1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE Pour un pacte de travail et une économie de proximité Pour une action au cœur de notre territoire, co-responsable et éco-citoyenne Fidèle à notre précédent engagement sur le territoire, nous inscrivons cette nouvelle action collective dans une démarche de développement durable, globale et transversale. Elle servira de cadre de référence pour renforcer les dynamiques collectives et identitaires. Ainsi, nous envisageons un développement soutenable qui permet de mobiliser et de valoriser nos ressources face aux problématiques complexes auxquelles nous sommes confrontés.
Pourquoi une approche territoriale? Le territoire est une ressource pour l’action, le développement local et la cohésion sociale, au travers de sa dotation en ressources environnementales, humaines et entrepreneriales. Il nous aidera à définir un espace de référence en terme d’expériences, de bonnes pratiques, de conduite de projets dans le domaine de la gestion de l’économie et de l’emploi local, de l’équité sociale, de la solidarité, de la santé et qualité de vie, de nos patrimoines issus de notre diversité culturelle et générationnelle.
Des actions pour notre territoire Le territoire d’Outremont et Côte des Neiges est déjà un lieu de dialogue territorial. Face aux nouveaux enjeux économiques et sociaux nous proposons une démarche inédite et des solutions de référence, pouvant être ainsi à l’origine d’une nouvelle intelligence sociale et économique. Outre les ressources économiques et l’excellence en matière d’éducation et de santé, nous détenons une richesse non négligeable qui résulte de l’utilité et la richesse des services rendus par les bénévoles et les salariés de nos associations et organismes communautaires. L’économie sociale et solidaire propose des prestations de services d’intérêt collectif, insertion de publics en difficulté, intégration des communautés immigrantes, c’est un véritable «tiers secteur» qui doit valoriser ses acquis et renforcer les offres existantes sur notre territoire et qui représente de nombreux emplois salariés, «non dé localisables». En instituant cette rencontre le 5 octobre 2009, nous tissons la toile des acteurs territoriaux pour permettre la mise en place d’une démarche intégrée, destinée à développer ensemble un projet entreprenarial territorial dont les objectifs sont :
> Instaurer un cadre d’échanges et définir une stratégie d'action, partagée et prospective
> Favoriser l’interconnaissance et constituer un observatoire territorial en valorisant les initiatives socio économiques > Construire une réserve des ressources disponibles en repérant les expériences novatrices, les pratiques nouvelles de concertation et les compétences directement mobilisables ainsi que les potentiels de développement > Entreprendre des actions locales ciblées et définir des logiques d’opportunité (à court terme), d’adaptation (à moyen terme) et de durabilité (à long terme). A l’incertitude économique et à la situation de crise, nous répondons par la proximité.
> Une proximité géographique due à la présence physique sur notre territoire de nombreuses institutions et acteurs qui entretiennent entre eux des rapports de participation et de coopération. > Une proximité de ressources multiples qui définit un capital social territorial unique et rare destiné à créer et à organiser un maillage serré pour exploiter toutes les ressources, les réinvestir et enrichir notre territoire.
Qu’allons nous faire ensemble ? Nous proposons :
> De valoriser les potentialités locales en élargissant le forum à tous les acteurs concernés par les thématiques de notre forum. Les intervenants peuvent être tour à tour stratèges, conseillers, financeurs et/ou opérateurs sur des actions locales. Ainsi nous accueillerons :
Instances politiques et élus des niveaux, municipal, provincial et fédéral - les institutions de la santé et du savoir - les et les travailleurs autonomes - leslesentreprises - structures dédiées au développement local, à l’emploi et à l’insertion, à la protection du cadre de vie et à la participation citoyenne.
> De bâtir des proximités informationnelles et cognitives par la capitalisation de connaissances et de réalisations pour alimenter les réflexions et les décisions des acteurs.
> De réguler par des dispositifs innovants, les opportunités de travail en partenariat.
Nous avons retenu 2 thèmes identifiés lors du forum 2008
Emploi durable :
- Gestion des compétences et qualification - Emploi et insertion au marché du travail - Développement de nouvelles filières en emploi et formation et services en green business
Un marché local durable :
- Développement des opportunités d’affaires - Création de produits et services en économie verte
Chaque thème est soutenu par :
> Un atelier destiné à alimenter la réflexion par : La présentation des ressources détenues par les acteurs La formulation des recommandations par les experts des domaines du développement local La proposition des meilleures pratiques
-
> Un rendez-vous entre professionnels et acteurs du territoire destiné à: présenter les différentes offres de produits et services existantes sur le territoire définir de nouveaux partenariats clients - fournisseurs, développer de nouveaux projets qui lient la protection de l’environnement et l’économique
-
THÈME1: Emploi durable
THÈME2: Achat durable
informer
diffuser
accompagner
réaliser
2. PROGRAMME DE LA MATINÉE ACCUEIL à partir de 7h30 jusqu’à 8h 8h . 8h30 | Allocutions de : M. Raymond Bachand Député d’Outremont, ministre des Finances, ministre responsable de la région de Montréal. M. Pierre Arcand Député de Mont-Royal, ministre des Relations internationales et ministre responsable de la Francophonie. M. Thomas Muclair - Député fédéral d’Outremont et chef adjoint du N.P.D. Mme Marie Cinq-Mars - Maîressse d’Outremont. M. Michael Applebaum - Maire de Côte-des-Neiges et de Notre-Dame-de-Grâce. M. Jérôme Bugel - Président de l’Association des Gens d’Affaires de Côte des Neiges. Mme Leyla Rahmouni - Consultante-chargée de projet. 8h30h . 10h30 | Ateliers et Rendez-vous
Emploi durable
10h30 . 11h | Pause 11h . 11h45 | La Plénière 11h45 . 12h | Clôture du Forum 12h . 12h30 | Conférence de presse
Achat durable
3. atelier de l’emploi durable et de l’achat durable
5 octobre 2009
LE DÉVELOPPEMENT DURABLE TERRITORIAL
EMPLOI DURABLE
achat DURABLE
| POUR UNE ACTION CO-RESPONSABLE ET ÉCO-CITOYENNE AU CŒUR DE NOTRE TERRITOIRE
Pour ce qui est de l’avenir, il ne s’agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible A. de Saint-Exupéry
| 1 | QUIZZ
Connaissez-vous des collaborateurs qui habitent sur le territoire? Qu’allez-vous achetez sur le territoire?
| OBJECTIF DU FORUM
S’approprier le développement et s’assurer le contrôle sur les conditions de vie et de prospérité du territoire
Think globally, act locally. Penser global, agir local. R.J Dubos
| OBJECTIFS DES ATELIERS ET DES RENDEZ VOUS
* Informer sur les potentiels du territoire et transmettre des pratiques
gagnantes en developpement durable intégré
* Susciter l’adhésion a des principes en terme d’emploi durableet d’achat
durable
* Associer les fournisseurs et les consommateurs de biens et services pour
soutenir et développer la prospérité économique et favoriser la cohésion sociale du teritoire
| LA STRATÉGIE DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC EN DÉVELOPPEMENT DURABLE 2008-2013 1-
2-
3-
Dès 2010 , envi ronn un «indi eme ce aux ntale de p côté » ressi s pren chôm du P on dra age place des É IB et d u ta tats u mem bres x de de U E
LES ACTEURS PRIORITAIRES
* * * *
Les Les Les Les
municipalités établissements des réseaux de l’éducation établissements des la santé et des services sociaux entreprises
LES ORIENTATIONS PRIORITAIRES
* * *
Informer, sensibiliser, éduquer et innover Produire et consommer de manière responsable Aménager et développer le territoire de façon durable et intégrée
LES INDICATEURS
Destinés à établir un portrait dynamique de l’environnement et à jauger les progrès du territoire en terme de développement durable par domaine: santé, énergies, transports, qualité de vie, éducation, emploi etc. Exemple: 1000 écoles et collèges au Québec sont des établissements verts Burtland
* * * * * * * *
Indice de développement humain (HDI) Taux de couverture Taux de croissance de l’emploi local Services à domicile livrés Réduction des temps de déplacements Taux d’énergies renouvelables consommées Éco conditionnalité des projets et subventions Écolabels
| 2 | LES ATELIERS
| LE TERRITOIRE : UN AVANTAGE COMPÉTITIF Le territoire est défini comme un espace géographique qualifié par une appartenance juridique et/ou par une spécificité naturelle, culturelle à la fois économique et sociale par les groupes qui le composent. Ses matières premières sont l’éducation, l’information, le savoir faire et la créativité. Coordonnées dans une vision, elles permettent de définir une compétence économique spécifique. * Faible impact environnemental * Prévention des ressources * Réduction des consommations
écologie
social
* * *
économique
Responsabilité/Exemplarité Aide à l’insertion socioprofessionnelle et à la réduction du chômage Respect des conditions et règles du travail
* * * *
Maîtrise de la qualité Création de valeur Maintien et création d’emplois Pépinière d’entreprises
| LA CIRCONSCRIPTION ELECTORALE PROVINCIALE D’OUTREMONT Résultat d’un découpage administratif, il comprend: - La totalité de l’arrondissement d’Outremont - Une partie de l’arrondissement CDN-NDG et du plateau Mont Royal
| 2.1 | L’EMPLOI DURABLE
Un défi partenarial
| OBJECTIFS
* Connaître
ensemble: avoir une connaissance partagée des enjeux démographiques et des évolutions de l’emploi sur le territoire.
* Mettre en cohérence: permettre l’adéquation des projets et des mesures à
partir des spécificités du territoire.
* Agir en partenariat : bâtir une synergie entre les administrations, les
institutions, entreprises et les organismes et associations dédiés pour accompagner les ajustements en emplois et les besoins en compétences du territoire.
| 2.1 | L’EMPLOI DURABLE
Un bassin d’emploi est un espace géographique où la majeure partie de la population habite et travaille .
Objectif: Renforcer le maintien ou développer des activités considérées comme stratégiques pour ce territoire en favorisant le maillage entre les ressources en compétences du territoire et le maintien et/ou le développement des emplois.
écologie
social
économique
*
* La durabilité en emploi: ≠ salariat≠ stabilité ≠ sécurité ≠ accessibilité
Définition: C’est un emploi stable (autoentrepreneur) qui échappe à la crise, c’est un emploi dans les secteurs en développement
| LES ENJEUX DU TERRITOIRE * Quels sont les enjeux des institutions et des entreprises ? * Quelles sont les contraintes rencontrées? * En quoi le territoire peut-il être une ressource? * Quelle est la démarche? * Quels seraient les indicateurs?
| 2.2 | L’ACHAT DURABLE,
L’ACHAT RESPONSABLE, L’ACHAT LOCAL
Une assurance vie
| OBJECTIFS Connaître ensemble: avoir une connaissance partagée des enjeux et des évolutions de l’achat responsable sur le territoire
* Mettre en cohérence: permettre l’adéquation des offres et des besoins et
revoir projets et procédures à partir des spécificités du territoire
* Agir en partenariat : bâtir une synergie entre les administrations, les
institutions, les entreprises et les travailleurs autonomes pour renforcer les places d’affaires et proposer une banque d’opportunités en affaires et plus particulièrement en éco-activités
| 2.1 | L’EMPLOI DURABLE *
* Réutilisation de matières premières
Un achat durable et responsable: ≠ le moins disant ≠ empreinte carbone ≠ gestion des ressources écologie
Les j eu sont x 2010 d les p e Van remi ers je couver ux du rable s
* Responsabilité/Exemplarité * Éthique,Bio,Équitable,etc.
social
économique
* Maintien et création d’emplois * Création d’entreprises
* Aide à l’insertion socioprofessionnelle et à la réduction du chômage
L’achat durable se joue dans le maillage des besoins et des offres sur un territoire: Exemple: Finlande : KULTU Programme national pour la promotion de la consommation durable (2005) Suède : Think Twice : an action-plan sustainable household consumption
| LISTE DES BESOINS BIENS
SERVICES
Outils
Imprimerie/ Reprographie
Quincaillerie
Services conseils en informatique
Fournitures de bureau
Services de protection; Sécurité
Équipements et fournitures audiovisuels
Affichage; Publicité,
Fournitures informatiques et logiciels
Bureaux
Équipements et fournitures électroniques
Plomberie; Électricité; Vitrerie
Équipements et fournitures photographie
Comptables
Produits sanitaire et d’entretien ménager
Pharmacie
Uniformes(sécurité, entretien)
Architectes; Dentistes; Avocats; Traducteurs
Mobilier/ appareils électroménagers
Services conseils(RH, Environnement,etc.)
Fournitures électriques
Voyages et hôtellerie; Location de véhicules
Articles promotionnels
Entretien ménager
Équipements et articles de sports
Épicerie; Restauration
Articles de manutention
Nettoyeur
Équipements et fournitures alimentaires
Soins corporels:Coiffure/Beauté; Fleuriste
| LES ENJEUX DU TERRITOIRE
* Quels
sont les enjeux des institutions?
* Quelles sont les contraintes rencontrées? * En quoi le territoire peut-il être une ressource? * Quelle est la démarche? * Quels seraient les indicateurs?
| 3 | LES ÉCO-ACTIVITÉS
The green future
Le président américain OBAMA prévoit injecter 6,2 G$ pour améliorer l’efficacité énergétique des logements à revenus modestes
Wal-Mart lancera un «indice de durabilité» les fournisseurs devront décrire l’empreinte écologique de leurs produits
Marché mondial des produits et services environnementaux: 2008: 1 370 milliards $ /an 2020: 2 740 milliards $ /an France: 450 milliards € et 600.000 emplois pendant 12 ans Canada:
En 2008, 36% des capitaux-risqueurs du monde entier soit 64 M$ dans le domaine du Leed Source: cabinet-conseil américain Cleantech Group
Source: ONU Green jobs, towards decent
Le fonds Axa WF Human Capital sélectionne ses cibles d’investissement en fonction de la qualité des conditions de travail et de la capacité des entreprises à préserver et à créer des emplois.
work in a sustainable, low carbon wrld
Québec: 3,1 milliards $ 19% des revenus canadiens environnementaux 32 000 emplois
Charte de développement durable en Montérégie Est
Canada: Revenus de 15,8 milliards de dollars 7 milliards pour les services environnementaux 6,6 milliards pour la vente de biens environnementaux 2,2 milliards pour des projets de construction liés à l’environnement (14%).
L’université Laval crée un Fonds de développement durable doté d’une enveloppe de 2 millions de dollars sur cinq ans.
| LES ENJEUX DES ÉCO-ACTIVITÉS POUR LE TERRITOIRE
* Les impacts
des défis environnementaux dus aux ajustements aux lois provinciales et fédérales en développement durable
* La responsabilité économique et sociale * La position d’employeur de choix * 47% des entreprises externalisent les
* Le développement
des activités au sein des institutions et des entreprises
* La rareté des compétences * Le manque de formations proposées * Ordres professionnels « poreux »
activités liées au développement durable
PROJET FORMATION EN ÉCO-ACTIVITÉS
UNE SOLUTION DURABLE
* Emploi Québec * Formation dispensée par l’UdM * Immigrants à haut niveau de qualifications * Les postes disponibles dans les institutions
| 4 | SYNTHÈSE
| UN LOGO DE DÉVELOPPEMENT DURABLE TERRITORIAL
écologie
social
économique
| 5 | PLÉNIÈRE
MERCI DE VOTRE COLLABORATION
4. Rendez-vous de l’emploi durable et de l’achat durable
RENDEZ-VOUS DE L’EMPLOI DURABLE
Travail et économie de proximité: une perspective d’avenir
HEC Montréal 5 octobre 2009 Avec l’appui de :
Organisé par l’Association des Gens d’Affaires de Côte-des-Neiges Comité organisateur :
Objectifs:
* *
Informer sur les potentiels du territoire en terme de besoins et d’offres
*
Permettre des échanges directs entre les organismes en employabilité et entreprises et les institutions (Speed dating)
Définir une démarche collective pour améliorer la situation de l’emploi local et identifier ses conditions de réussite
Déroulement: 8h30-8h45 | Présentation : Les Enjeux de l’emploi durable ou Comment vivre et travailler sur son territoire ? Sonia Sharda, Consultante de SECOR Place stratégique d’une politique de ressources humaines, orientée vers la valorisation des compétences locales et la gestion prévisionnelle des emplois liés aux éco-activités Les opportunités d’emploi inscrites dans les plans de main-d’oeuvre et le développement des éco-activités,
QUOI? Les populations fragiles concernées (immigrants, femmes, seniors, handicapés) et les hauts potentiels pour maintenir l’excellence des savoirs, QUI ? La mobilisation et la coopération des acteurs territoriaux pour attirer, garder et développer le potentiel humain dans une perspective d’ancrage territorial des personnes, COMMENT? Quelques exemples de bonnes pratiques du territoire 8h45-9h15 | Table ronde : Quels sont vos besoins pour mettre en place une démarche collective et s’assurer un bassin d’emploi à la hauteur des enjeux du territoire? 9h15-10h50 | Réseautage 11h | Retour Plénière
Liste des institutions au RDV sur l’emploi durable
* *
Université de Montréal
* * * * * * * * * * * *
École Polytechnique de Montréal
* *
Arrondissement d’Outremont
Ecole des Hautes Études Commerciales de Montréal Collège Notre Dame Collège Stanislas Collège Jean de Brébeuf Collège International Marie de France Pensionnat du Saint Nom de Marie Externat Mont Jésus Marie Hôpital Général Juif de Montréal Hôpital Sainte Justine Hôpital St Mary’s CSSS de la Montagne
Arrondissement Côte des Neiges Notre Dame de Grâce Oratoire Saint Joseph
RENDEZ-VOUS DE L’achat DURABLE
Travail et économie de proximité: une perspective d’avenir
HEC Montréal 5 octobre 2009 Avec l’appui de :
Organisé par l’Association des Gens d’Affaires de Côte-des-Neiges Comité organisateur :
Objectifs:
* *
Informer sur les potentiels du territoire en terme de besoins et d’offres
Définir une démarche collective pour améliorer la situation de l’achat local responsable et identifier ses conditions de réussite
*
Permettre des échanges directs entre les entreprises et les institutions (Speed dating)
Déroulement: 8h30-8h45 | Présentation : Les enjeux du Développement Durable & territoire ou Comment entreprendre, consommer et préserver durablement sur le territoire? Céline Huot, consultante de SECOR Place stratégique de la fonction approvisionnement et la logique d’achat responsable et l’intégration des besoins en éco-activités Qu’achetons-nous? les produits, les prestations, QUOI? Les fournisseurs et les clients du territoire, auprès de QUI? Analyse du processus Achats qui prend en compte les réglementations actuelles et les impacts environnementaux et sociaux en intégrant la notion de Cycle de Vie dans les démarches TCO / Total Cost of Ownership ou Coût Complet de Possession, COMMENT achetons-nous? Quelques exemples de bonnes pratiques du territoire 8h45-9h15 | Table ronde : Quels sont vos besoins pour mettre en place une démarche collective d’achat local responsable et la réussir? 9h15-10h55 | Réseautage 11h | Retour Plénière
Liste des institutions présentes
* *
Université de Montréal
* * * * * * * * * * * *
École Polytechnique de Montréal
* *
Arrondissement d’Outremont
Ecole des Hautes Études Commerciales de Montréal Collège Notre Dame Collège Stanislas Collège Jean de Brébeuf Collège International Marie de France Pensionnat du Saint Nom de Marie Externat Mont Jésus Marie Hôpital Général Juif de Montréal Hôpital Sainte Justine Hôpital St Mary’s CSSS de la Montagne
Arrondissement Côte des Neiges Notre Dame de Grâce Oratoire Saint Joseph
5. répertoire des bonnes pratiques LE RÉPERTOIRE DES BONNES PRATIQUES LOCALES Apportez une contribution directe et alimentez notre Forum de vos réalisations et de vos projets. Vous êtes invités à partager vos idées ou vos expériences réussies en développement durable et à participer à la création d’un répertoire des bonnes pratiques locales. Pour inscrire vos informations dans le tableau des bonnes pratiques locales : > Veuillez consultez le site de l’Association des gens d’affaires de Côte-des-Neiges à l’adresse suivante : www.agacdn.com > Visitez la section intitulée «Forum économique d’Outremont et Côte-des-Neiges» > Sélectionnez dans la barre de menu «Forum 2009» > Téléchargez le document intitulé «Tableau des bonnes pratiques» > Remplissez les cases et sauvegardez le document sous votre nom > Envoyez-nous le document par courriel à l’adresse suivante : ambl@agacdn ou postez le document imprimé à l’adresse suivante : Association des Gens d’affaires 3600 Barclay, bur.315, Montréal, Québec H3S 1K5 Pour toute question, commentaire ou suggestion, n’hésitez pas à communiquer avec Anne-Marie Breitenwald Lavigne, responsable des communications au (514) 690-2972 ou par courriel :
[email protected]
Arrondissement
Domaine
Entreprise
Outremont ou Côte-des-Neiges/ Notre-Damede-Grâce?
