Grand.' | ^i/^viurnsplendidum Choseex\yÇ (292)mune.Extraordinarium. /"CiT Li.A.lê.C.lai.F.ïï. 3.ri(pourli.[fig.s.]. traordinaire,peucommune,[f.s.]. I7JJ(299)Lex.Ordo(tèngyè).Disposiliogc-TJT* Lai'.k.laï.C.loi.F.ldi.J.rai.Koù-W. /r&t neralis (kldïyè). In ordemcomponerc. (Ch.-wên) Fenire Redire (Iwân']^ Loi.Ordre. 7|V(293) (tchiyè). Disposition, règlegénérale.Mettreen Arcessere Trili(tchàoyè). yè).Asscqui(kïhyè). ordre. cum.Venir.Revenir.Parvenir,atteindre.Faire —, mosvêtus. Nom -fc Tkoù venir,appelerprèsdesoi. (Tchoûng-foûng). cô | —, pf usagesanciens. d'uneespècedeblé.Nompropre. î~f ï fân—-,rectadispositio. A\~ Twàng•—,ireet ventre. j L I Disposition régulière; celas'entendaussides 132 I i>dng—,faireune visite,larendre. tracéesparlescommentateurs pourlireavec On lit dansle Li-ki : «La vraiepolitesseexige règles fruit leslivresque l'on étudie,enfaisant ressortir icdesvisitesréciproques ne rendre làï); pas et l'agencement desdiverssujetsqui « unevisitequi vousa (wàng étéfaite estune grossiè-l'ordonnance traités. « reté, commene pasvousla rendrequandvous y sont Ttsëh—, tribunalium ptil leges. « l'avezfaiteestaussiunegrossièreté » ; (li chdng I tdc—, lesloisdestribunaux wàuglàï; wàngedlhpoûlàï, fêï li yè; làï eùlh J3JJ — I liiih £h,\ Leges.Lois.Lecaractèreliiihdépoùwàng,ï fêî li yè). 1^-| luàt—,Jsigne,en Chine,lesloisfondamenI j-L—yêou,!?? J yoûan—,causa. tales qui ne changent point, et qui formentle Ijf—lich, | (l|—do, j/]-,I nguo'n—,cause.Codegénéralde IIS—lïh, ; etlecaractèreli désigne l'Empire -4-~ I koùi ab —, t'soùng antiquousque ^W pj nunc. les dispositions ou modificatives explicatives qui VX-H W | Depuisles tempsanciensjus- doivent êtresuiviesdansl'application qu'ànosjours. ïïn. Formeanciennedu /£ caractèreXt£—sûu, abnepotumfiiù. (Khâng-hî). 2C (300)Radical170, 8 tr. QuodVide.|J;g U5£ ip•—ton,lesfilsd'arrière-petits-fils. /+. Chi. A.thi. C. chi.F.si. S. chi,fi. —jîn, quimcumnuntium agitapudamicum. I y (301)Accipcre (ic'hingyè).Adlattisad/ V—nhdn, IT quiremplitlesfoiictionsdemessager. sislere(kinyè).Comitari, Adesse Sequi(ts'odngyè). Recevoird'un supérieur. primo, (p'éï tsëh). ( Ch. I' Setenirauprèsde soumaîtreou précepteur.w.). nhdt—.premièrement. Iï—, (Li-
tiO 9e RADICAL, \ 6 TRAITS. — Tc'hà. En attendant sensu aut Suivre.Êtreprésent, /*i» ki).Accompagner. J Ai& tsi, quicarerevien signederespect. desordreslesmainspendantes YXi(312)comp.| \j$\-voluntate detur tclii T lU—tsô, ad latusseclerc (chïh mào).Anceps.Arrogans.Jactarc proximus. se;jactantia(k'oûayè). Quisembleavoirperdu I 2C —toa, êtreplacéà côtede quelqu'un. Cecaractèreentredansun grandnombrede ter- le sentiment.De plus, seul: Arrogant.Homme mescomposés, surtoutde fonctions,comme:Cld- quisevanteàtout propos.Vantardise, [f.s.]. /_li Ch'ëh. A.thi.Y. t'hek.,T.tchyok.[f.s.]. d'une cour ou ministère ; lîang, vice-président \X\i (313)Timidus;timor;thnere,venerari, Chi-wéi,gardeimpériale. ÉTYH.Caractèrecomposédu signe ' homme' animimotus(t'ïh yè).Timide; crainte;craindre etdugroupephonétique c/ii. unsentiment de respect. [f.s.]. (Ch.w.).Eprouver A^UMi.Blandiri(fouyè).Loelari(ia'iyè).~i\£L//.Siûn. Se prendXA. siûn, Rad. 78. I F" (314)pourlecar. / 13) Cummortuoho1^(301") Flatter. Se'réjouir.Syn. de/^A A&. Tohôu.A.cAau.C.tchii.Y.tchou. ï.chiyu. minisefjigiem,seualiumhominem sepelire.Enter\/fi (302)Eu comp.avecd'autrescaractères. reravecunmortl'effigied'unhomme,ouunautre —joû,corporebrevis,utprgimmis. hommevivant(coutume despremierstempsdela chinoiseconservéelongtemps brevls Hggfftj—nhu, Cotumna après supertrabemmajo- civilisation rent. De taille courte.Petite colonnesur une parmi lestribus barbaresde l'Asie).Se prend Nomd'unancienmu- aussipour: /fjj siûn (9 tr.), infirmilas(tsïltyè. grandepoutre.Ling-tcliou. |^- Infirmité;infirme.Et pour : sicien. [»»oi.[f.s.]. Choûe-vvên). exsecarc. hâo, ampuiare; TJ\\ k.liuôc. C .kmk.F. hok.J. Houëh, Hi. ' /.jC. R. 18. Amputer;couperunmembre. ' IJ1IL (303)Quies(tsingyè). Silenlium (tsïhyè). PU Caractèrecomposédu signe' homme Silence.Tranquillité. (Ghî-K.).et ÉTYM. ' siun'. Tacilurnilas.Repos. du groupe phonétique [f.s.]. /-/- Yéou.k.hu'u.C.yau.¥.yetv.S.iou.[ï. s.]. IU.%.ofmg.k.càng.Chmg.Y .këung.i.kiyôo. Ministrare I pjj(304)Adjuvare (siâng (tsoyè). 1^(315) Offerre(tsinyè). Alere(yàngyè). yè).Eumquicomeditvel bibitad ampliuscome-Prondere (kïliyé). Offrir.Endendumvelbibenduminvitare(kieliilieàlhk'ioûentretenir.P(k'iâyè).Proponere ourvoir.Mettreen ordre. chïliyoiiehyéou).Remunerari (pdoyè).Aider.Ser— yàng,nutriresuperiores. virà table.Servirà manger.Récompenser. jj; —dûng,nourrir,entretenirsessupérieurs. /rf* 'An. Quies.Tempusserenum(yenyè). 13=: Tchëou. Aliquidohstruendo absc'ondere \% (305)Repos.Tempsserein.(Cli.w. f.s.). ^$1îf (316)(yè.ou Abdere. Déroyoàngpi y è). dudt.En composition : liûli- ber quelquechoseà la vue, commeun ulcère. /if. fciûh.A. intermagnos \3p.(306)k'oûe'i:Maximus; pri- (Ch.w.).Éloigner,cacher.(Chî-Kîng). [fig.s.]. mus(ta mào).Quiparaîtgrandentretous. C..'. F. é, i. J.i. [fig.s.]. _ /^I.A.j. /-4%Meôu.À.maû.G mau.Y.boéJbou.[f.s.]. |yx (317)Inniti(iyè),physicèet moraliter. in aliquo(p'dngfoâ yè). Conformais se |ip (307)Pariordine(tlsilèngyè).Mqualis Confidere Hommes delamême (kiùyè). Comparalio (k'iùnyé).In unumconvenire. au ( sur, yû yè). S'appuyer classeoudumêmerang.(Ch.w.).Égal.Seréunir propreet au figuré.(Ch.w.). Mettresaconfiance ensemble dansle mêmelieu. en quelqu'un.Se conformer à. Deplus : Comparaisonouallégorie,dansles compositions littérai7 -[;t|Tpousiâng—,noninterseconveniunt. "TMHI bàttùong—, ilsneseconviennent pas. res. (Liki, liiohlu). — Â~flEûlh,ji. Aspectuinnumerabile juxtà reclamrationemagere. (tchoùng Î*S-— tâo, d'ao,seconformerà la droiteraison. Ijfll(308)tômào).Quia l'aspectd'unefoule IÏ-&Ï /ME1 Joûng. Nomdonnépar lesanciensCbiinnombrable. IZ/C(318)noisà despeupladesdel'Asiecen/v^.LÙEI.Meditari(szêyè).Ordo;resordï- traleet occidentale.Selonla tradition,le corps fffl (309).natx (siàyè). Méditer.(Ch. w.). desindividus qui formaientces peupladesoutrichoses m ises enordre écritsur destaOrdre; par busavaittroiscornessurle front(jt'n cliinyebu e t divisions. blettes, rangéespar (Khàng-hl). sdnkioh).Il enestsouventquestion dansleChànà laquelleon hàï-kînget danslesancienslivreschinois. Ht I houên—, nomd'unemontagne JQ I donnelaformedu ciel, etdontil estbeau- ÉTYM.Caractèrecomposé du signe' homme' Unedeschaî- et du groupephonétique ' joûng',qui coupparlédansle Ghàn-haï-Kîng. lui-même nes desmontsHîmâlayas. '. signifieune ' armede guerre',une ' hallebarde Joû. TranzfffcLoûï.Secundus; alteriimmedialus(yayè). JEquale, o equaUler (Hûnyè). Âjttt |/fC(310)Second;qui-vienten second,[f.s.]. \flp (319)quillare.Égal;égaliser.Apaiser. T'oûng. A.dông.G.t'ung.F. tôiig.i.toô. Tranquilliser. KhoungYing-ta,célèbrecommenfl3*g(311)Magnum(ta mào).Jtudis,Ignarus tateurdesKîng,et descendant de Confucius, qui (ivo«tehi yè). Homoperditus,inulilis,qui suis vivaitsouslesThàng(7G0deJ.-C), a dit : «Celui partibusnon satisfacit(ivc'ïtc'chiugki clùjùi : « qui désirepacifierles régionslointainesdoit litt. : homo(sicul)utensilenondumperfectum).« préalablement rendre soumiseset tranquilles Grand.(Ch.w.). Ignare;imbécile. « cellesquil'avoisinent (yoh'anrouanfdng,teing ' ' ETYM. » Comp.du signe homme et dugroupe icsiànchùn-joûkhikm). ÉTYM. phonétique t'oûng. Comp.de ' homme' et du gr. pli.joû 59
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9e RADICAL, -f 7 TRAITS. 62 Tohù. Formeerronée et fautiveduca/Irf Tân. Magnum. /fàt Amplum(td yè). \y ractèreprécédent,n° 236. (Tseu-'wéï). \J^_ (329)Grand.Ample,[fig.s.]. Formeobsolèteducaract.tsién, Z-jt±Tsien.sousle Ire; progredi(Jungyè). [fig.s.]. /^Sôu. Rad. 140,14tr. llT P^cé ensautant. \/ (330)Aller;marchercomme I agendi iiivendiquerat'wne /ÛJi Tso. Quies,pax; quiesecre Atâj I. Aspectu, (Jânyè). \IJQ(320)kumilis.Modeste,simpledansson li (331)Repos;tranquillité;reposer,[f.s.]. attitude,sesmoeurset samanièredevivre.(Hoaï /3- T'sïn. k.tham.C.ts'am.V.tchhimJ.chin cité dans Nàn-tseu, Khang-hi). ' IX.(332) Paulatimprogredi (tsièntsinye) ETYM. Comp.de ' hommeet du gr. plion.\. AuJerre ; aliénausurpare.Brevis.Pygmxus.Avancerpeuà peu.Enleverdespartiesd'untout.Usur7 TRAITS. està autrui.Petit; pygmée. percequi — damnuminferre. Wôu.A/Wi.C.mè.F haï, Zffe Jjoû.i.fit,ùu.[ù%. s.]. Çf —liai, fairedutort à quelqu'un. |!u£ (321)Contemnere (inànyè). JDespicere,IH^ — t'siân,paulatimprogredi IlLuderc (t'sinyè).Vdipenderc (h'îngfè).Aliquem Ij^j lilij—tien, avancerpas à pas. irridere(hi-loûngyè). Insulter.Vilipender. Mépriser. Blesserpardesrailleriesmordantes.Syn.du238. T. Tta —, annusi)aldèsterilis. V | d'ai —, annéetrès-stérile. /Et, Chln Spiritus(clu'iiyè). Nomengeniï / /tj Liù.A./u'.C. là.F. lé.J.rio{Ho),[f.s.] (chin M ulier No\/i (322) ming). grarida. Itfj (333)Collega;Socius(pdnyè).Comitari. menproprium.Esprit.(Ch. w.). Nomd'unesprit Associari. Collègue;compagnon. Accompagner Nompropre. Selonle S'associer. (Kh.lu). Femmegrosse. ' l'espritqui [gustum. Dict.I-weii-pi-lan, c'est résidedans le corps' (chinVsûnhodclan yè).Quelques-uns, /if 3. Kiuh. En I /t3—tsouh,parviun,ancomp.| |/ç—petit, étroit,court. ajoute-t-il,disentquec'estl'étatd'unefemmegrosse. l/FJJ(334) stare(lïhyè).[Ch.«'.]. ETYM. 'Homme' etgroupephonétique : corps. AtT Chou.Erection Se tenir droitcommeun arbre IV. (335) Lâo. /fcf» Magnus(tayè). [fig.s.]. wideri(tchdngmâo). A'tffT'ing. Longum |^p (323)Grand; large,ample. l3fci(336)Quidamdicunt: Terroeadhiererc Hëou. A.l/au.C./tau.F./to'u.iT./cou. [f. /^is.]. (ichù alii: Locoalterius(tàïyè). Item: RecI/C (324)Secundus gradusdignitatumex his tum; ti); Colère,revereri(liingyè). Item: Planum; scillcet : olim dabat, quos imperator Quiparaîtlong;lesunsdisent: Etre atoequale. H /fS- AH 31 H 1° koûng; 2° Mou; tachéà la terre; les autres: Aulien de. (ChoïïePlain.Égal. h o\% olH „T 3 „ 3°pëh;% tse!l,rt 5° wên).De plus: Droit.Révérer. du signe' homme'et du gr nàn.Regulus. Pulclirum Composé (iniïyè).Litteraauxilia- ÉTYM. ' ris : Sed;Solummodb. Pannusquadratuscontinensphonétiqueting'. uomomadecemtclrîh,seu' cubitos' Sinensium, /tTT T'îëh. En A~%* per latera. î ^cn^iH—i In scopumsagittarumexposilus.DiemdedieexIflL (337)comp. IpEJI lus, vilis; idem Seconddegrédescinqdignités siâojin. Qui a toutesles apparencesd'un pectare.Cognomen. conféréesautrefoispar les souverainschinois.quod misérable. à selon traducteurs [C'est tort, nous,queplusieurs / £14'Chin.Encomp.Lin-chin,caputprorsus cesdignitésauxtitres euromodernesassimilent |-<=p(337")inclinatiim.Tétepenchéeenavant. de Baron et Chepéens Comte,Marquis,Vicomte, unire(hôyè) Item: A& T'oûh. Congregare, valier;ces dignitésn'étaientpas héréditairesen vellibrosconscriptos, le\/U (338)Tabulas, Chine].Roi. Prince.Beau.Particuleauxiliaire: vltertractare aucommencement d'unephrase. (hièni yè). Item: Levé;despicere Mais,Seulement, réunir. Comment ? Placéeà la fin, elleestquelquefois Deceptor (tiàoyè).Rassembler, pu- (k'ïngyè). rement, ou exprimantl'étonnement hî). Déplus: Négliger,laisserde côté les ou (Kh. phonétique, l'admiration.Pièce d'étoffecarréede dix pieds Tablettes(ouleslivresdesanciens)sur lesquelles chinoissur chaquecôté.Exposé,commepointde sontécritesles règlesde conduite.Ex.: « Leurs et leursexemples sont négligés,t'dli, et mire,aux coupsdesflèches.Attendrede jour en a« actions » (Hoaï-nân-tseù) ons'abandonne à sespassions. desesdésirs.Nompr. jourl'accomplissement traiterlégèrement. (Kh.h.).Tromper. A3£ Xîùn. Pauperrimus.Syn. de fc^fe*Léger; Termelocalsignifiant: Violentus Yoy.auRad.116. J^ l/B (325)Misérable. Pervicax(Jiènyè). #Poûh. (339) (Ji'iàngyè). /Q Tchïng. Servire,Servir. Odiohaberc Violent. Obstiné,haineux, (toiiiyè). Voirsonsynonyme phon.,Rad.00. pervers,[fig.s.]. I3È (32G) Kiàï au n° 169. identique Synonyme /—f! /{J} Nân. Mas.Maie.Formevulg.gj |)|% (327)Voyezl'explication. \tf (339")ducar. suiv.(R.102): fj Tchin.A.chân. C .tchan. F . tcliin. s /E [f. ]. comme Bonum Adolescentes I/J)C(328) (chényè). /ffiR ^° ou' ^â" t'ai'act'îreemployé qui ' danslesli|f/p (340) syllabephonétique sunt.Pastorequorum. Bon. nondumoiencria passi [paret. Adolescents quin'ont pasencoreéprouvélesplai- vresbouddhiques. sirsdessens.Dansle norddela Chine,onappelle lif. Hiào. 1 T hido-liido, qui magnumap* tchin«ceuxquiélèventdeschevaux». \W~(341) j I qui esten apparence grand.
