Explications, définitions défaite de 1940 « Drôle de guerre » (p. 322 A.) Général Weygand (généralissime -> Chef d’Etat Major des armées partisan de l’armistice) Mers-El-Kebir (les Anglais attaquent la flotte française craignant que Pétain la fasse passer du côté des Allemands). 3 juillet 1940 (bon article sur wikipedia) « Aux yeux des Anglais, l'effondrement de la France et les négociations d'armistice rendent nécessaire la concentration de toutes les forces capables encore de se battre pour la défense de leur île. La flotte française devient ainsi un important enjeu. Le gouvernement français pourra-t-il la soustraire longtemps aux convoitises du vainqueur ? Le 1er juillet, le gouvernement anglais prend la décision d'éliminer la menace virtuelle qu'elle représente et, le 3 juillet, débute l'opération « Catapult ». Les navires français ancrés dans les ports britanniques sont pris par surprise, à l'indignation des équipages. À Alexandrie, ils sont neutralisés. Mais, dans le port de Mers el-Kébir, près d'Oran, le gros de la flotte se trouve au mouillage. L'amiral Gensoul, approuvé par son gouvernement, rejette l'ultimatum anglais lui enjoignant soit de se joindre aux forces britanniques, soit de gagner un port britannique, soit de se saborder. Sur ordre et contrairement aux lois de la guerre sur mer, l'amiral anglais Somerville canonne les bâtiments, incapables de riposter. On dénombre mille cinq cents morts. Un seul navire le cuirassé Strasbourg, parvient à regagner Toulon par ses propres moyens. Ce drame eut des répercussions considérables sur l'opinion française : apparaissant, aux yeux de beaucoup, comme une confirmation de l'égoïsme britannique, il justifiait, aux yeux de certains, la collaboration avec l'Allemagne. Le général de Gaulle, dans ses Mémoires de guerre, a rapporté la douloureuse situation qui résulta, pour les Français libres, de la crise tragique de Mers el-Kébir. » (Universalis) Paul Reynaud (modéré de droite qui a engagé de Gaulle comme secrétaire d’Etat à la guerre) accepte la retraite décidée par l’Etat major) il démissionne en juin 1940 alors qu’il aurait pu ordonner le repli en Afrique du Nord). N’oublions pas que l’Assemblée de 1936 est toujours là sauf les communistes rendus hors la loi depuis le pacte gemano-soviétique et la déclaration de guerre » (Encyclopaedia Universalis). Mais aucun vote n’a eu lieu pour connaître l’avis des députés. Partisan de la poursuite de la guerre il cède aux pressions de pétain et Weygand p(chef d’Etat major) partisans de l’armistice. Rethondes : wagon où on avait signé l’armistice du 11 novembre 1918. Choisi symboliquelment par Hiitler pour la signature de l’armistice du 22 juin 1940 Blitz Krieg : la « guerre « clair », attention, les Allemands n’étaient pas aussi bien que la propagande vichyste l’adit par la suite pour masuqer les respoonsabilités de l’etat Major français. Sedan : percée allemande dans les Ardennes (réputées infrachissables) Philippe Pétain (bio p. 366)
Le rôle des chars : Panzer (chars allemands moins puissants que les chars français mais mieux utilisés : « La campagne de France, en 1940, opposa chars allemands et chars français. Les critiques militaires admettent, en général, que le nombre total des chars engagés fut égal des deux côtés et voisin de 3 500 ; que les chars français avaient un meilleur blindage et, pour les chars B 1 et Somua, un armement au moins égal à celui des allemands, par contre des moyens inférieurs en radio. Il y eut surtout la supériorité aérienne du côté allemand, l'emploi par petits paquets dispersés du côté français, contrairement à l'action par grandes masses du côté allemand. » (Universalis)