Secteur d’activité
Nom et coordonnées
Nombre d’employés
Thème
Action
Bonne pratique
Objectifs
Indicateurs
Contact
Emploi durable, achat durable ou initiative écologique?
Une réalisation concrète, un projet prévu ou une idée qui vous inspire?
Description
Explication
(au moins un)
Personne ressource et coordonnées
6. Lexique du développement durable et liens utiles Pour en savoir plus sur le développement durable Pour alimenter la réflexion sur le développement durable, voici quelques liens utiles,articles et publications récentes. Publications municipales et gouvernementales
- Loi sur le développement durable, Projet de loi no 118, Gouvernement du Québec, 2006, chapitre 3 - Stratégie gouvernementale de développement durable, Gouvernement du Québec, décembre 2007
Un projet de société pour le Québec. Le 12 décembre 2007, le premier ministre du Québec, M. Jean Charest, a déposé à l’Assemblée nationale la Stratégie gouvernementale de développement durable 2008-2013. Cette stratégie fait suite à des consultations publiques qui se sont déroulées à l’automne 2007. Par sa vision, ses orientations stratégiques et ses objectifs, la stratégie constitue le cadre de référence de la démarche gouvernementale de développement durable qui convie à l’action tous les ministères et organismes, et qui invite la société à y participer. Avec l’adoption de la stratégie, le gouvernement du Québec met en œuvre un élément clé de la Loi sur le développement durable adoptée en 2006.
- Le marché du travail au Québec - Perspectives à long terme 2008-2017, Emploi Québec, septembre 2008 PRÉFACE. Dans le document intitulé L’emploi : passeport pour l’avenir - Orientations stratégiques du plan gouvernemental pour l’emploi, paru au début de 2005, des pistes d’action étaient proposées en vue de favoriser l’amélioration du niveau de qualification de la main-d’œuvre et le développement continu des compétences. L’une de ces pistes consistait à s’engager dans une démarche visant à mieux connaître les besoins du marché du travail. Dans cette perspective, le gouvernement a mandaté Emploi-Québec pour effectuer régulièrement des prévisions relatives au marché du travail québécois qui s’étendent sur dix ans plutôt que sur l’horizon habituel de cinq ans.
- L’économie montréalaise: évolution récente et perspectives, Ville de Montréal, novembre 2003 L’économie montréalaise : évolution récente et perspectives, insérée au Cahier d’information complémentaire - Tome IV du budget 2004 dresse une analyse détaillée de la situation économique de Montréal et des perspectives d’avenir.
- L’évolution de l’emploi à Montréal 1981-2001 - Les grands constats, Ville de Montréal, janvier 2005 L’évolution de l’emploi à Montréal 1981-2001 présente une analyse sommaire de la croissance de l’emploi, de la répartition spatiale de ces emplois et des changements observés au sein des principaux secteurs d’activité économique au cours des 20 dernières années.
- Portrait socioéconomique du territoire du Centre local d’emploi de Côte-des-Neiges, mai 2009
Effectifs en présence. Le territoire du Centre local d’emploi (CLE) de Côte-des- Neiges se juxtapose au territoire de l’arrondissement Côte-des- Neiges–Notre-Dame-de-Grâce de la ville de Montréal. Avec 165 248 personnes (données intégrales, voir la note ci-dessus) en 2006, soit 8,9% de la population de l’île de Montréal, le territoire du CLE de Côte-des-Neiges est le 3e plus populeux des 14 territoires de CLE de l’île. Sa population était de 163 996 en 2001; elle s’est donc légèrement accrue de 0,8% entre 2001 et 2006, moins que dans l’ensemble de l’île (2,2%). (…)
ARTICLES ET COMMUNIQUÉS DE PRESSE
- L’entrevue - Produits d’ici demandés par Fabien Deglise, le Devoir, 17 août 2009/ Les supermarchés sont
en totale rupture avec les aspirations profondes des Québécois, selon le spécialiste Normand Bourgault. Ce ne serait pas qu’une mode mais bien une vague de fond. Poussé par (…)
- Développement durable : Québec propose une première liste d’indicateurs de développement durable,
Fil de presse sur le site du ministère du développement durable, de l’environnement et des parcs, août 2009/ Québec, le 27 août 2009. – La ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs, Mme Line Beauchamp, annonce qu’une commission parlementaire, la Commission des transports et de l’environnement, sera appelée à procéder, le 27 août ainsi que les 2 et 3 septembre prochains, à une consultation particulière avant l’adoption d’un projet de liste des indicateurs (…)
-
Les deux piliers de la construction territoriale: coordination des acteurs et ressources territoriales par Hadjou Lamara, Développement durable & territoires, Varia, mis en ligne le 7 juillet 2009 / L’objectif principal de cet article est de tenter de faire ressortir les composantes principales de ce qui fait territoire. Dans la foisonnante littérature qui s’est développée depuis trois décennies (…) HISTORIQUES, LEXIQUES, DÉFINITIONS ET RÉPERTOIRES
- Développement durable, Wikipedia - Le développement durable : repères historiques, Ministère du développement durable,
de l’environnement et des parcs
- Glossaire de la section jeunesse, Ministère du Développement durable, Environnement et Parcs - Lexique du plan d’urbanisme de Montréal, Novembre 2004, Ville de Montréal - Lexique du portail d’informations sur le développement durable - Lexique du vert du portail de l’éco-consommation Greenzer - Dictionnaire développement durable, RecyConsult - Best Practices Database in Improving The Living Environment, UN Habitat et Best Pratices Partners - Smart Communities Network, National Center for Appropriate Technology, Montana, É-U. - Comité intergouvernemental de recherches urbaines et régionales (CIRUR) - Collection de la
bibliothèque Muniscope, Toronto, Canada
- Institut international du développement durable, Winnipeg, Canada - European Academy of the Urban Environment, Berlin, Allemagne - Table ronde nationale sur l’environnement et l’économie (TRNEE), Ottawa, Canada - The United Nations Human Settlements, UN Habitat for a better urban future - Villes durables européennes, le portail de l’Union européenne - Vers des collectivités viables, Québec, Canada
|A| «Accès au savoir» Les mesures favorisant l’éducation, l’accès à l’information et la recherche doivent être encouragées de manière à stimuler l’innovation ainsi qu’à améliorer la sensibilisation et la participation effective du public à la mise en œuvre du développement durable.
Accumulateur rechargeable Appareil transformant l’énergie dégagée lors d’une réaction chimique en électricité et pouvant être rechargé près de mille fois à l’aide d’un chargeur.
Achat local Achat destiné à maximiser les retombées économiques sur un territoire. Il s’agit de créer les conditions favorables de collaboration entre les grands fournisseurs et les entrepreneurs du territoire.
Achat durable L’achat durable c’est aussi l’achat responsable. Il doit satisfaire les besoins et répondre à des objectifs de cohésion sociale et d’équité entre les individus et les nations. Il cherche à préserver l’intégrité écologique ainsi qu’à améliorer et valoriser les ressources naturelles sur le long terme.
Achat vert Achat Vert se dit des achats plus respectueux de l’environnement, c’est-à-dire qui prennent en compte la politique du fabricant et du distributeur en matière d’environnement comme, la recyclabilité des produits, la maîtrise environnementale des procédés de fabrication, la reprise des produits en fin de vie, la diminution des emballages, etc.
Achat éco-responsable L’Achat éco-responsable est une politique qui consiste à intégrer l’environnement dans les décisions liées au processus d’achat, depuis la définition du marché jusqu’au choix des offres. La dimension environnement de l’Achat éco-responsable constitue l’un des aspects de la décision, avec les coûts, les délais, la qualité et la sécurité. Cette démarche vise à recourir à des approvisionnements (produit et prestations) plus respectueux de l’environnement. Elle va dans le sens d’une gestion responsable et citoyenne des achats.
Action citoyenne Désigne une action réalisée par une entreprise ou une organisation au delà de sa vocation principale en vue de favoriser l’harmonie et la performance de son environnement physique ou social. Pour Alliances, l’entreprise qui souhaite entreprendre une action citoyenne peut intervenir sur 7 domaines spécifiques : Développement du tissu économique. Aide à l’éducation. Protection de l’environnement physique. Maintien et Création d’emplois. Participation au développement de la Cité. Lutte contre l’exclusion. Participation au commerce éthique ou équitable.
Affectation du sol Destination d’une partie du territoire à un usage déterminé.
Agence de l’efficacité énergétique du Québec Agence gouvernementale ayant pour mission, dans une perspective de développement durable, d’assurer la promotion de l’efficacité énergétique pour toutes les sources d’énergie, dans tous les secteurs d’activité et pour le bénéfice de l’ensemble des régions du Québec.
Agenda 21 Ce texte, signé par 173 pays lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992, est un programme fixant des objectifs en matière de développement durable. Pendant ce sommet, de nombreux thèmes sont abordés comme le changement climatique, la déforestation ou encore la biodiversité. Il existe un Agenda 21 local qui permet aux collectivités de prendre en compte l’environnement dans la gestion de leur territoire. Le sommet de la Terre de Rio en 1992 a adopté une série d’engagements en faveur du développement durable organisé autour de 21 engagements pour le XXIe siècle. Ce document a été adopté par 49 pays (Action 21). Cette approche d’Action 21 a été reprise notamment au niveau de territoire sous la forme d’Agenda 21. À travers un Agenda 21, des acteurs territoriaux s’engagent dans la déclinaison de ces engagements internationaux au niveau de territoires. C’est dans cette optique de transposition au niveau local de ces engagements internationaux qu’a été créée la CFDD, d’abord rattachée au commissariat au plan, puis au Ministère chargé de l’Environnement et enfin auprès du Premier Ministre. La démarche Agenda 21 d’élaboration d’un projet de territoire répondant aux principes du développement durable s’appuie désormais sur des fondements législatifs. À la LOADDT, votée en 1999, il convient d’ajouter la loi sur la coopération intercommunale (1999) et la loi solidarité et renouvellement urbain (SRU, 2000) ainsi que la loi d’orientation agricole (LOA, 1999) et la toute récente loi démocratie de proximité (2002). Chacune de ces lois propose aux collectivités locales ‘’maîtres d’ouvrage’’ des outils qui favorisent, au plan local, une politique de développement durable dans le sens des orientations de Rio de 1992. Les entreprises privées ou publiques peuvent, et certaines se sont déjà engagées en ce sens, adopter des Agenda21, transposition en interne de ces recommandations internationales. Les états présents à Rio ont adopté Action21 (communément appelé l’Agenda21 de Rio). Il s’agit d’un programme global d’action à mettre en œuvre par les gouvernements, les institutions du développement, les organismes des Nations Unies et les groupes des secteurs indépendants dans tous les domaines où l’activité humaine affecte l’environnement. Ses 40 chapitres analysent la situation, exposent des stratégies et formulent près de 2500 recommandations et solutions à mettre en œuvre. Ils décrivent les moyens nécessaires, notamment financiers et institutionnels, pour agir sur quatre champs : Le champ économique et social du développement. La conservation et la préservation des ressources aux fins de développement. La participation des groupes majeurs à l’élaboration et la mise en œuvre du développement, dans une dynamique de partenariats, de coopération, de mise en réseaux et d’implication de tous. La mise en œuvre de moyens d’actions transversales permettant une inflexion du développement vers plus de durabilité.
Agent de conservation Produit destiné à prolonger la durée des aliments.
Agriculture biologique Mode de production agricole rejette totalement l’utilisation des produits de synthèses comme les pesticides, le désherbant et l’engrais. Les produits (fruits et légumes entre autres) qui en résultent ne contiennent aucun résidu chimique et sont donc parfaitement sains et naturels.
Agriculture durable Système de production agricole visant à assurer une production à long terme de nourriture, de bois et de fibres en respectant les limites écologiques, économiques et sociales pour assurer le maintien dans le temps de cette production.
Aire de protection Aire environnant un monument historique classé, dont le périmètre est déterminé par le ministre de la Culture et des Communications du Québec (LRQ, c. B-4, a. 1j).
Aire protégée Territoire, en milieu terrestre ou aquatique, géographiquement délimité, dont l’encadrement juridique et l’administration visent spécifiquement à assurer la protection et le maintien de la diversité biologique et des ressources naturelles et culturelles. Il y a deux sortes d’aires protégées : des aires protégées publiques, situées sur des terres appartenant à l’État et des aires protégées privées, qui appartiennent à un particulier.
Ange bleu Créé en 1977 par le ministère de l’écologie Allemand, Ange Bleu (Blauer Engel) est la plus vieille certification environnementale dans le monde. Son intérêt réside dans un ensemble de critères très large tels que la prise en compte du recyclage dès la conception des produits, la diminution des pollutions lors de la fabrication du produit, la réduction de la consommation d’énergie, des émissions chimiques, du bruit, et enfin, la prise en compte de la fin de vie du matériel informatique.
Amendement Produit d’origine organique qui apporte au sol des substances capables d’en améliorer la qualité. Le compost et certains fumiers peuvent être utilisés comme amendement.
Ammoniac Gaz incolore ayant une odeur vive et piquant les yeux. Il est particulièrement soluble dans l’eau. L’ammoniac liquide est employé comme réfrigérant et comme solvant.
Arrondissement historique Territoire désigné comme tel par le gouvernement du Québec en raison de la concentration de monuments ou de sites historiques que l’on y trouve (LRQ, c, B-4, art. 1h) en vue de le protéger.
Arrondissement naturel Territoire désigné comme tel par le gouvernement du Québec en raison de l’intérêt esthétique, légendaire ou pittoresque que présente son harmonie naturelle (LRQ, c. B-4, art. 1i) en vue de le protéger.
Assainissement Ensemble des mesures prises pour éliminer la pollution dans les eaux.
Atmosphère Couche d’air qui entoure le globe terrestre. C’est dans la partie de l’atmosphère terrestre la plus proche du sol que se forment les nuages, la pluie, la neige, etc.
Audit énergétique Cette procédure permet d’analyser le système énergétique d’un territoire défini (pays ou région) et ses relations avec les autres systèmes. Les résultats permettent de juger de la situation et de proposer des solutions adaptées.
Audit social Évaluation systématique de l’impact social d’une entreprise par rapport à certaines normes et attentes.
Azote Gaz inodore et incolore qui constitue la plus grande partie de l’atmosphère. L’azote est également présent dans les urines animale et humaine. Il est utilisé comme engrais et fertilisant agricoles. Déversé dans les eaux, l’azote est responsable de l’eutrophisation de l’eau.
|B| Bassin d’emploi Un espace géographique où la majeure partie de la population habite et travaille.
Bilan carbone Le Bilan Carbone est une méthode de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre développée par l’ADEME. Toute activité humaine générant des émissions de gaz à effet de serre, ce bilan carbone permet aux entreprises de tenir une comptabilité carbone et d’évaluer ses émissions directes et indirectes afin de les améliorer.
Biocarburant Carburant produit à partir de la biomasse pour faire de la bioénergie. Les biocarburants sont fabriqués à partir d’huiles végétales, de déchets agricoles ou de bois et ne rejettent dans l’atmosphère que le gaz carbonique absorbé par la plante qui sert à leur fabrication. Il est utilisé dans le domaine du transport (automobiles, camions). Cependant il semble que le développement de cette production ne soit pas sans effet sur les ressources alimentaires.
Bioclimatique (architecture) Cette conception de l’habitat vise à réduire les besoins énergétiques, à assurer une bonne ventilation naturelle, un éclairage optimal et une humidité contrôlée. L’environnement extérieur joue un rôle primordial dans la construction d’un tel habitat.
Biodégradable Un produit est considéré comme étant biodégradable si, une fois utilisé, il disparaît de façon naturelle par l’action d’organismes biologiques.
Biodégradation Décomposition des matières putrescibles par des organismes vivants. On dit d’un produit qu’il est biodégradable lorsqu’il peut se décomposer naturellement.
Biodégrader Action de décomposer une matière organique par des micro-organismes vivants.
Biodiésel Liquide jaune produit à partir de graisses animales ou d’huiles végétales (nouvelles ou recyclées). Pur ou mélangé, il est utilisé dans les moteurs diesel.
Biodiversité La biodiversité désigne la diversité du monde vivant au sein de la nature. Elle est habituellement subdivisée en trois niveaux comprenant la diversité génétique, la diversité spécifique, et la diversité éco systémique. Selon une récente étude entre 17 000 et 100 000 espèces disparaissent chaque année de notre planète. La plupart de ces pertes sont dues aux activités humaines qui entraînent la destruction des écosystèmes abritant certaines plantes et animaux. (Novethic) Mot qui désigne toutes les formes de vie sur la Terre; il est synonyme de « diversité biologique ». La biodiversité comprend trois aspects interdépendants : la diversité des espèces, la diversité génétique et la diversité des écosystèmes. Plus souvent, ce mot est employé pour désigner la diversité des espèces. Selon les estimations actuelles, il y aurait entre 5 et 10 millions d’espèces vivantes sur Terre, des micro-organismes aux êtres humains, en passant par les plantes et les animaux. Quant à la biodiversité génétique, celle-ci se rapporte aux différences entre les individus au sein d’une même espèce. C’est le bagage génétique qui détermine le caractère unique de chacun des individus d’une même espèce. Enfin, la diversité des écosystèmes concerne l’ensemble de tous les milieux terrestres et aquatiques, des habitats essentiels au maintien de la diversité des espèces.
