COMENIUS
CANAL EUROPE JUIN, 2009 Nº.0
Traite de Lisbonne Mal-aimé et rejeté
L'UE, le tourisme et les jeunes.
Le Traité de Lisbonne prévoit de revoir en profondeur le fonctionnement institutionnel de l’Union Européenne jugé trop complexe et parfais même par certains aspects inefficaces, tout en conservant les idéaux de base des deux traités fondateurs, le Traité de Rome de 1 957, et celui de Maastricht en 1 992. L’Union européenne souhaite par ce Traité paraître plus claire aux yeux de ces citoyens, plus transparente, plus démocratique, ainsi que plus rapide dans l’exécution de ses actes. La classe 6E du collège St- Barthélemy de Liège à Pise, lundi 30 mars 2009.
Actuellement, l'Europe offre des destinations très en vue des touristes en général. Ce tourisme offre bien des intérêts au niveau économique et des avantages pour les participants. Mais entre la crise, le prix de ces destinations très prisées et un budget plus serré que des travailleurs de longues dates, le jeunes, entrant dans la vie active ou encore étudiants, ont-ils encore les moyens de s'autoriser des escapades en Europe? Le tourisme juvénile est intéressant car il permet de faire vivre les habitants des régions visitées (en France le tourisme, en général, génère 5,6 milliard d'euros). Pour les jeunes, ce genre de voyages peut faire naître un intérêt nouveau pour tel ou
tel pays et ainsi donner naissance des projets de carrière dans celui-ci. Le nombre d'étudiants qui avaient l'habitude de voyager avec des programmes comme "Erasmus" diminue pour différentes raisons. Les destinations deviennent trop chères et les diplômes passés à l'étranger sont plus durs à faire agréer. De plus, d'un point de vue professionnel, les études réalisées à l'étranger n'ont plus le même impact. C'est la banalisation des voyages internationaux qui en est la cause. Pour parer à ces problèmes, la commission européenne débat sur la création d'offres facilitant les payements des voyages dont le European Credit Transfert Systeme.
1 ELECTION EUROPÉENNE, 27 PAYS, 27 PROCÉDURES
L’école en Allemagne et en France Un élève allemand a passé qutre mois à Bordeaux: « Il y a beaucoup de différences entre les écoles en France et celles en Allemagne. Je m´appelle Markus Witzigmann et j´ai passé quatre mois à Bordeaux il y a cinq mois. J´étais au lycée Michel Montaigne. C´est le plus grand lycée à Bordeaux. Ce séjour était une super expérience pour moi parce qu´en allant dans une autre école à l´étranger on peut rencontrer d´autres jeunes et on peut avoir des impressions de l´enseignement à l´étranger.
En effet, les elections européennes de 2009 vont se dérouler le 7 juin en France. La meme date a été retenue chez la plupart de nos voisins européens. Mais les hollandaises et les britaniques eux, voteront un peu plus tôt. Le scrutiny aura lieu de 4 juin 2009. L’Irlande et la République Tchèque éliront leurs eurodéputés le 5 juin. Trois états members ont choisi le 6 juin 2009 comme date d’élection de leurs répresentants parlementaires: Malte, la Slovaquie et la Lettonie.
7 juin 2009: elections européennes? Non pas pour tous, même si on ne le sait pas toujours les jours de vote sont differents d ’ u n pays a l ’ autre.
DES CARNAVALS DANS LE MONDE ENTIER Les carnavals sont une célébration publique qui a lieu immédiatement avant du carême chrétien et qui combine quelques éléments comme des déguisements, parade et fêtes à la rue. Malgré les grandes différences
que sa célébration présente partout dans le monde.En Europe, les pays où le carnaval est le plus célébré, sont : l'Allemagne, la Suisse, l'Italie (Venise) le Royaume-Uni et l'Espagne.
Sa caractéristique commune est celle d’être une période de permissivité et vrai pagaille.
Canal Europe
France → politique
Pourquoi s'abstenir?
De nouveaux records ?
Le 7 juin 2009, en France, auront lieu les élections européennes afin que les Français élisent 72 Le 7 juin approche ! Les européens vont bientôt eurodéputés. L'enjeu semble de taille. Et pourtant, ces élections législatives constituent certainement l'un être appelé à voter dans tous les pays membres. des suffrages les plus boudés par les citoyens européens et français. Mais le spectre de toutes les forces politiques engagées dans le combat des Européennes resurgit alors : il s’agit de l’abstention. 57% des européens se sont abstenus lors du dernier scrutin en 2004. Aux dernières élections européennes, en 2004, les urnes n'ont pas rouillé par l'usage. C'est le moins que l'on puisse dire De plus l’abstention est croissante, ce qui constitue puisqu'a été calculé cette année là, 57,2% d'abstention, bien auun paradoxe selon Jean François Copé qui déclare dessus de la moyenne européenne caracolant à 47,2% ! que « plus le parlement pèse [lourd dans les La France, mauvaise élève? Possible, mais elle n'est pas non décisions], moins les Européens votent ». Les plus la dernière de la classe. Les nouveaux Etats membres connaissent des taux d'abstention mirobolant comme la européens se sentent de moins en moins concernés Slovaquie avec 83% ! par ses scrutins et l’une des tâches de l’avenir sera de les faire reprendre confiance en l’Europe. Comment expliquer un tel résultat chez nous, pays des Droits de l'Homme, où les révolutionnaires se sont battus jusqu'à la mort pour obtenir ce précieux droit de vote? Il est évident que les Français ne semblent pas vraiment concernés par ces élections. Nos voisins européens expliquent cela par le fait que nous nous « prenons pour le centre du monde » et que par conséquent nous « ne voyons pas plus long que le bout de notre nez »... Nous, Français, avons une autre explication : une communication trop insuffisante. Faîtes un test simple, allumez votre télévision à 20h et observez combien de temps est consacré à l'Union européenne si toutefois il y a reportage sur le sujet. Que vous choisissiez le journal de Laurence Ferrari ou celui de David Pujadas, le résultat est le même: l'U.E. est trop peu présente dans nos médias. Alors, il est vrai que depuis quelques jours un spot publicitaire d'environ une minute, rappelant aux téléspectateurs cette date du 7 juin 2009, tourne sur nos écrans justement après la « grande messe » du 20h. Violons, portraits, et chiffres retracent le parcours de notre jeune Union européenne. Nous sommes nous-mêmes les propres responsables de ce manque de communication, car si l'U. E. ne dispose pas assez de fond pour faire campagne, c'est que les Etats-membres ne dépensent que trop peu de leur P.I.B. dans la communication européenne. Cependant, ce manque n'explique pas tout.
Les européens se sentent donc peu concernés par cette élection lointaine. Ils ont l’impression de ne pas avoir d’influence au niveau de ces Institutions en lesquelles ils ne croient plus, notamment à cause de la crise. Les eurodéputés sont peu visibles et accessible par les peuples, sont considérés comme à l’abri de tout dans leur Parlement, tranquilles et de ceci, l’opinion en tire la conclusion suivante : les eurodéputés sont moins (voir pas) compétents. Pour beaucoup de Français comme pour beaucoup d'européens, ces élections sont considérées comme secondaires. Elles ont peu d'importance à leurs yeux et, malmenées, elles ne sont que l'instrument de la sanction du peuple envers le gouvernement. Les Français ont tendance à oublier, à tord, qu'aujourd'hui les grandes décisions prises dans notre pays sont d'abord élaborées au niveau européen avant d'être transposées au niveau national. Nous devrions nous souvenir que le vote est non seulement un droit mais également un devoir que tout bon élève doit accomplir, alors à vos urnes !
Français votez! Candy et Floriane
Urgence : Abstention à l’horizon aux élections européennes ! On ne peut pas dire que l'élection des députés européens passionne les citoyens de l'UE :
Seulement 16% des personnes interrogées savent que le scrutin aura lieu du 4 au 7 juin prochain. Depuis la première élection au suffrage universel des députés européens en 1979, le taux d'abstention n'a cessé d'augmenter :de 37% au premier scrutin, il est passé à 54,3% en juin 2004, atteignant ainsi le record d'abstention de toutes les élections de la Cinquième République (hors référendum Quinquennat). Cette année, selon un sondage d'Eurobaromètre, deux tiers des européens pourraient « oublier» d'accomplir leur devoir de citoyen. Plusieurs raisons à cela : Tout d'abord, 64% des citoyens de l'UE méconnaissent le rôle du parlement. Aussi, la forte impression, répandue dans les 27 pays, que les décisions du Parlement n'ont pas d'impact sur la vie quotidienne des citoyens est un élément d'explication non négligeable. En effet, ces derniers ne se sentent pas concernés. Si l'on rajoute à toutes ces raisons la quasi inexistence de campagne électorale due aux coûts exorbitants de la publicité, le taux d'abstention ne parait plus aussi anormal. Néanmoins, après une enquête sur les thèmes primordiaux de ces élections, les euro citoyens placent massivement le chômage au premier rang de leurs préoccupations, suivi de la croissance et de l'inflation, trois thèmes étroitement liés à la crise et à la baisse du pouvoir d'achat. Alors, quand le peuple a la possibilité de s'exprimer, il DOIT le faire! Se taire serait un magnifique cadeau à ceux qui méprisent les peuples dans la construction européenne.
Il y a certes certaines situations où s'abstenir est préférable, lorsque l'on doit par exemple choisir entre« bonnet blanc» et « blanc bonnet» mais ce n'est pas le cas cette fois ci où les listes présentées sont toutes différentes. De plus, ces élections constituent une véritable continuité avec le référendum sur le traité constitutionnel européen du 29 mai 2005. A noter cependant que lorsque le résultat d'un vote ne correspond pas aux attentes, comme lors du référendum sur le Traité constitutionnel, on contourne le scrutin populaire par un vote au Parlement, beaucoup plus facilement contrôlable par les "élites" politiques (cas de la France et des Pays-Bas), ou on appelle à revoter jusqu'à ce que le résultat attendu soit obtenu (Irlande): déni de démocratie ? II apparaît donc indispensable de se mobiliser une nouvelle fois cette année. Est-ce que les records d'abstention passée aux européennes ont changé quelque chose? Ont-ils montré quoi que ce soit? Bien au contraire! Ils ont laissé le champ libre à tous ceux qui ne veulent pas de démocratie en Europe. Cette élection offre également à tous les insatisfaits du système capitaliste néo-libéral la possibilité d'exprimer leur mécontentement. Mais il est absolument INDISPENSABLE de se rendre aux urnes pour ces élections de 2009 car c'est la toute première fois que le peuple s'exprime après l'élection de N. Sarkozy et le début la crise économique. De plus, après l'élargissement des pouvoirs du parlement dû à la révision de la constitution, il serait tout de même stupide de ne pas aller voter. Alors, assisterons nous à ce fameux vote sanction prôné par la gauche? Ou est-ce que, comme les enquêtes le prévoient, la droite triomphera-t-elle? La mobilisation des citoyens européens sera-t-elle au rendez vous ou battrons nous à nouveau des records d'abstention? Affaire à suivre, réponse le 7 juin. Un article de Brune Baliteau et Laurène Pin
De plus, les thèmes abordés (les Institutions, le traité de Lisbonne) paraissent trop en dehors de la réalité de la crise et donc moins fédérateurs. En plus, la médiatisation n’est pas au rendez-vous. Comparé à une élection de politique intérieure, elle est moins suivie, considérée comme une élection de second plan, et ne fait pas objet de beaucoup de débats. Ce genre de politique conduite par les médias peut être considérée comme anti-européenne mais le fait est qu’un reportage de 10 minutes sur les élections européennes ne ferait sûrement pas autant d’audience que 10 minutes sur les querelles au Parti Socialiste ! Ainsi, on en arrive à une confusion et l’on mélange politique intérieure et politique européenne et on fait de ces élections européennes le cheval de bataille des différents partis contre d’autres, autrement dit, le « vote sanction ».