9° RADICAL, j 7 TRAITS. 64 Pien. tien. A. C. F. J. bin. 11est selonle Ghoûe-wêu, du p'in. pieu. combinés). composé, /|R 13C(342)Convenions (chùn signe' homme' etdu signe/«', ' relier,joindre', {iyè). Obsequens aussi son in aliqudrediutiusse lequelindique le ; c'estun groupeidéoAssuescere; yè).Projicuum. exercere(sïh yè). Quiesccre {'dnyè).MingercSla- phonétique. tim(tsihyè).Extemplo (tchèhyè).Opportun,conZt3 Tsoûh.A.thùc.O.ts'uk.V'.tcheuk.J.dszak. venable. Docile.Profitable. S'habituer, (Siun-tseu). l-"t (kiityè). In anguslias s'exercerà. (Li-ki).Reposer.Uriner.(1erHan). redigere[(346)Comprimere (ntïhyè). pchyè). Compescere Aussitôt;immédiatement. (Tcliouang-tseu). comprimere ne grandescat(toànyè).Item:Aliquid MAI t'soùng—,sualibitasequi;ad libitum. (tsouiyè). Brève.Angustum.Spissum.CUrgere ompri"K[| toùng—,suivresesfantaisies,sescoiivenances. mer.Réduirequelqu'unà la pauvreté,auxplus -t- Tfâng—,proeparare; dures benefacere. privations. (Choùe-wèn). Épais.Proche,prochain.Réduireau silence.Comprimer un objet Jj j pliu'o'—, préparerà ; fairedu bien. de T. I ta —, alveumexonerare. pourl'empêcher grandir. l'auteurdu sesbesoins Gha-moûh, Dictionn.I-vvan-pi-lan, /V I d'ai—, satisfaire faitremarquersurce caractère,auquel différents X I siao—, mingerc donnent sespetitsbesoins. lexicographes beaucoupde synonymes, J I tiéu —, satisfaire « ceux enlisantles que qui, livres,trouventaux nonexpeditproculdubio. ~~XTpoiïh—, Kmotsoucaractères tant de synonymes, n'ontpas ^f | bat—, celaneconvientcertespas. « une grandepénétration(t'seuloiih chout'hodng, est. conveniens, opporlums tchi » svéïyè). Cetteobservation Ij^p—tàng, U —d'ang,celaest convenable, opportun. «poul'/iod/ig esttrès-jusle,et le R. Morrison fait remarquerà Tfjf —k'6, tune,hocmodoliect. ce proposque,par suite de la grandequantité I J —lihà,alorscelapeutêtre. d'homophones quiexistentdansla languechinoise, — tchi, tandemadvenit.' lesclassesde la population, quin'ont pas étudié ""T— chi,il arriveenfin. I2£ cellelangueà fond,emploient souventlesunspour conveniens uûlilas. ; lesautresdesmois oucaractèresqui n'ontentre pien-ï, : euxdecommunquela.prononciation. I^r* H. quiconvient,quiestutile.— Chûn-pien Bonnombre oblatauli.—Auton 'hid ping: d'écrivains chinoisdetoutesles époquessonttomopporlunitate bésdanslemême reudla i pïen-pïenyàn,accuratèloqui.(Khoungabus,cequitrès-souvent decesécrivains desecondordrefortdifficile. IT I pt' tseu,lorsqu'ilsetrouvaità la courd'un lecture ÉTYM. Le caractère ci-dessusest composé du le dela prince) parlait sansaffectation ' ' tsoiih vérité'. (Lûn-yû,1. 10, § 1). —langage ', Cecaractèresigne' homme et' dugroupephonétique signifieaussi pied',- desortequelecar.veut peutaussisouventse traduire,dansle stylevul- qui ' direau : figuré hommequi fouleauxpieds'. gaire,par même,bien, et indiqueune sortede concession conditionnelle. Voir Abel-Rémusat, /fit Gô,ngô.A.nga.C.ngo.Y.gôJ.nga.[{.s.]. ( Gramm.chin.,§ 382). subito{tsoiihyè). Inmo~ I^/C(347)Derepentè; ÉTYM.Selonle' Choûe-wèu, ce caractèreest mentotemporis(sidy à yè). Inclinatum ; nonrec' du signe homme etdu signeTE kéng, tum(k'ingnuio).Soudain;tout à coup; subitecomposé rendremeilleur;%_ leur ment; dansun petit espace de temps.Incliné. quisignifie:'amender', combinaison signifierait que « l'homme quines'est Marcherla tètepenchée.(Ch.w.) pasencoreaméliorédoitlefaire.» /-Il Màng. En T /ife —kiàng, injuncunZff\ Toùï. Vebilis(johyè). [fig.s ]. I/(2 (348)comp.| I$£ dus.Désagréable, déIjÇ (343)Faible,débile. plaisant.Luaussimâng, mêmesens. /IW Yù. A. ngu.Aspectuetformamagnum. /_£ T£.'ieôu.AL.cdu.C.k'au.¥ .kéouj./dou.[{.s.] I/C (344)Gfauddeformeetd'aspect. (Chî-K.). pfi (349)Homogravis.Diciturde hominein /^? Hî. A.hé.C.haï.F. Iicï.J. ki. suisgestibusgravitatem etdécorum servante (kodng (k'i yè). chùnmâo).Nomenpr. Hommegrave.Se ditd'un \/f\ (345) Unumalleri conneclere y'mcire.Detinerc.Pertinere.Dependerc. Attacherhommequi, dans sou attitude,sesgesteset son unechoseà uneautre.Lier.Retenirdansdesliens. habillement, observe touteslesbienséances. (Ch.w.). à. Dépendre de. —CecaracNompropre. (M.ts.).Appartenir ' ' tèrejoueaussile rôle de verbesubstantifêtre Com/[/K Siû. Vrbanus;affabilis(hoûanyè). dansle stylevulgaireetlesromans. I/Jv (350)positus.Poli; affable.(Ch.w.).De aliossecumiuruinampertrahere. manières —loin, — L'auteurduDict.I-wandistinguées. IgJ sfc —luy, entraînerles autresdanssa propre dit quececaractèrese rapprochepar lesens TJ1L—chi,quodad xvumpertinet. [ruine. pi-lan desonhomonyme A/\. sid (R.C0),maisqu'ilen I [IL—thé, qui appartientà l'âgeactuel. diffèreun peu ]~?r\ce]>enàaTi.t(eiilhsiào piëh). ffl-I chi—, genealogia. Avecleradicaldelamarche: Asidsignifie:marsuccessives.cherà pas lents; lentogradu \ incedere;taudis ]}LI thé—, généalogie; générations —•choûh,simulconneeti ; consanguinei. qu'avecleradicaljijin, 'homme', il désignela — IH/1| thu'ôc,qui ontdesrelationsde parenté. manièregénérale| d'être,desecomporter d'une — liùan,ardenteramare personne. 1$|$ iliî — luyên,aimerardemment. ÉTYM.Caractèrecomposédu Rad. ' homme' ÉTYM.Cecaractèreest dela2e classe(caract et dugroupephonétique siiu 63
do
9e RADICAL, \ 1 TRAITS. 66 Remotum abire kiù (lùâ /ST'oùng. Yoùng.A.dông.CF.young.J.yoo. ffa* K.ouâng. yè). allerdansun payséloigné, |jt (351)S'en |fHJ(363)Dolorgravis(t'oùngye). Douleur ' distant.Au ton : Lu yoùng : Imagodemorgrave.(Choûe-wên). olimcumcadaveresepeliebant. koûang-koûang, répété,il signifie: turbatus, lui ligneaquam onenImageenboisd'unmortqu'anciennement 1TI afflictus;affligé,troublé. ' et du K.1,§4,6). ETYM. dusigne' homme (Meng-tseu, Composé groupe terraitavecsoncadavre. Cettecoutumeanciennefut vivement combattue phonétique kouaug. par Confucius,qui craignaitqu'ellene conduisit À~îtSoiàh. Caputmovcrc. [fig.s.]. à enterreraussidesêtresvivants. \ft\ (352)Branlerlatête.Voy.len" 714. le peuple Hoûen. Perficere;concluderc /)£» K'hôh.Nom d ansle à un (tvànfi). donné, Sse-ki, ,ylrf-. I7G(364)Pauperlas,anguslix(kïhyè).Achechinois: Ti-k'hdh. 1X3(353)ancienempereur terminerou finirune chose. (Ch.w.). Lu /3~"Woù. Obvlam ire.Contradïcere. [tig.s.]. ver, (Kh.hi). de qqn.Contredire.hing : Pauvreté,angoisses. \tl (354)Allerau-devant Rectus(tchthyè).Fortis(k'dnyè). C.tsun.F.tclum.i.chiun. . ylT??King.Droit. ÂfxLTsiûn.A.tuan. Fort, robuste. millehominibus IrC (365) [f. s.]. I^C (355)Dotibus prtecedens similitude. I|5J K'ién. A. Iiién.Comparalio; (ts'âï koûotsiânji'nyè). Sapïentidetscieniidal'âs similitude. (366)Comparaison; (Ch.w.). Quisurpasselesautreshommesparses Il enI/L prmcellere. estqui lui fontsignifier: Entendreet voir talentsnaturelset ses connaissances acquises.iï yoiieli ' 'à : wën k'uin. «.Il est Id.). Celuiquis'estplacéau-dessusd'eux la comparable (Choûe-wên). 'jeune soeur' du ciel.» (Chî-K.)' par sesétudesetsesmériteslittéraires. ETYM. Caractère composé signe homme'et TJ\ —szé,I quisummum littevarum 'du gradumas- du groupephonétique voir'. kièn, — (Ch.w.). est. Ju Celui dans les I si', )sequutus qui, réunitdesplanchettes d'écritures. concourslittéraires,aobtenule gradedetsiiin-szé, SICI. Cequi Lu IJ/I (367) tchïh, graverdescaractères. ou docteur,le plus élevédansles lettres.—Le I—Iï Tëh. En comp.Tdn-tëh,ineptus,inDict.de Khàug-hiciteplusieurs autoritésquidon' à ce caractère, I'CJAJ(368)sulsus.Inepte,imbécile,[f. s.]. ceux des nent,pour ' synonymes Nompropre.Il n'a radicaux40, 102,162et 187, associésau même /i L Yeou. Cognomen. de signification. liX (369)pas tsiûnjk. groupephonétique /H- Pî. En composition : Pi-khi,marcherâ |-t- (370)pasallongés,[fig.s.]. ÉïYM.Comp.dusigne'homnie'etdugr.piton. Jtt Tchïb, Yïh.A.dp.C.F.yip.3. ^i|i San. En comp.tdn-sdn,ineptus,slos.]. ip.[i\%. lyïC (370")lidus.Inepte,stupide. ICJ (356)Strenuus;fortis; robustus(juin tclioûang mâo).Gravisincessus Loûng.Ineptus,stolidus.Ignorant, [kdngjin hingmdd). /]^P iueprésolu;fort,robuste.Marche etréfléVaillant, \ff (371)te, stupide.(Tseu-'weï).[fig.s.]. grave chied'unlaboureur sacharrue. de dirigeant (Tch.ts.). Le dict. Khang-hifaitremarquerquece carac.CF. hou.ï.fou. Au.f.Srfc tère neserencontrepas dansleslivres. /Jj- Foù. A.phu Inî (357)Auxiliari ; adjuvare(fduyé).j|lf|j posse,nonconvenire l~i\ Pèi. NonCelanese (pouhkld Sustinere.Aider; assister.Soutenir.ETYM.Cg.s. IT4 (372)/è). peut,n'estpascon/|^J ï^iàng.Aptusopife.v.Staturdprocer. [f.s.]. venable.Voirsaformeantique,11°424.(Kh.hi). \ÏK (358)Ai'tisanhabile. (Tchouâng-tseù). }{//iSoûh.A. tue.C. tsouk.F. seuk. J. chôk. Dehautestature. (sïhyè).Assuelus. Non l'p (373)Consueîudo F.tchoé.J.io.[figur.]. conveniens fit! Tsoù.A.lro.C.tcho. yà).Pratiquehabituelle.Habitué (poiili /Api (359)Vasquoddam utun- àpratiquertelleoutellerègledeconduite.Vulgaire. quoinsacrificiis tur, etinquovictimum -ULTclii —, oetatismores. (tslhiangtc/iik'i). ponunt foùng—,mores. Vasedontonse sertdanslessacrifices. moeurs. (IL| Lesmoeursdusiècle. ET I phong—, A/XiSiâo.A./ieu.G.tsià.F.siào.i.sio.[fig.s.]. f pK(360)Assimilare [siangyè).S'imite;simià unmodèle 'Ida ssosïh yoiielisouh.L'actionque îes lemfacere(sséyè). Rendresemblable cequi, dansl'origine,n'étaitpas achevéou par- foùng; surlesautrespar hommesplacésenhautexercent fa'ït.(Lie-tseu). Faireressemblant. Imiter.(I-wan-leur conduite, estdite' influencebienfaisante ou ' Le pi-lan). dict.de Khang-hidonneenoutreà ce malfaisante(foùng,litt. vent); l'actionqueles l esens de caractère •venustum (liàomdo, hommesplacésdans des conditionsinférieures pulchrum, mèïîiào).Beau,belle, surtouten parlant exercent surlesautres,parunepratiqueconstante, yoùng d'unefemme. Danscecas,lecaractères'écritvulestdite ' habitude'.(Khàng-hî;I-wen-pi-lan). ' avecleRadical la de femme', (38). gairement soûh-jiu,vulgarishomo. IM Pi. Voir,pourl'explication, le mênie^i£| IIyV—nlion,hommevulgaire,commun. —yôh, commune desiderium. |*p (361)caract.ci-après(405),à 8 tr. |^fLî. A. lo'i. Selonledict. deKhàng-hî,1/f>L •p \ —Désirvulgaire. — yù,proverbium fl;||'JJ (362)cecaractèrene s'emploie pasdans (litt. vulgarislocutio). leslivres.Iln'estd'usageque dansdes dialectes1i:"Tf pîpj —ngu, proverbe,dictonvulgaire. avecIJy commeLîng-Ii, /•jSfI sëng—, Sonzii,scureligiosiTOÛ Foh. locaux,en composition liabilis,expertus;habile,ex- | P pert,perspicace. 11=1I tang—, prêtresou religieuxdeFoh 3
9e RADICAL. 7 TRAITS. 68 67 ' chi- Proestolari. . Grand.(Ch.wèn).Attendre.(Kh.hi). Onappelleaussisoûh, vulgaires ', lescaractères noisincorrectement tracés,maistolérésparl'usage. szè-szè,Diciturdemultistardé incedentibus. Ce caractèreest composédu signe 1T| si-si.Seditd'unefoulequirentretard,prinÉTYM. ' etdu ' homme souh. . groupephonétique d'untroupeaudebêtes. cipalement /jft Foû.A..phu.C.foû.F.hou.J,fou. [f. s.]. ^TJT? B.i&h.A.Jûè'p.C.hâp.'F.héep.i.ltiou.[f.s.]. in beilocapiivare. |-^*(374)Captivus; Prteda; et 1/^ (383)Auxiliari(pingyè). Aucloritate manubioe, spolia(kiûnssà houëhyè).Captif.Faire viribuspollens?quialiisopilulatur(i k'iouànlïli desprisonniers. Butin.Prisesfaitessur l'ennemi. hiëhfoujinyè). Secourir.Celuiquiemploie l'aude guerre. Dépouilles toritédontil estrevêtuet lesmoyens dontil dis/-£. Hï. A. hï.C. hi. F. hi.J. ho. [Cg.s.]. poseà secourirceuxquisontdansle besoin.(SseIIP (375)Exteriusapprobareet interiusre- kou).Nompropre. unumestcor, {miensidngchi, eûlhsût sidngfêï yè). £f Tjin-hiëh,amici fidèlesquorum probareanimi senlentiam Contra loqui(soiwg yè).Decipere. |I I nliân—-,iioluntasima. Amisintimes. extérieurement et désapprouver dans I hâo—, potenset beneficus. Approuver son l'or intérieur.(Tseu-'weï).Parlercontresa p=Ç ^^_ | hâo—, richeet bienfaisant. Dissimuler ; tromper. pensée. Sîn.A.tin.C.sun.F.sin.An.f. A-| ±Jj Z-i- î î—, obscurarei similitudo. (Kh.hi). Sincerus(tc'hingyè). Fi- !|—IpiI fi pt obscure d'unechose delis,de (384) |$\ | y —, ressemblance nonestdubilandi locus(k'iohchïhpoiih quo nonclarum(poiihmingje). i je). Fuies.Credere unànocte À$&î 'ai —, ; con/îdere. Plusquam 1b. alicubihospilari.Epistola.Notitia. liK. I al—,nonclairoutransparent;nuageux. Sincère,fidèle, danslequelon peutavoirune confianceabsolue. ytm Li.A.//. C.li. F. lé. J. ri. [Cg.s.]. ilido je). Qui nullumFoien qqn. ouen qqc.Croire; se confierà. Etre HË (370) Adjuvarc ssbliàolai yè). V'dis; l'hôte(reçu)de quelqu'unpendantplusd'unenuit. habetutci succurrat'(woù malimores[pi souhje). Aider; secourir.(Choûe-Lettre(confiéeà quelqu'unpour la remettre, moeurs.commec'estl'usageen Chine).Nouvelle. wên).Privé de tout secours.Mauvaises id. Deplus,onappelleli leschantsdes campagnards, B]JTkiën-sin,firmafides. |X| T kou—,id. du vulgaire. ainsiquele langage fermecroyance. |H| | co,—, + I kiêm—, C.minjbu.F. hou.J. wo. [rf Tï—, facilisfides. g^ I chou—,epistola. /•g} Mien.A.mien. S | thô—, lettre. |/[i(377) Caputinclinure.Cuirus. Fleclere.^/J I di—, crédule. novelhe, Tlit—tchîn,nuntius Inclinerla tète. Penché; pencher.Syno--jg4j sin-sïh, — thu'c,nouvelles.| fE.—tlidn,envoyé. >C£ nyme dun° 386, fou, et de (Radical19)?\Hi IlêJ mandatum /tfj Pïng. Auxiliari(hiSyè).Mit1ère(ssèyè). T Ui^tsin-p'ài,tabellaconlinens impeutidiploma desecuX^f(378)Aider,secourir.(Kh.hi).Envoyer. I n\ ratonsquxmagnatibus >Q Pào. A.bu'u.C. pb.F. pô. 1.bô.[f.s.]. ritateitineristraditur.Lettrespatentesoudesaufchinoisà leurs ITK(379)Firmare('««yè).Custodire(chebuconduitdonnéespar lessouverains Sousles (t'sioùentclùyè).Parva envoyéschargésdemissionsimportantes. fidejussor yè).Conservare, à la cour, moenium circumdata diciturpào (siàot'ching Tchéou,quandlesprincesserendaient civitas ' ils portaientà la mainle sin-koùeï, le sceptrede (jinje). AÎere,nutrire yuëhpào).Gestareofficium cau- la fidélité'. Sîn-jin,negoliaconcredere. K'iën-sin, Protéger.Conserver;fidéjusseur, (yàngyè). nonstare. tion.Petiteplacefortifiée. (Li-ki).Occuperuncm- mitterenuntia.Chïh-shi,promissis unemagistrature populaire. (TcheoU-li). ploipublic, Nourrir,entretenir.(Ch.w.) Nompropre. T. I t'âï-pào,magnustutor,defensor. [dignité.mmmouhkàn poiihyoùngthsing.Queles supéAncientitrede rieursse complaisent dansla pratiquedela sincé'^\, | tho'i—,1eGrandProtecteur. -l~ Ttchù—,protector,advocatus. rité,et le peuplen'oserapointuepas avoirpour dévoués.(Lûn-yù). ^£ | chùa—,protecteur,défenseur.Avocat. eux dessentiments ÉTYM. Le servare,custodire. Choue-wên, qui définitce caractère pâo^cheôu, droitureparfaite'(tc'hingyè), le par' sincérité, 1>V y —thu, garder,conserver. ' ' du signe homme et du signe' parole',' —tchâng,homoquicentum domibus pnvest.. dérive ' lechefoumaired'unvillagede100 formantainsi un composéà sens combinés 1t=? JX^—chu'o', Châh-moûh — hou,defendere remarqueà ce sujetque ; protegere. [feux. (2eclasse). « lesparoles deshommes sont (ou doiventêtre) 1i^£ ; protéger. ' ' }3Jg — hdu,défendre ' sincères les parolesquine sontpas' sincères T À-f-~—yéou, adjuvare,auxiliari;(et d1'de n'étantpas;desparoles » d'hommes. I I-TU •—hû,aider, assister. [Spiritibus). A A^ pào t'sioûeucbîu ming,Consei8 TKAITS. savie. 1~^K i /% PP mrei>itam.Conserver Yû. du. TOÛ A. Forma A. /^s. vulgaris A.tu.C.sait.F seou.J. chou.£l& 011 (380)R.11.Formevulg.ducar. |UK #Siëou. (385)Voyezsonsynon.auRad.130 l'fj Â& Pàng. Falsum,mendax(tchd'o yè). Oruare;componere (chïhyè). Moderari;guber\t>\ (381)Faux,menteur.(Kh.hi), [fig.s.]. narett'si li yè). Renovare ; restaurare.Longunt Szè.A.si. C.tsz . F, ssu. J. chi.[Cg.s.]. (tch'àngfè). Nomenproprium.Orner; arranger, couf-ri/C (382)DJagnum (tdiyè).. disposerconvenablement. (Ch.\v.).Modérer, (tdyè).F.xspectare