Bioénergie Énergie produite à partir de la combustion de la biomasse. C’est une énergie renouvelable.
Biogaz Gaz produit à partir de la biomasse pour faire de la bioénergie ou ensemble des gaz qui résultent de la fermentation des déchets organiques dans un milieu en raréfaction d’air, comme les décharges ou les stations d’épuration, tels que le méthane et le dioxyde de carbone. Cette fermentation est le résultat d’une activité bactérienne, naturelle ou contrôlée.
Biologie Science des matières vivantes, des êtres vivants.
Biomasse Ensemble de la matière provenant des organismes vivants ou morts qui peut être utilisée pour la production d’énergie, d’engrais, de matériaux de construction ou à d’autres fins.
Bioréacteur La bioréaction vise à accélérer la production de biogaz. Elle consiste à récupérer les lixiviats pour les réinjecter dans la masse des déchets. Apportant humidité et nutriments aux bactéries à l’œuvre dans le massif, ils accélèrent le processus de dégradation facilitant ainsi la récupération du méthane utilisable à des fins énergétiques.
Biosphère Système planétaire incluant l’ensemble des organismes vivants et des milieux où ils vivent.
Bois Ressource naturelle issue de la biomasse utilisée pour la construction et pour le chauffage sous différentes formes.
Boue Matières solides qui sont le résultat du processus d’élimination des matières polluantes dans l’eau. Elles comprennent des déchets de natures variées.
|C| Cadre bâti Ensemble construit sur un territoire donné, dans un espace déterminé.
Calcin Débris de poudre ou de morceaux de verre qui peuvent être réutilisés pour créer d’autres objets en verre.
Capacité de support C’est la pression maximale que les êtres vivants peuvent exercer sur l’environnement sans le mettre en danger, et ce, indéfiniment.
Caractériser Caractériser un terrain veut dire l’étudier pour en définir les contaminants et leur quantité dans le sol.
Carburant Catégorie de combustible utilisé pour alimenter des moteurs à combustion (ou moteur à explosion).
Cellule Élément de base de tout organisme vivant; il s’agit de la plus petite structure vivante.
Centrale thermique Usine où de l’électricité est produite en brûlant des combustibles fossiles (charbon, pétrole) ou en provoquant la fission nucléaire.
Certification La certification est une procédure par laquelle une tierce partie, l’organisme certificateur, donne une assurance écrite qu’un système d’organisation, un processus, une personne, un produit ou un service est conforme à des exigences spécifiées dans une norme ou un référentiel. Elle est délivrée par des organismes certificateurs indépendants des entreprises certifiées ainsi que des pouvoirs publics.
Chaîne alimentaire Succession d’organismes vivants qui se nourrissent les uns des autres selon un ordre déterminé.
Changements climatiques Changements observés dans les caractéristiques du climat (température, précipitations, vent, etc.) attribuables à des causes d’origine naturelle (variation du soleil, volcans) et humaine (gaz à effet de serre, déboisement, agriculture, urbanisation).
Chanvre Utilisée comme matériau de protection. Pour la construction on utilise l’écorce de sa tige. Hyper isolant plante naturellement résistant au feu, le chanvre est devenu un matériau incontournable de la bioconstruction.
Charte éthique Ensemble d’engagements, de pratiques et de comportements choisis et adoptés par une entreprise ou une profession qui dépendent essentiellement des caractères participatifs de sa conception et de la régularité des contrôles.
Chaudière à condensation Ce type de chaudière permet de récupérer la vapeur d’eau dégagée par les produist de combustion pour ensuite la restituer au circuit de chauffage.
Chlorofluorocarbone (CFC) Gaz nuisible pour la couche d’ozone. Par exemple, certains produits en aérosol et certains climatiseurs fonctionnent au CFC. Dans la majorité des pays, l’emploi de ce type de matière est abandonné au profit de produits moins dommageables à l’environnement.
Chlorophylle Substance organique de structure complexe présente dans les cellules des plantes vertes. Elle joue un rôle essentiel dans la photosynthèse. C’est grâce à la chlorophylle que les plantes vertes peuvent utiliser l’énergie solaire pour croître. Pour ce faire, elles absorbent le gaz carbonique (CO2) et rejettent l’oxygène (O), se servant du carbone (C) pour fabriquer leurs tissus.
Chute à neige Lieu réservé au déversement de la neige dans les égouts.
Citation Pouvoir délégué aux municipalités de citer un monument historique, par l’adoption d’un règlement par le conseil municipal (Loi sur les biens culturels, LRQ, c. B-4, a. 70).
Classement Pouvoir du ministre, sur avis de la Commission des biens culturels. Le classement vise à protéger un bien culturel dont la conservation présente un intérêt public (LRQ, c.B-4, a.24).
Climatologue Personne qui étudie les caractéristiques des climats ainsi que leurs causes et l’influence qu’ils ont sur les activités humaines.
Cnuced Conférence des Nations-Unies sur le commerce et le développement.
CNUED La Conférence des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement (CNUED) est également appelée le Sommet Planète Terre de Rio, suite à sa tenue à Rio de Janeiro en 1992. Le deuxième a eu lieu à New York City (Etats-Unis) en octobre 1997. Le troisième s’est tenu à Johannesburg (Afrique du Sud) en 2002. Face à des phénomènes climatiques dramatiques pour l’ensemble de la planète, la communauté internationale a décidé d’agir au nom du principe de précaution pour ‘’prévoir, prévenir ou atténuer les causes de changement climatique et en limiter les effets néfastes’’ (article 3 de la Convention Cadre des Nations Unies, signée à Rio de Janeiro en juin 1992 par la France et 178 autres pays signataires). Les 179 Etats signataires s’engagent à réaliser des inventaires nationaux des émissions de gaz à effet de serre. Les pays industrialisés se donnent pour objectif de ramener avant l’an 2000, les rejets de ces gaz au niveau de 1990. Cet objectif n’a pas été tenu par tous.
Code génétique Ensemble des gènes qui déterminent le caractèrehéréditaire des individus. Il contient donc toute l’information nécessaire au développement d’un organisme vivant et se transmet (en partie) d’une génération à l’autre. Le code génétique est aussi appelé génome. Coefficient d’occupation du sol (COS) Rapportentrela superficie totale des planchers d’un édifice et la superficie du terrain qu’il occupe.
Cogénération Cette technologie propre permet, à partir d’un combustible, de produire simultanément de l’électricité et de l’énergie thermique.
Collecte sélective Ramassage séparé des matières résiduelles selon le matériau dont ils sont faits. Les matières recyclables comme le verre, les métaux, les papiers, les cartons et la plupart des plastiques sont collectées séparément des autres ordures ménagères pour être envoyées au centre de tri.
Collectivité Ensemble de personnes groupées naturellement et formant une société.
Colonisation Installation de groupes humains venus de l’extérieur sur un territoire pour le mettre en valeur et en exploiter les richesses.
Combustible Matière qui a la propriété de brûler au contact de l’oxygène en produisant une quantité de chaleur utilisable. La combustion (lorsqu’on fait brûler un corps) émet du gaz carbonique (CO2) et de l’eau. Les plus couramment utilisés sont les combustibles fossiles, tels que le charbon, le pétrole et le gaz naturel. Le bois est aussi un combustible, mais, contrairement aux combustibles fossiles, c’est une ressource naturelle renouvelable.
Combustible fossile Combustible qui provient de restes animaux ou végétaux (provenant des forêts du temps des dinosaures, par exemple) enfouis dans les profondeurs de la terre. On distingue les combustibles gazeux (gaz naturel), liquides (pétrole) et solides (charbon). Les combustibles fossiles font partie des ressources naturelles non renouvelables.
Comité 21 Comité 21 est une association créée en 1995. Comité 21 a plusieurs missions : Apporter aux entreprises des outils concrets de mise en oeuvre du développement durable ; Appuyer les collectivités territoriales dans la conception d’Agendas 21 locaux ; Définir avec ses membres, des positions concertées sur les débats nationaux et internationaux ; Promouvoir et valoriser les initiatives de ses adhérents. Le Comité 21 regroupe des personnalités, des entreprises, des associations, des collectivités locales, des organismes et est soutenu par le Ministère de l’Environnement, la Commission Européenne et les Nations-Unies. Son but est de faire œuvrer ensemble les acteurs de la société civile pour le développement durable.
Commerce équitable Mouvement créé au Pays-Bas au début des années 1960, le commerce équitable est un commerce social qui a pour but d’établir un rapport d’échanges satisfaisants pour tous. Le commerce équitable aide les coopératives d’artisans dans les pays en développement à se développer de manière durable, tout en garantissant le respect des droits de l’homme. Commerce respectueux de l’environnement et des droits humains qui se fait entre les consommateurs du Nord et les producteurs du Sud. Mode de relations commerciales qui cherchent une plus grande équité dans les rapports entre les pays du Nord et du Sud, en améliorant les revenus et les conditions de travail des producteurs, et en respectant le milieu naturel des régions de production. Le commerce équitable a pour but de garantir le respect des droits fondamentaux des personnes et d’installer des relations économiques durables. Concept apparu au milieu des années 50 sur l’initiative d’organisations non gouvernementales, en Angleterre et aux Pays-Bas. Commerce qui repose sur le principe selon lequel, faire ses achats est un moyen d’agir pour réduire les inégalités Nord-Sud. Le commerce équitable consiste à garantir un revenu minimum au producteur initial et à lui donner des garanties suffisantes pour qu’il puisse se développer à long terme. Il existe un label européen ‘’Fair trade’’ attribué en France par l’association Max Havelaar. Il concerne essentiellement les produits alimentaires (exemples : café, thé, cacao, bananes, etc.), artisanaux (exemples : nappes, vêtements, poteries, etc.) et bientôt les produits industriels (exemple : ballon de football). Il poursuit deux objectifs principaux : - améliorer les conditions de vie des petits producteurs du Sud, marginalisés par leur manque de moyens et d’expériences en créant des débouchés pour commercialiser leurs produits auprès des consommateurs du Nord et permettre à ces producteurs de prendre en charge eux-mêmes leur développement, - développer un réseau de consommateurs responsables en sensibilisant l’opinion publique aux déséquilibres des échanges internationaux et en entreprenant des actions auprès des décideurs économiques et politiques.
Commerce éthique Concept qui concerne des produits dont l’origine sociale est validée. Exemples : normes OIT respectées, non travail des enfants, etc.
Commission Brundtland La Commission mondiale sur l’environnement et le développement (CMED) doit son nom au Dr Harlem Brundtland qui a créé la Commission en 1983 et l’a présidée jusqu’en 1996 en défendant le principe de développement durable. En avril 1987 : publication du rapport ‘’Notre avenir à tous’’ . En 1992, les recommandations de la Commission ont conduit à la convocation à Rio de Janeiro du Sommet de la Terre (CNUED). Commission mondiale sur l’environnement et le développement créée en 1983 par les Nations Unies. Elle a emprunté le nom de sa présidente, Mme Gro Harlem Brundtland. La Commission Brundtland regroupait des dirigeants des quatre coins du monde. Dans son rapport remis en 1987, intitulé Notre avenir à tous, elle a fait ressortir les problèmes environnementaux au niveau planétaire tout en élaborant le concept de développement durable pour permettre de les solutionner.
Commission du développement durable (CDD) En 1992, plus de 100 chefs d’Etat se sont rencontrés à Rio de Janeiro, Brésil, pour la Conférence de Nations Unies sur l’environnement et le développement (UNCED). Le Sommet de la Terre a réuni ses membres pour régler les problèmes urgents de protection de l’environnement et de développement socio-économique. Les parties en présence ont signé la Convention sur les changements climatiques et la Convention sur la diversité biologique, ont approuvé la Déclaration de Rio et la Déclaration de principes sur les forêts; et adopté l’Agenda 21, un plan d’actions de 300 pages pour la réalisation du développement durable pour le 21ème Siècle. La CDD a été créée en décembre 1992 pour assurer un suivi efficace de la Conférence de Nations Unies sur l’environnement et le développement (UNCED), contrôler et faire le suivi de la mise en oeuvre des accords du Sommet de la Terre tant au niveau local, national, régional qu’international. La CDD est une commission technique du Conseil Économique et Social (ECOSOC) qui comprend 54 membres. La Division pour le développement soutenable sert de secrétariat substantif, responsable d’entretenir la Commission sur le développement soutenable ; pour le suivi de l’exécution de l’ordre du jour 21 aussi bien que le plan de l’exécution du sommet du monde sur le développement soutenable.
Composés organiques volatils (COV) Substances formées de molécules organiques qui, à la température ambiante, sont à l’état de gaz ou de vapeur. Elles interviennent dans les phénomènes de smog et d’effet de serre.
Compost Terre noire, odorante et riche qui provient de la décomposition de différents résidus d’organismes vivants. Le compost est utilisé comme amendement pour la culture du gazon, des fleurs, des légumes et d’autres plantes.
Compostage Transformation par des micro-organismes des déchets organiques laissés à l’air libre. Cette dégradation accélérée permet d’obtenir du compost qui pourra ensuite être utilisé dans le jardin comme un engrais nourrissant et naturel. Le compostage est un moyen utilisé pour récupérer diverses matières d’origine végétale, comme les feuilles mortes et les résidus de fruits. En l’espace de quelques mois, grâce à un arrosage fréquent, ces résidus se transforment en une sorte de terre humide, nommée compost, pouvant servir à améliorer les propriétés physiques du sol. On peut, par exemple, obtenir une terre moins compactée et conservant une humidité propre au type de culture.
Compostage centralisé Ce type de compostage nécessite le ramassage d’une grande quantité de matières putrescibles qui sont transportées et transformées dans un lieu (extérieur ou intérieur) prévu à cet effet.
Compostière Contenant utilisé pour la fermentation et la décomposition des matières putrescibles afin de les transformer en compost. Certaines entreprises vendent des compostières, mais tu peux aussi en fabriquer une.
Consommateurs Personne qui utilise un produit ou un service acheté pour son usage personnel en vue de satisfaire directement un besoin.
Consommation Action d’acheter et d’utiliser des produits, des services ou de l’énergie pour combler différents besoins.
Consommation durable Désigne un mode de consommation basé sur l’utilisation de services et/ou de produits qui répondent à des besoins fondamentaux et améliorent la qualité de vie, tout en réduisant au minimum l’utilisation de ressources naturelles et de matières toxiques, ainsi que les rejets de déchets et de polluants durant le cycle de vie du service ou du produit. L’objectif est de ne pas compromettre les besoins des générations futures.
Coopérative Association de personnes volontairement réunies pour satisfaire des besoins économiques et sociaux communs. Sous cette forme d’entreprise, les droits de chacun des associés sont égaux.
Corridor écologique Passage qui relie des espaces naturels. Synonymes : corridor faunique, corridor forestier, corridor biologique. Le passage artificiel, appelé aussi « écoduc » et construit par les humains, est un type de corridor écologique.
Corrosif Qui a la propriété de détruire lentement par une action chimique; qui ronge.
Covoiturage Mode de déplacement où plusieurs personnes utilisent une seule voiture pour faire le même trajet ou presque, ce qui représente plusieurs avantages : partage des frais, réduction de la pollution, création d’un lien social et de solidarité.
Culture énergétique Culture de plantes ou d’arbres à croissance rapide pour en faire de la biomasse pour la production de bioénergie.
Cyanobactéries Aussi appelées « algues bleu-vert », les cyanobactéries sont des organismes microscopiques. Si les conditions sont favorables, elles peuvent se multiplier et former des fleurs d’eau. Certaines espèces produisent des toxines qui peuvent constituer un danger pour la santé des humains et des animaux.
Cycle de vie d’un produit Ensemble des étapes suivies par un produit, depuis l’extraction de matières premières, sa fabrication et son transfert vers les réseaux de distribution jusqu’à son utilisation et à son recyclage.
Cygne blanc Créé en 1989 en Norvège et en Suède, l’écolabel nordique, le Cygne Blanc vise à encourager une conception durable des produits. Ce label peut être attribué pour une durée de 3 ans renouvelables. Ce label implique une émission restreinte de gaz à effet de serre, un traitement écologique des déchets, l’emploi de produits écologiques et des modes de production respectueux de l’environnement.
|D| Déchet Le code de l’environnement définit un déchet comme étant « le résidu d’un processus de production, de transformation, ou d’utilisation, toute substance, matériau, produit ou plus généralement tout bien, meuble abandonné ou que son détenteur destine à l’abandon ».
Déchets électroniques Appareils électroniques – ordinateurs, écrans, claviers, cellulaires, etc. – qui ne sont plus utiles.
Déchets ménagers Ces déchets proviennent de l’activité quotidienne et domestique d’un foyer. En font parties les ordures ménagères, les encombrants et les déchets dangereux et les déchets provenant du jardin.
Déchets organiques Déchets provenant d’êtres vivants ou non, végétaux ou animaux.
Déchets solides Produits solides inutilisables comme des détritus, des résidus d’incinération de déchets solides ou des ordures ménagères.
Déclaration de Rio 27 principes de développement durable constituent la Déclaration de Rio, adoptée à l’unanimité par 178 Etats en juin 1992. Parmi eux : le respect des générations présentes et futures, la protection de l’environnement, la lutte contre la pauvreté, l’élimination des modes de production et de consommation non durables, l’implication du public dans la prise de décisions, le principe de précaution, ... : ‘’L’homme est au centre des préoccupations (1) dans le respect des générations présentes et futures (3). Les Etats, qui doivent coopérer de bonne foi (27), ont le droit souverain d’exploiter leurs ressources sans nuire aux autres Etats (2) qu’ils doivent avertir de toute catastrophe (18) ou activités dangereuses pouvant les affecter (19). La protection de l’environnement est partie intégrante du processus de développement (4) elle est conditionnée par la lutte contre la pauvreté (5) et concerne tous les pays (6) selon des responsabilités communes mais différenciées (7). Les modes de production et de consommation non viables (non durables) doivent être éliminés (8) au profit de ceux qui seraient viables dont la diffusion doit être favorisée (9). Le public doit être impliqué dans les décisions (10) dans le cadre de mesures législatives efficaces (11), économiques en internalisant les coûts grâce au principe pollueur payeur (16), par des études d’impact (17), toutes mesures qui ne doivent pas constituer des barrières injustifiées au commerce (12) tout en assurant la responsabilité de ceux qui causent les dommages (13) et en évitant le transfert d’activités polluantes (14). Le principe de précaution (15) doit être mis en oeuvre. Un certain nombre de groupes majeurs ont un rôle particulier à jouer : les femmes (20), les jeunes (21), les communautés locales et autochtones (22). La paix, le développement et la protection de l’environnement sont interdépendants et indissociables (25) les règles d’environnement doivent être respectées en temps de guerre (24) et pour les populations occupées ou opprimées (23). Les différents d’environnement doivent être résolus pacifiquement (26).’’
Décontaminer Éliminer ou diminuer les effets d’une contamination. Décontaminer un terrain veut dire le débarrasser de ses polluants.
