Sauve-comment Etre S

Comment puis-je être sauvé ? La condition de l’homme « Seigneurs, que faut–il que je fasse pour être sauvé ? » (Actes 16:30*). Cette question, qui été posée il y a près de 2000 ans résonne aujourd’hui encore dans le cœur des hommes et des femmes. Elle était adressée à l’apôtre Paul et à son compagnon Silas, par leur geôlier. Leur La réponse de l’apôtre fut la suivante : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. » (Actes 16:31). A la lecture de l’échange entre ces hommes, plusieurs questions et remarques peuvent nous venir à l’esprit : Peut-être pourrait-on se dire ceci : « Cet homme avait besoin d’être sauvé parce qu’car il était mauvais. En effet c’était un geôlier romain, un homme dur, qui avait assurément commis des exactions au cours de sa vie. Mais moi, je ne suis pas ainsi comme ça. Je suis quelqu’un de bien. Pourquoi aurais-je besoin d’être sauvé ? Pourquoi Dieu ne m’aimerait me prendrait-il pas, moi qui ne fait de mal à personne ? Et puis, sauvé de quoi ? ». Voici ce que la Bible nous enseigne à ce sur ce sujet (ou à ce propos): « Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir … » (Actes 17:30). En effet, tous les hommes, quelques soient leurs horizons, ont à se repentir de leurs péchés. Mais peut-on faire sans (trouver une meilleure formulation)? Pourquoi cette repentance serait-elle nécessaire ? La réponse est non, on ne peut faire sans (idem). Cette repentance est nécessaire, et même indispensable à la vie de l’homme, car il est écrit : « Il n’y a point de juste, pas même un seul … » (Romains 3:10). Aux yeux de Dieu, même le meilleur des hommes n’est pas juste est injuste. Souvent, les hommes atténuent leurs erreurs en disant « Je ne suis pas un saint », alors que Dieu Lui est juste, Saint et Parfait. Il nous dit ceci : « Vous serez saints, car je suis saint » (1 Pierre 1:16). A la lumière de ces versets, nous voyons clairement que nous avons besoin d’être sauvés de nos péchés. Suggestion : A la lumière de ces versets, n’est-il pas évident que nous avons besoin d’être sauvés de nos péchés ? Le péché est comme une barrière infranchissable, qui sépare l’homme de Dieu, selon ce que nous dit la Parole de Dieu : « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Romains 3:23). En effet, tous hommes sont des pécheurs. Il n’y a pas d’exception. Pour se faire une meilleure idée, imaginons que Dieu soit un océan et que l’homme pécheur soit une allumette enflammée. Si on les mets en contact, que se passe-il ? L’allumette s’éteint. De pars leur nature, le feu et l’eau ne peuvent cohabiter ensemble. Il en va de même du Dieu Saint et de l’homme pécheur. Le péché les sépare irrémédiablement.

Le problème ne vient pas du fait que l’homme ne fait pas suffisamment de bonnes choses. Il n’est pas non plus question ici de mérites. Le problème du péché est beaucoup plus complexe et s’avère impossible à résoudre pour l’homme. En effet, une fois que l’on a péché, on est devenu pécheur. Il n’y a pas de retour en arrière possible, tout comme quand on a grandi, il nous est impossible de redevenir enfant. L’homme ne peut se racheter lui-même. Il est perdu à cause de ses péchés. Telle est la condition de l’homme.

Jésus-Christ, le Fils de Dieu est la réponse de Dieu au problème du péché Heureusement pour nous, Dieu est bon, bienveillant et miséricordieux, comme le dis la Bible Parole de Dieu: « Mais toi, Seigneur, tu es un Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité » (Psaumes 86:15). Il ne veut pas que l’homme soit séparé de lui. Son but au contraire est de nous avoir avec lui pour l’éternité, car il nous aime. Il dit : « Je t‘aime d’un amour éternel ; c’est pourquoi je te conserve ma bonté. » (Jérémie 31:3). Comme l’homme n’est était pas en capacité de se sauver par ses propres actions, c’est Dieu lui-même qui intervient du intervenir. En effet, le seul moyen qui pouvait régler le problème du péché dans la vie de l’homme était une intervention divine. C’est la raison pour laquelle Dieu est venu parmi nous dans la personne de son Fils, Jésus-Christ. Jésus, le Fils de Dieu, s’est incarné dans le corps d’une jeune fille vierge, nommée Marie. Il est né comme n’importe quel petit enfant. C’est là le moyen que Dieu choisit pour venir parmi nous, afin de régler pour nous le problème du péché.