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9e RADICAL, 4 8 TRAITS. 70 duire; diriger;gouverner;cultiversa personne. jfj£î hoâng—, crepusculorum solis tempuspost Renouveler;restaurerà son état primitif.Long. ^ | occasum. Tempsdu crépuscule aprèsle couNompropre cherdusoleil.Hoënsignifie aussiseul: Trois (Chî-K.). d'heureaprèsle coucherdusoleil.Luhoén :quarts Perte siëou-chîn, ovnarc,componere seipsun\. desvieillards (labwdngyè).(Kh.hi). Itét y$ — tlw.ii,orner,cultiversapersonne,laren- delamémoire détchîn, colèrei>erum. [dremeilleure. A-U.Lan. En T A~\M—t'dï,faiblesse, laperfection. M'fv(393)comp. I I:j>crépitudedesvieux Ife— I^-—truc, chercherà parvenir.^ Tr? —hân, epislolam componere.[enveloppe.chevaux.(Kh.hi). I [ilil—/iàm,coinposeretpIaceruuelettrcdansson/db Piào. A. bièu. En compos.Piâo-sàn: I^C (394)Dividere;disparliri.Diviser.Disâ4 T t'sièn-sicou, anliqui'sapientes. [temps. |iJ!jj tien—, les sagesde l'antiquité,desancienstribuer;partager,[fig.s.]. — fën,distribuere, kièn—, connubia interaliquosdïsponere. dividere. de mariages. IyV tî I lùên—,(ancient.)négociateur J] —plidn,distribuerpar parties;diviser. lîr î soiïh—,proeceptoris stipendiunt. A\fi Mâo. Pulchrum(hàomdo).Beau,/t+£ /f» I tliùc—, salaireduprécepteurouinstituteur. I pt| (295)Le même que le caractère%p\ "7"C^ ^ cfe sieôuchinei'dhhéouIdat'si, Voy.l'explicationsousle Rad.38. 1}|t /3 lïïl /P yf%. M rectè-compone personamet 70 1, yïh. A.d'i.C.F. i.J. i. [fig.s.]. deindèfam'diarectè-ordinabitw. Cherchez à corriI^j (39G)Despicere (k'ingyè). Vilipendere; votrepersonne,et ensuitevotre contemnere ger, à améliorer (mdn yè).Mépriser ; vilipender;traiter familleserabienordonnée.(Tà-'hioh).Pris pour légèrement. (Choue-vvên). [chiuk. sonSyn.phon.(R.130),il signifie:carocumzinA.tliuc.C.chu/;.F. thek,seule, i. /KjChoûh. gibereetcinnamomo condita;ad solemexsiccare. Bonum ExorI/|?((397) (chényè).Exordium, G.foû.F.hou.J.fou.[fig.s.]. diri (c/àyè). Crassum, /tf* Fou. A..plul. pingue(héouyè). Facerc 1/rT(38G)Flectere;inclinare(fou yè). Inoe-(tsohyè).Movere;excitare(ioungyè). Bon.(Ch. commencer. quale Curvum(It'ioiïhyè). Pencher; s'incliner; \yèn). Commencement; (Choù-K.). baisserlatête.Incliné,courbe.Syn.dun" 377. Épais.Faire.Exciter. ' ETYM.Car.composé de 'homme et dugroupe de infer'iore inemorarï. foù-nién, —nient,sesouvenir d'un inférieur. [^jV£j? phonétiquechoiih. f èï. Destruere, subvertere AWfit -fc •—tchùnchîking, « daignezac(pdïyè).Dor* f£. "îjfe (\H: fflu (398) sum(péi yè). Détruire.Ruiner. /KJ7J corderce qui peut se faire.J> (Phraseordinairement employéeau basd'unere- Dos;au fig. Tournerledos au bien, à lavertu. quêteadresséeà unmagistratsupérieur). [dia. (Sse-ki).[fig.s.]. Concor- /fâfe.Foûng.A.bvng.C.foûng.F. hdng.J.hoô. Unire;concordare. A3f\Hô, Annuere. Se réunirà. S'accorder. ITT(399)Stipendiant (lotihyè).Merces.Redi\/f\*(387)'Consentir. tttsà Regcproefectisassignati. Salaire.Emoluments Kiû.A.cu.C./ttï. ~P.keJ.ngou. [ fig. s .]/j£ auxfonctionnaires parlesouverain publics I^N(388)Simul,omnes (Iddîyè).Conjunclim.assignés punitionpar retenuede traitement. Suppetere(/dû yè). Ensemble;tous. Conjointe-Fdli-Foùng, ;, stipendiant ment. Pourvoir,fournir.(Tchouang-tseu). N.p. I ~rjv.{oùnç;-\oûh.,proefectoriim traitements desmanda'P
72 9e RADICAL, \ .8 TRAITS. 71 urgentibus negotiisperturbatus. tor(chïliyè). Faireeu sorteque.Offrirunecause î AAtsâng-tsoûh, de gain;donner.Suivresesdésirs.Domestiques.I "y — thot,troublépardesaffairesurgentes. seupriefectus ad vV , diciturde hommeexco. nominibus ||H| (422)Particulanumeralis jgf] sans se dit d'un homme , qui, voir, addila.Particulenumérale 1Tj auxnoms.(Voir ajoutée marchesansguide.(Li-ki). le n° 27). Deplus : Inclinatum; propensio{p'iën — koùeï,animahominisà tigridedevorati.yè). Qui a dupenchantpour.(Ts. w.). [f.s.]. d'unhommedévoré Ziî?Koùan.A.quan.C.kûn.F.kivan.J. kon. ItU/§, — qui, âmemalfaisante inilinereaber- I pf (423)Quicurruumimperatoris paruntigre.Lutséng: mèng-lscng, curamgerare, viarnamittere.Errer,setromperdechemin.rit {kouân jin tchukiâtclié). ' Celuiqui estlechef des attelagesimpériaux. {hi'ng yè). Jtky,Tchl. Ire; progredi ÉTYM.Selonle Choûe-wèn,c'étaitancienne|/i|J (408)Marcher,s'avancer.(Tseu-'weï). mentun petit ministre{siàotc'hinyè). CecaracZy]çTâh. Eu M î hién—,/iegligerenagot. tère est s. fig. sesaffaires. IH (409)comp.£>^ | négliger Z-^Pèï.A.bdi.G.pùi.V.poéy.3.bai. [f.s.].,/T^ Z^n Yin. Formevulgairedu caractèreIS;T I pt (424)Eu écritureantique(n° 372) If} 130,5. /f=)LiRebellare l@L(410)V.,pourl'explicat.,R. {pi yè). Abjectus,animiabjectio Z£CPing.k.tinh.Formeclassique ducar. Z-fr soiihyè).{fan Res bi/us. SeréDitplicare, geminare. : Et.Avec.Voirlen°275. I/T volter.(Choûe-wèn). 177(411)Conj. Abject,vulgaire.Abjection. Destruere(lioèïyè).Malefacere(Lùn-yù). Chosesdoublesoupaires.Doubler. ZjQKièou. |fj (412)a/icui.Détruire,ruinerparméchan-l.rt T kiâ-pèï,.addere,multiplicare, rv.gr. /3iHiâo. Acerbam oegritudinempatii [ceté. J}\\| gia—, faireuneaddition, multiplier, p. ex.: unegrandedouleur. I pî (413)Éprouver [î. s.]. . î sàn —, ter magis. tcli'uj.i.saï.[f.s.]. —*j tam—,troisfoisplus.(Chi-K.). Z^î Tsouï.A.toj'.F.tchât, |~r (414)Adjuvare;aux'Uiari {foûyè).Aider; Où—,quinquemagis,vel assister;secourir.Lutsùh, unecenturie;centh. 5T | ngu —, cinqfois plusouquintuplex. quintuple. currusà regiosecundi. tsouï-tchè, pêh—,centuplex. — .ïfi xa,charsquisuiventceluidusouverain. §T j bach—, centuple; centfoisautant. I-rjy WA î yeou—î( litteratus,quinoiulum proefectu-ZfeLî pi —, *vdiset irrationalis. [raison. 3£££j du —, ( ramadeptusest. PlyXI '' —>clu' a l'âmebasseet opposéeà la centum etiam homines. h. solitus,-vulgaris,/vilis. Legitur tsùh,centuria, (K. ). Encompos.Ki-liâng: H^pèï-soûh, tue, hommeordinaire,vulgaire,abject. 'pt — zfjlj Liàng. A.lu'o'ng. — habilitas{le'1iâo IR3(415)CaUid'Uas, wèu,avenuslibromemoriter reeitare. yè).Astutus.Ruse,adresse,habileté.Astucieux, _>V—van,réciter(untexte,uneleçon)sans flig.s.]. 1-+f /[fit Ts'iû.A.tu. C.F. tclû.J. cliii.[lig.s.]. voir, en tournantle dos au livre {péipeu 'anh Juxtà.Exstimutare |I(X.(41G)Proximus. ; soi- yè).(KMug-hî). Proche.Prochain.Ai- I 153—' °' sl'"''tl'suomen. licitare;urgere{t'souhyè). guillonner.Stimuler. | I*J— d, nom d'un espritqui habitedansla AkLKiëh.Rapere;vi au/erre.Syn.de-I-TÎ partieorientaled'unemaison.(ïchouang-tseu). \yj (417)Voler; enleverdeforce.Voy.~FJ) /flHtT'ièn. Abundantia, copia.Syu.detlilft V.lecar.(R.130),/]^ Àtfr?Yoùen.A.uyên.Loetari;gaudere{hôan 1-5^(425)Abondance. Canis'velol/E (418)loh). Èxcitare{k'ioùan /»/£fGhoûh.A. tluic.Derepcntè. yè). Serél!/v (426)citercurrens.Spudain.Chienqui jouir. Exhorter,[lig.s.]. [fig.s.]. Z-^-tLâî.A.id.Lemêmequelecar.R.GOAyh courtrapidement, ÂijC Choûh. Formevulgairedu caractère |/jC(419)Pranepoj.Petit-lils.Voy.ee car.i/jC lyC (427)précédent., ^S^-Tsâng.A.thu'o'.Cts'oiig.lîJch'ongJ.soô. /S anc.S Li.A./e'.F./ë)'. [f.s.],Forme-vulg. ^^ (420)Reponere;recondere{t'sângyè). Horreum.Déposer;mettreeu réserve.Grenier \}/\.(428)Irasci{nàuyè). S'irriter. $v d'abondance. deconstruction carrée. /BHMên.A.mon.C.mûri.F.bàn.J. bon,hon. Magasin —lin, I £|3 — fàng,Horreum. || | (429)Verbùmquodminepronominibus Ijjg? £j^i —Icim,| JJJ —plivng,Grenierpublic. additum facit pluralia(kiltt'iénl'sêkiâ).Motqui
74 9e RADICAL, j 8 TRAITS. 73 ' ' courent m utuellement maintenantest une articulation ajoutée,aux (pêngts'oûngsiàngfouyè). confrères. Nompropre. ' pourindiquerle Collègues, pronoms,dansla conversation, Caractère du signe homme'et ÉTYSI. composé pluriel.(Kh.hi). Exemple: du gr.phon. pêng,lequel, prisisolément,signifie 'o-me'n,nânouyen-mên. -fp I /fTjyI NosNous.Ni-mên,Vos.Vous. lui-même:' amis,compagnons, collègues'. 4Al\ o I T! I ;S{i î yâ-mêii,onnommeainsilarésidenced'un /CJÊl /^Hliéh.Contemnere.Derclinquere.là.<\. Abandonner.V.505. Dédaigner. |^ J||T I grandmandarin,et les gensde sasuite. I/TC(43G) Lumoén: pinguissimus. sistere(Iwiihtelà Très-gras. //!> Tch'âng. Derepenlè /XATaô. A.d'ao.C.là F. ta.J. foo.[fig.s.]. IrU(*31)mdo).LegiluretiamT'àng in coDetur- dentsensu.ParticulaSi; quodsi. S'arrêtertoutà . Iil] (430)Prosternere, cadere(foùyè). bare.Se.prosterner. conditionnelle Si, Sup(Ch.w.).Tomber.Renverser.coup.(Kh.hi). Particule î -L3fe. in lectumsese poséque,etc.V. la formeprim.dececar.n°798 tào-t'oûï,relrocedere. . /grHéou.A./wH.C./ia«.F./(Oë.J.c/»j"5. ]}5—tlwi,rétrograder.| Jjjj dejicere. [f.s.]. IXB , \ lyC(438)Exspeclare (szewdngyè).Inquirere prosternere.TjÉttâo-ehîn, /ffS Tk'iiig-tâo, — |J^ I kuink—,seprosterner| y$ thdn,} (fàngyè). Vivredansl'espérance.S'enquérirde. Tlaô—, mald'è senex. î 1 héou-jîn.) Prxfectusad hospitesin itinere v/iÊp I yv—nho'n,}excipiendos missus.(Kh.hî). iJ\\ | laô —, vieillardtrès-âgé. — cheôu,) Proefectus ad territorium subvertere, physicèet guberfejïTtiën-tào, (inverlere, détruire. 1)-^* J^S| d'iend'do,\ moraliter,Renverser, "y*—thu, )nandum provectus. è observare. s.]. JC.I tc'hïh-héou, spécula Â-tfoT'ân. A.d'àm.C.F.tdm.J. tan.[fig. épierquelqu'un. lyC(431)Quietu$('anyè).Tranquillevilain /p j xich—,êtreauxaguetspour liora. agerc(tienyè). Adhuc.E contra.Qui est en re- fl£ î cbî —, tcmpus, pos.(Cli.w.). Menerunevietranquille(pouhiyè; tjy | thi—, temps,heuredujour. nondubitare).Deplus,Encore(dansle stylevulg). Aj Tk'hi —, quindecim dierumperiodus. attenté,diligenter. jfiljI khi—,périodede quinzejours. IMït'ân-jân, ï)>»—nhiën,attentivement, diligemment. 11^î chin-môchîhéou,qudhorâ?quotem— tsing,à negotiisnonperturbaius.[res. Êtàfc HUI pore?Quelleheureest-il? IZ, I=fe£J_ JÏJ*"—tinli,quin'estpastroublépar lesaffai- LegituretiamHeôu : secundusgradusdignitatis exlus quosolimimperatordabat.Fide antè,nu324. I ïi.TMfc /C M P"C Pi tB ' foh koueyè. Qui Merum non dubitatpoiestsufficeread Jideliter-regere yi. A./. C./. F.e. J. i. [fig.s.]. ' ' ytjçl. in regnum.«Celuiquia dissipétoussesdoutespeut |fy (439)lnniti(iyè, széyè). Conjidere être capablede gouvernerfidèlementun État. » aliquo.Inclinare.S'appuyersur (moralement et (Siun-tseu). [fig.s.]. physiquement). Se reposersurl'amitiéde quelÀ13K'iueh.A.khuàt.C.kwat.F.kwut.l.kyo. qu'un.Inclinéd'uncôté.Nompropre. l/p4(432)Perversus,damnuminferens(kèng ji. -L ~y~~y I tclwùnglïh eàlhpoûh-i.Setenir tous T^ M. TTTJ 'y I droitdansle milieusanspencher limâo).Pervers;hommedisposéà commettre lesméfaits. d'aucuncoté. I 3H '—k'iâng,pertinax,obstinât us. /iS T piên-yi,nonrectum;doetnnamalesana. obstiné,opiniâtre. l-ml | thlen—,nondroit; doctrinemauvaise. I jpif — ciCo'ng, /=£ Toh'oûï.A.MHj.C.F.JH)', thûy.J.szi.[f.s.'] Legituretiamkï, id omnead cujusintegritatem (tclwùng |t[t(433) Grave;ponderosum. yè). aliquiddeest. /-H-K'ilî.Facièslata,irregularis. Ch.w.-tJ^Zj Iterare;repetere.Pesant;lourd.Répéter,renouveler.Voy.l'anc.forme,n°635.Lu choùeï,nom |;P; (440)Visagelarge,difforme, [f.s.] ^U' d'unhabileartisandu tempsdel'empereurHoang- ,/f|HT'ïh. A.thicli.Encomp.fïh t'àng; non ti (I-wen-pi-Ian). I/RJ(441)frenatus(poiihkïyè), id est: animi aliossuperans.(V. n° 798).Lettré d'une [f.s.] dotibus ardeur,qu'ilsurpassetous lesautrespar ses #fi.lng.A.liânh.C.liang.'FJiëng.Z.kaô (434)Cecaract.ne s'emploiequ'en comp. telle talents. et felix casus. /rtlh I k'iâo-hing,inopinatus Ttrî Kân.Solisexorientls sicutlux. \~ffX, | kieu—, chanceheureuseet inopinée. nondeberet cotise- if-/V (442)Quiressemble à l'aubedujour. — I$&hmg-lëh,conscquiquodquis |y d'uc,obtenircequin'estpasmérité,[qui. /A-Liàng. A. lu'o'ng.Remotum (rouanyè). T &j —mien,evitarequodqttisnondeberetevitare.|./J-> Fidelis,iierax (443)Distans.Longinquus. — é viterce devrait ê tre subi. mien, Distant. I /Q qui (sohyè). Eloigné. Fidèle,sincère,véridique. (Li-ki).Legituretiamking : Fortis',crudelis Â-f?Tm'ng—, [superioribusadulariadaliquid meritum \y\ | nghieù—,\proeter assequendum.(kidngyè).Fort, cruel.(Choiïe-wèn). auxiliari A.fAa. Pêng. Adjufare; (foh yè). C.lsé.T.tcliek.J.cliiya. [f.s.]. /ftffj /fitTsiéIH (444)Falsum,simulatio I/J/J(435)Committere (wèïyè). Alicuijtdere (kiàyè),Mutuum (t'oli yè). Collegsen>elconsortes(p'éng l'oùng dare seu accipere(ttiïyè). Adjuvare(tsoûyè). Laudare(tc'hôuïtsiàngyè).Particula lâuï).Nomenpropr.Aider,assister.(Ch. w.). Se Commodare. confieren quelqu'un.Amisqui s'aidentet sese- proponendi causant(chïh't'seù) Sic , ut: Hocposito,
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9" RADICAL, ^ 8 TRAITS. 76 imitari.I OnécritA-\- et -{A Faux;chosefeinte.Prêterouempositoquod... |)(\.—hiéu,imiter. \ ansi : | JJ/àng.jiK prunter.Aiderquelqu'unde ses moyens.Faire 1/fAfàng-hiâo, ; déposeren safaveur.Parti/-A-Tohi.A. tri. C.tc/ii.Y.tê.S.tchi.[fig.s.]. l'élogedequelqu'un culedéterminant un Casposésur lequels'appuie | jo. (449)Jliciiioccurrere. (yû yè). Obvium le vestede l'argument, comme: Supposé que,etc. habere(foiingyè).Collocare(tâng yè); reconlibrum. dere(t'soûyè).Reipretium(wëhIda).Item: Manu tsié-choû,commodare 0 —tho', prêterunlivre.LesChinoisdisent apprehendere(tc'hiyè). Rencontrerquelqu'un. fïét: «prêter unlivre,c'est commeDisposer de quelqu'un;le placerdansunlieusûr proverbialement » (placefortequinefut jamais (Ch.w.). Prixd'unechose.Prendreavecla main. prêterKing-tcliéou T ^Etpoiihtchi tëh, nonest operxpretium. rendue).Unpoëtefrançaisa ditaussi: cen'estpasleprixdelachose. a Souventilestgâté,maisplussouvent » perdu. î /pi—tlioiing,Rudis A>M%.'oùng.X./ihong. î -J^tsié-lâï,mutaamaccipere. |JL(450) En coropos.| | \rjignarus.Ignare. — I ,^V lai,emprunterde l'argentà intérêt. distentas. fessas,lapsus;negotiis — k'iû, mutuum dure. accabléd'affaires. Hrgt—tsoùng, ;Cji—long, fatigué, l as; 1-12* — khu,prêter. ,/jffi?K'ioùen A. quyen.[fig.s.]. Lesensde cesdeuxexpressions estdécomposées l"tL Piger, lassus;clefaùgatus (p'iyè). terminépar lesdeuxderniersmembres,dont le Molestia(451) (Malyè).Lassitudo(Icioyè). Superbus. loi, au causatif, premier, signifie'venir', et, Peine;lassitude.Paresseux,indolent;las; fati' fairevenirà soi'; et le deuxième,k'iû,signifiegué.Orgueilleux. (Hoaï-nân-tseù). abire,' sortir' : sortirdesacaisse. T "y^î hoéïjîn poùh—, in docendoho"-flf î fr tsié-mîng, alteriusnome/iusurpare. pEp / V/j* | minesnonfatigatus.(Liinyû). I "pt—dunh,usurperlenomd'unautre. A^ Tsoùng. Hommede naturespirituelle — ï, translatitius sensus l/P (452)de la hauteantiquité;(chànghuit —Y, sensmétaphorique; j(iï> 1=Ê^ métaphore. chinjin).Khàng-hî.[fig.s.]. ~Y Tpouh—,calceistraminei. [chezlesChin.). igKiû. K.cu.C.hii.Y.ltè. J.ldyo.[fig.s.]. ~\ I bât—.chaussure enpailletressée(trèsenusage J7Ï5(453)En comp.kiû-gâo : Superbus, arrogant(poiihsûnyè).Confidens. AHzHôeï. En /IL I pî—.deformis.TemQuin'estni humble ni I (£.(445)comp.IJTjI me ou fille laide. soumis.(Ch.w.). Orgueilleux;arrogant. Aiu-ya,nomd'unquadrupède. (Hoaï-nan-tseu)/ [fig.s.]. Effronté. A^. T'sién. A.thién.Cs/re.F.tch'è'en. J. sen. /ffEfTch'âng.\.xu'o'.G.¥.tch'eangJ.chiyào. commendabile IPJ (454)Litleratorum appe.tIjEÎ(446)Masica(yohyè). Meretrix,canta- latimm (ssétchimèitc'hlng).Pulcher;venustum, tri.r,.Musique. (Ch.w.). Femmede mauvaisevie, Bonum(mèï hao Loco alterius. je). Épitliètelauchanteuse. dativeappliquée à un lettrépoursesproductions, meretricismaritus. tch'âng-yeou, [engén. commesi l'on disait: bien,très-bien;beau,trèsComédiensbeau.Beau.Belle |;§£.— u'u,marid'unecomédienne. !/fS conformation dela bouchedans — le sourire.(Chi-K.).Tdï—, aulieud'unautre. î -£M hô, alternavicecantare,recitare. —' chanterouréciteralternativement. ÂB I,m.A.nghé.C.ngai.F.géy.3.ngei.[Ls.]. I alioLegituretiamTch'âng : Proeire. Conducere; (455)Utilitatemaddere;of/erre(pei jf rum'dux.Proeirealiosdoctrinâet exemplo.Au yè). I/U Reiparvoeseudebilisappellalivum (jofisiào ton . précéder;conduire.Précéderles autres tchi tc'hîng).Parvuli.Distinguere (fênyè). Terhommes sesdoctrines e tses Se l imes par exemples. prend minus, (tsiyi); extremitas (hïhtsi).PrinciaussipourMB tch'âng.Voirau Rad. 30, 8 tr. pium(touânyè). Nomenproprium.Quiest utile, despetiteschoquis'ajoute.(Ch.w.).Appellatif ma- ses,animéesou inanimées.Enfants.Distinguer. /fsfc Tsiëh. En I Âj£—yû, Muliebris I/C (447)comp.| | Jgistraturasubdynas- Terme,limite.Principe; commencement. Nom tià Han.Magistrature defemmessousla dynastiepropre.Lui : pèi-i,(V.n° 405)nonredis oculis des Han(Hànfoû koudnming).Lemêmegroupe (torvè)adspicere. Regarderdetravers. Mlta-A. ludn.C.F. lùn.J. rin. [f.s.]. tsiëh,jointau radicalde la ' femme' phonétique (38), a le mêmesens.Le caractèreci-dessusse iRrJ(45G)Ordonaturalis(tc'hângyè).SpeTsiëh prendaussipour groupephonétiquecies(loiùyè, péîye). Juslilia(iyè). Ratio(liyé). avecleradical' main',(même G4),et il signifiealors: Similitudo (piyè). Seligere(tsïhyè). OrdrenaCeleriter;festinare{tsïhyè). Gaudium,lucrumtureldeschoses.Espèces.(Ch.w.).Justice,raison commodum (Ilyè).Opportunum; Choisir.Nompropre. (piényè).Promp-naturelle.Ressemblance. tement.Se hâter.Joie.Profit.Favorable ; avan- "T?T°ù—,proecipuarum -virtutum ordo.Y.n°05 tageux. l'ordredes cinqgrandesrelations 77 I —, ngu ' ' ÉTYM. Cecaractère estcomp.dusigne homme sociales.1° Interregemetsubditos ; 2° interpaet du groupephonétique tsiëh. tremet filios;3°intermaritumet uxorem;4°inter F. 3. /lt£cFàng. A.phdng. hong. hôo.[î.s.]. fratres majoresetminores ; 5° intersociosetarniImitari(hicio I/JX.(448) yè); exemplar.Inniti cas.Hi respectus vo-\^ T 2? I ta —, où —, Imiter cantur: (iyè). ; modèlequel'onseproposede suiMagniordi-j\. \ JT | ta —, Im'u—, vre.S'appuyersur. (Tseu-'wéï) nés;quinqueordines