DEEE (Déchets d’Equipement Electriques et Electroniques) Il s’agit par exemple des téléviseurs, des téléphones portables, des micro-ondes… dont on se débarrasse lorsqu’ils deviennent obsolètes ou qu’ils sont hors d’usage.
Déforestation La déforestation se manifeste par la diminution des surfaces couvertes de forêt. Elle touche principalement les zones tropicales. Les forêts représentent 4 millions d’hectares et couvrent 30% des terres émergées. L’activité humaine fait reculer leur surface d’environ 0,2% par an. La déforestation a des conséquences directes sur le dérèglement climatique et sur la biodiversité.
Densité de construction Mode d’implantation et volumétrie de construction, définissant la forme et l’intensité urbaine d’un secteur.
Déontologie Selon le juriste J. de Maillard la déontologie est une norme à espace corporatiste, communautaire et sanctionnable, donc différente de la Morale ou de l’Ethique.
Dépôt de surface Grand terrain vacant qui sert à l’entreposage de matières résiduelles telles que les neiges usées.
Dépôts secs Polluants acides qui tombent sous forme de poussières. Ils peuvent ainsi endommager les pierres des édifices et des sculptures ou faire rouiller certains métaux.
Développement durable Le développement durable - Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Il s’appuie sur une vision à long terme prenant en compte le caractère indissociable des dimensions environnementale, sociale et économique des activités de développement. Approche intégrant les dimensions environnementales, sociales et économiques, afin de répondreaux besoins du présent sans compromettre l’avenir. Le développement durable suppose le maintien de l’intégrité écologique, l’équité sociale et l’efficacité économique. «Développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Il s’agit de la définition officielle rédigée en 1987 par la HYPERLINK «http://www.mddep.gouv.qc.ca/jeunesse/chronique/glossaire.htm#commission»Commission Brundtland. Elle est reconnue par les Nations Unies et par quelque 180 États et gouvernements. Le développement durable tient compte des trois éléments fondamentaux que sont l’environnement, l’économie et la société ainsi que des relations qu’ils établissent entre eux. Concrètement, l’impact des activités humaines (production et consommation) ne doit pas empêcher les individus de satisfaire à leurs besoins fondamentaux : se nourrir, se loger, se vêtir, s’instruire, travailler et vivre dans un environnement sain. Le développement durable est une notion récente qui désigne des actions visant à concilier trois mondes différents, celui de l’économie, celui de l’écologie et celui du social. Ce terme, créé en 1980 d’après l’anglais sustainable development, désigne une forme de développement économique respectueux de l’environnement, du renouvellement des ressources et de leur exploitation rationnelle, de manière à préserver les matières premières, mais également à s’assurer d’un développement socialement équitable. Ce mode de développement répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins. Depuis la conférence de Rio (1992) le développement durable est reconnu comme un objectif par la communauté internationale. Québec : le 29 avril 2003, le Premier ministre du Québec a confié au ministre de l’Environnement le mandat d’élaborer un plan vert qui mettra résolument en oeuvre le développement durable à l’échelle gouvernementale. L’élaboration d’un plan vert pour le Québec donnera une vision cohérente et un nouvel élan à l’ensemble des orientations gouvernementales en matière de développement durable. Il traduira en termes concrets les grands principes du rapport Brundtland de 1987 sur le développement durable et constituera l’élément clé de la réponse du gouvernement du Québec aux recommandations du Sommet de la Terre de Rio de 1992, et du Sommet mondial sur le développement durable de Johannesburg de 2002. Le Plan vert du Québec proposera une démarche globale de mise en œuvre du développement durable dans les activités du gouvernement en y intégrant les préoccupations environnementales, sociales et économiques qui y sont liées. Exemples d’actions de type développement durable à mettre en oeuvre dans l’entreprise : Faites une utilisation durable des ressources renouvelables : en consommant des ressources et de l’énergie renouvelable, non seulement l’environnement est mieux protégé, mais aussi vous contribuez à préserver les emplois, le commerce, les exportations et le développement de produits. Mettez en oeuvre des pratiques de conservation : utilisation durable de ressources naturelles, réduction et valorisation des déchets, conservation de l’énergie, utilisation de produits et services écologiques, restauration de milieux naturels, etc. Faites preuve d’innovation : évitez les technologies conventionnelles en préférant les technologies plus efficientes, moins polluantes et plus durables. Appuyez les organisations locales à but non-lucratif qui oeuvrent à protéger les écosystèmes locaux. Offrez des produits et services écologiques : vous donnez l’exemple de pratiques durables tout en les promouvant auprès de vos clients. Faites preuve de diligence raisonnable et assurez la conformité : en intégrant l’incidence que peut avoir votre travail sur l’environnement, les règlements en vigueur, comment assurer la conformité et comment limiter ou même prévenir certains impacts.
Développement durable territorial Le développement local viable d’un territoire (Gagnon, 1994) ou d’une communauté territoriale nécessite une vision panoramique, une compréhension globale, une vision transversale des problématiques. Il est analysé au travers de plusieurs dimensions : Une dimension multitemporelle : le passé, le présent et le futur ; Une dimension multidimensionnelle : liens entre les 3 dimensions du développement durable, soit le social, l’environnemental et l’économique ainsi qu’avec le territoire et les problématiques transversales suscitées ; Une dimension multiscalaire : bien que centrée sur le territoire pertinent, le plus souvent local, on ne peut ignorer l’influence croisée des politiques, des contraintes et des caractéristiques sociales et environnementales, d’abord régionales et ensuite, nationales et internationales ; Multi-acteurs : il associe le privé, le public et le communautaire ; Le territoire s’impose ainsi, à la fois, comme un concept économique et comme un construit social résultant d’un processus de coordination des acteurs, réunis pour résoudre un problème productif inédit et de construction de ressources territoriales qui sont activées (ou révélées) pour une dynamique renouvelée du territoire permettant d’assurer la survie du territoire. Source: Hadjou Lamara 07/2009 Les conditions : Un développement territorial durable ne peut émerger spontanément. Trois conditions sont nécessaires conditions pour mettre en oeuvre un projet de territoire durable: Intensifier la coopération entre les différents acteurs territoriaux Renforcer la coordination environnementales
entre
les
différentes
dimensions
économiques,
sociales
et
Promouvoir par des moyens et programmes des projets permettant l’émergence d’un développement territorial durable.
Diagnostic environnemental État des lieux qualitatif de la situation de l’entreprise vis-à-vis de ses impacts sur l’environnement, de la réglementation et des enjeux environnementaux.
Dioxyde de carbone ou gaz carbonique (CO2) Gaz plus lourd que l’air. C’est le plus important gaz à effet de serre dégagé par les activités humaines, surtout celles qui dépendent des combustibles fossiles. Par exemple, l’émission de grandes quantités de CO2 est due à l’utilisation du pétrole pour les transports (essence, diesel).
Dioxyde de soufre (SO2) Gaz produit principalement par l’activité industrielle. Les lettres SO2 forment un symbole court permettant aux chimistes de reconnaître facilement son appellation.
Diversité Ce terme désigne une pluralité. Par exemple des caractéristiques démographiques attribuables aux différences ethniques, linguistiques et culturelles parmi des sous-groupes d’individus au sein d’une population en général.
Document complémentaire au Plan d’urbanisme Le document complémentaire détermine les règles minimales et générales à être respectées par les règlements d’urbanisme.
Domaine public Espace extérieur constitutif du paysage urbain, généralement de propriété publique, soit les rues, les emprises municipales, les ruelles, les sentiers piétons, les trottoirs, les places et les squares.
Dossiers et Débats sur le Développement Durable (4D) Association créée en 1983 pour contribuer à la mise en œuvre des recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement. Elle s’est donnée pour objectif de capitaliser et faire connaître les expériences de développement durable en France et à l’étranger.
Durabilité Avantages financiers, organisationnels, sociaux, politiques ou environnementaux résultant avec le temps d’une action, d’un projet ou d’un programme.
|E| Eau potable Eau pouvant être consommée sans risque pour la santé. Sa qualité est soumise au Règlement sur la qualité de l’eau potable au Québec.
Eaux de ruissellement Eaux coulant à la surface du sol sans y pénétrer. Elles entraînent parfois des polluants et des déchets jusque dans les cours d’eau.
Eaux souterraines Eaux contenues dans le sol. Elles occupent les espaces vides dans le sol. Elles s’écoulent vers les lacs et les rivières.
Eaux usées Eaux polluées par les activités humaines.
Éco-citoyenneté Le concept d’éco-citoyenneté est né dans les pays occidentaux à la fin des années 70 et s’est popularisé depuis la Conférence de Rio en 1992. Être éco-citoyen c’est la nécessité, pour l’individu, d’avoir des gestes et des comportements responsable par rapport à son lieu de vie ainsi qu’à l’égard de ses semblables. Etre un éco-citoyen, c’est reconnaître la portée écologique de tous ses gestes quotidiens, des déplacements à la consommation en passant par ses rejets. L’éco-citoyen adopte les «bons gestes».
Éco-consommation L’éco-consommation est un engagement en faveur de l’environnement à travers ses actes d’achat. Il s’agit de limiter son impact environnemental en modifiant sa consommation. L’achat de produits écologiques et biologiques, ou encore le recours à des énergies renouvelables sont des exemples d’éco-consommation.
Éco-efficacité Le WBCSD (World Business Council for Sustainable Development) donne la définition suivante : « l’éco-efficacité consiste à offrir des biens et des services compétitifs qui répondent aux besoins des hommes et leur apporte une qualité de vie, tout en réduisant progressivement les impacts environnementaux et la quantité de ressources naturelles nécessaires tout au long du cycle de vie des produits pour atteindre finalement un niveau qui soit en harmonie avec ce que peut supporter durablement la planète ».
Éco-entreprise Entreprise dont l’activité a pour but de protéger l’environnement à l’aide de techniques et procédés de nature industrielle. On distingue généralement trois secteurs dans les éco-entreprises : prévention, réparation, gestion. On parle aussi d’éco-industrie. Fin 2008, le gouvernement français a dévoilé son plan ‘’ écotech 2012 ‘’ en faveur du développement des éco-industries. Le plan ‘’ écotech 2012 ‘’ prévoit six mesures en faveur du développement des éco-industries, mesures dévoilées à l’occasion de la deuxième réunion du Comité Stratégique des Eco-Industries (COSEI), dont le lancement début 2009 d’un appel à projet ‘’ écotechnologies ‘’ de 30 millions d’euros sur trois ans dédiée aux projets de recherche et développement.
Éco-étiquetage L’éco-étiquetage est un double étiquetage sur un produit faisant figurer son prix ainsi que son bilan CO2. Le bilan CO2 couvre la totalité du cycle de vie du produit de l’extraction des matières premières jusqu’à sa destruction.
Écolabels Système d’homologation destiné à aider les consommateurs à distinguer les produits et les services plus verts et plus favorables à l’environnement. Ces labels garantissent le respect de l’environnement dans la chaîne de production et dans le cycle de vie des produits.
Écologie L’écologie, terme créé en 1865 par le zoologue Reiter, étudie les relations entre les êtres vivants et leur environnement. L’émergence de l’écologisme en tant que mouvement peut être datée des années 1970, époque où se multiplient les associations et les publications, la prise en compte des «considérations écologistes» dans les réglementations.
Écologique Qui respecte l’environnement.
Économie Ensemble des activités d’une société qui visent la production, la répartition, la distribution et la consommation des biens et des ressources.
Économie solidaire Désigne une économie qui privilégie les actions sociales et environnementales par rapport aux objectifs commerciaux et financiers. Exemples : micro finance (le crédit de solidarité), systèmes d’échanges locaux, épargne ou investissement solidaire, commerce équitable, entreprises d’insertion, etc.
Économie verte Tendance qui consiste à considérer les impératifs écologiques comme des avantages économiques et sociaux. Cette économie peut être source d’innovation et d’emplois. Elle fait appel à des techniques et à des technologies de pointe donc à des employés très qualifiés.
Éco-quartier Habitat dense, diversifié et de faible hauteur qui privilégie le recours aux énergies renouvelables et offre un accès facilité aux transports en commun, ainsi que des services de proximité afin de réduire les émissions de CO2 des citoyens. Ce type de conception repose sur 10 principes : une nouvelle façon de penser et d’agir Gérer la croissance urbaine Organiser les déplacements Localiser l’éco-quartier Dessiner une quartier cohérent Repenser l’habitat Eco-aménagement, éco-construction, éco-rénovation Organiser la gouvernance Maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre Le droit au service du projet
Éco-responsabilité L’éco-responsabilité consiste à intégrer les préoccupations environnementales et sociales dans la gestion du patrimoine et le fonctionnement des administrations publiques. La crédibilité de la dynamique engagée par la Stratégie nationale de développement durable nécessite que l’Etat s’applique à lui-même les démarches qu’il entend promouvoir auprès des autres acteurs. Ainsi, l’Etat doit veiller à prendre en compte les impacts économiques, sociaux et environnementaux de chacune de ses actions. (Ademe)
Écoresponsabilité des administrations Concept qui a succédé à celui de Verdissement, adopté en 1995, lors d’une réunion d’un G7 Environnement au Canada. Ce principe s’inscrit dans une approche plus globale de prise en compte des enjeux du développement durable que le Verdissement. Les administrations doivent ainsi assumer plusieurs responsabilités : une responsabilité environnementale, une responsabilité sociale et une responsabilité économique. Il s’agit de préserver l’environnement, tout en contribuant à l’amélioration des conditions de travail ainsi qu’à la réalisation d’économies budgétaires. Il s’agit aussi de convaincre les personnels de l’Etat et des collectivités et, au-delà, l’ensemble des usagers, de la nécessité d’adopter d’autres comportements au quotidien.
Écosystème Défini par Arthur George Tansley en 1935, un écosystème est un ensemble formé par une communauté d’êtres vivants. Les éléments constituant un écosystème développent un réseau d’interdépendances permettant le maintien et le développement de la vie. Ensemble comprenant les organismes et les milieux naturels dans lesquels ils vivent. Dans un écosystème, il y a des organismes vivants, comme des animaux, des végétaux et des bactéries, ainsi que des éléments non vivants. Chacune des unités de l’écosystème est en relation avec les autres unités présentes. Une forêt, un lac ou une rivière sont des exemples d’écosystèmes. Ces complexes dynamiques se composent d’un milieu, de plantes, d’animaux, et de microorganismes. Ces éléments développent un système d’interdépendance permettant le maintien et le développement de la vie.
Écotaxes Les écotaxes sont des taxes frappant un produit mis à la consommation, en raison des nuisances écologiques qu’il génère. L’écotaxe est un instrument fiscal au service de l’environnement. Il s’agit de modifier via l’instauration de taxes appropriées le système des prix relatifs afin de faire prendre en compte aux agents, le coût réel de leurs émissions de gaz à effet de serre. La taxation satisfait ainsi au principe pollueur/payeur. L’objectif est d’inciter les consommateurs à choisir des produits recyclables et moins polluants.
Écoterritoire Territoire où se trouvent des aires protégées (grands parcs, parcs-nature, réserves naturelles) et des milieux naturels (bois, cours d’eau, milieux humides) dont la Ville entend assurer la préservation et la mise en valeur par une approche de négociation.
Écotourisme L’écotourisme, également appelé tourisme vert, s’oppose au tourisme de masse. Il a pour but de faire découvrir des espaces naturels tout en respectant les écosystèmes. L’écotourisme valorise la biodiversité en intégrant une dimension éthique et éco-citoyenne. Forme de tourisme qui vise à faire découvrir des milieux naturels sans nuire à leur conservation. Une activité réalisée dans un cadre écotouristique favorise une attitude respectueuse à l’égard de l’environnement. Elle doit aussi encourager les visiteurs à mieux connaître les composantes naturelles et culturelles des milieux qu’ils visitent et entraîner des bénéfices pour les communautés locales.
Effet d’albédo Effet miroir des rayons de soleil qui atteignent la surface terrestre (eau ou terre). Presque tout ce qui existe (eau, arbres, gazons, toits des maisons, routes, glace) renvoie de la chaleur dans l’espace. Les glaces et la neige réfléchissent très bien la chaleur du soleil. S’il y avait moins de glaces et de neige, la Terre absorberait beaucoup plus de chaleur et la température augmenterait.
Effet de serre Phénomène naturel dû à certains gaz qui retiennent la chaleur du soleil rayonné par la surface de la Terre. L’effet de serre assure une température favorable au développement de la vie. Cependant, en s’accentuant sous la pression de l’activité humaine, il peut provoquer des changements climatiques rapides et nuisibles à l’équilibre écologique.
Effet d’îlot thermique urbain Phénomène par lequel les grandes villes absorbent plus la lumière et la chaleur du soleil que les banlieues à cause du grand nombre de surfaces bétonnées et asphaltées qu’on y trouve. La température y est donc généralement plus élevée de plusieurs degrés.
«Efficacité économique» L’économie du Québec et de ses régions doit être performante, porteuse d’innovation et d’une prospérité économique favorable au progrès social et respectueuse de l’environnement.
Efficacité énergétique (ou rendement énergétique) Capacité de produire un maximum de résultats avec un minimum de dégradation d’énergie. Ainsi, un appareil qui remplit bien sa fonction tout en consommant peu d’énergie possède une bonne efficacité énergétique.
Emploi durable L’emploi durable territorial a pour objectif de renforcer le maintien ou de développer des activités considérées comme stratégiques pour ce territoire en favorisant le maillage entre les ressources en compétences du territoire et le maintien et/ou le développement des emplois. L’emploi durable fait appel à une diversité de logiques personnelles, professionnelles organisationnelles, économiques et politiques devant se construire dans le cadre d’un projet collectif.
Empreinte écologique L’empreinte écologique est une mesure de la pression qu’exerce l’homme sur la nature. C’est un outil qui évalue la surface productive nécessaire à une population pour répondre à sa consommation de ressources et à ses besoins d’absorption de déchets. A l’échelle individuelle, l’empreinte écologique est une estimation de la superficie nécessaire pour répondre à l’ensemble de vos besoins en ressources naturelles. Mesure de la pression qu’exerce l’homme sur la nature. Cette mesure scientifique est mesurée en surface productive et prend en compte les surfaces terrestres et maritimes nécessaires pour produire des biens de consommation et de l’énergie, pour fournir le terrain nécessaires aux infrastructures et pour absorber les déchets.
Énergie Capacité d’un système de produire du travail. Il existe différents types d’énergie : mécanique, électromécanique, thermique, chimique, etc. Nous produisons ou achetons de l’énergie et nous en consommons beaucoup dans plusieurs de nos activités domestiques et industrielles. La cuisson des aliments, la fusion des métaux et l’alimentation des moteurs ne sont que quelques exemples d’activités qui consomment de l’énergie.
Énergie éolienne L’énergie éolienne est la forme d’énergie qui est produite par le vent. En la transformant, on peut par exemple l’utiliser pour produire de l’électricité.
Énergie durable Énergie durable désigne une forme d’énergie dont l’exploitation continue n’est pas nuisible à l’humanité.