Qui donc est réellement ce Jésus-Christ ? Au ciel, Jésus est appelée la Parole de Dieu. Il est le Fils unique engendré de Dieu et Dieu lui-même. Il est le Seigneur et Maître de l’univers. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu … Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. » (Jean 1:1-2 et 14).

Si Jésus-Christ est Fils de Dieu et Dieu lui-même, quelle est sa différence avec Dieu le Père ? Le roi Salomon qui construisit le Temple de Dieu à Jérusalem déclara ceci : « Mais quoi ! Dieu habiterait-il véritablement sur la terre ? Voici, les cieux et les cieux des cieux ne peuvent te contenir : combien moins cette maison que je t'ai bâtie ! » (1 Rois 8:27) En effet, Dieu le Père est infini, au point que même l’univers ne pourrait peut le contenir. Comment un Dieu si grand pourrait-il être compris pleinement appréhendé par l’homme et ou même par les anges, qui bien que plus sages et puissants que ne le sont les hommes, restent néanmoins des créatures finies ? Le Fils de Dieu n’est pas fils au sens de la d’une filiation humaine. Il s’agit plutôt d’une image nous permettant de mieux saisir la relation qui existe entre le Père et Fils. Dieu le Fils ou La Parole de Dieu est en fait Dieu le Père, qui s’est mis à un niveau que nous puissions comprendre nous et ses anges. (Mal exprimé et donc faux). Il aurait mieux valu dire par exemple : « Le fils est une manifestation de Dieu Le Père invisible et inaccessible, engendré directement par Le Père en vue d’une communion étroite avec ses créatures. »

« Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père ; comment dis-tu : Montre-nous le Père ? » (Jean 14:8-9)

La mission de Jésus-Christ sur terre « C’est pourquoi, En entrant sacrifice ni oblation ; mais holocaustes ni sacrifices pour de moi qu’il est question dans (Hébreux 10:5-7)

dans le monde, le Christ dit : Tu n’as voulu ni tu m’as façonné un corps. Tu n’as agréé ni les péchés. Alors j’ai dit : Voici, je viens, car c’est le rouleau du livre, pour faire, ô Dieu, ta volonté. »

Jésus-Christ est la Parole de Dieu, Dieu le Fils, venu parmi les hommes. Bien qu’il soit pleinement Dieu, Jésus était aussi pleinement homme. Il choisit de prendre cette forme afin de se mettre A travers Jésus, Dieu se mit à la portée d’êtres humains tels que nous. Ainsi, durant sa vie d’homme, Jésus a vécu avec les limites d’un homme : Il eut sommeil, il eut faim, soif, il éprouvait de la fatigue ... Mais Jésus-Christ homme fit ce qu’aucun autre homme ne pouvait faire : Il vécut sans pécher. Le Seigneur Jésus était pur de tout mal, de toute mauvaise action. Il n’y avait rien en lui qu’on puisse lui reprocher, que se soit dans ses actes ou ses pensées. « Qui de vous me convaincra de péché ? Si je dis la vérité, pourquoi ne me croyez-vous pas ? » (Jean 8:46). Christ est venu sur terre, non de sa propre initiative, mais en répondant à la volonté du Père. Il est venu sur terre avec la mission de réconcilier l’homme avec Dieu et, en supprimant cette barrière qu’est le péché. « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui–même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. » (2 Corinthiens 5:19).