78 9e RADICAL, ^ 8-9 TRAITS. .tok.3.tok.[S.s.]Humiprocumbere (foû yè). Bormire(ngdyè). /^:Toh6h.X.lrdc.C.tch'éuk.¥ Prosterner.Se coucher |-Ep(457) Manifestare, prudere(tchûyè). Su- Renverser.Jeteren bas.d'un Manifester au grand jour. parterre.Dormir.Nom pays. pereminens(ta yè). — sïh,cessare;procumbere. [terre. (Ch.w.). Vaste.Éminent. — travail waldèclarum;clarissimum ; se reposerpar >CJ tue, fessertout (kdoming).IjlJ — invalidas brilleau haut /SSNoûan. Louàn. Debilis; nliiia, J^J, q ui plus degré. (joli It/fc—jàn, w. Impotent. m"lB—joûlsoùï;tuumcrimenos-l7t(472)/è).Débile;faible.Ch. HH î ^/"ff'"I~C' ton crime. Zd^ Tchoûng.En ÂiA I loùng—, quinon J~i I */\ P^P tende.-faisconnaître 'flo h~mg—tchû; lex naturalisdillp. (473)composit. Ijjg | inveniend.umqiideM^f /(-Tî 3? latat et manifestaise. La loi ou lur. Quiparaîtne pouvoirêtrerencontréJ^S. $Q- \i I •Q de | ]|l raisonnaturellese propaged'elle-même etsema- outrouvé.Synonyme parphonétisme nifesteau grandjour. Tchoh^iyûn hdn; «vaste /sfeToh'ùn. À.xudn.G.Y.tch'ûn.J.chiyun. .et étenducommelavoielactée» (Chî-King). I Çf (474)Dives(foûyè).Locuples (héouyè). /yj-r- Koûang. Remotum. Éloigne,[fig.s.]. Riche.(Ch.w.).Opulent.(Kh.hi.I-wen-pi-lau). dun° 351.q. v I1l (458)Synonyme /rfr Kia. A.gid.C.kâ.F. kay.S.ka.[fig.s.]. l=fc Wêï.Wô.A.uj.C.tvo.F.(voèy.J.r.[f.s.]. |I$C(475)Wonverum(fêïtchïnyè).Et, Quia 13? (459) Obsequens (chûnmdo). Docile. (l'sië'iyè). Commodaium accipere (tçieyè).Grande : conformeà la vérité. (Ch.w.). En composition (làyè). Quin'estpas vrai, — tch'î. JElonginquoredux,seuad re- (Ch. w.). Fictif. Et; à causede. Recevoirun ~l'*r.mdtapergens(hoêïyoùan tchimdo).Lu prêt. Grand.Pe-kia,nomd'unpays. I^H^ le royaumeduJapon.On I "tlttlcîa"j°û'q"odsi... Verbigratià... wô,ce caractèredésigne lit dansl'histoiredesHan(Hdn : « Aumi— nhu, quesi...Par exemple... « lieude la merde Lo-langil ychou) ales populations I $|J —jân, per " quel'onnommeWô(Wôjin), lesquelles sedi- Jjjj— nhiên,pexemplum. ar formed'exemple. « visenten plus de centÉtats.En outre,lesha- IMi — mutuum tçie, accipere,dare. « bitantsdes États avoisinants, situésen terre ta, recevoiren prêt ouenfaire un. « ferme, sonttousde la mêmerace desWôou HjJ-£J — —tâo, commentitia'verba; falsa doclrina. « Japonais.» (Sectiongéographique del'Histoire ; faussedoct IVÉZ ^S- —d'âo,parolesmensongères despremiersHan,par Pan-kou). dît kïa-cheoUyù 'b, hocmihiimposuit. /EH I<6.Formevulgairede (Rad.145)iffl 1^J 4-A. Af>iX *^elama Étéimposé. (TTC (450)Nomd'unver; d'unroyaume.|^Ç relinî kâo—ling,j ministerii aliquandiu Cecaractère n'est iji employéque fj I A» /ff/t Soûng. licentiam à P cdo—lành, \ superioquendi d ialectes o ùil locaux, 1^ (461)danscertains ribuspelere.Demander un congéà seschefs. signifieineptus; lentus, piger (làn). Inepte,paI S{£ 7^-tchïnkianânfên: Veritatem àfal: Conviciis aliresseux;de plus : kiodng-soûng \ ^F /J sitatedifficileest distinguere. queminsectari(mdyè); accabler quelqu'underail- M*^ lerieset d'injures. Jïï, Kïeh. A.ké.C.k'it.Y.këet.i.kich.[f.s.]. 1^1 (476)Fortis,strenuus(wouyè). Fort, Â4çit'ng- Dansle d^Prietergredi (hiiïhyè). bornes. vaillant,vigoureux. \âC (462)Ch.wên: ^. Dépasserles Conari. [de. /Ef Hoèn. EnT /CrHhoèn-tùn,impervius ,fortiter,'vehementer. S'efforcer , fortement, vigoureusement. 1^0(463)comp.| |Hi (poûh k'dï toùng IT | utuntur le Chaos.L'unedes4calain. î /-• kiè'h-keôu, ) Z/ffTchliig.Laudibus élevé.Nompropre. F. vulg.de Tpf lents.Grand; I^Ç(459)Eleverpardeséloges. Yù. A.vu. C.ngau.F.e.J. ngoô.[f. s.]. Précéder. Tsién.Proeire /gj (tçinyè). /-^j corpuscurvare{k'ïoh IP3 (4*^)In ambulando I0U(/i7°)ÉTÏM.' homme',-hgr. ph. signifiant: avant,quiprécède. koûngmào).Avoirle corpsinclinéenmarchant. incessus. yù-yù,Hominis Y.yeen.J. yen,[f.s.]. /[g Yen.A.yen.Cm. d'unhomme. ||&(471) Dejkére,Deturbare.Prosternere.IT | Démarche 77
9e RADICAL, A 9 TRAITS. 80 /fil Ping. Formevulgaireabrégéede lH T Jtjt woh-tsouh, refrenare,cohibeie. refréner;réprimer;contenir. |$f (479)Voir,pourl'expiic, à 11tr. |^f | |,A£-—tluic, VF» Ngoh.Multum(toyè). Errare. /•ffi:J6. A.nac. Cognomen. Nompropre.En \7? (493)Beaucoup, IÇl (480)comp.J6-tà, magnum. Grand.[f.s.]. [fig.s.]. Errer. / j£ K'iâï. A.giui.G.kdi.F.kai.J. kai.[f.s.]. /0 T'1.k.dè..F. <ey.J. *eï.ff,s.].Syn.im. IJÉJ(494)Omnes I7Ê f*81)Difficileegredi;ingressudif-'JJ^. (kiltyè). Unà; simul;conA'cile (ndntshiyouëhi'i). Difficileobtentu.D'une junctim.Fortis (kiângyè). Tous. Ensemble;de marcheoud'unmouvement difficile.(Siuu-tseu).compagnie;conjointement. Fort. (Ch. w.).Celui qui réunitmille hommes,dit Siu, est D'uneacquisition difficile. fort, /£p Hoën. Nomenproprium.[fig.s.]. puissant.K'iâï-k'iftï,fortis. Fort, fortement. /4Z T'chè. A.gid.Cecar.estuneabré-J.2fc: |lpL(482)Nompropred'homme.(Ch.w.). lp| (495)viationerronéeetfaut,ducar. j-Q /|jf Wêï.A.o'i.C.wai.F. oêy.J. wai.[f.s.]. |J^ (483)Approximare, Z?]PSèng.Quodrectum, plurimifaccre(nïlt longumvidetur(tchïli kinyè). Amare;diligere('aije). Fairegrandcas Ipi (496)miio; tchàngmâo).Quiparaîtdroit, de. Aimer,affectionner. (Lie-tseu. Chàn-haï-king). long.[fig.s.]. /db Chou. Erigere,constituera sordidus.Radis,[fig.s.]. (lïhyè). /îptMeôu. Avants; |ÏJ (484)Ériger,établir.(Khànghi). Iï\ (497)Avare;sordide.Grossier. aliIfel Siûn. A.tudn.Injirmus(tsîhyë).Omni- Zffc Ti. A. d'é.Aliquiderigere,manibus V.n°314. \J~ (485)bus.destituais.Celeriter. ITIJ(498)quidferre(hiyè).Item: Injirmus, /*ti K'iôh. Fessus,lassus.Las,fatigué,[f.s.]. debilis,fractus-viribtis(k'ouanlïh yè). Élever :Maliassuetus.Malace. quelquechose.Porteravecles mains.De plus : llJr (480)kiâo-k'ioh /H P'iên.A.thién.C.p'in.Y.ph'ëen.J. ien. Infirme, débile,quiaperdusesforces.(Kh.hî).[f.s.] l^fH(^87)Caputhiclinatum F.v. deZL(p'byè). Inclina- /lj.LTs6.A..tô.G.tso$.tclw.J.tsz. tion,nonrectum(t'sëhyè). Quinontenetmédium |f-}\(499)Facere;attentoanimoaliquid\ p Pravum,-vile(siëyè). Dex- perficere(lieôusïn isciotsieôu).Faire; achever, (poûhtc/wiingyè). trumvelsinistrum latus(tclioàng tchîUàngp'dng). parfaireunechoseavecsoin.Kiâo-tsô, appellari. Dimidium(panyè). Clampertincre(ckoûhyè). T T isô-]X\\, {perficere hominis partes; probum homincs. et njiginîicurnis. I / V—nlw'n,f nirumJieri. Quutquaginta Quinque Devenirhomme. Nomen Qui"alatèteoule corpsincliné. — kouân,[moefecii proprium. ministerium implere. Quin'estpasdroit. (Choû-K..)Quine tientpas I'g* — quart, (Remplirlesfonctions de préfet. le justemilieu.Homme vil,dépravé.Lesdeux'cotés p Soù K.iàu.Nomenappellativumseniorum. oupartiesd'untout.(Ts.tek.).Moitié.Quiappar- /££? donnéauxvieillards. 12^ (500)Nomgénérique à quelqu'unpar quelquesmotientsecrètement /3C.Toh'âh. A. d'ap. En comp.Toh'âhtifs,ce qui le rend ' partial' en sa faveur.Cin103(501)tiëh (v. n»337): Homomalus,richarsde lis.Homme (Tcheou-H). Vingt-cinq quantehommes. méchant.Vil.[fig.s.]. guerre.Nompropre,[fig.s.]. T-£~p'iëiw, 'vestisbicolôr. /f» t'ing.A.dinli.C.t'ing.¥.th'éng.3.tei.[f.s.]. vêtementdedeuxcouleursdifférentes. I J" (502)Sistere.Quiescere (tingyè).Cessare | -jK.—, —k'ién,proejudicium. S'arrêterau milieud'unemarche,d'une [conçue.(sïhyè). action(hingtchoimgtchïhyè). Sefixerdansun /{j—kiên, jugement précipité, 1EJ — t'sing,animimotus. opinionpré- endroitpoury demeurer(tingyûssbtsàïyè).Cesdel'âme. sertout travail,toutepoursuitede l'esprit. I pj — tinli,mouvements passionnés Ir^fc — k'ia,Regulorum currus. statutum, t'ïng-tâng,negotium fiixutn. 03 —d'ang,affaireconclue,fixée,terminée. chinois. I£!& Iyïttt ifât — gia>charsdessouverains — concludere. diciturde eo, qui coramaliis t'iâo, negotium jiç*î Mièn-p'iën, nil eisdat. (Bas.) IMf (Jfï— d'ieû, conclureuneaffaire. Iflj | manducando — ad gradussuperioA. khâm.Répété; kièn-kièn: T;fî — cliïng,)promotiones /jjj K'ièn.Won | /] thang,) res differre(quodestpoenaprte\lv\ (488) contentus (ipoùh'dnyè). Qui fectorum). despromotions. Suspendre n'a pasl'esprittranquille,satisfait,[f.s.]. —koïing,ab operibuscessare;detinere. Âj£ Yen. A.ngan.C.f.gân.3.ngan.[fig.s.]. I~T* —công,cessertouttravailmanuel. IJ^ (489)Resfalsa,adulterina. (wèïwëliyè). _L /JliPéï.A. Nomen l oci. boi.Abjicere; derelinquere (k'iyè)., /jïf Foûng. de [fig.s.]. I0 (503)Rejeter;abandonner. Retourner. IA (490)Nom lieu,de pays.. ^13 Koùa.En A^fyI tïh—, quiambulare /^J T'àng. A.thang.Rectum (tchuhyè).f. s. IfftJ(504)comp. |Pf I videtur.Qui paraît |35 (491)Long.T'àng-t'àng,longum (tchângmarcher, [fig.s.]. mâo).Quiparaîtlong,étendu.LeP. Basiledit de cecaractère : «Communiter : è lassitudine dormire, /f-W;Yëh. A.,yép. Despicere (k'ïngyè).Fordicitur: t'àng. »Cesensn'estpas donnédansle Beau(se1^ (505)mosus(mè'iyè). Méprise)-. dictionnaire deKhàng-hî.— Cecar.seprendaussi lon quelques-uns), [fig.s.]. auR. 140,12tr. pourun homonyme appartenant /(£}Hoâng. En Â-\- I fàng—,perturbatus. ÀÏ3-Wôh. A.ace.Nomen lEE(506)comp. \ fij I troublé,agitécomme genii.[fig.s.]. nomd'unimmortel. par uneattaque,[fig.s.]. I£Ê (*92)Woh-tsioùan, 79
9e RADICAL, \ 0 TRAITS. 82 Ex.Ssêhdïpâng ou prototypequelqu'unouquelquechose.(Li-kî). consilio. ÂiË:I pâng-hoâng,sine : TotumSinense in cons- S'appuyer, se reposersur qqn.(Hoaï-nân-tseu). I~/J I houàng imperium ternatione erat ' sineconsilio'. Toutl'empiresitué -J- Tf _^ 4ji;yàn—sin tcluhâa; Verbasuntsientrelesquatremers étaitdans eutcordis Ff (l'Empire c hinois) I IA"O^r flores.«Les\>arolessont ' sansconseil'. laconsternation Kcomme lesfleursdu coeur » (oude l'intelligence). /HEfYào. Eu | llis*yào-niào,levï 'veste ÉTVM. Fig.etson.-+-Groupephonétique. Ijf (507)comp. | \%Lcontectus.Couvert /pf P3».A./«/'c.C ^lEt pik.F.pckJ.biok.îyn. d'unvêtement | |EEEJ ffi3^ léger.Yàotchdopienk'ioûen.Cette (523)Urgere;vexare;comprimerc. phrasesignifie:Desgroupesdejeunesgarçonset Presser;tourmenter;opprimer dejeunesfilles,légèrement vêtus, en promenade pïh-mà,equoca/cariaaddere. [soncheval — printanière.(Khâng-hî). danslesflancsde Iffi iu>J nui,enfoncerseséperons Tohàn. A. khàm.Rectdlinedordina/"fcf* 3tt ~Y"V /(PU?T i^ T T^T k'iûn-tseù poiïh tsien tum Mis enordre |]nj (508) (l'sitclùngmdo). ^ f 4 1 f ÏA> | Y chàng,pokpïhidere, suppetere; pourvoir.R.60. \ |>j" celuidela femme: Impur.] Tsoùng. En /i^ I k'ûng-tsoung,neI&j //d- Yeôu.Adsisteve ; ad lalussedere(chiyè). IjCî(525)comp. |jL I gotiisdistentus.Ac(D'unem- cabléd'affaires. IPJ(512) Assister;accompagner. /Zt Mien. Antè; coram(hidngyè).Conjuncploidouteux). Khâng-hî. ken. [i. s.]. |[fl| (526)tint(kïaiyè).Item: Contra,adi'cryl^'K'ièn.kMén.C.kin.VMén.J. IAË(513)Fortis,robusttis (kidngyehu lïhyè). sus[péïyè).Devant;en présence.[Quelques-uns Indefessus k'iôuan).Durum,durabileseu luidonnentaussile sensde]Ensemble.Deplus . res quoediu(poûh durâtnecfacile rumpituret consumi-Opposé.Contraire. Hominum tur. Legitur etiamK/ièn : Difficile(ncinyè). multitudo. /g T'sïh. A.tap. [f.s.]. moraliter(k'iiije). à unemultitude d'h. |J:| (527)Quiressemble Erigere;elevare,physicèet «Le Fort; robuste.Infatigable. Ciel accomplit /jSf I. A.y'.Suspiriapost luctum.Soupirs après « toutesses d'unemanièreinfatigal$C(528)lespleurs.OnlitdansleLi-ki: « tle, quineopérations se ralentitjamais; le sage, à son 3ΣV. Rt3 ~y I t'oùngtsèuk'oiihpoiîh i, Ado« imitation(i tséu),s'emploiefortementet sans jjl J _J\^.4 | lescentesmagnavocelacrymant « relâche(à la pratiquedubien).» (Y-Kîng). Dur, sednonsuspirant. Lesenfants(à la mortetsurla et qui tombedeleursparents) durable,ouunechosequi durelongtemps, Éle- maisilsne ' ' selamententà hautevoix, n'estpasfacilementrompueouconsommée. pas. verphysiquement et moralement. [gans- ÂimSïh.soupirent A.khiét.Nomcncujusdam antiquis/tfo T arroMQT'oû. A. d'ôt. t'àng-t'oû, \-y^(529)simiari régisChang-rfër Nomde 17C(513)En comp.|/J5 | d'dng—, arro- l'ancêtredes rois de la dynastie[pjj Chàng, [gant. qui régnade l'année1783à l'année1134avant proprium. /jgT Soû.Nomen notreère. i.Pv(515)Nompropre. ducaract./fFî / )^ Siûn.A.tuàn.Enarrare ; referre(chuityè). /pÇfPian. Formeprimitivele IX (51C)Voir,pour l'expl., n»342. IX I/M(530)Raconter.Rapporter,[fig.s.]. ingeniopol/TgSiù. A.tu'. F. se. Sapiens; /[JJ Szê.A.lu'.Szêszé: Mutuoseseexcitarc, | f5J(517)Uns.Sapientisethabilisappellali- iJCî(531)corrigere,animare(sidngt'siëhtsih vian(yebut'sàï tchi telle, tclu tchlng).Legituryè). S'excitermutuellement, entreamis,à secoretiamSoû ; Rarum.Hommesageet prudent,qui rigerdesesdéfautsetà pratiquerlebien.(Lùn-yù). estdouéde grandesqualités.Nomcommundonné MToûan. En^.L I tcliâo-toûan, parvttm auxpersonnesquipossèdent cesqualités.LuSoû: |ffîj(532)comp.\y | {siaoyè).Petit,ténu. Rare.(Khâng-hî), IttJT'sëh.A.trac.C.tchack.V.tch'ek.Syn. jX" 1ÉLHoei. Defatigalus.Atteintd'uneTjîi. [HO(533)Inclinatus(k'ingyè). Nonrectus]/\ p. 7#C latus \M.(518)grandedébilité.Car.douteux (poiîhtcliingyè).Ad adsislcre(pdngyè). ;jaclarese (ichâugje). Slernere, /;/fe Tchâ. Extendere proclinari(ngoyè).Incliné,quin'estpas vanter, Étendre. se [fig.s.]. droit(auphysique etau moral).Être placéà côté. [g£ (519) Fig. /tfe-TSh.Inniti;jiderc(kJiyè). [fig.s.]. Coucher,prosterner.Incliner. confier à . sur; se (Ch.w.). seuuxorsecundaria. concubina, [/ïp (520)S'appuyer comilari.Con-Q^g Iii^t'sëh-chïh, oufemmedesecondrang. -p—thdh,concubine, /âjYing. Conduccre; Syn.de li~£% vilis,abjectus.C5Tt fàri—,factio; >&\(521)duire;accompagner. /& Feôu. A. phu.Imitari;juxta imaginem117X—ledu, |J[W_/„,;, vil,abject. J)Ç \ rebellis. | Jî^(522)(prototypum) agere(isidngyè).In/JîTBh'ing.A.trinh.G.tching.F.tcheng.J.tei. niti (chiyè).Représenter;prendrepour modèle |JF((534)Inquirere;investigare (