Mais, comment faire alors pour redonner goût à l’Europe ? Tout d’abord, stopper ce qu’on appelle « la guéguerre des partis », autrement dit le « vote sanction » contre le gouvernement Sarkozy ou contre l’opposition suivant les tendances politiques. Cela reviendrait à déplacer le débat. Or ce n’est pas la vraie question, puisqu’il s’agit là de l’Europe. Mais cela ne suffit pas. Sur le fait que les français (ou même européens) ne connaissent pas assez l’Europe, cela doit passer par des campagnes européennes de sensibilisation, pour faire connaître le rôle de l’Europe, de ses décisions, de son poids et d’autres sujets importants. Ces campagnes passent aussi par une meilleure médiatisation dans les « journaux populaires », c'està-dire JT de 20h sur TF1 ou France 2, voir d’autres cibles médiatiques. Les français doivent comprendre que lorsqu’un bulletin est déposé dans l’urne, il s’agit du sort de l’Europe, et donc indirectement de leur vie.
Cependant, ce travail est de longue haleine et ne peut pas se réaliser du jour au lendemain, car il s’agit d’un changement de mentalités. Il faut penser aussi que la France n’est pas le seul pays à s’abstenir. Les nouveaux états membres, depuis 2004, sont aussi de moins en moins investis dans ce problème. On peut citer la Pologne ou d’autres pays d’Europe de l’Est, qui ont voté en 2004 après l’engouement et qui risquent de s’abstenir plus massivement cette année. On semble donc s’acheminer, en tout cas en France, vers une abstention record, et vers surtout un « vote sanction » comme celui qui avait touché le traité constitutionnel de Valéry Giscard d’Estaing, qui avait notamment été rejeté pour manifester sa colère contre le gouvernement alors en place. Peut-on espérer faire moins pire cette année ? Pas sûr….
Canal Europe 1 élection européenne, 27 pays, 27 procédures 7 juin 2009 : élections européennes? Non pas pour tous, même si on ne le sait pas toujours les jours de vote sont différents d'un pays à l'autre. C'est l'une des nombreuses différences qu'il y a lors de ces élections. En effet, les élections européennes de 2009 vont se dérouler le 7 juin en France. La même date a été retenue chez la plupart de nos voisins européens: Portugal, Espagne, Italie, Slovénie, Grèce, Chypre, Autriche, Allemagne, Belgique, Luxembourg, Danemark, Suède, Finlande, Estonie, Bulgarie, Hongrie, Roumanie, Pologne et lituanie.' Mais les Hollandais et les britanniques eux, voteront un peu plus tôt. Le scrutin aura lieu de 4 juin 2009. l'Irlande et la République Tchèque éliront leurs eurodéputés le 5 juin. Trois Etats membres ont choisi le 6 juin 2009 comme date d'élection de leurs représentants parlementaires: Malte, la Slovaquie et la Lettonie. Un point commun pour voter dans l'Union européenne: avoir 18 ans. Mais le vote n'est obligatoire qu'en Belgique, en Grèce, à Malte et au Luxembourg pour tous les électeurs inscrits sur les listes électorales. En Italie, le vote, bien que non obligatoire, est considéré comme un "devoir civique" plus important qu'en France. Afin de pallier le taux d'abstention important des élections précédentes, certains pays mettent plus de moyens en œuvre que d'autres. Par exemple, les électeurs finlandais peuvent voter à l'avance dans les bureaux de poste ou les hôpitaux.
Une union européenne fédérale ? Un État fédéral, est un État habituellement souverain, composé de plusieurs entités autonomes dotées de leur propre gouvernement, nommées États fédérés. Le statut de ces entités est généralement garanti par la Constitution, et ne peut être remis en cause par une décision unilatérale du gouvernement central fédéral. La forme de gouvernement de l'État fédéral, ou sa structure constitutionnelle, est nommée fédéraliste. Les fédérations peuvent être multiethniques, ou couvrir de vastes territoires, même si ce n'est pas nécessairement le cas. Les fédérations sont le plus souvent fondées par un accord, basé sur des préoccupations ou intérêts communs, entre plusieurs États indépendants. Dans une fédération, les États la composant sont considérés dans une certaine mesure comme souverains, puisque certains pouvoirs leur sont réservés, et ne peuvent pas être exercés par le gouvernement central. Cependant, une fédération est plus qu'une pure alliance d'États indépendants. Les États composants une fédération ne possèdent généralement aucun pouvoir concernant la politique étrangère, et n'ont pas le statut d'États indépendants au sens du droit international. Certaines fédérations sont dites asymétriques car certains États ont plus d'autonomie que d'autres. Un exemple d'une telle fédération est la Malaisie (composée de treize États), dans laquelle Sarawak and Sabah sont entrés dans la fédération en des termes et conditions différentes des États de Malaisie péninsulaire. Une fédération émerge souvent d'un accord initial entre un nombre d'États séparés. Le but peut être la volonté de résoudre des problèmes réciproques ou prévoir une défense réciproque, ou créer un État-nation. Cependant, comme l'histoire des pays et des nations varie, le système de fédéralisme d'un État peut être assez différent de ces modèles. L'Australie, par exemple, est née du vote démocratique des citoyens de chaque État qui ont voté « oui » aux référendums et ont adopté ainsi la Constitution australienne.
Tous les états membres, sauf l'Irlande, Malte, la France et la Pologne, autorisent leurs citoyens à voter à l'étranger pour une liste de leur pays d'origine, par correspondance ou dans le Consulat de leur pays. Alors que dans d'autres pays voter n'est pas une facilité, les citoyens britanniques qui résident dans un autre Etat ne conservent le droit de voter dans leur pays que s'ils sont fonctionnaires, membres des forces armées ou s'ils ont quitté le pays depuis moins de 5 ans.. S'ils sont dans ce cas ils doivent alors, pour voter, faire une déclaration d'éligibilité. Peut-être que la Belgique, Malte et le Luxembourg ont trouvé une solution efficace pour pallier ce taux d'abstention: le vote est automatisé puisque obligatoire. Mais cela ne change-t-il pas dans un sens les valeurs du vote à savoir qu'il est considéré comme une chance et un devoir de pouvoir participer à la vie du pays? Depuis le Traité de Rome de 1957, les députés ont l'idée d'une procédure commune mais plus tard ils ont optés seulement pour des « principes communs ». Dans une Union on pourrait penser qu'il est normal que tous les états votent de la même manière. Alors même si les cultures sont différentes, pourquoi ne votons tous pas avec la même procédure?
France → politique Traité de Lisbonne Mal-aimé et rejeté Le Traité de Lisbonne prévoit de revoir en profondeur le fonctionnement institutionnel de l’Union Européenne jugé trop complexe et parfais même par certains aspects inefficaces, tout en conservant les idéaux de base des deux traités fondateurs, le Traité de Rome de 1957, et celui de Maastricht en 1992. L’Union européenne souhaite par ce Traité paraître plus claire aux yeux de ces citoyens, plus transparente, plus démocratique, ainsi que plus rapide dans l’exécution de ses actes. Rédigé par intergouvernementale (C.I.G.), le Traité de Lisbonne a été signé le 13 décembre 2007, par les 27 Etats-membres de l’Union Européenne afin notamment de réformer les institutions européennes et leur structure. Deux pays ont déjà rejeté par un « NON » au référendum, le traité européen: la France en 2004 avec 55% des électeurs rejetant le Traité et l’Irlande en 2008 à 53,4% des voix.
En opposition à l’état fédéral, on trouve l’état unitaire. Un État est dit unitaire lorsque tous les citoyens sont soumis au même et unique pouvoir. C'est la forme la plus répandue d'État dans le monde. En général, l'État unitaire connaît des divisions territoriales, il existe des relais entre la population et le pouvoir central. Cependant la différence entre une fédération et ce type d'État unitaire est que ce dernier accorde l'autonomie à ses territoires selon son bon vouloir, et peut la révoquer quand bon lui semble, de manière unilatérale. Alors qu'il est courant pour un État fédéral de naître d'un accord entre d'anciens États indépendants, les régions possédant un régime autonome est souvent créé par un mécanisme de dévolution, avec l'acceptation de l'État unitaire d'accorder de l'autonomie à une partie de son territoire qui lui était jusqu'alors entièrement subordonnée. Dans certains cas, les limites entre État fédéral et État unitaire sont plus floues. En effet, on trouve bien souvent des États unitaires qui possèdent des subdivisions territoriales, administratives qui se gèrent elles-mêmes. . Il est courant de dire que par essence dans un État unitaire, sans regarder l'état actuel de toutes ses composantes, l'ensemble de son territoire constitue une entité unique et souveraine ou État-nation, et que par conséquent son gouvernement central exerce sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire. À l'inverse, dans une fédération d'États, la souveraineté est souvent considérée comme résidant théoriquement dans les États composants, ou comme étant partagée entre ces États et le gouvernement central.
Une Europe fédérale ? Précisément, l'Europe a besoin de hardiesse pour avancer. Utopie, aujourd'hui, l'Europe fédérale peut-être la réalité de demain. D'ailleurs, nous pouvons observe que ceux la même qui la refusent aujourd'hui, au nom de la souveraineté nationale proposent de construire une Europe de la défense. Or, une Europe de la défense ne peut se concevoir sans un système commun de décision et d'action, c'est à dire sans mise en commun de souverainetés. La question n'est pas de savoir si l'on perd de la souveraineté, mais de choisir entre l'exercice solitaire d'une souveraineté limitée, et l'exercice en commun d'une souveraineté renforcée. On nous présente des morceaux d'Europe, sans mise en perspective, sans dessiner les contours même incertains de l'Europe de demain. La mise en commun régulière, sans excès de précipitation des moyens, des volontés, des souverainetés ne peut se concevoir que dans la perspective d'une Europe fédérale. Construire l'Europe de demain exige de dépasser les certitudes du passé ; voir même du présent.
Oui ou non au Traité de Lisbonne Tout d’abord, le Traité prévoit de renforcer le pouvoir du Parlement européen, tout en faisant participer les Parlements nationaux. Il se veut également plus démocratique en donnant aux citoyens la possibilité de mieux se faire entendre grâce au droit d’initiative populaire (c’est-à-dire qu’un million de citoyens européens provenant de différents Etatsmembres pourront demander à la Commission européenne de présenter de nouvelles propositions). Plus qu’intéressant, il est indispensable que le Traité de Lisbonne soit adopté pour garantir une évolution favorable de la citoyenneté européenne. De plus, ce Traité prévoit pour la première fois explicitement la possibilité pour un Etat-membre de se retirer de l’Union Européenne. Enfin, afin d’être plus efficace, le Traité prévoit la suppression attendue de la présidence semestrielle du Conseil de l’Union Européenne. Pour cela, un président du Conseil européen serait élu pour un mandat de deux ans et demi avec une seule et unique possibilité de réélection. Autant dire qu’il s’agirait d’une véritable bouffée d’oxygène pour l’U.E. qui peine à avancer pour cause de réformes naissant prématurément au bout de 6 mois de mandat ! Si le Traité de Lisbonne apporte des réponses concrètes et attendues par la majorité des euro-citoyens aux problèmes que connaissent l’Union européenne à ce jour, le combat n’est pas gagné d’avance. Il faut à nouveau convaincre les Irlandais de l’adopter. Mais aujourd’hui, l’Union européenne pousse un soupir de soulagement en direction de la République Tchèque, encore à la tête de la présidence, puisque le Sénat vient d’adopter le Traité de Lisbonne. La victoire est proche… Floriane
Canal Europe
France → politique
La Présidence Européenne Après avoir succédée à la France, la République Tchèque est elle aussi prête à passer le flambeau de la présidence du Conseil. Cette présidence est une étape importante pour cet état rentré récemment dans l’Union européenne.