Quelle était donc cette mission que Jésus allait devoir accomplir ? Comme on l’a dit plus haut, l’homme est pécheur. Mais le péché n’est pas sans conséquences. Il est écrit en effet : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus–Christ notre Seigneur » (Romains 6:23) Jésus-Christ est venu afin que nous n’ayons pas à subir les conséquences de notre péché. Il est venu pour nous soustraire au jugement qui doit tomber sur le péché. Mais alors, pourquoi Dieu ne pardonnerait-il pas nos péchés, tout simplement ? La réponse est simple : « L’Eternel est lent à la colère et riche en bonté, il pardonne l’iniquité et la rébellion ; mais il ne tient point le coupable pour innocent … » (Nombres 14:18) Si l’être humain est prêt à absoudre les coupables quand ça l’arrange, Dieu n’agit pas ainsi. La Bible nous dit qu’« il ne tient point le coupable pour innocent ». Si nous devions nous porter les conséquences de nos péchés, nous serions tous condamnés à passer l’éternité loin de la présence de Dieu. Etant des pécheurs, même notre mort serait impuissante pour nous sauver. N’ayant aucun moyen de nous sauver, c’est Jésus-Christ qui intervient à notre place. Jésus s’est substitué à nous et à subit à pour nous le jugement qui devait nous frapper. Sa mission était fut de porter à notre place le poids de nos péchés en

mourant pour nous. Dans son amour pour nous, il n’a pas regardé au fait que nous étions comme couverts de la boue du péché et indigne de Dieu, mais au contraire, il s’est livré pour nous. « Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. » (Romains 5:6) « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3:16) La mort de Jésus n’était ne fut pas un hasard. Il ne faut pas la considérer comme une erreur judiciaire. Il s’agissait bel et bien du plan de Dieu pour le rachat de l’humanité. Ce plan fut révélé par Dieu dès la chute de l’humanité dans le péché. En effet, Dieu parlant au serpent à propos d’Eve dit : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. » (Genèse 3:15). En mourant sur la croix, Jésus, la postérité de la femme écrasa la tête du serpent, c’est à dire le Diable, mais cette victoire lui valut de grandes souffrances, car rappelons le, les clous les crucifiés leur transperçaient le talon. Tout au long de l’écriture biblique, la venue de Jésus, ses souffrances, sa mort, sa résurrection et sa gloire furent annoncées par les prophètes envoyés par Dieu. Voici ce que nous dis le prophète Esaïe en ce qui concernant les souffrances qu’aurait à subir de Jésus et l’œuvre de Dieu qui en découlerait : « De même qu'il a été pour plusieurs un sujet d'effroi, –Tant son visage était défiguré, tant son aspect différait de celui des fils de l'homme, – De même il sera pour beaucoup de peuples un sujet de joie ; devant lui des rois fermeront la bouche ; car ils verront ce qui ne leur avait point été raconté, ils apprendront ce qu’ils n’avaient point entendu. Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée ; il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et l’Eternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent ; il n’a point ouvert la bouche. Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment ; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu’il était retranché de la terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple ? On a mis son sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche, quoiqu’il n’eût point commis de violence et qu’il n’y eût point de fraude dans sa bouche. Il a plu à l'Eternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, il verra une postérité et prolongera ses jours ; et l'œuvre de l'Eternel prospérera entre ses mains. A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, et il se chargera de leurs iniquités. » (Esaïe 52:14-53:11). Jésus est allé jusqu’à la mort de la croix, afin de payer nos fautes. Mais ce notre Seigneur n’est pas un Dieu mort. Si Jésus n’était n’avait pas été ressuscité, il ne

servirait à rien de croire en lui. De plus, cela voudrait dire signifierait que nos péchés n’ont pas été payés. De ce fait, l’humanité entière serait perdue. Mais notre Seigneur est ressuscité ! Sa résurrection est pour nous la garantie que le péché inhérent à l’humanité a été payé, et que Dieu Le Père a accepté son sacrifice. « Il leur dit : Ne vous épouvantez pas ; vous cherchez Jésus de Nazareth, qui a été crucifié ; il est ressuscité, il n’est point ici ; voici le lieu où on l’avait mis. » (Marc 16:6) « ... nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur, lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification. » (Romains 4:24-25) « Le Dieu de nos pères a ressuscité Jésus, que vous avez tué, en le pendant au bois. » (Actes 5:30) Maintenant, le pardon de Dieu est accessible à quiconque le lui demande, selon ce qui est écrit : « … et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. C'est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, … afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus. » (Romains 3:23-26)