9e RADICAL., <] iO TRAITS. 84 .83 cuiread expioranaum (to keou yè). S'enquérir; /HE Tchi. En comp.tchitchi: Incompositus prendredesinformations.(Gli.\v.). Fairele mé- . \fjjU(541((/;OÏ//I llsiyè). Sansordre.Tchi-k'i, tierd'espion.Lu toh'ïng, mêmesens. [f.s.]. nomdelieu. /rfe Sôu. A.tô.Munerisuojidelis(hiangyè). inj Où, tygùa.A..ngaû.C.ngao.f-.gnoejMg.oô.. statumsuum-vivere. Être I3ft(542)Se.cundum [pj (535)Statualignea(t'oùngjin yè). Du- toutà sondevoir.Vivreselonsa position. mimeras par riumerus{souchoudng; plex sèu unire(liôyè). NoHoah, hâh. A. hoat.Eu comp.mâhConnectere, X°>fr? impardiciturkï). men Statue(Utt.homme) de .bois.(Cil. | f5[(543)hâh. Fortis(kiànyè). Impandus propriwm. w.). Et aussi• Statuede terre. Double,ounom- (woàtonyè). Fort. Intrépide;sanscrainte. brepair.Joindre,unir.Seréunir.Nompropre. car./SÊ. /H Sièh.Voxtennis.Voixfaible.Ce AVÎD î Ttj fëïngô—yè,nonestmihioequalis. IM (544)est lemêmeque le n° 620.V. \fë 713%I lia Pal»ga—('«,il n'estpasmonégal. /fi. Chïh. En /fjfe T tïh—,vitiosus('oyè)Tkià-où, où-jâh, f ortuilo. /fc ]ÂS^ (545)comp. ||Î4j| vicieux,méprisable. IMi j^jj—nhién,parhasard. fh | felixpar. ZH&Ki. Sinistrorsum, dextrorsumqueadspicere T Jt —jin, statuahumana.î _]_—moûh; àdroite ) , i/k. (546)(tsôyèouliàngc/«').Regarder statue et à gauche.(Ch w.). I / V—nho'n, d'homme.| /y-—môc;y ; pax('anyè).Var.du 431. Z&hTchi. Resaccumulatse ÀJJdT'ân. Quies (hoe'iwèiiyè). réunion. \')V](547)Repos; paix;tranquillité.(Ch.w.). iÇv (53G)Choses,objetsaccumulés, Z-JèFoû.A..phû.C.foù.J?.hou.J.fou. [f.s.]. Syn.]7ZT/lAjT'eôu.A..thaû.G.t'au.¥.th'oé.3.toô. Anneclere(siângyè).Super| y) IpU(537)Inconsideratus (p'ohyè).Proeterfas |-rJ-(548) v. colores. Nomen Furtlm. alicui inducere, (kohtsiè g. Magister. propr. yè).Furari(tdoyè).. Aliquid Nomd'unefonction. Inconsidéré. subripere. Négligent. Agircontretout Annexer,adjoindre.(Ch.w.). droit. (Ch.w.). Voler.A la dérobée.SoustraireNompr. Foû-sioùan ; Edictumtnibunalis.[tutor. Regiusadsistens, jiliorumrégisinstiquelquechoseà quelqu'un. ïfïFfî szë-foû, pl|l J t/to'i—,Nomd'unefonctionà la cour; précepteurdesfils du souverain.« Anciennement, lesrédacteurs duDiction,de Kliânghî, le lïh eûlhhéouyèou'haïtchè,chingjin poûhwèï. «('iszë), de' GrandAs' « peineméritée,c'estce que le sainthomme(le «sistantprécepteur (;^C I t'âïfou); de' Grand a sage)ne faitpas.» (Kouan-tseu). «Protecteur'(;A~C^Ofct'dï pao).C'étaienttrois t'eôu-k'ân,furtimoculosconjicere.[bée. «grandeschargesde cour. Cellede foû est de à la déro- (tmêmenature.>J I=&*. "p5| —khan,regarderfurtivement, T)TI ri* keoutsièi—'an,proeterfas agere foii-hoeï, ) cogèrealiquosad conçeniendum fO H. W I y\ od-subripiendum otium. Is&r — (cujusris) )consultationis hôi, p| gratià. Employertoutessortesde moyenspourravirle Yoûen. Fraudulentus XXÊ (kïh yè). P'afer reposà quelqu'un. i//h (549)(kiëntchiyè). Fourbe,menteur. Homme dontlesconnaissances etlestalentssontem10TRAITS. ployésà servirleviceettouslesmauvaisdesseins. : omnes(tchoùngyè). Aii Yoùng.Multiludo l&XK'oûeï.k.ldwi.C.fdi.~F.hvuy.J.koi.[Ls.]. Multitude. Tous.Luxuriant,[f.'s.]. \]~\(550) (td P ulchrum ijet (538)Magnum mdo). (mè'i /m Lïh. A.Ut. ¥.le/<.J. ritsz.[fih.s.]. yè).Abundans (chingyè).Prodigiosum ; monstruo- I7K(551)Tàbellse ineorumtemdefunctorum sum(koiiaïi yè).Legituretiam koei. Grandd'ap- plis seumemoriis tciiu Tablettes desdé(miào yè). le parence(comme ciel).Beau.Abondant.Prodi- funts,surlesquelles inscritsleurs noms,lesgieux(commeleséclipsesdesoleilet de luneaux quellestablettessontsont soitdansdestemdéposées, Lu aussikoùeï, plesspéciaux,soit dansune yeuxdesChinois).M' onstrueux. pièce dela maison il signifie maintenantunestatuetteoumannequin leur en bois,quijoue un rôle surcertainsthéâtres' qui/ES estconsacrée. Noùh. Partied'unnom forméde-trois nosmarionnettes). Onles alors: (comme noiih.(Pèhssê). lAf (552)caract.: Yeou-klou — loiïi,j imaginesligneteappelle utuntur quitus ' —'"') | incomoediis. ' Marionnettes ,/H Yùn. Superare, superabundans(yëouyè). 1/fIJ IWffl qui SelonleLouhétaienttrèsen usageen Chineau commencement IPIil (553)Remplid'abondance. ainsicomposé du septième choû, n'ya pointde caractère siècledenotreère. Kien. En Tliên-kien,eundosiJ.choo.Syn.detja AtSk /rtfc|8'ou.A.tdu.G.sau.F.soe •'JC(554)comp./ijfc Iljp I mul assequi (hùig \~$C(539)Senex;honorisgratta hocno-y£ siâng vel, ujiumalieriinsistere.Liên-lièn, Hhyè), minesenioresappellantur.Épithètehonorifiquedicitur de ambulantibus unopost altcrumsineindonnéeauxvieillards.Nompropre. Fouled'hommes marchanten rangset Âfà Tséou. Seipsumconducere(jin chût terruptione. à lasuitel'un de l'autre. [chrumvisu. servirun llflj (540)yoùng).S'engager pour /ife K/iàng. En î /l-li — màng,non pulmaître l^îf (555)comp. | \/Q—màng,déplaisant
85
9e RADICAL, <\ 10 TRAITS. . 86 (Voirn° 348).Legituretiamhiàng. Syn.de foi-. du Kiâng(Kidngyedujm). Nompropre.A& verax.Vrai,sincère. Sincerus, | H) Se prend quelquefois pour sonhomonyme|5v ma.S.lia.F. primit.detnnt Chèn.A.thién.Ignismagnus.Incendium /|g Mà.A.ma.F. /Cy=i Imj(55G)Conviaisaliqueminsectari.fîfcj \IM(568)Grandfeu; incendie.(Ch.w.). VidecumU.122.Poursuivre quelqu'un d'injures. /rjKK.'hien. Sequi (l'soùngfè). Comitari Injurier.Li-mà : Souhaiterdesmalheursà qqn. |^Jt(569){t'soùngtchifè).Suivre.(Ch.w.). un envoyé.(Yu-pien). J.'/w.[î.s.].Accompagner /gA Vàng.A..bang.G.p'ong,Y.per,g \~/j (557)Appropinquare (k'intcïûfè);proxiMa. K'iôh. Nomen proprium.[fig.s.]. mus.Innitï(ifè). Legituretiamp'âng, àdlatus I |£ (570)Nompropre.Nomd'homme (l'sëhfè). Nomenproprium.Approcher;proche. A-£ïT'sêng. Ignobilisseu inferiorisordims (Ch. w.).S'appuyersur. Lu p'âng, à côté, à 1/lEj(571)denominatio (pi tsiàn tc'hingfè) proximité.Nompr. P'âng-où,mendié. ['fèTo'hoûh. En î l fijf —soûli,nonexAs£. , coactè;aliquidinvitefacere(poiihtëh 115(572)compos| \/y\ tenais.Quin'est IT | , fairequelquechoseforcément,mal- pasétendu. grésoi. (Chî-K.). [tram. >ÎV San.A.tan.C.san,F.sàn.&yn.AMt rtittfe -ï~-JL ~T1Ttsb ycouliàng—,adci'extram et sinis-, â|£. (573)Operculum; openre(kàïf BX'IW ZC/fcîTOI adroiteetà gauche,desdeuxcôtés. yè).Umbraculumportatile. c onvTir. OmCouvert; ménhou,ex aliquàfamilidpe/i.-brelle.Sàn-ting, nomde pays. î K*•lîtf X^t—jt'n d'unefamillepoursa I / I I/ dore.Dépendre ppj I yii-sim,umbraculumcontrapluviam.[\>\i\\i'.. subsistance. hJy I vu—, ombrellepour se préserverde la Alî; Tsïh. Adversari ; invidia,malevolentia T tchâng—,umbraculum extendere, operire. jjE Envouloirà II/V(558)(liidifè). quelqu'un.JPf I tru'o'-—, ouvrirsonombrelle,sonparapluie. Envie,malveillance, (Ch.w.). >3*Pi. A. bi.C.F. pe. J. In.Synon./ft Irasci.Ira, iracundia (nonlilfè). £f Hi.A.A/. lnî(574) Qui res proevidetet parai \jB} | Jfh(559)Semettreencolère.Colère; empor-(chinyè).Complere, perjicere(tc'hingfè). Simul; tement,[fig.s.]. auxiliari(hiënfè, foâyè). Providere (fîtpieuyè, / fe Tlën.Capitis.t^S fàng fè). Dux exercitus(tchângping). Nomen de Sommet d e la tète. Se leschoses Quiprévoit [pl (560) pros-lgl|l proprium. qu'il convient faireetlesprépare.(Ch.w.).Compléter, terner.Voy.Rad.181. parfaire. (Tchéou-li). Ensemble,en totalité;aider.Se préylA\zT'éiï.Mxteriorfigiira.Symbolum.&yn.&& se pourvoir contre.Chefd'armée.'Nompr. IUt (561)Apparenceextérieure.Svm-»vi> munir, î rem' complétantesse. hole.Voy.Rad.61. iji kào-pi,signijicare [sequens. cdo—, annoncerqu'unfaitest accompli. /ri; T'âng. A.d'ang. T />/&—t'oùh,inob- XJ |Tt'si —, perfectècomparatum. l/pj (562)En compos.| |^ÇOrgueilleux. ^jj£ préparé,disposé. ternenomen.[f.s.]. M | te —,complètement /t|f Hào. Septentrionalis szii*'" pi l'a'"i Toutesles ÏM.I ~Tf"n IfnJ(563)Nomd'unerégionseptentrionale./lîfL JÉf W'M I J chosessont déjàpréparées. /M K'iëh.K.kiet.G.kit.F.këetJ.kitsz. [f.s.]. Sâo.A. tao. Superbus (kiàoyè).Legitur \yfc(564)Superbus; arrogans(gdofè). Doti- /j^ Ijfi (575)hiâo, in.codentsensu.Superbe buseximiisaliis proecellcns; dotibus o rprteclaris natus(ts'dïkoâotvënji'n).Pertinax(tc/uhfè).Or- commeunchevalfringant.(Ch.w.). C.hao.F.haôu.J.Àô.[f.s.]. gueilleux,arrogant.(Ch.w.).Hommequidépasse JfJf Hiao.A.hieii. lesautrespar sestalentsetsonsavoir. I/VC. (576)Imitariexemplar (fâfè, fàngfè). Hoai-nan-tseua dit : « Celui qui dépasse dix Imiter.Règle;modèle. «millepersonnes(tousles hommes) par sousa//*f [ *ï —hoà,j| quxdam « voir, on l'appellefûng; celui qui en dépasse l'p Yôùng. Enk.dông. (577) compos. | îp—hoa, mulie« mille,onl'appelletsiiin; celui qui en dépassebrisprtefectura in regiopalatio,régnante, « cent,onl'appellehào; celuiquieudépassedix, Hân.Nomd'unefonctionde femmes(foûfamilid kouàn « onl'appellek'iëh.» définitcecaractère comme sinu'ng).LeChoiïe-wèn hào : I fïng, yoting, kJifh ymg, gnifiant seul:Sinequiète(poiih'an yè).Sansrepos. ffi|a et coeteris —•—, quam'velociter;sinequiète. /Co/vdit 0I opropriè prêt) ingenio valons;yoùng,viribuset audaciàprsealiispol- II | , très-rapidement ; sansrepos. et dénotant e xcellentiam i n lens; hào k'iéh animi /^ Yâo. A. dao. Servus,servire(fïh fè). sed dotibus; hào,minorent;kiëh,majorent. minislriad tempus l"pT(578)Prmfectorum iïî"î yïng-kiëh,héroscteteros [leur. plèbeassumpti. supereminens. nonrectum Curvum, (siefè). Serf; /C j anh—, hérosquisurpasselesautresen va- servir.Employés despréfetstirésdela provisoires Temulaitus. /fcîMing.A.minli. Syn.de Xyù\ classeservile.Courbe;tortueux.Nompropre. |j£f(565)Valdèebrius (tdtsoùeïyè).l\reJ^\\ fct I Affranchis. Selonl'His/îft Tch'én. A.xien.Homoingentisstaturoe.^ I moîili—,manumissi. toiredela dynastiedesSouï(581-617), il y Homme de 15J (566)Gigas. grandestature, avaitdansla principautéde Tchaug-châ (province à un géant. du Hou-koûang) des peupladesbarbaresaffranquiressemble Â3&1 Hi.A. hê.Barbariexteriexparteorientischies, du nomde Yen, qui étaientlibres; rnouh ' de la rivedroite rào, nonserfs', parceque,disaient-ils, leursau1^- (5G7)hiberni.Habitants
9" RADICAL, A 11 TRAITS. 88 87 cétresavaientétélibérésde leur servitudepour distentus.S. Âfâ /r§t Tsoùng.Multis negotiis desactionsméritoires Y.no525. | £f ; c'estpourquoiils portaient I© (590)Accabléd'affaires.' lenomdemoM yào,'nonserfs,affranchis'. (Kh.h.). ; festinatio.Intentio.[ï.s.] /4ikSoimg.Celeriter /E3 T'a. A. thdp.Inquiétas(poiih tseu'-an. |]^t(591)Promptement. Hâte.Iutention. ||fy (579)yè).Toujoursagitédesa personne. /rà-^Tchë. En T JW*—\ô,robustus;rudis. Lut'oh, eten composition .. t'dh-johng(écritde I^m(592)comp.| liffi—la,fort; grossier. plusieurs manières): liamoad omniaineptus; in/l&Gào.A.ngao.C.ngo.Y.gôJ.ngo.k.i.Atyc habdis,inutilis,degener(poiiht'sdï;poulisiâolïlt |/p((593)Arrogans(k'iûyè). Superbas\]$L jîn). Homme inepte,impropreà tout.(Kh.hi). (mdnyè). Indomitus(poiihk'b tchdng).Contem^°' ^-'"• ^' ts'0' ^*so-^[% s]' nere. //àè sa; Quine peut Arrogant.(Ch.w). Orgueilleux. | 7E£(580)Diciturde ebrïorumsaltationibusêtresoumis à aucunfrein.Mépriser. Accuserquelsansinterrogatoire,(poiihwén ei'dhkào). (tsoûïtvoùmdo).Titubare.Sedit desmouvements d'unhommeivre.(Ch.\v.). qu'un répétéset désordonnés (Siun-tseù). Sô-sô,id. (Chî-K.). /gf XA..k..lé.Conjuges.Maritusetuxor. S.^fffi Perversus(Hyè). /fi^.Oùng. Improbus. |p§(594) Conjoints,époux. Mari et |JE méchant, |5JtI(.581)Pervers, femme.Voy.à 19 tr., le n° 791. [fig.s.]. /BEITsieh. Parvus(siabyè).' AUlAfI"io.Spirildsnomen (chûtming).[f.s.]. ]%,(582)Petit.De formesexiguës,[fig.s.]. 1 Tf (595)Nomd'unEspritou Génie. contrajus- /(h Celui yl&r /=l Foûh. Rebellare K.àî.Suppositus dominus(Maitchuyè). IPJ (583)titlam(fàni). Synon. \j^ quise \fyt (59c)Maîtresupposé.(Khânghi).[f.s.]. révoltecontrela justice.(Yang-tseu). «Celuiqui Tch'oùan. A.truyén.C.tch'ûn.F.tw'an. « estsansraison,sansprincipesdeconduite(woù /jftJ-TJtradereut doctrinam (597)Communicare, « tdo), estun hommede rien (tchoû,n° 302); « celuiqui violela justice(fin i) estun homme (chêou yè) Demanuinmanumtransmittere (tiyè). facere(souhyè). PubliParticipent «sansfoini loi (Jouit).Tous lesviceset lesmé- Transmittere. Ad evulgare (pduyè). posteraspropagare,ut « faitsdeshommes(tcltoùng 'o) se résolventdans care, doctrinam, « cesdeuxdénominations p roventus, dignitates,etc. (pouyè). c'est il con; Tbno'; Tch'oûan : Prie(tchouènyè). « vientde cessertous rapports,dpourquoi e rompreentiè- Circumire docere;proecepta,documenta(hiânyè). «.rement(k'iouëh) avecceuxquiontunetellecon- ciperc, «Sanctorum virorum(v.g. Confucii,Yao,Cluin) « duite.» (Yang-tseu). dicuulurKing-fyMt documenta, ; sapientium (hiân dicunturtch'oûan, T3l 'commcntaùones'; 11 TRAITS, j ji'n) librihistoriciquicompreltendant rerumvestigiaad Â&fi.T'sân. Suaveconspectu ea tratismiltenda (habmdo). posterissoeculis,etiamdicuntur ' D'un |g? (584) aspectagréable. (Ch.wên). tch'ouâu commentationes '. Omneshistorioe sttitl Nomd'homme. commentaùones ordinatimdispositoe.. » (Khàng-hî. Loùï. de /gj Piger. Ignarus.Synon. Â^ I-wên-pi-lân).Communiquer, enseigner;transIgnare.Voy.ci-apr.|^ mettre(comme unedoctrine).Transmettre 1^ (585)Paresseux. demain /EBPïh.A.taV. Ambulantemsistere. S.defjffl enmain(comme de discipleà disciple),et formant u n R.157.Jt^ tradition.(Ch.w.).Publier,mettreau [^ (585)Arrêter voyageur.Y. jour.Trans; ur- mettreà la postérité,commeune ' doctrine'des AHLT'soùï. A. thot.Cts'ui.Sollicitare littéraireset autres.(Tchéou-li). exstimulare Allerçà I Mi(585)g"ere; (tsioîiyè;pïhyè). oeuvres et là, d'un endroità un autre. (Tso-tchouaii. Presser;stimuler;exciter,[fig.s.]. ' Auton : Enseigner;enseignement. k.tri.Inpejusruere.Syn.de^g. Meng-tseu). /fB T'ohl. (Voirl'explication Devenir deplusenplusmauvais.\J^. Préceptes. latine). |/EJi(58G) — doctrinam. tâo,docere,transmittere ZÀ Yoûng.A.dang.C. yung.[fig.s.]. — transmettre lapuredoct. îtS. d'ao,enseigner, tcliïliyè). 1^^^ Rectum;oeqttale i/TO (">87) (k'iùn Nunc: Conducere liôu «C'est par la paroleet lalecturedeslivresrévéoperarios pactopretio(lun quatrerégions(del'empire)on yïh yù jin cheoutcltïltyè). Operariiconducti.it rés que dansles la doctrine(soûngsséfdng tcht Droit; égal.(Ch.w.).Maintenant : Louerdesou- «propage pure ' vrierspour un prix convenud'avance.Ouvriers«c' tchouàn tâo. » (Tchéou-li). — wéï,transmittere throtium. engagés. d-ignitatem, transmettre unedignité,le trône. mercenarius. )j[—-v;", yoimg-koûng, Operarius H% — I Hommede peine. 11t' w^"tchâng,transmitIT công,mercenaire. ^V Ira t0'1'0111* ad,manumscriptum, domesticus. WftjyC -Ç-teredemanu I^fiè ^ k'iâ-yoûng,servus ' dela ' à gages. documentum.Transmettre mainà lamain ;gCgià —,serviteur,oudomestique /fiÈ Tsâo. A.tao.finir. Finis;finire.F. vulg.\-fêj un écritquelconque. |g(588) Fin; (Ch. w.). Dansée ttf î i^ ^-ê ffl"k'° tch'0'Minyùh.eou chi,'trans' certainsdialectes locaux,un' tour,unemarchecir- J \ 7f^ \5£-F=-mittendumestad posterasteculaireaccomplie, sedit : untsâo'. (Kh.hi). cula.H est digned'être 'transmis' aux siècles /*--» Mâh. En compos.mâh-hâh;Fortis. futurs. V-TSÎ(588")Fort. (V-n° 543). transmittere Jjt)TS l^. siimgtch'oudntchikîn;nunc. Trans/jfe Souh. Ire, ambulare.Synon. de /J^fe \ p. | 3C 't per traditionem usque l=f-(589)Aller;marcher.Voy.R.00. 1=p misparlatraditionjusqu'ànosjours