Parlement Européen : comment ça marche ?
Le Parlement est composé de 785 députés de l’Union Européenne : c’est européens, qui représentent 492 millions d’électeurs provenant de 27 États (depuis 2008), Pour être exacte on devrait parler de présidence du conseil de c’est-à-dire le second plus grand électorat du l’Union européenne appelée aussi Conseil des ministres. Il monde, derrière celui de l’Inde, et le plus grand réunit les ministres de 27 gouvernements des pays membres électorat trans-national. Le Parlement est élu au selon leur domaine (agriculture, transport…). Ils décident des suffrage universel direct tous les cinq ans depuis futures lois européennes. La présidence de l’UE fixe les 1979. domaines à traiter au conseil des ministres. En cas de La présidence quoi ?
Vaclav Klaus, président du Conseil de l’Union européenne, eurosceptique
A partir du 1er janvier 2009, et jusqu'au 30 juin, la présidence du Conseil de l'Union européenne est assurée par la République tchèque. C’est une étape importante pour cet Etat entré tout récemment, en mai 2 004, dans l'Union européenne. Cette présidence aura dû relever plusieurs défis. Elle aura d’abord dû surmonter son président eurosceptique, Vaclav Klaus, déclarant en début de présidence que seul son Premier ministre, européen convaincu, Mirek Topolanek se rendrait aux grandes réunions de l’U.E. De plus, son prédécesseur français, lui rend la tâche plus difficile en lançant auparavant de nombreuses réformes et en réglant le conflit né des tensions entre la Russie et la Géorgie. La comparaison est certes humaine, mais inévitable. Enfin, le Traité de Lisbonne aura suscité une certaine polémique, puisqu’il a été rejeté par l’Assemblée nationale tchèque. Un comble pour le pays à la tête de la présidence du Conseil de l’Union européenne ! Mais soulagement : le Sénat, quant à lui, l’a adopté ! Chaque Etat membre assure la Présidence du Conseil de l'Union européenne à tour de rôle pendant 6 mois. Elle est chargée d'organiser et de présider l'ensemble des réunions, ainsi que d'élaborer des compromis susceptibles de résoudre les problèmes. Au début de chaque semestre, le pays qui a la charge de la présidence, détermine ses priorités et le calendrier des travaux.
divergences elle a pour mission de trouver un compromis pour que tous les pays s’accordent sur une politique commune ce qui, on le voit, n’est pas toujours évident. Sur la scène internationale, la présidence s’exprime au nom de tous les Etats membres : elle est la voix et le visage de l’U.E. La présidence tchèque a d’ailleurs fait grincer quelques dents puisqu’elle était jugée par ses détracteurs européens trop fragile, trop indécise, trop peu représentative de l’image d’une U.E. telle que l’imaginent ces fondateurs. La majorité des chefs d’Etats et des gouvernements des Etats membres se battent pour que le Traité de Lisbonne vienne chasser le Traité de Nice instituant cette présidence tournante si controversée. Les citoyens européens s’étonnent d’ailleurs de plus en plus du choix d’adoption d’une telle présidence. Il est vrai que l’on peu douter de l’efficacité d’un mandat si court car peu de grandes réformes peuvent voir le jour en 6 mois.
Mais qu’est-il bien passé par la tête des rédacteurs du Traité de Nice ? Cette durée a été fixée par le conseil des ministres par souci d’égalité entre les 27 pays membres. Il était important que les pays venant de rentrer dans l’Union européenne, comme la République Tchèque, ne se sentent pas mis à l’écart et puissent assumer la présidence tout comme les « vieux » pays fondateurs. Ce mode de gouvernance ne satisfait plus les instances européennes, qui envisagent une présidence stable de deux ans et demi grâce au Traité de Lisbonne. L’automne 2009 sera marqué par la présidence suédoise du Conseil de l’Union européenne. La Suède veut mettre quant à elle l’accent sur l’environnement avec la poursuite du protocole de Kyoto, l’emploi et la compétitivité. Elle veut renforcer les relations avec nos voisins européens du côté de la mer Baltique, et relancer le débat concernant l’entrée de la Turquie dans l’Union à laquelle la Suède est favorable. Solène et Margot
Diversité dans l'Union Pluralité dans les élections « Unie dans la diversité» telle est la devise de l'Union Européenne. Mais peut-on parler d'une véritable unité au sein de l'Union Européenne? En effet, si la diversité est facile à illustrer, l'Europe possède par exemple vingt-trois langues officielles; l'unité est plus contestée et contestable. On voit notamment lors des élections du parlement européen, que les scrutins ne se déroulent pas le même jour dans tous les pays. Mais quelles sont les conséquences de cette diversité ? La diversité est due en partie aux différences historiques entre les pays de l'Union Européenne. Pour commencer tous n'ont pas eu la même place dans la construction de l'Europe. Certains sont les initiateurs du projet, la France et l' Allemagne par exemple, alors que d'autres sont plus sceptiques comme les Britanniques ; d'autres enfin y ont adhéré en 2007 seulement. Les institutions des pays membres sont de plus très variées : roi ou président, régime parlementaire ou semi-présidentiel, constitution ou non ... Il est donc d'autant plus délicat de trouver un régime politique commun. Les différences sont aussi économiques, car tous les états n'ont pas le même poids. Les plus grosses puissances ont du mal à déléguer leur souveraineté ou à dépendre d'autres pays ; elles ne doivent pas non plus délaisser les plus petits Etats. Les nouveaux pays d'Europe centrale sont encore en développement alors qu'à l'Ouest les pays sont en phase post-industrielle. Finalement au niveau social et culturel, les différences sont multiples, entre le Nord protestant et le Sud catholique ou simplement entre les systèmes scolaires. Ces multiples points de vue ont entraîné une grande diversité politique et lors des élections du 7 juin les citoyens européens auront le choix entre une dizaine de partis. Pas toujours facile de s'y retrouver. Le plus important actuellement, le PPE (parti Populaire Européen) occupe 37% des sièges et regroupe des députés des 27 états membres. Ce sont des Chrétiens-démocrates conservateurs et c'est à ce parti qu'a choisi d'adhérer l'UMP.
Lors de sa création c'était le parti le plus fédéral, mais suite à l'adhésion de nouveaux partis comme les conservateurs britanniques, il a abandonné l'idée des « Etats-Unis d'Europe». En terme de nombres de députés, vient ensuite, le PSE (Parti Socialiste Européen), auquel adhère le PS Français, il représente 27 % des députés. Ils sont pour une Europe progressiste et se disent Sociaux-démocrates et travaillistes. Le troisième parti le plus important du parlement européen est l'ADLE (Alliance des Démocrates et des Libéraux pour l'Europe) plus au centre et plus fédéral. Ces députés souhaitent notamment avoir une politique étrangère commune. Viennent ensuite les Verts, puis les extrêmes, eurosceptiques. Cette diversité souvent perçue comme un frein à la construction de l'Union Européenne demeure cependant un atout clé pour celle-ci. Bien sûr, il est compliqué pour les citoyens de comprendre l'organisation des partis politiques européens, car les noms sont différents des partis nationaux et les informations peu médiatisées. De plus l'intérêt pour les élections varie selon les pays, qui, pour certains cumulent plusieurs campagnes électorales. Mais si l'on prend la peine de chercher un peu, ces nouveaux partis européens, permettent à chacun de voter en fonction de ses convictions personnelles. Ce vrai pluralisme est indispensable à la construction d'une démocratie solide. La création de partis européens a de plus permis de dépasser les intérêts strictement nationaux, montrant le chemin parcouru depuis la création de la CEE.
Le dimanche 7 juin 2009, nous, Français, avons élu nos 72 nouveaux eurodéputés, tant bien que mal, malgré une forte abstention des électeurs avoisinant les 59%. L’enjeu et l’importance de ces élections européennes ne sont décidemment pas encore ancrés dans l’esprit des citoyens français et européens, ayant à tord trop tendance à oublier l’importance de cette institution européenne au sein de notre vie quotidienne. Le parlement européen est le miroir, à la réflexion plus ou moins parfaite du visage politique de l’Union européenne. Imaginez 785 eurodéputés débattant lors des sessions parlementaires…langues latines et slaves se mêlent aux politiques conservatrices et travaillistes. Comment aboutir à des accords avec de telles dissemblances ? Notre devise répond à ce dilemme : « Unis dans la diversité ». Cette institution, cœur du pouvoir législatif européen, est basée à Strasbourg. Elle a pour rôle non seulement de voter les lois mais également de contrôler le budget (contrôle du « volet dépense » mais non du « volet recettes »), rédiger des directives et enfin de veiller au respect de la démocratie. Le parlement est le seul organe européen élu au suffrage universel direct ce qui lui confère une légitimité indiscutable. Le Traité de Lisbonne, une fois ratifié, lui offrira encore plus d’impact. Les citoyens européens n’auront alors plus aucune excuse pour sous-estimer le rôle du Parlement dans leur vie. Léo et Antoine
Canal Europe
Belgique → économie
Biowanze, l’essence verte qui fait rire jaune Biowanze est un site de production de bioéthanol inauguré récemment, situé en région Hutoise, sur lequel la Belgique mise beaucoup. En effet, elle lui permettrait d'entreprendre une collaboration durable et unique avec l’Europe, puisque la demande de biocarburant s’y fait de plus en plus forte (on comptait en 2005, 2,6 millions d'hectares dédiés en Europe à la production de produits agricoles pour la fabrication de biocarburants, et ce nombre ne cesse de croître). Cependant, Biowanze qui fait la joie de beaucoup, a aussi bon nombre de détracteurs. Cette usine appartient à un des plus grands producteurs Européen de bioéthanol, et fonctionne selon un procédé dit révolutionnaire, qui consiste à associer deux matières exclusivement locales pour produire de l’essence verte : le blé, et la betterave sucrière. Ces deux éléments, en plus d'être les matières premières pour la production du bioéthanol, servent également à alimenter en partie les machines de l'usine; ce procédé innovateur lui permet de réduire ses émissions en CO2 d’environ 70%. La production de biocarburant en Belgique a un impact favorable sur l’économie locale et nationale du pays, mais aussi sur son développement agricole; sans oublier le nombre d’emplois que cela crée. En effet, grâce à la demande de bioéthanol actuelle, c’est plus de 4800 agriculteurs que l’usine emploie. Pourtant, beaucoup critiquent, et ne participent pas à l'engouement qui se
fait actuellement autour du bioéthanol, qu'ils jugent responsable d'usage excessif de pesticides, et de déforestations en masse. D'autres études réalisées par des experts montrent que le bioéthanol est corrosif, et donc nocif pour les moteurs. Plus grave encore, certains vont jusqu’à dire que le biocarburant serait plus nocif pour le climat que le pétrole brut, car il force au défrichage de forêts entières, pour faire place à des cultures industrielles de matières premières d’essence verte ; ce qui, au final, provoque une émission gigantesque de gaz à effet de serre. A l'échelle mondiale, ce sont des millions d'hectares de forêt tropicale qui ont déjà été détruits rien que pour aménager des cultures de palmiers à huile, de soja ou de canne à sucre. Ces constatations font froid dans le dos, et sont pourtant toutes réelles, restons vigilants !