Énergie géothermique (ou géothermie) Type d’énergie utilisant la chaleur interne de la Terre. On s’en sert principalement pour le chauffage, car c’est une énergie difficile à transporter. Il s’agit d’une énergie verte et renouvelable.
Énergie hydraulique Énergie produite par la chute de l’eau.
Énergie mécanique Énergie associée au poids et au mouvement d’un corps, comme le déplacement de l’eau d’une rivière, son courant. L’énergie mécanique de l’eau peut être transformée en énergie électrique; il s’agit de l’hydroélectricité.
Énergies d’origine fossile Énergies provenant d’une ressource naturelle stockée dans le sol, à plus ou moins grande profondeur, et non renouvelable. Toute énergie d’origine fossile, du pétrole à l’uranium en passant par le gaz ou les charbons, est épuisable.
Énergie solaire Énergie produite à partir de la conversion du rayonnement solaire. C’est une énergie verte. Cette énergie fait partie des énergies renouvelables. Les rayons du soleil permettent de chauffer une maison mais ils sont également source des vents. L’énergie lumineuse permet aussi le développement de la végétation et est à l’origine du cycle de l’eau. En effet, grâce à la photosynthèse, les plantes fixent le carbone de l’air et rejettent de l’oxygène.
Énergies renouvelables Une énergie renouvelable est une énergie renouvelée ou régénérée naturellement, indéfiniment, et inépuisable, à l’échelle temporelle de notre civilisation (milliards d’années) : les énergies renouvelables sont issues de phénomènes naturels, réguliers ou constants, provoqués par les astres, elles viennent principalement du soleil, de la chaleur interne de la Terre mais aussi de l’énergie des marées. Énergies tirées d’une source inépuisable, comme le soleil, le vent, l’eau en mouvement et la biomasse. Ces énergies ont la particularité de ne pas porter atteinte à l’environnement.
Énergie verte Énergie produite sans effet ou avec peu d’effets sur l’environnement. Les énergies éolienne, solaire, géothermique et marémotrice (produite par les marées) peuvent être considérées comme des énergies vertes.
Energy Star Logo de l’Agence américaine pour l’environnement (EPA) il est présent sur les appareils électroniques (ordinateur, imprimantes) ayant une faible consommation électrique. Ce label certifie les appareils économes en fonctionnement et en veille.
Engrais chimiques Les engrais chimiques, aussi appelés engrais inorganiques, sont constitués en bonne partie des mêmes éléments nutritifs que l’on retrouve dans le sol après la décomposition de la matière organique. Dans les engrais chimiques, cependant, les éléments nutritifs sont déjà libres; ils vont donc gaver les plantes pour accélérer leur croissance, contrairement aux engrais organiques qui eux libèrent les mêmes éléments au rythme des besoins de la plante.
Entreprise d’écotourisme Entreprise qui utilise le milieu naturel et la biodiversité pour mettre en valeur les activités qu’elle offre aux touristes.
Entreprise socialement responsable Désigne des entreprises qui : s’imposent des critères sociaux et environnementaux respectent chacun de leurs partenaires : salariés, clients, fournisseurs, actionnaires, riverains, etc. participent à la vie de la Cité élaborent et appliquent des chartes éthiques collaborent à l’harmonie sociale et écologique de la planète.
Environnement Ensemble des conditions naturelles (biologiques, physiques et géographiques) et des conditions découlant de l’aménagement du territoire qui agissent sur les organismes vivants, tels que les plantes, les animaux et les humains.
Éolien Exploitation de la force du vent pour produire de l’énergie ou pomper de l’eau souterraine. Cette énergie renouvelable permet de limiter le recours aux énergies fossiles et de gagner en indépendance énergétique.
Épargne solidaire Désigne une épargne investie en capital ou en compte courant dans des activités ou entreprises de l’Economie Solidaire, en acceptant des rémunérations financières faibles ou nulles.
EPEAT Créé aux Etats-Unis par le Green Electronic Council (GEC), l’EPEAT (outil d’évaluation environnementale des produits électroniques) est un outil qui permet aux entreprises d’évaluer et de comparer des matériels informatiques - PC, portables, écrans - en fonction de leurs caractéristiques écologiques
«Équité et solidarité sociales» Les actions de développement doivent être entreprises dans un souci d’équité intra et intergénérationnelle ainsi que d’éthique et de solidarité sociales;
Érosion Usure que l’eau, le vent et certaines interventions de l’homme font subir au sol.
Espace naturel Tout habitat de la faune et de la flore qui n’a pas été transformé par les humains.
Espèce Ensemble d’êtres vivants qui se ressemblent et qui se reproduisent entre eux.
Espèce envahissante Espèce transportée de son habitat naturel vers un nouveau milieu où elle s’adapte facilement. Elle s’établit et se répand rapidement, car à court et à moyen terme elle n’est visée par aucun prédateur ni aucune maladie. Elle peut devenir nuisible à l’environnement en prenant la place des espèces indigènes.
Espèce exotique Plante ou animal présent dans une région extérieure à son aire de distribution naturelle connue, à la suite d’une introduction accidentelle ou intentionnelle par des humains.
Espèce menacée Espèce qui risque de disparaître si l’on ne fait rien pour la sauver.
Espèce vulnérable Espèce qui n’est pas menacée de disparition, mais qui suscite une préoccupation puisqu’elle est peu fréquente, peu abondante ou en déclin.
Essence d’arbre Espèce, en parlant des arbres d’une forêt. Par exemple, le chêne rouge, le peuplier faux-tremble et l’épinette noire sont des essences d’arbres.
Éthique L’éthique est une discipline pratique et normative qui se donne pour but de dire comment les êtres doivent se comporter. Il existe différentes formes d’éthique qui se distinguent par leur degré de généralité (l’éthique appliquée par exemple ne possède pas le degré de généralité de l’éthique générale), elles se distinguent aussi par leur objet (comme la bioéthique, éthique des affaires ou l’éthique de l’informatique) ou par leur fondement (qui peut être la religion, la tradition propre à un pays ou à un groupe social ou un système idéologique). Dans tous les cas, l’éthique vise à répondre à la question «Quoi faire pour «Bien faire»»? Désigne l’ensemble de valeurs issues d’une réflexion personnelle qui guide l’action d’un individu ou d’une entreprise. Selon le juriste J.de Maillard : c’est une obligation, auto décidée, auto appliquée, ni sanctionnable, ni commune.
Étiquette ÉnerGuide Outil qui aide à prendre une décision éclairée lors de l’achat d’un appareil électroménager neuf. Cette étiquette indique combien d’énergie l’appareil consomme au cours d’une année d’utilisation normale et facilite la comparaison, du point de vue de l’efficacité énergétique, entre les modèles de même capacité et de même catégorie. On trouve une étiquette semblable pour les automobiles neuves. Elle indique alors la consommation de carburant en ville et sur la route et donne une estimation du coût annuel en carburant. De plus, il existe un programme ÉnerGuide qui aide à prendre de bonnes décisions en matière d’efficacité énergétique, lors de la rénovation ou de l’achat d’une maison. L’étiquette et le programme ÉnerGuide ont été créés par l’Office de l’efficacité énergétique.
|F| Faune Ensemble des espèces animales qui vivent dans une région précise.
Filière d’élimination Enchaînement des opérations et ensemble d’équipements mis en œuvre pour éliminer des déchets.
Flore Ensemble des plantes présentes dans une région précise.
Fonctions écosystémiques ou fonctions écologiques Avantages que l’humain retire des écosystèmes. Il s’agit des fonctions d’approvisionnement telles que la nourriture et l’eau; des fonctions de régulation, notamment le contrôle des inondations et des maladies; des fonctions culturelles, comme les avantages spirituels, culturels et ceux liés aux loisirs; et des fonctions de soutien, comme la formation des sols.
Forage Opérations consistant à pénétrer dans le sous-sol, soit pour des études géologiques, soit pour l’extraction des fluides contenus dans les terrains traversés, soit pour l’injection de fluide.
Forêt Étendue couverte de végétaux sur laquelle les arbres prédominent.
Fossé d’irrigation Tranchée creusée dans le sol servant à l’écoulement des eaux.
Fosse-réservoir Bassin que l’on a creusé dans un sol ou dans une terre humide pour y recueillir de l’eau.
Fragment Dans un espace naturel, chacune des parties qui est isolée par un élément artificiel comme une route, une voie ferrée ou un ensemble d’habitations.
Fragmentation Tout phénomène artificiel qui divise les espaces naturels, empêchant ainsi les espèces vivantes de se déplacer d’un milieu à un autre.
|G| Gaz à effet de serre Les gaz à effet de serre (GES) sont des gaz qui contribuent par leurs propriétés physiques à l’effet de serre. L’augmentation de leur concentration dans l’atmosphère terrestre est à l’origine du réchauffement climatique. (wikipédia) Gaz présents dans l’atmosphère terrestre. Ils retiennent près de la surface de la Terre la chaleur que celle-ci retourne vers l’espace après avoir été réchauffée par le Soleil. Ces gaz participent au maintien des températures moyennes propices à la vie sur notre planète. L’effet de serre que ces gaz provoquent est un phénomène naturel et essentiel au maintien de la vie. Les gaz à effet de serre naturels sont la vapeur d’eau, le dioxyde de carbone (CO2), le méthane, l’oxyde nitreux et l’ozone. Toutefois, certaines activités humaines (industrie, transport, électricité, déchets, agriculture, chauffage des habitations, etc.) envoient aussi tous ces gaz dans l’atmosphère, en plus de certains produits chimiques qui ne s’y trouvent pas de façon naturelle. En augmentant la quantité de gaz à effet de serre présente dans l’atmosphère, les activités humaines peuvent entraîner des changements climatiques.
Gaz naturel Gaz combustible riche en méthane provenant des gisements naturels. Il s’agit d’un mélange d’hydrocarbures qui se liquéfient à la pression atmosphérique. Le gaz naturel est utilisé comme énergie domestique ainsi que pour le fonctionnement des installations industrielles et des centrales électriques.
Gazéification Procédé de transformation en phase gazeuse de produits liquides ou solides.
Génératrice Machine qui transforme l’énergie mécanique en électricité.
Géothermie Utilisation de la chaleur des nappes d’eau souterraines ou du sous sol pour la production d’électricité ou pour le fonctionnement d’un chauffage collectif.
Gestion des déchets Ensemble des opérations mises en œuvre pour la prévention de la production de déchets et pour l’élimination des déchets.
GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’évolution du Climat) Organisme créé en 1988 par l’Organisation Météorologique Mondiale et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Ce groupe intergouvernemental a pour mission de publier des rapports d’évaluation sur les changements climatiques dans le monde, d’évaluer la capacité d’adaptation de l’environnement et de nos sociétés et de proposer des mesures d’action.
Global Compact Ensemble de principes universels relatifs aux Droits de l’Homme, aux normes du travail et à l’environnement lancé en 2000. Les 10 principes du Global Compact représentent l’engagement volontaire des grandes entreprises à contribuer à la promotion et la mise en œuvre d’une politique de développement durable au niveau planétaire.
Global Reporting Initiative (GRI) Sa mission est de concevoir et de diffuser des lignes directrices d’application générale pour la production de rapports sur le développement durable, que les entreprises pourront utiliser pour rendre compte des dimensions économiques, environnementales et sociales de leurs activités.
Gouvernance La Gouvernance est un exercice de l’autorité économique, politique et administrative en vue de gérer les affaires d’un pays à tous ses niveaux. La Gouvernance comprend les mécanismes, les processus et les institutions par le biais desquels les citoyens et les groupes expriment leurs intérêts, exercent leurs droits juridiques et assument leurs obligations. Dans le contexte du développement durable : la gouvernance est un processus de décision collectif n’imposant pas systématiquement une situation d’autorité. La ‘’bonne gouvernance’’ se caractérise notamment par la participation, la transparence, la responsabilité, l’efficacité et l’équité. Elle veille à ce que les priorités politiques, sociales et économiques soient fondées sur un large consensus au niveau de la société. La définition du Programme des Nations Unis pour le développement (PNUD) de la gouvernance : elle peut être considérée comme l’exercice des pouvoirs économiques, politiques et administratifs pour gérer les affaires des pays à tous les niveaux. Il comprend les mécanismes, procédés et institutions par lesquels les citoyens et les groupes articulent leurs intérêts, exercent leurs droits légaux , remplissent leurs obligations et gèrent leurs différences. La bonne gouvernance est, parmi d’autres choses, participative, transparente et responsable. Elle aussi efficace et équitable, la bonne gouvernance assure que les priorités politiques, sociales et économiques sont fondées sur un large consensus dans la société et que les voix des plus pauvres et des plus vulnérables sont au coeur du processus de décision sur l’allocation des ressources pour le développement.
Gouvernance d’entreprise Définition du Code OCDE 1999 de la Gouvernance d’entreprise : La Gouvernance d’entreprise désigne l’ensemble de relations entre la direction d’une entreprise, son conseil d’administration, ses actionnaires et les autres parties prenantes. La gouvernance d’entreprise fournit également le cadre au sein duquel sont fixés les objectifs de l’entreprise et définit les moyens de les atteindre et de surveiller les performances. En anglais, se dit Corporate governance.
Gouvernance environnementale La Gouvernance environnementale désigne une conduite collective décisionnelle réunissant tous les acteurs territoriaux selon un mode partenarial en vue d’une planification et d’une gestion mieux intégrées des ressources et d’une prise en considération des conséquences environnementales et sociales des changements planifiés.
Gradateur Dispositif électrique permettant de régler l’intensité de la lumière des lampes.
Greenpeace Créée en 1971 par un groupe de militants Greenpeace est une organisation non gouvernementale non violente de protection de l’environnement présente dans plus de quarante pays à travers le monde. Son but est de dénoncer les atteintes à l’environnement et d’y apporter des solutions. L’organisation est présente dans plus de quarante pays à travers le monde et compte aujourd’hui près de 3 millions d’adhérents.
Greenwashing Le terme Greenwashing est un terme anglophone qui peut être traduit par verdissement d’image. Le terme Greenwashing est utilisé par les groupes de pression environnementaux pour désigner les efforts de communication des entreprises sur leurs avancées en termes de développement durable, avancées qui ne s’accompagnent pas de véritables actions pour l’environnement. À la notion de Greenwashing est opposée celle de publicité éthique. Le terme Greenwashing trouve son origine dans la contraction des mots green, vert et brainwashing, ou lavage de cerveau. Le terme Greenwashing a été employé pour la première fois suite à un article paru dans la revue Mother Jones au début des années 1990. (Source : Publicitaires Eco-Socio-Innovants). Ce terme est également utilisé pour désigner le rapprochement d’une entreprise avec l’ONU dans le cadre du Global Compact.
|H| Horticulture L’horticulture comprend la culture des jardins potagers, mais aussi celle des arbres et des fleurs de même que la culture en serre.
HQE (Haute Qualité environnementale) Démarche environnementale pour la conception et la réalisation de bâtiments.
Hybride (véhicule) Equipé d’un moteur thermique (à essence ou diesel) et d’un moteur électrique fonctionnant ensemble ou séparément selon les conditions de circulation. Ce type de véhicule peut faire économiser entre 25 et 30% de carburant en ville.
Hydraulique Ensemble de techniques permettant d’exploiter la force de l’eau pour produire de l’énergie.
Hydrocarbures Substances composées de carbone et d’hydrogène et utilisées notamment pour faire fonctionner les moteurs. Le pétrole et le gaz naturel sont des exemples d’hydrocarbures. Les hydrocarbures sont gazeux, liquides ou solides et ils sont inflammables.
Hydrogène Cet élément peut être produit à partir d’un grand nombre d’énergies primaires, notamment les combustibles fossiles avec séquestration du CO2 à la source et les énergies renouvelables.
|I| Îlot Entité de l’espace urbain entièrement bordée par des voies publiques et comportant généralement plusieurs parcelles (lots). Dans les anciens secteurs urbanisés, les îlots comportent souvent un réseau de ruelles.
Implantation Localisation d’un ouvrage ou d’un bâtiment sur un lot, distance et orientation par rapport aux marges avant ou latérales ou par rapport à la voie publique, de même que par rapport aux bâtiments voisins.
Incinération Méthode de traitement thermique des déchets qui consiste en une combustion (technologie et température variant selon la nature du déchet) et un traitement des fumées. De plus en plus d’incinérateurs valorisent les déchets sous forme d’électricité ou d’énergie thermique.
Indice De Durabilité environnementale (IDD) On entend par durabilité environnementale la capacité d’afficher un haut niveau de rendement dans cinq secteurs, de manière durable : Systèmes environnementaux Réduction du stress environnemental Réduction de la vulnérabilité humaine Capacités sociales & Capacités institutionnelles Bonne intendance mondiale Cet indicateur constitue une référence générale qui permet : De comparer le degré d’amélioration pour une année donnée De suivre l’évolution de chaque pays d’une publication à une autre Cet Indice De Durabilité environnementale (IDD) sert à mesurer les performances environnementales générales accomplies par 146 pays en vue d’assurer la durabilité de l’environnement. Il est calculé à partir d’une liste de 76 variables sous-jacentes intégrées à 21 indicateurs de base. Parmi les 21 indicateurs de base pris en compte on retrouve tout particulièrement : la qualité de l’air et de l’eau, la biodiversité, l’artificialisation du territoire, les contraintes sur les écosystèmes, les déchets, la gestion des ressources naturelles, la politique de l’environnement, etc.
Installation sanitaires Installations d’hygiène destinées à distribuer, utiliser et évacuer l’eau dans les habitations (baignoires, bidets, lavabos, éviers).
Installation septique Système de traitement destiné à épurer (nettoyer) les eaux usées d’un bâtiment ou d’une maison.
Institut International du Développement Durable (IIDD) La mission de l’Institut international pour le développement durable (IIDD, Canada) est de favoriser l’innovation afin de permettre aux sociétés de vivre de manière plus durable. L’Institut International du Développement Durable (IIDD) contribue au développement durable en recommandant des politiques concernant le commerce international et l’investissement, les politiques économiques, le changement climatique, les mesures et les examens, et la gestion des ressources naturelles par l’entremise de leur site Web et de leurs publications. Il offre des recommandations basées sur une analyse prudente, des réseaux de connaissance pour que la société civile atteigne sa capacité et d’autres organismes tant au Sud qu’au Nord ainsi que des rapports opportuns sur les négociations internationales critiques au caractère durable de la planète.
Intensité énergétique Rapport entre la consommation totale d’énergie et le produit intérieur brut (PIB) pour une année donnée. Cet indicateur permet de connaître la quantité d’énergie nécessaire pour produire une unité de valeur ajoutée. Plus elle est faible, plus l’efficacité énergétique est importante.
Intermodalité Raccord ordonnancé de modes différents de transport.
«Internalisation des coûts» La valeur des biens et des services doit refléter l’ensemble des coûts qu’ils occasionnent à la société durant tout leur cycle de vie, de leur conception jusqu’à leur consommation et leur disposition finale.
Investissement éthique Les sociétés de gestion ou les particuliers qui investissent ‘’éthique’’ prennent en compte d’autres facteurs que les seules performances économiques et financières des entreprises pour leurs placements. Ils se soucient également de la politique sociale et environnementale menée par les entreprises dont ils détiennent des actions.