90 9e RADICAL, 4 11 TRAITS. 11.tcli'oudn-koùng, ('ô yè). interpres apudTribunalia. /jfe Choàng. Malus,improbus IX (607)Mauvais,méchant,[fig,s.]. H 7^ Interprèteofficielprès destribunauxpour ZsV A. cu'o'ng.Prosternere se. /tïj lesdialectesprovinciaux. ' circumr \WLK/îâng. Seprosterner;tomber.Syn.de [M* (608) iA -Sfc ''"nab">ldantia. =^~ (612)de fleurs.Formeprimitivede =p Ijpl (599)Aliquidsuperhumeros déferre(fou etnonrestituen- /3fe Tchâng.k.tchu'o'.Ideml*^.\.c\\âxi§,mayè).Debere.Debitum. Accipientes tesdicunturt'sëh (c/iéouedl/i wêïtch'dng,l'iâi [Jfl (613)ac (R. 38,11tr.) %^- riti socer, 'wéîcliil'sëli).Portercommeunfardeausurses beau-pèredumari.[fig.s.]. —hoâng,timoréconcuti,contremiscere. épaules.(Ch. w.). Avoirune dette. Débiteur. T'sëh sedit de personnesqui reçoiventdes dé- I.rjij I 3E — hoàng,frappésde crainte; trembler. nelesrestituentpas. — Onappelle,dansla languevulgaire,le ' beaupôtset— ' : ba-ba. etla ' belle-mère tchù, créditer.& Tfou —, debilor. père' : koung-koung, créditeur. débiteur. "T*.— c/ui, 14_pi | phu—, C.k'ing.F.k'eng.J.kei. K.'ïng.A.khuinli. ÉIYM.Dansl'origine(commedansle Choûe- /lf& nonrectum,inclinâtum IJH(614)Caput (tsSIi ' c ecaractère s 'écrivait sans leRad. wèn), homme',yè). Prosternere se(fouhyè).Interjectio cumlaude ajoutédepuis. admiranùs in~ (ïyè). Obliqué adspicere (per/idiam vain,[f.s.] dicans).JEversus Superbus. Orgueilleux; Va,/^T'âng. Cecar.estlemême (sièh yè). Dejicere ( p'iyè). | .§1(600) que le n° 562. cuum,exhaustum(koùng yè).Postured'unhomme Nomen latêteinclinée.(Ch.w.) Seprosterneren proprium.[fig.s.]. /j-ji Tsoùh. ayant et I/U (601)Nompropre. signede respect.Emettreun cri d'admiration hilaritas(làje), [f.s.]. deflatterie.Regarderobliquement, ce qui estun /•g* Yâo. Gaudium; (Ch.w.).—Dans signede perfidie.Renversé.Jeterà bas, précipi1^ (602)Joie,satisfaction. . «Le,cielest' vide, certainsdialectes cecaractèresignifieter.Ruiner.Vide,sansnuage provinciaux, « sans au nord-ouest. nuage' aussi: Différence ou manqued'égalitédansdes (Hoaï-nan-tseu). t si —,nomenmontis.(Choù-Kîng]. Tromperie. TTC objetsquidevaientêtre semblables. tdi nomd'une —, montagne. l&CTohën.Standoadlatusadsistere(lïh cld ]'"[ I — IT/I(603)Setenirdeboutàcôtéde qqn. [yè). tîng,auresadaudiendum applicare. — /Jr Tch'âng. Stareerectum videri(lïhmdo). IJfgfc ï|iE5—thinli,prêterl'oreillepourentendre. yin, ^argeniumaliquâmixtioneviIM (604)Quiparaîtse tenirdebout. yîlK.—ngdn, ) liusreddere.Altérerl'argent. /-j=fChâog.X.tliu'o' .G.cheu/ig.F .seang.[i.s.].IfiFi tsàï, divilias 1^3 (605)Vulnus,vutnerare(tcli'oûang yè). I fJ-4-— —tài, dissiperprofundere. sa fortune. Dolovgravis(t'oùngyè).Trisliùdlaborare;dolere I f(<J — yè). Commiserari (kànyè). î "^?||— k'ëh, inslanstemporis. (yeôussèyè).Pati(tdo Vulnerari(t'sidngliaiyè). Damnum unefractiondetemps. inferre{s'un I >?'J klidc,unmoment, Blessure,blesser.(Ch.w.). Nota.OnlitdansleLi-ki(sect.Kioh-Ii) : «Touyè).Nomenproprium. Douleurgrave.Êtreaccablédetristesse.Éprouver« teslesfoisque l'on regardeune si on personne, ' ' deschagrins.Souffrir.Plaindrequelqu'un,éprou- « portésesregards au-dessusdesonvisage, c'est' ' verde la sympathie pourlui.Causerdesdomma-« un signed'orgueil ; si onlesporte au-dessous propre. [est. « desa ceinture,c'estun signede tristesse;sion ges.Nom sînyeôu—, cormewnwalètristis » la regarde'obliquement ', c'estune marquede .fP v "HtT'ô est'triste,blessé'.(Chi-K.). « perfidie.» [fig.s.]. J\'Li^>>£I moncoeur seuvalorem oeslimat. fo —jîumîng,famamalicujusloedere. Quirdiprêtium /JE Yen.JEstimalor wêï IIIV 'pf Blesserla réputationde quelqu'un. \'"ïl(615) (yin koùyè). Expert ' cluing'; oucourtier estimerle 3Et-"jf "y =£.T Kiûn-lsèupouli tchoûng pour prixdesmarchandises Le ne renouvelle la « j //P JjJ | ditleDict.1-wan-pi-lan, /jîj sage pas (Ch.vv.). Aujourd'hui, ' blessure'qu'il a portéedansuncombat.(Tso-tch.)icdanslesdeuxKiàug(lesprovinces deKiàng-soûh onnommecescourtiers-f- -U I non(est)'damnum'.Il n'y a pas KetdeKiàng-sî) fa Twoù—, « d'autresles appellentI|J j^/ v JJD;I lieu;—ce n'estpaslecas. [lare. clU-tchu-jên); I ;£M£EÎ hô k'i, concordiam seuamicitiam
92 9e RADICAL. \ 11-12 TRAITS. /<<àng-ssé, /Jpl Loùh.A.lue.V.luk.Dedccus; probrum; II ÀI/î à un modèle, IjXi— to, rendusemblable 1^**(627)convicium (jouhyê). Opprobre; fi Tjîn—,hominispictura.Jfe Tyoûng—, honte;injure,[fig.s.T.. /v I nhon—,portraitd'homme. "Qf| portrait,id, /(S, Mân.A.mon.G.man.F.bânJ.ban. [fig.s.]. ËTYM. Le Choiie-wén dit que ce caractèreest tordus ' \jC (628)Lentus, (chiitch'iyè).Lent, duRadical' homme et du signesiàng, indolent.Priscomme'synon.parleson'de iS. composé il signifie: aquastagnons,eaustagnante. i ^Z, 'figure',^-qui donneaussila prononciation. A=^[ Auxiliari,adjuvare(fou ïyè). se (yenpïli /H Ping. A. b'mli.Absconderc I|\(639) Aider,assister.(KL;hî). [fig.s.]. etiam : (629) IjFf yè). Legitur ping Expel- /Çs(kChèn. Aliquodfacere pulchrum(tsolt Icre;Auferre.Se retirer dansl'obscurité,la reI t=t(640)tsë yè). Rendrebeau,gracieux. traite.(CL.w.).Lu ping : Repousser; l'emporter /!& K'iâo.A. hhieu.Allum(kdoyè). In disur quelqu'un. se recipere.Nomen I]t3j(641)versorium pr. A, T'siên.A.tbien.G.ts'im.F.Ich'eem.,I.sen. Haut.(Ch.w.). Se loger dansune auberge,une 3\X (630) Omnes(kidïyè, lùàn yè).Quod hôtellerie.Nompropre,[fig.s.]. multitudounâvoceclamât(tcboûng hoîmgyen tc/u Àï%2 K/iûn. Afflictus;waldèmiser,[fig.s.] : ' universitatem, ut: omnes,simul rè). Signijicat (642)Affligé ; très-malheureux. I^p" Tous.(CL.w.). Ce que la fouleproclamed'une /tfe. T'oùeï. Assuetus,assuescere (bienyè). commune dela voix;'d'oùlesensde : qualificatif Habituéà.(Ch.w.).Docile. IJH(643)Obsequi. de l'universalisé'. —Instrumentum 'pluralité', //fô Tsïh. A. tdp. Hominum coetus, èduobuslignissimulmobiliter congrecompactis quoutuntur rusticiad excutiendas 1:3?(644)gatio(jintsiûyè).Réuniond'homè etiam segetes spicis, ' mes. diciturt'siën.Le fléau'(liênkià)quisertà battre (Khàng-hî). [fig.s.]. lesblés(sb-ïta kohtcliè)senommeaussi't'siën'. K'**-A.kuh. Dc.signatio : pronominalis AffîL ËTVM. Ce caractère,selonle GLoue-wèn, est 'TTv(645)///^,Mue,illinc(houpitchitching). ' ' ' dessignesdedeux bouebesetde plu- Termeemployé et les composé pourdésignerlespersonnes sieurshommes'. choseséloignées. (KL.hî). [fig.s.]. /BBSien.A.tien.Homines immortates. /£& Tsùn.A.ion.Multi,congregore [f.s.]. (tchoùng considérés commeimmor>\$1(631)Hommes I tJ.(G46)yè,tsiù yè). Venerari(koûngking tels(poïthssèyouëhsien).Siën-siën,saltareri- yè).Multitude. Réuniond'hommes. (CL.w.).Védc.ri(woiimdo).Voirci-devant,len»140. nérer.Nomd'homme,[fig.s.]. 01
93
9' RADICAL, 4 12 TRAITS. 9-4 /m Pôuh.A.bée.G.puk.F. pok.A.F. g^ AjfëcTéng. Aigreambulare (hing.p'ïmdo.) 15^(647)Famulus,quiresprovidet(kïhpij/S I -f/ (655)Téng-téng,aversarinegolia{poûh we telle).Qui inl'wradomûsexerectministériel, sesaffaitchùssé).Marckerdifficilement. Négliger ducit res; servus. lesprendreen aversion,[fig.s.]. poûh, sicseipsumappellat Quicurrum (yû tchléyè).Aliquidalicuijidere(fou yè).Dis(k'iânyè). Manifeslare. /|=? Tsèn. Videre cipulus(/'OH yè). Recondere (yinyè).NomenproVoir,mettreen évidence. \r}~}(656) Domestique quipourvoitau servicede la — koùng,manifestare prium. alicujusfacinora. maison.(Ch.w.). Lesserviteurss'appellenteux- •^yj lesméritesde mêmespoûh. Selonle Li-ki, ceuxqui sontau I-piy. Révéler,mettreenévidence ' servicepublic' despetitsprinces(koùng)sont quelqu'un.(Ckoû-Kîng). appelés' toh'ln ', et ceuxqui ' serventdansles £0, 'Wéï.A.nguy.C.ngai.'F.guêyJ.!igi.[(.s.] familles'sont appelés'poûh'. Confierquelque \]M)(657)Decipere(tchdyè). Falsum,menchoseà quelqu'un.(Chî-K.). Disciples qui suiventdacium(féï tcliïnyè). Mendax. Tromper,mentir unmaître.(Tek.ls.). Cacker.(Ts. tek.). Expres-(Ch.w.). Faux;mensonge. Menteur. ' siond'humilité (tséuk'iëntchit'séu).Nompropre. AÀ- î tsoh wéï,faceremendacium inniii. I p | tac —, faireun mensonge; mentir poïik-poûk, importuné insisterd'unemanièreimportune. /f|T î tï —, quodnon'verumest. IT | bôc-bôc, *4iThou—, quoddam IS I dé—,marchandises oumonnaies falsifiées 4tfiTnoû—, mancipium. y% | nô—, esclave. j/^i I bô—>animal. ETYM.Siu-kiaï,danssonCommentaire sur le dit: « Cequiest ' faux' estl'oeuvre Choiie-wèn, 1j£Tkiâ —, servusdomesticus. « des igCI gid—, domestique^ hommes,etnondu cielquine produitque gages. l'komS. y&^-£• Tkingmingyeôupoûh,clarumman- «« deschoses'vraies' (tcliïn) ; c'estpourquoi ^ P|ï pj I datumhabeatquod(illi)sitcarum! me,dansce qu'ilfait,trompesouvent.» « Quele décret,le mandatdu ciel,lui soitfavo- /fjfji &'ï. Diligens,attentusin eo quod(in « rable!» (Chî-Kîng, là yà). subtiliusest(t'sing l$û (658)nostrocorpore) ETYM. L'ancienne formeenKoù-wên représentekinyè).Diligenlerinquirere(t'sidngyè). Approdeuxmainsqui tiennentles objetsdu serviceà pinquare(kinyè)'Etre attentifsur ce que nous avonsde plussubtilet demeilleuren nous.(Ch. faire,avecle Radical131. - /^f Hî. A.hi. C. ht.F. ki. S. i. [fig.s.]. w.). Rechercher soigneusement. Approcherde. lÉ=t(648)Lietari(lohyè).Gaudium,delecta- (Yuëh-Iing). Proche,voisin. Propinquus. lio.Seréjouir.Amusement. Pô. Mulare. Synonymedefan : 3k Timide,craintif.N.pr. ASCÎ. Lâo.Comilari. /•ifeÇ Accompagner. Syn.de'ffi: Iflf (659)V.pourl'explic.leR.102,7 tr/jg VTJ(649)V.sonhomophone R.J9, lOtr.57 /jÈf Hôeï.A.hué.Beneficium; benefacere.^î serviqui ipsos comitantur. lj@(660)Bienfait, etc.Formevulgaire Lào-ssëh, Proefectorum dej(§, Serviteurs les mandarins. K.'i.A.//ê'. l axare vestiscollare. accompagnant mel Solvere, A. xuo'ng.Ampluin,spatio- /^§* Rakatlre I:#£(661) lecolletdesonvêtement. incedere. [vert #Tch'àng. (650)smn.Diciturde oedijiciis. Ample, \t41-I pi—,magnisgressibus spacieux.Seditdesédifices publics. [meio.I je. I "é—, marckerà grandspas,le colletou(woii AlpLToh'oùen.k.xuyén. Contradicerc(siâng /*g?K.oùang.A. qua/ig.Bellicoso aspeclu \ffi (662)peiyè). Tono' : Morebarbarorum IJ^ (651)Quiauneattitudebelliqueuse, [t'.s.]. : Mdnsoûh /MXJàn. A.nhien.Debilis(i ts'buïyê). Sol- jacere (pedesintrà,caputextradomum l tsoiih êtreopposé à. néï).Contredire, Ij))\(652)licitussimulet pavidus(î k'ïheûlh ng.6 hidng reposeretdormirà lamanièredeshabitants à la volontéfaible,à l'espritdébile. Se kiù).Homme noncivilisés midi de la les (du Chine), piedsà (Ch.w.).Inquietet craintif;troublé,[fig.s.] [fig.s.]. Lïâo. A. lieu. Socius(p'éng yè). Qui l'intérieur,latêteà l'extérieur, AlÙçT/ A.— toh, aslutus, I^ (653)simulmunus (koudn Aj^Tïh.A.thiet. gerunt;collegoe (663)Encomp.| |/L astucieux,tromp iido yè). Legiluretiamliâo : pulchrum,bonum I H Tén. A. d'an. C. i'an. Celer;festinus Nomen ami. /Wj mdo). (Jiab proprium.Compagnon, l-tp (664){tsïhyè). Citb. Moveri;commoveri Mandarins dumêmeordre,quiremplissent lesmêmesfonctionsdansunemêmemagistrature ouun Tehementer (toiihyè).Tonoy: yoùen-tàn,dicitur de mêmesiège;collègues. Luliào : Bon,beau.(Ch. Ambulante.Pressé,quisehâte. (Ch. w.). Se mettrepromptement en marche.S'exciterd'une w.).Nompropre. véhémente. (Chî-Kîng). eodem pëh—,omnesqui lempore magistratummanière SI I bà—,gerunt.Lesmandarinsengénéral. ^5£.~Tp T~&X[foùngt'iëntdnnoù;congredico;' iratnm.«TrouIV*l*lum''iiehementer AffleK/hi.A.khi. Histrioebrius(tsoiïiwou ^/V ' Igrandement verleciel irrité soi.-» contre (Chî-K.).
95 9e RADICAL, \ 12 TRAITS. 96 « (dela Chine),dontles individus n'ontquetrois cieux.(Ch.w.).Sévère;quiinspirelacrainte,[f.s.]. « piedsdehauteur.» (Ch.w.). /{-£*K/iuëh. Rabidus; furens; amens;crude/^-Hïh. A.hap.Congregare, Furieux;insensé. colligere.sÇg |]pj (675)lis (kloudngyè). Réunir. 133(660) 124.^3 Sàw.k.nhu,Litteratus. V.sonSyn.hom.R. /#) Lettré.Syn.de/|g 730.|fix) /tîiïf Tsièou. Pro pretio conducere (jlnyè, 1^(676) Tchod-jod, pygmée.V.n" l'rA(667)koùyè).Remadusumtemporaneum A& Chàug. Consternûtio; consternare.S. fo/h (koûyè). Louer, prendreà bail. \yk (076)Noncontentas. pretioaccipere Trouble;trou-l |tjj (Ch.w.) Prendreenlocation(unemaison,une hier.Nonsatisfait.Voirau Rad.61. un navire,etc.)pouruntempsdéterminé /W'Oh. Gôh.A.ac. yitium.Perversus.S. boutique, W et à prixd'argent,[fig.s.J. lj^(678)Vice;vicieux.PerversV.R. 01.^ Woù. A.vu.Hoc : Er/lÂt -verbumsignifwat Tsiâo. A. tien. [fig.s.]. Tsiâo-tsiâo: | JJÇf (668)rareet profitaisadvertereerrorem. Àih Clarkexaminare tchdhmdo). IJm(679) (mi'ng Ce : Reconnaître son Vir intelligens.Examinerattentivement Syuon.jj>/jt caractère signifie quelque erreur IJ}?;aussitôtaprèsl'avoircommise. ' Yoy. chose.Homme intelligent.Auton : tsiâo-tsiâo, Rad.61, 12tr. [fig.s.]. diciturdeHomine et festinanterincedente, quinon Â-QsSêng. A.tang.C.sang.F. tcheng.J. sô. potestdetineri.Marcheordinairedupeupleaffairé. Foë « La démarchedu fils du ciel (l'Empereur) IÎ3 (669)Bonzii,Religiosiè seeldTOÛ doit ' servantquinque 1° Nonoccidere i>/~ « être ' majestueuse et imposante ; qui proecepta, (moiili-mouh) ventesquosfibet de tous les princes,' nobleet digne' (pouhchahs'i'ng)',2° Nonfurari «.celle « des 3° celle" ministreset autres tdo)\ Nonfornicari ; (poiiht'eou (poiihsiêyen); (hodng-hoàng) 4°Nonmentiri(poiihwdngyu); 5° Nonbibere« hommes d'Etat,' graveet posée'(t'si-t'si); celle ' vinum{poiihyin tsiebu).Prêtreset religieuxqui « desdocteurset lettrés,' gracieuse et prévenante la doctrinede Foh, ou Bouddha,et K(t'sâng-t'sâng); celledu peuple,' volontaire et pratiquent ' suiventlescinq préceptes r, (Li-ki).Tsiâogénérauxsuivants: « sanscontrainte (tsiâo-tsiâo). quiNetueraucunêtre 1° vivant;2° Nepas volerle tsiâo,peuplede3piedsdetaille;Samoyèdes. biend'aptrui; 3°Ne pascommettredesactesde .tch'im.J.sen.\î,s.] Jijb&Trièn.A..tie'm.G.tsim.'F débauche ; 4°Nepasmentir; 5°NepasboiredeliIjEt(680)Falsum(kiàyè). Errare(tch'âyè). fermentées. Nom les aussi Nestoriens. Sui limitesproetergredi, queurs pris par î. e. indebitausut''< ~ î 1, —jîn, Bonzius. j À^r\—souh,Bonzii parejuris Qyè). Tono : Isiën: Perturbare(loûanyè) — V un e( |/ nho'n, Ronze.| l'pf seculares. Faux, mensonger. (Ch.w.). Errer, se tromper. î p •—ni,Bonzioe. î fc»J—kià , Bonziorum(Choù-K.). sesdroits,usurper.TrouOutre-passer commandas.bler.(Chi-Kîng). I /{j—ni, Ronzesses. | ;gV-—gia, ' ' ) pauperreligiosus; sichumili-"Tp A -j±tt I t'iënrningfch tsiéu,Coeliman^&~ \ p'în—, ' errât'. La volonté _KJ I bi'nh—, ) terseBonziiappellant. S\. PfJ J r ' I datumnon ' ' ETYM.Le Choiïe-wèn définitce caractèreen duciel n'erre pas,ne se trompe' pas. disantqu'ildésigne lessectateurs(tdojm)deFoùô S 1Éâpî I Poul1tâuS<wêieuIlx'wêï du signe' homme' fTt ^* l'od,Rouddha.11estcomposé HH III)M P I youëh—, quodnonlicet et dugroupephonétique sêug.Il estditdansd'au- facere,facere; diciturtsién. «Fairece qu'onne tresdictionnaires chinoisque cemotde sëngse doitpasfaire» s'exprime par le caractèretsién. prononce,dansla languefan, ou ' Indienne ', ^^k* In eMliummittere.Syn.de ï^i|f AtiiïtÇi ensanskritsanga,motquisignifie'réusêng-krid, en exil.V.n° 080. y^ I4VT(081)Envoyer Voirci-devant,le n° 257. . nion,assemblée'. tu C. sz'.F. sou.[fig.s.J.IICJ /H^.Szë. A. Hién. C'ub; 'velociterincedercvideri A-&h l/yl(682)Famulus injimoesortis. Syn.de /^yf \Sj\ (070)(tch'îngmdo).Quiparaîts'avancerDomestiques dudernierordre,employés à rapidement. leschevaux,à ramasserdu bois,etc. Voy.Rpaître .27. /Hf. Fèn.A..phan.G.fau.'F.hwûn.i./««.[lig.s.]. /M Tohoùng. Omncs. Formevulg.de rfrt. IW\(671)Prosternere, humiprocumberc (k'iâng |/»K(083;Tous.Syn.hom.de R. 143. ^ yè).Perdere,everlere,cadere(yang yenyè). Se /jfe. T'oùng.A.clong.C.t'oung.F.long.}.toô. s'inclinerjusqu'àterre. (Ch. w.). Se "prosterner, (684)Puer, quipiteumnondumobtinuit : ruiner,détruire. (\vei1-EpL ; seruiner;etactivement perdre sehabere(sou/igkoùng koûanye).Reverenter -*--î j|j"Ï yân fénszé, i luuim-verbum per- mdo).Hebes,radis,stolidus tchùmdo).Nomen (<,voù pî I ^r nhdtnhôn—ssu, \ dit negotium ; un proprium. Selonle Choùe-vèn : Jeunehommequi seulmotperdl'affaire.(Ta'hioh.ch. 9). n'a encorereçu lebonnetviril (lequelsedonETYM.Caractèrecomposé du signe' homme' naitpas autrefoisà l'âgede ' vingt ans', et que l'on et du groupephonétique j'en. accordemaintenantà l'époque du ' mariage '); se /BK'iên. A.klùêii.F. vulg.deR. 61) ^ff composter avecrespect(enpublicou vis-à-vis de GrallCi(67)Excessus; error;defeclus. )[jr_t> Nom quelqu'un).(Chî-K.). rude,grossier. Ignorant, visinjirmitas.Excès; — infirmité.d'undistrict.Nompropre Danslelangage erreur;défaut.Grave vulon appelleainsilesjeunesservanteset les ^jfeYâng. A. dang. Diciturde Stànte,acse gaire, : concubinarum etancitlarum Seditd'unhommedebout concubines commune \7K(673)movente. quiparaitmarcher. appellalivum (piIs'iêlitchitsoùng tch'îng).(Kh.hi). Strenuus, /^i Lin. A.Idn.C.lùii.F. Un.J. ««.[fig.s.]. /prt Hién.A.gan.Audax(woiimâo). Iwl (674)jbrmidandus 1X4-(685)Pudore,velruboresuffusus(tcùng (ivé'ïyànmdo).Auda-
9° RADICAL, 4 13 TRAITS. 97 98 tchiyè).Éprouverunvifsentimentde pudeurou fugere(piyè). Fuir. Senscontesté.P'ïh devrait dehonte. (Khânghi). être alors considérécomme'verbe causatif. in ex'diomulctare, in exi- ' Fairefuir', et non' Fuir '. tftïft Pëh. Aliquem "JS^.(686)liuihpellerc(liïhtchiyouan fàngsi). fàng—, mala' fugare ', declinare. Condamner qqn à l'exil; l'envoyeren exilà une tt | phông-—,bannirles vices,lesécarter. danslescontrées barbares.(Kli.hî). ïfî-î 3KT JJ: f koûaï—, siê —, féï —, grandedistance —> tai —> pH —, comp.tchâh-tchïh, ^hj- Tchâh.En inopinatèïfc I o<4iI o7F I 1"ai alicuidamnum : Profligatoe I pf (G87) conscientioe inferre(lioûhich'ouh expressions qui signifient d'une qui nil malinon perpétrât.Homme inopinément qqn.; l'injurier. homo; jin yè). Offenser conscience dépravée ; qui estdisposéà commettre touslescrimes. 13 TRAITS. —nî, moenium corona. [le^,deremparts. /\xsK.ië.ng.k.cuo'ng.C.keung.Y.këangJ.kiyô. I/QI/\j —nglié,lefaîteoucouronnement demurailJs((3S8) Cadere(fényè). Prosternere (foît Szëh.A.sac.Amare('ai yè).ConcupisÂyjîi yè).Dejicere{yenyè).Tomber.(Ch.w.). SeprosIlSf(697)cere (t'ân yè). Sumptibus parare terner.Renverser. (sïhyè).Avarus(kuiênyè). Congregare (tsïhyè). toûï eûlh et 2! tchî, Nomen Aimer. D ésirer -1/è k'iâng impellit ardemment. Écof -^ proprium. 3FË UIJI <—lesrites, lescérémonies prescrites. tique.Dépravé, injuste.— SelonleChoïie-wên 4