Enseignement supérieur Quand écologie et gratuit économie se rencontrent Contexte dans lequel est organisé l’enseignement en communauté française de Belgique : Il faut savoir que si l’enseignement obligatoire de la maternelle au secondaire est gratuit, les études supérieures doivent être quant à elles financées en grande partie par l’Etat et/ou les parents. Aujourd’hui, de nombreux étudiants de ce niveau d’enseignement réclament, parfois avec vigueur, l’extension de la gratuité pour leurs études. Dans la mesure où je serai, bientôt je l’espère, dans une situation analogue à la leur, il va sans dire que cette question m’intéresse et m’interpelle. Que faut-il donc en penser? Un argument qui plaide en la faveur de cette gratuité me paraît être de nature sociale. A l’heure actuelle, en effet, un nombre de plus en plus important d’étudiants entreprend des études supérieures. Il est vrai que notre société devient fort exigeante sur le niveau de formation et de spécialisation des futurs diplômés. Il est regrettable que, pour certains, le coût engendré par ces études ne soit pas supportable par leur famille. L’aspect financier devient alors un frein qui les empêche d’aller plus loin dans leurs souhaits professionnels. On pourra me rétorquer que ces élèves peuvent bénéficier d’une bourse d’étude en fonction des revenus des parents mais il faut avouer aussi que les plafonds par rapport auxquels cette bourse peut être obtenue sont relativement bas. Assurer la gratuité de l’enseignement supérieur permettrait donc à un plus grand nombre de jeunes d’y accéder et ça serait de nature à renforcer la démocratisation des études. J’estime dès lors que la revendication des étudiants est légitime. Cependant, cela ne signifie pas qu’il faille, à mes yeux, dépenser sans contrôler les sommes importantes que l’on dédierait aux jeunes voulant entreprendre des études supérieures. En effet, quand on voit la légèreté et la désinvolture avec lesquelles des élèves entament leurs études, on est en droit de se dire que le pouvoir qui subsidierait cette gratuité devrait exercer un droit de contrôle sur le parcours du futur diplômé! Gratuité donc mais pas à n’importe quel prix! www.rtlinfo.be/rtl
Compte rendu de la manifestation: Près de 1.900 étudiants francophones et néerlandophones, selon un comptage effectué par la police, et près de 4.000 selon une estimation des organisateurs, se sont rassemblés mardi sur l'esplanade de la Gare du Nord à Bruxelles pour une manifestation afin de réclamer une diminution du coût du minerval et des coûts indirects des études. La manifestation a été organisée en marge du huitième sommet européen interministériel de Bologne qui, lui, réunit tous les ministres de l'enseignement des pays engagés dans le processus de Bologne. Jasmine et Justine
Le scandale des parachutes dorés Les parachutes dorés sont des indemnités de départ tout à fait légales versées aux patrons d'entreprise, qui ont été mises en place par 2 grandes organisations patronales. Elles avaient pour but de «récompenser» le patron pour le travail accompli. Seulement parfois, cette indemnité peut signifier la faillite de l'entreprise. On dit doré, car cela permet en effet d'adoucir la chute de celui qui touche la prime et doré car cette prime est généralement conséquente. Mais moralement des questions se posent. Est-il logique qu'un patron n'ayant pas mené à bien sa mission soit « récompensé » par de telles sommes? Le sujet porte à polémiques. De plus en plus les politiques, les cadres, les salariés sont choqués. En Belgique, la législation sociale prévoit que tout travailleur salarié signe un contrat de travail qui régit les règles et les conditions de travail. En fonction du secteur d’activité, ces règles sont précisées par une commission paritaire (elle réunit l’ensemble des partenaires sociaux, syndicats, association patronales et représentants de l’administration). Les règles de préavis pour les ouvriers et employés d’un secteur d’activité sont donc équivalentes pour l’ensemble des travailleurs et dépendantes du type de contrat qu’ils ont signé. Un contrat à durée déterminée s’achèvera de plein droit au terme du contrat sans indemnité de rupture. Un contrat à durée indéterminée, comme son nom l’indique, ne prévoit pas de date de fin de contrat si ce n’est l’âge de pension légale (qui dépend du secteur d’activité) et qui est généralement octroyée à 65 ans pour tout le monde. Dans ce contrat, l’ouvrier ou l’employé ainsi que l’employeur peuvent mettre un terme au contrat de travail moyennant un certain nombre de règles comme la durée de préavis, la prestation de ce préavis et l’indemnité à percevoir par le travailleur. Si c’est le travailleur qui remet son préavis, il pourra quitter son emploi moyennant un certain nombre de règles également et sans devoir d’indemnité à son employeur. Par contre, en ce qui concerne les cadres et directeurs de société, les règles sont négociées entre le cadre et le conseil d'administration. Dans ce cas-ci la somme de départ peut s'élever jusqu'à 2 années de rémunération.
Mercredi 22 avril 2009, les étudiants de 6ème année du Collège Saint-Barthélemy de Liège ont participé dans les rues de la Cité Ardente à la manifestation Aujourd’hui un vrai débat est ouvert quant à ces fameux pour la campagne internationale BIG ASK. «parachutes dorés». Dans la plupart des cas ces patrons Cette mobilisation a principalement pour objectif une législation plus ambitieuse en matière de préservation du climat en visant à réduire annuellement d'au moins 3% les émissions de gaz à effet de serre, pour atteindre l'objectif d'une réduction de 90% de ces émissions d'ici à 2050. La campagne est menée dans dix-sept pays européens par les Amis de la Terre (Friends of the Earth). Cette campagne a déjà porté ses fruits en Grande-Bretagne par l'adoption d'une législation qui contraint le gouvernement à réduire les émissions des gaz à effet de serre avec une obligation d’atteindre des résultats chaque année sous peine d’astreinte. Mais quels sont les principaux grands freins économiques à des mesures de grande ampleur ? Tout d’abord, la réduction de consommation est techniquement toute neuve dans notre économie de compétitivité et de croissance. Le déséquilibre entre un pays qui accepterait une réduction de sa production par rapport à un pays qui la maintiendrait serait trop important. Toute notre économie est basée sur le trafic routier et sur l’intermondialité (avec l’échange aérien). Il en résulte une somme délirante d’émission de gaz à effet de serre et une totale disparition du commerce local. De plus, la plus grande industrie mondiale est celle de l’automobile. Cet engin est devenu l’archétype de la réussite sociale : il apporte une rapidité et une grande fluidité mais à un coût écologique énorme. Bien sûr, on peut réduire cet impact écologique (voitures écolos, taxes à Londres,…) mais une réduction nette de la vente de véhicules représenterait une catastrophe économique. Dans la société actuelle, il existe de nombreux ménages qui possèdent deux voitures ou plus ! Enfin, les centrales atomiques rapportent aujourd’hui énormément d’argent. Les arrêter correspondrait à tuer « la poule aux œufs d’or ». Il existe encore bien d’autres facteurs (moraux, politiques,…) qui entravent les prises de strictes mesures mais nous ne nous sommes limités dans cet article qu’à quelques causes économiques ! Julien EVRARD & Morgane KERSTENNE Merci aux Amis de la Terre (Belgique)
reçoivent une somme conséquente, alors que la situation dans l’entreprise est parfois critique! Bon nombre d’exemples nous sont offerts. Prenons par exemple celui d’Axel Miller, ancien patron de la banque Dexia. La somme de 3,7 millions lui a été proposée. Bien qu’il l’ait refusé, il a quand même reçu une somme s’élevant à 825.00 euros ; soit l’équivalent d’une année de salaire! Que peut-on penser de cela dans une période de crise? Ce phénomène n’est pas nouveau puisque si nous remontons en 2006, Noël Forgeart, patron de la société EADS reçoit un « dédommagement » de 8,5 millions d’euros et Jean-Marie Messier reçoit lui la somme de 20 millions d’euros lorsqu’il a dû quitter VIVENDI UNIVERSAL! Peut-on justifier ces sommes souvent colossales que reçoivent ces patrons? Ces exemples face à la situation économique du moment nous interpellent. Alors que chaque jour des ouvriers sont licenciés, les patrons eux quittent leur emploi avec quelques millions d'euros, qui peuvent représenter la ruine de l'entreprise. Rien que le mot "dédommagement" en lui même fait déjà réagir! Charlotte, Coline, Natacha
Canal Europe Une étiquette verte, en plus du prix ...
Belgique → économie L'Union Européenne, le tourisme et les jeunes
Actuellement, l'Europe offre des destinations très en vue des touristes en général. Vous venez d'acheter une boite de poissons Ce tourisme offre bien des intérêts au niveau économique et des avantages pour les participants. Mais entre la surgelés. Vous vous demandez combien de crise, le prix de ces destinations très prisées et un budget plus serré, les travailleurs, les jeunes entrant dans kilomètres ce poisson a parcouru, non pas à la la vie active ou encore les étudiants, ont-ils encore les moyens de s'autoriser des escapades en Europe? nage au milieu de l'océan, mais dans son emballage final ? Vous souhaitez connaître l'impact écologique de ce produit ? C'est légitime et respectable, mais trouver ces informations est un vrai casse-tête pour les simples consommateurs que nous sommes. Qui pourrait nous aider à accéder à ces informations ? Il existe déjà un système d'étiquetage pour les appareils électroménagers et les voitures. Alors, soucieux de l'avenir de notre planète, nous avons tenté d'en savoir plus au sujet de l'étiquetage environnemental concernant les produits d'alimentation courante. Si la grande distribution se préoccupe enfin de l'impact écologique qu'a notre consommation quotidienne, d'autres ont déjà mené cette réflexion. Grâce à cette étiquette verte, le consommateur est ainsi informé de l'impact de ce produit, en terme de quantités d'émission de CO2 liées à la fabrication de l'emballage, la recyclabilité effective, ainsi que les kilomètres parcourus par le produit. En France, le distributeur Casino, a étiqueté une bonne centaine de ces produits, mais cet étiquetage environnemental sera obligatoire dès 2011 partout en France. En ce qui concerne la Belgique, on y réfléchit au cabinet fédéral de l'énergie, des projets sont en cours et devraient être lancés avant la fin de 2009.
La classe 6E du collège St- Barthélemy de Liège à Pise, lundi 30 mars 2009.