Mais alors, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? La réponse est simple : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. » (Actes 16:31). Telle est la bonne nouvelle qu’est l’Evangile, car l’Evangile signifie « Bonne nouvelle ». Cette bonne nouvelle, c’est que malgré nos péchés, notre méchanceté, notre indignité, il y a dans les cieux un Dieu bon qui nous dit ceci : « Dis-leur : Je suis vivant ! dit le Seigneur, l'Eternel, ce que je désire, ce n'est pas que le méchant meure, c'est qu'il change de conduite et qu'il vive. » (Ezéchiel 33:11). Au travers de sa parole, le Bible, Dieu nous invite à rétablir la paix entre Lui et nous : « ... Nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! » (2 Corinthiens 5:20) Cette réconciliation n’est possible que qu’à travers par la foi en Jésus-Christ. Afin que nous recevions le pardon de nos péchés, Dieu nous s’attends de nous que nous lui demandions pardon avec sincérité d’une part, et d’autre part, que nous nous tournions vers lui, c'est-à-dire que nous nous convertissions. « Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir … » (Actes 17:30). « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés … » (Actes 3:19) La conversion consiste en un changement de comportement, nous faisant passer de l’état de personnes vivant sans trop se soucier de Dieu, à l’état de personnes sincèrement croyantes, dont le cœur et les actions sont maintenant orientées vers ce Dieu qui les a sauvées. C’est là le résultat d’une repentance sincère. En effet, demander sans cesse pardon et recommencer sans cesse les mêmes péchés n’est pas une attitude de sincérité. De plus, Dieu n’est pas dupe ! Dieu accorde un plein pardon à quiconque mets sa foi dans l’œuvre que JésusChrist à accompli pour notre salut. Il veut juste seulement que nous lui demandions pardon pour nos péchés et que nous changions de façon de vivre, c’est-à-dire que nous essayons sincèrement de vivre d’une manière qu’il agréé.

« Mais si je demande pardon, Dieu voudra-il me pardonner à moi aussi ? » Oui ! Sachons avec certitude que si nous demandons pardon à Dieu avec sincérité, nous avons de sa part la promesse qu’il nous pardonnera : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » (1 Jean 1:9). Souvenons nous que la base de notre salut est Jésus-Christ, et qu’en dehors de son œuvre rédemptrice, il n’y a pas de salut possible pour l’homme. C’est pourquoi la Bible nous dit : « Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus–Christ homme » (1 Timothée 2:5). C’est pourquoi Jésus déclare ceci : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par qu’à travers moi. » Jean 14:6.

Dieu nous offre son salut gratuitement. Nous ne le méritons pas, mais dans son amour il nous le donne : « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Ephésiens 2:8-9). Pour conclure, En conclusion : le salut que Dieu nous propose nous place devant ce choix : « … J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité … » Si nous voulons choisissons la vie, alors plaçons notre foi en Jésus. Acceptons-le comme notre Sauveur ; celui qui a entièrement payé nos péchés. Confessons à Dieu nos péchés et tournons-nous sincèrement vers lui, pour marcher dans ses voies. Alors ces paroles de Jésus deviendront des promesses qui nous sont faites personnellement : une promesse personnelle : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. » (Jean 11:25-26). « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle. » (Jean 6:47).

On n’écrit plus les chpt et versets de la sorte, mais comme ceci : Jean 6, 47 ; Jean 6, 47-55 ; Jean 6, 5.7.11.55 etc..