9e RADICAL, A 13 TRAITS. 100 mimera. \~«f— wên, orna- « nombreï on yïh appartientà deuxmodesde -\//J—vdt,dous,présents. | Ji^mentaexleriora.« calcul,l'un ' grand' et l'autre' petit'. CedélIilA—wëh, conveniens.it nier emploiele nombre10 (-\-c/iïh)pourmulagendi-vivendiqueratio à la « tiplicateur;alors10fois10,000fontunyïh=z Iïfc—yoûng, •pj—dong,moeurset conduiteconformes « 100,000;10foisyïh= 100,000fontun tchdo — l ocaux Danscertainsdialectes (fàng justice. " Lepremiermode,oule ' grand', ce caractère : ventre Venir. ydn), signifie (Idïyc). est « = 1,000,000. lenombre' wén', 10,000,pourmultiÉIYM.LeChoûe-wèn dit ce caractère emploie que du signe' homme'et du ' groupephoné- «« plicateur,etalors10,000fois 10,000fontun composé ' = 1,000,000,000. » /. tique Maisce groupephonétique porteaussi ' yïh Châ-moûh faitremarquer,à proposdusensde dansle composé sonsensprimitif' idéographique ' ' donnéa notre caractère de ' justice,droiture,équité,conformeà la rai- repos ('an) par' Hiu' yïhestun nom son', etc. chin,quele ' groupephonétique de nombre', maisque;Tso-chi(dans son Tso/*£ Poûh.Formeprimitivedun° Iî=f(705) />d?T'a. A.lhat.C.F. th'at.î.talsz.[fig.s. |. /'fÊ Tsîùn. A.thudn.C. tsuh. (710)Fugere;evaderc(t'iàoyè).Rebeldun" 355,qui lareI.t£ IfUj(706)Synon.homophone yè). S'enfuir.Se révolter.En comp., (p'd/t tu- mdï-t'd,pïnguefacere précède.Voy.Deplus il signifie: Custodire, ; pïnguis(féï mdo).Engraisi yè).Supe- ser.Avoirde l'embonpoint. lari (wéije). Valdèmirabde(tsiouP.li rare (chùigyè). Garder,protéger.Très-extraor- Zi^-Tâng. A.d'ang.Formevulgairede jgl dinaire.Surpasser, vaincre,se rendremaîtrede. 10 (711)Sistere,morari(tchiyè). S'ar- Jïf (Tso-tchouan). rèter; cesserd'agir; demeurer.— Legituretiam / ffl-fNoÛDg. A.nong.Cecaractère estvulg. Tâng. \)j^. (707)Prispour lepronompersonnel: A^p Tp'an—,priefectorum satellites. iti'ô, ngb,Ego, Moi,Je, Nous.Deplus,encom- ) | | ban—, cortègede grandsdignitaires. JJjposition: Alti K'oùeï. Magnum.Pidchrum.Grand. l/tl (712)Beau.Lemêmequele n° 538. M P'iâo. A.phiêu.Levis(k'ïngyè).Léger. /f ineodem'sensu. /gj Chên.Tàn.k thién.G.tch'm.F.sëëit.J.scit. |/f/J (11Z)Legituretiawp'iSLO, Exle|g£(708) Quomodb, Toiih. En T db—soiih,caputmoverc. quandb(hôyè). /tgl riorfigura,modus(t'ai yè). Comment?quand? ISy (714)comp.j 7(\—toc,branlerlatête. (Ch.w.).Tournure,manière.LuChén: tradere, /gfc K'ioùen.A.Idén.Superbus; arrogans.l>££ transmittere transmet- lt£ (715)Orgueilleux;arrogant.F.vulg.de (tek'oûanyùyè). Remettre, |J§T tre. «Yao ' transmit'cettecharge,cettefonction /#Z Abstinerese. Prohibere King. A. CGH/I.. «à Chuu.» (Yang-tseu). \m (T16)(Kidïyè).S'abstenirde. Défendre. — hoêï,quinonprogredividetur. docere. king-kiàï,corrigere ; repreliendere; | |_J — hôi,quine paraîtpasavancer. I/jrrI jpj —g"", corriger;reprendre;avertir. tàn-tàn,otiosus,iiagus;liber,contentus. I—h 'Hoûan.A.hoan.Clnin.V.hwdn.i.n>an. II I Allerçàetlàselonsafantaisie(chûk'iên mdo). /£9\4k. (717)Solers,perspicax(hoéïyè).Acutns Ag ï> yih.A.MC.C.yiLF.e/;, yeë/:J.yoL[!.s.\. habile; Uyè). Velox(tsïltyè).Industrieux, |jt*fv(709) Quies('anyè). Centummillia(chïh (liocï Fin,subtil,prompt. (Ch.w.). ar- perspicace. wén).Magnum,elatum(ta yè). Considerare, —tseù,quisudhabilitaie inmalumabutitur. bitrari(toûyè). Repos.(Ch.w.). « Quandona le |2?l — hommequi emploieson habiletéà coeuren ' repos' onestsatisfait(sinï, tsv.h loli).» malJfaire.tu, — Nomderoyaume,[fig.s.]. Tso-tch.Nomdenombre:Centmille; selonquelquesauteurs: Unnombreindéterminé.(Kh.hî). A&r Koùeï.A.qudi.JJ Tvâ-koûeï, Grand.Examiner,déterminer (parappréciation). JH (718)Encomp./| | "phd—, dere. contractuum (Lûn-yû.Tso-tchouan). concUiator. Proxeneta ; quisuisverbis AU- I k'oung—,considerare, et venditorum commercia conciliât(hoéï perpendere; provi- emptorum \/\ | cong—,considérer, peser.Pourvoir. hohchifin tchè).Agent,courtierquis'entremet « Examinare quoaliquisindigeat,etilludeisub- surlesmarchésentrel'acheteuretlevendeurpour « ministrare les (lidotàu k'i ssbsiù tchitô-chabeulli fixerle prixdesmarchandises. (Kh.hî). Dans ' ' ' agents' « k'oùng tchi).Serendrecomptedesbesoinsde ancienstempsdela Chine,ily avaitdeces ' « quelqu'un,grandsoupetits,et y 'pourvoir'.» ou ' préposésofficielspour régler,sur lesmarîît i=kl iJl w^nw*nw" — y^' deciesmil- chés,le prixdes denréesalimentaires.Confueius M Pj fîy I Ha l'es decemmilliafaciuntunum avaitremplicet officepublic. I^K'ièn.k.ldcm.CMm.F.foem.Syn.de 'yïh'. Dix millefoisdix millefout un yïh, = \TÀ> Cetteexpression 100,000,000. appartientà la seI3K(719)Parcus (yohyè). E prodigoVf^, condeespècedecalcul desChinois,commeonle parcusfieri(k"mchëtsoi'mgyoh). Parum(chàoyè). lit dansledictionnaire de Khâng-hî) : « Selonles Annonce defectus (soûïU'iènyè).Nomen proprium «.'principes de l'arithmétique' (soudnfdli), le Avare,économe.(Ch.w ). Se dit d'un 'homme 99
102 9e RADICAL, A 14 TRAITS. devientéconome '. Déficitdansla fortis,etc.Fort,etc.V. 16tr.^jjç? prodiguequiannée. /(P^ Hiâï. Forme — ' K'ien-niàn récolted'une vulgairedu caractère|jg ', annussterilâM(729) Jôu. A.nhu.C.a. F.y'é.3-jiyu.[fig.s.]lis; annéestérile.Nompropre,[fig,s.]. /ag IHt)(730) L'itterisexcidtus(liiolitchè tclii ) nonse 4m VânS-A-u'""o I A$l—hiânS> de ceuxqui, en |7P(720)Encomp. | |ip—giàng,)subde- tc'-hlng).Lettré; dénomination exclusivere, ne pas sesoumettre. [strenuus.Chine,se sontadonnéson s'adonnent (TchouIbJI Hiâi, Uliài.X.gidi. /tfe i tàï —,fortis, mentà l'étudeeta la culturedeslettres. sur le Lûn-yù).Le philosophe \fjk(12l) En composit.|$j) \ trai —, fort, hi; Commentaire adit : «.Ceuxquiontpénétréle Ciel,la hardi, résolu. [yè. Yang-tseu Terreetl'Homme à connaître (quisontparvenus /;fcfcTfsoù.Asper,non politus(pouhhodh ««leurs sont principes,les loisqui les régissent), |y<(^(721)Rude,grossier;non poli.[fig.s.J. «nommées Joù.»Dansl'ancienRitueldesTchéou K'ô. Pulchrum,bonum(mèïyè). SectionT'iën koudn,oudes 'Magisf{H ïj§ (722)Beau,bon; excellent,[fig.s.]. (Tchéou-li; traturescélestes'),ilestdit : «Laquatrième(mad'dm. ta'm. A. C. /«TÈTân. [fig.s.]. iegistrature) estcelledesJoû,quiontpourfonctions \lS (723)Humeris gestare(Jolihôyè).Omis. «d'instruirele peuple,delui enseigner lesbonnes Fardeau. Portersursesépaules;porter. « (sséyouëhJoù i tdotek.min).» — Tân-eàlh,nom d'uneancienneprincipauté, doctrines —kiào,sectalitlerariaSinensis. dontla populationétait appelée' la tribu aux I'&.lf zpX —giao>sectedesLettrésChinois. ' . Elleétait dans oreilles située la province_L I ta —., longues artiwn (i)irdoctrinâatqueoptimarum actuelledeCanton.(Kli.bî). Nompropre. i studiiseruditlis.Grandlettré,[««m. /V I cHai—, hume.- Tsoiîh—, ) nonpossum "/ ïffrT'S*Pouakân—tâng, sicutesseconstellatiosapientissimus j risferrehocomis. iÈ\ 'l^nX. I ÎH bâtkham—d'ang, \Q I tùc—,' hommedontle savoirle faitbriller —tâng,alicujusrogatuinse aliquidrccipere.commeune constellation '. 1£&. PJ —d'ang,recevoirqqc.à laprièrede qqn. fa T mîng—,clarus,insignislitteratus. t I-f—•jîn, vas; sponsorproalio. célèbre. \X | banli—, lettrérenommé, I |X— nko'n,répondantpourunautre. nidlusestusus. Tféï scïoliis, —, 4|; cujus ÂÛhK'iào. A./deu.Ire; facere(Jungyè). 7p j phi—, prétendusavant;bonà rien. \ffly(724)Marcher;faire.Lu k'Jâo : T chou—, litteratusrudis,velutinfans.[faut. — jfe hing,j valdè desiderarealiquid, sed Pj2 I tho—,lettréquin'eusaitpasplusqu'uneuI/f I-f- —hanli,j nonsperare(illudassequi)(kifêï T=jT —k''îu, I antiquismodernisque litterisvir ivàngyè). Désirervivementquelque[chosesans Ifjzf PB—klm, \peritus,lettréversédansla littédel'obtenir. hi. espérer (Kh; I-w.-p.-l.). ratureancienneet moderne. /Bft Tch'ing.Auxiliumferre, supplere(pou). Secourir. S.du n°534. 13? (725) (Tseu'weï). 14ÏJKAIXS. joù,woùiwêïsiào ji'ujoù. (CONFUCIUS alloquens Tsè-hiâait): Tuumisestode perfectislitieratis; Â5&Pin.A.lan.G.pan. F.phi.J,lùii,jiii.[f.s.]. liaudquaquam sisdeliteratulis'vilibus,improbisque abducere |j^ (726)Deducere, (tdoyè). Auxi- literatis.»(KHOUNG-TSEH dit àsondiscipleTseùliarï (sidngyè).Hospitem (seuspiritus)cumrïtibits hiâ). nVous,soyezunlettré(joù)commelesontles solitisexcipere(tsïhpïn i li youëlipin). Introdu- cehommessupérieurspar leursprincipeset leur cere(tslnyè).Disponere;resdébitaetconveiùenti it conduitemorale,etnoncommeceshommessans " mododisponere (tch'în yè). Tono : Pïn',. Iio- « principes quineméritentpasl'estimepublique.» norare(Aoûng K. 3, ch. 6, § 15). Uncommentateur Revereri,colère(k'ingyè).Cie- (Lùn-yû, dit, yè). rimoniarum sive civiliumsive religiosarumma- surce passage,que «le ' lettrésupérieur' (kiûnEmmener. a ssister. R ece« c'est-à-dire Aider, étudie gister. (Ch.v.). tsèu) pourle pourlui-même, voirun liciteavecle cérémonialprescrit. (Ce « seulamour de la science,tandisque le ' lettré ' cérémonial est aussipratiquéà certainsjourset u vulgaire(siab-jîn) étudieenvuedesautreshomdansdecertainescirconstances et enretirerdes pourrecevoir, par « mes,pourflatterleursopinions lesEspritset lesGéniesdesmontagnes« profits.« simulacre, et des rivières),,Introduire.(Tchéou-li), Disposer « Tousleslettrés(joù),dit Tchoù-hî),qui(deles objetsselonl'usageprescrit.(Chî-K.). LuPïn : « puis Khoûng-tsèu et Meng-tsèu jusqu'auxdeux honorer,rendredeshonneursà quelqu'un.Révé- « Tching-tsèu,ses maîtres),ont dissertésur le « principedeschoses(li), n'ontrien fait autre rer; vénérer.Celuiquiprésideà une J-in? « choseque de s'égarerdansde pures rêveries cérémonie civileoureligieuse. Syn.de J Ifi, » : Hamile « (tchïhchichouehynoûng). /^gj Mien. En comp.miën-miën columna lignea.[bois. ITnB(^27)adspectuitïmdo).Humble d'aspect. Zj^r.I tchôu—, Pygmxus; /E3 Gân, 'an. Nonsoleis,rudis(pouhlioéï 17KI chdu—, petithomme; pygmée ; pilierde définitcecaractèrepar. \Ûi (72s)je). Item: Balbus(lliènyàn).Non ' ETvu. Le Choùe-wên sutcompos Aversari doux,flexible'(jebuyè). Chah-moûh remarque (pouhtseà'dnyè). Lu gofa:De doivent negotia(pouh tchoâszé. Inintelligent. plus : à ce sujetquela ' douceur,la flexibilité, la docemployées pourenseigner Bègue.Quin'estpas maîtrede sesmouvements.êtreamplement Lu goh : Négliger sesaffaires. trine desgrandssages(kiwitsèutcliitdoyè). 101
104 9e RADICAL, j 14-15 TRAITS. 103 obslaculum, IRLTchèng. Tseng. T/C~êk impedimentum. Tchèng-t'sàn,Lu i, A£\ Tî—> comp.|pj | Forteconstipation (koûchimâo). [ffiL(731)En compos.| \y^ quiviressuas en Lu insanus I t'âï—,stolidus, wâï, A~K3 (t'chlyè). ; malevolus (lôyè).Item: Auetfortitudinemjactat de Hommequifaitparadede sa force; Encomp.13à I Dépourvu raison,insensé. dax,strenuus. /^fr Tsin. A. tdn. Penitùs,omnino méchant.Deplus: brave,audacieux. (kiàïyè). l*&Yin. A.an.Jliis inniti(Jjînye).Legitur >mï(7^3)Exhaurire(tsintchiyè). Entièrel^>(132)etiamyin ineodemsensu.Se repo- ment.Epuiser. sersur quelqu'unousurautrui(dusoinde qqc). /igiK'ièn. Aperire('aiyè). [fig.s.]. Selitaussiyin, aveclemêmesens.(Kh.liî). I1E(744)Ouvrir.(Dict.Yu-pien). T'âï. A.d'aï. T péï—, minister, Moûng. A.manh.T T moûng-moûng, Z-^ /gj /jg | jb (733)En comp. | pf | bai —\famulus |^ (745)Répété: | | confuse.Confu(tch'înyè). Intendantde grandemaison,d'un sément(hoënyè).[fig.s.]. hommed'État. [minatio. /&&Woù. A. vu. C. mb.Synonyme dete Saitare; choreasducere.Dan-34f rrt I t'iân—, mercenariorum agricolarumdeno|^f (746) deschoeurs. \\ | I d'un—, nomdonnéà ceuxquisontengagésser, sauteren signedejoie. Conduire mercenaires,[fig.s.]. nomd'unemontagne.rVok-wéï, sifcommelaboureurs Tcliao-wou, flementd'uneflèchelancéedansl'air, [fig.s.]. /l^.Tch'eôu.A..lrh.G.tc'hau.F.têwJ.jié.[î.s.] /jcS Nïng. A.ninh.Debilis(johyè). Lassus |pj^p(734)Coetus,multitude/(tc/ioûngyè). Socii(liuyè).Ejusdemordinisvel ofjicii(tèngyè, |^ (747)(k"oiienyè).Débile.Las,fatigué. Homines quatuordicun- /& Ttsâng—,modusinvicem loù'iyè).Quis(chôuïyè)? appellandiin lintur tcli'eôu; duoverbdicunturTTp piëh. Réu- •l/%4I guâ barbarorummerïdionalium (mànyh Du sidnglioticlu'ng).Manièrede s'appelermutuelleniond'unefoule; plusieurs.Gom-[/H paguons. mêmeordre ouVang.PronominterrogatifQui? mentdansla languedesMàn,aumididelaChine. dequatrehommestck'eàu, On appellela réunion /t& Tàï. Audax,violentas Xffc (k'iàngmao). et de deuxpiëh,une ' paire'. violent.S!phon.dey/IU |/^ (748)Audacieux, T'iào. Slaresolus Setenir (toûhlïhyè). lîSi 15 TKA1IS 11È(î35)quelquepartisolé.(Kh.hi. Yù-pien). Envoyer,!^ /igj P'ing. Miltere,supplere. J. chyao. G.tcheung. de^7 /l&Toh'âag.A..thu'bng. [p^7 (T36)suppléer-Syn^homophone Restituere Débitasolvere |_pî(749) "loh'ai.k.té.C.tch'ai.'F (hoânyè). JcheyJ.sai.[i.s.]. /-*f Retribuere (pdo fè). Restituer. |j=f (737)Ejusdemordinisvel ofjicii(yeau (lioânssbtchiyè).sesdettes. R étribuer(enbienou (Ch. w.).Payer Dumême ordreou defonctions. rang pei loûïyè). la dutalion. en peine forme aussile des mal);appliquer Ce caractère pluriel (Ch.w.). — mîng, ) suamortemortemalteriillatam pronoms.Exemple: — mang,J compensare, P[7 Nos. NOTA. Iste mo1f^ juxtà talïonispoe—, Nous, loquendi nam. Jf II 'où la peinedu talion,[fig.s.]. est sed usïtatus est Appliquer i—f dusnon vulgaris, apud sicut'où-mén,'où-tèng.Expression lfFortis,robustusadspectu(tchdng mandarinos, de la languemandarinique (750)tchoudng mdo).Fort, robusted'asemployée parTso-ehi. €Liëh. Nos homines. T it. pect.(Ch.w.).[fig. s .]. 'où—siaojîu, paroi £ Jt nonreclus(chin Cf I J /Y « Nous,hommesdepeudevertu.» Atjl Pïen. A. bien.Corpore multi(tsiufè). I5v (751)pouhtchingyè).Inclination.Legi/g^Tsoûng. Multitudo; nombreux.(Pien-haï).turetiamp'îên : In comp.p'iên-sîèn,eircuire,sal|^]C(738)Multitude; /&&Lan.En T /«|— t'sân, deformistare. Quine' setientpas droit;incliné.Lup'iên, IM. (739)comp. I \^ (lung'o mdo).Dif- etsuivide sien', tourner,sauter. — t'iëh, maxime forme,hideuxde figure. /££ Miëh. En î Zffi /dlj. Toûï.Forumnundinarïum l,Ï5C(752)comp.| | |zf fraudulentus.Très(chiyè).Emere Ache- fourbeetmenteur(tdtchd). lïj (740)etvendere(houchi).Marché. teret vendre.Trafic,[fig.s.]. A. lui. Sibi iuvicemnocere,de/|Jf Loûï.struere Senuiremu(sidngpd'éyè). /tÇi Xu. A. du. Diligens,attenlus(kinyè), Iffllfl (753) : \7\ (741) Inniti (î fè). Attentif,diligent.tuellement.En composition sur. [fig.s.]. S'appuyer /t^j Tk'oùeï—,Ifigurxligneoequibusin comoe>fâl. K.nghi.C.i. F. gè. J. ngi. [fig.s.]. Ijfa j qui—, (ditsutuntur.Figuresoustatues donton sesert pourjouerdescomédies. l/ït (742) Congregare (tsànyè). Sesemutub debois Lie-tseu. « Du (pi yè). Indebita —Onlit dansl'ancienphilosophe suspicare(sidngi). Comparare Se soupçonner mu- « tempsdeMouh-wâng, desTchéou(1000ansav. usurpare.Réunir. (Ch. w.). ce sens,c'est celuidu « notre ère), unartisanhabileUt nu hommede tuellement. (Id.). [Avec ' quidomine ' groupephonétique ; aussice carac- « bois(moûh-jin) qui pouvaitchanteret danser. d'uncortègedesplusbelles tère seprenddemêmequelquefois pourle groupe « Le roi, accompagné de ce qui n'estpas « femmesdesa cour, fut longtemps à considérer seul].Comparer. S'emparer l'homme à soi.(B.). « sesmouvements dansants,lorsqu'enfin Cecar.se prendégalement portaverslui, et avec sesmainsil« pour (R.64)J-fâ «« de boisse Considerare, Réfléchir, appelaità lui lespersonnesdesonentourage. prsecogitare. penser, jfjk