Marie, Florence
« L’Europe gaspille son argent dans l’éclairage !» Après la pollution de l’air et la pollution de l’eau, les scientifiques parlent de plus en plus de la pollution lumineuse. Cette pollution est due au nombre croissant de lampadaires disposés aussi bien dans les villes que dans les campagnes. Elle est également causée par les phares de voitures, les néons des magasins, ou encore tout simplement les ampoules que l’on a chez nous. Au niveau européen, c’est en Belgique que cette pollution est la plus importante et cela depuis que le gouvernement belge a décidé de laisser les réverbères allumés toute la nuit sur nos autoroutes. Le cas de la Belgique Depuis quelques années la Belgique est devenue l’un des plus gros pays producteurs de lumière d’Europe Dans notre pays, c’est un montant de plus ou moins 2 millions d’euros qui est gaspillé chaque année. Tout cet argent part en lumière dans le ciel pour se perdre dans l’univers! Certains modèles de luminaire envoient jusqu'à 50 % de leur lumière en direction du ciel! Cette lumière dirigée vers le haut est inutile, perdue et constitue la principale cause de la pollution lumineuse. Néanmoins, il ne faut pas oublier que la Belgique est le pays ayant la densité de population la plus élevée d’Europe après les Pays-Bas et l’Angleterre. Au nombre d’habitant, les Belges ne sont donc pas spécialement de gros consommateurs de lumière.
Comment résoudre ce problème de gaspillage ? Il y a plusieurs moyens pour diminuer ce gaspillage d’énergie et d’argent, et un de ces moyens n’est sûrement pas de couper ces lumières pendant une heure un samedi soir ! Nous devons agir à long terme; c’est à dire installer des ampoules économiques, empêcher la lumière de se propager dans le ciel ou encore la diminuer dans certains endroits comme sur les autoroutes ou dans les grandes villes. Ainsi le gouvernement pourra faire des économies non négligeables et nous pourrons peut-être revoir le ciel tel qu’il était il y a 30 ans… Hicham
Le tourisme est intéressant car il permet de faire vivre bon nombre d’habitants des régions visitées (en France le tourisme, en général, génère 5,6 milliard d'euros). Pour les jeunes, les voyages peuvent faire naître un intérêt nouveau pour tel ou tel pays et ainsi donner parfois naissance à des projets de carrière. Le nombre d'étudiants qui avaient l'habitude de voyager avec des programmes comme "Erasmus" diminue pour différentes raisons. Les destinations deviennent trop chères et les diplômes passés à l'étranger sont difficiles à faire agréer. De plus, professionnellement, les études réalisées à l'étranger n'ont plus le même impact. C'est la banalisation des voyages internationaux qui en est la cause. Pour parer à ces problèmes, la Commission Européenne débat sur la création d'offres facilitant les paiements des voyages dont le European Credit Transfert Systeme. L'ECTS serait un prêt à 0% offert aux universitaires. Il encouragerait le jeune à choisir un Erasmus malgré ses difficultés financières.
Malgré ces inconvénients, les jeunes parviennent encore à voyager. Les "trips" en groupe qui consistent en un voyage seul ou en groupe sont très appréciés. Toutes les formules existent pour permettre aux jeunes de découvrir de nouvelles cultures, voire leur donner envie de vivre dans la contrée visitée. Avantage pour les commerçants, car les jeunes sont des clients potentiels qui, accompagnés de leur future famille, peuvent revenir dans la ville qui a su les toucher. Les voyages de fins d'études sont aussi un bon moyen de faciliter ce genre de voyage. Ils permettent aux jeunes de découvrir facilement une culture inconnue. Les différentes classes de rhétoriques du collège St-Barthélemy de Liège, ont fait leur voyage dans plusieurs régions d'Europe. Cela a permis à tous de se ravir des villes visitées donnant à tous l'envie de revenir dans ces pays éliminant les préjugés sur les différentes cultures et ouvrant de nouvelles frontières pour chacun. Guillaume CANOR et Fatih YUKSEK
Délocalisation européenne La délocalisation économique est le transfert d’activités, de capitaux et d’emplois dans des régions d’un pays ou du monde bénéficiant d’un avantage compétitif. Ces avantages peuvent être soit au niveau du coût plus bas, notamment au niveau des salaires ou fiscalité, soit de compétences technologiques, de main d’œuvre plus compétente, d’infrastructures ou d’un environnement plus adaptés. Ces choix se font en fonction de l’attractivité des territoires. L’Europe, depuis plusieurs années, accueille des entreprises venant du monde entier, notamment des Etats-Unis. Régions de prédilection des délocalisations européennes : L’Irlande, qui présentait autrefois de nombreux avantages fiscaux, un haut taux de chômage, une main d’œuvre disponible et bien formée ainsi que de faibles salaires et charges sociales, a attiré de nombreux investisseurs étrangers pendant les deux dernières décennies. Cependant, ce pays n’est plus le mieux adapté pour la délocalisation. Les pays de l’Europe de l’Est sont des zones de prédilection pour les délocalisations. En effet, des pays, comme la Roumanie ou la Pologne, ont été les destinations favorites des entreprises d’Europe de l’Ouest entre 2004 et 2006. De fait, ils présentaient plusieurs atouts clés, comme les salaires, les infrastructures fiables existantes ainsi que la proximité géographique et culturelle avec l’Europe de l’Ouest qui facilitait l’implantation de sites. Un exemple concret : Dell passe de l’Ouest à l’Est. Touché par la crise économique, le fabricant américain d’ordinateurs Dell, générant environ 5% du PIB irlandais, délocalise sa production pour l’Europe, de l’Irlande vers Lodz en Pologne. Au total, 1.900 postes seront perdus dans le pays. Les raisons pour lesquelles Dell s’installa en Irlande étaient son haut taux de chômage, ses faibles salaires et charges sociales ainsi qu’une main d’œuvre disponible et bien formée. Cependant, Lodz, dite « la terre promise » pour investisseurs étrangers grâce à un coût de travail fort compétitif (246 € mensuel contre 1403 € pour l’Irlande) et de larges exonérations fiscales, fut choisie comme nouvelle
destination économique. De plus, son taux de chômage, plus élevé qu’ailleurs en Europe (18% de la population active), faisait pression sur les salaires qui demeuraient toujours de 30% plus bas que la moyenne nationale : pour les multinationales, l’opération était tout bénéfice ! A force de pression, sur les salaires et grâce aux avantages fiscaux, la Pologne a enregistré en 2005 un record d’investissements directs étrangers, avec dix milliards d’euros ; ce qui ne l’empêche pas de rester dans le rouge sur le front de l’emploi et de l’aménagement industriel cohérent de son territoire. Cependant, si aucune des multinationales n’a encore quitté Lodz après avoir consommé les avantages fiscaux offerts, plusieurs prévoient déjà « une fuite » qui viserait à prévenir des délocalisations depuis la Pologne vers des pays à coûts encore plus bas, tels que la Chine. Microsoft en Belgique. Une autre grande société informatique a récemment décidé de s'implanter en Europe: Microsoft. Le géant américain a en effet choisi comme destination la Belgique pour implanter son « Microsoft Innovation Center ». Pourquoi la Belgique, et plus précisément la ville de Mons ? Notamment pour des raisons telles que le taux élevé de chômage de la ville (250 nouveaux emplois seront créés grâce à cette délocalisation) ou encore la proximité d'un canal permettant le refroidissement du système. De plus, Microsoft bénéficie d'une prime de l'Etat belge d'une valeur de plusieurs millions d'euros, prime non négligeable. Kabore C., Mawet J., Collin C.
Canal Europe France→ politique
Le Pen, l’homme qui fait peur
Allemagne → éducation Le processus de Bologne Qu´a-t-il apporté aux étudiants ?
Autrefois, les systèmes éducatifs pour l´enseignement supérieur différaient beaucoup en Europe. Jean-Marie Le Pen se présente à nouveau aux élections du Mais avec le processus de Bologne, on a nivelé l´éducation dans les universités européennes. parlement européen. Pour montrer les difficultés que les étudiants, qui voulaient passer un an dans un autre pays de Une nouvelle qui en fait trembler plus d’un. Même les l´UE, devaient surmonter avant qu´on ait signé ce traité Bologne, voici quelques exemples. présidents des principales forces politiques du Parlement européen ont décidé de le faire taire.
Selon le règlement intérieur du Parlement, la session inaugurale est présidée par le doyen d'âge de l'assemblée. Une condition que M. Le Pen, 80 ans, a de grandes chances de remplir dans la nouvelle assemblée en juillet. Mais peut-on réellement laisser la tribune à « un vieux fasciste et négationniste de l’Holocauste » (selon Martin Schulz) qui dit“ne se borner à dire que les chambres à gaz étaient un détail de l’Histoire de la guerre mondiale, ce qui est une évidence” ? Pourquoi des nationalistes, totalement contre l’Union européenne, se font-ils élire au Parlement ? Quel rôle veulent-ils y jouer ? Pourquoi ne pas garder la proposition de Daniel Cohn-Bendit de faire présider la députée la plus jeune de la session ? Une bonne solution pour donner un peu plus de poids aux jeunes, réellement convaincus de l’intérêt de l’Europe !
En Allemagne, on a deux types d’université. Après le lycée d´enseignement général, on peut faire des études dans une université après le baccalauréat. On finit l´université avec un diplôme : la maîtrise ou un examen d´état après cinq ans d’études. Si on veut, on peut ensuite faire un doctorat. L´autre ´université´ allemande, c´est la « Fachhochschule » (école supérieure spécialisée). Là, on fait des stages pendant qu´on est étudiant. On finit avec un diplôme, mais on ne peut pas terminer ses études avec un doctorat. Si on va dans un lycée technique, on a seulement la possibilité de faire ses études dans une « Fachhochschule ». Maintenant, on fait les mêmes études dans n´importe quel lycée. Contrairement au système allemand, le système en Catalogne est très différent – et très difficile aussi. On doit finir sa scolarité avec le baccalauréat, après on passe des épreuves et on fait ses études dans des endroits différents. Si on veut aller à l’université on doit passer l´épreuve d´accès.
Avec le processus de Bologne on acquiert le Bachelor après quatre ans, le Master après six ans et le Doctorat après environ dix ans. Ces exemples montrent les grandes différences qui étaient la réalité en Europe avant Bachelor et Master. Par exemple, c´était très difficile pour un Allemand de passer une année d’études en Espagne. Tout en sachant que le processus de Bologne n´est pas parfait, on doit dire qu´il y maintenant plus de possibilités pour un étudiant qui veut changer de pays pendant ses études. Jakob Lypp, Daniel Kunz, Raffaela Kern
Au Portugal, on a deux possibilités après l´enseignement secondaire. La première, c´est l´enseignement polytechnique . On va à cette école pour quatre ou cinq ans et finit avec le D.E.S.E. (Diplôme d´études spécialisées). Après cela, on ne peut pas continuer ses études.
Belgique→ économie
Dix pays en plus au sein de l’Union Européenne : réussite économique?