Investissement socialement responsable (ISR) L’Investissement Socialement Responsable, ou ISR, désigne des investissements réalisés avec des critères sociaux, environnementaux et éthiques et pas uniquement financiers. L’Investissement Socialement Responsable, ou ISR, couvre en effet 6 domaines qui sont : ressources humaines, comportement sur les marchés, droits humains, environnement, gouvernance d’entreprise et engagement sociétal. En anglais, se dit SRI ou Socially Responsible Investment.
IPP (Independent power producer) Producteur d’électricité indépendant dont les activités ne sont pas régulées par l’Etat.
ISO 14001 Norme permettant de constater l’aptitude d’une société ou d’un organisme à maîtriser l’impact de son activité sur l’environnement et le respect réglemantaire. Cette norme internationale, rédigée en septembre 1996, repose sur le principe d’amélioration continue de la performance environnementale.
ISO 9001 Norme internationale qui permet d’établir la capacité d’une société ou d’un organisme à répondre aux exigences de ses clients en matière de qualité d’un produit ou d’un service. Cette norme concerne la conception du produit, la maîtrise de l’outil de production et du procédé de fabrication ainsi que le contrôle qualité du produit final.
Isolation géothermique Conservation de la chaleur grâce aux propriétés isolantes du sol.
|K| Kyoto (protocole) Accord intergouvernemental signé en 1997 lors de la Conférence des Parties à la Convention-Cadre sur le Changement Climatique visant à stabiliser les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Tous les pays membres de la convention climat ont pour objectif de stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique.
|L| Label social Le Label social propose un symbole pouvant être apposé sur un produit pour influencer la décision d’achat des consommateurs avec une garantie sur la qualité sociale et éthique de la fabrication et de la commercialisation du produit.
Lampe au sodium Source lumineuse jaune, la lampe au sodium a un meilleur rendement énergétique et moins d’incidence sur la qualité du ciel nocturne, la santé humaine et les écosystèmes que les sources lumineuses blanches (lampes au mercure, incandescentes, halogènes, fluorescentes, fluorescentes compactes, etc.).
Lessivage Transport par l’eau dans le sol de certaines matières (minéraux, polluants, etc.).
Lieu historique national Désignation par la Commission des lieux et monuments historiques du Canada, soulignant l’importance d’un lieu, d’un événement dans l’histoire ou pour la culture canadienne.
Liquéfaction du gaz naturel Transformation du gaz naturel de la forme gazeuse à la forme liquide pour son transport par bateau et/ou son stockage.
Lixiviats Eau ayant été en contact avec les déchets stockés dans un centre d’enfouissement et chargée de polluants organiques ou minéraux. Ces eaux ne peuvent être rejetées directement dans la nature sans avoir été traitées.
Lombri-compostage Traitement basé sur l’action de vers (proches du ver à fumier) en présence d’air.
Lumière intrusive Tout éclairage qui pénètre dans nos maisons et nous importune une fois la nuit venue.
|M| Matériau écologique Matériau prélevé sur une ressource renouvelable et n’entraînant pas de pollution lorsqu’il est éliminé. Il peut aussi s’agir d’un matériau dont la fabrication n’entraîne qu’un faible dégagement de gaz à effet de serre.
Matière organique La matière organique du sol est composée d’organismes vivants, de résidus de végétaux et d’animaux et de produits en décomposition. Les matières organiques sont composées à la base de carbone et d’hydrogène.
Matières putrescibles On nomme matières putrescibles les matières résiduelles qui peuvent subir une biodégradation, donc avec lesquelles il est possible de faire du compost.
Matières résiduelles Matière que nous jetons (ordures ménagères, vêtements, livres, appareils ménagers, meubles, papier, verre, plastique, métaux, emballages, etc.). La majorité de ces résidus, autrefois nommés déchets, pourraient être recyclés ou réutilisés. C’est d’ailleurs l’un des objectifs visés par la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles. Les matières résiduelles peuvent aussi être d’origine industrielle ou agricole, ou des substances naturelles contaminées par les activités humaines (ex. neiges usées).
Mécanismes pour le développement propre Le Mécanisme pour le développement propre (Mdp) est issu du protocole de Kyoto a pour objet d’une part d’aider les pays en développement à parvenir à un développement durable tout en contribuant à la stabilisation des gaz à effet de serre et d’autre part d’aider les pays développés de remplir leurs engagements chiffrés de limitation et de réduction de leurs émissions. Le mécanisme de développement propre (MDP) est un mécanisme de réduction des émissions de carbone au titre du Protocole de Kyoto de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), qui autorise des projets de réduction des émissions (ou d’absorption d’émissions) dans les pays en développement afin de générer des unités de réduction certifiée des émissions (CER) équivalant chacune à une tonne de CO2. Le Mécanisme pour le développement propre (Mdp) prévu par l’article 12 du Protocole de Kyoto, vise en effet à aider les pays en développement à réaliser des projets de développement durable tout en permettant aux pays industrialisés de financer des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans les pays en développement en obtenant des crédits pour le faire. Ainsi, si un pays développé aide un pays en développement à mettre en place un mécanisme qui permet à ce pays de se développer de la façon la plus ‘’propre’’ possible, le pays développé pourra déduire de ces émissions cette aide.
Mesures d’atténuation Ensemble de dispositions réglementaires ou techniques permettant de réduire les impacts négatifs sur la qualité de vie des résidents.
Mesures préférentielles au transport collectif Mesures visant à accorder la priorité au transport collectif sur le réseau routier, pouvant prendre la forme de: couloir réservé en site propre; feu de signalisation prioritaire: marquage au sol; voie réservée, etc.
Métaux lourds Métaux tels que le mercure, le plomb, le cadmium, le chrome, le zinc, le cuivre, le nickel et l’arsenic provenant des tuyauteries, des piles, de la peinture et qui vont s’ajouter dans la chaîne alimentaire, pouvant ainsi lui nuire. Ils ne sont pas dégradables.
Méthane (CH4) Ce gaz joue un rôle important dans l’effet de serre. Il est produit par la végétation brûlée, digérée ou pourrie en l’absence d’oxygène. Par exemple, de grandes quantités de méthane proviennent des rizières, des dépotoirs et des animaux d’élevage.
Méthanisation Utilisation de déchets végétaux ou organiques pour produire, à l’échelle d’une maison ou d’une ville, du gaz convertible en énergie de chauffage ou de cuisson.
MDP (Mécanisme de Développement Propre) Prévu par le protocole de Kyoto, il permet aux pays industrialisés d’atteindre leurs objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre en finançant des installations propres dans les pays en développement.
Micropolluant Polluant chimique présent en faible concentration dans un milieu donné. Il est difficile à éliminer.
Mobilier urbain Objets utilitaires destinés au confort, à l’agrément et à la sécurité des piétons, de même qu’à la salubrité publique : bancs, poubelles, lampadaires, bacs à fleurs, dispositifs de signalisation.
Mobilité durable La mobilité est la capacité des personnes et des biens à se déplacer ou à être transportés d’un endroit à un autre. Le caractère durable de la mobilité (ou mobilité durable), au sens supportable sur le long terme par la planète et la société humaine, dépend de notre capacité à faire face aux enjeux du transport routier, en collaboration avec l’ensemble des acteurs du domaine. Grâce aux efforts conjugués des motoristes, des constructeurs et des pneumaticiens, les véhicules neufs sont de moins en mois polluants, et l’on se tourne doucement vers une mobilité durable, plus suportable. Selon le groupe Michelin, ‘’ l’objectif premier des acteurs de la mobilité est d’apporter une réponse satisfaisante au besoin de déplacement. Pour être durable, la mobilité doit tendre à réduire son impact environnemental, à devenir accessible en toute sécurité au plus grand nombre et être compatible avec les objectifs et contraintes économiques de tous ses acteurs, les pouvoirs publics et les entreprises notamment.’’
Monument historique Au sens de la Loi sur les biens culturels, immeuble qui présente un intérêt historique par son histoire ou son architecture(LRQ, c. B-4, a. 1d).
Mondialisation Concept français qui exprime notamment les nouvelles possibilités géographiques de production et de distribution, hors des lieux de décision et de conception. Ce concept soulève les problèmes sociaux de délocalisation de la main-d’œuvre, douloureux pour les uns et bénéfiques pour les autres.
Morale Selon le juriste J.de Maillard : c’est une norme de comportement non territoriale, non sanctionnable mais universelle.
|N| Natura 2000 Réseau de sites écologiques (naturels ou semi-naturels) ayant une grande valeur patrimoniale par les habitats naturels ou la faune et la flore exceptionnelle qu’ils contiennent. L’Europe s’est lancée dans la réalisation de ce réseau avec pour double objectif de préserver la diversité biologique et de valoriser les territoires.
Neige usée Neige contaminée par l’épandage d’abrasifs et de roc concassé ainsi que par la présence d’ordures et de particules de métaux.
Norme Chiffre qui fixe une limite supérieure à ne pas dépasser ou une limite inférieure à respecter. Tout ce qui entre dans une norme est considéré comme « normal ».
Norme ISO Les normes sont des accords documentés contenant des exigences ou autres critères précis destinés à être utilisés systématiquement en tant que règles. Ces lignes directrices sont établies afin d’assurer que les activités, processus ou produit sont réalisés de manière conforme. Les organismes respectant scrupuleusement les exigences dictées par ces normes sont des organismes dits «certifiés ISO» (International Organization for Standardization) du nom de l’organisme qui établit ces normes.
Noyaux villageois Premiers établissements permanents sur le territoire de Montréal, à partir desquels les divers milieux de vie se sont établis, et dont il reste trace dans le paysage urbain.
|O| OGM (Organisme Génétiquement Modifié) Organisme génétiquement modifié, appelé aussi organisme transgénique. Un OGM est un organisme dont les caractères ont été modifiés par l’introduction en laboratoire d’un ou plusieurs gènes étrangers. Le matériel génétique a été modifié par la technologie moderne, c’est-à-dire d’une façon qui ne se produit pas dans la nature. Les OGM comprennent à la fois les organismes vivants modifiés (OVM) et ceux transformés qui ne sont plus vivants. OGM est l’appellation généralement utilisée par le public, les médias et la majorité des intervenants dans ce domaine. Un OGM est défini par la réglementation européenne comme «un organisme dont le matériel génétique a été modifié d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ ou par recombinaison naturelle». Bien qu’un organisme puisse être modifié génétiquement de façon naturelle ou par intervention de l’humain, les termes organisme transgénique et organisme génétiquement modifié (OGM), font plus spécifiquement référence aux organismes modifiés en laboratoire.
OMC (Organisation Mondiale du Commerce) L’Organisation mondiale du commerce s’occupe des règles régissant le commerce entre les pays, à l’échelle mondiale ou quasi mondiale. C’est une organisation qui s’emploie à libéraliser le commerce, un cadre dans lequel les gouvernements négocient des accords commerciaux. C’est également un lieu où ils règlent leurs différends commerciaux.
Organique Se dit de tout ce qui contient des cellules vivantes. Toutes les cellules vivantes sont essentiellement composées de ces quatre éléments : le carbone, l’hydrogène, l’oxygène et l’azote.
OVM Un organisme vivant modifié (OVM) est un organisme capable de transférer ou de copier du matériel génétique et qui possède un matériel génétique nouveau obtenu par des technologies modernes comme celles pratiquées en laboratoire.
Oxygène Gaz invisible, inodore, qui constitue approximativement 1/5 de l’air atmosphérique. L’oxygène est présent dans l’air sous forme d’un gaz diatomique.
Ozone Gaz comportant 3 atomes d’oxygène. A basse altitude, il participe à l’effet de serre. En revanche, à haute altitude, il protège la Terre des rayonnements ultraviolets.
|P| Paramètres réglementaires Ensemble des paramètres urbanistiques du Plan d’urbanisme précisant les orientations de la réglementation de zonage et autres règlements découlant du Plan.
Parc naturel Parc dont l’objectif est d’assurer la protection permanente de territoires représentatifs des régions naturelles du Québec ou des sites naturels à caractère exceptionnel tout en les rendant accessibles au public pour une variété d’activités récréatives de plein air.
Parcours riverain Route de ceinture de l’île de Montréal, de l’île Bizard et de l’île des Sœurs, en bordure des rives. Ce parcours se superpose occasionnellement aux tracés fondateurs.
«Partenariat et coopération intergouvernementale» Les gouvernements doivent collaborer afin de rendre durable le développement sur les plans environnemental, social et économique. Les actions entreprises sur un territoire doivent prendre en considération leurs impacts à l’extérieur de celui-ci.
«Participation et engagement» La participation et l’engagement des citoyens et des groupes qui les représentent sont nécessaires pour définir une vision concertée du développement et assurer sa durabilité sur les plans environnemental, social et économique.
Particules fines Minuscules poussières déversées dans l’air par diverses sources comme les transports, les industries et le chauffage au bois. Leur diamètre étant très petit, elles peuvent pénétrer profondément dans les voies respiratoires et ainsi nuire à leur fonctionnement.
Planification concertée avec les institutions Démarche de planification associant la Ville de Montréal et une institution, permettant de définir les règles urbanistiques applicables au site occupé par cette institution et pouvant mener à l’utilisation d’outils réglementaires et, le cas échéant, à une entente de développement relative aux aspects non réglementaires que la Ville et l’institution désirent mettre de l’avant, notamment des projets conjoints ou encore le partage d’équipements.
Performance énergétique Capacité d’un bâtiment à limiter sa consommation d’énergie lors de son fonctionnement (production de chauffage, d’eau chaude, refroidissement, ventilation…).
Performance globale Désigne le concept selon lequel le progrès d’une entreprise est tout aussi dépendant de la qualité et de la performance de son environnement (infrastructure, éducation, recherche, fiscalité) que de ses propres compétences (management, fabrication, marketing).
Pesticides Les pesticides sont des substances émises dans des cultures pour lutter contre des organismes nuisibles. Les pesticides rassemblent les insecticides, les fongicides , les herbicides, les parasiticides. Ils sont utilisés contre les insectes ravageurs, champignons, mauvaises herbes et vers parasites. Lors d’un traitement, plus de 90 % des quantités utilisées de pesticides aboutissent dans les sols où ils subissent des phénomènes de dispersion. Les risques pour l’environnement sont d’autant plus grands que ces produits sont toxiques, et très persistants.
Photosynthèse Phénomène par lequel les végétaux pourvus de chlorophylle transforment le gaz carbonique en composés organiques plus complexes, grâce à l’énergie solaire. L’oxygène est un sous-produit de ce phénomène.
Photovoltaïques (cellules) Unités composées de deux couches de silicium dans lesquelles le rayonnement de la lumière du soleil provoque un déplacement des électrons, entraînant une production d’électricité. L’électricité est recueillie par des électrodes reliées entre elles sur des panneaux qui fournissent un courant continu alimentant des batteries.
Pile Appareil qui transforme en électricité l’énergie dégagée par une réaction chimique. Certains appareils, comme la télécommande de la télévision, exigent des piles qui fournissent un faible courant électrique. Cependant, il en existe de plus puissantes, comme celles que l’on retrouve dans les automobiles.
Pile à combustible ou pile à combustion Pile qui convertit l’énergie chimique en énergie électrique en utilisant généralement l’hydrogène comme combustible. Bien sûr, il faut tenir compte du mode de production de l’hydrogène pour évaluer l’efficacité énergétique de cette pile. L’usage de cette technologie appliquée à l’automobile pourrait néanmoins améliorer la qualité de l’air en milieu urbain. Elle offre plusieurs avantages dont celui de fournir une grande puissance pour un poids et des dimensions raisonnables. De plus, sa mise au rebut ne cause pas de pollution.
Plan Climat Un plan climat territorial est une démarche volontaire des collectivités locales qui entreprennent des actions locales ciblées pour réduire leurs émissions à effet de serre (meilleur tri des déchets, transports en commun, économies sur l’éclairage public, énergies renouvelables…).
Polluant primaire Il s’agit d’un polluant émis directement par les activités humaines ou la nature (le dioxyde de soufre, par exemple)
Polluant secondaire Il s’agit d’un polluant résultant de l’interaction chimique de polluants primaires dans l’atmosphère (ozone, par exemple).
Pollueur payeur Principe établi en France en 1994 par la première loi sur l’eau, incitant les industriels et les citoyens à payer pour les dommages qu’ils causent à l’environnement. Les personnes qui génèrent de la pollution ou dont les actions dégradent autrement l’environnement doivent assumer leur part des coûts des mesures de prévention, de réduction et de contrôle des atteintes à la qualité de l’environnement et de la lutte contre celles-ci.
Pollution lumineuse Lumière artificielle projetée vers le ciel, qui est responsable du voilement des étoiles, crée une nuisance visuelle ou cause des pertes d’énergie.
Pompe à chaleur Elle prélève la chaleur du sous-sol, augmente sa température et restitue une chaleur plus élevée dans l’habitation. Elle utilise un compresseur qui doit être entraîné par un moteur électrique. Pour un kilowattheure d’énergie électrique consommée elle en restitue trois à quatre. La pompe à chaleur peut récupérer l’énergie de 3 sources différentes, en fonction du milieu environnant : l’air extérieur, l’eau et le sol.
«Précaution» Lorsqu’il y a un risque de dommage grave ou irréversible, l’absence de certitude scientifique complète ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l’adoption de mesures effectives visant à prévenir une dégradation de l’environnement.
«Préservation de la biodiversité» La diversité biologique rend des services inestimables et doit être conservée pour le bénéfice des générations actuelles et futures. Le maintien des espèces, des écosystèmes et des processus naturels qui entretiennent la vie est essentiel pour assurer la qualité de vie des citoyens.
«Prévention» En présence d’un risque connu, des actions de prévention, d’atténuation et de correction doivent être mises en place, en priorité à la source.
Principe de précaution Le principe de précaution a été édicté lors de la conférence sur la diversité biologique de Rio (1992) qui stipule que ‘’en cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l’absence de certitude absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l’adoption de mesures effectives, visant à prévenir la dégradation de l’environnement ...’’. Le principe de précaution est énoncé dans la loi n° 95/101 du 2 février 1995 relative au renforcement de la protection de l’environnement : ‘’l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économiquement acceptable’’. Le Principe de précaution est également libellé de la manière suivante dans la Charte de l’environnement (projet de Loi constitutionnelle de la République française, 2003) : ‘’Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution, à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin d’éviter la réalisation du dommage ainsi qu’à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques encourus.’’ Principe de la méthode d’évaluation simplifiée des risques selon lequel, en l’absence d’informations fiables sur un paramètre ou une grandeur devant être appréciée lors de la notation, la note maximale (3) est appliquée. Définition donnée par le JO du 12 avril 2009 : Principe selon lequel l’éventualité d’un dommage susceptible d’affecter l’environnement de manière grave et irréversible appelle, malgré l’absence de certitudes scientifiques sur les risques encourus, la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et l’adoption de mesures provisoires et proportionnées au dommage envisagé. Le principe de précaution doit être distingué du principe de prévention, qui s’applique exclusivement aux risques avérés.
