Phi Lo Sophie

  • June 2020
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  • Words: 718
  • Pages: 3
Olivier Ouellet groupe : 03624

1. Le bonheur est

propre a chacun, il permet de définir ce que

chaque personne aime et même dans quelque cas les valeurs de ceux-ci. Exemple, une personne peut avoir comme valeur l’amour et l’amitié donc cette personne va avoir comme définition du bonheur de passer beaucoup de temps en famille et avec ses amis. Une autre personne va avoir comme valeur l’argent donc cette personne dira que le bonheur c’est de travailler et d’avoir beaucoup d’argent mais pas nécessairement que la famille n’importe pas car elle peut dire que ce n’est pas sa priorité mais quand même y apporter de l’importance et cela pourrais même la rendre un peu heureuse mais moins que son travail et l’argent que sa lui rapporte. Parce que ce n’est pas parce qu’une chose est moins importante qu’une autre qu’elle ne nous rend pas heureuse. Donc la réflexion philosophique peut ou ne peut pas permettre le bonheur, c’est ce que nous verrons dans les prochaines lignes.

2. La réflexion philosophique permet le bonheur car on peu se

poser des questions sur ce qu’on n’aimait pas avant et apprendre à les aimer grâce a notre réflexion philosophique. Plus on aime de choses dans la vie, plus on a de chance d’être heureux car le bonheur est selon moi propre a chacun donc quelqu’un ne pourrais ne pas trouver le bonheur dans la vie de quelqu’un d’autre du même que cette personne ne le trouverai pas

dans

la

vie

de

l’autre.

De

plus,

si

on

pense

philosophiquement, on voit de moins en moins le côté sombre

des choses, alors on apprend a mieux les aimer. Par exemple, moi avant je n’aimais pas travailler, mais après que je me sois questionné philosophiquement sur le sujet, je me suis rendu compte que c’était important si je voulais une voiture et plein d’autres trucs. Je n’aimais pas travailler car je ne pouvais pas voir mes amis mais après plusieurs heures de réflexion je me suis dit pourquoi pas me faire de très bon ami où je travaille comme sa je vais régler le problème et c’est ce que j’ai fait. 3. L’imbécile heureux comme le dit si bien dans le texte Guy de

Maupassant est heureux à rien. Il dit qu’il ne sais pas la définition du bonheur et c’est très normal car le bonheur ne se définit pas, on ne peut pas vraiment lui donner de définition comme la grande question, à quoi sert la vie? Ce sont des questions sans réponse parce qu’il y a plusieurs réponse. C’est bizarre a dire mais c’est ainsi, on ne peut pas leur trouver de vrai réponse donc si on dit que la réflexion philosophique amène le bonheur, oui sa peut être vrai mais sa peut aussi bien ne pas être vrai car quelqu’un peu ne vraiment pas aimer se questionner sur des sujets car il dit que la vie est faite pour être vécu et non pensé. Et ils ont peu être raison car pourquoi sans cesse penser, ne pourrions-nous juste pas vivre sans se poser de questions. On pourrait très bien oui et même que je suis sur que cela ferais le plus grand bien au grand homme d’affaire qui sont sans cesse on train de se poser plein de question, cela les détendrai et les rendrai moins bête avec leur employer. 4. D’après moi, la réflexion philosophique ne permet pas le bonheur

mais il faut quand avoué que penser n’est pas toujours néfaste, il faut par contre choisir avec le plus grand soin les sujets auxquels nous philosophons. C’est cela qui me nuance par rapport a mon

opignons, la vie est faite pour être vécu, on n’en n’a qu’une alors pourquoi la perdre a penser, il faut vivre mais en même temps, il faut aussi réfléchir parfois pour pouvoir mieux vivre, pour pouvoir mieux apprécier les petites choses de la vie comme ma mère me dit si souvent. Et encore plus ceux qui n’ont rien, eux on besoins d’apprécier leur chose et en même temps, il ne faut pas trop qu’il pense philosophiquement car ils peuvent peut-être réaliser qu’ils n’ont rien. Voila ce qui m’embête et me demande si c’est bien de réfléchir sans cesse. Moi je dit qu’il faut parfois philosopher mais sans plus car toute abus n’est pas bon.

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