La deuxième possibilité, c´est d´aller à l´université- le nombre d´année qu´on y passe dépend de la matière dans laquelle on fait ses études. Par exemple, les études de médecine durent six ans, pour devenir ingénieur on met quatre ans. Après le diplôme on peut continuer avec le master, le Doctorat et aussi le Post-Doctorat.
http://www.eu2008.fr
L´Ecole en Allemagne et en France
Je m´appelle Markus Witzigmann et j´ai passé quatre mois à Bordeaux il y a cinq mois. J´étais au lycée Michel Montaigne. C´est le plus grand lycée à Bordeaux. En 2004, entraient dans l’Europe 10 nouveaux pays, pour Ce séjour était une super expérience pour moi parce qu´en allant dans une autre école à l´étranger former la très célèbre Europe des 25. Mais cette union a-t- on peut rencontrer d´autres jeunes et on peut avoir des impressions de l´enseignement à l´étranger. elle été bénéfique pour l’économie de l’Union Il y a beaucoup de différences entre les Le système scolaire en France est divisé en trois étapes : Il y a Européenne? l´école primaire pour les petits (6 à 10 ans), après tous les écoles en France et celles en Allemagne. Une question se pose donc… élèves vont au collège jusqu`à la « troisième » et après on Y a-t-il un pilote dans l’Union ? n´est plus obligé d´aller à l´école, mais on peut aller au lycée Bailly Charlotte, Hermkens Christelle, Némery Julie.
http://www.eu2008.si
Début 2004, un sondage avait montré que 59% de la population européenne se montrait sceptique face à l’avenir de l’Europe, après la venue des dix nouveaux pays membres. Mais cinq ans plus tard, ces incrédules de l’époque doivent être bien étonnés de voir ce que l’Europe des 25 est devenue. Aujourd’hui, l’Union Européenne est devenue la première puissance économique mondiale, juste devant les Etats Unis. Son PIB est en augmentation constante depuis l’entrée de ces quinze nouveaux pays. Le commerce se porte également particulièrement bien, pour citer un exemple on pourrait parler de l’E-commerce (Achat et vente en ligne sur internet), plus de 100 milliards de chiffre d’affaires pour 2006 et 263 milliards envisagés pour 2011 selon des études sur le commerce en ligne.
En France on a souvent cours jusqu`à six heures le soir. Ce n´est pas imaginable en Allemagne. Les cours aussi sont plus longs en France. Ils durent 55 minutes (45 en Allemagne). Il y a une pause à midi, mais après, les cours recommencent.
En ce qui concerne les matières, ce sont à peu près les mêmes qu´en Allemagne. Mais en France on n´a pas d’éducation religieuse. En Allemagne l´histoire et la géographie sont deux matières différentes, en France c´est une seule matière. En physique et chimie j´avais en France des cours « normaux » et des « TP ». Pendant les Travaux pratiques on faisait des expérimentations, par exemple des réactions avec des liquides. Il y a plus de contrôles en France qu´en Allemagne et il y un autre système de notation. En France la meilleure note c´est 20 points et la pire, c´est 0. En Allemagne cela va de 1 à 6.
où on passe son bac. Il faut dire que les professeurs en France sont plus sévères que les professeurs en Allemagne. Une chose exceptionnelle pour moi était le fait que les professeurs et les élèves peuvent faire la grève en France. J´ai vécu une grève des élèves pendant mon séjour à Bordeaux. En somme il faut dire que le système scolaire français est plus dur que le système allemand et que les élèves français doivent travailler beaucoup plus que nous. Après le bac les élèves français ont deux possibilités pour faire leurs études. Il y a la « fac », c´est l´université, mais le grand but est la « grande école ». Si on y passe ses examens on a de grandes chances d´avoir un travail « bien payé ». Cette sorte d´« université pour l´élite » n´existe pas en Allemagne. Markus Witzigmann
Mais qu’en est-il pour ces nouveaux pays membres ? Eux aussi se portent bien, chacun de ces pays n’a eu de cesse d’augmenter son PIB, sans oublier les nombreux avantages de cette entrée, une politique étrangère commune, plus de solidarité, plus d’échanges commerciaux… Quant au taux de chômage, il est en baisse également jusqu’en 2007, avant de connaître une augmentation fulgurante en 2008 ; mais nous pouvons affirmer que cette augmentation est due à la crise économique qui a touché le monde entier. Néanmoins, cette crise a permis à l’Europe de retrouver cette unité qui lui manquait tant. Pour conclure, nous avons envie de dire que l’entrée de ces nouveaux pays a été très bénéfique à l’Europe, qui se porte plutôt bien malgré cette crise qui a bouleversé l’économie mondiale. L’Europe reste en pleine croissance.
Education France – Allemagne : qui sera le vainqueur ?
Canal Europe Où est le carnaval ? Je veux exprimer mon opinion sur le Carnaval de Tomiño. On peut parler de deux célébrations différentes: celle des paroisses de O Seixo et de Tomiño et celle de Goián où cette fête est plus traditionnelle. Au Seixo, on le fête le vendredi soir. C’est amusant, mais ces dernières années, la célébration traditionnelle du Carnaval galicien est en train de disparaître car on voit défiler des carrosses qui imitent celles d’autres Carnavals alors que le but de la fête en Galice n’est que celui de faire le fou pour s’amuser et rigoler.
Je trouve que le fait de vouloir copier le Carnaval d’autres cultures constitue un manque de respect à la nôtre et contre nous. Autrefois la tradition à Tomiño était de se déguiser avec de très vieux vêtements et on cachait le visage pour aller demander l’aumône chez les voisins, brandissant un bâton à la main avec une attitude menaçante. Maintenant, cette tradition a disparu et c’est dommage puisqu’on perd des traits importants de notre culture. Le Carnaval de Goián est différent. On peut dire qu’on le vit encore en respectant un peu la tradition. Le défilé le plus important a lieu le Mardi Gras et la critique et la satire sont plus présentes que les carrosses de style brésilien ou des Canaries. Et en plus, les jeunes font beaucoup de fêtes. Ce type de célébration n’existe plus à Tomiño. Bref, le Carnaval n’est plus en général ce qu’il était auparavant, sauf à Goián où les traditions survivent un peu plus. C’est pourquoi je préfère le Carnaval de Goián. Alejandro Ochoa Fernández 1ºB
Espagne → culture Une fanfare, c’est une grande famille Appartenir à une fanfare, ce n’est pas seulement apprendre à jouer d’un instrument, c’est plus que ça Jouer ensemble fait qu’on sent qu’on fait partie d’un tout. On se sent, en fait, comme dans une grande famille dans laquelle tout le monde apporte son grain de sable. Nous avons le privilège de nous exprimer dans un langage qui ne connaît pas de frontières. Nous avons tous commencé notre apprentissage musical très jeune, depuis notre enfance. Nous avons grandi nous imprégnant de musique. Ce qui a commencé comme un passetemps, est devenu avec le temps ce qu’il y a de plus important pour nous, on ne peut plus s’en passer, c’est un brin de notre vie. On ne peut comprendre ce qui signifie d’appartenir à une fanfare que si l’on en fait partie. La musique reste pour beaucoup de gens un domaine inexploré, peu connu, lointain ... même si elle est partout présente. Quand on se promène à la campagne, on entend les oiseaux chanter, quand on allume la radio ou la télé, la musique est toujours là, dans l’indicatif de l’émission, dans les annonces et même dans les infos ... Et qu’en serait-il d’une fête sans musique? Et puis quand on fait partie d’une fanfare, on connaît beaucoup de gens avec qui on partage la même passion. On voyage dans le monde, on connaît beaucoup d’endroits qui nous aident à mieux apprécier ce qu’on a. On vit des expériences inoubliables. Quand on entend parler de fanfares, on pense toujours à Valencia alors qu’en Galice il y en a aussi beaucoup, d’une très bonne performance qui n’ont rien à envier à celles-là. Cette tradition de petits orchestres est si forte en Galice que partout, ils sont nombreux. Il y a plein de petits villages qui ont leur fanfare à laquelle ils tiennent énormément. Rien que dans le département de Pontevedra il y en a 52. Dans celui de La Coruña, il en existe 25 et dans les départements de Lugo et Ourense, il y en a 13 et 3 respectivement. Ce qui fait un total de 92 dans toute La Galice. Et qui n’a pas, tout près, au Rosal, quelqu’un de sa famille ou quelqu’un de connu qui n’appartienne pas à la fanfare? D’après la Federación Galega de Bandas, le nombre de musiciens en faisant aujourd’hui partie est d’environ 6.300 et cela sans y comptabiliser beaucoup de personnes et d’enfants qui s’initient et s’instruisent jour après jour dans des écoles de musique.
Mais derrière un ensemble musical il y a beaucoup de travail et d’effort. La plupart des fanfares galiciennes naissent grâce à l’humilité, au sacrifice, à la bonté et à la persévérance des personnes qui en font partie et même à leur générosité car, très souvent, le financement nécessaire n’est pas facile à trouver. D’ailleurs, on oublie que la constitution d’une fanfare est beaucoup plus complexe qu’on ne pense. Le seul fait d’acheter un instrument ou de le conserver en bon état demande des dépenses importantes. Il faudrait donc que les fanfares soient beaucoup mieux subventionnées. La définition qu’on trouve dans le dictionnaire pour le terme “fanfare” est celle qui suit: “Ensemble instrumental de vent et percussion. Et par extension, n’importe quel ensemble consacré à interpréter de la musique populaire moderne.” Comme vous aurez pu remarquer, en nous lisant, ce terme-là, “fanfare” est pour nous tous beaucoup plus que ce que le dictionnaire nous apprend.
Puisque la musique nous unit, “¡Vivons comme des Galiciens!”. Ánxela e Marta Fernández Callís, Andrés Álvarez Gómez e Fátima Martínez Pereira de 1º BAC C e Miguel Proba Estévez de 1ºBAC B.
Elèves galiciens lors de la fête d’anniversaire du jumelage entre le lycée Fénelon et l’IES Tomiño
Habiter à la frontière
Des carnavals dans le monde entier
Les carnavals sont une célébration publique qui a lieu immédiatement avant du carême chrétien et qui Il y a quelques années tout était différent à la combine quelques éléments comme des déguisements, parade et fêtes à la rue. Malgré les grandes frontière. Pour visiter un autre pays, il fallait différences que sa célébration présente partout dans le monde, sa caractéristique commune est celle d’être montrer son passeport, et après on devait utiliser une période de permissivité et vraie pagaille. la monnaie du pays, comprendre la langue,… En Europe, les pays où le carnaval est le plus célébré, sont : l'Allemagne, la Suisse, l'Italie (Venise) le Royaume-Uni et l'Espagne.
Moi, j’habite à la frontière entre l’Espagne et le Portugal. Quand j’était petit, pour aller au Portugal, je devais faire le changement de la monnaie espagnole en monnaie portugaise, bien que si on ne visitait que les endroits les plus proches de la frontière, on pouvait utiliser la monnaie espagnole (la “peseta”) et les portugais en Espagne le “escudo”, c’est à dire, la monnaie de leur pays. La langue portugaise c’est facile pour nous, les galiciens, parce qu’elle est pareille à la notre, le galicien. Là, au Portugal, les gens sont très gentils et ils font toujours l’effort de nous parler l’espagnol ou, en tout cas, de parler sa langue très doucement pour qu’on puisse les comprendre. Pendant les dernières années on a construit des nouveaux ponts pour traverser le fleuve Miño qui sépare la Galice du Portugal. Dans mon village, par exemple, se trouve le “Ponte da Amizade”, ça veut dire, “Le Pont de l’Amitié”, qui nous permet d’arriver au Portugal. En ce qui concerne les différences entre les deux pays, on peut dire que, à ce moment-ci, il n’y en a presque pas : on utilise la même monnaie, les personnes ont des coutumes identiques, la langue est très proche,… Habiter à la frontière devient, finalement, très pratique : on peut se trouver un peu plus européen, acheter des objets qu’on ne peut pas trouver chez nous, visiter d’autres villes, faire des amitiés étrangères, et même se marier. Pour moi, la vie en commun entre les deux pays c’est parfait : l’aide est mutuelle.