103 9e RADICAL, \ 15-16 TRAITS. 106 C'estlà l'originedesstatues(ou marionnettes) de ter grandement, ceuxque l'onreabondamment, Onvoit par là que lesma- çoit.(Chî-K.).Avoirdu loisir,étantéloignédes bois. (I-wan-pi-làn). rionnettesne sontpasde daterécente,[fig.s.]. fonctions publiques.(Lûn-yû,K. 10, fol. 4).ProA.ùé. Ususmoderatus inquonon voqueraumal.Nompropre. /*££Tsiëh.est néedefectus.Tempeyeôu-yeôu, J§J[Ï(754) excessus, pro libitul'agari. rantia,cobrielas. i j]j — du, seconduireà safantaisie. Usagemodérédes choses.Tem- I>/1?? —lïh,mlissimus; sobriété.Ce caractèrea le sensdeson irridere. pérance, ' groupephonétique '. V.Rad. 118, 9traits. IJJ^* ^J — lujet,très-méprisable ; se moquer. — feoû,Iirresolutus ; quimodohàc,modo /ris Liù. A. /;('. T T liù-liù, invitus,qui IKâ(755)Répété: | | non libenteraliquid IA2S ij~—phù, ( illàc,se vertit.Irrésolu;quiva facit(poûhjoli 'wei je). Nullumadlùberecona- eàet làsansmotifet sansbut. tum(poiihmienk'iàngmdo).Maldisposépour. JA Tî —,) Adulatoriè. QuividtuetverbisadulaQuiagitcontresongré.Nel'aireaucuneffortpour. 1/ I j—, ) toriisaliosexhilarat.Aduler.Flatter. A.khodng.I Z& — liâng, /|Ef T tch'âug—,Icomcedi. Histrionesmasculi diyffiî?Kouàng. l/pf(756)En composition | \\\. inoequale IjEf I xu'o'ng—,\ cunturyeôv;fcemina; tek'âng. A T. Î2t î EllIJE sz^ eum ye°ui ts6» 'hioh; (potihp'ingje). Inégal,[fig,s.]. et-tamen Pj] ^f- quimagistratum-gerit /S Pào. A.bôe.Magistrivigiliarumpalatii I_L IflJ| tunestudiis-vacare-debet. Celuiqui, étant 1^" (757)imperialis(kouânUlientchïhje). otiatur, danslesfonctionspubliques,a des loisirs,doitles excedere(juëh je). Quiproeseriptam Prsetergredi, consacrer à l'étude.» (Lûn-yû). diurnarum actionumsériera Offiprsetergreditur. cierschargésdelagardedupalais /fH5? P'iâo. Abundans (chingje), [fig.s.]. pendantla nuit. XtW"(765)Abondant.(Dialecte local). (Kh.h.). Outre-passer.Faireplus qu'il n'a été AJHPèï. Sistere,quiescere prescritparune consigne. (l'ingje). A. duc.Vendcrc(maiyè).[lig.s.]. I0t2(766)S'arrêter;se reposer.(Kh.hi). /g} Yûh.Vendre (Ch. w.). Vendredesmar[j=î(758) A$$tSoùh.En î /|p soûh-tchîn,nomen chandises. En composition . Ils* (767)comp. I \Jpti-cgni.Nomd'unancienpetitEtatdela province mercimonia
107 9e RADICAL, j 17-10 TRAITS. 108 ' 4 tout et nefinitrien', [fig.s.]. Loùng-tchoùng;« la couleurdela soieécrue (hoh); leroidela le ii° 413. cerégionintermédiaire estun mélangeconfusde voy.'ci-devant, «cesdeuxcouleurs(hoèntiin).« /jéf H-'oiieï.Magnum.Fulcluwm.Grm\d.3eau. ' ETYM.L'anciendictionnaireChoiïe-wèn \~3Z(176)Variantedu car.n° 538, q. v. dit, caractèrechoûh,quele ' gris azuré' etle /gj Mong:,A.ma.Lemêmequelen"745,q. "v. surce ' ' dansla peinture,proIHT(777)Deplus: obscurus [poûhmïngyè). noir étantmêlése' nsemble blanche' (t'singhëhhoeïfali Obscur.Aufig.,en parlantde quelqu'un: Igna- duisentla couleur ssëli).Cefait,signalévers le commencement pëh us, ruais.Ignorant,stupide.(Kh.hî). denotresiècleparle lexicographe chinois,estdi/:9zTaWoH.A..tru'.C.lchûJ.têJ.tchid. [f.s.]. gned'attention. [Car.fig.le son]. Ex alicujusrei spealiquidagere lfTpj(778) vecondere ut suo (chiyè).Colligere,accumulare, 18 TKAITS. usuisit (tsïhtsiûi wêï fou i yè). Auxitempore liari {foùyè). Faire quelquechosedans l'espéDejicere;prosternere(yenyè). ranced'enprofiter.(Cil.w.).Amasser, thésauriser /HgNêï. I?c (786)Renverser; prosterner.(Tseu-'weï). recueillien temps Selon pourseservirdeceque l'ona avecAiM Khâng-hî,cecar.seraitidentique utile.(I-w.-p.-l.).Aider;secourir.(Kh.hî). simioe. N. de Species Espèce singe. N .pr.<J25C — kiùn,imperatoris pr. filiusregnïhoeres. V.le Radical94. héritierdutrône. |33r. /P — quân,filsdel'empereur exanimosubjicere selonleI-wan-pi-lan, Cettequalification, vientde /T|f Tchïh. A. nhiip.Sese volonce que ' l'héritier du trône IBS(787)(sïnfouhyè). Se soumettre aide et assisteles tairementà quelqu'un.(Ch.w.). princes'.— Nompropre. LIYM.Caractère figurantle son. 17 TKAITS. À)MHoêx.A.liûe.Unâmanu aliquidtollere K.'ièn.A.Idên./ jÊâfI yen—,arrogeais, ltf§(788)(t'îyè). Aliquidicunt: Secederc, A*ÉL I jî£ (779)En comp.||2£ | superbus(gàoyè). separari(li yè). Elevare(ti-hoeî).Enleverqqc. d'uneseulemain.Quelques-uns disentquec'est: Se Superbe,arrogant.Yoirsaformevulg.n° 715. retirerà l'écart.Séparer,diviser.Élever.(Kh.hî). comp.'lhi-chîn', caputincli/pÇjîr Lin.En Quipenchelatêteeiiavant. /g} Foûng.K.phong./H T woh—,Nomen IP-PH0 80)nation. ICf.(789)En compos.\/J~ I ac—,cujusdam /C&iKouéï. Mittere,delegare(szèyè). viri qui,médicinal universalis virtute,immortalita~ Iltjf (781)Envoyer;déléguer, [fig. s .]. K'î. Lemêmepourle ' sens' et le ' son' tem assequidicitur.Nomd'un ermite (sienji'u) considéré obtenul'immortalité.(Kh.h.) fttjjj commeayant jJÉ!(782)quele n°440. Facelarge,irrégulière.[fig.s.]. /ES Loùï. A.luy. Summè lassus(Iclhk'ouén /-êî T'sâii.À.sam.G.tchâm.F.sâm.i.zan.[f.s.].|§g (790)yè). Fatigué;harassé.De plus : duu° 753. 1^5,(782)Non benècompositus, inoequalis Synonyme (t'sàn-hoû: po'uht'sïyè). Celer,feslinus(tsïhyè). 19TIIAITS A 22. Irrégulier,inégal.(Ch.w.).Rapide,quisehâte. Zrn\ Jàng.'A. tu'o'. Slcutprlus;quia,causa Li. A. U.C.lai.F. lêy.i. rei. [lig.s.]. \H (783)(jing,yïn yè). Continuercomme ^MW Parceque;pourcettecause.(Eûlh-ya). IAEË (791)fif etfoemirue quorumalteralteri auparavant. Cetanciendictionnaire dit quelestroiscaractèresmutuam ope/nproebet,alterquealteriin domo're~ innititur. ,• marïtuset axor.Un 4ÊL ilh lil Jdns' Jing'' •?''"' exln'imeutle gendd d'époux,leConjuges mariet la femme. ISS a 1/J a\~\ ' pourquoide la ' cause'4(liiàî couple Ce ËIYM. estcomposé dusigne' homme' 'wéïyoùan), con- etdu que ce sont des ' groupecar. ' ' ouc'est-à-dire ' ' //, quisignifie phonétiquecomplexe jonctions particulesconjonctivesquiindi- ' deux,unepaire', estlui-même lequel composé dans la dela les la quent, partie phrase qui suit, ' dusigne cerf (R. 108)surmontéde deux 4suitelogique'de ce quilesprécède. apse aussili. Le Choiiependices qui prononcent ' L'explicationducar.jdng, donnéedansplu- wèndéfinitnotrecaractère : deuxbranches sieursdictionnaires, entreautresdansBasile(Voy. 'par paires (tc'liinU yè). n° 553),de lassas,debilis,•viribusd'arbresqui croissent Deguignes, Li. Forme nese trouvedans précédent, fracîas,lassitudo,imbccUlitas, /jgijÊ le ' vulgaireducaraet. IgtE(792) groupephonét.' étantchangé. aucundictionnaire chinoisconsulté. viribussed /p5 Hoûng. A. hoang. Menteobexeatus /pn Lo.A./fl.En/tfe T tchë—, liTO(792)comp. |/jmj nonminutepollens Ciecus moral'Uer. Vffîi(784)(AOCBJ'C). Aveugle(kién eùlhpouhiëlitchè). [pellatio. d'esprit[fig.s.]. /i*i Choûh.A.d'uli.F.prim.dun"427Â& tfr î leôu—,prudentisrerumadministrationis apNom l'ondonne àunehonue a dministrât. que •mi (785) Cseruleus (t'sûig hëli ssch).|yv -£çI Forme du car.n° 140. Nomenrégismarismeridioualis. Grisazuré.(Ch. primitive ^TfjgSiën. considérés commedeI;É?(793)Anachorèles w.). Nomdonnéau roi de la merméridionale.venus immortels. L'ancienphilosophe a dit_:« Leroi' Tchouang-tseu »delamerméridionale estdecouleur4grisazuré $$â Tsàn. A.toan.Congregare;accumulure. « (choiih); le roide la mer septentrionale est de IM (791)Recueillir.F.primit.dun°7Gl.q.v.
110 9e RADICAL, j 20-22 TRAITS. Humisternere; cadere.Impedire,yè). Nomenproprium.Hauteurdont la superficie /fejï Tien.obstare (tcliiyè). Renverser;tom- est plane.(Ch. w.). Homme qui a eulesdoigtsde ||§!| (795) immobile.Nompropre. ber. Empêcher,[fig.s.]. piedscoupés.Woh-woh, wôhchân,nionssterilis. /#K Nô.A.lia.C. no.F.nô.J. da, [fig.s.]. I .1. — stérile. Inambulandomo-I |_L|— son,montagne I^lt (796)Sedatusincessus. —niè'h,mensanxia,inquies. derationem sereare(hingyebutsiëhyë).Quisefasu- Ittyfc—nghiêt,avoirl'espritanxieux,agité. cilealiisaccommodât (jcoilc/uïnyè).Quoedam tollendam.Démarche calme, perstitioadcpestem 2-3 TRAITS. posée.Qui onserveducalmeet dela gravitédans samarche.(Ch.w.). Quise plie facilement aux *-£* Yùn. A. dodn.C.ivan.F. wun. des autres.Certainescérémonies exigences pour (sinyè). Velle /\S (805)Fidelilas,si/iceritas chasserde malignes influences. (Lûn-yû). Concedere. (k'èngyè).Nomen proprium. : Siô- (tàngyè).sincérité. Tch'oûng.A.wwg'.En composition (Ch. w.). Vouloir.Accorder, fgg Hg(797)tch'oûng, casummilitari, li'à- Fidélité, consentir.Nompropre. —,Jictèdormire.Menacerd'unechuteprochaine. ~~~. glnvdn.J.gen. Fairesemblantdedormir,[fig.s.]. Youèn.k.nghuon.C.wrt.F. origo(cldyè,pènyè). Principium, />M* T'âng. À. thang.Sapientissimus, super- / Ll (806) originale, causa Si, Magnum(ta yè). Principium lïPn(798)eminens(t'ïh yè). Dummodb. (tchlàng originalis.Caput(chebayè). Extensum vel(particulaconditionalis, hoëjdntchltseù).oc- yè). materiametforpuriorcomplectens éminent.(Ch.w.). mamMateria cidentale.Fortuitum. Très-sage; substantiales (k'i yè).Nomenprosimpliciter Si, Ou.Pourvuque.(Cetteparticulen'est guère prium. Principe,origine.(Ch.w.). Grand.Prinquedanslesécritsdel'ancienphilosophecipeoriginel, employée causepremière.Premier.(Y-Kîng). Accidentel. Fortuit. Tchouang-tseu). Chef. Tète; quiest à la tète desautreshommes. t'àng-t'àng,sicutchên-chèn (n°708);liber, (Choù-É.). Étendu.(Y-IL).Matièrepremière,subII j contentas.Avoir l'esprit libre, satisfait. tile,comprenant tout à la foisla substanceet la « Quandona l'esprit libre, satisfait(sût t'àng- forme.Nompropre « t'àng), leschoseschangent - complètement de naiivuscalor;primumprincipium « l'ace.» (Kouan-yin-tseu). yoùen-k'i, le [originale. IAj T^d—khi, premier principeoriginel, seu Tt'ïh aliis ab aliisex—, itère, superemi A|ï£| cellenlid lunoe. —jth, primasdiesprimte etvirluletotumdiffère.Éminent. i/Rj I — dela lune. It^f PI nhdt,lepremierjour première Voirlaformevulgairedece caractèren° 437. — nièn,primasregniannas. JBB-Yèii.A.nghietn.G.im.Y .gé'c'mj .ngen.[f.s.] -^——nièn,lapremièreannéed'unrègne. Iii[x(799) Erectocapite adspicere(iigànt'eou). (Aprimusfamilixavus. venerari{Jwùngyè).Valdècompositus.|?H —t'soù, Hevereri, enélevantla tête. (Ch.w.).Révérer; I 'l'fl. — t"i 'e premierancêtred'unefamille. Contempler spatium129,600annorum. honorer;vénérer.Bien'arrangé,disposé.Cecar. ' seul nhdt—, cyclede 129,600années. Iyïh-yoûen, se prend aussipourle groupephonétique (R.30) yen, qui signifie: Severus,gravis; sé- ." Tsân—, trèsdiesper annum; I scilicet: J—yxi en^nSyoûen,estdecimusvère, grave,rigide, [yè. /S3-Hiâo. A.ngao.Arrogans,supcrbus (ngào quintusdiesprimi mensis; pjlî yXIi.tc'10unS diesscpiimi ITW(800)Arrogant;orgueilleux. (Kli.hi). yoûen,decimus-quintus mensis; p» JljîlLoùï.A. luy. Penderc(fchomyè). Pi- yX2i.^nayoûen, /fYsh dccimus-quintusdiesdecimimensis. (801)ger, tardas{Idahiaiyè). Infirmas$&. î kiàï-yoûen, primusinter Kiù-jindoctores. di- F}\ I S""'—>Ie premier (pingyè). Pendre,suspendre;quelques-uns entre ceuxquiont été sent: paresseux, Infirme. négligent. (Ch.w.). audoctoratdansun examen. promus /3ÊCWang.A. nàng. Tardas;procrastinare T hoéï-yoûen, primusinterlittérales. l^g (802)(soùïyè). Lent;indolent;différer, j£? liai—, le premierentreleslettrés. I g remettre,[fig.s.]. tj_frchoâng—, Iqueminter Tsin-ssé,seuDocto~t\/y< sang—, j res, primumeligitImperator.Le au gradede Tsin-ssé, premierdesDocteurs promu —Yiiên-ynên,i/KPen/.f choisiparl'Empereur. 10eRADICAL, Il 1 TUAIT. cujus sunt adhucnigri; jeune hommedontles capilli cheveux s ont noirs. encore îf Jîn. A.nhôn.C.yan.T.jin. J. zin. estaussilenomchoisiparladynastiemonhocmodo Youën J " (803)Infrà litteramadjectitiam de Chine,quirégnade 1260à 1368. gole siad latus
10" RADICAL, Jl 3-4 TRAITS. 112 ' ' dit le caractère Yoûen caractère un homme que ligure placé T'sing-hoen exprime ÉTYM.Le la « grandevertudu Cielet dela Terre,par qui sousle signedela terreuret delacraintedesmaa touslesêtresvivantsontpris' naissance et se.per- léfices.(Ch.w.). u pétuent.Danslecielc'estle principe', yoûen; /4~. Sien.A.tien.C. sin. F. sien.J. sen. ' uclansl'homme, c'est l'amourdu prochain, l'hu,/Li (811) Priùs, antè (t'sidnyè, tsàoyè). ' erbdicitwti. Frères,en général. IftiJ>£. —plut,pèredécédé. | /fj—koudn, ÉTYM.Caractèredérivédu t3 k'ebu, T t —jîn,ancestor. î A- siên-sëng, magister. ' bouche' (R. 30) etdu R. 10signe (n°' 803); cequi I /V —nhon,ancêtres.| _L.— sinh,maître, ', T&« signifie,dit le T'oùng-lûn,que le premier-né [tion. prxscitio;provisio. son 'puîné',' représenté I /»[!—tchî, —tri, pressentiment hioûng,doit' 'instruire' ; prévision, ' p ercepde bouche'. parle signe hommeau-dessous —ma,antecursor; ; prodromus pramuntius -^^-Tch'oùng.A.sung.C.tclt'ung.V.tch'iûng. ItpSj —md, éclaireur;courrier;messager. ^/(j(808) Longum(tcli'ângyè). Altum(Jitio jgi I tâng—, infronte. imèïyè). )3J| d'ang—,defront;placéde front. yè). Plénum,implere (mànyè).Pulchrum Obstruera (sëhyè).Replere(c/ië/i yè). Quampluri—héou,anteàetposteà. [postérieurement. mum.Nomenproprium.Long; haut. (Ch. w.). 1/5-#^ et 1^. —hdu,avantet après; antérieurement et au Beau. Plein,remplir(auphysique moral). il- siënt'iêntisêng,avantlanaislesoreillesqui n'enten- / V J.jTj Obstruer,obstrué(comme 3-tli et. sauceduCielet dela Terre. dentpas).(Ch.K.). Remplir;rempli à l'excès. 1~rt Le Choùe-wèn dérive ce caractèredu ÉTYM. le Nom propre ' homme' et du n° 50, pris dansle sens (Li-ki).Beaucoup; plus. signe victimas alit tch'oûug-jin, qui utpinguescant.de ' marche'. desvictimes. 1Î/ V—nhàn,hommequiengraisse MX.Koùang. A.quang.C. hvong.F. /long. —tsoiïh, o pulenlus (plenus divitiis). —tue,opulent,pleinderichesses. /[_i (812)\Lumen,claritas,splendor(ming 1£f /£ — (hôeïyâoyè).Resleadjinemregni,uîibijinem yè).Illuslrare;splendidum ™ kiûn,!) ejectus clarté,splendeur. proprium.Lumière, I3j qudn, agat (quodestquartusexsuppli- vis.Nomen brillant.Glorieux. i lluminer; w.).Éclairer, ciUSinensibus). (Cli. euexil. Envoyé ÉTYM.CaractèredérivéduR. 10, 'homme', Choselégère.Nompropre. illuminare. et du groupesupérieurabrégé se prononçant koûang-tch'âo, yfâ —chiêou,illuminer;rendreéclatant. li'ioung.(Ch. w.). ItJS hién, illuslrare;decorare. 4 TRAITS. 1^3— j5^|j— hiên,rendreillustre; décorer; décors. J.HI—kouén,quiarteetdolovitanitransigit. C.tchiu.F.tiâo.J. teô. T ^JL.Tchào.A.trieù. qui vitderuse etde fraude. I findere,et TtEi—côn, y\li (809) Assatamtestitudinem —king, m odus, figura. quodper ipsamquoeritur.11=3. —cdnk,airs aliquomodoostendere du visage; apparencesextéMilliamillium.Altar. Présage ob- Jjj^ circonstances Prognosticon. convenables. ; tenuenconsultant lesentrailles d'unetortue.Nom rieures —mîng,splendidum. denombre: Unmillion(chiffresouventindéterminh,splendide. minépourindiqueruntrès-grandnombre,' toute Ittfl )] —• — elle,radii. la population d'autelsélevésen '). Emplacement — l'honneurde puissances surnaturelles. ItU. ,J] — xa. rayonslumineux. hôa, splendens. £h î siën-tchào, prognosticon, proesagium. 35 —hoa,pulckritudine brillantdebeauté. 7QI thién—,pronostic,présage. 1^.dominassplendoris. i I king—, Regiaaula(ubi' magnamultitudo' -i- Ttchù-kouaug, ~t I chû—le Régentdusoleil; le soleil. Jy->| kiiili—, sedemliabet).Villecapitale. î ~?"toûkoùang locasepulcrisassignata, liào,omniasuntconsumpta. *J»I tsëli—, auxmorts. "XJ| trach—, lieuxconsacrés tTt Y | J d'à —, toutestconsommé. ÉTYM.Car.dérivé duRad.du' feu' (86)placé A. hung.C.id.F. hiung. |Xf Hioûng. ' homme au-dessus d u ', ce quidonnel'idée Alicui etiimorem signe S(ll (810) molcstiamproebere ' '. (Ch.w.). meutere (jaok'oitngyè).Legituretiamhioùngm de brillant eodemsensu.Fairedumalà autruiet lui inspirer /£V Toûï. Lxlari.Seréjouir.F. vulg.de,psde lr.terreur.(Ch.w.). Se lit aussihioùng. /Q(813) Voirci-après,len° 815. *p£j, 111
TEXTES
CHINOIS
ACCOMPAGNÉS DE TRADUCTIONS, PUBLIÉS PAUM. G. PAUTHIER.
. T. fët^ Td ihiôh, ou la Grande Étude, ouvragede CONFCCIUS recueilli par ses disciy v -T- pies, en chinois, en latin littéral et en français, avecla traduction complète du commentairede TCHOIT-HI. Paris, 1837, in-8°. Prix (réduit de moitié pour les souscripteurs au Dictionnaire) , t 6 IV. ""lir^lS ^^ Tdotëh King, ou le Livre de la Raison suprême et de la Vertu, par '^J3 |nu>'Pi LAO-TSEU. Traduit pour la premièrefois et publiéavecune version latine littérale et le texte chinois en regard; accompagnéde la traduction complète du commentaire de Sie-hoéï,etc. Paris, janvier 1838.lre livraison,in-8°. Prix (réduitid.) 5 fr. NOTAL'impression durestantdu livreserareprise. T ^fe JE^ Î&A>/:&fa. |+j |3J r| Td T'sîn kîng kido lieôu Mng Tchoûng^A »)h IJ l P^ UrKoûepéï. L'Inscription Syro-chinoisede 7v
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Exposé primitif delà
de.Zoroastre, traduit du zend, etc.