«Production et consommation responsables» Des changements doivent être apportés dans les modes de production et de consommation en vue de rendre ces dernières plus viables et plus responsables sur les plans social et environnemental, entre autres par l’adoption d’une approche d’écoefficience, qui évite le gaspillage et qui optimise l’utilisation des ressources.
«Protection de l’environnement» Pour parvenir à un développement durable, la protection de l’environnement doit faire partie intégrante du processus de développement.
«Protection du patrimoine culturel» Le patrimoine culturel, constitué de biens, de lieux, de paysages, de traditions et de savoirs, reflète l’identité d’une société. Il transmet les valeurs de celle-ci de génération en génération et sa conservation favorise le caractère durable du développement. Il importe d’assurer son identification, sa protection et sa mise en valeur, en tenant compte des composantes de rareté et de fragilité qui le caractérisent.
Protocole de Cartagena De son vrai nom, le « Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques relatif à la Convention sur la diversité biologique » a pour objectif de contribuer à contrôler le transport, le mouvement entre les pays et l’utilisation d’un OVM en assurant un degré adéquat de protection de la diversité biologique et de prévention des risques pour la santé humaine. Il est basé sur l’approche de précaution.
Protocole de Kyoto Engagement pris en 1997 par les pays industrialisés afin de réduire, entre 2008 et 2012, leurs émissions de gaz à effet de serre d’au moins 5 % sous le niveau de 1990. Pour entrer en vigueur, le protocole devait être ratifié par 55 pays dont le total des émissions de gaz à effet de serre représentait au moins 55 % des émissions des pays industrialisés. Les États-Unis, dont le pourcentage d’émission est très élevé, ont refusé de ratifier le protocole. C’est ce qui explique le long délai entre son adoption en 1997 et sa mise en vigueur le 16 février 2005. En décembre 1997, au Japon, environ 180 nations ont signé un traité selon lequel 38 pays industrialisés s’engagent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre accusées de provoquer un réchauffement global. Le protocole de Kyoto stipule qu’entre 2008 et 2012, ces émissions devront baisser jusqu’à un niveau moyen inférieur de 5,2 %.
Puits Canadien Le puits Canadien consiste à faire passer l’air de renouvellement de la maison par des tuyaux enterrés (profondeur d’au moins un mètre cinquante, longueur 25 à 30 m, diamètre tube 160 mm).
|Q| QHSE Qualité, hygiène, Sécurité, Environnement
Qualité de l’air Souvent mesurée par une combinaison de méthodes chimiques et électroniques. Des sondes sont reliées à un système informatique qui enregistre automatiquement une quantité de valeurs à intervalle réguliers et qui peuvent ensuite être visualisées facilement sous diverses formes. En France, cette surveillance est réalisée par un ensemble d’associations (Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air) réparties sur le territoire.
Qualitel Label émanant d’un organisme certificateur fondé en 1974 qui réunit des représentants des pouvoirs publics, des associations de consommateurs et des organisations professionnelles de la construction. Ce label est principalement utilisé dans la construction des habitats collectifs et porte sur la protection contre les nuisances sonores.
|R| Rapport Bruntland La Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement des Nations Unies (commission Bruntland) a publié en 1987 le rapport intitulé ‘’Notre avenir à tous’’ (rapport Brundtland) qui servi de base à la Conférence de Rio. Il définit le terme du développement durable, qui avait été énoncé auparavant par l’UICN. Il est paru en langue française en 1989.
Rapport sociétal Démarche volontaire ou réglementaire des entreprises, qui rendent compte à leurs partenaires, de l’impact de leurs activités dans les domaines environnementaux et sociaux.
Réchauffement climatique Le réchauffement climatique est un phénomène d’augmentation de la température moyenne des océans et de l’atmosphère, à l’échelle mondiale et sur plusieurs années. La plupart des scientifiques attribuent à ce réchauffement global une origine en grande partie humaine. (wikipédia)
Récupération Action de recueillir des matériaux usagés, de les trier et de faire en sorte qu’ils servent à nouveau, que ce soit tels quels, recyclés ou dans le compostage.
Recyclage Le recyclage est un procédé de traitement des déchets industriels et des déchets ménagers. Ce système permet de réintroduire, dans le cycle de production d’un produit, des matériaux qui le composent. Le recyclage a deux conséquences écologiques majeures : la réduction du volume de déchets et la préservation des ressources naturelles (wikipédia)
Réduction à la source Diminution des produits achetés, de l’emballage de ces derniers, etc. C’est aussi l’acte de réduire au minimum nos matières résiduelles, par exemple en triant les objets qui peuvent être recyclés ou réemployés.
Réemploi Action de réutiliser un objet à plusieurs reprises avant de le mettre à la poubelle. Les caractéristiques et la fonction de cet objet restent les mêmes ou changent peu.
Réhabiliter Ramener dans un état satisfaisant en fonction de l’usage prévu, en parlant d’un terrain (parc, quartier résidentiel, industrie).
Réserve de ciel étoilé Territoire où l’on applique des mesures pour protéger la qualité du ciel nocturne et restreindre la pollution lumineuse. Cette sorte de réserve est reconnue par l’International Dark-Sky Association.
«Respect de la capacité de support des écosystèmes» Les activités humaines doivent être respectueuses de la capacité de support des écosystèmes et en assurer la pérennité.
Réserve internationale de ciel étoilé Territoire public ou privé qui possède un ciel étoilé et un environnement nocturne d’une qualité exceptionnelle ou remarquable et qui, sur un vaste périmètre, est spécialement protégé pour favoriser sa mission scientifique, environnementale, éducative, culturelle et/ou d’agrément du public [résumé de la définition établie par l’IDA].
Réserve écologique Les réserves écologiques sont des milieux (île, marécage, tourbière ou forêt) protégés par une loi. Celui-ci établit la réglementation qui permettra de conserver le mieux possible le territoire dans son état naturel pour qu’il serve à des activités scientifiques ou éducatives. Quelques réserves écologiques peuvent être visitées à des fins d’éducation.
Réserve naturelle Les réserves naturelles sont des milieux naturels protégés qui appartiennent à un propriétaire privé. Ce dernier prend l’initiative de conserver le patrimoine naturel pour le bénéfice de toute la collectivité. Le terrain lui appartient et il convient d’en interdire certaines activités pour protéger la nature. Certaines réserves naturelles peuvent être visitées et d’autres non. C’est pourquoi il faut se renseigner avant de s’y rendre!
Responsabilité sociale des entreprises Si toute entreprise doit s’acquitter de ses obligations légales et conventionnelles, elle doit également intégrer à sa stratégie globale, à ses décisions stratégiques comme à son fonctionnement quotidien, les problématiques sociales, sociétales et environnementales, c’est la Responsabilité sociale des entreprises. Le concept de responsabilité sociale est essentiellement promu par les grandes entreprises aujourd’hui, même si des pratiques socialement responsables existent dans tous les types de sociétés, publiques et privées, y compris les PME et les coopératives. On parle désormais plus de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE).
Ressourcerie Centre qui fait la collecte, la réparation et la vente, à un prix modique, d’articles usagés : vêtements, livres, jouets, meubles, etc. Un tel organisme contribue à réduire les déchets, tout en procurant des emplois.
Ressources naturelles Énergie et matériaux fournis par la nature et souvent utilisés dans le secteur industriel. En font partie les minéraux, tels que le fer et le cuivre, les arbres et l’eau.
Ressources naturelles renouvelables Ressources naturelles qui ne s’épuisent pas si elles sont gérées de façon durable. Elles sont principalement d’origine animale ou végétale.
Ressources naturelles non renouvelables Ressources présentes en quantités limitées dans la nature. Elles se régénèrent sur une période de temps extrêmement longue ou ne se régénèrent pas du tout. Les combustibles fossiles (exemples : le charbon et le pétrole) et les minéraux (exemples : le fer, l’or, l’argent et le cuivre) sont des ressources naturelles non renouvelables.
Route verte Réseau cyclable panquébécois, traversant le territoire montréalais.
Ruban Möbius Nom donné au symbole du recyclage.
|S| «Santé et qualité de vie» Les personnes, la protection de leur santé et l’amélioration de leur qualité de vie sont au centre des préoccupations relatives au développement durable. Les personnes ont droit à une vie saine et productive, en harmonie avec la nature.
Sédiments Dépôts de particules minérales et de matières organiques en suspension dans l’eau. Les sédiments nourrissent la terre inondée quand l’eau se retire et la rendent particulièrement fertile.
Simplicité volontaire La simplicité volontaire est une façon de vivre que choisissent certaines personnes afin de ralentir leur rythme de vie. Plusieurs raisons poussent les gens à moins consommer : pour respecter l’environnement, pour moins travailler et passer plus de temps avec leurs enfants ou pour être solidaires avec les habitants des pays sous-développés.
Site d’enfouissement Emplacement judicieusement choisi et aménagé sur lequel les déchets sont déposés en couches en respectant des techniques et des règles précises.
Site du patrimoine Constitution, par le conseil municipal, d’une partie de son territoire où se retrouvent des biens culturels immobiliers et dans laquelle le paysage architectural présente un intérêt d’ordre esthétique ou historique.
Site historique Lieu où se sont déroulés des évènements ayant marqué l’histoire du Québec ou une aire renfermant des biens ou des monuments historiques (LRQ, c. B-4, a. 1e).
SME (Système de Management de l’Environnement) Système permettant à un organisme de mettre en oeuvre sa politique environnementale et d’atteindre les objectifs associés de maîtrise des impacts environnementaux significatifs de ses activités et de respect des exigences réglementaires.
Smog Brume jaunâtre ou brunâtre qui se forme surtout au-dessus des villes, été comme hiver, en fonction des courants atmosphériques. Il est constitué d’un mélange de polluants dominé par l’ozone en été et par les particules fines en hiver. Les principales sources de ces polluants sont les véhicules à moteur, les procédés industriels et le chauffage.
Sociétale Regroupement de sociale et environnementale. L’analyse sociétale désigne l’étude de l’ensemble des impacts de l’entreprise sur la société au sens large, c’est-à-dire sur son environnement naturel et humain. Terme qui peut être aussi défini comme la structure, l’organisation ou le fonctionnement d’une société. Une société étant un mode de vie, caractérisé par une association organisée d’individus en vue de l’intérêt général.
Sommet de Montréal Le Sommet de Montréal fut tenu à l’aube de la nouvelle ville de Montréal, soit les 4, 5 et 6 juin 2002. L’exercice a permis aux 300 délégués provenant de différentes sphères d’activités de dégager un consensus sur quelque 200 priorités ciblant le développement de la Ville.
Source d’énergie renouvelable Source d’énergie qui se régénère ou se renouvelle naturellement de manière continuelle ou selon un cycle relativement court à l’échelle humaine, soit une période de 20 à 50 ans (exemples : le rayonnement solaire, l’eau d’une rivière, le vent et les arbres d’une forêt).
Source d’énergie non renouvelable Source d’énergie qui se détruit ou se dégrade dans le processus de la chaîne énergétique (extraction - transformation - distribution - consommation). Une telle source ne se régénère pas (exemples : le pétrole et le gaz naturel) ou ne se régénère qu’à très long terme (exemple : la tourbe).
Station d’épuration Lieu où on traite les eaux usées. Une station d’épuration est installée généralement à l’extrémité d’un réseau de collecte, sur l’émissaire principal, juste en amont de la sortie des eaux vers le milieu naturel. Elle rassemble une succession de dispositifs, empruntés tour à tour par les eaux usées. Chaque dispositif est conçu pour extraire au fur et à mesure les différents polluants contenus dans les eaux.
«Subsidiarité» Les pouvoirs et les responsabilités doivent être délégués au niveau approprié d’autorité. Une répartition adéquate des lieux de décision doit être recherchée, en ayant le souci de les rapprocher le plus possible des citoyens et des communautés concernés.
Surconsommation Le fait de consommer plus de choses que nécessaire. C’est aussi abuser des ressources naturelles. La surconsommation est encouragée par la publicité et le mode de vie rapide des Nord-Américains.
Sweatshops Terme anglophone pouvant être traduit par ateliers de misère. Il désigne les ateliers au sein desquels les conditions de travail sont inacceptables : ateliers clandestins, travail des enfants. Ce problème se pose en particulier pour l’industrie textile et la confection dans les PED.
|t| Table ronde nationale sur l’environnement et l’économie (TRNEE) Pour se donner les moyens d’appliquer et d’évaluer la mise en oeuvre des grands principes de développement durable dans une politique, le Ministre canadien des Finances a mandaté, en 2000, la Table ronde nationale sur l’environnement et l’économie (TRNEE). La Table Ronde Nationale sur l’Environnement et l’Économie (TRNEE) est l’organisme indépendant de consultation sur le développement durable, pour qu’elle propose des Indicateurs de développement durable et de l’environnement (IDDE).
Taux d’implantation au sol Rapport entre la superficie de l’implantation au sol du bâtiment et la superficie du terrain sur lequel il est construit.
Taxe carbone Taxe sur les combustibles fossiles comme le pétrole, le charbon, ou encore le gaz naturel. Le taux dépend du contenu en carbone du combustible considéré.
Terrain écologiquement productif Il s’agit d’une surface recouverte de forêts, de terres cultivées, de pâturages, de tourbières, d’eau potable, de ressources des océans, etc. Le nombre de ces terrains diminue de plus en plus à cause des activités humaines qui entraînent, entre autres, la désertification, l’érosion, la déforestation et la hausse du niveau des océans. En 2002, la planète comptait 11,4 milliards d’hectares de terre écologiquement productive.
Terreau Engrais naturel, habituellement noir, formé d’un mélange de terre végétale et de produits de décomposition.
Tourisme responsable Tourisme qui participe au développement des populations et des territoires d’accueils au Nord comme au Sud tout en contribuant aux enjeux du XXIe siècle : lutte contre les changements climatiques, protection de la biodiversité et des milieux fragiles et lutte contre les atteintes aux droits humains.
Toxicité Capacité d’une substance à provoquer des altérations ou des perturbations des fonctions d’un organisme vivant, conduisant à des effets nocifs dont le plus grave est la mort.
Traçabilité La traçabilité est l’information sur la chaîne de production et de distribution d’un produit. Ce sujet a une importance particulière pour les produits concernant la santé humaine, comme l’alimentation et les médicaments ou bien la sécurité aéronautique, automobile, informatique par exemple. Elle est utilisée aussi dans le suivi du traitement des déchets, puisqu’un producteur de déchets en est responsable jusqu’à son élimination. Elle est aussi de plus en plus une préoccupation du consommateur-citoyen, qui veut par exemple être sûr que le produit ne fait pas intervenir d’éléments contraires à sa morale, comme par exemple le travail des enfants.
Tracés fondateurs Premiers parcours d’implantation sur le territoire, armature du système de rues des différents secteurs.
Transports doux Ce mode de déplacement limite les dépenses énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre. Il s’agit de la marche à pied, du vélo, des transports en commun, du covoiturage…
Tri sélectif Opération visant à séparer les déchets en différentes catégories : cartons, verre, métal, papier, plastique… Cette action facilite l’élimination dans des processus spécifiques à chaque catégorie. Cette action n’a de réel impact que s’il existe de nombreuses poubelles différentes et que tout le monde participe.
|u| Unités de Valorisation Énergétique Usines d’incinération des déchets permettant de produire de l’électricité ou de la vapeur, alimentant un réseau de chaleur ou un site industriel.
Urbanisation Transformation d’une région rurale en une région urbaine causée par l’augmentation de la population.
Urgence environnementale Toute situation qui menace, transforme ou est sur le point de détériorer la qualité de l’eau, de l’air, du sol ou de l’environnement dans lequel évolue l’être humain et qui nécessite une intervention immédiate.
Usine d’épuration Usine dédiée au traitement et au nettoyage des eaux usées
|v| Valorisation Réemploi, le recyclage ou toute autre action visant à obtenir, à partir des déchets, des matériaux réutilisables ou de l’énergie.
Valorisation énergétique Utilisation du potentiel énergétique des déchets. L’énergie ainsi produite sert à produire de l’électricité et/ou de la chaleur et/ou de la vapeur.
Variations climatiques Modification durable global du climat de la Terre ou de ses divers climats régionaux.
Végétaux Plante, être vivant caractérisé par une très faible motilité, qui se nourrit de substances minérales et absorbe du gaz carbonique.
Véhicule électrique Tout type d’engin qui fonctionne à l’énergie électrique. Il en existe trois catégories : le véhicule électrique à batterie, le véhicule hybride et le véhicule à pile à combustible (ou à hydrogène).
Véhicule hybride Véhicule doté de deux moteurs, thermique et électrique, fonctionnant ensemble ou séparément. Un véhicule hybride est un véhicule qui associe deux modes de génération énergétique. La formule la plus courante combine un moteur à combustion interne et une batterie alimentant une chaîne de traction électrique. Le moteur fonctionne à régime constant et recharge la batterie qui absorbe les pics de courant et récupère l’énergie de freinage. Le premier véhicule de ce type à être mis sur le marché en grande série est la Toyota Prius, fin 1997 au Japon. (Actu-environnement.com)
Venting Méthode de dépollution d’un site par l’extraction de l’air du sol. Adaptée au traitement des terres polluées par des contaminants volatils comme le benzène ou les hydrocarbures, cette méthode s’applique exclusivement à la zone insaturée du sol.
Vitrification Rétention physico-chimique des polluants d’un déchet dans une matrice vitreuse, obtenue par un traitement à haute température ou non (procédés sol-gel), issue des composants propres du déchet ainsi que d’éventuels ajouts complémentaires (autres déchets ou matières nobles).
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WWF Le WWF (World Wide Fund for nature) est une organisation mondiale pour la protection de l’environnement. La mission principale du WWF est d’enrayer puis d’inverser le processus de dégradation de la planète.