En Suisse, plus concrètement à Bâle, la fête du carnaval dure 3 jours. Elle commence avec le Morgenstraich à quatre heures du matin d'un lundi au mois de février. A cette heurelà toutes les lumières de la ville s'éteignent et les parades commencent à défiler au son des piccolos et des tambours. Les gens portent quelques grandes lanternes avec des dessins qui représentent les événements les plus remarquables de l'an. Pendant les jours suivants, les parades continuent, accompagnées par les bandes musicales avec des instruments de vent.
À Nice (en France), le carnaval est une sorte de mélange entre les Fayas de Valence et la tomatina (en Espagne), mais à Nice, la bataille est de fleurs surtout de mimosa, d'iris et de marguerites. Depuis quelques années, les occupants des carrosses ornés avec des fleurs fraîches lancent 100 000 fleurs aux visiteurs. Cette parade est composée par des carrosses fleuris nationaux mais aussi du monde entier. Après les carrosses de papier, pareils aux fayas de Valence, défilent dans la Promenade des Anglais, la promenade maritime de cette ville du sud de la France. Une figure importante de ces fêtes est sa Majesté Carnaval. Il s’agit de la sculpture, en papier, la plus volumineuse et grandiloquente du carnaval et elle préside l'ouverture des festivités en prenant les clefs de la ville. A la fin du carnaval, Sa Majesté Canaval participe à une dernière parade avant d'être brûlé au port de Nice avec des grands effets pyrotechniciens.
En Allemagne, le carnaval de Cologne aussi connu comme la "cinquième gare", est l’un des événements culturels les plus importants de l'Allemagne. Il commence le 11 Novembre à 11h11 au Alter Markt, mais la véritable fête a lieu pendant le mois de février finissant le mercredi de cendres après une semaine de célébrations. La semaine commence le jeudi avec le Weiberfastnacht, jour où les femmes assument le rôle principal des fêtes après avoir reçu les clefs de la ville des mains du maire. Le jour le plus important est le Rosenmontag (lundi du Carnaval), jour où les cavalcades inspirées de différents motifs défilent dans les rues au rythme des typiques chansons du carnaval sous la devise “Kölle Alaaf”, qui veut dire “Cologne est de Tous ».
Le Carnaval de Notting Hill (à Londres, en Angleterre), ce n'est pas un carnaval comme les autres puisqu’on le fête le dernier week-end d'août et pas en février. Ce carnaval a été l’idée des immigrants noirs des Caraïbes, surtout originaires de Trinité, qui représentent une grande partie de la population de ce quartier. La première édition a eu lieu en 1964. Et dans les années 70 et au début des années 80, il y a eu aussi des affrontements avec la police qui ne voyait pas d’un bon oeil ce carnaval et qui a même essayé de l'interdire. Maintenant les autorités se disent fières d'avoir une population tellement diverse et le Carnaval de Notting Hill est devenu un attrait pour le tourisme estival dans la capitale britannique. Le carnaval consiste en une parade qui fait le tour du quartier. Les gens suivent les carrosses, généralement déguisés selon le style de leur bande.
Le Carnaval d’Arlequin.- Miro -1924/1925 – Huile sur toile
Canal Europe
France → sports L’Europe bat Est-ce bien décent ? l’hémisphère sud Manchester United a donné, jeudi 11 juin, son
Enfin !
accord pour le transfert de son joueur vedette, Les Français, vainqueurs en 1979 et à deux Cristiano Ronaldo, vers le Real Madrid. reprises en 1994 en terre néo-zélandaise, ont Le montant de l'opération est historique : renouvelé l’exploit face aux All Blacks samedi à Wellington, avant de conclure leur tournée en Australie, le 27 juin à Sydney.
94 millions d'euros !!!
Ronaldo détrône ainsi Zinédine Zidane, dont le transfert de la Juventus de Turin au Real s'était élevé à 75 millions d'euros en 2001. Son contrat durera 5 ans pour un salaire annuel de 9 millions d’euros. Les deux clubs ont jusqu’au 30 juin pour trouver un accord.
“Il faut féliciter les Français, a déclaré l’entraîneur néozélandais, Graham Henry. Ils étaient plus physiques que nous dans tous les secteurs de jeu et après une demi-heure de jeu, ça ne sentait déjà pas très bon. Ils méritent de chaudes félicitations, leur défense a été excellente.”
Roger Federer s’impose à Roland Garros après avoir sorti aisément le français Monfils (14ème mondial) en quart de finale et l’argentin Del Potro (5ème mondial) en demie finale. Il a dû affronter le tombeur de Nadal en finale : Robin Soderling (12ème mondial). Le n°2 mondial sort finalement son adversaire en trois sets.
Le XV de France s’est imposé en Nouvelle-Zélande (27-22), pour le premier match de sa tournée dans le sud, samedi matin à Dunedin. Les français on réussi à aplatir trois essais grâce à un magnifique essai en force de Trinh-Duc, un autre de Servat, et une interception de Médard. Une grande nouvelle était la titularisation de Julien Dupuy (Morgan Parra étant blessé à l’épaule) qui a marqué 3 pénalités et 2 transformations sur 3.
Le proverbe : « Jamais 2 sans 3 » aura été vérifié car ce n’est qu’à sa 4e finale que Federer a enfin mis la main sur la coupe tant convoitée, soutenu par un public parisien sous le charme.
Peut-être les All Blacks étaient-ils moins inspirés que d’habitude (ils étaient diminués de nombreux cadres de leur équipe), mais les Français n’ont pas tremblé face au Haka néo-zélandais.
Rendez-vous l’an prochain pour une nouvelle finale avec Rafael Nadal…avec cette fois un vrai suspense !
Souhaitons un aussi beau jeu de rugby pour les autres matchs de leur tournée estivale !
Eduardo : un retour triomphal
Eduardo Alves da Silva est âgé de 18 ans lorsqu’il fait ses débuts professionnels au Dinamo Zagreb. Lors de la saison 2006-2007, il affole toutes les statistiques en marquant 39 buts en 39 matchs, toutes compétitions confondues. Alors, il rejoint Arsenal pour 17 millions d’euros. Mais, le 23 février 2008, lors de la rencontre Birmingham City – Arsenal, au bout de 3 minutes de jeu, il est gravement blessé à la jambe gauche suite à un « tacle attentat » du défenseur Martin Taylor qui est directement expulsé. L’entourage de Da Silva, à l’image de son entraîneur, Arsène Wenger, réputé pour son sang-froid, est effondré et exaspéré par ce geste inadmissible. Sans l’intervention immédiate de l’équipe médicale d’Arsenal, le joueur aurait pu se faire amputer du pied ! Après une absence d’une année, Eduardo da Silva fait son grand retour le 16 février 2009 et marquera même deux buts pour Arsenal ! Vivien
La 77e édition des 24 Heures du Mans a été remportée par l’écurie française Peugeot
Dominateur au Mans ces dernières années, Audi a reconnu avec sportivité la domination de Peugeot cette année : Tom Kristensen (pilote de l'Audi R15 TDI n°1, huit fois vainqueur mais cette fois troisième) : «Les gars de Peugeot ont fait un boulot fantastique et j'ai beaucoup de respect pour ce qu'ils ont fait, mais nous reviendrons plus forts pour nous battre pour la victoire.» A 3 heures, samedi 13 juin, la 77ème édition des 24 heures du Mans est lancée par le président de Ferrari, Luca di Montezemolo. La Peugeot 908 n°8, pilotée par Franck Montagny s'élance en tête devant l'Audi R 15 de Mc Nish. Après une course ayant vu beaucoup de casse, l’écurie française Peugeot a finalement gagné plaçant 2 de ces voitures sur les premières places (la première place étant revenue à la Peugeot 908 #9 suivie de la Peugeot 908 #8). En 3ème position une voiture de l’écurie allemande Audi.
Différentes écuries du monde et surtout d’Europe se sont présentées. D’ailleurs les 24 heures du Mans n’auraient pas pu avoir lieu sans le soutien de l’Europe.
Canal Europe Europavox : Des artistes de tous horizons Ce printemps 2009 la ville de Clermond-Ferrand a accueilli la 4ème édition du festival Europavox. A cette occasion de nombreux groupes de toute l’Europe sont venus se produire sur les planches de la Coopérative de Mai et des chapiteaux Tivoli et Magic Mirrors comme les fameuses têtes d’affiche, Charlie Winston, Olivia Ruiz ou encore
Bloc Party.
Dès la journée d’ouverture les groupes se sont donnés corps et âme à un public très réceptif. Le jour suivant c’est Maximo Park, groupe très connu en Angleterre, qui s’attaque au public clermontois avec une énergie débordante déployée sur scène. I’m From Barcelona a déchaîné les passions avec un concert très rythmé. Souhaitons qu’ils puissent revenir l’an prochain ! Egalement de belles surprises avec des groupes venant de tous horizons : les 17 Hippies berlinois qui ont su marier avec
Mit über 60 000 Studenten zählt München sicherlich zu den größten Universitätsstädten in Europa. Auch für Studierende aus dem Ausland ist München sicherlich eine attraktive Stadt. Zum ersten hat München gute Verbindungen zu Europa, sowohl durch die Eisenbahn als auch durch den Flughafen Franz-Josef-Strauß. Auch besitzt München eine gute Infrastruktur durch S-Bahnen und U-Bahnen, welche regelmäßig und pünktlich kommen, und was durch Züge nicht erreicht werden kann, kann durch ein gut funktionierendes Bussystem erreicht werden. Und das Beste daran ist, dass man für alle öffentlichen Verkehrsmittel nur ein Ticket braucht, welches man an jedem Bahnhof und in jedem Bus kaufen kann.
The Delanoe
Orchestra (Bravo Alexandre !) réuni avec d’autres artistes de la scène locale dans le label Kütu Folk
www.bruxelles-j.be
Le jeune britannique Charlie Winston revient sur scène avec un nouveau titre : « Like a hobo ».En effet l’artiste avait fait un album en 2007 qui n’avait pas très bien marché mais le jeune chanteur revient avec des titres à vous couper le souffle. Son style à la Elvis Presley nous donne envie d’écouter le bon vieux rock’n’roll. Nous avons pu l’applaudir à Europavox le festival musical d’auvergne.