Organismes et abbréviations ADM Aéroports de Montréal AMT Agence métropolitaine de transport CAU Comité d’architecture et d’urbanisme de la Ville de Montréal : CCU comités consultatifs d’urbanisme CMM Communauté métropolitaine de Montréal CN compagnie ferroviaire Canadien National CP compagnie ferroviaire Canadien Pacifique CREM Conseil régional de l’environnement de Montréal CRDÎM Conseil régional de développement de l’île de Montréal CSEVM Commission des services électriques de la Ville de Montréal MAMSL ministère des Affaires municipales, du Sport et du Loisir du Québec MAPAQ ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec MCCQ ministère de la Culture et des Communications du Québec MENVQ ministère de l’Environnement du Québec MTQ ministère des Transports du Québec OCPM Office de consultation publique de Montréal RMR région métropolitaine de recensement SCHL Société canadienne d’hypothèques et de logement SHQ Société d’habitation du Québec STM Société de transport de Montréal UICN Union internationale pour la conservation de la nature Lois, réglementation Charte de la Ville de Montréal, Loi sur l’aménagement et l’urbanisme(LAU), LRQ, c. A-19.1 Loi sur les biens culturelsLRQ, c. B-4 Loi sur la protection du territoire et des activités agricolesLRQ, c. P-41.1 Loi interdisant l’affichage publicitaire le long de certaines voies de circulationLRQ, c. A-7.001 Loi sur la qualité de l’environnement LRQ, c. Q-2
7. LISTE DES INVITÉS - SECTEUR ÉDUCATION Madame Brigitte Peytier Directrice générale Collège International Marie-de-France Madame Isabelle Raguin Directrice Financière Collège International Marie-de-France Madame Geneviève Canavese Responsible des ressources Humaines Collège International Marie-de-France Monsieur Russell Flanagan Directeur des ressources humaines Collège Jean-de-Brébeuf Monsieur Michel April Directeur général Collège Jean-de-Brébeuf Monsieur Yvon Lafrenière Directeur général Collège Notre-Dame Monsieur Richard Desrochers Directeur des services Collège Notre-Dame Monsieur Henri-Laurent Brusa Directeur Collège Stanislas Monsieur Hervé Tison Directeur administratif et financier Collège Stanislas Monsieur Philippe Varin Directeur général adjoint Collège Stanislas Monsieur Gilles Cloutier Professeur en Management École de Technologie Supérieure Monsieur Jean Choquette Directeur adjoint École Polytechnique Montréal Monsieur Pierre Cliché Conseiller principal. Secteur Dotation et service conseil ressources humaines École Polytechnique Montréal Monsieur Denys Buissières Adjoint à la directrice Secteur Approvisionnement École Polytechnique Montréal Madame Sylvie Gagné Directrice générale Externat Mont-Jésus-Marie Madame Guilaine Landré Responsable Administration Externat Mont-Jésus-Marie Monsieur Taïeb Hafsi Professeur en Management HEC Montréal Monsieur Marc Beauparlant Directeur - Service des ressources humaines HEC Montréal Monsieur Denis Hamel Directeur des Relations gouvernementales HEC Montréal Monsieur Carl Duranceau Directeur - Service de l’approvisionnemnt HEC Montréal Monsieur Michel Patry Secrétaire général HEC Montréal Madame Kathleen Caissy Directrice générale Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie Monsieur Luc Vinet Recteur Université de Montréal Monsieur Michel Lamontagne Conseiller spécial-relations institutionnelles Université de Montréal Monsieur Philippe Beauregard Vice recteur adjoint aux communications Université de Montréal Madame Josée Veilleux Directice générale aux ressources humaines Université de Montréal Madame Renée Pelletier Directrice de division Direction Finances et approvisionnements Université de Montréal Madame Maryse Darsigny Conseillère en ressources humaines. Programme accès à l’égalité et communications Université de Montréal
- SECTEUR AFFAIRES Monsieur Victor Afriat Directeur Journal Les Actualités Monsieur Benoît Archambault Directeur Succès Scolaire Monsieur Éric Antigny Gestion Éco+ Madame Mona Assad Directrice générale Librairie & Bistro Olivieri-Travelnet Monsieur Abderahmane Benariba Directeur adjoint Service d’Aide aux Jeunes Entreprises Monsieur Guy Bazinet Directeur général CLD Les 3 Monts Monsieur Martin Belzile Agent de développement CDEC Monsieur Jérôme Bugel Président de l’Association gens d’Affaires de CDN / JB Coiffure Madame Marie Josée Buil Directrice Buil Recherche de Cadres Monsieur Gérard Castonguay Ipso Facto Monsieur Michel Clermont Consultant et membre du conseil d’administration AGA-CDN Monsieur José Chinchilla Maman Kangourou Madame Danielle Coulombe ACC Danielle Coulombe Coaching Monsieur Claude d’Anjou Mobiligo Monsieur Roger Dion Directeur CD Serrupro Madame Francine Dumont Services Dufran inc. Monsieur Eric Fournelle Directeur FDL Compagnie Ltée Immobilier Madame Valérie Garrel Valérie Garrel Coaching Madame Marie-Claude Giguère Services d’Aide aux Aînés Monsieur Alain Haudé Consultant et membre du conseil d’administration AGA-CDN Madame Émanuelle Hébert Mu Madame Karine Himbeault Vivace Design Monsieur Éric Huynh intervenant Banque Scotia, succ. Décarie Monsieur Joseph Hyppolite intervenant Banque Scotia, succ. Décarie Madame Dina Ionnou intervenante Banque Scotia, succ. Décarie Madame Tania Kaprelian intervenante Banque Scotia, succ. Décarie Monsieur Antony Keeler Vice-président exécutif et directeur financier Pinaccle Investment Monsieur Alain Landry Fourchette et Cie. Monsieur Claude Lauzon Directeur CDEC Madame Marie Claude Leblanc Directrice générale YMCA du Parc Monsieur Jean Lepage Directeur Pacini Madame Catherine Lilamand Présidente Synaxis Monsieur Mourad Mahamli Responsable Les Actualités Madame Anna Mancuso Directrice génerale MACO programme jeune promoteur SAJE Montreal Centre Monsieur Hugues Martel Directeur Général Les Rôtisseries St-Hubert Ltée. Succursale Côte des Neiges Monsieur Patrick Mc Neil Les Rôtisseries St-Hubert Ltée. Succursale Côte des Neiges Madame Ramona Mincic Directrice Évasion Centre de Jour Madame Laila Nabizada Hôtel Terrasse Royale Madame Anabela Neves intervenante Banque Nationale du Canada, succ.CDN Madame Rina Olivieri Librairie & Bistro Olivieri Monsieur Saad Ouaddahou intervenant Banque Nationale du Canada, succ.CDN Monsieur Thierry Paget President Odotech Madame Élisa Pierna Festivalissimo Monsieur François Pilon Membre du conseil d’administration AGA-CDN Monsieur Daniel Pilon Corde à Linge Montréal Déneigement Côte-des-Neiges Monsieur Mario Poitras Artefact communications Monsieur Pierre Pouliot PGP Consultations Monsieur Fathi Rajhimba Président directeur général Proaction Plus Madame Lucy Ravinsky OSMM Madame Majida Rhazi Gritexpert Monsieur Daniel Rigaud Directeur Service d’Aide aux Jeunes Entreprises Monsieur Daniel Robert Président du conseil d’administration CLD Les 3 Monts Monsieur Benoît Rocheleau Rona Côte-des-neiges Monsieur John Slavich Promoteur principal Coopérative économique des entreprises locales du Québec Monsieur Nicolas Stéphan intervenant Banque Nationale du Canada, succ. Queen Mary Monsieur René St Pierre Membre du CA du CLD des 3 monts ASCENTE Strategies Marketing Monsieur Daniel Syre Directeur Services administratifs et opérations Cimetière Notre Dame des Neiges MadamePaule Tardif Directrice générale Centre entrepreneurship HEC/Poly de l’U de M Madame Geneviève Tassé CPE Le Pitchounet Madame Monique Thérien Equinom Monsieur Yoland Tremblay Directeur général Cimetière Notre Dame des Neiges Madame Christine Vauchel Christine Vauchel Communications Madame Rosalie Vendette Vice-présidente désignée, développement durable et relations avec la communauté Jeune Chambre de commerce de Montréal Monsieur Alexander Wersberger
- SECTEUR SANTÉ Monsieur Fabrice Brunet Directeur général Hôpital Sainte-Justine Madame Caroline Couture Directrice des ressources humaines CSSS de la Montagne Monsieur Raph Daddoun Vice-président des services corporatifs et de soutien Hôpital St.Mary’s Madame Élisabeth Dampolias Vice-présidente des ressources humaines Hôpital St. Mary’s Docteur Arvind K. Joshi Directeur général Hôpital St.Mary’s Monsieur Dr Mike Kamel Directeur ressources matérielles Hôpital St. Mary’s Madame Beverly Kravitz Directrice des ressources humaines Hôpital Juif de Montréal Madame Ginette Leduc Directrice de la planification de la main-d’oeuvre et du développement organisationnel Hôpital Sainte-Justine Monsieur Jean Paiement Directeur du partenariat CSSS de la Montagne Monsieur Marc Sougavisky Directeur général CSSS de la Montagne Monsieur Hartley Stern Directeur général Hôpital général juif de Montréal Monsieur Laurent Ziri Directeur des ressources financières Hopital Juif de Montréal
- SECTEUR SERVICES PUBLICS ET PARA-PUBLICS Monsieur Michael Applebaum Maire de l’arrondissement CDN-NDG Membre du conseil d’agglomération Madame Dolores Appleyard Conseillère politique Bureau de comté de la circonscription d’Outremont Monsieur Pierre Arcand Député de la circonscription de Mont-Royal Ministre des relations internationales et député de Ville Mont-Royal Monsieur Pierre Beaudet Directeur Arrondissement d’Outremont Monsieur Gilles Berger Attaché politique Arrondissement CDN/NDG Madame Marie Cinq-Mars Mairesse Arrondissement d’Outremont Monsieur François Da Sylva Commissaire au développement économique Madame Julie Desjardins Chef de la division Ressources Humaines Arrondissement d’Outremont Monsieur Constant Digirolamo Conseiller politique Responsable du bureau de la circonscription de Mont-Royal Madame Hélène Fotopoulos Résidente Côte-des-Neiges Madame Christiane Gélinas-Elie Attachée politique Arrondissement d’Outremont Monsieur Denis Gendron Directeur des services administratifs et du Greffe Arrondissement CDN Madame Susan Jessrey Chef de division ressources financières et ressources matérielles Arrondissement d’Outremont Monsieur Daniel Lafond Directeur, aménagement urbain et services aux entreprises Arrondissement CDN/NDG Monsieur Charles Mercier Directeur Société environnementale CDN Éco quartier Monsieur Thomas Mulcair Député fédéral Circonscription d’Outremont Madame Béatrice Nyambirigi Coordonnatrice Société environnementale CDN Éco quartier Madame Marie France Paquet Directrice des services administratifs Arrondissement d’Outremont Monsieur Lionel Perez Candidat district de Darlington Monsieur Stéphane Plante Directeur Arrondissement CDN/NDG Monsieur Louis Moffatt Conseiller Arrondissement d’Outremont Madame Ana Nunes Conseillère Arrondissement d’Outremont Monsieur Claude B. Piquette Conseiller Arrondissement d’Outremont Madame Magda Popeanu Résidente Côte-des-Neiges Madame Marie Potvin Conseillère Arrondissement d’Outremont Monsieur Jean Renaud Conseiller politique Bureau de la circonscription d’Outremont Madame Danielle Renée Chef de division Ressources humaines Arrondissement CDN Monsieur Marvin Rotrand Conseiller municipal, district de Snowdon Arrondissement CDN-NDG Vice-président du conseil de Ville Madame Amélia Salehabadi Observatrice Madame Francine Sénécal Vice-présidente du comité exécutif et conseillère municipale Arrondissement CDN/NDG Monsieur Michel Therrien Directeur des communications Arrondissement CDN-NDG Monsieur Hugo Tremblay Directeur du cabinet de M. Appelbaum Madame Chantal Turgeon Attachée de presse Bureau du comté
- SECTEUR ORGANISMES D’EMPLOI Monsieur Pablo Altamirano Directeur ALAC
Monsieur Louis Arsenault Vice-Président Conseil régional des partenaires du marché du travail Madame Julie Benjamin Directrice adjointe, chargée des communications - Comité sectoriel de main-d’oeuvre du commerce de détail Monsieur Yves Boursier L’Arrimage Madame Diane Brunelle Directrice Centre de recherche d’emploi CDN Madame Rositza Dancova Conseillère en emploi PROMIS Monsieur Jean-Pierre Desprez Carrefour Jeunesse Emploi CDN Madame Dominique Dodier Directrice générale EnviroCompétences Monsieur Moussa Guène Coordonnateur Programme PROMIS Madame Chantal Guilbault Centre de recherche d’emploi de CDN Monsieur Felix Houde Conseiller en développement des partenariats Ministère de l’Immigration et Communautés culturelles Madame Loretta Huza ERS Monsieur Jean Isseri Directeur général Carrefour Jeunesse Emploi CDN Monsieur Abdelrafik Jakami Conseiller services aux entreprises Regroupement de l’Ouest Emploi Québec Madame Lise Langlois Directice CLE Madame Patricia Lapierre Directrice gégérale Comité sectoriel de main- d’oeuvre du commerce de détail Madame Andrée Ménard Directrice générale PROMIS Monsieur Jean-Marc Nolet CLE Madame Linda Orefice Carrefour Jeunesse Emploi NDG Monsieur Donald Proulx Directeur Service aux entreprises Emploi-Québec région ouest Madame Ginette Sylvain Directrice régionale Emploi Québec Monsieur Jean-Yves Theoret Président du CA Centre d’éducation pour adultes CREP
- SECTEUR SOCIAL ET COMMUNAUTAIRE Monsieur Jacques Grégoire Président Cercle des Aînés d’Outremont Père Claude Grou Recteur Oratoire Saint-Joseph Madame Sylvie Guilbault Directrice générale Les Amis de la Montagne Madame Denyse Lacelle Coordonnatrice Conseil Communautaire CDN/ Snowdon Monsieur Robert Lebeau Président Centre des Aînés de Côte-des-Neiges Soeur Mireille Morin Sœurs de l’Immaculée Conception Père Louis Trempe Vice-Recteur Oratoire Saint-Joseph Madame Francine Unterberg Présidente Table de concertation des Ainés d’outremont
8. PLAN DES SALLES
PLAN DES SALLES DE COURS ET CUBICULES – 1er ÉTAGE Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal
PricewaterhouseCoopers 68
St-Hubert 48
GérardParizeau 69
Procter & Gamble 86
Van Houtte 41
TA L Gestion globale d’actifs inc. 69
Ordre des CGA du Québec 48
Meloche Monnex 68
NORD
Banque CIBC 69
Managua Sherlock
Financière Banque Nationale
Richard-Lupien
15 Talvest 2
Banque de développement du Canada 110
Louis-Laberge 54
Talvest 1 15
Banque Scotia 69
Ernst & Young 69
Deloitte Touche Tohmatsu 69
Société canadienne des postes 48
40
Bogota
Tr ansat 48
Raymond Chabot Grant Thornton 75
Montrusco Bolton
Métro inc. 72
Quebecor inc. 80
Corridor CN
1
Marie-Husny 48
Petrie Raymond, ca
18 Aimé-Quintal
Pratt & Whitney Canada HélèneDesmarais 48
Reynald-N.-Harpin
Pratte, Bélanger
Garaga inc.
SergeSaucier 48
PSB Boisjoli, ca
Rotonde PricewaterhouseCoopers
AXA Assurances
2
Xerox
Sony
48
48
Ultramar
Béton Grilli 28
SECTION JAUNE Robert-Coté
Aire de travail 2 Financière Sun Life
SECTION ROUGE Hélène-Dion et François-Charette
Tr udeau Corporation 28
Antony-Rizzuto
Oslo
Alexandra-Rizzuto
Copenhague
Honeywell
Groupe Deschênes 20
Dutailier International 28
Demers Beaulne 28
Cogeco 28
SECTION VERTE
Rona 28
Standard Life 70
SECTION BLEUE
photocopies
Espace Tr ium
SECTION ROUGE
Accueil - Salle Téléglobe Allocutions - Amphithéâtre IBM Atelier de l'emploi durable - Salle Société canadienne des postes Atelier de l'achat durable - Salle Louis-Laberge Rendez-vous de l'emploi durable - Salle Serge-Saucier Rendez-vous de l'achat durable - Salle Banque de développement du Canada Pause- Salle Téléglobe La Plénière - Amphithéâtre IBM Conférence de presse - Salle SGF
Groupe Cholette 28
Séville
Louvain
Aire de travail 1 Financière Sun Life
Home Depot
SUD
Nancy et Michel-Gaucher 55
United Rentals
Chemin de la Côte-Sainte-Catherine
Saine Marketing 55
SECTION BLEUE
Hewitt Équipement Limitée
SECTION VERTE
SECTION JAUNE
KPMG 69
9. Comité organisateur
Leyla Rahmouni Docteur en Sociologie du Travail Paris. Diplôme d’études Supérieures en Ergonomie et Écologie Humaine Paris Sorbonne. Maîtrise en Sciences de l’éducation et licence en psychologie du Travail. Diplômée de ISAHEC Paris. Directrice des ressources humaines pendant 18 ans. Consultante et Chercheur en Management des organisations depuis 1994. LRConseil
Jérôme Bugel Président de l’Association des gens d’affaires de Côte-des-Neiges 39 ans. Arrivé au Québec en 1993. Résident et entrepreneur du territoire de Côtes-des-Neiges et Outremont. Président -fondateur de coiffure Bugel-Geay depuis 2000. Président de l’Association des gens d’affaires de côte des neiges depuis 2005.
Anne-Marie Breitenwald Lavigne Chargée des communications du 3e Forum économique d’Outremont et Côte-des-Neiges Détentrice d’une maîtrise en Histoire de l’art de l’Université de Montréal et d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en gestion des organismes culturels de HEC Montréal. Résidente d’Outremont pendant ses études, aujourd’hui établie à Côte-des-Neiges. Travaille en tant que consultante en gestion des arts et de la culture.
Dolores C. Appleyard Conseillère politique Cabinet du ministre des Finances Ministre responsable de la région de Montréal Bureau de la circonscription d’Outremont
Gilles Berger Attaché politique du maire de l’arrondissement de Côte-de-NeigesNotre-Dame-de-Grâce Habitant de Côte-des-Neiges depuis plus de 30 ans, il a «bénévolé» dans le domaine communautaire pendant plus de la moitié de ce temps. Depuis 2001, il occupe le poste d’attaché politique auprès du maire et des conseillers de l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Damede-Grâce. Il travaille au bien-être et à l’amélioration de la qualité de vie de ses concitoyens(nes).
Guy Bazinet Directeur général du Centre local de développement Les 3 Monts Guy Bazinet dirige le CLD Les 3 Monts depuis 2007. Ce nouveau défi s’inscrit dans la continuité d’une carrière de trente ans à la Ville de Montréal et à la Communauté urbaine de Montréal. Engagé au fil des années dans des activités de soutien au développement commercial et industriel, il a été à la tête de la Direction de l’aménagement urbain et des services aux entreprises de l’arrondissement Ville-Marie. Son expérience diversifiée est mise à contribution au CLD dans le cadre des mandats d’aide au développement de jeunes entreprises et de revitalisation commerciale dans l’arrondissement d’Outremont et les villes de Mont-Royal et Westmount.
Claude Lauzon Directeur de la corporation de développement économique Côte-desNeiges/Notre -Dame-de-Grâce. Membre fondateur et directeur de la CDEC depuis 1992. Baccalauréat en sciences politiques de l’UQAM. Attaché politique du député provincial d’Outremont de 1989 à 1992. Rédacteur en chef du Journal Côte-desNeiges de 1988 à 1989.
Denis Hamel Directeur des relations gouvernementales, HEC Montréal Diplômé en sciences économiques, aménagement du territoire et développement régional, Denis Hamel a notamment travaillé au gouvernement du Québec et à la direction d’une association industrielle internationale avant de rejoindre HEC Montréal en mars 2005. Il y occupe depuis le poste de directeur des relations gouvernementales
10. Partenaires
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