A recession leads to more middle- aged boomerangers
München als Universitätsstadt für Studierende aus Europa
bonheur tous les styles musicaux, Sliimy jeune stéphanois à l’accent anglais parfait (selon la prof d’anglais !), le groupe tchèque Toxique qui mixe du R&B sur des rythmes électro,…et bien sûr notre petit chouchou :
Brèves
Auch ist München für Studenten sehr interessant, die sich für Bayerische Kultur und Feste interessieren, genannt sei hier nur das Oktoberfest, das jährlich stattfindet. Zudem hat München gleich mehrere Universitäten. Die Ludwig-MaximilianUniversität und die Technische Universität sorgen für eine optimale Abdeckung der verschiedenen Stoffbereiche. Wobei die LMU eher die allgemeinere Fächerauswahl abdeckt und die TU besonders für Naturwissenschaften zuständig ist auch wenn diese Fächer teilweise von der LMU angeboten werden. Dabei bietet die die LMU 160 Fächer und die TU 133 verschiedene Fächer an. Zwar sind die Universitäten nicht zentral angeordnet, aber auch dies ist aufgrund der guten Verkehrsanbindungen kein Problem. Zudem gehören beide Universitäten zu den weltweit führenden, und In Deutschland belegen sie regelmäßig die beiden ersten Plätze. Im Endeffekt ist München bestens für technisch interessierte Studenten zu empfehlen, doch auch sonst kann man München mit gutem Gewissen allen Studierwilligen ans Herz legen. (Jakob Körndle)
The slumping economy is now forcing baby boomers or The "Boomerang Kids", young adults who left to go to college, got married or just strut in their independence, to move back in with their parents resulting in financial consequences for all. The trend is cyclical. It’s the case in the USA. Actually, now in their 30s and 40s, many have lost jobs and homes and need to house their own family. The result is a growing number of baby boomer parents who are adjusting their lives, families and homes to greet their adult children. They have to turn their son or daughter’s room into the new office, workshops, then they have to redesign the spare room back into a bedroom for their child to move back home. For many boomerangers, it made smart economic sense to move back in with their parents – where life is comfortable and rent is either low or maybe nonexistent – while they get their finances in order. On the other hand, for most of them, it’s hard to come back after 20 years of living independently: it looks like a failure! Parents are often happy to help out, both emotionally and financially. As a result, the arrangement often works to everyone's satisfaction. However, there are risks. These include family tension and misunderstandings, but also money and no privacy in one’s home. Children’s return home can be a genuine problem, an economic problem especially for their parents’ retirement, for example, as they try to do too much for their children. On the other hand, the mother’s help can be a helpful arrangement for children. Actually, grand-parents can help for school with their grand-children, they can also baby-sit. Moreover, the boomerang kids can pay rent or contributeto the household in a tangible way (maintaining the house, gardening…) so that it can save parents troubles and they are cheerful and good company , they can bring some life in their house, too. However, setting the tone, talking about the responsibility, keeping the communication, laying out the ground rules, and making smart–money financial decisions can help create a positive, supportive environment that is in the best interests of the family. According to me, this phenomenon happens all around the world. I think that for most of us moving back in with mom and dad is a way to survive against the economy, to save a solid financial balance until a solid job opens to us, so that we can leave home without any troubles. Moreover, I think for others, it's a safe place to hide from real world responsibilities. However, I believe this phenomenon is paradoxical because everybody dreams about leaving the home and launching out on their own and nevertheless according to some surveys, taking shelter under parents’ roof isn’t uncommon for young people in their 20s, especially when the job market is poor. In conclusion, I think moving back home can have a healthy effect on everyone in a family. For example, parents can get to know their son or daughter as an adult and children can get to know their parents on a new level. Young adults can also learn many of the basics of life from their parents. Everyone can benefit from this situation.
After TIME magazine (12-03-09) Charlotte Collin, Collège Saint Barthélemy, Liège
Santiago de Compostela, un lieu cosmopolite ? Un centre religieux important On le sait, Saint Jacques de Compostelle (en espagnol Santiago de Compostela) est un lieu très important historiquement parlant. Ce lieu est remarquable par sa cathédrale, qui accueille de nombreux pèlerins du monde entier. Alors, bien sûr, Saint Jacques de Compostelle est une ville très importante, notamment grâce aux pèlerins qui viennent de toutes les régions d’Europe (nombreux chemins, français et anglais, existent pour s’y rendre). Cela crée une impression de trop plein, qui montre que Saint Jacques est une ville qui rivalise avec Rome comme centre religieux majeur de l’Europe. La cathédrale, à l’heure en rénovation, a en effet ses rites et caractéristiques religieuses. On peut ainsi parler de la cérémonie du « botafumario ». La cérémonie du « botafumario » est spectaculaire grâce à l'impact visuel créé par ce grand encensoir d'1,10 m de hauteur et de 50 kg, poussé par 8 hommes et oscillant comme un grand pendule, d'un côté à l'autre de la croisée dela nef, presque au-dessus des têtes des gens, arrivant à une vitesse considérable. L'origine de cette cérémonie est très ancienne. Elle est née entre le XIIIème et le XIVème siècle et son but était de parfumer tout le temple pour dissimuler les mauvaises odeurs dégagées par les pèlerins et leurs vêtements, après avoir effectué tant de chemin. Mais, elle n’utilise pas seulement cette casquette. Non, Saint Jacques de Compostelle, c’est bien plus que cela…
Saint Jacques c’est aussi une ville économique et culturelle Outre les croyants, la richesse du patrimoine religieux attire aussi les « mécréants ». Sans oublier, bien sur, que cette ville est la capitale administrative de la Galice. Elle a donc obligatoirement un poids économique et administratif important au niveau de l’Espagne. Elle possède aussi une université importante au niveau international. Rappelons que la Galice fut jadis un foyer important des Celtes, qui émigrèrent après avoir été rejetés d’Irlande. On y parle aussi le galicien, une langue à part comme le catalan… Saint Jacques rayonne donc au niveau régional, national, international et aussi bien sur les plans religieux et historique, ce qui est intimement lié. De la à dire que Saint Jacques ne rayonne que par sa cathédrale,…. Mickaël, France
Canal Europe IES TOMIÑO- LYCÉE FÉNELON: 6º INTERCAMBIO ESCOLAR e Xº ANIVERSARIO DE ENCONTROS Realizamos este curso o 6º intercambio escolar co mesmo centro francés, o Lycée Fénelon pero ademais celebramos algo moi especial: os nosos dez anos de encontros e de amizade. E por suposto, isto merecía unha festa por todo o alto. E así foi en Tomiño e en Clermont-Ferrand (Auvergne).
museo Michelin...) pero coma sempre, o que máis nos gustou foi ir cos nosos correspondants á vila do Puy-en-Velay ( O Santiago de Compostela auvernés!) e iso que hai que estar ben en forma para subir tantas costas e escaleiras como hai no Puy pero vale a pena! Algúns sufriron algo coas comidas e con tanto queixo pero de volta, o balance é moi positivo , moitos recomendan vivir esta experiencia e moitos quixeran repetila, sobre todo porque se fan moitas amizades e se pasan moi bos momentos con todos os compañeiros! Pero para participar tamén convén falar un pouquiño de francés! Veña, animádevos!
Acollimos ó grupo francés do 10 ó 18 de marzo e fixemos moitas actividades xuntos: as específicas para traballar as linguas que estudamos pero tamén un xogo de pistas na biblioteca, outro para descubrir xuntos os misterios de Santiago de Compostela, actividades deportivas e como colofón o gran concerto no que participou todo o centro. Os “franceses” –coma dicimos nós,- din que o pasaron moi ben e destacaron a nosa amabilidade, simpatía e xenerosidade, ademais de insistir no ben e moito que se come en Galicia! – para nós non é novidade, claro!A nosa viaxe tamén foi moi ben. Saímos un mes máis tarde, o 19 de abril e voltamos o 30. En Auvernia, pasamos moito frío aínda que tamén luciu o sol e visitamos moitos sitios nas viaxes de ida e volta, que para algo ten que servir “sufrir” tantas hoars de autocar. Vimos as pinturas rupestres de Lascaux II e as vilas de Sarlat-la-Canéda, Avignon et Carcassonne. Pero o máis entrañable foron os días pasados cos nosos amigos en Clermont, acolléronnos moi ben no concello e no centro, cantamos e tomamos o pastel do décimo aniversario e claro, tamén traballamos algo: fomos a algunhas clases e fixemos as actividades específicas do proxecto “Aprendendo xuntos”, tête à tête cos nosos correspondants. Tamén coñecimos moitos sitios en Auvergne (a súa capital, Clermont, a cadea de volcáns, o
Brèves Un jumelage réussi ! La fête du jumelage entre 2 lycées (français et espagnol) sous le signe de la bonne humeur. 10 ans de coopération étroite, cela se fête ! Le 17 mars 2009, ce jumelage entre les 2 lycées (l’Institution Fénelon à Clermont Ferrand en France et l’IES de Tomiño en Espagne) a donné lieu à une gigantesque fête, dans l’enceinte du lycée espagnol. Les élèves de l’IES, étant applaudis par un public franco-espagnol, fruit de l’échange régulièrement effectué, proposaient de nombreux concerts mélangeant musique et danse.
De la musique traditionnelle… As profesoras de francés agradecemos moito a todos ós que traballan no centro a súa colaboración e, moi especialmente, ó alumnado e profesorado que organizou todas as actividades lúdicas. Foron un éxito! E tamén ó Concello pola súa acollida e ás empresas de transprte (ATSA e Suárez) que coma sempre nos brindaron a súa axuda sen ninguna obxeción. E por suposto ós/as alumnos/as que participaron e ás súas familias, sen a súa confianza esta actividade non sería posible. Moitas grazas a todos/as.
Europavox : on adore!
Après un début de journée ressemblant à tous les autres (cours), les différents groupes prennent place dans le lycée. Tout d’abord, dans le hall de l’Institut, des jeunes commencent par des morceaux classiques grâce aux instruments de l’ensemble scolaire, cors et flûtes traversières notamment. La suite, et ce sera le cas pour tout le programme, aura lieu dehors sous le porche de la cour du lycée, spécialement aménagé pour l’occasion par les professeurs et certains élèves volontaires. Puis viennent les musiques traditionnelles (cornemuses) fidèlement reproduites par des élèves vêtus du costume galicien et deux adolescents font une démonstration des danses « folkloriques ».
…au concert de rock !
El festival fue fenomenal, con muchos artistas conocidos como Charlie Winston, Olivia Ruiz, Maximo Park, Herman Dune.. Pero tambien fue muy interesante descubrir a otros grupos estranjeros menos conocidos. Habia mucha gente de todos (o casi) los paises de Europa, entonces el ambiente era muy calido, con las diferentes personas hablando su lengua o tratando de hablar la de su vesino. Me parece que tambien Clermont-Ferrand fue une ciudad que acojo bien a los visitadores, que los diferentes lugares (mas o menos imponantes : Tivoli, Magic Mirrors y La Coopérative de Mai) eran de tamano a respetar este ambiente acojedor. Por fin, fue un lugar para nosotros studiantes franceses, donde pudimos distribuir nuestra energia de jovenes, y disponer de una actividad original. Louise
Enfin, voici le concert de rock ! Les 4 membres du groupe de l’Institut The Trolls prennent place sur la (petite) scène. Ils viennent produire le fruit de leurs répétitions et proposent des chansons inédites de leur composition, devant de nombreux spectateurs en délire. Ces derniers en redemandent et ce sera « Song 2 » du groupe pop anglais Blur.
Des remises de prix et des chansons… Après ce concert qui a échauffé la foule, voici le temps pour Anxos Garcia, professeur de français et organisatrice des événements en Espagne, de remettre des prix aux élèves français et espagnols. Enfin, tout le monde est invité à chanter, Français comme Espagnols, sur des chansons espagnoles d’abord (tentées par les Français) puis françaises (comme la reprise du gros succès de M.Farmer, « Désenchantée »). Et c’est dans la joie et la bonne humeur que chacun rentre chez soi après cette fête grandiose mais trop courte… Mickaël, France
Que dire d'autre que c'était génial !!! Pleins de gens connus (Maximo Park , Charlie Winston , Bloc Party , etc) mais également des groupes inconnus (Toxic , I'm from barcelona et bien d'autres ... )!! J'y suis allée l'année dernière et j'ai adoré !!! Désormais je suis une droguée d'EUROPAVOX !! Manon